Download 31 juil. 1895

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13 — » 35 —-
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ANNONCES
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MERCREDI 81 JUILLET' 1895
212 -— SAINT IGNACE DE LOYOLA = 163
“Numéro 175
VINGT-CINQUIEME ANNÉE
J т
Courage donc, chers Fils, et agissez virilement, pleins de confiance en Dieu dont vous servez
2% Cause, appuyés fur les doctrines de cette Chaire apostolique à laquelle a été confié l’enseignement
*Ipréme.
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(BREF DE P18 IX A 1a Liberte.)
Nous avons constaté avec plaisir que, dans le ministère que vous exercez, vous vous proposes
]
d'adhérer fermement aux conre
La Presse est une (Euvre pie d'une utilité souvernine (Pix IX)
DERNIÈRES DÉPÊCHES | [FE DROIT D'ABONNEMENT
Servite de PAgence télégraphique sulsse
Parts, 30 juillet.
Les journaux républicains constatent que
à Caractéristique des élections des Conseils
généraux c'est l'échec des socialistes et la
lerme adhésion des électeurs à la Républi-
Que modérée, mais nettement progressiste.
Les organes conservateurs constatent
Également l’échec des socialistes ; ils ajou-
tant que leurs propres pertes sont Insigm…-
Jantes: pour eux, c'est le maintien du
statu quo.
Les socialistes nient leur défaite ; ile
lSant qu’elle n’est qu’apparente, leurs can-
dats ayant obtenu plus de voix que dans
be précédentes élections et n'ayant été
dtlug que grâce à l'alliance des républi-
“alns de gouvernement avec réactionnaires
êt les cléricaux,
Londres, 30 juillet.
vu télégraphie de Tananarive en date du
uil
hove let au Times que le gouvernement
Yue fait secrótement des ouvertures en
de la paix, mais que, craignant une
révolution, il dit hautement qu'il résistera
Mirance. L'hostilité contre les étrangers
Arment,
On iélégraphie de Sofia au méme journal
ue М. Grekoff a refusé de prendre la di-
pu étion d'un parti qui serait formé par la
Son des partisans de Stambouloff et de
adoglaw of,
Londres, 30 juillet.
toi Daily Chronicle dément que l'A ngle-
há Felionce à ses prétentions sur l’île
résilionne de Trinidad.
Saint-Pétershourg, 30 juillet.
+ emperour Nicolas Il a approuvé le ré-
Slement relatif au prochain recensement
Général de la population en Russie.
Ne note officielle accompagnant le dé-
Cet impérial déclare que ie peuple n’a rien
à craindre á cette occasion, aucun projet
d'impôt n'étant attaché au recensement.
Milan, 30 juillet.
Le dimanche 4 août partira de Milan un
Pélerinage qui se rendra, par Domo d'Os-
sofa et le Simplon 4 Saint-Maurice, puis à
fibourg, a Sachueln et aux Ermites.
Santingo, 30 juillet.
Manuel Racabarret a formé un cabinet,
New-York, 30 juillet.
8 Seize mille ouvriers taillours ge sont mis
y grève à la suite de I'abaissement des
Salaires.
Zermatt, 30 juillet.
le Ц St descendu la semaine derniere dana
| B différents hôtels de Zermatt, 1,468 per-
ai eg, Il a été fait de nombreuses ascen-
As du Corvin, du Mont Rose, Zinal-
Othorn, Gatelhorn, Dent d'Herens, Dome
8 Mischabels. |
Us noe correspondants particuliers
Genève, 30 juillet.
de grave accident est arrivé dimanche | : 8
| spéciaux, exagérés, et que ne palent pas
hier, soit avant-hier, à Genève.
ep pêcheur, M. C,, était en train de rele-
tion TP. masse et avait ancré son ambarca.
Vies A'tque le bac Arigna, faisant le ser
Sop, Чех Piguis aux Eaux-Vives, arriva et
Me l'avant du bateau ainsi arrêté.
ge + O-, Voyant lo danger, sauta À l’eau et
Mit à nager, Ca que voyant, 1 Artana
Se:
PDA im nédiatement et se porta a gon
JO rg A Та то Da n’un batelier |
n ón mome pas ¢
Came Bau in. Gráce à cea EOCOTFA, M. С +
© a
Ц fut Yuitte pour la peur et un bain.
L {xendve, 30 Juillet.
uy ; Police vient de faire une enquête sur
y “Cident terrible quí #'est produit hier.
faig, 2 résulte que, à 7 % heures, le hac
Rha le service entre les deux rives du
Pene” pendant les réparations du pont de
ned se Templit d'eau. Pour comble de
Min: UF, le cáble sauta. Quatre morís s an
vi Yirent : 1e celle du passeur, Meschini,
time y
ia y etaz, pére de trois enfants ; 3° celle de
ее Ye Mothar, qui laisse trois enfants,
19 5 208i ; 40 celle de Félix Orsier, âgé de :
> Ou Trier de campagne.
án,. 16 terrible catastrophe fait un bruit
Torme en ville. e
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| exploitées
| prévaloir fut celle de la résistance pas-
sive. Les couvents ne devaient pas payer |
et attendre que l'agent des contributions | tions à prendre par les Ordres religieux.
de son imprudence; 20 celle de €
En publiant notre derniére correspon-
dance de Paris, nous avons dit que nous
Jaissions & notre tres compétent collabo-
rateur la responsabilitá de ses-sévérités 4
l’égard des Conorégations autorisées qui
semblent disposées à subir, pour éviter
de plus grands maux, le poids inique
des charges qui leur sont imposées par
la loi sur le droit d’accroissement, trans-
foriné en droit d'abonnement.
Sans entrer dans des explications qui :
dépasseraient les bornes d’un article de
d'abonnement.
Le droit d’aceroissement fut établi en
1884 ; le prétexte allégué fut que, lorsque
mourait un membre d’une Congrégation
religieuse, tous les autres membres héri-
taient, pour une part, du confrère défunt,
et devaient dès lors payer un droit de
succession. La part des survivants s’aca
croissaii de ce que laissait le décédé, Il
y avait, dans cette prétention, un s0-
phisme que les libéraux n’ont pas voulu
avouer. Les Congrégations paient déjà
l’impôt de mainmorte, et le droit d’ac-
croissement faisait dès lors double emploi.
Non bis in idem, doit être la loi du fisc.
Toute une longue série de procès s’en-
gagèrent parce que le gouvernement, au
lieu de percevoir le droit d’accroissement
au siège de la maison--mère, prétendait
le réclamer partout où la Congrégation -
avait des maisons, et comme 1l y 2 une
taxe minimum au-dessous de laquelle la
cuplaient quelquefois la somme à payer
par les Congrégations. Les tribunaux,
saisis de cette question, se prononcèrent
en sens divers, et en majorité contre la
multiplicité des perceptions.
Pour sortir de l'embarras où 1l s'était
annuellement le droit d’accroissement, et
par une loi édictée au mois d’avril der-
nier, a fixé cette moyenne annuelle à
30 centimes pour ies Congrégations au-
torisées et à 40 centimes pour les autres.
La loi fait, en outre, espérer un allègement
aux Congrégations qui se vouenl aux
œuvres de bienfaisance ou d’évangéli-
sation à l’étranger, et qui aervent ainsl
les intérêts diplomatiques de la France,
Telie eat la loi dite d'abonnement.
| Qu'elie soit contraire à la justice, per-
| sonne ne saurait loyalement le contester.
Les religieux sont soumis à des impôts
les autres catégories de citoyens. Avant
le vote de la loi, les évêques en signaié-
rent l’iniquité et le caractère d’hostilité à
la religion ; le Saint-Siège fit des obser-
vations qui ne furent pas écoutées.
La loi votée, la question se posa de
l’attitude que devaient prendre les con-
| grégations religieuses si odisusement
par le fise. L'idée qui parut | pétence, et de l’inconvenance de leurs
appels à l’opinion du publie catholique
vint saisir le mobilier et le vendre aux
enchères. On parut de prime abord se
promettre heaucoup de cette mise en
scène, car il faut bien dire le mot,
Le Saint-Siège Intervint en ce moment,
nos pas pour donner des directions, mais
au contraire pour déclarer qu’il n’en
donnerait pas. Il se bornait à des conseils,
Far ordre du Saint-Père, le cardinal |
Rampolia fit remarquer aux congréga-
tions religieuses que rien ne pressait ; |
qu’elles avaient du temps devant elles, |
qu'elles devaient l'employer à réfiéchir
{ sur la meilleure attitude à prendre dans
leur intérêt, et sur les conséquences qui
résuitersient de leur attitude. Celles
d’entre elles qui dépendent de POrdinaire
devaient suivre les directions de l’autorité
épiscopale ; mais à toutes, il était recom-
mandé de ne pas se laisser influencer |
par les agitations du dehors, ni par
d’autres considérations que par celle du |
bien religieux confié à leur dévouement.
Ces recommandations du Saint-Siège |
avaient une réelle opportunité, car les
conseils ne manquent pas depuis trois
mois aux Ordres religieux, et s’il en est |
de compétents et d'autorisés, comme ceux |
des évêques, d’autres sont dictés par des
` rie. t préoccupations fort étrangéres a 'intérét |
journal, nous dévons cependant indiquer
ce que le législateur français a entendu
par droit d'accroissement et par droit
de la religion. Nous n'avons pas besoin
de rappeler que les cardinaux de Roims |
| et de Paris ont publié des lettres dans le |
: sens de la résistance passive et envoyé
à Rome un Mémoire aboutissant à cette
conclusion. Nous ne sachions pas que |
Léon XIII se soit prononcé sur ce Mé- |
moire. On na pas oublió non plus que
Mgr Fuzet, évéque de Beauvais, publia
uno lettre adressée à la Supérieure de
l’une des Congrégations de son diocèse,
pour lui prescrire la soumission en des
termes et avec des arguments en tout
cas Inopportuns, Mer Sonnols, archevé-
que de Cambrai, agit plus sagement dans
une lettre, adressée également aux Supé- |
rieures des Congrégations de son diocèse,
en leur exposant impartialement les mo-
tifs qui pouvalent les engager à prendre
une attitude passive, et d'autre part les
Inconvénients qui pouvaient résulter de
cette attitude et leur faire préférer la
soumission. Il leur laissait le choix de se
décider entra ces deux partis, après
| | mûres délibérations.
perception ne peut descendre, et es outre |
divers frais de timbre et autres, ces mul- |
tiples perceptions triplaient souvent, dé- | Paris, ont tenu d’assez fréquentes confé-
Les délégués des Ordres et Congréga-
tions religieuses qui ont des maisons à
rences pour se concerter sur la conduite
à terir vis-à-vis du droit d'abonnement.
St lon s’en rapportait à ce qui était
publié par les journaux, le parti de la
résistance passive semblait obtenir toutes
| В 01A1L ] les adhésions ; mais loreque Pon prenait -
mis, le gouvernement a prétendu établir
une moyenne de ce que lui rapporterail | se ‘renseigner confidentiellement, on ne |
la peine et que l’on avait les moyens de |
| tardait pas de savoir que cette prétendue |
Unanimité n’existait pas, et que plu-
sieurs des plus importantes Congréga-
tions d'hommes, de celles qui sont auto-
risées par l'Etat, reculaient devant les
périls et les aventures d’une résistance
dont elles n’attendaient rien de bon.
Cette divergence latente vient d’éclater
au grand jour par la publication du Mé-
moire à consulter, que notre correspon-
dant de Paris a qualifié avec une sévérité
que nous déclarons ne pas partager.
Nous esi avis que nous n’avons ni à
approuver ni a blamer l’attitude que
prendront les Congrêgations religieuses,
tant qu’elles ne s’écarteront pas du che-
min que leur a tracé le Souverain Pon-
tife par l'organe du cardinal secrétaire
d’Etat.
Leur conduite échappe à notre juge-
ment, et nous déplorons que des hommes,
d’ailleurs animés d’excellentes intentions,
ne se rendent pas compte de leur incom-
pour exercer une pression sur les résolu-
(m les menace même de tarir les sources
des génórosités qui faisalent vivre leurs
ceuvres. En sera-t-on plus avancés ? Les
ancians partis profitent de l’occasion pour
précher un hérpisme trop facile pour
eux; car les rédacteurs qui ordonnent
aux religieux de s’immoler, ne recevront
as un centime de moins de leurs émalu: -
Meuts, et ne se priveront pas d'une
heuré de station aux bains de mer, ou
d'une partie au casino.
Périssent les couvents, pourvu que les
républicains aient des ennuis et le gou-
Vernement des embarras ! En ce point
e que le Saint-Siège à donnés aux écrivains éatholiques.
(BREF pe Leon XII à LA
M. V. X.
sherté.}
SE EE i eS aie teens
même, ne se fait-on pas des illusions ?
Est-11 bien sûr que, dans les couches po-
pulaires, il y ait chance de déterminer
un mouvement d'opinion contre le droit
d'abonnement ? Les Congrégations reli-
| gieuses sont depuis vingt ans victimes de
| ceux qu: les excitent à la résistance sans
leur fournir les moyens de la rendre
efficace, 11 n'ya qu’un moyen, c’est de per-
suader le peuple de l'injustice à laquelle
| le fisc soumet les Concrégations. Or, d'a-
| près les plus sûrs renseignements que
| nous recevons de France, personne ne
| s'occupe du droit d'abonnement que les
{ curés dans leurs presbytères et quelques
vieilles douairières dans leurs châteaux,
| On comprend que les Congrégations inté-
ressées comptent peu sur le succès d’une
; campagné qui n’a pour aides que ces
i forces et contre elle la généralité des
| citoyens, même dans les milieux les
; moins hostiles à la religion.
[lsembie donc qu’un certain nombre
| de Congrégations religieuses préfèrent,
pour le moment, payer un droit exorbi-
tant et injuste, plutôt que de courir les
chances d’une aventure où elles n’auront
point d'autre appui que celui, plutôt
| compromettant, des vieux partis, et point
| d'autres sympathies que celles inefficaces
du clergé déjà fort aitaqué lui-même et
qui ne doit pas s'exposer 4 l’être davan-
tage. Nous résumons en ces lignes le
point de vue qui semble prévaloir chez
certaines Congrégations religieuses auto-
risées (ce sont toutes des Congrégations
d'hommes).
Nous constatons ce mouvement, nous
ne le jugeons pas, parce que nous n'avons
pas le droit de le juger, et nous ne sau-
TIONS Approuver ceux qui usurpent la
compétence de le condamner. Nous n’a-
vons pas davantage le droit de louer ces
Congrégalions. Le Saint-Siège a réservé
l'appréciation de toute l’attitude à prendre
aux Congrégations elles-mêmes, et à Pé-
piscopat à l'égard des Congrégations qui
dépendent de l’Ordinaire. Ge qu’il nous
] appartient de faire, à nous catholiques
BU1SSeS, C'est de prier pour la France
cathoiïique, pour nos frères, hélas ! trop
aveuglés par les préjugés révolutionnai-
res pour constituer tune force de résis-
tance comparable à celle qui, organisée
an moyen du Centre, fit reculer en Alla-
magne ie tout puissant Bismark, I! faut
éclairer les masses, aller au peuple,
selon la recommandation de Léon XIII.
Loreque l’opinion aura été éclairée et
que les préjugés seront tombés, alors des
Iniquités du genre du droit d'abonnement
ne seront plus possibles,
nn
LETTRE DE BERNE
(Correspondance particulière de la Ziberté.)
Ta
Berne, le 27 Juiltel.
Chronique du jour. —
Nécrologie de M. Hoffmann.
M. Hofimann, ancien député aux Etats
pour le canton de Saint-Gall et deux fois
président de ce Conseil, vient de mourir, Il
avait été élu conseiller fédéral en 1881. et,
chose rare dana nos annales politiques, il
déciina ce poste d'honneur. I! faut surtout
remarquer que l’homme qui vient de dig-
paraître était au dessus de la moyenne des
personnages politiques du parti radical de
jadis, et qu'eux-mômes étaient bien supé-
rieurs à ceux qui gérent aujourd'hui 13
chose publique. La famille Hoffmann est
originaire de Francfort, et ce fait explique
bien un peu le caractère du défunt. Dans
ce grand canton d’affaires, où la concur-
rence est encore aggravée par l'influence
presque toute puissante de la Banque
silage, celui qui vaut arriver doit faire
preuve de qualités qui ne sont pas l’apa-
1 паре ordinaire des gens; d’uas activité
ininterrompue, d'une ténacité à toute
Spreuve dans la poursuite du but fixé. de
hsaucaup de finesse st d'habileté ; il fant
de plus étre sobre et simple dang sa vie
privée. Il faut savoir se taire quand il y
auratent inconvénient & parler, et parier
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haut et ferme quand cela devient néces-
saire.
Telles étaient bien les qualités maîtres-
ses du défunt, qui était un homme trés fin,
très sobre, et qui possédait une immense
force de travail. A de ai bonnes qualités, :L
joignait à un haut degré coiles qui ont }
rendu lé libéraligeme odieux auprès des |
hommes du peuple. le dédain pour les :
croyances religtauses et leg opinions pôoli-
tiques qu'il ne partapeait pas, et aussi un
peu pour les hommes qui les professaient,
Mais ici encore M, Hoffmann était tres
aupérieur & ses coreligionnaires politiques.
Il savait bien que le libéralisme capitaliste,
dans la seconde -moitié de ce aiêcle en
oursdé, avait dépassé dépuis longtemps son
point culminant, que le capitalisme avait
créé, par la force des choses, de nouvelles
couches sociales, avides d'un nouvel idéal,
Il se rendit surtort compte que ces gé-
nérations nouvelles, bien qu'étrangéres a
toute idés reiicieuse, et qui se rappro-
chaient par ce côté du libéralisme qui n’a
pas de principes, avaient pouriant, au point
de vue politique et social, da secrôtes affi-
nités avec la minorité conservatrice que le
libéralisme saini-galloïs avait traitée avec
tant de mép'is pendant trop longtemps. M.
: Hoffmann .eävait surtout que, puisque les
“ déu minorités avaient un ennemi com-
mun, № parti libéral, on n'était plus à l'é
poque où il suffisait, pour l'emporter dans
les luttes politiques, de donner en pâture,
aux assemblées du Schützengarten, à
Saint-Gall, le Syllabus et TInfaitlibilité,
C'est M. Hoffmann quí 2 su amener son
parti à accepter, en 1880, la nouvelle Cons-
titutfon cantonale, œuvre de compromis,
et qui, comme taile, n'était j'œuvre d'aucun
arti, et pour cela même marquait la fin da
à toute puissance du parti libéra: à Saint-
Gall, bien qu'elle ne donnät pas pleine sa-
tisfacthion aux minorités conservatrices et |
démocratiques. Ce fut le dernier grand acte à
| quatorze ans, demeurant à la Caquerelle-Des-
politique de M. Hoffmann. Miné par la ma-
ladié, usé par une vie de travail et d'acti-
treinte de la politique cantonaie, il dut se
ménager toujours davantage. Il avait ainsi
Politique et des préoccupations de notre
époque, où l'on oublie si vite.
M. Hoffmann était aussi déjà Hen oublié
au Conseil des Etats. Il avait présidé, entre
autres, la Commission pour la loi sur la
poursuits et la faillite et 1l avait eu une
part considérable
un avocat trés occupé; 1l avait aussi son
« grand bureau », comma Ruchoaret, d'o '
sont sortis des avoeats ef des hommes poli.
tigues. |
М. Hoffmann laisse un fils, surnommé
depuis longtemps le dauphin, président du © se | | 11 p
Comité central libéral de Saint:Gall, Tteu- : de 25 %/o. Aussitót, le train se mit 4 descendre
députó au la pente avec une effeayante ranidité, au grand
effrol, il faut le dire, des voyageura. Неогец-
, ‚ Sement, le mécanicien put enrayer, au moyen
jour ou l'autre, peut ôtre bientôt, député : des freins ordinaires, cette marche furibonde,
| : et méêmé réussit à obtenir l'arrêt complet. Les
commerce agréable et facile, un de cos |
hommes dont on garde avec plaisir ‘e a6u- .
' nen. Quant aux autres, ils restèrent dans le
leur connaissance. Le nom de M. Arthur : train, qui, au bout d’une demi-heure, reprit sa
Hoffmann doit être retonu: on le rencon- .
ténant-colonel à l'état-major,
Grand Conseil, avocat naturellement, et un
aux Chambrea. C'est un jeune homme dun
venir, quand on a eu l’occasion da faire
trera encore souvent dans la politique fé-
dérale, où il est à peine connu en ce mo- |
ment.
CONFEDERATION
Commissions parlementaïres. —
Les commisstons du Consell national et du
Conseil des Etats pour Parrangement com-
mercial avec la France se réuniront Is
PTE yy e A A TL ST PLY SE Le Pe AT Her Aller i aE a o i eC CTC CLE EEL EE TR CEE rear SE rie er
Toll A EP RER Ap
É_—_————]—;———;—;—;———;TZ——;TZ—;——;———;TT————]]——T—oo——;—];—— ———_— A
12 août, à trois heures anrés-midi, a Berne,
La commiasión des deux Consells pour
l'achat d’un terrain à Kreuzlingen pour la
construction d'un bâtiment de douäané se
réunira la à août, à neuf heures du matin, à
Kreuzlingen.
Tir fédéral de Winterthour. Avis
QuX tireurs. — Les tireurs qui se rendent
au tir fédéral ne sauralient trouver une
méilleure occasion pour faire une excursion
4 Schaffbouse ot a 1a chute du Rhin.llya
et Schafthouse et autant de Schafinouse 4
Winterthour. Chaque soir, grande illumi-
nation de la chute.
Yendredi soir, réunion sur la terrasse de
la citadelie du Munot. (Communiqué)
Recrunes de cavalerie. — Les cours
préparatoires à l’école de recrues de cava-
leris auront lieu du 11 janvier au 30 mare
du 8 janvier au 30 mars (et non du 11 jan-
vier au 2 avril) pour les recrues de Zurich,
des).
Arestatlon — La police saint gailoise
a arrôté lundi deux jeunes gens qu on soup-
cone étre les antenrs dun crime comm:s
ques jours,
Coup de foudre. — Pendant un orage
qui a éclaté samedi A Buix (Jura-hernois!, une
mere de famille, Mune Goffinet, à élé tuée per
la foudre devant son habitation. Elle se irou-
vaiten compagnie de deux autres personnés
qui en ant été quittés pour la peur.
Les crimes de I’alcool. — Vendredi,
un nommé Jean-Baptiste L., âgé de soixante-
aous, commune d'Asuel, s'étant mis en colère,
vité, il so retira en 1890 du Conseil des t voulut apalsér sa vive emotion en bavant one
- ox | I forte dose de liqueur, Il absorba on litro entier
Etats, et de plus, dans la ephére plus res- | de gentiane pure et, au bout de quelques
I heures, iI expirait. Fait curieux; L., était un
homme sobre, qu'on ne voyait jamais dans une
disparu presque complétement de la scène : auberge.
Un généreux amateur de musique.
— On raconte qu'QOn étranger, en séjour à
un franc. On peut se faire une idée dela joie
& cés écoliers. _
Bescente rapide. — Mardi après-midi,
comme le train de 4 heures guittait la station
de la Wengernalp ponr se rendre à Lauter-
brunnen, avec 45-voyageurs, le {rein & air
comprimé cessa soudain de fonctionner, alors
que le convoi se trouvait lancé sur une pénie
voyageurs les plus effrayés descendirent. alors
de wagon et partirent à pied pour Lauterbeun-
marche sans autre incident. ; $
NOUVELLES DU MATIN
France. — Dimanche, cômme nous le
disions hier, ont eu lieu, dang toute la
France; les élections pour le renouvelle-
ment, par moitié, des conseils généraux.
On connait 1,982 résultats. Sur 1,343 élus,
; On compte 1,015 répubiicains, 12 socialistes,
226 conservateurs. Ii
Les républicains gagnent 101 sièges et en |
" an rg
2h 1 A YE.
sur la personne d'une jeune fills de vingt |
aus, dont le cadavrea été trouvolil ya quel- |
aucune amitió. Les nations
jalousent ; l'Angleterre doit être prête à °
LA LIBERTE
perdent 19. Les ministres Gadaud et Dupuy-
Dutemps sont élus. |
— ‘Tous les journaux constatent la dé-
faite des socialistes dans ces élections.
Les journaux républicains se félicitent
des résultats, qui permettert, disent-ils, de
constater la victoire des républicains de
gouvernement aur leg réactionnaires ef les
socialistes. Les fenilles socialistes se mon-
trent également satisfaites. La Petite Ré
Publique relève ainsi le succès des socia:
h tras tre Winterth ¡ Jistes : « Dans des grandes villes et dans
chaque jour onze trains entre Winterthour i des centres ouvriers importants nous som-
mes en tête ; à Limoges, Marseille, Toulon, ;
Carmaux, nous triomphons dès le premier
tour de scrutin. À Lille, la majorité des
ballottages est en notre faveur, de même
dans la région da Nord, et aussi À Amiens, |
| Reims, Lyon, dans les Départements de
l'Allier et du Cher : bref, ‘c'est un nouveau
| pas en avant que le pays vient de faire, un
| pas qui le rapproche du but vers lequel
pour les recrues de la Suisse romande, et | pas 1 PP q
hous le sentons enfin s'dbranler, a savoir
l'émantipation pleine et entiére du prolé-
i tariat dans la république sociale définitive-
Thurgovia, St Gall, Appenzell (Tes 2 Ro" 1 ment fondás. »
Angleterre. — Les ólections pour les
Chambres des Commerces sont pour ainsi
dire connues; il ne reste plus que cing
élections á faire. Sont álus 340 conserva.
teurs, 70 unionistes, 174 libéraux, 12 par
Dellisies, 69 antiparnellistes et Z ouvriers.
: C'est l'une des plus fortes majorités dont -
on ati le souvenir en Angleterre.
— Une dépôcle de Constantinople au
Daily News dit que les Tares ne crolent
pas que la politique anglaise à l’égard de
la Porte change avec l’arrivée au pouvoir
de lord Salisbury.
— Le Daily Telegraph critique lattitude
des journaux étrangers à l'égard de l'Angle-
terre. L'Angleterre a toujours montré la
plus grande réserve, et cela ne lui a attiré
puissantes la
toute éventualité.
COURRIER DES HUMANITÉS
у
Nous avons exprimé notré sentiment sur
à l'idée qui a dirigé M. l’abbé Guillaume,
y A. t dans la publication de sa Collection de clas-
1 SIEriswyl, pres Thcnne, a ététellement charmé | siques latins comparés. Réunir dans trois
par les chants qu'ont exécutés 7Ü enfants de €
: Thonne qui passaient en course scolaire dans
| ; que village, qu'il a donne à chacun une pièce ©
dans l'élaboration de a
cette loi. Cétait un jurisconsulte distingué, ©
{ cents pages de texto des morceaux de qua-
i raute auiocars diflérents, c'est vouloir riYa-
lisor avec le caléidoëcope. Le savant écclé-
point de vue,dans une Préface placés en tête
de ia partie du maître et tirée à part. Eile
©s1 consacrée tuute entière à l'apologie des
auteurs chrétiens, d’après lui trop mêcon-
nus. Sur ce point, nous serions assez facile-
ment d'accord.
Ainsi, quand il nous dit que Tertullien,
saint Ambroise, saint Augustin, saint Jé-
rôme, saint Grégoire-le-Grand étaient ré-
putés parmi les meilleurs maîtroé de laur -
temps dans l’art de bien dire et de bien
écrire, |
parmi les rhéteurs paiens; nous n'avons
garde de le contredire, car il ne dit que la
vérité, Mails nous verrons tout À l'heure
que c'est déplacer la question.
Nous serions moins facilement d'atcord -
aveé M. Guillaume lorsqu’il oppose, & la
httérature essentieilement savante et con-
grands auteurs clas- |
ventionnelis des
siques, la littérature plus populaire et
moins artificielle des auteurs chrétiens. Il
est aûr que ces derniers, s’adressant à la
| foula, ont dû se servir d'une langue plus
у а 121 baliottages. |
simple el d'un styie moins complexe. Le
style des premiers est essentiellement eyn-
"ly зто
qu’ils n'avaient point de rivaux -
| penser et d'écrire à colle que nous en
| laïgsée les anciens. Il y
| thétique, et celui des seconds est plutôt
analytique. Nous admettons cette distine-
tion, d’une manière générale, mais avec de
nombreuses exceptions. Saint Ambroise et
saint Augustin ont écrit des pages assure-
rément tout aussi synthétiques que celles
de Cicóron ou de Tite-Live et beaucoup
d'écrivains chrétiens se ressentent du mau-
vais goût régnant chez leurs contempo-
rains. La littérature anaiytique, destined
au peuple, offre anjourd'hui moins de diffl-
cultés 4 la traduction: mais n'est-ce pas
l'un des motifs pour lesquels les collèges
ropugnent & lui faire une grande place
dans l'enseignement ?
M. Guillaume, conséquent avec sûr sys-
tème, exalte aussi ia versification syllabi-
que et rimée, déjà connue des anciens el
usitée dans les couches populaires, au prê-
judice de la poésie rythmée, basée sur ‘a
| prosodie, la seute prisée A Rome par ce que
| Nous appelierions les classes dirigeantes-
| Ce sont Ja des questions que l'on peut dif:
| euter dans une faculté des lettres, mais qui
n'entrent pas dans ie cadre de l'enseigne-
ment gymnpasial.
Le jeune homme quí fait sea classes NA
pas à s'occuper d'une manióre approfondié
des multiples points de vue qui se rapportent
à l’histoire ei aux variations de la littérature
| latine. Il lui importe peu que le style ana-
1lytique soit plus populaire et le style synthe:
tique plus savant, que la poésie prosodiquê
soit moius populaire que ia poésie syllabi
que, queles écrivains chrétiens soient égaux
ou supérieurs aux écrivains païens leur#
contemporains. Dans nos gymnases, On Hé
met entre les mains des étudiants que 168
| auteurs Jatigs du siècle qui a précédé et dv
siècle qui a ouvert l'ère chrétienne. L'au-
teur classique le plus récent est Tacite qu
mourut avant l'an 135.
Ah! nous eomprendrions I'objection de
M. l'abbé Guillaume si Von s'était avisó de
| préférer Ciaudien à son contemnporain gaint
Augustin. Mais la question est antro.
a-til une énoque cu la littérature romalB?
s'eat élevés à une rare perfection qu'elle
n'a pas su conserver dans les’ siècles sur
vants? Tous les humanistes font à celle
question une réponse affirmative, et fort de
cette communauté de jugements, nous A
saurions souffrir que le débat se rouvri'
dans les &yrunases. Co sont discussions
porter dans l'enseignement supérieur.
Du reste, à notre avis dù moins, la que’
tion de la perfection littéraire n'a pas ét
| seule prise en considération lorsgu 0% я
arrêté le choix des auteurs consi
siastique belge, dont nous apprécions d’ail- |
leurs Ie zéteet leg inientions,a exposé son |
dérés
comme classiques. Si l'on s’en était tenu a?
mérite du style, on s6 serait gardé d'intr0-
duire dans tes gymnases Cornelius Nepos
qui, au jugement des meillaura juges, Dé
fut pas un écrivain d'un talent remarqué
ble. On s'eet placé au point de vue du but?
atteindre, et cs but nons l'avons déjà ind!”
qué: mettre les hommes instrults en me
sure de comprendre a l'audition et de tra
duireálalecture les textes latins de difficuit
moyenne,
A pros une prémière période, pendan®
laquelle l'élèvé doit travailler avant tout
acquérir la connaissance d'un grand nombre
ds mots, commence ia {ravail lus difficile
de ja pénétration de la pensée des deriva i’
latins. Nous- avons déjà noté que la diff
rence des civilisations réagit sur la manière
de concevoir et de rendre les idées. bé’
Romaine percovaient les choses 801% un
autre angle que nous. Ce n'est que par",
long travail convenablement dirigé 4e
nous reussisgons à adapter notre façon at
a là un problem
d'optique intellectuelle qui n'a Pas y
même soupçonné par la plupart diques
1 te 8€
50 FEUILLETON pe La LIBERTÉ
E CODAE DE JO-CALTADE
D'abord, Étienne eut l'intention de prévenir
la justice de l'agression dant il avait été l’objet.
Mais aussitôt ii y renonca, dédalgneux,
Pourquoi?
La plainte, si naturelle, si légitime qu’elle
fût, répugnait à son caractère. Flie lui semblait
une sorte d'humiliation, Soldat dans la plus
belle acception de ce mot qu'il considérait
comme un titre de gloire, 11 LrOLYail presque
une déchéance dans cet appel à la force légale.
C'était quand même réclamer ie sacours
d'autrui, avouér son impuissance. Or, un
soldat dévait savoir se défendre lui-méme, en
toute occasion, et ne laisser à parsonne le soin
de le venger, fât-ce de l'aitaque d'un bandit
vulgaire... |
Et puis, Etienne crelenalt, inconsciemment
peut-êlre, que les journaux ne réparlassent du
drame de Aoir-Calvaire, y cherchant des coin-
cidencés, réveillant des souvenirs susceptibles
de provoquer de nouveaux commentaires, el $
d'exoiter, plus ardente, la maligoité publique.
Au surplus, il s’imaginait avoir joué un
role assez piteux dans cette affaires qui pouvait
être pour lui nn triomphe ; et dés lorg, il ne
désirait pas l'ébruiter.
Étienne se contenta de narrer l'incident à
ses parents de Redinne. Encore, il en atténua
y la portée. Tout le monde resta convaineu qu'ij
| acte de brigandage, :
pareil 4 ceux dont le médecin et le receveur
s'agissait d'un nouvel
avaient été victimes.
Etienne et Henri de Morin pronlongérent
leur séjour á Redinne, se rendantanx instencea
1 de leurs hôtéa. Ce fut dans la seconde partie
du mois d'octobre séulement qu'ils quittèrent
l'hospitalière demeuré, pour retourner er
Bretagne, au château de Larsenac
De son côté, Paul Hériot était rentré en
France, et de retour chez son père Guillaume
Hériot, maire de Morival,
AA]
L’automns vint, avec ses mélancolies, ses crías
funôbres, sus grandes désolations -échevelées,
el ses !ugubres plaintes emportées par le vent
de ia nuit, .
L'tiiver lul succéda, rigoureux, impitoyable,
immobilisant les eaux des riviéres, glacant le
sang dana les veines des vieillards, TecouYrant
les camparnes dénadées de ses froides. neiges
ax éternelles er monotones blancheurs !
Mais Etienne, malgré tous les moyéns mig
en œuvre, n'avait pu découvrir l'assassin de sa
— Mere,
Souvent il se répétait pieusement les der-
nières paroles de ia mourante et ne négligeait
rien pour accomplir ses dernières recomman-
dations,
Ain de mieux veiller sur ienri, Etienne
avait renoncé pour un temps À sa vie de marin
qui l'obligeait à delongues absences. Bien que
l’éducation du jeune orphalin fût confée aux
soins d‘un excellent précepteur, le frère ainé
"HE GE a Pa = 1 "a
SEAL el TRE LF al, TEE Tr FE TE Le AL E AA PE Aa ys A TH =,
ne s'en désintéressait pas, el la prenait d'autant
plus à cœur, qu'il savait de la sorte accomplir -
1e désir dé sa mère.
Mais s'il aimait Yalentine, il ne pouvait Ja
lations du comte n'avaient pu dissiper le
donte et mettre fin à la- cruelle incertitude.
On commencalt 4 se décourager,
Comme il arrive souvent, c'est alors que
parut une Jueur d'espérance
À la vérité, cette lueur était bien faible, |
mais elle valait cent fois mieux que l'obscurité |
profonde. N'est-ce pas d'ordinaire par une
lueur que la clarté qui s'approche commence
à se manifester |
Un matin, en dépouillant sou courrier, au |
châteaa de Larsenac, Etienne de Morin y trouva
un biliet anonyme. |
l'intention évidente de déguiser une deriture
au reste (rés peu calligraphique :
« Vous voulez connaître l'assassin de votre
mere, ., Cherchez-le & Morival... »
Di date, ni signature. Le pli qui contenait ce
hittet.étrange portait l'empreinte postale de
Villardenne.
En lisant ces mots, Etienne éprouva une
émotion intense.
Les caractères dansaient on s'effacatent sous
Ses yeux; Sa main trembiait, sa poitrine était
opressée, son cœur battait précipitamment,
Mais bienlôt il se ressatsit et retrouva pen 4
peu son calme.
Il sé mit à relire le billet, à l'examiner, à
: dicté, Je secret qu”i? dissimulait sous cette
| | dication précise.
¡ rendre heureuse , car le myslère persistait en |
, dépit de toutes les recherches. Et lg réeon- |
: eiliation familiale, non plus que les protes-
| j chargé de l'affaire de Noir-Gul vaire ?
11 ne renfermait que ces lignes, tracées par -
une main malhabile, en gros carsciéres, avec :
‘d'un traître. Sans se l'avouer, peut
meer amos ab,
letudier avec une attention mail
cherchant à surprendre la pensée QU in-
Qui dohc avait écrit ce billet? ‘пя 86
: Etienne n’aurait pu le dire, et M0
prononcer sur son importance. — sat, UN
Etait-ce on mauvais plaisant, uf “ap la
conpable peut-étre qui cherchailt 8 dep ation
justice, 4 Tégarer par une 108!
' fatsse?... ; souté-
Toutes ces suppositions paraissaien
nables. jeêuse,
Toutefois, si celte lettre était ble, quil
: l'auteur devait être on peureux, UN 4 ejateurs
n'osait se poser franchement en déno#
. Tedoutant de se comprometire.
Que faliait-il faire ÿ enstruction
Communiquer l'écrit au juge d
Laiséer à la justice le soin de sin er suite
provoquer une enquéte, enfin de donne
a Tincident? lie
Ce parti était le plus naturel, le plus reg
lé plus sage en apparence. ag UN
Pourtant, Etienne le repou3sd, apt
examen sommaire.
Pourquoi? açise. Il
Ii n'aurait pu le dire d'une façon Pre l’objet
craignait de fuire 1840586 route, tear, e
d'une mystification, la dupe d m 3 projelé
compromettre l'avenir, de
A er
craiguait-il la partie qui allait s'engab
dont l'enjeu était 6norme !... (A givre.
NE RER
latins, et c'est le m
Propagande a été ju
Ppróciables,
Nous avons indique
fait préférer Cornelit
les débuts do l'étude
Ils emploient très ra
Les mots se présent
avec le sens naturel
métaphorique, ce q
dans le choix des t
traduits par des débu
. C'est seulement ap
lation que l’étudian
ment dans les textes
bloyés fréguemment
18 ferd des progrès 1
partir constammen
ots pour saisir leu
ant Aetaphorique, Di
De Pernicigux en ce
j Pas tenir compte «
| 408ue; en feuill
«que, le collégien
Me du mot latin
“emble convenir, et
‘ait qu'un contre-se
sert habituellement
*0hge même pas À
Valen propre et de
Mots: it ignorera tou
Les auteurs emplc
“prés Cornélius Nép:
98 difficuités progr
léhension et pour |
fat la compréhensi
Per profondément à
sor hoi de l'ablatif :
dan es mots, par un
o de Ye par une synt
Noe, 4 langue latine «
quee du traducten:
cin. 48 faudrait pa:
ria DX auteurs clase
Hon 085 Ovide, Virgi
ne Face, Taeite, et en
mitt qui n’interes
Ma: 6 de lecteura. No
exe), Rous constato
inane ls de la littéra
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lati #6, de former un
р Bs de la chrétiente
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jour" Chension, A ce
les e. harmonique, q
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tin, PUlS, ii
laz d
mot at a s'afiranchir
Yao: atte difficulté e
que d'exprimer exa
aut. Un ensemble d'i
i fan langue. Tradui
D dUt'serret de Hrag
м la phrase, en r
ay ent, en raison d
ble e remp'acer u
Ce Dar Une nuance ex
qui artistes dans l’a
Ta, Bappelnient Cic
la oie n'ont pas san
Di ave e par telle in
Verb ablatif absolu
te] 4 sun complén:
toy Usctif. Si vous r
lion $92 détails, vou
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Anas. OF aque, pen
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admettons cette distinc-
‘e généraie, mais avec de
options. Saint Ambroise ef
t écrit des pages assuré-
| synthôtiques que celles
3 Tite-Live et beaucoup
08 58 ressontent du mau-
t chez leurs contempo-
tre analytique, destinée
1jourd'hui moins de diffl-
ction ; máis n'est ce pas
ur lesquels lea colleges
faire une grande place
nt?
onséquent avec son sys
| la versification ayllabl-
A connue des anciens et
ichea populaires, su pré-
ie rythmée, basée sur ia
prisée 4 Rome pur ca qu®
les classes dirigeantos-
ations que Yon peut dif:
ulté des lettrés, mais qu!
5 le câdre de l’eriseigne-
8 qui fait ges classes n'a
une mânière approfondié
8 de vue qui se rapportent
ariations de la littérature
rte peu que le style ana-
pulaire etle style synthe:
que Ja poésie prosedique
re que la poésie syllab!-
ins chrétiens soient égaux
X écrivains païens leurs
ins 108 gymnases, on Me
ins des étudiants que les
siècle qui a précédé et du
rt l'ère chrétienne. L'au-
us récont est Tacite qu!
135.
rendrions l'objection de
ne si l’on s’était avisé de
А son contemporain sain?
a question est autre.
ou la littérature romaine
> rare perfection qu'elle
ver dans les siècles sul
humanistes font à cette
nee affirmative, et fort de
5 de jugements, nous Hé
que le débat se rouvrit
3. Ce sont discussions
ignement supérieur.
e avig da moins, la que
ion littéraire n'a pas я
nsidération Joraqu 07
des auteurs consideres
Si l’on s’en était tenu av
R s6 serait gardé d'intro
mnases Cornelius Меро
des meilleura juges, Dé
in d'un talent remarqué
au point da vue dû but :
it nous l'avons déjà inél
hommes instruits en pie”
ra à l'audition et de trä'
8 textes latins de difficulté
mire période, pendan®
it travailler avant tout
ssahce d’un grand nombre
se le travail plus difficile
le la pensée des écrivain*
lg déjà noté qua la diffé
lons réagit sur la maniéré
la rendre les idées- Le?
ient les choses sous VU
oud. Ce n'est que par.
venablement dirigé 40°
a adapter notre façon ‘ ;
3 À colle qua.nous ed
E. Il ya la un prob
trelle qui n'a pas
ar la plupar |
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DOM EE PERM NF A ERE ==
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uête, enfin de donner |
ta ; régulier.
après un
as naturel, le plu
"ence.
le le repougsäs
Pa
+ Tr 7
ire d'une façon l'objet
fausse route, ae ‘eur, de
- latine, et c'est le motif pour lequel leur
Propagande a été jusqu'ici sans résultats
Appréciables.
Nous avons indiqué les motifs qui avaient
fait préférer Cornelius Nepos et César pour
les débuts do l'étude des auteurs anciens.
Це empioient très rarement le style figuré.
Les mots se présentent dans leurs écrits
dTêéc le sens naturel et littérai, nullement
métaphorique, ce quí est une condition
dans le choix des textes destinés à être
traduits par des débutants.
. C'est seulement après cette première ini-
lation que l’étudiant pout se guider sûre-
ent dans les textes où les mots sont em-
ployés fréguemmient au sens figuré ; mais il
18 ferd des progrès réèls, que s’il s’habitue
partir constamment du sens naturel des
Mots pour saisir leur signification dérivée
eut Aétaphorique. L'usage des dictionnaires
ne P&rnicieux en ce qu'il habitue l'élève à
lo PAS tenir compte de ces deux aepécts de
Le ‘dlgue ; en feuilletant hâtivement un
1, QUe, le collégien cherche dans la co-
Ie du mot latin un mot français qui
“eMbla convenir, et le plus souvent il ne
lait qu'un contre-sens, L'étudiant qui se
8ért habituellement d'un lexique latin ne
“0Bga méme pás A se rendre compte de la
Valeur propre et de la valeur dérivés des
Mots: il ignorera toujours ia langue latine.
Les auteurs employés dans les collèges
apres Cornélius Nepos et César présentent
“8 difficultés progressives pour la com-
ension et pour la traduction. D'abord,
For là compréhension. Le génie latin dif-
Per Profondément du génie francais, Par
sion oi de l’ablatif absolu, par l'intarver-
dbs os mots, par un savant usage du sens
об e Dar une syntaxe idéalement nuan-
io. 12 langue latine exerce et affine l’intel-
bance du traducteur.
din 0us faudrait passer en revue les prin-
Fins OX autéurs classiques des classes supé-
оо, Ovide, Yirgile, Cicóron, Tite-Live,
Pomo Tacite, ot entrer dans des dévelop-
[migo qui vintéresseraient qu'un domore
M $ de lecteura. Nous nous en abstenons.
ais no ; a "
Sxely US constatons que les partisans
USO:
la chrétienté qui se prétent 4 cette
om astique gi délicate de ia faculté de
jour | ension, a ce développement tou-
les for. Armonique, quoigue varié, de toutes
ces de l'intelligence.
tion Puis, it y à la difficulté de la traduc-
Stig ont op tend aujourd'hui malheureu-
Mot at A s'affranchir par un barbare mot à
Rg Geîte difficulté existe chaque fois qu'il
ee d'exprimer exactement dans une tan-
ati UN ensemble d'idées écrites dans une
i мо langue. Traduire, ca n'est pas imiter;
Auf kbrrer de ards te texte; suivre pas a
bas la phrase, en rendre les nuances et
Jan eut, en raison du différent génie des
le, remp'acer une nvance intraduisi-
Con. ry Une Nuance exactementequivalento.
Ta S'appelsient Cicéron; ou Virgile, où
] |
pla ao par сапе ifèldente, où mis à telle
York ablatif absolu, ou fait précéder tel
te] Ae “on complément, Ou mix en vedette
Ola J8CliE, Si vous ne tenez pas compte de
lig Ses détails, vous méritez l’adage ita-
: lraduttore, traditore.
hr ais. doraque, pendant trois ou quatre-
litte. YOUB avez entamé et poursuivi cette
tes late quatre ou cing ces grand stylis-
sentez Ce du siècle d'Auguste, alors vous
ia я dYec Boileau, la valeur d'un mot
bella | За place : vous savez écrire la
lop, “Que française. Une tournure trog
Man, (He expression impropre, un léger
le mare de cadence on йе proportion dans
Voug ment de la phrase vous choquent.
On VEZ le sens litiéraire. —
étude Sons permettra de terminar cette
d'un PAP quelques opportunes réflexions
Par quaitre en l’art d'écrire, comme en
Hève а penser. M. Adrien Naville, de Ge-
Colla, Sonataté le m:1 qui existe dans le
leurs” da cette ville ; il existe moins nil:
ont man être, car les collèges catholiques
pépins Que d'autres résisté à l'attrait
Mérite ces aventurées. Mais M. Naville
ig 1, A 00 tieñné grand compie de son
l‘aqu’il nous dit que:
Il #
trad “uf Organiser sur de tout autres bases la
ête а lon d
Siren ¡que fuit A ce sujet M. Ernest
Ur Ze ot 0 Page, 66 de sa récente brochure
Steg air lege de Gencve el Venscignement
a,
LUE À les ; bons écrivains francais. On conti-
т Collège Ultiver avec soin dans les lycées et
devenus de Ja grande république. Que sont
M qu'on oo nous ges exercices? J'entends
DE Ven А à presque abandonnés, parce que
CN tANES fra Ont plus le temps de faire des
qu tlle rdison en vérité ! Le temps, 11
ing; Та trop nombreuses, Si la traduc-
Cha ensEblo A € utile à Paris, n'est-elle pas !
> À Genève, à Lausanne et’ à Neu-
Égère 5 SOU S nous done une plume trop .
| servations.
*alre dont il conviendrait de pré- Un troisième recours vient d'être adressé
Dlengg Heften Tions-nous d’un excés de sou-
Tay
|
LEE al | A A a"
3118 de la littérature chrétienne, n’ont |
101 pas réussi, et n'ont même pas |
› 46 former une collection d'auteurs .
q > Artistes dans Vart de polir leur style,
-D'ONt pas sans intention commencé |
+ ——]—_— Ie. or ri I SOLE wl — haa CT
£8 auteurs, Qu'on lise les réfddexions |
EL ; classique. La version grecque at |
Blopart den LS OR latine ont été l’école de la |
Dcalses, ni les maîtres celui de les |
| n и |
ba, Eludes > trouve, en sacrifiant pour cela | < quence, d'annuler Vólection du 5 mai 1895
tio? les claggos Importantes, et'en dédou- |
gerver nos fils? Seraient-ils en péril d'acquérir
un style frop net et Lrop vigoureux ?
Mais à côté du latin est venu se placer l'alle-
mand ; une langué de plus, c'est-à-dire s1 l'on
n’y prend garde, un danger de plus pour la
rédaction et le parier français. Et combien cette
étude ne nous a-t-elle pas déjà fait de mal!
L'allemand nous est nécessaire pour des rai-
Sons nationales et pour des raisons scientif-
ques, It élargit notre horizon intellectuel et
moral et nous met en présence d'œuvres litté-
raires admirables. Mais, s'il ÿ avait un moyen
de conserver les avanisges tout en atténuant
les inconvénients, né faudrait-il pas le saisir
avec empressément ?
versions allemandes, et surtout qu’on exige
qu'elles soient écrites en français et non pas
en suisse. Il ÿ à des difficultés qui tiennent à
la différence des deux génies littéraires. Fen- |
dre en francais, en vrai francais, la pensée
d'un écrivain allemand, cela pourra bien quel-
cela, justement, qui assouplira la plume fran-
caise. l! y en a d'autres qui tiennent au per-
sonnél enseignant. 11 faudrait que tous les
maitres d'allemand eussent une intelligence
complète des deux langues qu'ils doivent ma-
nier. On a fait, à cet égard, je le crois, de
crands progres. Il en resté à faire. |
mi, en attendant, ne serait-il pas utile que le
maitre de composition revit et corrigeút quel-
quefois au point de vue francajs la version
| allemande de ses élèves ? Cicéron, un orateur
passabte, n'est-ce pas ? a raconté qu’un travail
| prolongé de traduction avait contribué à for-
_ mer son talent:
« Dans mon adolescence, dit-il, je traduisis
les harangues des grands orateurs de la Grèce.
Ce travail me fut utile : en donnant uné forme
latine à ce que j'avais lu en grec, non seule-
ment je pouvais me servir des meilleures ex-
pressions en usage parmi nous, maisl'imitation
me conduisail à en imaginer d'autres, qui,
pour être nouvelles dans notre langue, n’en
étaient pas moins hétreuses. » |
Que cet exemple soit recommandé aux ado-
lescents d'aujourd'hui.
Dans la pagé que nous veñons dé fépro-
duire, M. Adrien Naville insiste aurítout
sur la traduction des textes allemande ; il
veut nous délivrer du français fédéral,
Tâche ingrate, tant que les traducteurs |
Ness séront pas fait un style avec les textes |
latins ét eracs. Les langues anciennes sont | Le
5 © représentées, selon toute probabilité,
émitemment propres à la gymnastique lit-
téraire qui a formé la plupart des grands
ÉLECTION PARTIELLE
DANS LA GRUYERE
Une assemblée des délégués dm
parti conservateur de tout le dis-
trict de la Geuyôre est convogaée
pone le mereredi 314 juillet, joar de |
MARCHE A Énile, à À heupçe, dnns Is
salle du Tribunal, pour désigner dé
finitlvement 1e candidat à l'électfon
qui aura llen le 4 aoút.
Les conservateurs sont instam- |
| des cantons de Berne, Vaud, Neuchâtel, etc,
j On remarquait partiéulièrement les Socié-
ment priés d'envoyer lenrs délégués,
et d'assister aussi nombreux que
possible à Ia réunfon. = a
11 est rappelé que Ia réunion préli-
minaire de Vaulruz propose M. Jenn
Fnasquier, juge suppléant.
Premiéres messes, — l'imanche ont
été célébrées dans notre diocèse les premié-
reg messes sulvantes
=. a . , " L О
A Vilarsiviriaux: M. l'abbé Berset (prê- ligna, et M. de Dissbach, capitaine de cuiras-
i Biers, alors premier secrótaire de TAmbas- -
à sade, aujourd hrui chef de léfation. Venaient ( E
ensuite le Conseil communal, le Comité de | ®
dicateur: M. Berset, doven-curé de Neu-
chätei) ;
A Attalens: M. l’abbé Chevalley et M. |
l'abbé Savoy (prédicateur: M Fragnière,
directeur au Séminaire};
A Rueyres-les Pras; M. 'abbé Ducotferd
(prédicäteur : M. de Cocatrix, chanoine de
saint Maurice);
À Courtion : M. l’abbé Singy (prédicateur :
К. P. Mandoanat) ;
Au Landeron : M l'abbé Gambon (prédi-
cateur: M Bovet, profasseur).
Le ei рая
Eecours feifbourgeois. — Le Conseil
fédéra: dans sa séance du 24. juillet, modi-
fió 82 décixióon concérnant les suspensión:
| des conseils communaux de Fribourg et de
Romont. La snspsnsion a été levée.
Ein ce qui concerne spécialement Romont,
le Conseil fédéral à modifié sa decision pro-
| vigoire du 5 juillet « dans cé sens qu'il cosse
i « d'interdire aux citoyens reconnus élue
« par décision gouvernementale du 24 juin
« d'exercer les fonctions de conseillers com-
« munaux de ja ville de Romont; en re-
« vanche, la Conseil fédéral conaidère cas
« fonctions comme purement provisoires
« juaqu'a ca quel dit ltquidó tá recóura en
« question et il se réserve expressément le
« droit, dans le cas où ie résultat de l'étudé
« qu'il va faire emporterait coite cousé-
« déciarée valable par le gouvernement de
« Fribourg ». 11m
Le recours a été trangemis au gouverne
ment fribourgeois pour présenter ses ob-
-_ "PT
ir
Au Consel fédéral, cette fois par is Comité |
radical et par le Comité bienpublicard de
la ville de Fribourg. Ce recours tend à
contester le droit de vote aux étudiants de |
l'Université porteurs du permis d’étabiis- |
sement de 2 fr., et aux gardiens des pëni- |
tenciers, détachés, pour affaires de service,
dans les chantiers des routes.
Nous croyons inutile de discuter, pour le !
moment, ce recours; mails nous nous re-
jouissona qu’il ait été déposé, Les deux
| questions qu’il soulève auraient dû étre
| depuis longtemps soumises à l'autorité fé- |
Que l'on demande aux élèves beaucoup de | Cérale par nos adversaires ; céla aurait
| mieux valu que de faire renaître ls conflit |
à la veille de chaque votation en refusant |
la carte de capacité électoraie à des caté- |
Eories de citoyens qui, se basant sur la loi, |
| estiment avoir rempli toutes les formalités
Ata ий ita maja wect | Tsquises pour jouir pleinement de. leurs |
quefois être Un véritable casse-lete ; mais ¢’est | droits ‘eiviques. On n’osait pas aborder la
question en face, et on se vengeait sur da |
pauvres électenrs qui n'en pouvaient mais. |
ee JA -.=1-
Le cavéau ot le monument do 14 |
soldats francais enterrés à Bulle seront
inaugurés solennellement dans le courant
du mois d'août, probablement le 25,
pitivement arrêté, nous croyons savoir
qu'un office avec atlocution de circonstance
sera célébré à 10 1/, heures, dans légiiso § © ;
¡ tilon dans la grande salle des Macons, à
; Fribourg. Quoiqu'il n’y ait que de faibles
| primes, elle invite séricusement sor mem-
paroissiale de Bulle,
Après l'office, ou dans I'aprés-midi, vers
21//N. où 5 heures, un cortège sera formé
pour se rendre au éimetière, où il
absoute donnée, probablement, par M. le
Curé de la paroisse ; discours ; chants par | 1% 706) |
; suite du concours de vergers dans le dis-
là Chorale, et morceaux funèbres par la
musique de Buile, ces deux Soctétés se
disposaat, nous assure-t-on, a offrir leur |
Concours.
La Société francaise de Fribourg asaia-
tera én corps aux deux cérémonies, où s'y
fera représenter par son drapeau et una
son Nom 8ur le nouveau monument,
dil a
francais.
D'autres Sociétés françaises seront aussi
On ignore encore st tous les Cercles de
Bulle et toutes iss Sociétés, militaires ou
autres, assisteront à ces cérémonies, comme
toutes leg Sociétés et tous les Cercles de
Fribourg, sans aucune exception, assistóé-
rent; en 1890, à l'inauguration du caveau
que la Société française venait de faire
construire et dans lequel elle avait trana-
féré les cendres des 8L soldats français
morts dana cette viile en 1871.
Vingt -neuf drapeaux, une quarantaine
de Snciétés et tous les corps constitués
figuraient dans Vimposant cortége, qui par-
tit de la place Notre Dame pour sé rendre
au cimetière, en faisant le tour par la rue
des Chanoines, la rue de la Poste, la Grand'-
Rue, etc., afin d'avoir un parcours suffi
samment long pour se développer entière-
ment.
Dans ce cortège de plus de 3,000 partici-
pante, dont un bon nombre étaient venus
tés militaires et dé nombreux soldats en
uUnilèrns
Aprés la musique de Landwehr et les
drapeaux, venaient Messieurs les coniéillers
d'Etat et les membres du personnel de l’Am-
bassade de Fränca, dont plusieurs en uni- § E
fqrme militaire, entre autres, M. le colonel
d'Heilty, alors attaché militaire à l’Ambas-
sade, aujourd'hui commandant du 92° de
la Société française de Frihourg, le clergé, | §
| les officiers et soldats en uaiforme, etc. À
. ll est à prévoir que, l'armée française |
géra représentée au cérémonies. de Bulle
par M. la colonel du Moriez, sucéssseur de
M. le colonel. d'Heilly, comme attache mili.
faire 4 l'Ambassade de France pres la
Confédération suisse.
| - +4 446.
Pensionnat d’Ueberstorf, — Lesexa-
mens de fin d'année du Pensionnat de jeiznes
filles d'Ueberstorf ont eu lieu jeudi passé à
la satisfaction unanime des assistants. [ls
ont prouvé, une fois de plus, que le pro-
gramme de la maison, st’ judicieusérment
combiné pour former d'eéxcellantes ména-
góros, chrótionnes et lettróva, y était suivi
avec non moins d'intelligence que de sug-
pr в
Lexcellente réputation dont jouit cel
établissement est due, non seulement au
dévouement des bontes Sœurä qui ie diri
gent'depuis tant d'années, mais aussi à
leur constante préoccupation d’y apporter
toutes les améliorations, intelleetuelles et
matérielles, utiles à l'éducation, à la santé
et au confort des nombreuses élèves (une
cinquantaine) qui leur sont confiées. C'est
ainsi que, cette année, nous avons pu
admirer uno nouvelle et vaste dépendance
contenant, avec une buanderis modéle,
accompagnée de tous ses accessoires (tels
que: éssoreuse centrifuge, séchoirs, szlle de
repassage, Stc.,) Uno installation de bains
aussi complóte que bien organisée.
y aura |
-huralisté de
2 TIL OCT OT) A D ET LA SE TEA
L'après midi fai consacrée à des produe-
tions littéraires et musicales très reussies :
puis, après la distribution des témoignages,
Monsieur l'abbé Spæth, Rd curé de 1Hópi-
tal, À Fribourg, qui avait bien voulu prési-
der à toutes les cérémonies de la journée,
| prononça le discours de cióture, en quel-
ques paroles très écoutées,
Enfin sonna l'heure de la séparation, et
| les larmes qui mouiilèrent alors les yeux
| des jeunes partantes, témoignaient élo-
| quemment des jours heureux qu’elles
avaient pâssés à Usbaratorf.
IE a mim
Le College électoral, réuni ce matin,
à procédé aux nominations suivantes :
Juge de paix dù 6° cercle de la Gruyère
(Vauiruz), en remplacement de M. Farre,
j décédé, M. Moret, Louis, l°' assesseur, à
| Vuadens;
ler assesseur, M. Monney, Alexandre,
2% asgessour, 4 Rueyres-Treyfayes :
2° assespeur, M. Chollet, Casimir, ler sap-
pléant, a Vaulruz;
le axppléant, M. Gobet, Honoré, 2e sup-
pléant 4 Sales;
2 suppléant, M, Borcard, Maurice, syn-
| dic de Yaulruz,
Quoique le programme ne soft pas défi- |
Horticalinre, — Le dimanche 4 aont,
[ 2 2 heures du soir, la Société fribourgeoise
d'horticuitura aura une assemblée-exposi-
bres á y apporter des produits : fleurs, lé-
gumes et fruits. À la fin de cette aésemblée,
la Société distribuera les prix décernés à la
trici de la Sarine st aux horticulteurs établis
à Fribourg.
Ont obtenu dés prix:
MM. Roulin, Paul, député à Tréyraux ;
schualler, J.-P,, 4 La-Corbaz; Renaud, Louis,
A Bourguillon; Berger, Florentin, à Prez-
délégation. Une couronne sera déposée en | Yers-Noréaz; Despont, Adrien, à Cormin-
qui est } bœuf; Berrard, Célestin, syndic à Givisiez ;
la Bociété nationale du Souvenir |
Roll, Jalien, & Vuisternebs en Ogoz; Bise,
rév. curé à Vuiaternens-en Ogoz ; Seydoux,
adjudant de gendarmerie, & Villars: Ma-
gnin, Pierre, à Cottens ; Gendre, Francis,
a Viliarsel-aur Marly; Margueron, Jean,
deputó 4 Cottens; Biolley, Jean-Baptiste, 4
Praroman ; Marchon, J., épicier à Vuister-
nens-en-Ogoz ; Nissille, P., huiasier, à Vuis-
fernens en-Ozoz ; Cotting, Fridolin, pintier,
à Präroman.
Sn O1.
Accident, — Samedi après-midi, un
douloureux accident est venu plonger dans
la désolation une honorable famille de
Mierlet la-Bois, |
Un garçon de trois ans, fils de ta veure
Buchs, voulut grimper sur une caisse à
£ravier appuyée contre la maison, IT attira
à lui Ja caisse qui, en tombant, lui donna
la mort, Lorsqu'un quart d'henre plus tard,
оп ве MIL A Ja recherche de l'enfant, où né
trowve plus qu'un cadavre. Qu'on juge de
la douleur de la mère, déjà tant éprouvéae,
il y à dix huit mois, par ia mort subite de
son mari, M. le syndie Antonin Buchs, tud
par une ruade de son cheval.
Toute la contrée compâtit à ses épreuves.
a rma sl
Postes — Le Conseil lédéral a nommé
poste et facteur à Sugiez
(Vailiy), Mme veuve Marie Derrou, à Su-
gies,
5 Monsieur et Madame Jambé-Thé E
M raulsz, pharmacien, à Châtel-Saint- ¥
g Denis, Monsieur et Madama Auguste À
A Jamhé et leurs enfants, 4 Lausanne,
| Moosieuret Madame Alph,'Fhéraulaz, &
d conssiiler d'Etat, et leurs enfants, à À
SN Fribourg, ont a douleur de faire part À
à leurs parents, amis et connaissances À
E do la perte cruelle qu'ils Viernent de J
a faire enla personne de leur cher fils
ы et patit-fils,
AUGUSTE
| décédé à Lausanne le 29 juiilst, acd §
de & Mois, я
L'enterrement aura lieu à Châtel- =
Saint Denis, le mercredi 31 courant, |
32 % heures de l'apres midi. E
В Вай Cet ovis tient liew de lellre X
& de faire-part. 8
KO
SAROMBTRE
“Joillet | 24] 25] 26] 27] 28] 29130] Juillet
726.0 [=| | | | | | —| 725,0
90.0 i=| | e A = 755.0
тво [ео | | [ет ms
16,0 |= | NI mes =! 710,0
Moy. |" HI = Moy.
705,0 [== || HHH ==, 7050
700,07 | НН, [HE i=] 700.0
s05,0 == IEEE MIE | 098,0
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M. SOUSSENS, rédacteur.
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» Schmitten 7 h. 01 > | » Schmitten 10h, 15 >
» Flamatt 7h.43 >» » Guin 10 h. 27 >»
Arrivée à Selzach 9h. 30 >» | Arrivée 4 Fribourg 10h, 40 >»
Prix des billets avec entrée à la représentation
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