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iVTcmlteirr Les membres dus conseils d'hygiène publique et de salubrilé d'arrondissements sont nommés pour quatre ans \rw In [iréi'ot et renouvelés par moitié tous les deux ans. Vuici comment M. le préfet du Puy-de-Dôme a procédé ù la nomination des membres do la moitié sortante. Sont nommés iiuMibres du conseil d'hygiène publique et de salubrilé de l'arrondissement d'Issoire: MM. Bran,«Alexis, docteur en médecine et maire de Y'ernet-lii-Varenne; Clémenl, Léonce, président honoraire du tribunal civil, chevstier de la Légion d'honneur, à Jssoire; Malsang, Antoine, docteur eu médecine, ;'t (>hampeix; 1 Renard, Jean-Louis, vétérinaire à Issoire; Rivière, Kugône, doct. en médecine à \ssoire. ETAT CIVIL DE LA VILLE D'ISSOIRE Vendant le mois de d'Avril J882. NAISSANCES : MARIAGES : M. Roiuscl, Jean, cultivateur à Isserteaux, canton do Vie-le-Comte, et Mlle Délabre, Jeanne, couturière à Issoire. M. Sauvadel, Benoit, cultivateur à Issoire, et-Mllo Martin, Jeanne-Sylvie, sans profession à Issoire. M. Dégeorges, Saturnin, employé des Postos à Issoire, ot Molle Espagnon, Marie, sans profession à Issoire. DÉCÈS : Baud, Antoinette, 71 ans, sans prof, à Issoire, veuve de Sauriat, François. Fourrât, Benoit-Victorien, 10 jours d'Issoire. Piciiot, Louis, 36 ans, propr.-cultiv. à Issoire, époux de Vcrdier, Jeanne. Nicolas, enfant mort-né, sexe féminin. Gannat, Pierre, 39 ans, propriétaire, d'Issoire, époux de Cbantelauze, Marguerite._ Yoisse, Pierre, 1 mois, d'Issoire. Monlel, Antoinette, 78 ans, sans profession, de St-Germain-Lembron, veuve do Roddier, François. Gendre Marie, 8 ans, de BeuriiTO, canton d'Ariane. Vacher, Henry, 80 ans, propr. d'Issoire, veuf de LeTé, Anne-Henriette. J'iat, Elisabeth, 7+ ans, sans profession, du Broc, canton d'Issoire, veuve de Bournet, Jean. illïCAflTULATION : Naissances, i). — Mariages, 3. — Décès, '10. de -J8S3. M. Eparvier, François-Henri, maçon à Issoire, et Mlle Méry, Rosc-Françoise, nie de la Montagne-SteGeuevièvo, à Paris. M. Coudert, Jean-Marie, cultiv. à [ssoire, et Mlle Monier, Marie, domestique à Issoire. CHRONIQUE FINANCIERE de la Banque Nationale, capital : 30 millions iti;K LU I'KI.KTIlill, N . 1 0 3 . Paria, De tons l*-s remèdes employés jusqu'à ce jour pour guérir les maladies graves des poumons et de la gorge, aucun n'u donné des résultats aussi certains et aussi constants que la FARINE MEXICAINE, del I> Benito del Rio, de Mexico. Lorsque la guérison est encore humainement possible et que rien n'a réussi, on doit toujours avoir recours à la Farine Mexicaine. Cet aliment précieux fait disparaître promptemeut la diathèse tuberculeuse et les granulations de la gorge, en redonnant au sang s;i composition normale de santé. La Farine Mexicaine dam un loupa relativement court, fait cicatriser les plaies des poumons et les granulations de ht gorge ; c'est un l'ait qui ne peut plus être conïe'lé aujourd'hui par personne, c;ir plus de -100,000 malade* f/uéris, alors que le plus soucp.nl on les croyait perdus, peucenl certifier que la Farine Mexicaine esl le seul remède vraiment efficace pour guérir la phlhùie tuberculeuse, la laryngite et la bronchite, chronique, le catarrhe pulmonaire, les rhumes, l'épuisement prématuré et toutes les maladies de langueur. La Farine Mexicaine est un aliment, tonique et digestif .par excellence, qui peut être employé avec avantage à la nourriture des jeunes enfants, dos valétudinaires et des vieillards, auxquels elle redonne santé et vigueur. Se vend par boites de ,i kilo//., 500 et 250 grammes, au prix de 7, i et 2 fr. 35, avec une brochure explicative sur sa composition, son mode d'emploi et d'action. Chez le dépositaire général à Tarare, M. II. BA.RLERIN. pharmacien-chimiste. Se vend à ISSOIHK, chez M. TOURNADRE, pharmacien, J'incline h penser que les soins de la toilette sont moins négligés dans les ordres monastiques depuis que j'ai vu les Bénédictins de Soulac consacrer leurs veilles ardentes à la confection d'un Elixir dentifrice dont je suis en mesure de proclamer l'excellence. Et voici comment. A la suite d'un voyage que jefisl'année dernière sur les côtes du Médoc, J'eus l'occasion de visiter l'Abbaye de Soulac et de voir le prieur de iVLiguelonne, un moine superbe qui, dans sa blanche tunique me rappela Fer nanti, le fort ténor de la Favorite, Je racontais dans un journal parisien, ma visite à cotte future abbaye qui n'existait guère que sur le papier, et je la racontais avec quelque joyeuse irrévérence. Un imbécile en eût conçu de l'humeur, mais tout me porte à croire que le père de Maguelonne est un homme d'esprit (Dieu le lui pardonne !), car, un certain jour, une'main mystérieuse déposait à mon domicile un petit paquet contenant dos flacons del'filixir bénédictin. Cette vengeance n'était point d'un sot moine et elle m'eût fuit regretter ma plaisanterie, si celle-ci n'eût été contenue dans les'limites de la gaîté permise. Si le père de Maguelonne, qui me paraît lire les journaux (le Seigneur le lui pardonne, en outre !), devait jeter les yeux sur ces lignes, qu'il reçoive donc pour sou élweir le précieux témoignage d'un incrédule... Et s'il veut m'en croire, qu'il s'absorbe dans la fabrication de son exquise parfumerie au point de n'avoir plus un moment à consacrer aux questions qui passionnent de nos jours les congrégations aulonsoos et celles qui ne le sont pas. La terre et le ciel y trouveront leur compte. (Gironde, 29 juin 1880). "On n'abuse guère de la publicité quand il s'agit de répandre des bienfaits."—LA ROCHEFOUCAULT. Mariages Du Dimanche"HO Àcril II, MALADIES DE POITRINE k DE l i GORGE. VENTE EN GROS. Legros, Jeanne •Camille-Hélène. Nicolas, Jean. . Tîardon, Jeanne. Rous'ard, Mélina-Valérie. Ceytre, Joanno-Marie. (ia'melou, Marie-Antoinette. Gaubin, Anne. Rbul, Audré-Jean-Marie. San voisin, Henry-Nancy-F.aurent-Amable-M arc. " d'Issoiro A PARIS h •/<"• Mai 1S82. Le mois d'avril a été favorable aux acheteurs do rentes françaises; ils gagnent plus d'un franc sur le o 0/0 et 80 centimes environ sur les ;i 0/0. On demande le li 0/0 à 117.30 ex-coupon de I.25, le 3 0/0 à 83.30, l'amortissable.à 8 i . . . . On est ferma sur la Banque de Wiuice, le Crédit foncier, la Banque de Paris. J.es actions de la lïauquo Ilyuothéfairo qui ont _toujours présenté la plus grande fermeté, sont en voie de hausse ; les obligations sont bien tenues. Un mouvement de reprise se dessine sur le groupe de valeurs visé par les spéculateurs à la baisse. Le Crédit de France est on butte à des animosités iujustiliées. Le rapport qu'il vient de présenter à ses actionnaires fait ressortir sa puissante vitalité. Sa fusion avec le Crédit de Paris et la Banque romaine lui assure d'énormes économies et groupe des forces 1res sérieuses. Un appel de fonds ne peut'qu'affermir une institution intéressée dans des affaire» telles que la Grande Imprimerie, la Société des Lavoirs publics, etc., et les cours doivent forcément monter; Les Chemins français restent délaissés ; les Chemins étrangers ont quelques demandes. LeSuez poursuit sa marche en avant; la progression dos rocettes sur celles de 1881 a dépassé 50 0/0 pendant le mois d'avril. Le Panama oscille autour do 540 ; le Gaz est • plus faible. Le i> 0/0 italien se cote tout près do 91. La spéculation maintient le 5 0/0 turc vers •13.25 et l'Egyptienne unifiée vers 350. UNE HEUREUSE DECOUVERTE I Un pharmacien de Vaucouleurs, M. MARECHAL, vient de découvrir un meilleur remède, le S p a s a l g i q u e , (iui enlève instantanément les névralgies et les migraines, les maux de dents et les maux do tète. Le Spasalgique-Maréchal, qui coûte 2 fr., se trouve dans toutes les bonnes pharmacies ; seul dépôt ù Issoire, chez M.-TALOBRE. - - JS. SANTÉ A TOUS ADULTES ET ENFANTS rendue sans médecine, sans purges et sans frais, par la délicieuse farine de Santé, dite. REVALESCIÈRE Du BARRY, de Londres. 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Cure N° 98,814: Depuis des années je souffrais de manqua d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins et de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie, tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalescière. LÉON PEÏCLET, Instituteur à Eynançiis (Haute-Vienne). N° 63,476 : M. le curé Compare!, de dix-huit ans do dyspepsie, de gastralgie, de souffrances de l'estomac, des nerfs, faiblesse et sueurs nocturnes. Cure N" 99,625.—Avignon. La Revalescière du Barry m'a guérie à l'âge de 61 ans d'épouvantables souffrances de vingt ans, d'oppressions les plus terribles, à ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'h.ibiller, ni me déshabiller, avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles.—BORREL, née Carbounetty, rue du Balai, 11. Cure ,N° 100,180.—Ma petite Marie, chétive, frêle et délicate dès sa naissance, ne prospérant pas avec le lait de nourrice, je lui ai l'ait prendre sur le conseil du Médecin, la Revalescière qui l'a rendue fraîche, rosé et magnifique de Santé.—J. &. DE MONTAIMY, 44, rue Coiidorcet, Paris, 4 Juillet 1880. Quatre fois plus nourrissante que la viande, elle économiso encore 50 fois son prix en médecines. En boîtes: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kilog., 4 fr.; 1 kil. 7 ftu.; 2 kil. fr". . J 1 JLi'% » - L - . w. 1/2, 16 fr.; 6 kil., 3 6 fr.; 12 lui., 7 0 IV. Aussi " L A REVALESCIKRE CHOCOLATÉE," en boîtes aux mêmes prix. Eile rend appétit, bonne digestion et sommeil rafraîchissant aux personnes les plus agitées. BISCUTS DE REVALËSGIKRE, ahmont très-agréable «t commode aux bureaux, comme goûter et souper, et en voyage : en boîtes de 4 , 7 , 1 6 e t 3 6 IV. — Envoi franco dans toutes les Gares conte bon de poste. — Dépôt à ISSOIUE, chez MM. V. 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