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L. GAUTRON et al. SCIENCES SUP Sous la direction de Laurent Gautron C. Balland, L. Ferrand-Tanaka, A. Angelié, L. Cirio, C. Sylvestre, J.-L. Battaglia, Y. Berthaud, J. Denape, A. Monavon, J.-Y. Paris Sous la direction de Laurent Gautron C. Balland, L. Ferrand-Tanaka, A. Angelié, L. Cirio, C. Sylvestre, J.-L. Battaglia, Y. Berthaud, J. Denape, A. Monavon, J.-Y. Paris PHYSIQUE PHYSIQUE CHIMIE SCIENCES DE L’INGÉNIEUR INFORMATIQUE SCIENCES DE LA VIE SCIENCES DE LA TERRE LICENCE MASTER DOCTORAT 1 2 3 4 5 6 7 8 6 69 6637 ISBN 978-2-10-054300-7 www.dunod.com PHYSIQUE MATHÉMATIQUES TOUT-EN-UN POUR LA LICENCE Cet ouvrage couvre le programme de Physique des deux premières années de Licence (Physique, Sciences de la Matière). Il accompagnera l’étudiant tout au long de l’année dans l’apprentissage quotidien des connaissances et les révisions d’examens. Î Un cours complet, progressif et illustré, parfaitement adapté au programme de Licence Tous les domaines sont traités : mécanique du point, des solides, des fluides, thermodynamique, transferts et machines thermiques, optique, mécanique ondulatoire, électrostatique, électromagnétisme, magnétostatique, électricité, électrocinétique, électronique, physique atomique, structure de la matière… Î Une approche pédagogique structurée, pour comprendre et retenir • Les concepts essentiels sont mis en évidence. • Le formalisme mathématique est réduit afin de s’attacher plutôt à l’expérimentation. • Les pré-requis indispensables sont rappellés. • Des encarts présentent des applications pratiques. • Les points clefs à retenir sont rappelés en fin de chapitre. Î 300 exercices et leur solution, pour s’entraîner efficacement • Des exercices d’applications corrigés pour mieux assimiler le cours. • Des exercices en fin de chapitre, tous corrigés, pour s’entraîner. • Un problème final, corrigé dans le détail, mettant en jeu tous les domaines de la physique ! Î Le site dunod.com avec des suppléments (exercices, figures…) COURS TOUT-EN-UN POUR LA LICENCE Cours, applications et exercices corrigés Physique TOUT-EN-UN pour la Licence Un cours complet 300 exercices corrigés Des suppléments sur le Web TABLE DES MATIÈRES MÉCANIQUE CHAPITRE 1 • CINÉMATIQUE DU POINT CHAPITRE 2 • DYNAMIQUE DU POINT CHAPITRE 3 • MÉCANIQUE TERRESTRE ET CÉLESTE CHAPITRE 4 • MÉCANIQUE DES SOLIDES INDÉFORMABLES CHAPITRE 5 • FLUIDES PARFAITS CHAPITRE 6 • FROTTEMENT VISQUEUX THERMODYNAMIQUE CHAPITRE 7 • SYSTÈMES THERMODYNAMIQUES CHAPITRE 8 • LES DEUX PRINCIPES DE LA THERMODYNAMIQUE CHAPITRE 9 • LES MACHINES THERMIQUES CHAPITRE 10 • INITIATION AUX TRANSFERTS THERMIQUES OPTIQUE CHAPITRE 11 • NATURE ET PROPAGATION DE LA LUMIÈRE CHAPITRE 12 • FORMATION DES IMAGES EN OPTIQUE CHAPITRE 13 • OSCILLATIONS ET ONDES CHAPITRE 14 • INTERFÉRENCES ET DIFFRACTION DES ONDES LUMINEUSES CHAPITRE 15 • SPECTROSCOPIE OPTIQUE ÉLECTROSTATIQUE ÉLECTROMAGNÉTISME CHAPITRE 16 • ÉLECTROSTATIQUE CHAPITRE 17 •MAGNÉTOSTATIQUE CHAPITRE 18 • ÉLECTROMAGNÉTISME ÉLECTRICITÉ CHAPITRE 19 • ÉLECTRICITÉ CHAPITRE 20 • CIRCUITS EN RÉGIME CONTINU CHAPITRE 21 • CIRCUITS EN RÉGIME SINUSOÏDAL CHAPITRE 22 • DIODE À JONCTION CHAPITRE 23 • LE TRANSISTOR BIPOLAIRE CHAPITRE 24 • AMPLIFICATEUR OPÉRATIONNEL PHYSIQUE « MODERNE » CHAPITRE 25 • PHYSIQUE ATOMIQUE CHAPITRE 26 • PHYSIQUE NUCLÉAIRE CHAPITRE 27 • LA MATIÈRE Problème Général : Physique dans l’Espace Solution du problème général Solution des exercices Bibliographie “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page X — #8 07” (Col. : 7821005430 “Gautron_9 -193x250) ScienceSup3 — #37 — page 27 /1 — 14:58 — 2010/6 S vectoriels et calculs • Vecteurs n et intégratio • Dérivation étrie • Trigonom – Les préalables, c’est-à-dire les révisions nécessaires avant la lecture du chapitre. – Les mots clés référencés. – Les objectifs à atteindre : le chapitre est à relire, les exercices sont à refaire jusqu’à leur parfaite maîtrise lération vitesse, accé position, • Vecteurs ées de coordonn • Systèmes ls et référentie • Repères OBJECTIFS S MOTS CLÉ PRÉALABLE Mode d’emploi de 1 INT UE DU PO CINÉMATIQ ace t dans l’esp d’un poin du repérage données les bases mes de coor • Donner ipaux systè lération les princ se et accé • Définir ion, vites urs posit repères les vecte différents • Définir urs dans ces vecte ter les proje simp nts • Savoir mouveme l’étude de • Maîtriser qui kinhma » mot grec « nique qui origine le e de la méca forces à ma, a pour me le ciné effet la parti action des e, tout com atique est en faisant abstr a cinématiqu vement ». La ciném du temps, en signifie « mou des corps en fonction vement étudie le mou mouvements. ces ESPACE l’origine de L D’UN POI TEMPS E 1.1 REPÉRAG LE IEL NT MATÉR DANS L’ ce dernier ile souvent s, on assim assimilé nts d’un corp riel peut être es sont nt les mouveme En fait un corps maté ctéristiqu riel. plus simpleme nsions cara riel est un Pour décrire me point maté ême et si ses dime n point maté qu’on nom ns enfin qu’u pas sur lui-m coordonnées à un point Noto trois roule urt. par ne ie s’il nces qu’il parco parfaitement défin à un point être ort aux dista rapp peut par ion petites la posit étrique dont point géom ET DANS 27 seulement. inaire Version prélim – 14:58 – June 1, 2010 Chapitre 2 • Dynamiqu e du poin Les points importants et les définitions fondamentales du cours sont mis en évidence. Cette foncti on énergie potentielle a bien la dimension d’une énerg ie et s’exprime en kg · m 2 –2 ·s ou en joules . Les lois et théorèmes, à savoir par cœur, son parfaitement visualisés. t où E0 est une constante choisir de fixer que l’éne définie à partir des conditions rgie potentiel initiales ( on le est nulle Énergie peut par exem quand z = potentie ple lle 0, et avoir Puisque le E0 = 0). trava finale du corp il d’une force cons erva s notée E , qui en mouvement, on peut tive ne dépend que des p ne dépend positions initia intro duire que de la posit une fonction ion du corp énergie poten le et s, telle que tielle , : B #– W A→B F #– = F r#– · d r#– = − E (B) A p Ep (A) et E − Ep (A) p (B) sont les énergies respectivemen potentielles t. du point M aux positions Théorèm A et B e Le travail d’une force cons potentielle du point maté ervative est égal à l’opp riel. osé de la Remarques variation de l’énergie • Le signe « de la varia moins » dans l’exp ressi tion on du trava d’énergie palement il de la force potentiel pour des le est cons simplifica gravitatio nnelle. tions d’écr purement arbitraire ervative en fonc tion iture nota , • La force mment pour et est utilisé princ cons il’énergie qui fait inter ervative dérive potentiel en fait venir l’opé le rateur math de l’énergie potentiel ématique le vecteur grad suivant la relation #– suivante ient : F = − dEp #– dEp #– dEp #– dx · ux + # – dy · uy + · u z = dz −grad (E Cette expr p) ession de #– sûr valab F en fonc le tion du grad expressio dans tous les systè ns du grad mes de coorient de l’énergie ient dans potentiel données le Ep est les systè ; il faut alors mes cylin bien c) Puits se drique et et barrière sp hérique. reporter aux Voir site web Chapitre de pote On considère ntiel ici le mou vement unid l’action d’un e force cons #– irectionnel d’une parti est réalisé ervative F cule M de suivant un , dans un référ masse m, axe OX de appliquée entiel galil sous coordonnées et l’énergie éen R . Si x, potentielle ce mouvem dont dérive on peut écrire la relat ent ion entre la cette force force : parfaits 5 • Fluides de la forme ante de indépend repos est fluide au r e dans un qui règn de la pesanteu −3 ; accélération La pression le contient. 3 kg · m qui de 1 bar pour l’enceinte e r = 10 augmente Remarque ion −1 e volumiqu4 m et la press l’eau. Mass −10 Pa · Exemple de −2 s, d pdz = tières : · s . Alor g = 10 m s aux fron r de 10 m. les condition une profondeu p se détermine par repos. fluides au g La pression entre deux à l’interface p = p2 58 F(x) = − dEp (x) Ep (x) est a dx comme illus priori quelconque et peut prése tré dans la nter des extre figure 2.8. ma (mini ma et maxima) 1 LIBRE , dans ce SURFACE a . Alors s phériquep alors ion atmo Si Za = 0, à la press surface libre. soumise ude de la liquide est ue. Za est l’altit libre d’un d Z dimin + rgZa où La surface ente quan + rgZ = pa ion p augm p = p(Z) : la press liquide : g pa − rgZ = p(Z) p = pa et g un fluide au chimède immergé dans la pression me VC est de orème d’Ar able, de volu (5.1) ne dépend que e lui même 5.1.3 Thé e, indéform s de surface C par le fluid corps C solid ule du s extérieure Lorsqu’un on remplace iquant la form tante des force la pensée, écrire en appl repos, la résul reste inchangée si, par donc peut e. Elle à C, on du fluid : extérieure #– la normale l’hydrostatique et, N étant amentale de la loi fond #– poussée d’Archimède, gradient et : P #– dV = − #– = − rg mique du (− p N )d A C masse volu ue r est la ∂C rme ou non, e déplacé puisq#– e soit unifo dans e r g du fluid me VC de fluid émergeant #– poids du volu le que le poids volumiqu dans un liquide et où P est le ergé alors constante tat est valab ellement imm igés, la pression est fluide. Ce résul (cas d’un corps parti négl être ent non continu ou la gravité peuv les effets de est nulle. un gaz). Si d’Archimède et la poussée coule. corps : si Remarque #– #– poids du = PC e z le s par P C , sinon il corps flotte P > PC , le Désignon E PLANCH FAIRE LA donc et il subit kg · m 5 de rc = 985 985 = 101 moyenne re rc = 1000 −3 et la poussée e volumique e égale à ·m une mass l’eau douc 1025 kg humain a la part de mer, re = Le corps himède de de l’eau de sée d’Arc is que dans une pous re mieux. flotte. Tand il : enco flotte fois son poids poids : il r 104 son a pour valeu −3 Les Remarques attirent l’attention sur une difficulté, donnent une méthode, précisent un point. Des Encadrés éclaircissent une application ou fournissent des notes historiques qui complètent le cours. 120 13.4. Oscil lateu Des applications directes du cours. La méthode de résolution est associée. Figure 13.3 ue amorti Solutions de l’équ harmoniqu ation de l’oscillateu A(t) est repré e r senté en tant t , A trait plein 0 est maxi , dA/ dt en mum, et pointillés. dA/ dt est À l’insnul. Exercice il et 2.2. Trava r harmoniq ω d’applica tion 13.2 – Portrait de phase Montrer que A et dA/ dt vérifient l’équ ation A 2(t) 1 dA 2 une constante + valant C = = C 2où C v02 dt dans l’espace est A02 + Ȧ 2v 2 (A, dA/ dt) 0 0 . Quelle est l’allu ? re de la cour be obtenue S OLU TION . On utilise les expressio puis on simp ns de A et lifie pour obte dA/ dt et on dans le plan nir le résul développe (A, dA/dt), tat. On reconnaît l’éq les carrés, appelée portr uation d’un ait de phas e (Fig. 13.4 e ellipse ). énergie ω Figure 13.4 Portr ait de phas harmoniqu e de l’oscillateu dA/ dt est r e représenté A(0) = A en fonct ion de A(t). 0 et dAdt(0) augmente = vers sa valeu Ȧ0 . Lorsque t augm À t = 0, nue vers ente, A(t) r maximale 0. Les flèche C et dA/ s indiquent du temps. le sens d’éco dt dimiulement Ep(x) non autoris ée est un délit ω X énergie Courbe d’une x2 potentielle x3 ion en fonct ètre d’un param x La photocopie Figure 2.8 x1 de à la courbe TEUR HA RMON ement visq IQUE AM ORTI 279 non autoris Voir site web La photocopie Dunod – 13.4 OSCILLA a) Amortiss ueux En réalité, les de frottemen oscillations ne durent pas indéfinim ts, visqueux (don soit par rayonnem ent. Ell es ent. Nous sont amorties t les forces traito force respo de soit du fait nsable de l’am frottements mécaniqu ns ici le cas d’un amortissemen vitesse du es sont un mouvement ortissement est une exemple). t fonc Dans ce cas, dans le cas au sens du la d’un oscillateu tion linéaire de dA/d mouvement. T (dA/dT est On Fa = −gd r mécaniqu la Adt , et l’équ peut écrire, dans le e cas d’un mou ). Son sens est oppo ation 13.3 sé devient : vement unid imensionn el Voir site web ée est un délit de la tangente dE p(x) donne la pente de la tangente ée, ma), la pente M est nulle ; dx de la dériv ima et maxi cule Par définition courbe (min e à la parti . Ainsi les mes de cette ts, la force appliqué t extremum points extrê ces poin en ce poin E p(x). Aux F(x) = 0. En elle reste en équilibre de la particule. appelées donc re , uilib nulle cule, est d’éq sont minimum libère la parti le sont les positions de possède un donc si on Les régions ergie potentiel l’énergie potentielle la figure 2.8). barrières de extrema d’én x1 et x3 sur lées l’espace où en de e appe ns stabl sont ilibre Les régio imum il existe une potentiel (équ le possède un max En équilibre stable, ntiel contraire, la des puits de e 2.8). instable au l’énergie pote sur la figur En équilibre l’espace où ilibre instable en x2 ion. posit sa potentiel (équ ne » la particule vers ion. ramè de sa posit ue force qui « mécaniq ne la particule force éloig e et énergie cinétiqu l’énergie il de cette orème de par le trava double tique 2.2.3 Thé rgie ciné caractérisé au n de l’éne pouvait être dant en fait nitio a) Défi » correspon et d’une force t on trouve tré que l’eff a appelé « la force vive de rap peler commen mon a niz t libre d’un Leib qu’il maintenan de la chute aussi par ce . Il convient mment à partir du cas atteint une force mais h ique r cinét h auteu , nota gie dite ie cinétique chute libre depuis une d’une éner cette énerg en #– de s on h. 2 1 #– qu’un corp l’expressi vs = g e peut montrer donn #– · h. On qui #– ce 2 corps. On P #– 2 g h, #– 2 g h= #– 1 sol v s = vs = m vitesse au aussi par une nt : 2m e, on obtie travail, mais rer par son nt par la mass peut se mesu En multiplia il. et d’une force joules comme le trava l’eff que voit alors exprimée en cinétique, énergie dite Dunod – ux O 59 Dans les marges des renvois à des paragraphes, à des chapitres et aux bonus à télécharger sur le site web de Dunod. i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page XI — #9 i cet ouvrage 13.6 .5 On des Si l’o statio n nnai (tube souffle do res da uc cy ns un respo lindrique ement, en nd de augm tuya arrive ant au mo longueu entan u so r t nore de 1, un mo de fré L dont l’e progressive de fré cylin me nt xtrém qu qu driq ment ité ue on ob ence n2 ou l’on en ence n1 . le tend un = 2n Si l’o est ouverte souffle, da tient toute n souffl fréqu 1 . Ce ns un ), on son un ence du mo e série de mode 2 est dont la ha e progressi entend un pipeau ute de N s’exp modes do appelé « oc ur a chan vement plu son cornt les rime gé tav s for e : par : fréqu ences ». En conti c’est le mo t, il sont de de nuant nN = N v s multip à souffl 2, où v est er, les de la 2L (extré n1 . La Si ma vitesse du mité ou inten son pour verte) une fré ant on ma dans l’air (34 intien quence t fermé 3 m · s –1 : à 20 ◦ e l’extr C). émité du pip eau, les nN = (2 N − mode 1)v s sont 4L obten (extré us mité bo uchée) Une os est sin cillation À re est usoïd teni ale si la défor Un os r ma sa va cil riatio tion pério est l’o lateur est n tem sci dique un sy qui ne llateur porel harm stème pro le es d’un corps pertu dépend on t une éla pas du ique qu duisant rbés i pro harm une os sinusoïd stique. Un pa tem du e. oniqu r rappo e oscil rt à un ps. De no it une os cillation es. lation En pr . Le plu cillat mbreu e po atiqu ion sition s queu e, les d’équ x système sinusoïd simple d’e x ilibre ale à s, l’amo (la force oscillation une ntre eu stable lorsqu’i rti l’inten ssement d’amorti s sont am con sti ls sont fréquen x sseme ce sit so lég tuent ort us é ies lesqu de l’a -cr nt des os èrement els il morti itique (os est pro . Dans cillat le ca n’y a sseme porti cillat Un os eu s plu on rs d’u ion nt) cil ne s d’o d’une lateur scilla des amorts amorties lle à la n amortiss pe tion. vites emen à issem trans force sin ut être en t vis ents une fréqu se), on usoïd itoire treten critiq dis en force . En u (ou ues et ce qui dé tingue régim ale, il s’é . for e perm tablit pe sur-c cé Une ritiqu nd de un rég ) par un anen on es po e t, le dans de est un ur systè ime perm force ex un mi e oscil térieu me os anen systè re. t cille me d’o lieu et pe lation qu à la fré après un Dans le de vit ut se i se pro ndes ca co es quen page perm se. Si on stationn réfléchir ce im urt régim s da an air su posé réson ente, l’a injecte co es, avec r les fro ns l’esp e par e ace. mplitu an nti la des nœ ntière Si l’o qui la ce. Celle s de de de nûment ud nd peuv subit et -ci se pro s ventres de l’énergis et des ce milieu, e est co nfiné la lon ent se duit il se e sous ventre s croît s’il e gu forme produ conti de dé exist eur d’o nûme form e e un ire. pla un nde qui la e relation nt et rapd’une on cement de inc et produ ide en idente it. Plu tre les dim ment, il sieurs ya en mode sions du alors s de réson corps ance s Dun od – La photoco pie non autorisé e est un délit À retenir regroupe les points fondamentaux. Il permet de vérifier ses connaissances avant de s’entraîner avec les exercices corrigés. Chap itre 13 • Oscill ation s et On arge se déch nt i bine atures ura e bo 615 du co n ses arm ns un es p. q sur l’évolution ation d’u ur da roupé qu q et – ? sate nt reg de l’é issant arges temps nden n co t les ch quation rég qu’il s’agit nd-elle du I·T/V, an d’u ay éC e l’é arge ntrer [C] = Dépe Déch capacit ce L. Écrir dq/dt, mo terminera. ] = VT/I et 13.1 eur de uctan lisant i = e l’on dé lle que [L ndensat d’ind Un co e bobine bine. En uti tion v 0 qu (on rappe un la bo e de pulsa fréquence ps). dans au nte rnes de iqu une tem nsta gueur r aux bo eur harmon mogène à n et T un de lon teu ure co ho sio térie ressort p de pesan e, oscillat que v 0 est V une ten qu rce ex t à un er le cham dynami e ec fo lemen Vérifi un courant, ue av vertica ble est dans l de la Écrir oniq nta endue teur. r où I est r harm g est susp –1 . L’ensem fondame de pesan cillateu os m lateu p 0 ipe · n cil 50 N nc am ch Os M= avec le = 50 le pri git d’u ns le 13.2 masse raideur k pliquant ’il s’a différence re da de qu r le ap ilib de la l’équ rt. Montre elle est ? Une bil = 0,1 m et · s–2 . En ontal so sort à m l ? Qu repos 0 g = 9,81 r l 1 du res n x du res cillations n axe horiz tre eu tio s os g d’u terres longu t l’élonga lon 0 de v ce R. le la n an nt tio ler résist r calcu on régissan ut la pulsa s frotteme d’une r. Montre va ati eu r C et l’équ ique. Que déplaçant san en ensateu du condensat ment g RLC ? cuit n cond s harmon n ressort se rtisse n cir ment e L, d’u e aux borne mer l’amo rtisse cas d’u ent d’u ne bobin arg pri l’amo ue ? ch sem Ex tiq de la d’u . tis le cri é ent cours nsab ion de Amor nstitu est co ant l’évolut on 13.5 du i est respo amortissem 13.3 ie sér qu iss y ait cuit quati t-ce Un cir quation rég me de l’é ce. Qu’es pour qu’il ne d’u l’é C rci ité for e ém e l’exe Écrir est de la L, R et à l’extr m) ? Qu ées de le entre qu’el cr oché l (57 s donn on avoir ule kg ac tour Eiffe iton de pend foncti relation do de 10 la d’un e masse étage de ? ation Quell er d’une scill 100 kg 1999 llation ée au premi masse de de d’o de sci rio te tude Pé de d’o mpê s une est fix ampli m). 13.4 la te –1 , une tte foi la pério extrémité de ce e est h · e ch e r (310 l lors Quell l’autr si on accro Eiffe 200 km t de la tou période dont tour plus de au somme elle est la litude corde la période de la mp nt vent de rée , qu ation devie t d’un été enregist n pendule n v 0 et d’a rement scill l’effe e d’o d’u entiè la lsatio Vitess 1999, sous r Eiffe r est celle eur de pu énergie est uation où .5 tou re 13 la tou lat e tte la sit cm de décemb n de la d’un oscil llateur. Ce partir de u’elle repass Le 26 tion de 13 scillatio lle à l’osci l’o r lorsq tentie lla ilibre d’osci osant que nergie po la masse de r à l’équ et de la tou ou pp L’é ? est m 2 du ret e du somm En su lations A) où cil ess e lors des os = 12 m(v 0 ie cinétiqu e est la vit 13 cm ? Ep = ell A est ie en énerg ale. Qu hant que A xim convert de est ma ilibre sac litu d’équ l’amp position par sa Exer cices ions so lut Les so SOLUTIONS DES EXERCICES Physique, tout-en-un pour la licence L1-L2 des En notant que, lorsque la diode est passante, la tension à ses bornes V est égale à V s . En remplaçant dans l’expression de I, il vient : 289 VL (t) E0 = 2 volts Ve (t) 0,7 volts T/2 I = Soit : Ve > Vs · R1 + R2 R2 = 1֒45 · 0֒7 = 1 V Nous constatons que lorsque la tension d’entrée excède 1 V, la diode devient passante et impose en sortie une tension égale à V s = 0,7 V. Lorsque la diode est bloquée, elle est associée à un circuit ouvert. Il ne reste que les deux résistances R1 et R2 qui forment un pont de résistances. L’expression de la tension de sortie est alors : VL = Ve · R2 R1 + R2 T t − 1,38 volts Vs (Ve − Vs ) − >0 R1 R2 = 0֒69 · Ve Le signal de sortie est l’image du signal d’entrée à un coefficient près. Nous avons déterminé les conditions de fonctionnement du circuit limiteur. La synthèse des résultats que nous avons obtenus est facilitée par la représentation graphique de V L = f (Ve ). 22.3 La capacité C est initialement déchargée (U c = 0). Lorsque la tension ve (t) augmente et devient supérieure à Vs = 0,7 V, la diode devient passante tandis que la capacité se charge à travers la diode jusqu’à atteindre la tension maximale : UCmax = E 0 − Vs = 1֒3 V Notons que la charge de C à travers la diode est très rapide (elle suit la variation de ve (t)) dans la mesure où la résistance série de la diode est considérée comme nulle alors que R de valeur élevée, n’a pas d’influence sur la charge de C. Lors de la phase de décroissante de ve (t), la diode se bloque. T étant la constante de temps du circuit, on remarque que : t= R·C =1 s T = 10 ms La capacité n’a, par conséquent, pas le temps de se décharger dans R et elle conserve sa valeur de 1,3 V. Tout se passe comme si C se comportait comme un générateur de tension de valeur : À la fin de chaque chapitre des exercices d’entraînement, tous corrigés. Les solutions sont regroupées en fin d’ouvrage, pages 591 à 630. UCmax = 1֒3 V VL Diode passante VS = 0,7 volts L’application de la loi de Kirchhoff dans le montage nous permet d’écrire : VL = ve (t) − UCmax 1 volt Ve Diode bloquée La tension de sortie est l’image de la tension d’entrée à laquelle on a rajouté une composante continue égale à – (E0 – Vs ) = – 1,3 V. VL (t) VLmax =VS = 0,7 volts −(E0 −Vs) = 1,3 volts t T/2 T −(2E0 −Vs) = −3,3 volts b) 624 290 PROBLÈME GÉNÉRAL PHYSIQUE : DANS L’ ESPACE Un problème général regroupe tous les domaines de la physique étudiés dans l’ouvrage. Entièrement corrigé, il constitue la synthèse parfaite pour préparer les examens. Une bibliographie regroupe la liste des ouvrages complémentaires et des sites internet pour en savoir plus. uite à la Seco nde Guerre mon Unis et l’Un ion Soviétiqu diale et avec la guerre mais a été froide qui a e, la avant tout suivi entre un immense conquête spatiale a des fusées, les Étatsété un défi scientifiqu des e et technologi enjeu politique maje l’espace pour propulseurs, des maté ur, riaux, arriver à marc que. des années her sur la Lune etc., ont permis à l’hom Le développement 1980, me de voya en juillet 1969 Les différente une station spatiale ger perm s anente en orbit , e t à mettre en place dans branches de mécanique à partir la physique e pour sont concerné autour de la Terre. la thermodyn les trajectoires et la es par ces relation avec amique pour vols spatiaux l’attraction mis en orbit la propulsio : la grav e autour de n et les com itatio la Terre, les l’alimentat bustibles, l’opt nnelle de la Terre, ion rayo ique des satel habités vers électrique des satellites nnements électroma lites gnétique la et engins spati système solai Terre, la physique aux, les trans s dans l’espace, relativiste re. miss notamment Dans le prob pour les vols ions des vols longs dans emblématique lème qui suit, nous le avons centr é notre étud américaine. s de notre époque : la e sur fusée Aria Les ne V européen d eux engins spati transport essen différentes parties aux traitent ne et la nave tiels qui perm orbite auto tte spatiale ettent à l’hom alternative ment de ur de ces deux moy me d’envoye une meilleure la Terre, ou de rallie ens de r de r la station compréhensio spatiale inter nombreux satellites n de la vie en nationale pour dans l’espace. permettre P S ARTIE I. MÉCANIQ UE DES VO 1. Lancem LS SPATIA ent de la UX d’un sate fusée Aria llite ne V et mis e en orb 1.1. Décollag ite géostat e de la fusé ionnaire e Ariane La fusée Aria V ne V initia leme une accélérat ion telle qu’e nt immobile est lancé e verticalem n1 Donner les ent, à parti expressions, minute et 34 secondes r du sol, avec atteinte au en fonction elle atteint bout du temp la vitesse de du temps, s 100 km et de la vites 1 km · s –1. le temps néce t. Calculer numériqu se acquise et emen ssaire pour de l’altitude atteindre cette t la vitesse atteinte à 1.2 Fusé une altitude e de mas altitude. de se variable La propulsio en vol n propergol). de la fusée est assurée Les gaz résul par la com bustion de vitesse cons tant de la différents prod tante u#– para combustion r uits (poudres, loin de toute sont éjectés llèle à l’axe vers de masse, peut être considéré la fusée. La fusée main l’arrière avec une tenant dans e (pour simp l’esp ace, lifier) com me un systè me isolé 561 INDEX B A 222 absorption é 222 absorptivit n 39 accélératio absolue 71 73 d’entraînement lis 73 Corio de nelle 52 gravitation relative 72 268 tion accommoda e 169 adiabatiqu 423 admittance onique 483 affinité électr ein 14 Albert Einst ent 279, 290 amortissem critique 281 ue 280 sous-critiq e 282 sur-critiqu 373, 375, 377 Ampère 372, amplificateur 463, 471 différentiel el 463 opérationn 275, 286 amplitude 422 complexe onique 427 analyse harm angle d’Euler 92 92 de nutation 92 de précession propre 92 de rotation solide 218 e 353, 358 antisymétri P 354 e 253 aplanétism Aristote 3 atome 11 tion 370, 372 auto-induc ation 266 autocollim ante 430, 465, bande-pass 299 battements ique 210 bilan therm 424 bobine 395, alente 404 bobine équiv s 18 boson de Higg 365 boussole branche 402 81 bras de levier 469 L’index permet de retrouver facilement une notion précise. C ique 159, 208 capacité therm ique caractérist 391 statique 390, rant 437 tension-cou 67 te céles s 83, 85 centre de force 157 chaleur 147, 208 spécifique champ 94 de torseur de moment 373, 374, 377 eur 367–370, électromot 339 que 332, 334, électrostati tif 94 équiprojec 331 e charg 327–329, 384 électrique 384 329, élémentaire ue 236 chemin optiq hens 99 Christian Huyg e 33 chronologi chute 50, 80 e 91 cinématiqu circuit ordre 409 ier prem du 350 filiforme 349, 358, 360, 374 335, 351, 354, circulation 479 on périodique classificati @ 639 Bonus Web Retrouvez sur le site www.dunod.com/Tout-en-un/Physique : – des compléments au cours ; – des expériences, des démonstrations et des figures permettant de « visualiser » les notions abordées dans l’ouvrage ; – deux chapitres complets : « Oscillations mécaniques » et « Mécanique des systèmes ». i i i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 25 — #35 i OBJECTIFS MOTS CLÉS PRÉALABLES CINÉMATIQUE 1 DU POINT • Vecteurs et calculs vectoriels • Dérivation et intégration • Trigonométrie • Vecteurs position, vitesse, accélération • Systèmes de coordonnées • Repères et référentiels • Donner les bases du repérage d’un point dans l’espace • Définir les principaux systèmes de coordonnées • Définir les vecteurs position, vitesse et accélération • Savoir projeter ces vecteurs dans différents repères • Maîtriser l’étude de mouvements simples a cinématique, tout comme le cinéma, a pour origine le mot grec « kinhma » qui L signifie « mouvement ». La cinématique est en effet la partie de la mécanique qui étudie le mouvement des corps en fonction du temps, en faisant abstraction des forces à l’origine de ces mouvements. 1.1 REPÉRAGE D’UN POINT MATÉRIEL DANS L’ESPACE ET DANS LE TEMPS Pour décrire plus simplement les mouvements d’un corps, on assimile souvent ce dernier à un point qu’on nomme point matériel. En fait un corps matériel peut être assimilé à un point s’il ne roule pas sur lui-même et si ses dimensions caractéristiques sont petites par rapport aux distances qu’il parcourt. Notons enfin qu’un point matériel est un point géométrique dont la position peut être parfaitement définie par trois coordonnées seulement. 25 i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 31 — #41 1.1. Repérage d’un point matériel dans l’espace et dans le temps B Mx A x T N Figure 1.6 Système de représentation de Frenet #– #– #– Représentation du repère local de Frenet avec la base ( T , N, B ) orthonormée directe associée. La position de M sur la courbe orientée est donnée par son abscisse curviligne s(M) comptée à partir de l’origine A. L’arc de cercle séparant les points M et M a une longueur notée ds, et l’angle interceptant cet arc de cercle vaut da. Géométriquement on peut retrouver les relations suivantes : #– dT #– ds = Rc · da et =N da Voir site web Dunod – La photocopie non autorisée est un délit 1.1.2 Repérage d’un point dans le temps La géométrie dans l’espace ne suffit pas à décrire les mouvements en mécanique. Il est nécessaire d’introduire la notion d’évènement décrivant un phénomène instantané. On dit qu’on établit une chronologie lorsqu’on sait classer une succession d’évènements. Un phénomène physique se décrit donc par le lieu où il se produit mais aussi par l’instant où il se produit. La mécanique classique repose sur une hypothèse essentielle : le temps est considéré comme absolu et universel. Ceci signifie que la notion de temps est indépendante du référentiel et du mouvement. Ainsi un intervalle de temps entre deux évènements est le même quel que soit l’observateur et quel que soit le mouvement de l’observateur. À noter que cette hypothèse a été remise en cause par les théories d’Einstein, notamment en ce qui concerne les mouvements se produisant à des vitesses proches de la vitesse de la lumière : ces théories ont ouvert la voie à une nouvelle forme de mécanique, la mécanique quantique. Celle-ci sera introduite et développée dans le dernier chapitre de cet ouvrage. D’autre part, le temps est aussi considéré comme irréversible, monotone et croissant : cette hypothèse implicite repose sur le principe de causalité qui postule qu’un effet ne peut être antérieur à sa cause. Au fil des siècles, la notion de temps et sa mesure ont beaucoup évolué en fonction des avancées technologiques et des progrès scientifiques. Basée d’abord sur la période de rotation de la Terre, puis sur celle de la rotation de la Terre autour du soleil, la notion de temps repose maintenant sur des mesures réalisées avec des horloges atomiques. LES UNITÉS DE MESURE DU MOUVEMENT D’UN POINT L’unité de temps du Système International (S.I.) est la seconde. La définition actuellement en vigueur pour la seconde est reliée à la période de désintégration radioactive de l’atome de césium ; elle est définie comme suit : La seconde correspond à la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l’état fondamental de l’atome de Césium 133. 31 “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 44 — #54 Chapitre 2 • Dynamique du point mécanique classique dite newtonienne. En fait d’autres savants tels Descartes (1644) ou Galilée (1638) ont grandement contribué à la découverte de ces principes, mais c’est Newton qui a regroupé et formalisé ces principes dans son ouvrage majeur. 2.1.1 Corps isolé et référentiel galiléen Première loi de Newton ou Principe d’Inertie Tout corps isolé, qui n’est soumis à aucune interaction avec d’autres objets matériels, conserve l’état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme qu’il possédait auparavant. Voir chapitre 3 Comme tout principe, ce principe d’inertie ne se démontre pas. L’énoncé de ce principe requiert cependant certaines explications et compléments. Tout d’abord, deux corps sont considérés en interaction lorsqu’ils exercent des actions réciproques l’un sur l’autre. Une des lois de la nature fait que cette interaction décroît lorsque la distance entre les deux corps augmente. On dit aussi qu’un corps est isolé lorsqu’il ne subit aucune interaction extérieure. Le principe d’inertie suppose implicitement l’existence de référentiels privilégiés dans lesquels ce principe est vérifié : on les appelle référentiels d’inertie ou référentiels galiléens. Ainsi dans un référentiel galiléen, le mouvement d’un corps isolé est rectiligne et uniforme, et ne subit aucune accélération. Nous verrons dans le chapitre consacré à la mécanique terrestre et céleste, que l’accélération d’un point matériel est la même dans tous les référentiels qui sont en translation rectiligne et uniforme les uns par rapport aux autres. Si un point matériel M est isolé dans un référentiel galiléen R , cela signifie qu’il ne #– subit aucune accélération et donc #– a R (M) = 0 . Si R ’ est un référentiel en translation rectiligne et uniforme par rapport au référen#– a R (M) = 0 car #– a R (M) = #– a R (M). Cela signifie donc tiel R , alors on peut écrire #– que R ’ est aussi un référentiel galiléen puisque ce même point matériel M ne subit aucune accélération dans R ’ et est donc isolé. Le principe d’inertie est donc vérifié aussi dans R ’. Théorème Si R est un référentiel galiléen, tous les référentiels R ’ en translation rectiligne et uniforme par rapport à R , sont aussi galiléens. LES RÉFÉRENTIELS GALILÉENS OU SUPPOSÉS GALILÉENS Le meilleur référentiel galiléen que l’on peut définir est le référentiel de Copernic. D’autres référentiels usuels liés à la Terre (géocentrique, terrestre) sont en général supposés galiléens. 44 i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 45 — #55 i 2.1. Principes de la Dynamique Newtonienne • Le référentiel de Copernic. Ce référentiel a pour origine le centre de masse du système solaire (qui peut être assimilé au centre du Soleil), et présente des axes pointant vers trois étoiles éloignées considérées comme fixes sans mouvement apparent. Ce référentiel porte le nom de l’astronome polonais Nicolas Copernic (1473-1543) qui plaça « le Soleil au centre du monde » plutôt que la Terre. • Le référentiel géocentrique. Son origine correspond au centre de masse de la Terre, et ses axes sont parallèles aux axes du référentiel de Copernic. Étant lié à la Terre, ce référentiel est donc en translation elliptique par rapport au référentiel de Copernic. En toute rigueur, il n’est donc pas galiléen. Cependant, lorsque les expériences sont réalisées sur des distances faibles devant la dimension de l’orbite terrestre (distance moyenne Terre-Soleil = environ 150 millions de kilomètres) et sur des durées faibles devant la période de révolution de la Terre (1 an), on peut alors considérer le référentiel comme galiléen. • Le référentiel terrestre. Ce référentiel a son origine au centre de masse de la Terre, et ses axes sont liés à la Terre et sont donc en rotation uniforme dans le référentiel géocentrique. En toute rigueur, le référentiel terrestre est non galiléen. Toutefois, sur des distances petites par rapport aux dimensions de la Terre (circonférence de la Terre = 40 000 km) et sur des durées très faibles par rapport à la période de rotation de la Terre (1 jour), on peut faire l’approximation qu’un référentiel terrestre (i.e. tout solide immobile par rapport à la Terre) est galiléen. 2.1.2 Force et masse Dunod – La photocopie non autorisée est un délit Dans le monde qui nous entoure, au cours des situations et expériences de la vie de tous les jours, on a l’intuition de la notion de force. Notre corps ressent les efforts produits pour pousser, soulever ou transporter un objet. La chute libre d’un corps montre qu’il s’exerce sur ce corps une action qui l’attire vers la surface de la Terre. Il existe donc de nombreux exemples concrets de « mise en mouvement » d’objets : ces objets subissent une accélération car ils sont soumis à une ou plusieurs interactions. Ces interactions sont à l’origine des mouvements des corps, et leur définition et description sont à la base de la dynamique newtonienne qui a pour objectif de prévoir le mouvement des corps dans un environnement donné. Remarque Il faut aussi noter que ce n’est pas parce qu’un corps est en mouvement rectiligne uniforme, qu’il est forcément isolé ; en effet un corps peut suivre un tel mouvement lorsqu’il est soumis à plusieurs interactions dont les effets se compensent. Ces interactions, causes des mouvements des corps, peuvent être décrites par une grandeur vectorielle qu’on appelle force. À noter qu’avec la définition de ce vecteur force, on a trois informations en une : en effet, on a la direction, le sens et l’intensité (avec la norme du vecteur) de l’interaction s’exerçant sur un corps. Newton a élaboré le principe fondamental de la dynamique à partir de la constatation suivante : lorsqu’une action est exercée sur un corps, le mouvement de ce corps est 45 i i i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 135 — #145 i 6.1. Écoulements laminaires Tableau 6.1 Paramètres physiques Fluide Masse volumique r [kg · m−3 ] Viscosité dynamique m [Pl] Eau 103 10−3 Air (1 atm et 300 K) 1,29 1,8 10−5 Métaux liquides 2 · 103 ∼ 2 · 104 10−4 ∼ 10−3 Huiles de silicone ∼ 103 10−2 ∼ 103 • 6.1.2 Équation de diffusion unidimensionnelle Considérons l’écoulement plan, instationnaire, unidirectionnel d’un fluide incompressible et visqueux ; soit #– v = u(y, t) #– e x son champ de vitesse et admettons que le champ de pression soit uniforme. Écrivons le principe fondamental pour le parallélépipède rectangle dx × dy. Dans la direction #– e x , l’accélération #– #– #– convective ∇ v · v est nulle et il faut tenir compte des forces de frottement lors de l’écriture de la loi de Newton : y + dy y τ + dτ u(y, t) τ dx r(∂u/∂t)dxdy = −t(y)dx + t(y + dy)dx, ce qui donne après un développement limité : r∂u/∂t = ∂t/∂ y. En généralisant le résultat observé pour l’écoulement cisaillé, ce qui revient à linéariser localement le profil de vitesse (autrement dit, à l’assimiler à sa tangente locale), nous sommes conduits à la : Loi de comportement des fluides newtoniens Dunod – La photocopie non autorisée est un délit t = m∂u/∂ y Le bilan de quantité de mouvement prend donc la forme suivante : Équation de diffusion unidimensionnelle ∂u ∂2u =n 2 ∂t ∂y Cette équation est également connue sous le nom d’équation de la chaleur 1D. Mathématiquement, elle se différencie de l’équation d’Euler par le fait qu’elle est du second ordre et requiert donc des conditions aux frontières en nombre plus élevé. 135 i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 292 — #302 Chapitre 14 • Interférences et diffraction des ondes lumineuses 14.2 INTERFÉRENCES LUMINEUSES À DEUX ONDES 14.2.1 Expérience d’Young Voir § 14.3 Le début du XIXe siècle connaît une véritable révolution du point de vue des idées en optique. L’anglais Thomas Young, au cours de ses études de médecine, s’intéresse au mécanisme de la vision et à la nature de la lumière. En étudiant les irisations produites par une lame mince d’épaisseur variable, déjà décrites par Newton, il a l’intuition que la lumière réfléchie sur le premier dioptre de la lame et celle réfléchie sur le second peuvent s’additionner de telle manière que leurs effets se détruisent en certains endroits, et, au contraire, se renforcent en d’autres. La théorie avancée par Newton pour expliquer ces irisations ne pouvait en aucun cas expliquer la présence de zones sombres. Young fit passer la lumière issue d’une source ponctuelle à travers deux petits trous voisins percés dans un écran opaque (expérience d’Young). Les deux trous agissent alors comme deux sources ponctuelles émettant de la lumière dans deux cônes divergents par diffraction. Là où ces cônes se superposent, il apparaît une alternance de traits sombres et clairs, appelés « franges d’interférences », à l’intérieur d’anneaux de diffraction (Fig. 14.1). a) b) Figure 14.1 Expérience d’Young La superposition des cônes de lumière diffractés par les trous donne des franges d’interférence rectilignes à l’intérieur d’un système d’anneaux de diffraction concentriques. Th. Young, in Philosophical Transactions (1802), cité par V. Ronchi dans Histoire de la Lumière (1956), Ed. J. Gabay. Young a formulé une « loi d’interférences » qui rend compte de cette observation : Loi d’interférences de Young « Lorsque deux portions de la même lumière arrivent à l’œil par des voies différentes (...), la lumière est au maximum d’intensité lorsque la différence des chemins parcourus est un multiple d’une certaine longueur, et au minimum d’intensité pour l’état intermédiaire des portions interférentes » 292 “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 293 — #303 14.2. Interférences lumineuses à deux ondes Cette « certaine longueur » dont parle Young est en fait la longueur d’onde de la lumière. La figure 14.2 montre un exemple de franges d’interférences à deux ondes : Figure 14.2 Exemple de franges d’interférences à deux ondes Franges de coin d’air d’un interféromètre de Michelson. (Photo Ch. Balland) Voir site web 14.2.2 Interférences à deux ondes obtenues avec une source ponctuelle monochromatique a) Calcul de l’intensité Considérons deux vibrations sinusoïdales d’amplitude s1 et s2 issues d’une même vibration s émise par une source ponctuelle et monochromatique de longueur d’onde l. Les deux vibrations parcourent des chemins optiques différents à travers deux parties d’un dispositif optique, appelé interféromètre (par exemple, celui de l’expérience d’Young) et se superposent dans l’œil de l’observateur ou au point M d’un écran à un instant t. On a la somme des deux vibrations en M à l’instant t : Voir chapitre 13 Voir chapitre 11 Dunod – La photocopie non autorisée est un délit s1 (M, t) + s2 (M, t) = A cos(vt) + A cos(vt + w(M)). L’amplitude A des deux vibrations est la même car elles sont issues d’un même rayonnement émis par une source unique (on suppose que les atténuations éventuelles subies par les deux ondes lors de leur parcours sont les mêmes). La phase w(M) traduit la différence de phase (déphasage) introduite entre les deux vibrations par la différence de chemins parcourus dans le dispositif. Celle-ci s’exprime comme : w(M) = 2p d(M) . l Différence de marche d(M) La différence de marche d(M) est la différence de chemin optique parcouru par chacune des ondes dans les parties 1 et 2 du dispositif et qui se superposent au point M : d(M) = [SM]2 – [SM]1 . La somme des deux vibrations en M peut se simplifier en : w w s1 (M, t) + s2 (M, t) = 2A cos cos vt + . 2 2 293 i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 342 — #352 i Chapitre 16 • Électrostatique À retenir Les particules chargées électriquement, positives et négatives, sont présentes dans tous les objets ; elles interagissent ensemble (loi de Coulomb), de manière attractive ou répulsive selon leur signe. On peut décrire une distribution continue de charges par une densité de charge : volumique m(M), superficielle ou surfacique s(M), ou linéique l(M), selon le cas. Les caractéristiques électriques de l’espace autour d’une charge ponctuelle ou d’un ensemble de charges peuvent être décrites par un champ vectoriel électrostatique et un potentiel électrostatique (pour des charges supposées immobiles). La charge élémentaire, correspondant à la charge électrique d’un proton, est approximativement de 1,6 · 10−19 C. Interaction électrostatique entre deux charges ponctuelles : #– #– u qq′ · 2 F = 4p´0 r Champ électrostatique créé au point M par une charge ponctuelle q placée en O : #– #– u q E = · 2 4p´0 r # – #– où r = k r k = OM et #– u vecteur unitaire dirigé de O vers M. Potentiel électrostatique créé au point M par une charge ponctuelle q placée en O : q + constante V = 4p´0 r Relation entre le champ et le potentiel électrostatiques : #– #– dV = − E · dl ou # – #– E = −grad V Théorème de Gauss : il faut impérativement utiliser une surface fermée pour calculer le flux afin de pouvoir déterminer les charges contenues dans le volume délimité par cette surface fermée ; de plus, il faut que la distribution de charges comporte suffisamment de propriétés de symétrie et d’invariance si l’on veut déterminer le champ électrique créé par cette distribution de charges à l’aide de ce théorème ; lorsque cela est possible, le calcul est alors beaucoup plus rapide et plus simple que par un calcul « direct » à partir de charges élémentaires. F= { #– # – Qint E · dS = ´0 S 342 i i i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 343 — #353 i Exercices Les solutions sont regroupées p. 612. 16.1 Force électrostatique et force de gravitation Comparer les forces électrostatique et gravitationnelle s’exerçant entre un électron et un proton, considérés comme ponctuels, et espacés du rayon de Bohr a0 ≈ 53 pm. Comment le rapport des deux forces dépend-il de la distance ? 16.2 Champ électrostatique au centre d’un demi-cercle uniformément chargé La charge électrique Q est uniformément répartie sur un demi-cercle de centre C et rayon R. Déterminer l’expression du champ électrostatique créé en C par cette distribution. 16.3 Champ créé sur ses axes de symétrie par un segment chargé Un segment FF’, de longueur 2D, porte la charge linéique uniforme l. L’origine O étant prise au milieu de FF’, on prendra l’axe des x selon FF’ et l’axe des y perpendiculaire à Ox. On considère le point A sur Ox et le point B sur Oy tels que O A = O B = a, avec a > D. Déterminer : a) le champ produit au point A par le segment chargé. b) le champ produit au point B par le segment chargé. 16.4 Potentiel au centre d’un disque chargé uniformément ou pas Un disque, de centre O et de rayon R, porte la charge surfacique s. a) Calculer le potentiel électrique V en O, lorsque la distribution est uniforme : s = s0 . La charge surfacique s est maintenant donnée par : s(r) = A/(R2 – r2 )1/2 où A est une constante et r la distance à O. Dunod – La photocopie non autorisée est un délit b) Calculer le potentiel électrique V en O, et l’exprimer en fonction de R et de sC = s(O). Aide : pour le calcul de l’intégrale, on pourra faire un changement de variable, en introduisant a défini par sin a = r/R. c) Exprimer la charge Q du disque en fonction de V et de R 16.5 Calcul du champ produit par un quadrupôle axial à partir du potentiel Un quadrupole axial comporte trois charges ponctuelles q, – 2q et q, placées respectivement aux points (0, 0, – d), (0, 0, 0) et (0, 0, d). On admet que le potentiel qu’il produit en un point M éloigné est, en coordonnées 3 cos2 u − 1 · qd 2 sphériques, V (r , u, f) = . 4p´0r 3 Chercher l’expression du champ électrostatique correspondant. 343 i i i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 557 — #567 i PROBLÈME GÉNÉRAL : PHYSIQUE DANS L’ESPACE uite à la Seconde Guerre mondiale et avec la guerre froide qui a suivi entre les ÉtatsUnis et l’Union Soviétique, la conquête spatiale a été un enjeu politique majeur, mais a été avant tout un immense défi scientifique et technologique. Le développement des fusées, des propulseurs, des matériaux, etc., ont permis à l’homme de voyager dans l’espace pour arriver à marcher sur la Lune en juillet 1969, et à mettre en place à partir des années 1980, une station spatiale permanente en orbite autour de la Terre. Les différentes branches de la physique sont concernées par ces vols spatiaux : la mécanique pour les trajectoires et la relation avec l’attraction gravitationnelle de la Terre, la thermodynamique pour la propulsion et les combustibles, l’optique des satellites mis en orbite autour de la Terre, les rayonnements électromagnétiques dans l’espace, l’alimentation électrique des satellites et engins spatiaux, les transmissions des vols habités vers la Terre, la physique relativiste notamment pour les vols longs dans le système solaire. Dans le problème qui suit, nous avons centré notre étude sur deux engins spatiaux emblématiques de notre époque : la fusée Ariane V européenne et la navette spatiale américaine. Les différentes parties traitent alternativement de ces deux moyens de transport essentiels qui permettent à l’homme d’envoyer de nombreux satellites en orbite autour de la Terre, ou de rallier la station spatiale internationale pour permettre une meilleure compréhension de la vie dans l’espace. S PARTIE I. MÉCANIQUE DES VOLS SPATIAUX 1. Lancement de la fusée Ariane V et mise en orbite géostationnaire d’un satellite 1.1. Décollage de la fusée Ariane V La fusée Ariane V initialement immobile est lancée verticalement, à partir du sol, avec une accélération telle qu’en 1 minute et 34 secondes elle atteint la vitesse de 1 km · s–1 . Donner les expressions, en fonction du temps, de la vitesse acquise et de l’altitude atteinte au bout du temps t. Calculer numériquement la vitesse atteinte à une altitude de 100 km et le temps nécessaire pour atteindre cette altitude. 1.2 Fusée de masse variable en vol La propulsion de la fusée est assurée par la combustion de différents produits (poudres, propergol). Les gaz résultant de la combustion sont éjectés vers l’arrière avec une vitesse constante #– u r parallèle à l’axe de la fusée. La fusée maintenant dans l’espace, loin de toute masse, peut être considérée (pour simplifier) comme un système isolé 557 i i i i i “Gautron_9782100543007” (Col. : ScienceSup3-193x250) — 2010/6/15 — 17:13 — page 573 — #583 i SOLUTION DU PROBLÈME GÉNÉRAL PARTIE I. 1.1. Décollage de la fusée Ariane V 1000 (m.s−1 ) = 10,64 m.s−2 94 (s) La vitesse s’écrit : v = a.t et la variation d’altitude avec le temps s’écrit : z(t) = a 2 · t ; donc pour z = 100 km on obtient t = 137 s et v = 1,46 km · s–1 . 2 L’accélération vaut : a = Remarque En fait au bout de 137 s, la fusée est à environ 67 km d’altitude car du fait de l’attraction gravitationnelle, la trajectoire s’incurve et ne suit pas exactement la verticale. 1.2. Fusée de masse variable en vol u a = #– u r + #– v ; en projetant sur l’axe 1.2.1 D’après la loi de composition des vitesses : #– u a puisque le x’x de la fusée on obtient : u a = −u r + v, avec u a mesure algébrique de #– signe de u a dépend des valeurs relatives de ur et v. A.N. : u a = −2,8 km·s−1 pour v = 2 km·s−1 ; u a = 1,2 km·s−1 pour v = 6 km·s−1 1.2.2 a) En considérant la fusée comme étant isolée, on peut écrire la conservation de la quantité de mouvement entre les instants t et t + dt : (M0 − m) · v = (M0 − m − dm) · (v + dv) + dm · (v − u r ) ce qui donne : dv = u r · dm . (M0 − m − dm) Si dm est petit devant m, on a : dv = u r · dm . (M0 − m) dM . M b) En intégrant l’équation différentielle entre les instants t = 0 et t, on obtient : Si on écrit M = M0 − m, alors on a : dM = −dm et donc : dv = −u r · M = M0 · e − uvr Donc la masse de la fusée est une fonction exponentielle décroissante de sa vitesse. c) À partir de l’équation différentielle, on obtient l’expression suivante : M0 v = u r · ln M 573 i i i L. GAUTRON et al. SCIENCES SUP Sous la direction de Laurent Gautron C. Balland, L. Ferrand-Tanaka, A. Angelié, L. Cirio, C. Sylvestre, J.-L. Battaglia, Y. Berthaud, J. Denape, A. Monavon, J.-Y. Paris Sous la direction de Laurent Gautron C. Balland, L. Ferrand-Tanaka, A. Angelié, L. Cirio, C. Sylvestre, J.-L. Battaglia, Y. Berthaud, J. Denape, A. Monavon, J.-Y. Paris PHYSIQUE PHYSIQUE CHIMIE SCIENCES DE L’INGÉNIEUR INFORMATIQUE SCIENCES DE LA VIE SCIENCES DE LA TERRE LICENCE MASTER DOCTORAT 1 2 3 4 5 6 7 8 6 69 6637 ISBN 978-2-10-054300-7 www.dunod.com PHYSIQUE MATHÉMATIQUES TOUT-EN-UN POUR LA LICENCE Cet ouvrage couvre le programme de Physique des deux premières années de Licence (Physique, Sciences de la Matière). Il accompagnera l’étudiant tout au long de l’année dans l’apprentissage quotidien des connaissances et les révisions d’examens. 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