Download Le Moniteur d`Issoire 1883-01-03 page 02

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JVJLoiiite u r
Par arrêté du 30 décemb.e, M. le Miaistrc a
fixé ainsi qu'il suit les date.» •!•>* examens du bre.vot
de
c a p a c i t é : • •' . k > ,-.
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Asprrdnli.it
Brevet élémentaire, o mars 1883.
Brevet, supérieur, 'l'2m;its. ; . . ,
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:
Aspirant!
.
Brevet élémentaire, 19 mars.
Brevet supérieur, Lundi, 2 avril.
'•
IPïiÏDlioatïons de
M; Lizet. receveur de l'enregistrement à Noirétable (Loire) est nommé en la même qualité à
Sauxillanges (Puy-de-Dôme).
•
. Un .grand concours agricole et horticole sera tenu
à Riom du 22 au 26 août 1883.
Lo ministre de la..guerre vient de décider que
les jeunes soldats de la deuxième portion de la
classe de 1880, qui ont été maintenus sous; les
drapeaux comme illettrés et qui ont tmiu une bonne
conduite, seront renvoyés en .disponibilité dans leurs
foyers à partir du 31 décembre dernier.
CIVIL
DE LA VILLE D'ISSOIRE
:
NAISSANCES :
.
•
.
.
MAKUGFS:
Néant.
:,
DÉCÈS :
Du Dimanche SI Décembre >1S82.
M. Brun, Jean, cultivateur, à Issoire, fil Mlle Marrot,
Amélie, 'taillcuse,' à Issoiro.
M. Buisson, Antoine, menuisier, à Champoix, et
Mlle Brun, Jeanne, tailleuse, à'Issoire.
M. Robert, Antoine, cultivateur, au Mas, commune
d'Issoire, et Mlle Rodier, Anne, sans prof, aux Pageix,
'commune de St-Babel.
M. Fabre, Jean, cultivateur, à Issoire, et Mlle Barel,
Catherine, sans prof., à Issoire.
"On n'ahusu guère do la publicité quand i! s'agit de
répandre des bienfaits."—LA ROCUEFOUCAULT.
SANTE A TOUS ADULTES ET ENFANTS
. .
.
Brigat, Mariette-Anna, 10 ans, d'Issoire. Y . "
Sauvadet, Eugène, 2 mois 1/2, d'Issoire.
Jury, Bernard, 79 ans, rentier, d'Ussel (Cantal), époux
de dama Bardon, Jeanne.
;
Bugette, Marie, 75 ans 10 mois, propriétaire, d'Issoire,
veuve de Aguillon, Barthélémy.
Vidal, Antoine, 80 ans, cultivateur, de St-Babel, veuf
de Champek, Michelle,
Védrine Benoit, 3 mois 12 jours, d'Issoire.
Descours, Adolphe-Adrien, 3 ans 2 mois, d'Is.soiro.
Diuert, Jean, 71 ans 3 mois, prop.-cult. époux de daine
Laq.'iil. Anne.
Nicolas, Barthélémy, 71 ans 10 mois, prop.-cult., d'Issoire.
PaultU, PIOITO, 8 ans 0 mois, d'Issoire.
Tauzia de Lospin, Guillaume,-74 ans 4 mois, officier de
gendarmerie en retraite, jfe, do Peyrusse-Grande (Uors),
époux de Ronchon, Jeanne.
tout ce qu'il y <) de plus méritoire? et m'empêcherezvous, bellissima Fraschina, de vous entourer de ce
culte respectueux? Ah! je voudrais être poète, pour
TOUS exprimer brillamment lo charme que j'éprouve
quand vous m'apparaissez... Mais, non; vous croiriez
que je cherche à vous parler d'amour, quand je n'aurais
sur les lèvres que le langage d'un humble serviteur,
d'un serviteur ébloui.
'
— Ah! signor Andréa,, vous mettez bien à profit
l'absence de Menico.,. Tenez, revenons à lui. Je m'aperçois qu'il ne rentro pas?
— Je croyais à un retour plus prompt.
-— Vous ne sembloz point trop fâché de vous être
trojnpé.
— Le pourmis-je, devant l'agrément de votre présence?
— Vous jouez l.'i au berger galant...
Andréa comprit l'allusion, mais no s'en blossa point.
— Au nom de votre amitié pour Menico, je vous pardonne ce jeu. Mais «l'agrément» va prendre fin. Menico
tarde... Je reviendrai.
— Voilà ma sentence! C'est dire que vous partez.
— Non seulement le dire, siguor...
— &nis lo mettre h exécution, cara crudela !.'..
— Je regrette le déplaisir.
, •
— Il est grand.
• '
; .•
— Vous m'aurez bientôt assez revue.
— Jamais, belle étoile de mes yeux! Et pourtant il
souffre beaucoup, celui quj 'vous voit en étant forcé do
ne point vous... .
Fraschina, en fille habile, pressentait la finale. Elle
ce voulait point l'entendre. Elle l'arrête net, et la renfonce dans la bouche du causeur :
— Addio, signor! lui jette-t-elle précipitamment.
« — O bella!...
addio!
— Ayez la bonté de dire à Menico que je l'ai attendu,
do 4 , 7 , 1 6 e t 3 6 fr. — Envoi franco dans tout es
les Gai'os contre bon de poste.—Dépôt à IssoinE, ch c z
MM. V. MARMET, pharmacien et CLADIERE, épicier,
v
et partout chez les bons pharmaciens et épiciers.—"Dp
BAWIY et C° (limitod) 8 , rue Castigliono. Paris.
fftre
VOUS NE TOUSSEREZ PLUS
Sî vous sucez quelques bonbons au goudron du D r
G r a m o n t . D'un goût agréable en fondant à la bouche
ils portent do suite l'arôme précieux du goudron de Norwège sur les bronches et les poumons, ils facilitent l'expectoration et calment de suite la T o u x en rendant la voix
ot la respiration. Lo goudron do Nonvège est reconnu
comme le seul régénérateur dos poumons; pris au début,
il triomphe de la phthisio. Par le passé on buvait de l'eau
de gouJron à table, mais lo goût répugnait, on fait depuis
quelque temps des capsules où on a masqué la saveur du
goudron par une enveloppe dure de gélatine; ici l'inconvénient est grand, car la gélatine ne se dissout que
très-lentement ot le goudron tant qu'il os't' enfermé rno peut
agir comme calmant, lo bonbon au goudron du D G r a m o n t font de suite dans la bouche, l'expectoration qu'il
produit l'ait cesser la toux instantanément.—Prix: la boîte,
1 fr. 75; 1/3, I fr., envoi parla poste contre mandat ou
timbres, 30c. en sus.—Députa Issoire, chez M. MÀRMET,
pharmacien. .
rendue sans médecine, sons purges et sans frais, par
la délicieuse farine de Santé, dite.
*
REVALESCIÈRË
Du BARRY, d e Londres.
Grérissant les constipations habituelles les plus, rebelles,
dyspepsies, gastrites, gastralgies, phthisie, dyssentisrio,
glaires, flatus, aigreurs, acidités, pituites, ph'legmes,
nausées, renvois, vomissements, moine en grossesse,
diarrhée,'coliques, toux, asthme, étourdissements, bruits
dans:la tête et les oreilles, oppression, langueurs, ennge'stion, névralgie, laryngite, névrose, dartres, éruptions,
insomnies, méiancoiiu, faiblesso, épuisement, paralysie,
anémie, chlorose, rhumatisme, goutte, tous désordres
de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foi;!, reins, intestins, muqueuse, cerveau ot sang,
toute irritation et toute odeur liévreuse en se levant,
Aux personnes phlhisiques, éîiques ou raohitiquos elle
convient mieux que l'huile ely l'oie do morue-,
35 ans de succès, 100,000 cures y compris celles de
Mmo la duchesse de Castulstuari, le" duc de Pluskow,
M"1' la marquise de ttréhan, lord Smart 'le Decies, pair
d'Angleterre, M. le docteur professeur DéJé, Sa Sainteté l'eu lo Pape Pie IX, Sa Majesté feu l'Empereur
Nicolas de Russie, etc. Elle est également lu meilleur
aliment pour élever les calants dès leur naissance.
Cure N° 98,814: Depuis des années je souflViiis de
inani|uo d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur,
des reins, et do la vessie, irritation nerveuse ot mélaucolio; tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence
. Pendant le mois de Décembre 1882.
Marquet, Auguste-Paul.
Ducros, Louise.
Puutonmer, Elise.
Lescure, François.
Delaiiy, Antoine, 61 ans 4 mois, ca!tivat3.ir, d'Issoire,
époux do Nautard, Elisabeth.
Taillandier, enfant mort-né, sexe féminin.
IIÉCAPITULA'NON :
" ' : ;•
Naissances, 4. — Mi ri âges, Néant.— Décès, 13.
<.
Le Journal officiel, publie un décret portant que
toutes les classes de jeunes filles/ dans les internats
comme dans les externats primaire* communaux et
libres, tenus soit par des institutrices laïques, soit
par des associations religieuses cloîtrées ou non
cloîtrées, sont soumises, quant à l'inspection et à
la surveillance de l'enseignement,, aux autorités
instituées par la loi.
.
.
Dans tous les internats de jeunes filles tenus par
des institutrices laïques cloîtrées ou non cloîtrées,
l'inspection dos locaux affectés aux pensionnaires
et du régime intérieur du pensionnat est confiée
à des dames déléguées par le ministre de l'instruction publique.
ÉTAT
I &*s.oii; o.
RÉCAPITULATION GÉNÉR.U.K :
' Naissances, 90. — Mariages, 37. — Décès, 128.
Par arrêté (le M. le Préfet, ont été nommés:
Mlle Guiilot, institutrice au Bouchet (Sl-Genèsla-Tourette).
Mlle CoPKias, a été nommé adjointe à Espinchal,
(emploi nouveau).
M. Julien, aspirant breveté, a été nommé adjoint
à St-Babel.
• • • . • • • \
?
de votre
divine Revalescière.
LÉON PEYCLET,
Instituteur à iïynanças (Haute-Vienno).
N° .63,476 : M. le curé Couiparct, do dis-huit ans de
dyspepsie, do gastralgie, de souffrances do l'estomac,
des nerfs, faiblesse et sueurs nocturnes.
Curé N° 99,625.—Avignon. La Rcvalosciore du Barry
m'a guérie à l'âge de 61 ans d'épouvantables souffrances de vingt ans, d'oppressions les plus terribles, à no
plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habillei', ni
me déshabiller, avec des maux d'estomac jour et nuit
et des insomnies horribles.—IÎORHEL, née Curbounelty,
rue du Balai, 1 1 . .
Curu N° 100,1.80.—Ma potito Marie, ciiétive., 'frêle o-t
délicate dès sa naissance, no prospérant pas avec lo
lait de nourrice, je lui ai l'ait prendre sur lo conseil
du Médecin, la Revaluseière qui l'a rendue fraîche, rosé
et miignilique de Santé.—J. Or. Dis MONIANAY, 44, rue
Condorcel, Paris, 4 Juillet 1880.
Quatre l'ois plus nourrissante que la viande, elle éeonomise encore 50 l'ois son prix en médecines. En boîtes:
1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kilog., 4 fr.; 1 kil. 7 Ï r . ; 2 k i l .
1/2, 16 fr.; 6 kil., 3 6 fr.; 12 kil., 7 0 fr. Aussi " L A
REVALiisciiiKB CHOCOLATÉE," en boîtes'aux inèmus prix.
Elle rond appétit, -bonne digestion et sommeil rafraîchissant aux personnes los plus agitées. BISCUTS DE
RKVALESUÈRE, alunen très-agréable ost commode aux bureaux, comme goûter et souper, ot en voyage : en boîtes
et que je le reverrai...
— .Quand?
— Probablement demain.
— Il va trouver le temps long.
:
— Vous parlez pour vous.
— A plus forte raison pour lui... qui vous aimo.
— Vous avez tenu à prononcer le mot.
— Pas pour mon compte.
— Vous avez l'art des chemins détournés.
— Eu paroles seulement...
L'i se brise l'entretien. Fraschina sort, et regagne rapideme.it sa tL'iueure.
Andréa, resté seul, se pince les lèvres en homme
dépité. Il se promène devant ses toiles, et contient ass«z
mal ses idées qui bouillonnent.
— On y perdrait sa peine, se murmure- t-il à part
lui; niais,'moi, ce que j'en ai fih, ce n'était que pour
plaisanter. Est-il heureux, ce Domenicn, d'inspirer un
pareil amour! C'est beaucoup de bonheur pour un seul!
Un secret merveilleux dans son art; une maîtresse à
rendre fou... Diacolo! Pourquoi n'en aurais-je rien?...
Je me trompe. Il a déjà commencé à m'apprendre son
procédé. Sous peu, je le saurai aussi bien que lui...
alors...
A ces mots, le parleur solitaire s'interrompt. Les mains
derrière le dos, il arpente vivement son atelier, et s'agite
de plus. Son front semble ressentir les douleurs d'un
enfantement; quelque rude pensée essaie d'en sortir.
Subitement il s'arrête, et, cédant à un effort intérieur :
(A continuer.)
UNE H E U R E U S E D É G O U V E R T E !
Un. pharmacien de Vaucouleurs, M. MARÉCHAL,
vient de découvrir un meilleur remède, le S p a s a l g i q u e ,
qui enlève instantanément les névralgies et les migraines,
les maux de deuls et les maux de tète.
Le S p a s a l g i q u e - M a r é c h a l , qui coûte 2 fr.,
se trouve dans toutes los bonnes pharmacies; seul dépôt
à Issoiro, chez M. TALOBRE.
MALADIES DE POITRINE k DE LA GORGE.
De tous les remèdes employés jusqu'à ce jour pour
guérir les maladies graves des poumons et da la gorge,
aucun n'a donné des résultais aussi certains et aussi
constants que la FARINE MEXICAINE, del D' Benito
Jel Rio, de Mexico. Lorsque la guérison est encore
humainemenj possible et que rien n'a réussi, on doit
toujours avoir recours à la Farine Mexicaine. Cet aliment précieux fait disparaître promptement la diathèse
tuberculeuse et les granulations de la gorgo, en redonnant au sang sa cornposilion normale de santé. La
Farine Mexicaine dans un temps relativement
court,
fait cicatriser les plaies des poumons et les granulations
de la gorge; c'est un fait qui ne peut plus être contesté
aujourd'hui par personne, enr plus de 100,000 malades
guéris, alors que le plus souvent on les croyait perdus,
pauvent certifier que la Farine Mexicaine est la seul
remède vraiment ellicaee [tour guérir la phlhisie tuberculeuse, la laryngite et la bronchite chronique, le
catarrhe pulmonaire, les rhumes, l'épuisement prématuré et toutes les maladies de langueur. La Farine
Mexicaine est un aliment tonique et digestif par excellence, qui peut être employé avec avantage à la nourriture des jeunes enfants, des valétudinaires et des vieillards, auxquels elle redonne santé et vigueur.
Se vend par boîtes de d kilog., 500 et 250 grammes,,
aui prix do 7, i et S fr. 2,H, avec une brochure explîitive sur sa composition, son mode d'emploi et d'action.
cative
VENTE EN GROS.
Chez le dépositaire général à Tarare, M. R.
pharmacien-chimiste.
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«m! la paiiier Itigoilot est a la Moutarde. ManU'inenl propivi'l
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t.io't In {leml-bnltp Goudron.
Dépôt chez M. MARMET, pharmeien à Issoire.
Le Meilleur des Cafés!
^ CAFÉ LECHAUXcoS,, .
donno à la minute, et par simple mélange,
DÉLICIEUX CAFE à l'Eau, Café au Lait.
Bopbons. Crèmes, olo. — Un aie, c'est la plus
hygiénique, In plus tonique des boissons.
In<li*nenaabloaux Pàtisssiers, Militaires, Voyageurs, Chasseirs, aux Familles économes, a cous
qui habitent la campagne ou los
bords do la moi.
Le flacon pour 20 tasses, « r 5 O : 10 i. franco
f S fr. — Mario LE CHAUX, Pharmacien-CbimiaW,
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A I s s o i r c : MARMET, TOURNADRE,
et dans toutes
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Éviter les contrefaçons
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Exiger le véritable nom
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