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PROJET :LOI DE décentralisation :
En adéquation avec la nécessité de former
un individu adaptable LO 89
Idéologie et politique d’un discours sur l’éducation
dimension axiologique : humaniste (pr que enfants autofinalise leur travail) /psychologique (l’individu est
perfectible)/sociologique (survie identitaire d’un group
social donné)
dimension ontologique : la loi d’orientation, les missions
de l’enseignant, traduisent les orientations du système
éducatif
dimension épistémologique (a qui s’adresse t’on ds quelles
conditions)
En Europe
On rejoint le discours de la Ligue Internationale de
l’Education Nouvelle pour qui l’éducation consiste {
favoriser le développement aussi possible que complet
des aptitudes de chaque personne à la fois comme
individu et comme membre d’une société régie par la
solidarité
CHOMAGE / VIOLENCE
Instruire, éduquer ,….
Toute politique éducative s’enracine dans une idéologie
LM. LEGRAND Les politiques de l’éducation. Que sais-je ?
n°2396 1994. Projet et mise en oeuvre
Le rapport { l’UNESCO de J. DELORS
« l’éducation, un trésor est caché dedans »
1996 distingue 4 piliers { l’éducation :
apprendre à connaître ( acquérir les
instruments de la compréhension),
apprendre à faire (pour pouvoir agir sur
son environnement), apprendre à vivre
ensemble ( afin de coopérer et de
participer avec les autres) et apprendre à
être (épanouissement dans la complexité
de ses expressions et engagement).
D’une société
Un HUMAIN ET 6 Milliards d’autres !!
LE CITOYEN / la LOI
« ERRARE HUMANUM EST »
UN PROF + AVANT TOUT une PERSONNE.
Il existe un effet enseignant ds la réussite des élèves.
L’attitude de l’E est un élémt – clé ds l’efficacité de la
leçon d’EPS. Corrélation entre la personnalité de l’E et
l’équilibre émotif des élèves.
L’attitude de l’E comme élément fondamental ds la
transformation des élèves est notamment soulignée par
P.IRLINGER, M.METOUDI, J.VIVES ( « La bonne
péda »EPS n *180. 1989). Ils mettent en relief :
-l’autorité(faire preuve de clarté et de précision ds la
communication) et l’aisance( l’assurance de l’E)
-le dynamisme, le rayonnement (« désigne le maître qui
détient une certaine potentialité de séduction), la
présence
-la présentation et la disponibilité vis-à-vis des élèves
ont une imp pr leur représentation.
« De nombreux pays luttent actuellement
contre l’échec scolaire. OR la réalité
résiste { cette lutte contre l’exclusion des
savoirs d’une partie de la population. Une
exclusion, qui pourtant empêche un être
humain d’exercer pleinement »n ses
droits et devoirs de citoyen. (<E. VELLAS
Donner du sens aux savoirs { l’école :
pas si simple. 1996
CHOMAGE
Lien entre savoirs et citoyenneté.
P. GOIRAND Obstacles à la formation pour les élèves et
les enseignants EPS n° 245. 1994 identifie 3 obstacles
enseignants : épistémologique (modes d pensée) /
didactiques (conception trop techniciste) et
psychologiques (remise en cause de la compétence
professionnelle et de l’mage de soi.
1èrer qualité la justice et l’équité ainsi que le
respect et l’autorité.
Le regard de la philosophie de l’éducation
G.MIALARET ( Pédagogie générale. PARIS. PUF. 1991)
qu’il ne peut y avoir d’éducation sans philosophie, c{d
sans réflexion et connaissance de son action.
La philo de l’éducation décline en 3 Q : axiologique ( a ton le droit et le devoir d’éduquer ?), ontologique (quels
sens donner aux finalités, aux méthodes, aux contenus ?),
épistémologique ({ qui s’adresse t-on, quel contexte
temporel et sur quoi intervient-on ?)
L’éducation c’est « l’action d’une culture sur une nature »
( J.ULMANN. Sur quelques problèmes concernant l’EP.
EPS n*81. 1996).
O.REBOUL ( La philo de l’éducation. Que sais-je ? n*2441.
1994) « la fin de l’éducation est de permettre { chacun
d’accomplir sa nature au sein d’une culture qui soit
vraiment humaine ».
« Une éducation réussie est celle qui donne envie et les
moyens de la poursuivre » O.REBOUL Qu’est ce
qu’apprendre ? 1980.
L’éducation est par excellence projet mais un projet aux
fins lointaines : minimum 10 années de scolarité
obligatoire.
« l’éducation ne s’enseigne pas { proprement parler, mais
pour éduquer quelqu’un il est nécessaire de lui proposer
divers apprentissages » A. HEBRARD « a toutes fins
utiles » Dossier EPS n°29. 1996
Combien de jeunes quittent l’école sans diplôme.
S. FREUD considérait l’enseignement comme un métier
impossible car « on peut être sr d’une succès insuffisant »
dans la mesure où le travail n’est jamais fini.
P. MEIRIEU L’école, mode d’emploi 1990 : l’enjeu du
métier est « de faire apprendre plutôt que d’enseigner ».
On retrouve ces dimensions éducatives à
travers les missions de l’enseignant :
former( développement des aptitudes et
capacités), éduquer (valeurs) et instruire
(connaissances et compétences).
Du système éducatif
Les deux problèmes essentiels sont de gérer « culture
scolaire et culture juvénile » ( selon F.DUBET Ecole : la
question du sens, 1997)
La seule voie envisageable est celle de la
discrimination positive où la communication doit
avoir une place centrale
J.A.MEARD et S.BERTONE ( « L’élève qui ne veut pas
apprendre en EPS » EPS n*259. 1996) distingue 3
étapes :
-de l’anomie (absence de
règles) { l’hétéronomie( obéissance avec contrôle ext) à
l’auto-régulation (reconnaissance de la nécessité de la
règle) { l’autonomie (négociation de la règle). Cette
perspective relativise le concept de projet de l ‘élève(
but, repères/réussite, obstacles). L’autonomie peut se
déclinent sur des aspects affectifs, intellectuels,
psychologiques, et relationnels.
La citoyenneté (solidarité et responsabilité)
A.ETCHEGOYEN ( Des libertés sous influence. 1997)
distingue la civilité(apprentissage de la socialisation, du
vivre ensemble), le civisme(càd les valeurs telles que
solidarité, honnêteté, respect d’autrui) et la
citoyenneté (prise de responsabilité, décision).
Le praticien réflexif
« La compétence pro de l’E procède de son expé et
surtout de l’expé réfléchie, c{d d’une action mise
texte »( M.DURAND et G..ARZEL. 1996).
Le but est de comprendre que les incidents critiques
(évènement jugé négatif qui intervient ds la situation
d’Emt), qu’ils soient didactiques ou péda, st inévitables
et que c’est leur identification et leur régulation qui st
fondamentales, et non la mise en œuvre, tjs utopique,
d’une planification ou d’une régulation rationnelle.
La réflexion en action (SCHON 1983) ou
l’improvisation planifiée (TOCHON 1993) cité par M.
DURAND Recherche en enseignement des
professeurs d’EPS. Dossier EPS n°28. 1996
L’enseignant est capable d’identifier et d’analyser les
difficultés d’apprentissage des élèves, de tirer le
meilleur parti de leur réussite et de leur apporter
conseil et soutiens personnalisés avec le souci de les
rendre acteurs de leur progression » Circulaire du 23
mai 1997 mission du prof.
L’ECHEC SCOLAIRE
’évaluation : quelle logique scolaire ?
combien de jeunes quittent
le système scolaire sans
Rôle et caractéristiques de l’évaluation
qualifications ?
Quelle réussite scolaire (accès à tous aux compétences et
5 fonctions (R.BEGARRA. obj. buts et finalités de
connaissances)
l’évaluation.INRP. 1980)
Quelle réussite en terme d’épanouissement (personnelle et au sein-communiquer : { l’évalué, d’où la nécessité d’un
d’un groupe)
code
Quelle réussite sociale, c{d la capacité { s’adapter et { s’insérer dans
-décrire : rendre compte { l’aide de critères, de la
un environnement nouveau (AS, Club, etc)
situation et de son évolution
-comprendre : en multipliant les infos
Lacune au niveau de la lecture et écriture dès l’école primaire.
-prévoir : visée prospective grâce à une attitude
La déscolarisation ou le décrochage scolaire.
dynamique de l’enseignant
Repérage de l’élève par rapport { une norme donnée JC
-décider : faire un choix par rapport aux obj fixés et
FORQUIN L’approche sociologique de la réussite et de
aux observations réalisées
l’échec scolaire Revue de l’INRP n°59/60. 1982
L’institution tolère bcp plus le timide que l’agité.
Pourquoi cet échec scolaire ?
B. CHARLOT et coll. Ecole et savoir ds les banlieues ..et
ailleurs. 1992 : La théorie du capital humain (idéologie du
don) Sociologues : reproduction P BOURDIEU Et JC
PASSERON (LA reporduction1970) enfants des
différentes CSP se trouve à une distance inégale de la
culture scolaire.
La théorie du handicap socioculturel
Le théories de la singularité ou de l’expérience scolaire : « la
relation entre origine sociale et réussite scolaire n’est pas u Ne
fatalité mais un phénomène complexe qui évolue « B. CHARLOT
. le sens des études ne va plus de soi ( on va é l’école pr apprendre est
dépassé !L) Elève en échec rejettent le système pr préserver leur
estime d soi.
Interdisciplinarité. Toute les disciplines
participent aux finalités du SE :éduquer,
instruire,…Transmettre des méthodes de
travail (LO 89). Développer la
personnalité, élever niveau de formation,
insérer l’élève dans la vie sociale, exercer
sa citoyenneté.
3 types de rapport entre EPS et aux autres
disciplines :
identité : objectifs communs
complémentarités (SVT :effort, hygiène, ),
arts (imaginaire, musique,..) éducation
civique, { l’histoire, aux TICE
Originalité : le support corps.
B. BLOOM et sa pédagogie d maitrise : les
aptitudes initiales déterminent le temps
d’apprentissage et non pas le niveau
terminal.
Pour une réussite du + gd nb.
Les dérives de
l’évaluation ( R.DHELLEMMES « L’EPS
mise en Q par l’évaluation »in Méthodo et
didq de l’EPS . Dossier AFRAPS n*5 . 1988)
instrumentaliste :l'évaluation se substitue
{ l’Emt
-objectiviste :
on ne peut pas évaluer ts les obj
-intellectualiste : apogée des
connaissances déclaratives.
analyste :évaluer une prestation identique
de multiples points de vue.
<En EPS : les comportement s
instrumentaux (au sein de l’action): de
nature physique (pousser bousculer ?;;) et
les tricheries
Les comportements réactifs (en dehors du
contexte d’une action de jeu : de nature
verbale : crier… et de nature physique
(bousculer, frapper un adv.…)
Voir stat scolaires.
Importance de la personnalité du chef
d’établissement ou du nombre d’élèves
Ce sont des comportements d’expression
comme les autres ! pour P. KARLI. EPS
interroge.. EPS n°210. 1988
Penser aux incivilités, au climat.
Notion de souffrance, de victime qui vit
l’agression.
Retrouvons une culture républicaine : socle commun ?
Projet d’établissement : Avantage politique (crédibilité
de la discipline) pédagogique (planification et régulation
d l’enseignement) et personnel. (enseignant au centre des
décisions et solidaire des autres, adaptabilité de la
discipline.
Dans un EPLE
L’AS offre { ce niveau des occasions concrètes
d’organisation et d prise de décision.
CONTRAT DIDACTIQUE et PEDAGOGIQUE
1-Effet pygmalion (les croyances en EPS 5 sortes
DURAND et J. RIFF in relation péda et appss en EPS :
effets des croyances de maitres et élèves ion JPF. P.
FLEURANCE et Y. TOUCHARD Appss mot : rôle des
représentations ; 1991
2-l’effet topaze (on gomme les connaissances visées Ex
de la dictée moutons Ss)
3-L’effet Jourdain (Molière) l’enseignant admet de
reconnaître une connaissance savante dans les
comportements de réponses des élèves.
4-l’effet boomerang traduit l’effet contraire aux
attentes.
Différence entre contrat social et contrat didactique. Le
1er est à résoudre prioritairement.
ECHEC / moyenne nationale
Le mauvais élève incarne le miroir brisé, obligeant
l’enseignant { faire le deuil de sa bonne image » F.
LABRIDY NI banalisation ni dramatisation in
Méthodologie et d didactique e l’EPS AFRAPS 1989
Rapport de complémentarité entre élèves et enseignant
plutôt que hiérarchiser !
L’école développe 4 types de culture :
scripturaire, rationalité, artistique et
corporelle (M. DEVELAY EPS, discipline
scolaire. Contre pied n°1 1997
2ème objectif : le patrimoine culturel
la voie d’une « écologie scolaire » qui
intègre acculturation et développement
personnel nous semble exploitable
Question du transfert
Il est couramment admis que la pratique
physique a des effets bénéfiques sur la
santé. L’accroissement de la
minéralisation osseuse, la réduction du
risque cardio-vasculaire, la limitation de
graisse dans le corps, le renforcement de
la ceinture abdominale, la diminution de
la tension artérielle, l’amélioration du
fonctionnement cardio-respiratoire, etc…
mais aussi des facteurs plus larges telles
que l’estime de soi, un meilleur contrôle
émotionnel, un rel}chement mental, etc…
La maladie, l’obésité, la dépression.
Contexte marqué par une diminution du
tps de travail, évolutions des styles de vie
(sédentarité, hygiène de vie,),
prolongation de la durée de vie et les
loisirs
SANTE = bien être physique, social et
mental.
Conception dynamique de la santé (JP
KORALSZTEIN la santé { l’épreuve du
sport. 1986) en insistant sur
l’épanouissement du sujet.
Elève = Futur consommateur (pratiquant,
spectateur) de loisirs sportifs.
La vie physique = santé, sécurité et
autonomie.
Dans une perspective éducative,
J.EISENBEIS et Y. TOUCHARD(
L’éducation { la sécu. Eds EPS.1995)
expliquent « il s’agit de viser
l’appropriation, par les élèves, de C leur
permettant, ds le cadre de l’école, {
l’extérieur de l’école et plus tard ds leur
vie d’adulte, de gérer leur sécu et celle
d’autrui
Nécessité d’une adéquation entre le
comportement de l’individu et le milieu ds
lequel il évolue.
Quelle statistiques de pratiquant ? Evolue
t’il en club ou associations ?
Créer un Habitus santé
( P.BOURDIEU. L’habitus est un système
de dispositions innées et durables qui
intègre ttes les expés passées et qui
fonctionne à chaque moment comme une
matrice de perception, d’appréciation et
d’action. Elle explique les motifs de
pratique des élèves.
Organisation de la vie physique définit par
les critères qui permettent de pratiquer
une APSA :envie de pratiquer, confiance
en soi, sécurité et l’entretien de la vie
physique par ce qui permet la poursuite
de la pratique : habitudes de pratique,
bien être physique et psychologique.
Comment prouver par les faits à l’élève
l’intérêt de pratiquer, d’entretenir sa
santé ?
3ème objectif : santé GSVP
Interdépendance des notions de
responsabilité, solidarité, autonomie, et
citoyenneté qui se nourrissent
mutuellement
passer d’une conception passive ( de la
responsabilité, de la sécu,…) { une
conception active, càd une conception
basée sur l’anticipation, la préparation
aux évènements futurs.
« c’est pendant les moments-clés de la vie
que s’enracine dans la personnalité les
schémas de pensée et d’actions qui
guideront les comportements du futur
adulte. Le gout, l’indifférence ou le dégout
pour les exercices du corps se façonnent
en partie pendant les cours d’EPS » (B.
PARIS L’école prépare t’elle les adultes
e demain à bien gérer leur vie
physique ? Dossier EPS n°22.
1996Connaissance
EPS = Amélioration du corps
et de ses pouvoirs.
1er objectif
La motricité, objet 1er de l’EPS : capacités
et ressources :analyse des CE dans une
triple logique : culturelle (logique de
l’activité) et développementale
(sollicitation et développement des
ressources)
méthodo, sur soi, entrainement, sécurité,
relaxation, …mais rétroactions difficiles {
transmettre dans cet apprentissage.
COGERINO (3gestion de la vie physique »
EPS n°251. 1995) la santé en EPS se
justifie par : un bien être physiques
psychologique personnel à travers une
connaissance plus approfondie de soi, une
meilleure estime de soi, un aspect
relationnel. + aspect préventif et
sécuritaire. Mobilisation pertinente des
ressources ds la perspective d leur
entretien voire de leur amélioration /
Repères pour ailleurs et plus tard / établir
lien entre sa pratique et les sentiments
qu’il ressent notamment plaisir de
pratiquer, gout d l’effort et
épanouissement personnel
3 OBJECTIFS
Le développement et la mobilisation des ressources
individuelles favorisant l’enrichissement de la
motricité
L’éducation { la santé et { la gestion de la vie
physique et sociale
L’accès au patrimoine de la culture physique et
sportive
faire intégrer des valeurs
intention commune à ttes les disciplines.
Pour « faire comprendre aux élèves la
portée des valeurs qui st à la base de nos
institutions »(Missions du prof)
-L’attitude, le comportement,
l’investissement, l’enthousiasme sont
autant d’éléments qui
font que l’on enseigne aussi et avt tout ce
que l'on est.
Projet EPS : 4 caractéristiques du projet péda :
-c’est un outil pensé comme un « ensemble articulé
d’objectifs et de moyens destinés à les réaliser »(
M.MALGLAIVE « La formation alternée des
formateurs. Revue française de péda n*30. 1975)
-c’est un outil collectif :
-c’est un outil collectif et unique : c’est une réponse
originale { une situation unique. Mais des fois ce n’est
qu’une réponse { une exigence institutionnelle.
\-c’est un outil collectif, unique et évolutif :son évolutivité
est fondamentale pour conserver son utilité et sa
pertinence.
.Compétences (mobilisation des ressources G. LEBOTERF
De la compétence, essai sur un attracteur étrange 1994) )
et connaissances (incorporées (savoirs) et
conscientisées)
CP et CMS
Le projet péda comme facteur de transformation
Il doit viser plusieurs finalités.
Clarifier et spécifier les objectifs
Réflexion politique . Qui veut-on former ?
3 paramètres pour choisir les obj :
-l’analyse des élèves
-caractéristiques de l’établissement
-les textes qui organisent l’école et la discipline.
Définir les modalités d’organisation
A partir des obj mais aussi des ressources et contraintes
matérielles, humaines et institutionnelles on peut faire
d’autres choix :
Préciser les acquisitions attendues
Les penser en termes d’apprentissage et non de cycles.
Evaluer les différentes étapes du projet péda
Pour qu’il demeure l’outil principal d’organisation péda et
didactique de l’enseignement de la discipline au service de la
transformation des élèves.
EPS en adéquation avec cette triple
intention : « former par la pratique des
APSA, un citoyen cultivé [instruire],
lucide, autonome [former] et responsable
[éduquer] de la conduite de sa vie
corporelle ». (prog lycée 2000
A.HEBRARD (l’EP ds l’école. In EP scolaire,
personne et société. 1997) « l’EPS est bien
une discipline scolaire en ce sens qu’elle
transforme, façonne, utilise à des fins
d’éducation les pratiques sociales
auxquelles elle prépare »
D’une discipline
On retrouve chez J-P. CALLEDE (Dire et/ou faire .
Colloque de Limoges. EPS et citoyenneté. 1997) ces
3 axes { travers l’éducation individuelle (apprentissage
des règles) , la communication (éléments de la
culture)et la participation
A. DAVISSE 1997 « il faut construire des contenus
disciplinaires disciplinant »
Enseignant est l’artisan de la réussite de tous et de
chacun. Si réussir c’est transformer un comportement
qui échouait, cela suppose l’acceptation par le sujet de
l’idée même de transformation susceptible d’engendrer
dans un 1er tps un échec.
L’enseignant devra créer les conditions d’un
vouloir (investissement affectif, plaisir) réussir,
d’un pouvoir (contraintes des taches, décalage
optimal) réussir et
d’un savoir (rendre conscient des outils utilisés)
réussir.
ECHEC EN EPS
1-l’éavualtion porte encore sur des aptitudes
2-ne pas trop fonder l’EPS sur ces capacités d’abstractions
d compréhension
3- le rapport au corps
4-inégalité des sexes.
Etablir une évaluation faisable, fiable
(validité des relevés), et fidèle (évalué ce
qu’on a enseigné).
L’élève qui échoue c’est celui n’a pas acquis ds les tps
prévus les savoirs que l’institution ds les programmes
prévoyait qu’il apprenne (V. ISAMBERT JAMATI quelques
rappels de l’émergence d l’échec scolaire comme
« problème social » dans les milieux péda français. 1985
Problème d’intégration de la loi. P. MEIRIEU.
Ex en natation :
Travailler sous forme de contrat( atteindre les savoir
nager), 3 enseignants pr 2 classes, gr de niveaux,
motivation, …
PRO-JET et POST-JET
Dans un cursus
D.DELIGNIERES et C.GARSAULt (« Apprentissage et
utilité sociale : que pourrait-on apprendre en
EPS ? »Dossier EPS n*29. 1996) plaident pour la
formation d’une citoyenneté sportive sur 5 plans : viser
la gestion de la sécu ds les pratiques à risque, la gestion
de son capital santé au travers de la pratique des APS,
la gestion de ses apprentissages et de Sa préparation à
la pratique, une formation à la gestion collective de
projets, une formation à la conso éclairée et critique du
spectacle sportif.
Les routines
F. V. TOCHON (L’enseignant expert. 1993) déf les
routines comme des « plans intériorisés par l’expé,
automatisés, qui guident l’action ds une direction la +
favorable ss requérir à une analyse approfondie du
contexte ». Elles st fondées sur des images mentales
anticipatrices.
limite / Les routines -> éco décisionnelle. Mais
expérience ne rime pas forcément avec expertise.
Brevet, CAP, BEP , BAC PRO, BAC
Sanctionner, homologuer le niveau atteint.
Attention aux contenus formalisés et
décontextualisés qui ont une part importante dans
l’échec scolaire J. MARSENANCH. EPS, Quel
enseignement ? 1991
Brevet des collèges 1987
3 APS dont une au moins à barème. 2/3
évaluation des conduites motrices (perf et
habileté) et
1/3 { l’évaluation des connaissances
pratiques, { l’investissement et aux
progrès.
Evaluation des connaissances :postulat
cognitiviste selon lequel on apprend
mieux quand on comprend ce que l’on
fait..
LIMITES : G. COMBAZ a prouvé que plus
les épreuves d’EPS s’alignaient sur celles
des autres disciplines et plus on
reproduisaient les inégalités qui existait
ailleurs.
Ces dimensions (A, R , S et C) se transmettent à
travers les processus d’acquisitions des savoirs par
les élèves, sans jamais etre sur de leur
appropriation stable et durable.
CONTENUS : Prise en compte des dimensions culturelles,
(anthropologie) , choisis en s’appuyant sur l’organisation
motrice dominante de l’élève (épistémologie ) et doivent
être présenté de manière { engager l’élève dans une
activité d production de technique (dim. psychologique)
Les VALEURS de la REPUBLIQUE :
liberté, égalité, fraternité
Une finalité
L’EPS a pour finalité de former un citoyen, cultivé, lucide,
autonome, physiquement et socialement éduqué. BO
collège Août 2008
Connaissances à acquérir :
PJP FAMOSE les recherches actuelles sur
l’apprentissage moteur. In recherche et pratique des
PAS. Dossier EPS n)28 1996
-procédurales « si..alors.. »
-déclaratives : connaissance des théories et objets
-stratégiques : exercer un degré de contrôle sur son action
selon M. DURAND « Apprentissage, stratégies d
recherche et optimisation de la perf. In JP FAMOSE
Cognition et perf. INSEP 1993.
-affectives : émotions. Sentiment d compétence lié au
plaisir ressenti.
-les habiletés motrices (progrès obtenus que par
répétition.
« Ce qui me paraît fondamental, ce qui
vraiment m’intéresse, c’est le rôle éducatif
des profs de gym comme on dit. Le prof de
gym est aussi prof de qqchose d’autre, il
est aussi éducateur ; et ds l’enseignement
actuel, il est l’un des rares, peut être le
seul, à décloisonner sa discipline, à
aborder l’enseignement sous l’angle d’une
éducation totale, et c’est ce qui
m’intéresse en EPS. » O.REBOUL EPS
n*229. 1991
LA mixité : permettre { tous d’accéder { une culture
commune, ce qui ne signifie pas forcément copratiquer .Exemple en gym : l’acrobatie pour les
garçons et l’esthétique pour les filles. L’égalité en gym
c’est bien d’amener { faire vivre { tous le défi et
l’élégance.
D.HERRERO. Passion ovale 1990 Toi qui
est toujours en quête de ta place { l’école,
ne copie pas les as de la pédagogie d
laboratoire. T’es le plus fort car avec toi
les enfants rien, s’éclatent, ils transpirent.
Fais les jouer je t’en supplie ; du jeu,
encore du jeu. C’est dur d’être enfant en
ville.
Elle peut porter sur des modes d’entrée, des progressions
ou des évaluations. Mais question de l’équité ?
Projet de l’enseignant
Pédagogie du projet
Permettre { l’élève de se fixer soi-même un but à des
conséquence motivationnelles, sentiment d liberté et
donc d plaisir. (DD et G. GARSAULT « apprentissage et
utilité sociale : que pourrait on apprendre ne EPS ?
Dossier EPS n) 29. 1996 : « le plaisir lié a un
sentiment d’autodétermination lors des choix et des
conditions de l’action «
D’une année
Construire la règle / Repères sur les valeurs/
Structuration des contenus pour renforcer les
sentiment d compétence pour s’engager ici et ailleurs
et plus tard.
L’évaluation en général : formative (diagnostiquer et
prescription fine en rapport avec les prestations d tous
les élèves., formatrice (outil d’apprentissage, accès par
l’élève aux critères d’évaluation)
P. GOIRAND (LE projet d el’élève. Spirales n°7. 1994) :
« l’élève qui s’investit dans des situations de désir et
d’intérêt construit un rapport { l’objet positif »
L’évaluation comme facteur de
transformation
2 pistes pr l’organisation de
l’enseignement :
1-une
évaluation inductrice de CE appropriés :
en fixant par avance les critères de
l’évaluation : -identifications des
acquisitions nécessaires (conditions que
l’élève doit intégrer pr réussir)
-la manière de
permettre ces acquisitions : rapport au
savoir et manière d’apprendre.
Le but reformulé par l’élève, inductive du
déclenchement, de la finalisation et de l’organisation
des actions (JF CHATILLON 1992
2-l’evaluation
induit une mise en activité des élèves : les
procédures d’évaluation doivent être
connues de tous en début de cycle : une
stratégie par rapport { l’outil d’évaluation
ou ds ses propres apprentissages. EPS
cognitiviste : on apprend mieux quand on
comprend ce que l'on fait.
Attitude réflexive de l’élève (Etienne et coll. Le projet de
l’élève. 1992)
Pas d’apprentissage sans connaissance du
résultat. (C. GEROGE. Apprendre par
l’action 1983)
-la structure de la leçon d’EPS nécessite la participation et
la construction des différentes règles pr que l’activité
puisse fonctionner et transmettre des valeurs.
On cherchera la variabilité des SA, Car
apprendre c’est s’adapter. JJ TEMPRADO
(Apprentissage moteur : quelques
données actuelles EPS n° 267. 1997) note
que le type de pratique (massée ou
distribuée) influence principalement la
performance que l’apprentissage.
Tache analytique ou globale ?
D’un cycle
JA MEARD ET S. BERTONE (l’élève qui ne veut pas
apprendre en EPS. EPS n °259. Distingue 5 types d
règles : institutionnelles, du jeu sportif, règle groupale,
règles d’apprentissage, règles d sécurité.
Evaluation formative
quoi observer et comment l’interpréter ? Puis
comment réguler ds la perspective d’un tremplin pour
débloquer les démarches d’appss. ? et enfin comment
permettre aux élèves de gérer affectivement leurs
erreurs ?
G. NOIZET et CAVERNI JP Psychologie d l’évaluation
scolaire 1978 : « son principe consiste, compte tenu
d’un objectif préalablement choisi et d’un programme
d’apprentissage préalablement établi, { vérifier si
l’élève progresse e s’approche de l’objectif ».
Adapter son action aux différence individuelles des
élèves .ALLAL 1979 identifie 3 étapes : un recueil
d’infos avec utilisation de critères / l’interprétation de
ces infos en analysant comportement des élèves / une
régulation par adaptation des activités d’enseignement
e d’apprentissage.
Qu’est ce qui « structure la réponse visible de l’élève
« (R. DHELEMMES AEEPS 1996
« Le point de départ d l’apprentissage, ce sont de réels
problèmes qui doivent faire violence { l’élève en lui
donnant à connaître son ignorance » PLATON
CF exemple P. 257
Pédagogie différenciée
J.-A.MEARD (Péda différenciée et hétérogénéité des
attitudes en EPS. EPS n*241. 1991) distingue 3 niveaux
de différenciation :
-elles st éludées (« démixage »)
-on s’intéresse aux progrès et aux obj. de chq élève (ens
de taches par niveau)
-les facteurs émotionnels et relationnels constituent les
leviers de la participation et de la progression des élèves
(prestation des sous-gr au profit de la prestation de
chacun)
Attention : Réussite non démagogique car elle doit être le
fruit d’un apprentissage.
D’une leçon
« La péda différenciée a pour souci permanent de faire
atteindre un minimum à tous et un maximum à chacun »
JA MEARD « Pédagogie différenciée et hétérogénéité
des attitudes » EPS n°241. 1993
Le rôle des pairs.
Ils favorisent l’émergence des mécanismes qui
conduisent à la réussite. (J .BEAUDICHON M. VERBA
et F. WINNYKAMEN Interactions sociales et
acquisitions de connaissance chez l’enfant Revue
internationale de psychologie sociale n ° 1. 1988
recensent l’imitation, le conflit sociocognitif, la
conduite parallèle, le tutorat, la coopération.
On retrouve tjs un tps d’action, un tps de
concertation- et, un tps de régulation. La remise en
cause des représentations est plus facilitée entre
élèves de niveau de compétence proche.
Certains plaident pour la dissymétrie des
compétences (F. D’ARRIPE-LONGUEVILLE
contribution { l’identification de processus
cognitifs et de mécanismes interactifs impliqués
lors d l’acquisition en dyade d’une habileté motrice
complexe. Thèse de doctorat. 1998
Limite : ne débouche pas tjs sur réflexion, et peut
générer effet inverse « la médiation des autres n’a
de sens que de se permettre l’exercice d pouvoirs
nouveaux que chacun se découvre » O. BASSIS Se
construire ds le savoir. 1998
.évaluation formatrice : à partir de critères identifiés
par l’élève, lui permettre de réguler son apprentissage
et d l’aider { surmonter ses difficultés. Elle ne
différencie pas l’acteur du décideur. Elle vise { rendre »
l’apprenant gestionnaire de la régulation de l’appss en
lui permettant de construire un modèle personnel
d’action (G. NUNZIATI. E doit organiser enseignement
pr permettre une appropriation par l’élève des CR et
Créalisation, une autogestion des erreurs et une
maitrise ds outils d’anticipation et d décision.
SREUR on de l’appss en lui permettant de construire un
modèle personnel d’action (G. NUNZIATI. E doit
organiser enseignement pr permettre une
appropriation par l’élève des CR et Créalisation,
une autogestion des erreurs et une maitrise des
outils d’anticipation et d décision. S. BRAU –
ANTONY (« comment donner du sens aux
apprentissages » EPS n°232. 19991) définit 3
étapes : identification des savoirs à acquérir,
verbalisation des difficultés et identification s des
règles d’action, autoévaluation.
: autonomie et métacognition
ERREUR (statut positif et didactique)
M. FAYOL (la logique de l’erreur. Sciences 3humaines
n°36. 1994) types d’erreur : celles liées aux
connaissances sur les objets et les faits, celles liées à
l’utilisation des règles, celles liées { la mise en oeuvre et à
la gestion des connaissances. La gestion de l’erreur peut
engendrer une régression momentanément qui peut
poser des problèmes d’investissement.
Et pour les élèves difficiles ?
P.LEFEVRE (« EPS : les classes
difficiles » EPS n*248. 1994) souligne
qu’ « il n’existe pas une péda particulière
pr ces classes, c’est la même qui doit être
cependant mieux définie, mieux adaptée
et mieux appliquée »
JP ASTOLFI L’erreur, un outil pour enseigner 1997 :
« il arrive même que ce qu’on appelle l’erreur ne soit en
réalité qu’apparence et cache en réalité un progrès en
cours d’obtention »
Combiner les différentes formes de groupement
importance de la qualité des relations entre les
élèves pour progresser et oser.
Ils peuvent jouer un rôle de FB.
D. SIEDENTOP remarque que le succès augmente à
mesure que le nombre de personnes diminue ds un
groupe d’apprentissage.
F. D’ARRIPE influence variable selon l’habileté
motrice.
« Il n’y a pas d ‘effort réel c{d engageant la
personne ds sa globalité, sans un intérêt
pour les objets » E. CLAPEREDE
« « la motivation en contexte scolaire est
un état dynamique qui a ses origines ds
les perspectives qu’un élève a de luimême et de son environnement, et qui
l’incite { choisir une activité et { s’y
engager afin d’atteindre un but » R. VIAU
La motivation en contexte scolaire 1994
« il n’y a pas d’expérience plus puissante
pour un élève que d réussir sous le regard
des autres quelque chose dont il ne se
croyait pas capable. Il se construit ou se
reconstruit une image plus satisfaisante
de lui-même et de ses compétences » A.
HEBRARD 1993.
EXPECTATION / VALENCE (probabilités d’atteindre
l’objectif). Le déclenchement de l’action est lié { la
représentation du but ainsi qu’aux chances qu’il pense
avoir de réussir la tache. Notion de difficulté perçue
5DDet JPF perception de la difficulté et nature de la tache.
Sciences et motricité n°23 1994
JPF rôle des valences et des expectations ds la perf
motrice in JPF Cognition et perf INSEP 1993 : « le niveau
de difficulté de la tache est certainement le plus
important facteur influent la valence de la perf ».
Chances estimées par rapport { la n notion d’habileté
perçue ou plus largement d’estime d soi. Il souligne que
les individus à haute habileté perçue présentent la
caractéristique de préférer les taches qui leur proposent
un challenge d’où des perf meilleures.
R. VALLERAND et E. THILL (introduction à la psychologie
de la motivation. 1993 : « le concept de MOTIVATION
représente le construit hypothétique utilisé afin de
décrire les forces internes et/ou externes produisant le
déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance
de l’action »
Entre pulsions, désirs et besoins : l’approche
psychanalytique désir est une satisfaction psychique A.
MASLOW hiérarchise les besoins : physiologiques puis
sécurité matérielle, d’affection, les besoins cognitifs,
esthétiques et enfin le désir d réalisation de soi.. chaque
besoin ne peut être assouvi que lorsque les besoins d
l’étage inférieur ont été satisfaits.. impact de
l’environnement déterminant dans l’expression des
pulsions, désirs et besoins
L’approche cognitiviste J. NUTTIN théorie de la
motivation humaine 1980 « un comportement motivé est
un comportement significatif où l’environnement est la
notion significative telle qu’il est construite par le sujet.
Ce sujet qui agit sur le monde se pose des buts, fait des
projets qu’il essaie de réaliser ». B. CHARLOT (in E.
BAUTIER JY ROCHEX in Ecole et savoir dans les
banlieues… et ailleurs. 1992 par le de mobilisation
(intérieur) et motivation (extérieure)
La dissonance cognitive. La nouveauté, la surprise, la
complexité et le conflit sont les 4 sources de dissonance
dégagé dans la théorie de DE BERLYNE 1970. Zone
optimale d’activation chez chaque individu. Volonté de
réduire la dissonance ou la recherche d’un certain niveau
de dissonance.
JL GOUJU Didactique et motivation ; Revue EPS n°241.
1993 propose un cycle d’endurance qui exploite les 4
dimensions précédentes.
L’approche sociale
Besoin d’accomplissement : volonté d montrer que l’on
possèdes qualités culturellement désirables / Volonté de
témoigner d’une maitrise de la tache / recherche
d’approbation des autres.
Lié parfois au besoin d’affrontement (montrer qu’on est
compétent ou ne pas paraître ridicule JPF)
Buts de compétition (recherche de supériorité) ou de
maitrise (buts d’apprentissage liés { la notion de
progrès). Buts varient selon le sexe et l’}ge . DURAND
observe que la motivation est plus forte en situation de
compétition que de maitrise.
L’amusement finalité le plaisir .comment justifier le
plaisir de manière institutionnelle ? DD et S. PEREZ Le
plaisir perçu ds la pratique des APS STAPS n°45 1998 :
« l’entrée en pratique et la persévérance { long terme
reposent sur des déterminants distincts, le principal
facteur sous)tendant l’adhésion prolongée { une pratique
est le sentiment de plaisir que cette dernière procure aux
individus.
L’affiliation : et peur du rejet d’autrui Ado cherche { se
singulariser et { s’identifier. Faire partie d’une équipe et
viser de performances collectives élevées M. DUARNAD
ds l’enfant et le sport 1987. Le désir mimétique (on d »sir
ce que l’autre désire)
Enquête INSERM : différence de
pratiques extérieures entre filles et
garçons au collège et lycée et lycée pro.
Idem différence de licenciés filles et
garçons UNSS avec un net recul avec l’}ge.
Au BAC les moyennes sont aussi
différentes.
UTILITE DE LA REPETITION ? temps de pause entre les
essais. Pratique aléatoire mois efficace que pratique
stéréotypée pendant la phase d’acquisition mais plus
efficace en termes d’apprentissage.
La SR : trait d’union entre pratiques
sociales et pratiques scolaires. J. MARSENACH EPS, quel
enseignement ? 1991 la définit comme « un ensemble de
conditions permettant aux pratiquants de se situer par
rapport aux pratiques sociales ». authenticité, sens , et
points de repères dans la pratique . Permet la
comparaison, permet { tous de s’engager et fait émerger
les problèmes.
Entretenir l’activité ? JPF Motivation et perf sportives in
rencontres chercheurs / praticiens Dossier EPS n) 35.
1997 définit la motivation comme « le produit de la
confiance en soi par la valeur de la tache ».
Confiance en soi : plus important image qu’a l’élève de ses
capacités plus important que ses capacité s même.
3 variables influe sur confiance en soi : 1-L’interprétation
des résultats antérieurs. (3 dimensions : dim. de causalité
/ de stabilité / de contrôlabilité ressenti par le sujet..+
degré de généralité globale ou spécifique l’impuissance
apprise, les optimiste et pessimistes
attribuer cause interne en cas d réussite et causes
externes en cas d’échecs.
2- les croyances d’efficacité personnelle (appréciation de
ses moyens et estimation du contexte) St de compétence/
estime d soi
3- les croyances sur la difficulté de la tache perception
anticipée de ressources nécessitée par la tache.
Importance sur le nombre d’élèves susceptibles de la
réussir.
La valeur de la tache
Détermine la probabilité d’être choisie par un individu.
Attrait qu’elle représente JPF en dégage 4 composante : 1la valeur d’atteinte : importance que le sujet accorde à la
tache parce qu’elle lui permet d’infirmer ou confirmer des
aspects valorisés d lui-même (compétence, courage,
féminité, masculinité,..)
2- la valeur d’intérêt intrinsèque : plaisir liée à son
accomplissement. Lié { la manière plus qu’au but
3-la valeur d’utilité extrinsèque : gains futurs
(matérielles, reconnaissance sociale, progrès,..)
nécessité de se sentir compétent et autodéterminé
4- le cout perçu de la tache : temporel, effort, intégrité
Stratégies d protection : JPF 1997
Auto handicap (se préparer des excuses qui séviront en
cas d’échecs.
Le pessimisme défensif : faible confiance en soi.se donne
des faible chances de réussir pour se réparer à un échec
potentiel
L’auto-affirmation : recherche d’autres bases positives
que la compétence sportive d l’activité (par exemple la
dim. relationnelle)
L’autopromotion accorde une faible importance aux
domaines où l’on se sent déficient et inversement.
Les attributions self serve s’attribue une responsabilité
personnelle qd il y a réussite et rejette tte responsabilité
en cas d’échec.
En matière de sport, être champion n’est
évidemment pas donné à tout
La paye des femmes et des hommes
différentes !
mp
P
Faire des efforts Chainon qui relie apprentissage et
motivation. « augmentation de l’activité que le sujet est
susceptible d’effectuer pour vaincre une tache ». M.
DURAND in Effort et acquisition des habiletés motrices in
JPF, PF, YT 1991 : ce qui pousse l’élève { faire des efforts
pour apprendre, lorsqu’il n’y est pas contraint, c’es la
volonté de se sentir compétent.
DD L’effort 2000 souligne le lien entre effort et difficulté
perçue.
Pour A. KULKA 1972 l’effort est croissant en fonction de
la difficulté perçue mais chute brutalement lorsque
l’obstacle devient insurmontable. JPF et P. SARRAZIN et F.
CURY (But motivationnel, habileté perçue et sélection au
niveau de difficulté d’une voie en escalade. STAPS n°38.
1995 ce sont les élèves qui se fixent de buts d maitrise qui
font le plus d’effort et s’engagent le plus lg tps. Attention
aux faux semblants (auto handicap, limité les efforts)
Engagement dans l’effort sous entend un lien affectif JA
MEARD Donner aux élèves le gout d l’effort » 2000 : pour
leur donner c gout cela passe par un projet individuel
défini en collaboration avec l’élève. 5 pistes : associer
l’effort aux émotions / Stimuler l’effort d chacun par un
travail de groupe / Valoriser l’effort par rapport { la perf/
introduire l’effort progressivement / Donne le gout de
l’effort en suscitant un projet.
ATTIUDE ENSEIGNAT face aux élèves faible et
démotivés : R. VIAU (la motivation in Eduquer et former
SH 2001 l’enseignant peut leur exprimer sa confiance en
leur capacité d réussir, éviter de créer des situations
compétitives ds lesquelles ils ne peuvent que perdre,
éviter de les réprimander devant les autres, leur donner
autant d’attention qu’aux bons élèves, démontrer de
l’enthousiasme { leur enseigner et de l’intérêt d leur
réussite.
JF DORTIER (Peut on motiver autrui ?) SH n°92. 1999 : les
individus ont plusieurs motifs pour s’impliquer et ne pas
forcement conscients des buts qui les animent, la réussite
est facteur de motivation mais a condition qu’elle est de la
valeur pr le sujet), la construction des SSA avec décalage
optimal, l’objectif doit être pensé en terme d contrôle par
et pr l’apprenant, enfin l’encouragement, l’environnement
humain doit être favorable.
LE FEED-BACK. : élément indispensable
ds l’acquisition des mouvements : on
distingue : 1-la connaissance du résultat
qui est l’effet visible de l’action (les infos
en retour sont comparées aux
conséquences sensorielles attendues)
Et 2- la connaissance de la performance
qui est en relation avec les opérations
mises en oeuvre pr atteindre le but.
Mais attention à ne pas excéder la capacité
du sujet.
Etablir une relation de cause à effet entre
l’intention et l’action.
3 aspects différents :l a nature du FB, le
délai du FB, la quantité du FB (attention
accoutumance)
Dans une SA
(Sa construction influe fondamentalement sur le processus
d’apprentissage)
« Respecter un élève c’est être rigoureux avec lui dans la présentation des
savoirs et l’organisation des SA ». P.MEIRIEU SNEP infos n324. 1999
P.GOIRAND (Contre pied .1999) « la citoyenneté se
construit au cœur des SA ». pratiquer un sport n’a
jamais permis de développer la citoyenneté. Travail de
l’enseignant de ces valeurs dans le processus
d’acquisition par les élèves.
L’enseignant intervient dans une situation pour
faire émerger, chez l’élève, une nouvelle règle, qui
est ainsi bien construite par les apprenants : « le
savoir est construit par des élèves acteurs de leurs
actes » (A. DUNY. Projet et citoyenneté). LA règle
devient évidente et manifeste car elle permet le jeu
et son bon fonctionnement.
JAM ET SB montrent ainsi que si on arrive modifier
le rapport de l’élève { un groupe de règles, on
modifie de manière plus large le rapport qu’il
entretien avec les autres groupes d règles. 2lèves
de 6èmes
C’est un éternel chantier car les règles sont
multiples.
L’école locomotive du quartier (Y.
MILLION Enseigner l’EPS da une ZEP {
Toulouse EPS n° 274. 1998
P. GOIRAND (Sport, violence et EPS Contre
pied n° 4. 1999 montre que « la violence
n’est pas un excès d prise de risque mais
le contraire » L’école doit offrir { l’élève
un autre risque que celui d’échouer. Selon
M. CLEMENT et P. LORCA (violence
scolaire et enseignement : l’EPS a t’elle un
rôle à jouer ? EPS n°267 1997) se centre
sur l’analyse d e ’APSA et son traitement
didactique pour minimiser les
comportements violents.
L’idée forte est que le contenus peuvent
devenir disciplinant (A. DAVISE Question
du sens
Nécessité d’avoir une équipe soudée, un
projet établissement béton.
JY ROCHEX la violence { l’école. Ecole et
lien social 1994 identifie : par rapport au
Rapport à la loi la violence { l’école, la
violence { l’égard de l’école (a quoi sert
l’école ?) et la violence de l’école
(sentiment d e piège) L. SARAZIN plaide
en 1999 (l’évaluation en EP est elle une
violence ? EPS n°275. 1999
VIOLENCE/
DELINQUAN
CE
La violence n’est pas une fatalité ! Elle est
un défi (B. CHARLOT)
« une sociologie de la violence à l’école est
d’abord une sociologie de l’exclusion (E.
DEBARBEIUX l –a haine { l’école. le nouvel
observateur 20 janvier 1999
La danse pour le pti gars des quartiers
c’est une violence énorme Colloque SNEP
Ce qui s’apprend en EPS 1996
B. CHARLOT Lié au rapport au savoir
e(relation de sens et donc de valeur entre
un individu ou un groupe et les processus
ou les produits du savoir » Raison
d’accroche au savoir.
et au rapport { l’instituions relation de
sens et dc de valeur entre
Un individu et l’école comme lieu,
ensemble d situations et d personnes.
Reconnaître une utilité en l’école. JY
ROCHEX e sens défini comme un rapport
entre la face objective de l’activité d
l’élève et la face subjective de l’expérience
scolaire (lié aux mobiles d’apprendre des
élèves
Confrontation au rôle d’arbitre par
exemple.
De la loi comme entrave à la loi comme
moyen pour jouer.
DECALAGE OPTIMAL « lorsque les infos fournies par
la tache peuvent être assimilées par les élèves, mais
font surgir en même temps des contractions et de des
conflits qui sollicitent un dépassement de son mode de
fonctionnement actuel » (L. ALLAL »Stratégies
d’évaluation formative » in l’évaluation formative
dans un enseignement différencié. 1979)
Son réglage est bien souvent expérimental : 1réduire l’incertitude spatiale, temporelle ou
évènementielle. (faire varier la complexité
perceptive, d prise d décision, de l’acte moteur, de
la tache en relation avec le feedback (quantité et
qualité))
Exemple en TT (JJ TEMPRADO ET C. SEVE Prise d
décision et sports d balle »in rencontres
chercheurs/praticiens. Dossier EPS n°35. 1997 :
faire varier le nombre d’alternatives possibles, la
pression temporelle, la précision requise, la
proximité de la réponse requise par rapport aux
coups préférentiels du joueur.
2-Focaliser l’attention de l’élève sur les stimuli
pertinents.. progrès viennent ds la manière dt les
infos st prélevées. (Cf. FAMOSE et la trace bleue en
ski)
Le décalage peut être de nature énergétique,
informationnelle et affectif
Académie de Lyon (J.-L.UBALDI.
Enseigner l’EPS en milieu difficile.
Dossier EPS n*40. 1998) dégage 7
principes fondateurs pr intervenir en
ZEP :
-respecter la culture de l’APS
-ritualiser la pratique
-organiser la K du résultat avec des indic
concrets d’évaluation
-différencier le travail
-permettre la réussite de tous
-donner du sens aux apprentissages
-favoriser l’autonomie.
Rapport au corps : de l’évitement à la
confrontation.
Construction individuelle, subjective fruit
d l’expérience., d e ’histoire individuelle
Motif d’agir cause rationnelle) et mobile
d’agir (cause affective)
M. DEVELAY (Pour une péda du sens
Spirales n°4 1992) combine la notion de
désir (pulsion) et d’intérêt (bénéfices)
Dimension très personnelle. chaque
acteur a u Ne théorie de ce qui le fait
courir
« Il faut faire du savoir avec du désir et du
désir avec u savoir » P. MEIRIEU 1995
apprendre oui mais comment ?
Optimisation du décalage : tops important induit une
diminution d l’expectation de succès. Trop faible, il va
provoquer une baisse de la valeur de la tache.
Lim : difficulté d e gestion chez chaque élève.
Un élève en TT de 4ème qui renvoi au centre ainsi pour
gérer un service qui arrive vite en CD et RV, il va
devoir passer d’une motricité organisée autour de
l’axe proximal (fixation de l’épaule et du coude) { une
motricité distale (relâchement progressif des
articulations)
Notion de sens articulée avec celle de
rapport { l’apprendre. logique
appréhendée dans une perceptive
intellectuelle affective, relationnelle,
identitaire ou imaginaire.
Le travail sur le sens est long et délicat car
il se fait souvent au niveau d l’image de
soi.
Elargir le chp des possibles en EPS :
Sens utilitaire ou intellectuel : toute leçon
doit être une réponse J. DEWEY
P/ MEIRIEU L’école mode d’emploi 1990
indique qu’un apprentissage peut trouver
du sens à 3 niveaux : 1- finalisé par
l’amont (répond a une question que se
pose l’élève) ou par l’aval. Problème des
PSR 2-au niveau symbolique (lié à des
enjeux pros ou fonctionnel
3- en référence à des pratiques extra
scolaires.
JY ROCHEX 1994 : « le sens et la valeur
attribués au savoir constituent l’un des
aspects majeurs de la réussite »
Le sens émotionnel
A.DAVISSE et C. LOUVEAU Sports, école et
société : la part des femmes 1991 « ce ne
sont pas les savoirs maitrisés qui
importent, mais l’ensemble des motions et
sensations qui conduisent { l’envie de les
reproduire ».
Nécessaire construction d plaisir avec les
PASA DD et CG
Le sens relationnel
cohabitation Des élèves au sein d’une
classe qu’ils n’ont pas choisis et qu’ils
doivent passer 6 ou 8h ensemble !
Gestion de la dynamique d groupe.
Le sens identitaire
Comment remobiliser l’élève en quête de
reconstruction identitaire ? P. TAP
(Identité individuelle et personnalisation
1986) dimension de tps : être qqun c’est
construire un passé, valoriser le présent
et s’inscrire ds le futur.
Dim d’originalité ou de cohérence
(histoire personnelle)
Dim d’autonomie
Dim d’action c’est par l’engagement,
l’action sur le objets que je me construis
Dim de valeur ce que je fais est valorisé
par autrui et par mes propres yeux.
S’émanciper de sa famille, se différencier
par le travail.
LE sens imaginaire :
La beauté, la mort, le danger, la liberté, la
peur de l’eau,…
Epistémologie de la didactique E. VELLAS
donner du sens aux savoirs { l’école, pas si
simple in construire ses savoirs,
construire sa citoyenneté 1996) donne 3
pistes : 1- développer la variété de sens /
Faire saisir le sens reliant les savoirs /
envisager le sens ds une perspective
intrinsèque et extrinsèque (sens de l’objet
lui-même et le multiples sens que peut
prendre le savoir ds la société.
Ds cette perspective l’enseignant doit
pouvoir remplir 3 fonctions : 1- érotique
(désir du savoir) / didactique (permettre
l’appropriation du savoir) / émancipatrice
(permet { chacun d’évoluer)
Un système d rapport au monde
) SENS lutte
contre
échec
scolaire,
exclusion,
violence…pa
nacée aux
maux ?!
L’endurance
Possibilité de soutenir pendant une
longue durée une activité plus ou moins
intense. Sous tendue par les processus
aérobie de production d’énergie. :
Différents types : locale ou générale (en
fonction muscles mis en jeu)/ spécifique
ou générale (liée ou non à une APSA),
statique ou dynamique (selon la forme du
mouvement) / courte moyenne ou d
longue durée (inf. à 2min, comprise entre
2 et 7 minutes, supérieur à 8minutes)
« L’endurance est { la fois un facteur de
performance et de santé. » E. VAN
PRAAGH et L.LEGER. A propos du
développement organique et foncier à
l’école. Dossier EPS n°29. 1996
ANAEROBIE ALACTIQUE (dès le début
ans oxygène. CP et ADP). Puissance
importante mais capacité limitée. Ne
produit pas d’acide lactique,
Augmente de 7 à 15 ans avec valeurs
plus imp. chez les garçons
ANAEROBIE LACTIQUE : resynthèse
grâce à la dégradation des glucides (à
partir du glucose ou de sa forme de
réserve : le glycogène) en acide lactique.
Transformation effectuée ds la cellule
mais sans oxygène. (met 5 à 6 secondes
pour atteindre son intensité max). Mais
l’accumulation d’acide lactique provoque
une acidification qui va limiter la
contraction musculaire.. Moins puissant
AA mais assure l’essentiel de la
resynthèse d’ATP dès 10 sec { 3min
d’effort (capacité)
Concentration glycogène et capacité
d’utilisation plus faible chez l’enfant.
Enfant utilisent plus rapidement leur
processus aérobie que l’adulte,
production moins importante de
lactates et dc tps de remboursement de
la dette d’O2 plus rapide
DEVELOPPEMENT ENERGETIQUE
Les possibilités motrices de chaque individu sont liées à
des caractéristiques neuromusculaire et énergétiques
qu’on nomme qualités physiques. : »l’illustration de
l’utilisation rationnelle qu’un individu fait de ses
aptitudes motrices (peu évolutives et individuelles) et des
habiletés qu’il a développées lors d son apprentissage »
(M. PRADET Les qualités physiques et leur
entrainement méthodique in MH. BROUSSE, B.
DURING, JM LE CHEVALIER et M. PRADET. Energie et
conduites motrices. INSEP. 1989)
Dans le cadre de notre enseignement nous nous
limiterons à : Force, vitesse, endurance et processus
de production d’énergie musculaire qui permet
l’expression de ces qualités (on aurait pu rajouter
souplesse, adresse, équilibre et coordination selon les
auteurs) CF WEINECK 83
La force musculaire : correspond à la faculté de
s’opposer ou vaincre une résistance extérieure. Dépend
de la masse musculaire et de la structure du muscle (nb et
type de fibres), du système neuro musculaire (unités
motrices, synchronisation de ces unités) et de facteurs
liés { l’étirement (reflexe myotatique de contraction suite
à un étirement bref).
Types d contraction ; excentrique, concentrique,
isométrique et pliométrique (excentrique puis
rapidement concentrique)
Décliner en : Force maximale, force-vitesse (quantité de
force pendant un tps donnée ou puissance) et forceendurance (capacité à maintenir la force pendant un tps
important)
LA PRODUCTION D’ENERGIE :
toutes les qualités ne sont rien sans mes mécanismes qui
autorisent leur fonctionnement. L’ATP est ainsi la seule
molécule chimique que les protéines contractiles des
cellules musculaires peuvent convertir en en énergie
mécanique. Muscle est un transformateur d’énergie
chimique en mécanique mais les réserves st faible. Il faut
dc resynthétiser cette molécule.
Les 3 processus métabolisme vont alors entre
simultanément en jeu dès le début d’un effort
OXYGENE INDISPENSABLE. La conso d’O2 (VO2)
augmente dès le début d l’exercice puis atteint un plateau
(VO2 max). cette valeur correspond à la capacité max du
métabolisme aérobie, càd la quantité max que les muscles
peuvent consommer. Elle varie avec l’}ge et
l’entrainement. Annoter qu’entre le début de l’exo et la
phase d’équilibre, le sujet dépense plus d’énergie que son
métabolisme aérobie lui en a fournit (complément
apporté par AA et AL) ; Ce différentiel correspond à la
dette d’02 que le sujet va devoir rembourser { la fin de
l’exo.. on observe ainsi une quantité d’O2 supérieure { la
valeur de repos de repos. Pour rétablir les stock initiaux
de glycogène et de transformer le lactate en pyruvate
pour le consommer ensuite ds le cycle de Krebs.
, AEROBIE : dégradation complète des glucides (et lipides
si nécessaire) avec utilisation d’oxygène qui va fournir
l’énergie. La possibilité de resynthèse est très importante
car réserves importantes d’une part et le produits de
dégradation (CO2 et eau) sont facilement éliminés. Assure
l’essentiel de la resynthèse dès 2{ 3 min d’effort. Mais ce
mécanisme dépend étroitement de la quantité d’O2
pouvant être apportée au muscle et pouvant être
exploitée par ce dernier (VO2 max)
Intervention combinée des 3 processus dès le début d
l’effort.
CF tableau 32 p.237
VO2 max augmente régulièrement avec l’âge jusqu’ {
18 ans pour garçons et 14 ans pour les filles. Valeur
plus imp. chez le garçons. Mais rapporté au poids,
VO2 max constante chez garçons et décroit chez les
filles { cause de l’augmentation du tissu adipeux au
moment de l’adolescence
Augmentation régulière jusqu’{ 12 ans, puis très
rapide jusqu’ { 18 ans où elle se stabilise (filles plus
précoces, stabilise vers 14ans)
PMA (puissance méca développée au moment où est
atteint VO2 max) assimilable à VMA ds les courses peut
toutefois différer entre individus ayant une même VO2
max. (notamment à cause de la technique).
Le seuil anaérobie pertinent comme critère
d’entrainement : seuil marqué par une élévation brutale
de la Lactatémie (participation accrue de la glycolyse
anaérobie) se rapproche de la PMA avec l’entrainement.
Ainsi ce seuil lactique qui peut être estimé à 4 milli moles
par lite est atteint à 70% chez le débutant et 90% chez l
marathonien.
Relation entre FC, VO2 max et Lactatémie.
Quelque soit le critère utilisé c’est l’entrainement
proche du seuil (aux limites du système) qui
provoque des modifications physiologiques
significatives.
Progrès ds le développement des capacités physiques
semblent clairement liés à la croissance, à la maturation
et à une sollicitation pertinente
, il faut néanmoins mentionner le propose de WEINECK
Manuel d’entrainement 1983 mais aucune
vérifications rigoureuses de ses avances) :
Cf. P. 239/ P. 242