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PROJET :LOI DE décentralisation : En adéquation avec la nécessité de former un individu adaptable LO 89 Idéologie et politique d’un discours sur l’éducation dimension axiologique : humaniste (pr que enfants autofinalise leur travail) /psychologique (l’individu est perfectible)/sociologique (survie identitaire d’un group social donné) dimension ontologique : la loi d’orientation, les missions de l’enseignant, traduisent les orientations du système éducatif dimension épistémologique (a qui s’adresse t’on ds quelles conditions) En Europe On rejoint le discours de la Ligue Internationale de l’Education Nouvelle pour qui l’éducation consiste { favoriser le développement aussi possible que complet des aptitudes de chaque personne à la fois comme individu et comme membre d’une société régie par la solidarité CHOMAGE / VIOLENCE Instruire, éduquer ,…. Toute politique éducative s’enracine dans une idéologie LM. LEGRAND Les politiques de l’éducation. Que sais-je ? n°2396 1994. Projet et mise en oeuvre Le rapport { l’UNESCO de J. DELORS « l’éducation, un trésor est caché dedans » 1996 distingue 4 piliers { l’éducation : apprendre à connaître ( acquérir les instruments de la compréhension), apprendre à faire (pour pouvoir agir sur son environnement), apprendre à vivre ensemble ( afin de coopérer et de participer avec les autres) et apprendre à être (épanouissement dans la complexité de ses expressions et engagement). D’une société Un HUMAIN ET 6 Milliards d’autres !! LE CITOYEN / la LOI « ERRARE HUMANUM EST » UN PROF + AVANT TOUT une PERSONNE. Il existe un effet enseignant ds la réussite des élèves. L’attitude de l’E est un élémt – clé ds l’efficacité de la leçon d’EPS. Corrélation entre la personnalité de l’E et l’équilibre émotif des élèves. L’attitude de l’E comme élément fondamental ds la transformation des élèves est notamment soulignée par P.IRLINGER, M.METOUDI, J.VIVES ( « La bonne péda »EPS n *180. 1989). Ils mettent en relief : -l’autorité(faire preuve de clarté et de précision ds la communication) et l’aisance( l’assurance de l’E) -le dynamisme, le rayonnement (« désigne le maître qui détient une certaine potentialité de séduction), la présence -la présentation et la disponibilité vis-à-vis des élèves ont une imp pr leur représentation. « De nombreux pays luttent actuellement contre l’échec scolaire. OR la réalité résiste { cette lutte contre l’exclusion des savoirs d’une partie de la population. Une exclusion, qui pourtant empêche un être humain d’exercer pleinement »n ses droits et devoirs de citoyen. (<E. VELLAS Donner du sens aux savoirs { l’école : pas si simple. 1996 CHOMAGE Lien entre savoirs et citoyenneté. P. GOIRAND Obstacles à la formation pour les élèves et les enseignants EPS n° 245. 1994 identifie 3 obstacles enseignants : épistémologique (modes d pensée) / didactiques (conception trop techniciste) et psychologiques (remise en cause de la compétence professionnelle et de l’mage de soi. 1èrer qualité la justice et l’équité ainsi que le respect et l’autorité. Le regard de la philosophie de l’éducation G.MIALARET ( Pédagogie générale. PARIS. PUF. 1991) qu’il ne peut y avoir d’éducation sans philosophie, c{d sans réflexion et connaissance de son action. La philo de l’éducation décline en 3 Q : axiologique ( a ton le droit et le devoir d’éduquer ?), ontologique (quels sens donner aux finalités, aux méthodes, aux contenus ?), épistémologique ({ qui s’adresse t-on, quel contexte temporel et sur quoi intervient-on ?) L’éducation c’est « l’action d’une culture sur une nature » ( J.ULMANN. Sur quelques problèmes concernant l’EP. EPS n*81. 1996). O.REBOUL ( La philo de l’éducation. Que sais-je ? n*2441. 1994) « la fin de l’éducation est de permettre { chacun d’accomplir sa nature au sein d’une culture qui soit vraiment humaine ». « Une éducation réussie est celle qui donne envie et les moyens de la poursuivre » O.REBOUL Qu’est ce qu’apprendre ? 1980. L’éducation est par excellence projet mais un projet aux fins lointaines : minimum 10 années de scolarité obligatoire. « l’éducation ne s’enseigne pas { proprement parler, mais pour éduquer quelqu’un il est nécessaire de lui proposer divers apprentissages » A. HEBRARD « a toutes fins utiles » Dossier EPS n°29. 1996 Combien de jeunes quittent l’école sans diplôme. S. FREUD considérait l’enseignement comme un métier impossible car « on peut être sr d’une succès insuffisant » dans la mesure où le travail n’est jamais fini. P. MEIRIEU L’école, mode d’emploi 1990 : l’enjeu du métier est « de faire apprendre plutôt que d’enseigner ». On retrouve ces dimensions éducatives à travers les missions de l’enseignant : former( développement des aptitudes et capacités), éduquer (valeurs) et instruire (connaissances et compétences). Du système éducatif Les deux problèmes essentiels sont de gérer « culture scolaire et culture juvénile » ( selon F.DUBET Ecole : la question du sens, 1997) La seule voie envisageable est celle de la discrimination positive où la communication doit avoir une place centrale J.A.MEARD et S.BERTONE ( « L’élève qui ne veut pas apprendre en EPS » EPS n*259. 1996) distingue 3 étapes : -de l’anomie (absence de règles) { l’hétéronomie( obéissance avec contrôle ext) à l’auto-régulation (reconnaissance de la nécessité de la règle) { l’autonomie (négociation de la règle). Cette perspective relativise le concept de projet de l ‘élève( but, repères/réussite, obstacles). L’autonomie peut se déclinent sur des aspects affectifs, intellectuels, psychologiques, et relationnels. La citoyenneté (solidarité et responsabilité) A.ETCHEGOYEN ( Des libertés sous influence. 1997) distingue la civilité(apprentissage de la socialisation, du vivre ensemble), le civisme(càd les valeurs telles que solidarité, honnêteté, respect d’autrui) et la citoyenneté (prise de responsabilité, décision). Le praticien réflexif « La compétence pro de l’E procède de son expé et surtout de l’expé réfléchie, c{d d’une action mise texte »( M.DURAND et G..ARZEL. 1996). Le but est de comprendre que les incidents critiques (évènement jugé négatif qui intervient ds la situation d’Emt), qu’ils soient didactiques ou péda, st inévitables et que c’est leur identification et leur régulation qui st fondamentales, et non la mise en œuvre, tjs utopique, d’une planification ou d’une régulation rationnelle. La réflexion en action (SCHON 1983) ou l’improvisation planifiée (TOCHON 1993) cité par M. DURAND Recherche en enseignement des professeurs d’EPS. Dossier EPS n°28. 1996 L’enseignant est capable d’identifier et d’analyser les difficultés d’apprentissage des élèves, de tirer le meilleur parti de leur réussite et de leur apporter conseil et soutiens personnalisés avec le souci de les rendre acteurs de leur progression » Circulaire du 23 mai 1997 mission du prof. L’ECHEC SCOLAIRE ’évaluation : quelle logique scolaire ? combien de jeunes quittent le système scolaire sans Rôle et caractéristiques de l’évaluation qualifications ? Quelle réussite scolaire (accès à tous aux compétences et 5 fonctions (R.BEGARRA. obj. buts et finalités de connaissances) l’évaluation.INRP. 1980) Quelle réussite en terme d’épanouissement (personnelle et au sein-communiquer : { l’évalué, d’où la nécessité d’un d’un groupe) code Quelle réussite sociale, c{d la capacité { s’adapter et { s’insérer dans -décrire : rendre compte { l’aide de critères, de la un environnement nouveau (AS, Club, etc) situation et de son évolution -comprendre : en multipliant les infos Lacune au niveau de la lecture et écriture dès l’école primaire. -prévoir : visée prospective grâce à une attitude La déscolarisation ou le décrochage scolaire. dynamique de l’enseignant Repérage de l’élève par rapport { une norme donnée JC -décider : faire un choix par rapport aux obj fixés et FORQUIN L’approche sociologique de la réussite et de aux observations réalisées l’échec scolaire Revue de l’INRP n°59/60. 1982 L’institution tolère bcp plus le timide que l’agité. Pourquoi cet échec scolaire ? B. CHARLOT et coll. Ecole et savoir ds les banlieues ..et ailleurs. 1992 : La théorie du capital humain (idéologie du don) Sociologues : reproduction P BOURDIEU Et JC PASSERON (LA reporduction1970) enfants des différentes CSP se trouve à une distance inégale de la culture scolaire. La théorie du handicap socioculturel Le théories de la singularité ou de l’expérience scolaire : « la relation entre origine sociale et réussite scolaire n’est pas u Ne fatalité mais un phénomène complexe qui évolue « B. CHARLOT . le sens des études ne va plus de soi ( on va é l’école pr apprendre est dépassé !L) Elève en échec rejettent le système pr préserver leur estime d soi. Interdisciplinarité. Toute les disciplines participent aux finalités du SE :éduquer, instruire,…Transmettre des méthodes de travail (LO 89). Développer la personnalité, élever niveau de formation, insérer l’élève dans la vie sociale, exercer sa citoyenneté. 3 types de rapport entre EPS et aux autres disciplines : identité : objectifs communs complémentarités (SVT :effort, hygiène, ), arts (imaginaire, musique,..) éducation civique, { l’histoire, aux TICE Originalité : le support corps. B. BLOOM et sa pédagogie d maitrise : les aptitudes initiales déterminent le temps d’apprentissage et non pas le niveau terminal. Pour une réussite du + gd nb. Les dérives de l’évaluation ( R.DHELLEMMES « L’EPS mise en Q par l’évaluation »in Méthodo et didq de l’EPS . Dossier AFRAPS n*5 . 1988) instrumentaliste :l'évaluation se substitue { l’Emt -objectiviste : on ne peut pas évaluer ts les obj -intellectualiste : apogée des connaissances déclaratives. analyste :évaluer une prestation identique de multiples points de vue. <En EPS : les comportement s instrumentaux (au sein de l’action): de nature physique (pousser bousculer ?;;) et les tricheries Les comportements réactifs (en dehors du contexte d’une action de jeu : de nature verbale : crier… et de nature physique (bousculer, frapper un adv.…) Voir stat scolaires. Importance de la personnalité du chef d’établissement ou du nombre d’élèves Ce sont des comportements d’expression comme les autres ! pour P. KARLI. EPS interroge.. EPS n°210. 1988 Penser aux incivilités, au climat. Notion de souffrance, de victime qui vit l’agression. Retrouvons une culture républicaine : socle commun ? Projet d’établissement : Avantage politique (crédibilité de la discipline) pédagogique (planification et régulation d l’enseignement) et personnel. (enseignant au centre des décisions et solidaire des autres, adaptabilité de la discipline. Dans un EPLE L’AS offre { ce niveau des occasions concrètes d’organisation et d prise de décision. CONTRAT DIDACTIQUE et PEDAGOGIQUE 1-Effet pygmalion (les croyances en EPS 5 sortes DURAND et J. RIFF in relation péda et appss en EPS : effets des croyances de maitres et élèves ion JPF. P. FLEURANCE et Y. TOUCHARD Appss mot : rôle des représentations ; 1991 2-l’effet topaze (on gomme les connaissances visées Ex de la dictée moutons Ss) 3-L’effet Jourdain (Molière) l’enseignant admet de reconnaître une connaissance savante dans les comportements de réponses des élèves. 4-l’effet boomerang traduit l’effet contraire aux attentes. Différence entre contrat social et contrat didactique. Le 1er est à résoudre prioritairement. ECHEC / moyenne nationale Le mauvais élève incarne le miroir brisé, obligeant l’enseignant { faire le deuil de sa bonne image » F. LABRIDY NI banalisation ni dramatisation in Méthodologie et d didactique e l’EPS AFRAPS 1989 Rapport de complémentarité entre élèves et enseignant plutôt que hiérarchiser ! L’école développe 4 types de culture : scripturaire, rationalité, artistique et corporelle (M. DEVELAY EPS, discipline scolaire. Contre pied n°1 1997 2ème objectif : le patrimoine culturel la voie d’une « écologie scolaire » qui intègre acculturation et développement personnel nous semble exploitable Question du transfert Il est couramment admis que la pratique physique a des effets bénéfiques sur la santé. L’accroissement de la minéralisation osseuse, la réduction du risque cardio-vasculaire, la limitation de graisse dans le corps, le renforcement de la ceinture abdominale, la diminution de la tension artérielle, l’amélioration du fonctionnement cardio-respiratoire, etc… mais aussi des facteurs plus larges telles que l’estime de soi, un meilleur contrôle émotionnel, un rel}chement mental, etc… La maladie, l’obésité, la dépression. Contexte marqué par une diminution du tps de travail, évolutions des styles de vie (sédentarité, hygiène de vie,), prolongation de la durée de vie et les loisirs SANTE = bien être physique, social et mental. Conception dynamique de la santé (JP KORALSZTEIN la santé { l’épreuve du sport. 1986) en insistant sur l’épanouissement du sujet. Elève = Futur consommateur (pratiquant, spectateur) de loisirs sportifs. La vie physique = santé, sécurité et autonomie. Dans une perspective éducative, J.EISENBEIS et Y. TOUCHARD( L’éducation { la sécu. Eds EPS.1995) expliquent « il s’agit de viser l’appropriation, par les élèves, de C leur permettant, ds le cadre de l’école, { l’extérieur de l’école et plus tard ds leur vie d’adulte, de gérer leur sécu et celle d’autrui Nécessité d’une adéquation entre le comportement de l’individu et le milieu ds lequel il évolue. Quelle statistiques de pratiquant ? Evolue t’il en club ou associations ? Créer un Habitus santé ( P.BOURDIEU. L’habitus est un système de dispositions innées et durables qui intègre ttes les expés passées et qui fonctionne à chaque moment comme une matrice de perception, d’appréciation et d’action. Elle explique les motifs de pratique des élèves. Organisation de la vie physique définit par les critères qui permettent de pratiquer une APSA :envie de pratiquer, confiance en soi, sécurité et l’entretien de la vie physique par ce qui permet la poursuite de la pratique : habitudes de pratique, bien être physique et psychologique. Comment prouver par les faits à l’élève l’intérêt de pratiquer, d’entretenir sa santé ? 3ème objectif : santé GSVP Interdépendance des notions de responsabilité, solidarité, autonomie, et citoyenneté qui se nourrissent mutuellement passer d’une conception passive ( de la responsabilité, de la sécu,…) { une conception active, càd une conception basée sur l’anticipation, la préparation aux évènements futurs. « c’est pendant les moments-clés de la vie que s’enracine dans la personnalité les schémas de pensée et d’actions qui guideront les comportements du futur adulte. Le gout, l’indifférence ou le dégout pour les exercices du corps se façonnent en partie pendant les cours d’EPS » (B. PARIS L’école prépare t’elle les adultes e demain à bien gérer leur vie physique ? Dossier EPS n°22. 1996Connaissance EPS = Amélioration du corps et de ses pouvoirs. 1er objectif La motricité, objet 1er de l’EPS : capacités et ressources :analyse des CE dans une triple logique : culturelle (logique de l’activité) et développementale (sollicitation et développement des ressources) méthodo, sur soi, entrainement, sécurité, relaxation, …mais rétroactions difficiles { transmettre dans cet apprentissage. COGERINO (3gestion de la vie physique » EPS n°251. 1995) la santé en EPS se justifie par : un bien être physiques psychologique personnel à travers une connaissance plus approfondie de soi, une meilleure estime de soi, un aspect relationnel. + aspect préventif et sécuritaire. Mobilisation pertinente des ressources ds la perspective d leur entretien voire de leur amélioration / Repères pour ailleurs et plus tard / établir lien entre sa pratique et les sentiments qu’il ressent notamment plaisir de pratiquer, gout d l’effort et épanouissement personnel 3 OBJECTIFS Le développement et la mobilisation des ressources individuelles favorisant l’enrichissement de la motricité L’éducation { la santé et { la gestion de la vie physique et sociale L’accès au patrimoine de la culture physique et sportive faire intégrer des valeurs intention commune à ttes les disciplines. Pour « faire comprendre aux élèves la portée des valeurs qui st à la base de nos institutions »(Missions du prof) -L’attitude, le comportement, l’investissement, l’enthousiasme sont autant d’éléments qui font que l’on enseigne aussi et avt tout ce que l'on est. Projet EPS : 4 caractéristiques du projet péda : -c’est un outil pensé comme un « ensemble articulé d’objectifs et de moyens destinés à les réaliser »( M.MALGLAIVE « La formation alternée des formateurs. Revue française de péda n*30. 1975) -c’est un outil collectif : -c’est un outil collectif et unique : c’est une réponse originale { une situation unique. Mais des fois ce n’est qu’une réponse { une exigence institutionnelle. \-c’est un outil collectif, unique et évolutif :son évolutivité est fondamentale pour conserver son utilité et sa pertinence. .Compétences (mobilisation des ressources G. LEBOTERF De la compétence, essai sur un attracteur étrange 1994) ) et connaissances (incorporées (savoirs) et conscientisées) CP et CMS Le projet péda comme facteur de transformation Il doit viser plusieurs finalités. Clarifier et spécifier les objectifs Réflexion politique . Qui veut-on former ? 3 paramètres pour choisir les obj : -l’analyse des élèves -caractéristiques de l’établissement -les textes qui organisent l’école et la discipline. Définir les modalités d’organisation A partir des obj mais aussi des ressources et contraintes matérielles, humaines et institutionnelles on peut faire d’autres choix : Préciser les acquisitions attendues Les penser en termes d’apprentissage et non de cycles. Evaluer les différentes étapes du projet péda Pour qu’il demeure l’outil principal d’organisation péda et didactique de l’enseignement de la discipline au service de la transformation des élèves. EPS en adéquation avec cette triple intention : « former par la pratique des APSA, un citoyen cultivé [instruire], lucide, autonome [former] et responsable [éduquer] de la conduite de sa vie corporelle ». (prog lycée 2000 A.HEBRARD (l’EP ds l’école. In EP scolaire, personne et société. 1997) « l’EPS est bien une discipline scolaire en ce sens qu’elle transforme, façonne, utilise à des fins d’éducation les pratiques sociales auxquelles elle prépare » D’une discipline On retrouve chez J-P. CALLEDE (Dire et/ou faire . Colloque de Limoges. EPS et citoyenneté. 1997) ces 3 axes { travers l’éducation individuelle (apprentissage des règles) , la communication (éléments de la culture)et la participation A. DAVISSE 1997 « il faut construire des contenus disciplinaires disciplinant » Enseignant est l’artisan de la réussite de tous et de chacun. Si réussir c’est transformer un comportement qui échouait, cela suppose l’acceptation par le sujet de l’idée même de transformation susceptible d’engendrer dans un 1er tps un échec. L’enseignant devra créer les conditions d’un vouloir (investissement affectif, plaisir) réussir, d’un pouvoir (contraintes des taches, décalage optimal) réussir et d’un savoir (rendre conscient des outils utilisés) réussir. ECHEC EN EPS 1-l’éavualtion porte encore sur des aptitudes 2-ne pas trop fonder l’EPS sur ces capacités d’abstractions d compréhension 3- le rapport au corps 4-inégalité des sexes. Etablir une évaluation faisable, fiable (validité des relevés), et fidèle (évalué ce qu’on a enseigné). L’élève qui échoue c’est celui n’a pas acquis ds les tps prévus les savoirs que l’institution ds les programmes prévoyait qu’il apprenne (V. ISAMBERT JAMATI quelques rappels de l’émergence d l’échec scolaire comme « problème social » dans les milieux péda français. 1985 Problème d’intégration de la loi. P. MEIRIEU. Ex en natation : Travailler sous forme de contrat( atteindre les savoir nager), 3 enseignants pr 2 classes, gr de niveaux, motivation, … PRO-JET et POST-JET Dans un cursus D.DELIGNIERES et C.GARSAULt (« Apprentissage et utilité sociale : que pourrait-on apprendre en EPS ? »Dossier EPS n*29. 1996) plaident pour la formation d’une citoyenneté sportive sur 5 plans : viser la gestion de la sécu ds les pratiques à risque, la gestion de son capital santé au travers de la pratique des APS, la gestion de ses apprentissages et de Sa préparation à la pratique, une formation à la gestion collective de projets, une formation à la conso éclairée et critique du spectacle sportif. Les routines F. V. TOCHON (L’enseignant expert. 1993) déf les routines comme des « plans intériorisés par l’expé, automatisés, qui guident l’action ds une direction la + favorable ss requérir à une analyse approfondie du contexte ». Elles st fondées sur des images mentales anticipatrices. limite / Les routines -> éco décisionnelle. Mais expérience ne rime pas forcément avec expertise. Brevet, CAP, BEP , BAC PRO, BAC Sanctionner, homologuer le niveau atteint. Attention aux contenus formalisés et décontextualisés qui ont une part importante dans l’échec scolaire J. MARSENANCH. EPS, Quel enseignement ? 1991 Brevet des collèges 1987 3 APS dont une au moins à barème. 2/3 évaluation des conduites motrices (perf et habileté) et 1/3 { l’évaluation des connaissances pratiques, { l’investissement et aux progrès. Evaluation des connaissances :postulat cognitiviste selon lequel on apprend mieux quand on comprend ce que l’on fait.. LIMITES : G. COMBAZ a prouvé que plus les épreuves d’EPS s’alignaient sur celles des autres disciplines et plus on reproduisaient les inégalités qui existait ailleurs. Ces dimensions (A, R , S et C) se transmettent à travers les processus d’acquisitions des savoirs par les élèves, sans jamais etre sur de leur appropriation stable et durable. CONTENUS : Prise en compte des dimensions culturelles, (anthropologie) , choisis en s’appuyant sur l’organisation motrice dominante de l’élève (épistémologie ) et doivent être présenté de manière { engager l’élève dans une activité d production de technique (dim. psychologique) Les VALEURS de la REPUBLIQUE : liberté, égalité, fraternité Une finalité L’EPS a pour finalité de former un citoyen, cultivé, lucide, autonome, physiquement et socialement éduqué. BO collège Août 2008 Connaissances à acquérir : PJP FAMOSE les recherches actuelles sur l’apprentissage moteur. In recherche et pratique des PAS. Dossier EPS n)28 1996 -procédurales « si..alors.. » -déclaratives : connaissance des théories et objets -stratégiques : exercer un degré de contrôle sur son action selon M. DURAND « Apprentissage, stratégies d recherche et optimisation de la perf. In JP FAMOSE Cognition et perf. INSEP 1993. -affectives : émotions. Sentiment d compétence lié au plaisir ressenti. -les habiletés motrices (progrès obtenus que par répétition. « Ce qui me paraît fondamental, ce qui vraiment m’intéresse, c’est le rôle éducatif des profs de gym comme on dit. Le prof de gym est aussi prof de qqchose d’autre, il est aussi éducateur ; et ds l’enseignement actuel, il est l’un des rares, peut être le seul, à décloisonner sa discipline, à aborder l’enseignement sous l’angle d’une éducation totale, et c’est ce qui m’intéresse en EPS. » O.REBOUL EPS n*229. 1991 LA mixité : permettre { tous d’accéder { une culture commune, ce qui ne signifie pas forcément copratiquer .Exemple en gym : l’acrobatie pour les garçons et l’esthétique pour les filles. L’égalité en gym c’est bien d’amener { faire vivre { tous le défi et l’élégance. D.HERRERO. Passion ovale 1990 Toi qui est toujours en quête de ta place { l’école, ne copie pas les as de la pédagogie d laboratoire. T’es le plus fort car avec toi les enfants rien, s’éclatent, ils transpirent. Fais les jouer je t’en supplie ; du jeu, encore du jeu. C’est dur d’être enfant en ville. Elle peut porter sur des modes d’entrée, des progressions ou des évaluations. Mais question de l’équité ? Projet de l’enseignant Pédagogie du projet Permettre { l’élève de se fixer soi-même un but à des conséquence motivationnelles, sentiment d liberté et donc d plaisir. (DD et G. GARSAULT « apprentissage et utilité sociale : que pourrait on apprendre ne EPS ? Dossier EPS n) 29. 1996 : « le plaisir lié a un sentiment d’autodétermination lors des choix et des conditions de l’action « D’une année Construire la règle / Repères sur les valeurs/ Structuration des contenus pour renforcer les sentiment d compétence pour s’engager ici et ailleurs et plus tard. L’évaluation en général : formative (diagnostiquer et prescription fine en rapport avec les prestations d tous les élèves., formatrice (outil d’apprentissage, accès par l’élève aux critères d’évaluation) P. GOIRAND (LE projet d el’élève. Spirales n°7. 1994) : « l’élève qui s’investit dans des situations de désir et d’intérêt construit un rapport { l’objet positif » L’évaluation comme facteur de transformation 2 pistes pr l’organisation de l’enseignement : 1-une évaluation inductrice de CE appropriés : en fixant par avance les critères de l’évaluation : -identifications des acquisitions nécessaires (conditions que l’élève doit intégrer pr réussir) -la manière de permettre ces acquisitions : rapport au savoir et manière d’apprendre. Le but reformulé par l’élève, inductive du déclenchement, de la finalisation et de l’organisation des actions (JF CHATILLON 1992 2-l’evaluation induit une mise en activité des élèves : les procédures d’évaluation doivent être connues de tous en début de cycle : une stratégie par rapport { l’outil d’évaluation ou ds ses propres apprentissages. EPS cognitiviste : on apprend mieux quand on comprend ce que l'on fait. Attitude réflexive de l’élève (Etienne et coll. Le projet de l’élève. 1992) Pas d’apprentissage sans connaissance du résultat. (C. GEROGE. Apprendre par l’action 1983) -la structure de la leçon d’EPS nécessite la participation et la construction des différentes règles pr que l’activité puisse fonctionner et transmettre des valeurs. On cherchera la variabilité des SA, Car apprendre c’est s’adapter. JJ TEMPRADO (Apprentissage moteur : quelques données actuelles EPS n° 267. 1997) note que le type de pratique (massée ou distribuée) influence principalement la performance que l’apprentissage. Tache analytique ou globale ? D’un cycle JA MEARD ET S. BERTONE (l’élève qui ne veut pas apprendre en EPS. EPS n °259. Distingue 5 types d règles : institutionnelles, du jeu sportif, règle groupale, règles d’apprentissage, règles d sécurité. Evaluation formative quoi observer et comment l’interpréter ? Puis comment réguler ds la perspective d’un tremplin pour débloquer les démarches d’appss. ? et enfin comment permettre aux élèves de gérer affectivement leurs erreurs ? G. NOIZET et CAVERNI JP Psychologie d l’évaluation scolaire 1978 : « son principe consiste, compte tenu d’un objectif préalablement choisi et d’un programme d’apprentissage préalablement établi, { vérifier si l’élève progresse e s’approche de l’objectif ». Adapter son action aux différence individuelles des élèves .ALLAL 1979 identifie 3 étapes : un recueil d’infos avec utilisation de critères / l’interprétation de ces infos en analysant comportement des élèves / une régulation par adaptation des activités d’enseignement e d’apprentissage. Qu’est ce qui « structure la réponse visible de l’élève « (R. DHELEMMES AEEPS 1996 « Le point de départ d l’apprentissage, ce sont de réels problèmes qui doivent faire violence { l’élève en lui donnant à connaître son ignorance » PLATON CF exemple P. 257 Pédagogie différenciée J.-A.MEARD (Péda différenciée et hétérogénéité des attitudes en EPS. EPS n*241. 1991) distingue 3 niveaux de différenciation : -elles st éludées (« démixage ») -on s’intéresse aux progrès et aux obj. de chq élève (ens de taches par niveau) -les facteurs émotionnels et relationnels constituent les leviers de la participation et de la progression des élèves (prestation des sous-gr au profit de la prestation de chacun) Attention : Réussite non démagogique car elle doit être le fruit d’un apprentissage. D’une leçon « La péda différenciée a pour souci permanent de faire atteindre un minimum à tous et un maximum à chacun » JA MEARD « Pédagogie différenciée et hétérogénéité des attitudes » EPS n°241. 1993 Le rôle des pairs. Ils favorisent l’émergence des mécanismes qui conduisent à la réussite. (J .BEAUDICHON M. VERBA et F. WINNYKAMEN Interactions sociales et acquisitions de connaissance chez l’enfant Revue internationale de psychologie sociale n ° 1. 1988 recensent l’imitation, le conflit sociocognitif, la conduite parallèle, le tutorat, la coopération. On retrouve tjs un tps d’action, un tps de concertation- et, un tps de régulation. La remise en cause des représentations est plus facilitée entre élèves de niveau de compétence proche. Certains plaident pour la dissymétrie des compétences (F. D’ARRIPE-LONGUEVILLE contribution { l’identification de processus cognitifs et de mécanismes interactifs impliqués lors d l’acquisition en dyade d’une habileté motrice complexe. Thèse de doctorat. 1998 Limite : ne débouche pas tjs sur réflexion, et peut générer effet inverse « la médiation des autres n’a de sens que de se permettre l’exercice d pouvoirs nouveaux que chacun se découvre » O. BASSIS Se construire ds le savoir. 1998 .évaluation formatrice : à partir de critères identifiés par l’élève, lui permettre de réguler son apprentissage et d l’aider { surmonter ses difficultés. Elle ne différencie pas l’acteur du décideur. Elle vise { rendre » l’apprenant gestionnaire de la régulation de l’appss en lui permettant de construire un modèle personnel d’action (G. NUNZIATI. E doit organiser enseignement pr permettre une appropriation par l’élève des CR et Créalisation, une autogestion des erreurs et une maitrise ds outils d’anticipation et d décision. SREUR on de l’appss en lui permettant de construire un modèle personnel d’action (G. NUNZIATI. E doit organiser enseignement pr permettre une appropriation par l’élève des CR et Créalisation, une autogestion des erreurs et une maitrise des outils d’anticipation et d décision. S. BRAU – ANTONY (« comment donner du sens aux apprentissages » EPS n°232. 19991) définit 3 étapes : identification des savoirs à acquérir, verbalisation des difficultés et identification s des règles d’action, autoévaluation. : autonomie et métacognition ERREUR (statut positif et didactique) M. FAYOL (la logique de l’erreur. Sciences 3humaines n°36. 1994) types d’erreur : celles liées aux connaissances sur les objets et les faits, celles liées à l’utilisation des règles, celles liées { la mise en oeuvre et à la gestion des connaissances. La gestion de l’erreur peut engendrer une régression momentanément qui peut poser des problèmes d’investissement. Et pour les élèves difficiles ? P.LEFEVRE (« EPS : les classes difficiles » EPS n*248. 1994) souligne qu’ « il n’existe pas une péda particulière pr ces classes, c’est la même qui doit être cependant mieux définie, mieux adaptée et mieux appliquée » JP ASTOLFI L’erreur, un outil pour enseigner 1997 : « il arrive même que ce qu’on appelle l’erreur ne soit en réalité qu’apparence et cache en réalité un progrès en cours d’obtention » Combiner les différentes formes de groupement importance de la qualité des relations entre les élèves pour progresser et oser. Ils peuvent jouer un rôle de FB. D. SIEDENTOP remarque que le succès augmente à mesure que le nombre de personnes diminue ds un groupe d’apprentissage. F. D’ARRIPE influence variable selon l’habileté motrice. « Il n’y a pas d ‘effort réel c{d engageant la personne ds sa globalité, sans un intérêt pour les objets » E. CLAPEREDE « « la motivation en contexte scolaire est un état dynamique qui a ses origines ds les perspectives qu’un élève a de luimême et de son environnement, et qui l’incite { choisir une activité et { s’y engager afin d’atteindre un but » R. VIAU La motivation en contexte scolaire 1994 « il n’y a pas d’expérience plus puissante pour un élève que d réussir sous le regard des autres quelque chose dont il ne se croyait pas capable. Il se construit ou se reconstruit une image plus satisfaisante de lui-même et de ses compétences » A. HEBRARD 1993. EXPECTATION / VALENCE (probabilités d’atteindre l’objectif). Le déclenchement de l’action est lié { la représentation du but ainsi qu’aux chances qu’il pense avoir de réussir la tache. Notion de difficulté perçue 5DDet JPF perception de la difficulté et nature de la tache. Sciences et motricité n°23 1994 JPF rôle des valences et des expectations ds la perf motrice in JPF Cognition et perf INSEP 1993 : « le niveau de difficulté de la tache est certainement le plus important facteur influent la valence de la perf ». Chances estimées par rapport { la n notion d’habileté perçue ou plus largement d’estime d soi. Il souligne que les individus à haute habileté perçue présentent la caractéristique de préférer les taches qui leur proposent un challenge d’où des perf meilleures. R. VALLERAND et E. THILL (introduction à la psychologie de la motivation. 1993 : « le concept de MOTIVATION représente le construit hypothétique utilisé afin de décrire les forces internes et/ou externes produisant le déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance de l’action » Entre pulsions, désirs et besoins : l’approche psychanalytique désir est une satisfaction psychique A. MASLOW hiérarchise les besoins : physiologiques puis sécurité matérielle, d’affection, les besoins cognitifs, esthétiques et enfin le désir d réalisation de soi.. chaque besoin ne peut être assouvi que lorsque les besoins d l’étage inférieur ont été satisfaits.. impact de l’environnement déterminant dans l’expression des pulsions, désirs et besoins L’approche cognitiviste J. NUTTIN théorie de la motivation humaine 1980 « un comportement motivé est un comportement significatif où l’environnement est la notion significative telle qu’il est construite par le sujet. Ce sujet qui agit sur le monde se pose des buts, fait des projets qu’il essaie de réaliser ». B. CHARLOT (in E. BAUTIER JY ROCHEX in Ecole et savoir dans les banlieues… et ailleurs. 1992 par le de mobilisation (intérieur) et motivation (extérieure) La dissonance cognitive. La nouveauté, la surprise, la complexité et le conflit sont les 4 sources de dissonance dégagé dans la théorie de DE BERLYNE 1970. Zone optimale d’activation chez chaque individu. Volonté de réduire la dissonance ou la recherche d’un certain niveau de dissonance. JL GOUJU Didactique et motivation ; Revue EPS n°241. 1993 propose un cycle d’endurance qui exploite les 4 dimensions précédentes. L’approche sociale Besoin d’accomplissement : volonté d montrer que l’on possèdes qualités culturellement désirables / Volonté de témoigner d’une maitrise de la tache / recherche d’approbation des autres. Lié parfois au besoin d’affrontement (montrer qu’on est compétent ou ne pas paraître ridicule JPF) Buts de compétition (recherche de supériorité) ou de maitrise (buts d’apprentissage liés { la notion de progrès). Buts varient selon le sexe et l’}ge . DURAND observe que la motivation est plus forte en situation de compétition que de maitrise. L’amusement finalité le plaisir .comment justifier le plaisir de manière institutionnelle ? DD et S. PEREZ Le plaisir perçu ds la pratique des APS STAPS n°45 1998 : « l’entrée en pratique et la persévérance { long terme reposent sur des déterminants distincts, le principal facteur sous)tendant l’adhésion prolongée { une pratique est le sentiment de plaisir que cette dernière procure aux individus. L’affiliation : et peur du rejet d’autrui Ado cherche { se singulariser et { s’identifier. Faire partie d’une équipe et viser de performances collectives élevées M. DUARNAD ds l’enfant et le sport 1987. Le désir mimétique (on d »sir ce que l’autre désire) Enquête INSERM : différence de pratiques extérieures entre filles et garçons au collège et lycée et lycée pro. Idem différence de licenciés filles et garçons UNSS avec un net recul avec l’}ge. Au BAC les moyennes sont aussi différentes. UTILITE DE LA REPETITION ? temps de pause entre les essais. Pratique aléatoire mois efficace que pratique stéréotypée pendant la phase d’acquisition mais plus efficace en termes d’apprentissage. La SR : trait d’union entre pratiques sociales et pratiques scolaires. J. MARSENACH EPS, quel enseignement ? 1991 la définit comme « un ensemble de conditions permettant aux pratiquants de se situer par rapport aux pratiques sociales ». authenticité, sens , et points de repères dans la pratique . Permet la comparaison, permet { tous de s’engager et fait émerger les problèmes. Entretenir l’activité ? JPF Motivation et perf sportives in rencontres chercheurs / praticiens Dossier EPS n) 35. 1997 définit la motivation comme « le produit de la confiance en soi par la valeur de la tache ». Confiance en soi : plus important image qu’a l’élève de ses capacités plus important que ses capacité s même. 3 variables influe sur confiance en soi : 1-L’interprétation des résultats antérieurs. (3 dimensions : dim. de causalité / de stabilité / de contrôlabilité ressenti par le sujet..+ degré de généralité globale ou spécifique l’impuissance apprise, les optimiste et pessimistes attribuer cause interne en cas d réussite et causes externes en cas d’échecs. 2- les croyances d’efficacité personnelle (appréciation de ses moyens et estimation du contexte) St de compétence/ estime d soi 3- les croyances sur la difficulté de la tache perception anticipée de ressources nécessitée par la tache. Importance sur le nombre d’élèves susceptibles de la réussir. La valeur de la tache Détermine la probabilité d’être choisie par un individu. Attrait qu’elle représente JPF en dégage 4 composante : 1la valeur d’atteinte : importance que le sujet accorde à la tache parce qu’elle lui permet d’infirmer ou confirmer des aspects valorisés d lui-même (compétence, courage, féminité, masculinité,..) 2- la valeur d’intérêt intrinsèque : plaisir liée à son accomplissement. Lié { la manière plus qu’au but 3-la valeur d’utilité extrinsèque : gains futurs (matérielles, reconnaissance sociale, progrès,..) nécessité de se sentir compétent et autodéterminé 4- le cout perçu de la tache : temporel, effort, intégrité Stratégies d protection : JPF 1997 Auto handicap (se préparer des excuses qui séviront en cas d’échecs. Le pessimisme défensif : faible confiance en soi.se donne des faible chances de réussir pour se réparer à un échec potentiel L’auto-affirmation : recherche d’autres bases positives que la compétence sportive d l’activité (par exemple la dim. relationnelle) L’autopromotion accorde une faible importance aux domaines où l’on se sent déficient et inversement. Les attributions self serve s’attribue une responsabilité personnelle qd il y a réussite et rejette tte responsabilité en cas d’échec. En matière de sport, être champion n’est évidemment pas donné à tout La paye des femmes et des hommes différentes ! mp P Faire des efforts Chainon qui relie apprentissage et motivation. « augmentation de l’activité que le sujet est susceptible d’effectuer pour vaincre une tache ». M. DURAND in Effort et acquisition des habiletés motrices in JPF, PF, YT 1991 : ce qui pousse l’élève { faire des efforts pour apprendre, lorsqu’il n’y est pas contraint, c’es la volonté de se sentir compétent. DD L’effort 2000 souligne le lien entre effort et difficulté perçue. Pour A. KULKA 1972 l’effort est croissant en fonction de la difficulté perçue mais chute brutalement lorsque l’obstacle devient insurmontable. JPF et P. SARRAZIN et F. CURY (But motivationnel, habileté perçue et sélection au niveau de difficulté d’une voie en escalade. STAPS n°38. 1995 ce sont les élèves qui se fixent de buts d maitrise qui font le plus d’effort et s’engagent le plus lg tps. Attention aux faux semblants (auto handicap, limité les efforts) Engagement dans l’effort sous entend un lien affectif JA MEARD Donner aux élèves le gout d l’effort » 2000 : pour leur donner c gout cela passe par un projet individuel défini en collaboration avec l’élève. 5 pistes : associer l’effort aux émotions / Stimuler l’effort d chacun par un travail de groupe / Valoriser l’effort par rapport { la perf/ introduire l’effort progressivement / Donne le gout de l’effort en suscitant un projet. ATTIUDE ENSEIGNAT face aux élèves faible et démotivés : R. VIAU (la motivation in Eduquer et former SH 2001 l’enseignant peut leur exprimer sa confiance en leur capacité d réussir, éviter de créer des situations compétitives ds lesquelles ils ne peuvent que perdre, éviter de les réprimander devant les autres, leur donner autant d’attention qu’aux bons élèves, démontrer de l’enthousiasme { leur enseigner et de l’intérêt d leur réussite. JF DORTIER (Peut on motiver autrui ?) SH n°92. 1999 : les individus ont plusieurs motifs pour s’impliquer et ne pas forcement conscients des buts qui les animent, la réussite est facteur de motivation mais a condition qu’elle est de la valeur pr le sujet), la construction des SSA avec décalage optimal, l’objectif doit être pensé en terme d contrôle par et pr l’apprenant, enfin l’encouragement, l’environnement humain doit être favorable. LE FEED-BACK. : élément indispensable ds l’acquisition des mouvements : on distingue : 1-la connaissance du résultat qui est l’effet visible de l’action (les infos en retour sont comparées aux conséquences sensorielles attendues) Et 2- la connaissance de la performance qui est en relation avec les opérations mises en oeuvre pr atteindre le but. Mais attention à ne pas excéder la capacité du sujet. Etablir une relation de cause à effet entre l’intention et l’action. 3 aspects différents :l a nature du FB, le délai du FB, la quantité du FB (attention accoutumance) Dans une SA (Sa construction influe fondamentalement sur le processus d’apprentissage) « Respecter un élève c’est être rigoureux avec lui dans la présentation des savoirs et l’organisation des SA ». P.MEIRIEU SNEP infos n324. 1999 P.GOIRAND (Contre pied .1999) « la citoyenneté se construit au cœur des SA ». pratiquer un sport n’a jamais permis de développer la citoyenneté. Travail de l’enseignant de ces valeurs dans le processus d’acquisition par les élèves. L’enseignant intervient dans une situation pour faire émerger, chez l’élève, une nouvelle règle, qui est ainsi bien construite par les apprenants : « le savoir est construit par des élèves acteurs de leurs actes » (A. DUNY. Projet et citoyenneté). LA règle devient évidente et manifeste car elle permet le jeu et son bon fonctionnement. JAM ET SB montrent ainsi que si on arrive modifier le rapport de l’élève { un groupe de règles, on modifie de manière plus large le rapport qu’il entretien avec les autres groupes d règles. 2lèves de 6èmes C’est un éternel chantier car les règles sont multiples. L’école locomotive du quartier (Y. MILLION Enseigner l’EPS da une ZEP { Toulouse EPS n° 274. 1998 P. GOIRAND (Sport, violence et EPS Contre pied n° 4. 1999 montre que « la violence n’est pas un excès d prise de risque mais le contraire » L’école doit offrir { l’élève un autre risque que celui d’échouer. Selon M. CLEMENT et P. LORCA (violence scolaire et enseignement : l’EPS a t’elle un rôle à jouer ? EPS n°267 1997) se centre sur l’analyse d e ’APSA et son traitement didactique pour minimiser les comportements violents. L’idée forte est que le contenus peuvent devenir disciplinant (A. DAVISE Question du sens Nécessité d’avoir une équipe soudée, un projet établissement béton. JY ROCHEX la violence { l’école. Ecole et lien social 1994 identifie : par rapport au Rapport à la loi la violence { l’école, la violence { l’égard de l’école (a quoi sert l’école ?) et la violence de l’école (sentiment d e piège) L. SARAZIN plaide en 1999 (l’évaluation en EP est elle une violence ? EPS n°275. 1999 VIOLENCE/ DELINQUAN CE La violence n’est pas une fatalité ! Elle est un défi (B. CHARLOT) « une sociologie de la violence à l’école est d’abord une sociologie de l’exclusion (E. DEBARBEIUX l –a haine { l’école. le nouvel observateur 20 janvier 1999 La danse pour le pti gars des quartiers c’est une violence énorme Colloque SNEP Ce qui s’apprend en EPS 1996 B. CHARLOT Lié au rapport au savoir e(relation de sens et donc de valeur entre un individu ou un groupe et les processus ou les produits du savoir » Raison d’accroche au savoir. et au rapport { l’instituions relation de sens et dc de valeur entre Un individu et l’école comme lieu, ensemble d situations et d personnes. Reconnaître une utilité en l’école. JY ROCHEX e sens défini comme un rapport entre la face objective de l’activité d l’élève et la face subjective de l’expérience scolaire (lié aux mobiles d’apprendre des élèves Confrontation au rôle d’arbitre par exemple. De la loi comme entrave à la loi comme moyen pour jouer. DECALAGE OPTIMAL « lorsque les infos fournies par la tache peuvent être assimilées par les élèves, mais font surgir en même temps des contractions et de des conflits qui sollicitent un dépassement de son mode de fonctionnement actuel » (L. ALLAL »Stratégies d’évaluation formative » in l’évaluation formative dans un enseignement différencié. 1979) Son réglage est bien souvent expérimental : 1réduire l’incertitude spatiale, temporelle ou évènementielle. (faire varier la complexité perceptive, d prise d décision, de l’acte moteur, de la tache en relation avec le feedback (quantité et qualité)) Exemple en TT (JJ TEMPRADO ET C. SEVE Prise d décision et sports d balle »in rencontres chercheurs/praticiens. Dossier EPS n°35. 1997 : faire varier le nombre d’alternatives possibles, la pression temporelle, la précision requise, la proximité de la réponse requise par rapport aux coups préférentiels du joueur. 2-Focaliser l’attention de l’élève sur les stimuli pertinents.. progrès viennent ds la manière dt les infos st prélevées. (Cf. FAMOSE et la trace bleue en ski) Le décalage peut être de nature énergétique, informationnelle et affectif Académie de Lyon (J.-L.UBALDI. Enseigner l’EPS en milieu difficile. Dossier EPS n*40. 1998) dégage 7 principes fondateurs pr intervenir en ZEP : -respecter la culture de l’APS -ritualiser la pratique -organiser la K du résultat avec des indic concrets d’évaluation -différencier le travail -permettre la réussite de tous -donner du sens aux apprentissages -favoriser l’autonomie. Rapport au corps : de l’évitement à la confrontation. Construction individuelle, subjective fruit d l’expérience., d e ’histoire individuelle Motif d’agir cause rationnelle) et mobile d’agir (cause affective) M. DEVELAY (Pour une péda du sens Spirales n°4 1992) combine la notion de désir (pulsion) et d’intérêt (bénéfices) Dimension très personnelle. chaque acteur a u Ne théorie de ce qui le fait courir « Il faut faire du savoir avec du désir et du désir avec u savoir » P. MEIRIEU 1995 apprendre oui mais comment ? Optimisation du décalage : tops important induit une diminution d l’expectation de succès. Trop faible, il va provoquer une baisse de la valeur de la tache. Lim : difficulté d e gestion chez chaque élève. Un élève en TT de 4ème qui renvoi au centre ainsi pour gérer un service qui arrive vite en CD et RV, il va devoir passer d’une motricité organisée autour de l’axe proximal (fixation de l’épaule et du coude) { une motricité distale (relâchement progressif des articulations) Notion de sens articulée avec celle de rapport { l’apprendre. logique appréhendée dans une perceptive intellectuelle affective, relationnelle, identitaire ou imaginaire. Le travail sur le sens est long et délicat car il se fait souvent au niveau d l’image de soi. Elargir le chp des possibles en EPS : Sens utilitaire ou intellectuel : toute leçon doit être une réponse J. DEWEY P/ MEIRIEU L’école mode d’emploi 1990 indique qu’un apprentissage peut trouver du sens à 3 niveaux : 1- finalisé par l’amont (répond a une question que se pose l’élève) ou par l’aval. Problème des PSR 2-au niveau symbolique (lié à des enjeux pros ou fonctionnel 3- en référence à des pratiques extra scolaires. JY ROCHEX 1994 : « le sens et la valeur attribués au savoir constituent l’un des aspects majeurs de la réussite » Le sens émotionnel A.DAVISSE et C. LOUVEAU Sports, école et société : la part des femmes 1991 « ce ne sont pas les savoirs maitrisés qui importent, mais l’ensemble des motions et sensations qui conduisent { l’envie de les reproduire ». Nécessaire construction d plaisir avec les PASA DD et CG Le sens relationnel cohabitation Des élèves au sein d’une classe qu’ils n’ont pas choisis et qu’ils doivent passer 6 ou 8h ensemble ! Gestion de la dynamique d groupe. Le sens identitaire Comment remobiliser l’élève en quête de reconstruction identitaire ? P. TAP (Identité individuelle et personnalisation 1986) dimension de tps : être qqun c’est construire un passé, valoriser le présent et s’inscrire ds le futur. Dim d’originalité ou de cohérence (histoire personnelle) Dim d’autonomie Dim d’action c’est par l’engagement, l’action sur le objets que je me construis Dim de valeur ce que je fais est valorisé par autrui et par mes propres yeux. S’émanciper de sa famille, se différencier par le travail. LE sens imaginaire : La beauté, la mort, le danger, la liberté, la peur de l’eau,… Epistémologie de la didactique E. VELLAS donner du sens aux savoirs { l’école, pas si simple in construire ses savoirs, construire sa citoyenneté 1996) donne 3 pistes : 1- développer la variété de sens / Faire saisir le sens reliant les savoirs / envisager le sens ds une perspective intrinsèque et extrinsèque (sens de l’objet lui-même et le multiples sens que peut prendre le savoir ds la société. Ds cette perspective l’enseignant doit pouvoir remplir 3 fonctions : 1- érotique (désir du savoir) / didactique (permettre l’appropriation du savoir) / émancipatrice (permet { chacun d’évoluer) Un système d rapport au monde ) SENS lutte contre échec scolaire, exclusion, violence…pa nacée aux maux ?! L’endurance Possibilité de soutenir pendant une longue durée une activité plus ou moins intense. Sous tendue par les processus aérobie de production d’énergie. : Différents types : locale ou générale (en fonction muscles mis en jeu)/ spécifique ou générale (liée ou non à une APSA), statique ou dynamique (selon la forme du mouvement) / courte moyenne ou d longue durée (inf. à 2min, comprise entre 2 et 7 minutes, supérieur à 8minutes) « L’endurance est { la fois un facteur de performance et de santé. » E. VAN PRAAGH et L.LEGER. A propos du développement organique et foncier à l’école. Dossier EPS n°29. 1996 ANAEROBIE ALACTIQUE (dès le début ans oxygène. CP et ADP). Puissance importante mais capacité limitée. Ne produit pas d’acide lactique, Augmente de 7 à 15 ans avec valeurs plus imp. chez les garçons ANAEROBIE LACTIQUE : resynthèse grâce à la dégradation des glucides (à partir du glucose ou de sa forme de réserve : le glycogène) en acide lactique. Transformation effectuée ds la cellule mais sans oxygène. (met 5 à 6 secondes pour atteindre son intensité max). Mais l’accumulation d’acide lactique provoque une acidification qui va limiter la contraction musculaire.. Moins puissant AA mais assure l’essentiel de la resynthèse d’ATP dès 10 sec { 3min d’effort (capacité) Concentration glycogène et capacité d’utilisation plus faible chez l’enfant. Enfant utilisent plus rapidement leur processus aérobie que l’adulte, production moins importante de lactates et dc tps de remboursement de la dette d’O2 plus rapide DEVELOPPEMENT ENERGETIQUE Les possibilités motrices de chaque individu sont liées à des caractéristiques neuromusculaire et énergétiques qu’on nomme qualités physiques. : »l’illustration de l’utilisation rationnelle qu’un individu fait de ses aptitudes motrices (peu évolutives et individuelles) et des habiletés qu’il a développées lors d son apprentissage » (M. PRADET Les qualités physiques et leur entrainement méthodique in MH. BROUSSE, B. DURING, JM LE CHEVALIER et M. PRADET. Energie et conduites motrices. INSEP. 1989) Dans le cadre de notre enseignement nous nous limiterons à : Force, vitesse, endurance et processus de production d’énergie musculaire qui permet l’expression de ces qualités (on aurait pu rajouter souplesse, adresse, équilibre et coordination selon les auteurs) CF WEINECK 83 La force musculaire : correspond à la faculté de s’opposer ou vaincre une résistance extérieure. Dépend de la masse musculaire et de la structure du muscle (nb et type de fibres), du système neuro musculaire (unités motrices, synchronisation de ces unités) et de facteurs liés { l’étirement (reflexe myotatique de contraction suite à un étirement bref). Types d contraction ; excentrique, concentrique, isométrique et pliométrique (excentrique puis rapidement concentrique) Décliner en : Force maximale, force-vitesse (quantité de force pendant un tps donnée ou puissance) et forceendurance (capacité à maintenir la force pendant un tps important) LA PRODUCTION D’ENERGIE : toutes les qualités ne sont rien sans mes mécanismes qui autorisent leur fonctionnement. L’ATP est ainsi la seule molécule chimique que les protéines contractiles des cellules musculaires peuvent convertir en en énergie mécanique. Muscle est un transformateur d’énergie chimique en mécanique mais les réserves st faible. Il faut dc resynthétiser cette molécule. Les 3 processus métabolisme vont alors entre simultanément en jeu dès le début d’un effort OXYGENE INDISPENSABLE. La conso d’O2 (VO2) augmente dès le début d l’exercice puis atteint un plateau (VO2 max). cette valeur correspond à la capacité max du métabolisme aérobie, càd la quantité max que les muscles peuvent consommer. Elle varie avec l’}ge et l’entrainement. Annoter qu’entre le début de l’exo et la phase d’équilibre, le sujet dépense plus d’énergie que son métabolisme aérobie lui en a fournit (complément apporté par AA et AL) ; Ce différentiel correspond à la dette d’02 que le sujet va devoir rembourser { la fin de l’exo.. on observe ainsi une quantité d’O2 supérieure { la valeur de repos de repos. Pour rétablir les stock initiaux de glycogène et de transformer le lactate en pyruvate pour le consommer ensuite ds le cycle de Krebs. , AEROBIE : dégradation complète des glucides (et lipides si nécessaire) avec utilisation d’oxygène qui va fournir l’énergie. La possibilité de resynthèse est très importante car réserves importantes d’une part et le produits de dégradation (CO2 et eau) sont facilement éliminés. Assure l’essentiel de la resynthèse dès 2{ 3 min d’effort. Mais ce mécanisme dépend étroitement de la quantité d’O2 pouvant être apportée au muscle et pouvant être exploitée par ce dernier (VO2 max) Intervention combinée des 3 processus dès le début d l’effort. CF tableau 32 p.237 VO2 max augmente régulièrement avec l’âge jusqu’ { 18 ans pour garçons et 14 ans pour les filles. Valeur plus imp. chez le garçons. Mais rapporté au poids, VO2 max constante chez garçons et décroit chez les filles { cause de l’augmentation du tissu adipeux au moment de l’adolescence Augmentation régulière jusqu’{ 12 ans, puis très rapide jusqu’ { 18 ans où elle se stabilise (filles plus précoces, stabilise vers 14ans) PMA (puissance méca développée au moment où est atteint VO2 max) assimilable à VMA ds les courses peut toutefois différer entre individus ayant une même VO2 max. (notamment à cause de la technique). Le seuil anaérobie pertinent comme critère d’entrainement : seuil marqué par une élévation brutale de la Lactatémie (participation accrue de la glycolyse anaérobie) se rapproche de la PMA avec l’entrainement. Ainsi ce seuil lactique qui peut être estimé à 4 milli moles par lite est atteint à 70% chez le débutant et 90% chez l marathonien. Relation entre FC, VO2 max et Lactatémie. Quelque soit le critère utilisé c’est l’entrainement proche du seuil (aux limites du système) qui provoque des modifications physiologiques significatives. Progrès ds le développement des capacités physiques semblent clairement liés à la croissance, à la maturation et à une sollicitation pertinente , il faut néanmoins mentionner le propose de WEINECK Manuel d’entrainement 1983 mais aucune vérifications rigoureuses de ses avances) : Cf. P. 239/ P. 242