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C'EST DUR. — Le l m a l dernier M e » l e r . 47 J--B., â g é de 19 a n s . Il m'a déclaré, que depuis ans, ou\*ier agrfcole et s o n llls, 18 ans£''aient déjà un certain laps de temps les barrières étaient employés chez Ivfc Ducauroy, cultivateur* Me- en mauvais étal et que lorsqu'ils avaient u n e miziêres-sur-Oise, * H'.tre de l'avoine ; prenant de nute d'arrêt ils remployaient a réparer ce bois de l'absence du personnel de la ferme, MeudJP' père barrière qui n'était p a s bien assuré et qui. par suite emplit une maielta d'avoine et la fit transporter d un certain ébranle iienl de la machine se desserException faite pour l e Rio et l e s Mines ( f * chez lui par s o n fia. Ce dernier fut rencgsliê en rait constamment. Henri Masson et sou camarade t-'abondanc* ue» matières nous l'allure générale du marché a ête meilleure cetta chemin par le garde, q u i lui demanda OTW pro- Desprez venaient de réparer à nouveau c e bois e n * , U vi l »i U 'i n q u i ,l0us ^conciliera. ! M u s quoique « . „ „ . „ . .. l u l a u w c . l e s a*i.rinu>„*. vt nait l'avoine. y ajoutant des coins en bois, cç, que j'avais déjà oblige à remettre à demain l'an- semaine sans toutefois être bien brillante. La conI e ^ 4 ^ & î " ? - » « J * W o t a r o » tiennent à fiance semble renaitre aux groupes de la Renie a» Le jeune homme se troubla et avoua h sous- constaté. De ce dernier travail rendu par Henri ues Chemins de 1er français. La question da 1 un» traction. M" Vallée, tvocat, présente la etlense Masson. les berline» vides étant arrivées a destina- n o n c e de n o s nouvelles primes. put sur le revenu, bien que restant entière, préoction du puits, ce dernier a dû s e meltre sans redu prévenu et fait reiaorlir Jrirnporiance: tu vol cupe moins ies esprits depuis que l'on sait q u e l s ) tard a s o n travail habituel, étanl pressé p a r cet qui s'élève à la somme d'environ 40 ceotinfUprojet ne sera pas incorporé au budget de 190*. De bous renseignements sont fournis a"- 'es arrêt de berlines vid^s. il a é l é emballé du coté Néanmoins notre î % n e peut conserver le cour» prévenus. Meunier port est condamné à 1 mois sud plutôt que du coté nord. i u £ ? ï ' i ^ i "^ l é U l c o n , u £ ">ui '•* » a n n i h i l e ^ de tfS quil avait atteint et m ê m e légèrement aé> On pourrait s e demander pourquoi, mais Henri de prison, s o n fris à 16 irsnes d'amende ; tosj deux l u s q u i c i i i m l r u i r t et aller toujours citw evaut passé un moment. Uam? 1 étudeU uu problème social Masson et son camarade, pour procéder il relie bénéficient du sursis. L'Uuiieii s u p p r o c h e du cours Ue 104. ^ ^ u =i et des Jeux t » , 7 i s ^ , £ T " .<=""«* ouvriers, m o i n s imporréparation de barriè/es étaient obligés de les tenir MAIN LESTE. — La dame Legrand Msrie, 41 L'Extérieure gagne un deini-pouit d'una semaine tants nue Lens. l e s a m i s du peuple o n t c r é o d s » ans, journalière, est intolpée de coups : «lie a ouvertes toutes les deux, & seule fin de rapporter à l'autre. t o u r s pi-ofessiunneis o ù l e s contremaîtres voire le poids de bois au centre, pour y achever ce trafrappé d e s jeunes gens qut prétend-elle voulaient m ê m e des patrons donnent d u leçons pratiques Le.> l'uiids Russes on: Jcaservé leur fermeté nev vail. l>onc Henri Masson ayant emballé du côté s'introduire chez elle. BU<- ce qui peut intéresser cuaque coipoi-atiojT L es' bitueile. Les témoins cités déclarwt que ces jeunes gens contraire a été entraîné par sa berline dans le vicie jeunes g e n s suivent assidûment les s é a n t e s de Malgré les nouvelles contradictoires de Constancoupe. Ue peinture, de menuiserie de sculpture n'avaient nullement l'intestion que la préwuue du puits. Je conclus que s'il y avait une double HENIN LIETARD tin' M :•-. ies Séries Utlomanes sont fermement te* barrière automatique comme il y en a une au puits « e typogiaphte, de mécanique. ' * ^ On lit dans le Pet.t Journal : . .eut' prête ; ils causaient tranquillement ssr le nues. On s'accorde * d u e . en effet, que t'iradé, don» Saint-Louis, de cette même fosse, l'accident ne POIDS ET MESL UES. — Nous informons n o s M a t o n s , peintres, iniprimeurs.eharpentiers. cou- lecteurs que la vérincaiiun des poids et mesures trçjJÉejir. « Une asseintHée générale extraordinaire du syn- on s'occupe lant depuis de longues semaines, sera semu rpHainement pas arrivé et o n n'aurait pas Legrand est condamnée a. 8 jours de eu a depiorer la perte d'un homme dont la respon- dicat central des pré.-idenU de Sociéle> de pê- définitivement signé d'un moment à l'autre. leurs, etc., etc.. voisinent et complètent leurs conv aura ueujf Héiiin-Liéiurd. le lu juin, et noua prô- p^rCi sBo ndame . v fcaissiiiK.es professionnelles. L'action de la Banque de France n'a guère v a cneurs u la ligne de France s'est tenue dimanche sabilité incombe euiièieiiient a l'exploitant. ^Bjajs*jgSjff intéressés que te vériucaieur. pour s e T o V a coté lojiclionncnt de» cours commer- couToiTiet au ueoet. du -0 lévrier 1Ù7J, l e i a comà la mairie du septième arrondissement Ue Paris. rié autour «û cours de 3.H00. I es bénéfices du se> PRECOCE VAURIEN. — Il n'a peut-ÔJre p u 12 DIEl DONNE, mestre coaranl sont actuellement e n augmente»ciaux où l e s jeunes g e n s qui se destinent a u coin, sous la présidence de M. Ehrer. ans. mais a déjà une mauvaise réputation. Il se délégué mineur. pléter les séries de poids, fonte et cuivre. m e n é 1apprennent les tangues vivantes, La coiap. Il s'agissait de prolester contra le décret du 17 lion de t.t .ni» iu francs s u r la période corresponLue série de tonte commençant au 10 kilog. nomme l-atevée et demeure à Va Fertê Chevnsis. la sténographie, et par-dessus tout la doit comprendre uu poids de 10 loiog., un de i L'autre jour, il vit ta nommé» teè. Ismétie. chiflévrier dernier, qui porte atteinte aux droits des dante de l'année dernière. L'encaisse or a augmenté de 4.172.000 Ir. La circulation a pri^i-easé manière d'enrayer de haute main ta lutte M u fonnière, quitter sa maison. Il flaira une occasion. sociétés de pêcheurs à lu ligue fermières de l'Etat, kiing., u n de x kilog.. uoux de 1 kuog. un de ueunde 3 minions. Le porteleullle a grossi de 1XÎ m u trielle et comme, ciaie contre ceux u.ui notjki l'ius de cent cinquante assoclalkins se trouvaient LES RENTES DES MINEURS kiiog.. un de 2 Iieclog., deux d e 1 ueelog., et le Quand la feu..ne l i é s e fut éloigné», il pénétrathez ttevancés. A dix'hult a n s . un Ois douvriar sort demi hectog. elle, courut a une a r m o u e qu'il tuvril ,el y ssisisreprésentées, nutaminen' c (lies de : l.it.e. Chaions- tions. Les action» de n o s principales sociétés de efe» »vec un bagage Ue connaissances spéciales qu'il sur-Marne. Heims. Angers. Arras. Cambrai. Mat-a série u s cuivre comprend les m ê m e s poids sant un porte-monnare qu II savyt trouver là. — sonl gênériiiement bien tenues. Le Créait Fondoit a d'huuurabies universitaires, à d'humbles HEMN-LIETARD. — Fosse du Tonkin. — Le çon. Toulouse et les vingl-neuf sociétés du Sud- dit plus u n de 20 g r a m m e s . Jeux de II) g r a m m e s , et car il a travaillé plusieurs fois criii la dame Be — fcfciliuiteu.s uui estiment, avec le parti socialiste, Il •> nul d a n s sa poche ei ll.a. Ouest. Dijon. Orléans. Hennés. Le Mans. Sens, la cier esl en légère reprise. nommé Fréiny Désiré. 43 ans. demeurant è Dour un de 5 g r a m m e s . On exige les poids de i gramLe marché des actions de noê grande c o m p a que l'aduiteuoil êire préparé pour d autres devoirs mes et de 1 gruntme a c e u x qui doivent e n faire Hochetle. Bondy. Chelles. Romliiy. Château-ThierMais l'argent le démangeait. Il c o m m e n ç a par ges. a reçu des contusions è l'épaule, au niveau gnies de chemins de ter a été très e n i m é à terme que celui de soluat. ry. Charenlon. Besancon. Mai--*bns-l.aflille. Pers'oflrir une montre avec s a chaîna, puis des » u - de l'omapiae droite, par une pierre. Bien que ia usage. au comptant, depuis qu'on a acquis U certi'ude Ce n'est p a s tout. D e s médecins, des avocats, piètre, ait été .é^eie. comme le dit la déclaration. san-Ueauiiinnt. Juvisy, ViUeneuve-Suint-Oeorges, et Une série peut néanmoins commencer a un des cissons. des côtelettes, e t c . . que M. Bourrât a renoncé à porter devant la des îpiérateui-s lont. au point ue vue moral et in- poids intermédiaires compris entre le demi-kilo Hlois. Dunkerque. etc.. e'c. Le maréchal des logis de gendarmerie Sulfour. le médecin a conclu k 15 jours de chômage poui Ch«mbre la question du rachat. D'autre part, saut -teliettuei ce que d'autres tonl a u ponit de vue nm- et le Kl Liiug. pour les poids fonte et entre le su de Ribeinont, ayant eu connaissais;» de c e s dé commencer. M. Eiiref. piesi lent du Syndicat .entrai, a constèrui. Les ouvriers ont créé d e s Lniversités popu- g r a m m e s et le 20 kiiug. pour le poids cuivre S con- penses conçut des soupçons sur le gamin taté que le* efforts accomplis par le- sociétés nour <ur l'Ouest qui a une légère diminution, les recettes publiées cette semaine sont en a u g m e n t a t i o n laues o ù ils apprennent l'histoire de la Hépubii- dition de comprendre tous les pokls qui viennent arriver au repeuplement de nos cours d'eau receIl le pressa de questions et finit par lui faire Lyon a gagné S3l\(**i ( r . , le Mide, «jy. où la question sociale est traitée avec ampleur après le plus gros de la série. vaient une singulière ré o m o e n s e Après avoir en- *en«ibie.fr.:Le avouer ie vol. La m a m i n du mioclé). bien eon l'Est. Î6J.0O0 fr. et te Nord 119.000 tr. LA TEMPERATURE e f d a n s un bon esprit, o ù la période révolutioncouragé l'élan qui por'ail les nêcheurs fi se grou- 279.000 Nous invitons les assujettis, pour éviter des dé- sidérée demande l'indulgence du tribunal, l e tri t a plus-value générale depuis le 1er Janvier r e * i r e est c o m m e n t é e ue telle façon q u e les ensei- marches munies, a régulariser leur série avant de bunal. étanl donné le jeune fige de L»levée. se per, o n semble vouloir amener la ruine des as- lève A !fi.225.000 fr. (iiemeiiU qu'elle comporte ne soient pas perdus contente de lui adresser un sévère admonestation Que dit un célèbre pronostiqueur au sujet de la sociations trroupées. venir à la vérilication. L'action du Métropolitain se relève à «17. your ceux qui veulent instaurer une société meilL'assemblée a éml« a l'unanimité un voeu detempérature que nous aurons en juin T Les Valions et obligations des c h e m i n s de fer MONTRE TROUVEE. — Le jeune Delarue Oc- et l'acquitte comme ayant agi sans disamieineni leure a u x humbles et a u x petits. Il parait que du 1er au 10 juin, il y aura une mau mandant l'abrogation du décret du 17 f ' v n e r 1903. Portugais ont légèrement fléchi & la suite de quel» â g é de 18 a n s , dout l e père est plafonneur à D'autre part. M. Edmond Orv. prnFe-seur de que- réali-ations de bénéfices Les questions d hygiène ue sont p a s n o n plus né- tave, vaise période pour l'ouest et le centre européen. Dou:ges. a trouvé dans <e chemin du Moulin une droit à f ille. président du comilé dénanemenlal gligées. avec de liauies Dressions sur ia Médilei lanée. montre e n argent qui a été déposée a u commisQuant aux Chemins Esnaimols, leur m a r c h é des présidents du Nord, a ê'ê élu vice-président S o u s l'influence bienfaisante de cette éducation, sariat de police, oU s o n propriétaire peut venu' l a Du 10 au H. "temps troublé e n Europe occiden aus=i lourd que la semaine dernière. L*agie n o u s a v o n s vu ies travailleurs créer d e s coopéralaie, avec de gios_orages. l-e 25 nous aurons un rfu Syndicat cenlral. el ra.spi.s.'a'ice a voté s e s vifs reste réclamer. tives de c o n s o m m a t i o n dont l'une compte aujourfort otage. Du 25 a u 30 hautes pressions passant remerciements, pour les services rendu» par s o n sur l'or reste è 3B.Î5 % de perte. Les valeurs industrielles et de traction n'ont AFFICHAGE. — On a affiché aujourd'hui, à la d'hui près de dix mille membres, d e s sociélés de â l'Est, dépressions sur ies Iles Britanniques. la prédécesseur au comité déparlementai, M. Ravel donné lieu nu'à des transactions 1res restreintes. production, d e s caisses de c h ô m a g e d e s syndicats porte de la Mairie, les extraits du jugement r o n mer du Nord et la Scandinavie. Sur le littoral de rie MnnWvile. • I a plupart finissent sans changement e t mieldueeSYNDIC» r DES M NEURS DU PAS DE-CUUIS Pour rassurer ceux de nos lecteurs qui aiment siuviiers puissamment organisés, des mutualités cernant les cultivateurs Déprez et Lefebvre, qui l'Atlantique et de la Manche, mauvais temps et il taquiner le aoujon. nous ajouterons à l'exposé unes à des cours inférieurs a ceux de la s e m a i n e florissantes. Tout cela, n o n sans effort, évidem- avaient m i s an vente du lait additionné^ d'eau. pluies. dernière. Notons toutefois la Parisienne Bectrt< m e n t , n o n s a n s peines, n o n s a n s d a m e r a s décepl e s premiers jours de juillet seront orageux, — du Petit Journal, que le décrel du 7 févrtec '!)03 a que qui a reconquis le cours de ÏOO avec bonne tenCONSEIL D'ADMINISTRATION toules les chances possibles de n e jamais êlre aptios. parfois. dit toujours le pronostiqueur. ARRONDISSEMENT DE SAINT-OMEH dance à la hausse. Le conseil d'administration du syndicat des mipliqué. Les socialistes n'ont p a s eu seulement a combatLa Traction se déprime de p l u s e n pras. L'action neurs uu Pas-de-Calais esl convoqué, vendredi pit» Il y aurait, en effet, une véritable iniquité' h suptre des adversaires de clause. Us o n t eu aussi à chaln, U juin, a dix heures du malin, au siège faSAINTE-MARIE KERQUE primer comme il le fait pour les membres des so- nouvelle cote maintenant 25 fr. lutter contre c e u x qui, selon Uagan. « perdent de 1 CHEMIN DE FER DU NORD Le Suez gagne 40 points et clôture h 3.900. Lee ciétés de pêche, le droi d'u=er de la troisième ligne UNE DESESPEREE. — Une jeune fille de cette cial, 10, rue de la Paix, a Lens, v u e ies réalités capitales et s e condamnent a des Ordre du j o u r : Examen d e l à situation finaanui constitue l'unic/ue dédommapement que la loi recettes de la semaine sont en diminution de 808000 l o g o m a c h i e s o u a d e s polémiques personnelles ». c o m m u n e , la nommée Lvsie Jouana ftgée de 20 leur accordail Jusqu'ici, en échange d e s sacrifices fr. ce qui porte la moins-value depuis le 1er Janvier T\uus a v o n s , a î - e u s . ^ u e i q u e s specn!n_., a ue c e s » » ' a icnte de se suicider en se jetant dans le ca- cièie. — Rapports d e s citoyens b a s l y et Laïuendfa M. Bosenthol. sous-chef de gare principal > si lourds ef si fructueux qu'ils s'imnosent pour as- à 3.S3S ino fr. Mai* la Bourse semble avoir prie Intransigeances aussi pures que farouches — que nal de Calais. lleureusemnt qu un couragux ci- sur le c o n g i é s ue Car-maux. — Examen des tro* Lille, est nommé chef de gare à La Madeleine. projets de loi 4 déposer sur le bureau de la Chamsurer la rénression du braconnage et le repeuple- son parti de la moins-value des recettes du Canal 1kl. liruutchuux m'excuse d e le mettre e n cause toyen a pu la retirer saie et sauve. M. Verhaghe. sous-chef de g a i e à I ille. est nomp a t rapport à celles de l'année dernière, cette dl<lans ce débat. On attribue cette tentative de suicide à des causes bre par Basly et Lamerrdin, e n conicriuite des ré- mé sous-chef de gare principal a ia m ê m e rési- ment des rivières. solutions du Congrès de Caiiuaujt. Du reste, quand comme M. E l f e l on commande mtmition élan! d'ailleurs prévue e n raison de l e Mais ceia n'a'pas arrêté l a marche du progrès intimes. dence. une armée bien organisée et parfaitement unie de diminution de la taxe. social. Le programme que nous venons de tracer REUNIONS ET CONFERENCES EVRARD La faiblesse persis'e sur le groupe des valeur» trois cent mille électeurs, et qu'on parle au n o m est large et vaste. Seat, il n'est p a s m o i n s appliA HERSIN-COUPIGNY. — Mercredi » juin, à six de quinze cent mille autres, on a toutes chances de Panama. Les dépêches de Bogota sont toujours cable. heures et demie du soir, chez le camarade Cartier de se faire entendre des Pouvoirs publics sans alarmistes en ce qui concerne les dispositions préD o n n o n s a u x fils d e s travailleurs des outils de Instruction publique sumées du Congres qui se réunira le 80 juin pouf François, réunion des déléguée de toutes ies secavoir à crier très ha.nl. raisonnement, au lieu de g a l o n s , d e pompons, de examiner et ratifier ou rejeter le traité de cessios tions syndicales d e s mines de Nueux, sous la présisabres o u de fusils. du Canal. 11 est évident que la Colombie, qut a bel dence'du ciioyen Evrard. ECOIE PRATIQUE DE MAUBEUGB LES COQS BOHAIN Ce sera moins mirobolant, sans doute, mais ce soin d'argent, cherche à tirer le meilleur parti pos> M. le ministre du Commerce et de l'Industrie a VOLEURS PINCES. — Deux petits gamins, les aéra aussi moins ridicule et moins pompier. A SOMAIN sible de l'affaire, mats, en fin de compte. 11 esl décide que deux bourses seront attribuées a la renjeunes I.egrand. originaires de Fresnoy-le-Grand, probable qu'elle ne laissera p a s échapper I'occs»» A l'occasion de la première fête communale, le trée prochaine, a ia nouvelle Ecole pratique de ARRESTATION MOUVEMENTEE. — L'n mal- ou leur père exerce la profession de tisseur, s e sont sion de toucher 50 millions comptant et u n e a n 7 juin prochain. M. Mondiaux dit « Canada», déheureux journa.ier, dont les facultés mentales sont fait pincer au moment o ù . le plus tranquillement A LOISON. — Dimanche. 14 juin, a 7 heures Maubeuge une pour la seclïon hiduslrielle, 1 autre nuité de I.ÎjO.noo fr. A trop exiger, elle courra»! bitant, place Victor-HiiBo. organise un grand conpour la section commerciale!. d e s plus affaiblies, et qui a déclaré se n o m m e r du monde. Us consommaient du chocolat dérobé du soir, salle Delombie, près de la Cure, coule le risque de ne rien recevoir et m ê m e de voir ré» cours de coqs entre vingt sociétés. Isidore-Adolphe Laurence, 51 a n s . sans domicile peu d'instants avant dans une épicerie, rue de rence Evrard. Les examen» destinés à constater l'aptitude des sera de 7J&. pour 20 tr. Les armes de duire son territoire. Axe. pénétrait hier, chez M. Lefebvre. mécanicien, Cambrai. Le secrétaire général du syndicat traitera dans candidats à ces bourses auront lieu les 6 et 7 juil- 5? l.aynise m m . de long sur 2 m m . de courbe seront seules Le Gaz Parisien s'est sensiblement alourdi è l e rue de l a Bataille, et s e planta sans dire une seule ces diverses conlérences de la question des relrair Ces petits vauriens avaient aussi fait main basse let, simultanément a Liile et a Maubeuge. admises. Mise au parc a quatre heures e t demie suite de 1'adoriion par la Commission Municipale parole, a u milieu de l'appartement. s u r de la monnaie de btlion dans le tiroir-caisse de les des vieux mineurs, ainsi que de l'action syndiLes demandes doivent être adressées a l a Prélec- précises. . de tous les articles du projet Dévaluez e l Ducher M. Lefebvre intervint naturellemen' pour faire l'épicière pendant que celle-ci était occupée d a n s cale et économique. ture d u Nord, avant l e 30 juin. noy A peu près tels qu'ils avaient été proposée par .sortir l'intrus, mais il reçut s u r la ligure un ma- son jardin. JEUX DIVERS les demandeurs. Toutefois, un amendement de M. COMMISSION DE CONTROLE gistral coup de poing. • Procès-verbal a été dressé a leur charge. Evain exigeant que les concessionnaires déposent A BILLY-MONTIGNY L'agent becquel qu'on avait requis voulut s'emLes secrétaires o u a leur défaut les présidents les 30 millions de garantie e n esoèces ou e n titrée Etale des Maftrn-Mineirs de Demi ^ Jtu de bitloru. — Lundi 1er juin, à dix heures du de ta ville de Paris a été adophV Précédemment, parer de I-aurence. Il reçut alors un coup de tête de toutes l e s sections du Pas-de-Calais, sont inmatin, il y aura 5 fr. gratis au billon, dit boches, a l a figure, d e s c o u p s de pied e t d e s coups de vités à laire parvenir au citoyen S o r n a u x . secréla commission avait admis qu'une partte de cette Les examens d e s candidats a l'Ecole des maSchez Félix Tiry. e n face de l a gare. poing. taire, etiez lui. a Courriëres, un état détaillé d e s s o m m e pourrait être simplement garantie "par u n e m i n e u . s de Douai auront lieu dans tous l e s s o m m e s reçues par leurs sections, pouf" être ré- lr-es banque agréée par le Préfet. L'agent, aidé de quelques personnes, dot engaparties en secours a u x victimes d e i a dernière départements du S a u 10 août iyu3 ;er une véritable lutte pour s'emparer du forcené, I*e» Sociétés d'Eclairage Electrique n'ont subi f o u r le» conditions d'admission, consulter l e s fi • "Il I T ( V i c t o r V a l s t d a r grève. t leur fallut ligoter Laurence et le mettre sur une crie des modifications insignifiantes. affiches. Cet état devra mentionner les n o m s et prénoms charrette à bras pour le conduire au poste de p o L'action O.nnibus n'a pas varié. I A dîmin'itlon* 0,75 le pain des bénéficiaires, leur domicile, leurs étais d e lice. des receltes est de pré» de rvnze <vnt mille france famille, la date et l e s causes de leur renvoi, ainsi Ecole professionnelle cTArmentières du 1er janvier au 20 mai. I.a Compagnie a présenté La gendarmerie l'a conduit ce matin à Bethune, que la o u les s o m m e s qui leur ont été pesasses. é I'administrs'ion préfectorale un pro>et de "relia" a u x tins d e poursuites correctionnelles. QUEL E S T L E POIDS D'UNE LIVRE D E La commission de contrôle espère q u e le» ciformation de 30 lignes de tramways en tracMif» VOIES DE FAIT. — Contravention pour voies d e BEURRE ? — M. Haye F e n i a n d , cultivateur a toyens investis des fonctions de secrétaire, ou d e électrique avec fil aériecc. Elle propose e n :>i Ire A L'ECOLE NATIONALE PROFESSIONNELLE. fait réciproques a été dressée contre les n o m m é s Grougis, le 30 mars dernier, envoyait sur le marprésidents, s e feront un devoir de l'aider dans sa — Des modifications très importantes ont é t é a p quatre lignes nouvelles avec même mode Je lrae-i -Victor MiaraacqueL menuisier, et Auguste Bobeuf, ché de Bohain. un de ses domestiques pour y ventache qui eoasests a établir un état général dé bon. portées a u x coriuiUons d'admission des élevés. maréchal-ferranl, domicilias tous les d e u x a Lens. dre s e s produits entr'autres d e s pièces de beurre. liant toute critique. l e s valeurs de cuivre n'ont pas en de variatl-ma I. Conditions daae. — Un arrêté de M. le miLA JOURNEE DES COUPS DE TETE. — Un InLes morceaux, il en avait la certitude, pesaient prière d être diligent. bien sensibles, serif en ce gui concerne le f*Jo. '.ee nistre du commerce et de l'Uiduslrie e n date du L a c o n s t i p a t i o n e s t produite p a r des c a i ï e s dividu n o m m é Chanes-Oscar Priem. 44 a n s , ter- £50 grammes. Et pourtant M. le commissaire e n mouvements de la cote du cuivre qui s e - hilTrent Ï5 avrit 1903 a modifié de la façon suivante l e s d i v e r s e s : v i e s é d e n t a i r e , m a l a d i e s d e l ' e s t o - par rassier ayant provoqué du scandale d a n s réta- ayant pesé neuf, e n trouva trois auxquels il manplus d'une livre par jour ont provi^ué H T conditions d'ûge exigées d e s candidats a l'école. m a c et d e s i n t e s t i n s , affections d e s centrer blissement Tantôt, situé s u r l a Orand'Place, l'a- quait l o g r a m m e s , 5 grammes et 4 g r a m m e s , soit notre marché de grosses venles pour compte d e • Nul n'est admis a concourir, s'il n est Français en tout 19 g r a m m e s . g e n t Covillers inter\int pour verbaliser. n e r v e u x , e t c . Elle e s t c a r a c t é r i s é e p a r l'inter- Londres et de N e w York, découragé les p o r f e i r s , et s'il n e justifie qu'il aura douze a n s au moins et Il dressa procès-verbal._A la barre M. Haye pro v a l l e s o u v e n t très I o n s entre l e s d é f é c a t i o n s ; ci amené un recul tre= accentué de celte valeur. Mais c était la jouruée d e s coups de tête. Comquinze a n s a u plus au 1" octobre de l'année du teste qu'il a bien mis leo poids ii s e s demi-livres de me s o n collègue Becquet. l'agent requis fut frappé beurre. concours. Aucune dispense d'âge n e peut être ac- elle s ' a c c o m p a g n e d e c o l i q u e s , d e p e s a n t e u r , On parle aussi de la découverte au Pérou d'un» voiiu, il s a g i s s a i t de beurre salé. de bouffées d e chaleur, d e d o u l e u r s d e têt?, e t c . mine de enivre d'une grande richesse. Viuieuuneut a la h g u i e par l e terrassier qui s a - C'est unMais AUX MINES DE LENS. — Fosse numéro ». — cordée. » fait avéré que le beurre s a l é perd de s o n Le groupe d e s Valeurs de Transports MarW-* lait précipité sur lui tète baissée. Eu conséquence, tous les jeunes g e n s ont, désorO n a v a n t é c o n t r e Ja c o n s t i p a t i o n 'ine fo-jle mes Le délégué Hruvost a dressé le rapport suivant : poids par l'évaporatron.. n e manifeste aucune tendance » s e relever d * . En outre Prient qui connaît la savate et l a boxe de r e m è d e s qui n'ont d o n n é j u s q u ' i l q u e «les la chute qui l'a atteint. Bien au contraire, t o v l e e Descendu le 2? mai a u 1er étage pour taire m a mais, l a facilité de se présenter trois luis au conEt d'ailleurs, le gain dont aurait bénéficié M. gratifia Covillers de quelques coups de choix. visite réglementaire, j ai constaté et relaté c e qui cours d'admission à l'Ecole. résultats p a s s a g e r s o u i n s u f f i s a n t s ; ' e s p u r g a - c e s valeurs semblent disposées à fléchir encore, Haye s'élèverait en tout à environ cinq centimes. II. Seclwn préparatoire. — Afin de faciliter aux Le terrassier a mis tout le monde e n émoi. Il a Le tribunal renvoie le prévenu des lins de la suit : tifs q u e Ton e m p l o i e s o u v e n t l ' a u g m e n t e n t e t les unes parce qu'elles valent encore moins q u e été conduit a la prison de Béthune. « Je m e suis rendu à la veine Arago. J'ai remar- candidats a l'Ecoie leur préparation a u concours î a g g r a v e n t a u lieu d e l a combattre. poursuite. les bas cours actuellement cotés, les autres a&rcm que d o n s ia voie nssnéro ïtU il lait fort mau- d entrée, une section préparatoire a été annexée 4 ACTE DE PROBITE.— La jeune Marthe Lacour, qu'elles ne peuvent réagir contre l'état général d e ECHANGE D E COUPS. — L'autre jour, deux qué t'étaJMissement. Elle fonctionnera régulièrement L e seul r e m è d e rationnel et r é e l l e m e n t effivais, faute d'air. Entre | a taille numéro 1201 et la figée de 11 a n s . orpheline, demeurant chez M. jeunes gens des environs, Capron et Benicourt, marché, fi ne paraît pas probable que les assemtaille numéro 1Î52 il n'v a p a s de châssis de re- a partir de l'année scolaire 19o3 19U4 et recevra c a c e contre cette m a l a d i e e s t l'emploi régulier blées des Messageries et de la Transatlantique qui Louis Lecoq, poèlier, rue du Champ-de-Mars, a s'attaquaient, sans rnotrf, au n o m m é Lavallée. des étêves externes et des élèves internes. Le prix tour, i'air ne peut circuler. des Pilule» d u D o c t e u r Borner, q u i , à la d o s e vont avoir n'eu amènent aucun changement favo» trouvé sur la place du Cantin un porlemonnaie Luvui.ee dit q u i l eu a é t é maïadè plusieurs J'ai remarqué aussi que dans la voie numéro de la pension, pour ces derniers, est tixé à bon Ir. d'une o u d e u x a c h a q u e r e p a s , favorisent puis- rnple. L'assemblée générale de la Compagnie contenant une certaine s o m m e . Elle l'a aussitôt jours. 1179. entre le numéro 1101 et l e numéro l l l u U y a par an. Les jeunes g e n s y seront revus sans coudi- s a m m e n t l'élimination d e s r é s i d u s d e la nutri- Transatlantique qui avait éfé convoquée pour le déposé au couunlssariat. Benicourt nie. un plan Incline et qu'en haut de ce plan incliné U tiutis d'àye dans ia limite d e s places disponibles. tion, et a m è n e n t p r o m p t e m e n t l a r é g u l a n t e 30 m a l a dû être renvoyée au 20 juin, par suite d n NOS MUSICIENS A CHATEAUDUN. — La F a n 25 francs d'amende à Benicourt e t à Capron. III. Penmon. — Aux termes d'un arrêté minisnombre Insuffisant des litres déposés. Des compy a une voie de prise de chaque coie. avec 5 mètres fare ouvrière municipale de l.ens vient de remHISTOIRE D E VIGNES. — Leièvre Arthur, 55 de lond et qu'on remplit les j mètres s a n s laisser tériel daté du 16 février 19U3. le prix de la pension d a n s l e s f o n c t i o n s d e l ' e s t o m a c e t d e s intes- tes qui seront présentés r> celle réunion 11 ressort tins. porter, a u concours national de musique de Ctiâ- ans, n'est certes p a s un Ivrogne. L'autre soir, un châssis dans l e fond pour servir de retour dans les Ecoles nationa.es professronneiles, e s t , à ne l'exercice 1905 se solde par un bénéfice d e teaudun u n éclatant succès. il s e trouvait pompette, et m a Toi, laissait parler et qu en surplus il y manque d'air. l'avenir. Ilxé de la manière suivante : fiW.931 fr. contre 2.9*9.563 fr. e n 1901. Cette améL e s Plluloo d u D o c t e u r S o m e r s e v e n d e n t N o s prévisions s e sont réalisées. La Fanfare a son vin d'une façon quelque peu turbulente. première année internat, 500 fr. ; 1/2 pension d a n s t o u t e s l e s b o n n e s p h a r m a c i e s 2 fr. l'étui lioration orovfenf notamment d'une augmentation J'ai remarqué aussi q u p n c o m m e n c e une taiile remporte tous les premiers prix de la première diSurvient l'agent Ilennet qui l'Invite a se taire et dans le retour du 1115, qu'il y manque d'air, ainsi Î50 fr. — 2e année 550 fr. ; 275 fr. — 3e et 4e an- c o n t e n a n t l e s p i l u l e s et l e m o d e d'emploi. S i de 2.1W .000 fr. des produits bruts et d'économies vision où elle concourrait, c'est-è-dlre le 1er prix lui dresse procès-verbal. sérieuses réalisées sur les Irais généraux et ceu» nées, section normale 550 fr. ; 275 fr. ; secUon spé- v o u s n'en trouver p a s chez votre pharmacien que dans le retour m ê m e . des agences qui ton! ressortir une diminution d« dé lecture a v u e , le 1er prix d'exécution et le 1er A la taille numéro» 1255,1231 e t 1236 il manque ciale 6UQ fr. ; 300 fr. — Ainsi, demande M. l e Président & Lefèvre, prix d'honneur avec iéhcitauons du jury. Cette s o m m e est payable en trois termes et d'a- ou si Ton v o u s offre u n autre produit soi-disant 543.742 fr. Il n'en subsiste pas moins que ITnc-usde remblais. vous étiez ivre î s e m b l a b l e , n.'hésitez p a s ; p o u r assurer wotro trie des transports maritimes continue il souffrir de La réception de la Fanfare ouvrière municipale vance, d a n s les d i x premiers jours de chaque terHenri PRUVOST, — Oh ! M'sieu le Président.ça ne m'arrive jamais reste hxêe a ce soir, cinq heures. Toutes 1 l e s so- Vous n e m'avez jamais vu saoul I g u é r . s o n , e n v o y e z 2 fr. e n m a n d a t ou t i m b r e s - \n baisse persistante des frets et de le cherté du me, savoir : délégué mineur. ciétés musicales du canton sont convoquées. Le p o s t e à M. A c h . D E R O U B A I X , p h a r m a c i e n à charbon. Aussi le Conseil ne proposera pas de Octobre : 3T0 : Janvier : 3/10 : Avril : 4/10. Et Lefèvre attrape 25 francs d'amende. AUX MINES D E CARVIN. — Fosse miméro S. distribution de dividende. Les bénéfice* seron* apcortège s e formera dans la cour de la gare avec, Toute famille ayant plusieurs enfants pension- R o u b a i x ( N o r d ) ( a n c i e n n e m a i s o n B o y a v a l ) , pliqués en amortissements du matériel naval pout ENCORE UN POCHARD. — Du moins C l'a été. — Hier vers 1 heure et demie du soir, j'ai été préa n tête, le Conseil municipal et la Compagnie des q u i v o u s a d r e s s e r a i m m é d i a t e m e n t franco u n naires ou demi pensionnaires dans la même Ecoune s o m m e de 5.595.931 fr. et des frais de p:emief venu p a r les exploitants, qu'un accident grave C'est Bocheux. de Neuvillette. Et comme il a le pompiers de Lens. étui d e s véritables P i l u l e s d u l e peut obtenir une réduclion du prix de la penétablissement pour 85.000 fr. s'était produit a la fosse numéro 3 des mines de vin gai. il chantait dans les rues du village, mais La manifestation sera grandiose et imposante, du plus jeune, lorsqu'elle e n fait la demande comme il convient a u x vaillants instrumentksles d'une façon si bruyante que le garde vint le prier Carvin. Que le n o m m é Masson Henri occupé com- sion I-es Mines d'Or o n t élé faibles et lourdes. EB a M. le ministre. me moulineur en haut du puits Ste-liurbe était oui depuis des mois, o n t travaillé avec ardeur de s e taire. fin de semaine elles regagnent une fraction. Dan» Cette réduction qui est inscrite a u n o m d u plus Ça n e plut pas d Bocheux, qui e n v o y a l'agent de tombé au fond du puits, d'une profondeur de quap o u r soutenir leur vieille réputalion. les milieux financiers de Londres on considère rante et un mètres et s'était tué s u r l e coup. A ia jeune des enfants est établie sur la base suivante : A la mairie de Lens. le citoyen Basly maire et l'autorité s e promener. que l'importation de la main-d'œuvre asiatique finir V En c a s d e deux Irères. 1,8 de lenseMible de» — Il vous a injurié, demande M. l e Président hâte je m e suis rendu sur l e s lieux d e l'accident. député recevre l a Fanfare municipale. Les présira par être autorisée en l'entourant de conditions En euel. j'ai constaté que Henri Masson était bien pensions et l / l pensions à l a rharge de la famille : dents des sociétés sont invités a n e remettre leurs au garde ? telles que le petit commerce local n'aura pas » re"'te. r*K des ouTrters syndlîr En c a s de trois Irères. 1.6 des mêmes frais, tombé dans le puits ; m a i s j'ai remarqué que le bouquets qu'il Hlôtel-de-Ville. au moment de la — Oui. M. l e Président. • Linotypes • W al ter Behrens. douter les dangers quil entrevoit. Les Asiatique» La même réduction peut-être accordée aux étaNous rendrons compte demain de cette réception A la barre. Bocheux affirme que c e n'est p a s lui bois 1 de support maintenant les barrières de ce seraient employés uniquement a u x travaux dee . rue Réaumur, Paris. nui restera un événement pour la ville de Lens. chemins de fer et des roules, ce qui permettrait d e qui faisait d|. tapage, m a i s u n camarade. Lui, & pulls étaient en très mauvais état attendu que l'y blissements et sociétés qui entretiennent des bourImprimé m r rotative Derrley à 4 et S pages MONTICNY-EN-COHELLE rendre libres pour Je travail des mines environ ce moment la était e n train d e rendre.... des ai remarqué d e s nouveaux coins pour le main- s e s dans les Ecoles nationales professionnelles tenir. au profit des enfants de leurs employés. Elle est ÏO.OnO indigènes actuellement occupés h c e s tter ENTERREMENT CIVIL. — Vendredi dernier comptes derrière un m u r Lille. 44. Rue de_B«tt>a»e Aussitôt m a remonte, je m e suis rendu auprès de l i ^ j o u r chaque boursier, .orsque le nombre —- publics. q u i e u lieu, dans notre c o m m u n e , les funérailles Le tribunal n'admet p a s l'explication, e t conLe Gérant Jean PIOTEDC. damne Bocheux en des amendes de 5 0 , 1 1 e t 5 tr. de s o n camarade de travail, le n o m m é Desprez des bourses entretenues e s t a u moins égal a 5. civiles du jeune Duquenne. Une affluence considérable de citoyens et citoyennes suivait le cortège du malheureux enfant, mort dans les circonstanc e s que l'on sait, trompant fatalement la surveillance d e s e s parents, navre* de l a perte de leur aller enfant. Le maire, entouré d'une partie d e s conseillers municipaux,, a été rémarqué suivant le cortège. Au cimetière, un magnlhque discours a été prononcé p a r te délégué de la Libi-e-Pensée « Les Enfanta d'Etienne Uolet > d'Hénin-Lietard. La texte d e c e discours, que nous a v o n s le regret de ne pouvoir reproduire in-extenso. rappelle les aoius constants dont le malheureux Duquenne lut l'objet depuis s a naissance, et maudit lu lataiiie d'un instant qui a été 'cause de l'accident irréparable. A la sortie d u cimetière, une collecte a été latte a u bénéfice des parents, qui sont, comme beaucoup de pauvres ouvriers, dans u n besoin .•numentan.. Nous adressons au citoyen Duquenne et à s o n épouse n o s seutuuents de condoléances. 6ociélé rtf.ni r.rT , ~ - t l *» i e s promoteurs ue la I W r i c t t a a SSlAïta? v ? u l . e n l b i e » « u n e U r T a u e NOS PRIMES COUTEAUX! Chronique Financière CHRONIQUE des SPORTS Le syndicat central des Pêcheurt Tribune Minière A . I S £ST TRIBUN Xâ f k m princesse b M e j w°-»r?»? * Tribunal correctionnel de Saiflt-Çwntifl LA CONSTIPATION Rapports des délégués mineurs Savon Paris-Ménage pour linge et laine r i b l e u r s et d e t r u a n d s q u e v o u s ê t e s ; d e q u e l fnfer sortez-vous ? — E t toi, m o i n e b a r b u 7 i n t e r r o g e a i e n t l e s «ompagnons. Ils n'eurent point le t e m p s d'engager u n e l o n g u e conversation ; d e s vociférations éclat è r e n t v e r s l e cloître. — P a r ici ! s u i v e z - m o i , d i t l e c h a f o u r n i e r . I l s s u i v i r e n t e n c o u r a n t l'allée s o m b r e q u i eonduisait à la trouée s o u s l e s ronces et l e s o r t i e s . P i e r r e le V i e i l p a s s a l e p r e m i e r , l e » d e u x c o m p a g n o n s s e faufilèrent a p r è s lui. Ils longèrent u n fossé à s e c et se trouvèrent bientôt à la lisière d u m a r a i s d e s P â tures. L e chaufournier s'arrêta. — R e s t e z ici, d a n s d e u x m i n u t e s j e sifflerai, ce s e r a le s i g n a l d u r a s s e m b l e m e n t . — B o n ! b o n ! l'apôtre, n o u s o b é i s s o n s . Le chaufournier se glissa entre les roseaux e t rejoignit près d u tertre le chevalier Ftoiizonne. Celui-ci, l e d o s t o u r n é v e r s l a j e u n e fiUe, m é d i t a i t la tète d a n s s e s m a i n s . . P a r u n e d i s c r è t e a t t e n t i o n , 11 n ' a v a i t p a » Voulu g ê n e r l'enfant d e s e s r e g a r d s . A u b r u i t q u e lit l e c h a u f o u r n i e r e n a p p r o Ichant, il s e d r e s s a b r u s q u e m e n t : — A h 1 c'est toi, m o n b r a v e a m i . J ' é t a i s epriet pour t a v i e . E t , p l u s b a s , il a j o u t a : N o t r e tftche s e c o m p l i q u e , c o m p a g n o n , p r é s e n c e d e c e t f e p a u v r e petite n o u s i m s e de lourdes c h a r g e s e t de g r a v e s respon.bililés. » La j e u n e fille e n t e n d i t s a n s d o u t e l e s p a r o du chevalier ; d e s l a r m e s douloureuse» tinrent soudain de s e s v e u x . Elle s e tourna snpplianre v e r s Florizonne : _ O h I n e m a b a n d o n n e z p a s . j e v o u s prie, m v e z - m o i . j e s u i s forte, j e n'*i p a s p e u r , «ai partout a v e c v o u s . \*e c r a i g n e z r i e n , m o n e n f a n t , v o u s ê t e » Àm s o u s notre garde e t n o u s défendrons votre Quelques cailles attardées caquetaient dans vie jusqu'à la mort. » l'épaisseur d e a herbes. • La nuit venait. L*? c h a u f o u r n i e r a v a i t d é p l i é s o n p a q u e t . - — T î é l a s ! m a d e m o i s e l l e , dit-il e n s o u r i a n t , L e beffroi s e d é c o u p a i t t o u t n o i r s u r l e c i e l je n ' a i p u t r o u v e r q u e c e s d é f r o q u e s . C e l a p â l e o ù p o i n t a i e n t d é j à d e s é t o i l e s . ne v o u s c h a n g e r a g u è r e , c'est jupon pour A l'Occident, l a l i g n e v i o l e t t e d e s b o i s é l a i t jupon. » f r a n g é e d e l'or d u s o l e i l c o u c h a n t . U n e buée légère monta d e s prairies et d e s L a j e u n e fille s e m i t à r i r e . S o u s l e s Tèvres r o s e s , s e s p e t i t e s d e n t s e a u x , g a z a n t l e s c h o s e s d ' u n v o i l e d e p é nombre . blanches et perlées apparurent. V e r s l a ville, u n e sourde r u m e n » grondait. Elle p a s s a la robe noire d e l'augustin. P a r f o i s , u n c r i p l u s p e r ç a n t d ' a n g o i s s e et — A v o t r e tour, s e i g n e u r c h e v a l i e r , d i t de douleur parvenait jusqu'au marais. Pierre le Vieil. On entendait à t r a v e r s la r u e d u B r u s l e — Ton idée est géniale, compagnon, voilà qui v a j o l i m e n t n o u s a r r a n g e r p o u r p a s s e r l e s l o u r d e s c h e v a u c h é e s d e s r e l t r e s g a l o p a n t vers la Orand'Place. s a n s être g ê n é s . » Le chaufournier a v a n ç a u n morceau de Au bout d e la r u e d u Crachet, u n e b a n d e pain et u n quartier d e f r o m a g e v e r s l a j e u n e de l a n s q u e n e t s apparut p o u s s a n t d e v a n t elle mie. u n troupeau d e f e m m e s , d'enfants e t d ' é c l o — M a n g e z toujours, m a d e m o i s e l l e , l a tabie pés. n'est g u è r e garnie, m a i s p l u s tard n o u s n o u s Leurs vociférations gutturales montaient rattraperons. v e r s 1» ciel. E t s a d r e s s a n t a u c h e v a l i e r il d i t : Arrivés près du ponceau de l a Bèque, i l s — J'ai l à d e u x a m i s q u i d e m a n d e n t à ê t r e a c t i v è r e n t l e u r a l l u r e , e t l a l a n c e e n a v a n t a d m i s d a n s notre charmante compagnie. ils poussaient leurs victimes v e r s la rivière, — Introduis-les, m o n cher, qu'ils soient profonde e n c e t endroit d e plus d e d i x pieds. les bienvenus. » I l s riaient d ' u n r i r e f é r o c e e t s a u v a g e . L e c h a u f o u r n i e r siffla e n t r e s e s d e n t s , ImiD u m a r a i s l'on e n t e n d a i t l e b r u i t d e l a t a n t l e c h a n t n o c t u r n e d u v e r d i a r d e b u i s - c h u t e d e s c o r p s d a n s l'eau, l e s c r i s d ' é p o u sons. vante coupés par la suffocation soudaine. Le grand Platel s ' a v a n ç a a r m é d e s a lonLes conjurés s e regardèrent. Ils étaient g u e faux, suivi d e Dauchi traînant la jambe. pâles d e rage et d e douleur contenues. Ils s'inclinèrent profondément. Mais que pouvaient-ils e u x quatre contre — A h ç a ! dit Mahieu Platel, c'est donc cette cohua. de trente à q u a r a n t e b a n d i t s ? « n e r é u n i o n d u chapitre ici. » L o n g t e m p s la n o y a d e affreuse continua. Las n o u v e a u x v e n u s s'accroupirent d a n s L e soleil s'était c o u c h é . les hautes herbes. U n e b a n d e m i n c e et pAJe é c l a i r a i t e n c o r e L e s o l e i l s e c o u c h a i t d a n s l a p o u r p r e s a n - l a l i a n e s o m b r e d a la foret. g l a n t e d u soir. L a D n s e c r é p u s c u l a i r e faisait — Voici l e m o m e n t p r o p i c e , d i t à v o i x b a s s e ondoyer les roseaux. le c h e v a l i e r , n o u s a l l o n s s u i v r e l a v o i e s o u L e s o i s e a u x s e taisaient d a n s l e s fourrés. terraine, c'est la plus sûre, elle n o u s permetS e u l s d e s c o r b e a u x a t t i r é s p a r l a t u e r i e tra d e t r a v e r s e r l a v i l l e e t d e r e j o i n d r e p r è s croassaient e n p a s s a n t a u - d e s s u s d u m a r a i s . i d u jardin d e s Arquebusier» l e bastion d e i a t o u r Corbel. Il s e r a i t d a n g e r e u x d e n o u s m o n t r e r e n g r o u p e a u s s i v i s i b l e . P i e r r e l e V i e i l et m o n c o m p a g n o n , ajouta le c h e v a l i e r e n souriant v e r s la j e u n e tille m é c o n n a i s s a b l e s o u s s a robe d'augustin, resteront avec moi. Vous, D a u c h i e t Platel, v o u s n o u s sitivre» à distance, e t surtout s o y e z s u r v o s gardes. » L e s fugitifs s e g l i s s è r e n t p a r l'étroite o u verture et s e t r o u v è r e n t d a n s le b o y a u qui conduisait à la crypte d e Saint-Vaast. — C'est l e défilé d ' E n f e r , d i t e n r i a n t M a h i e u Platel. » Ils passèrent près du sarcophage d e 1 abbé Angilbert, e t t o u r n a n t à droite i l s s e dirig è r e n t v i i r s l'allée d u j a r d i n d e s A r q u e b u siers. — N o u s s o m m e s , e n c e m o m e n t , dit F l o rizonne, s o u s l a r u e d e l'Atre, à d i x b r a s s e s d e profondeur. N o u s a l l o n s v e r s l a rue d e Glatignv. D a n s t r o i s m i n u t e s n o u s s e r o n s s o u s la" r u e d u P l a t , p r è s d e s p r a i r i e s d e l a Bouvaque. L e couloir s e r é t r é c i s s a i t d e p l u s e n p l u s , d e s pierres t o m b é e s de l a v o û t e fermiSent e n plusieurs endroits le p a s s a g e . Enfin ils s e t r o u v è r e n t d a n s l e c u l - d e - b a s s e f o s s e , près d u p i g n o n o ù l e m a t i n P i e r r e l e V i e i l et l e c h e v a l i e r s ' é t a i e n t r é f u g i é s . L e e c h a u m i n e s d e l a r u e d u Plat n'étaient p l u s qu'un a m a s d e c e n d r e s f u m a n t e s . L» Gai C h a u f o u r n i e r s e h i s s a j u s q u ' à l'orifice et t e n d a n t s o n bran p u i s s a n t v e r s l a j e u n e fil'e- il l ' é l e v a j u s q u ' à ltH. L e s fugitifs s e c o n c e r t è r e n t m a s q u é s p a r l'ombre des a r b r e s d u jardin. L e ciel s a n s l u n e é t a i t c o n s t e l l é d ' i n n o m b r a b l e s points d'or. L e s ténèbres étaient é p a i s s e s . P a s s e z e n a v a n t , dit. l e c h e v a l i e r , v o i c i , compagnon T o u s s a i n t , l a clef d u b a s t i o n d e l a t o u r Corbel. V o u s o u v r i r e z la p o r t e q u i s e tcouKe e n b a s d e l a c o u r t i n e , p r è s d e l a t r a n - chée. V o u s suivrez l e c h e m i n d e ronde intérieur. N o u s v o u s a t t e n d r o n s t o u s t r o i s s u r le r e m p a r t . L e b a s t i o n e s t d é s e r t , j ' e n s u i s a s s u r é , v o u s n ' a v e z r i e n à c r a i n d r e . >• M a h i e u P l a t e l et T o u s s a i n t D a u c h i s ' e n f o n c è i rit d a n s l ' o m b r e , l'œil a u g u e t . CHAPITRE X X X L e bastion de la lotir C o r b e l V e r s l a fin d u X V T s i è c l e , l e s i n g é n i e u r s militaires entouraient les villes de ceintures de fortiiicutions c a p a b l e s d e r é s i s t e r a u x é p r e u v e s d e l'artillerie. L e s b a s t i o n s é t a i e n t des ouvrages saillants destinés à llanquer l e s e n c e i n t e s e t à e m p ê c h e r l ' a p p r o c h e d e l'ennemi, par d e s feux croisés. L e b a s t i o n d e l a t o u r C o r b e l d a t a i t d u XVT» s i è c l e . Il a v a i t é t é c o n s t r u i t e n d e h o r s d e l a porte d ' A r r a s , d a n s l a d i r e c t i o n d u p o n c h e l d e la V i g n e . C était u n vieil édifice d e p i e r r e t o m b é e n ruines. En 15^.", le m a g i s t r a t d ' A r m e n t i è r e s 1 a v a i t fait g a r n i r d e t e r r e g a z o n n é e e t r e v ê t i r d e s o u b a s s e m e n t s e n maçonnerie dure. L a t o u r Corbel étnit c r é n e l é e e t s i x b o u c h e s à feu c o m m a n d a i e n t l e s f o s s é s p a r - d e l à la contrescarpe v e r s la porto d'Houplines et v e r s l a porte d'Arras. Le s i g n o r A n t o n i o s'était accroupi a u pied du b a s t i o n à q u e l q u e s p n s d e s c h e v a u x . Il y a v a i t p r è s d ' u n e h e u r e q u e le g r o s prieur l'avait quitté et il c o m m e n ç a i t à s'impatienter. — F i g l i o di p o r c o , g r o n d a i t - i l , il perd s a n s d o u t e s o n t e m p s à b r i f f a u d e r e t à ribler d a n s q u e l q u e t a v e r n e . >> Il s e l e v a et s e m i t à c i r c u l e r l e l o n g d e l a c u n e t l e qui bordait te b a s t i o n . Ce r e l a r d l e r e n d a i t n e r v e u x . — C'est qu a est encore capable, le truand. de filer avec l'argent de la belle. C'est cela qui me r e n d r a i t ridicule, p a r e x e m p t e , a u p r è s de messire T o m a s Armenteros. » Il r e s t a u n m o m e n t s i l e n c i e u x . P u i s , il c o n t i n u a e n t r e s e s d e n t s c o m m e ) se répondant.à lui-même : — « L e Barbier de M a d a m e » s e pique l e s doigts. Il veut prendre la r a n ç o n et garder la p e t i t e p o u r s e s m e n u s p l a i s i r s . I l n e s a i t pas utiliser s e s atouts. J e n e s a i s p a s , m a i s o n dirait q u e c e t f e histoire v a m a l tourner. J'en suis p r e s q u e à regretter d e n'avoir point suivi N o i r c a r m e s et K a s s e n g h i e n . J ' a u r a i s e u , a u m o i n s , n u » part d a n s l a c u r é e . . . m Il s'arrêta. — E n f i n . . . soupira-t-il, q u e l e d i a b l e n o s s i protège I » U n b r u i t d a n s l ' o m b r e l e fit t r e s s a i l l i r . H s e colla c o n t r e la m u r a i l l e d u b a s t i o n e t sondai de s e s y e u x p e r ç a n t s l e s t é n è b r e s . D e u x ' h o m m e s chuchotaient à voix b a s a * p r è s d e l u i . a u - d e s s u s d e la c o u r t i n e . — P a r ici, P l a t e l . d i s a i t l ' u n , je c r o i s que) c'est p a r ici, l a p o r t e e s t là, à g a u c h e . » L e s i g n o r A n t o n i o t e n d i t l'oreille. — Q u e v i e n n e n t d o n c faire d a n s c e t t e sOIP tude c e s deux c h e r c h e u r s d'aventure, m w mura-t-il. U n e porte g r i n ç a s u r s e s g o n d s . D a n s l e b a s t i o n , o n e n t e n d i t u n b r o H ê» v o i x ef d e p a s . U n e c o r d e s e d é r o u l a l e n t e m e n t p a r la» meurtrière de la muraille et vtat toucher l'épaule d u rettre d a n s l e f o s s é . — T i e n s , q u ' e s t - c e q u e c e l a 1 dit-il k v o l a basse. D a n s l e b a s t i o n l e b r u i t s'était t u . L e s nota» m e s s'étaient éloignés. — Cette eordp m ' i n t r i g u e , d i t A n t o n i o . E l il d o n n a u n e forte s a c c a d e a u c a b l e . — Ca lient ferma, pensa-t-iL.. UkÊÈÊÊÊi