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Ol ini ЛЬНА ЕНЫЙ! nne, 112, FRIBOURG , rubans. UI: URSS, ribourg. nton de Soleure) SION + 95 16h 7 h. 40 soir. natt 10h 02 >» mitten 10h, 415 +» 1 10 h, 27 » ourg 40h, 40 >» présentation 8, Fr. 6.20 de la Gare el 4 SPÉCIALE la disposition des PF (1313/691) OUTEILLES X 4 TIbourg Saint-Pierre y eh ôlés, livrée franco À dépôt de 20 centimes fur ét à mesure quo H2133H (1282) ) ¿ Pont-Suspendu- Téléphone он Taréchal . REMY- , uso — Freilassing belle couleur» it et une a 8 suisse Dr. Brooeard « + | > BAINS par Jour.’ a Fribourg, Suisse y DT _ = = - LF rrr ee Le Grand’Rue, 18, Fribourg (Suisae) ANNONCES Agence de publicité Haasenstein & Vogler 144, Place de l’Hôtel-de-Villé, 144 ADMINISTRATION ET REDACTION ABONNEMENTS Suisse Étrangar TROIS MON . FA, #4 — Fe, 7 — BIL MON. , =» 650 » 13 — 13 — » 35 —- | ПМ АМ. . .» 2 Uz wuméra de journal: 5 contimos ANNONCES Annonces Kéolames QANTON, Lk LIGNE 15 CENT. SCISSE 3 20 > ) 5D CENT. EYBANGER 9 20 x | MERCREDI 81 JUILLET' 1895 212 -— SAINT IGNACE DE LOYOLA = 163 “Numéro 175 VINGT-CINQUIEME ANNÉE J т Courage donc, chers Fils, et agissez virilement, pleins de confiance en Dieu dont vous servez 2% Cause, appuyés fur les doctrines de cette Chaire apostolique à laquelle a été confié l’enseignement *Ipréme. 0 I X TIC ii (BREF DE P18 IX A 1a Liberte.) Nous avons constaté avec plaisir que, dans le ministère que vous exercez, vous vous proposes ] d'adhérer fermement aux conre La Presse est une (Euvre pie d'une utilité souvernine (Pix IX) DERNIÈRES DÉPÊCHES | [FE DROIT D'ABONNEMENT Servite de PAgence télégraphique sulsse Parts, 30 juillet. Les journaux républicains constatent que à Caractéristique des élections des Conseils généraux c'est l'échec des socialistes et la lerme adhésion des électeurs à la Républi- Que modérée, mais nettement progressiste. Les organes conservateurs constatent Également l’échec des socialistes ; ils ajou- tant que leurs propres pertes sont Insigm…- Jantes: pour eux, c'est le maintien du statu quo. Les socialistes nient leur défaite ; ile lSant qu’elle n’est qu’apparente, leurs can- dats ayant obtenu plus de voix que dans be précédentes élections et n'ayant été dtlug que grâce à l'alliance des républi- “alns de gouvernement avec réactionnaires êt les cléricaux, Londres, 30 juillet. vu télégraphie de Tananarive en date du uil hove let au Times que le gouvernement Yue fait secrótement des ouvertures en de la paix, mais que, craignant une révolution, il dit hautement qu'il résistera Mirance. L'hostilité contre les étrangers Arment, On iélégraphie de Sofia au méme journal ue М. Grekoff a refusé de prendre la di- pu étion d'un parti qui serait formé par la Son des partisans de Stambouloff et de adoglaw of, Londres, 30 juillet. toi Daily Chronicle dément que l'A ngle- há Felionce à ses prétentions sur l’île résilionne de Trinidad. Saint-Pétershourg, 30 juillet. + emperour Nicolas Il a approuvé le ré- Slement relatif au prochain recensement Général de la population en Russie. Ne note officielle accompagnant le dé- Cet impérial déclare que ie peuple n’a rien à craindre á cette occasion, aucun projet d'impôt n'étant attaché au recensement. Milan, 30 juillet. Le dimanche 4 août partira de Milan un Pélerinage qui se rendra, par Domo d'Os- sofa et le Simplon 4 Saint-Maurice, puis à fibourg, a Sachueln et aux Ermites. Santingo, 30 juillet. Manuel Racabarret a formé un cabinet, New-York, 30 juillet. 8 Seize mille ouvriers taillours ge sont mis y grève à la suite de I'abaissement des Salaires. Zermatt, 30 juillet. le Ц St descendu la semaine derniere dana | B différents hôtels de Zermatt, 1,468 per- ai eg, Il a été fait de nombreuses ascen- As du Corvin, du Mont Rose, Zinal- Othorn, Gatelhorn, Dent d'Herens, Dome 8 Mischabels. | Us noe correspondants particuliers Genève, 30 juillet. de grave accident est arrivé dimanche | : 8 | spéciaux, exagérés, et que ne palent pas hier, soit avant-hier, à Genève. ep pêcheur, M. C,, était en train de rele- tion TP. masse et avait ancré son ambarca. Vies A'tque le bac Arigna, faisant le ser Sop, Чех Piguis aux Eaux-Vives, arriva et Me l'avant du bateau ainsi arrêté. ge + O-, Voyant lo danger, sauta À l’eau et Mit à nager, Ca que voyant, 1 Artana Se: PDA im nédiatement et se porta a gon JO rg A Та то Da n’un batelier | n ón mome pas ¢ Came Bau in. Gráce à cea EOCOTFA, M. С + © a Ц fut Yuitte pour la peur et un bain. L {xendve, 30 Juillet. uy ; Police vient de faire une enquête sur y “Cident terrible quí #'est produit hier. faig, 2 résulte que, à 7 % heures, le hac Rha le service entre les deux rives du Pene” pendant les réparations du pont de ned se Templit d'eau. Pour comble de Min: UF, le cáble sauta. Quatre morís s an vi Yirent : 1e celle du passeur, Meschini, time y ia y etaz, pére de trois enfants ; 3° celle de ее Ye Mothar, qui laisse trois enfants, 19 5 208i ; 40 celle de Félix Orsier, âgé de : > Ou Trier de campagne. án,. 16 terrible catastrophe fait un bruit Torme en ville. e ee , . + +-+—-ф a — iene aa oa il are ein oi "oa UU ao A e | exploitées | prévaloir fut celle de la résistance pas- sive. Les couvents ne devaient pas payer | et attendre que l'agent des contributions | tions à prendre par les Ordres religieux. de son imprudence; 20 celle de € En publiant notre derniére correspon- dance de Paris, nous avons dit que nous Jaissions & notre tres compétent collabo- rateur la responsabilitá de ses-sévérités 4 l’égard des Conorégations autorisées qui semblent disposées à subir, pour éviter de plus grands maux, le poids inique des charges qui leur sont imposées par la loi sur le droit d’accroissement, trans- foriné en droit d'abonnement. Sans entrer dans des explications qui : dépasseraient les bornes d’un article de d'abonnement. Le droit d’aceroissement fut établi en 1884 ; le prétexte allégué fut que, lorsque mourait un membre d’une Congrégation religieuse, tous les autres membres héri- taient, pour une part, du confrère défunt, et devaient dès lors payer un droit de succession. La part des survivants s’aca croissaii de ce que laissait le décédé, Il y avait, dans cette prétention, un s0- phisme que les libéraux n’ont pas voulu avouer. Les Congrégations paient déjà l’impôt de mainmorte, et le droit d’ac- croissement faisait dès lors double emploi. Non bis in idem, doit être la loi du fisc. Toute une longue série de procès s’en- gagèrent parce que le gouvernement, au lieu de percevoir le droit d’accroissement au siège de la maison--mère, prétendait le réclamer partout où la Congrégation - avait des maisons, et comme 1l y 2 une taxe minimum au-dessous de laquelle la cuplaient quelquefois la somme à payer par les Congrégations. Les tribunaux, saisis de cette question, se prononcèrent en sens divers, et en majorité contre la multiplicité des perceptions. Pour sortir de l'embarras où 1l s'était annuellement le droit d’accroissement, et par une loi édictée au mois d’avril der- nier, a fixé cette moyenne annuelle à 30 centimes pour ies Congrégations au- torisées et à 40 centimes pour les autres. La loi fait, en outre, espérer un allègement aux Congrégations qui se vouenl aux œuvres de bienfaisance ou d’évangéli- sation à l’étranger, et qui aervent ainsl les intérêts diplomatiques de la France, Telie eat la loi dite d'abonnement. | Qu'elie soit contraire à la justice, per- | sonne ne saurait loyalement le contester. Les religieux sont soumis à des impôts les autres catégories de citoyens. Avant le vote de la loi, les évêques en signaié- rent l’iniquité et le caractère d’hostilité à la religion ; le Saint-Siège fit des obser- vations qui ne furent pas écoutées. La loi votée, la question se posa de l’attitude que devaient prendre les con- | grégations religieuses si odisusement par le fise. L'idée qui parut | pétence, et de l’inconvenance de leurs appels à l’opinion du publie catholique vint saisir le mobilier et le vendre aux enchères. On parut de prime abord se promettre heaucoup de cette mise en scène, car il faut bien dire le mot, Le Saint-Siège Intervint en ce moment, nos pas pour donner des directions, mais au contraire pour déclarer qu’il n’en donnerait pas. Il se bornait à des conseils, Far ordre du Saint-Père, le cardinal | Rampolia fit remarquer aux congréga- tions religieuses que rien ne pressait ; | qu’elles avaient du temps devant elles, | qu'elles devaient l'employer à réfiéchir { sur la meilleure attitude à prendre dans leur intérêt, et sur les conséquences qui résuitersient de leur attitude. Celles d’entre elles qui dépendent de POrdinaire devaient suivre les directions de l’autorité épiscopale ; mais à toutes, il était recom- mandé de ne pas se laisser influencer | par les agitations du dehors, ni par d’autres considérations que par celle du | bien religieux confié à leur dévouement. Ces recommandations du Saint-Siège | avaient une réelle opportunité, car les conseils ne manquent pas depuis trois mois aux Ordres religieux, et s’il en est | de compétents et d'autorisés, comme ceux | des évêques, d’autres sont dictés par des ` rie. t préoccupations fort étrangéres a 'intérét | journal, nous dévons cependant indiquer ce que le législateur français a entendu par droit d'accroissement et par droit de la religion. Nous n'avons pas besoin de rappeler que les cardinaux de Roims | | et de Paris ont publié des lettres dans le | : sens de la résistance passive et envoyé à Rome un Mémoire aboutissant à cette conclusion. Nous ne sachions pas que | Léon XIII se soit prononcé sur ce Mé- | moire. On na pas oublió non plus que Mgr Fuzet, évéque de Beauvais, publia uno lettre adressée à la Supérieure de l’une des Congrégations de son diocèse, pour lui prescrire la soumission en des termes et avec des arguments en tout cas Inopportuns, Mer Sonnols, archevé- que de Cambrai, agit plus sagement dans une lettre, adressée également aux Supé- | rieures des Congrégations de son diocèse, en leur exposant impartialement les mo- tifs qui pouvalent les engager à prendre une attitude passive, et d'autre part les Inconvénients qui pouvaient résulter de cette attitude et leur faire préférer la soumission. Il leur laissait le choix de se décider entra ces deux partis, après | | mûres délibérations. perception ne peut descendre, et es outre | divers frais de timbre et autres, ces mul- | tiples perceptions triplaient souvent, dé- | Paris, ont tenu d’assez fréquentes confé- Les délégués des Ordres et Congréga- tions religieuses qui ont des maisons à rences pour se concerter sur la conduite à terir vis-à-vis du droit d'abonnement. St lon s’en rapportait à ce qui était publié par les journaux, le parti de la résistance passive semblait obtenir toutes | В 01A1L ] les adhésions ; mais loreque Pon prenait - mis, le gouvernement a prétendu établir une moyenne de ce que lui rapporterail | se ‘renseigner confidentiellement, on ne | la peine et que l’on avait les moyens de | | tardait pas de savoir que cette prétendue | Unanimité n’existait pas, et que plu- sieurs des plus importantes Congréga- tions d'hommes, de celles qui sont auto- risées par l'Etat, reculaient devant les périls et les aventures d’une résistance dont elles n’attendaient rien de bon. Cette divergence latente vient d’éclater au grand jour par la publication du Mé- moire à consulter, que notre correspon- dant de Paris a qualifié avec une sévérité que nous déclarons ne pas partager. Nous esi avis que nous n’avons ni à approuver ni a blamer l’attitude que prendront les Congrêgations religieuses, tant qu’elles ne s’écarteront pas du che- min que leur a tracé le Souverain Pon- tife par l'organe du cardinal secrétaire d’Etat. Leur conduite échappe à notre juge- ment, et nous déplorons que des hommes, d’ailleurs animés d’excellentes intentions, ne se rendent pas compte de leur incom- pour exercer une pression sur les résolu- (m les menace même de tarir les sources des génórosités qui faisalent vivre leurs ceuvres. En sera-t-on plus avancés ? Les ancians partis profitent de l’occasion pour précher un hérpisme trop facile pour eux; car les rédacteurs qui ordonnent aux religieux de s’immoler, ne recevront as un centime de moins de leurs émalu: - Meuts, et ne se priveront pas d'une heuré de station aux bains de mer, ou d'une partie au casino. Périssent les couvents, pourvu que les républicains aient des ennuis et le gou- Vernement des embarras ! En ce point e que le Saint-Siège à donnés aux écrivains éatholiques. (BREF pe Leon XII à LA M. V. X. sherté.} SE EE i eS aie teens même, ne se fait-on pas des illusions ? Est-11 bien sûr que, dans les couches po- pulaires, il y ait chance de déterminer un mouvement d'opinion contre le droit d'abonnement ? Les Congrégations reli- | gieuses sont depuis vingt ans victimes de | ceux qu: les excitent à la résistance sans leur fournir les moyens de la rendre efficace, 11 n'ya qu’un moyen, c’est de per- suader le peuple de l'injustice à laquelle | le fisc soumet les Concrégations. Or, d'a- | près les plus sûrs renseignements que | nous recevons de France, personne ne | s'occupe du droit d'abonnement que les { curés dans leurs presbytères et quelques vieilles douairières dans leurs châteaux, | On comprend que les Congrégations inté- ressées comptent peu sur le succès d’une ; campagné qui n’a pour aides que ces i forces et contre elle la généralité des | citoyens, même dans les milieux les ; moins hostiles à la religion. [lsembie donc qu’un certain nombre | de Congrégations religieuses préfèrent, pour le moment, payer un droit exorbi- tant et injuste, plutôt que de courir les chances d’une aventure où elles n’auront point d'autre appui que celui, plutôt | compromettant, des vieux partis, et point | d'autres sympathies que celles inefficaces du clergé déjà fort aitaqué lui-même et qui ne doit pas s'exposer 4 l’être davan- tage. Nous résumons en ces lignes le point de vue qui semble prévaloir chez certaines Congrégations religieuses auto- risées (ce sont toutes des Congrégations d'hommes). Nous constatons ce mouvement, nous ne le jugeons pas, parce que nous n'avons pas le droit de le juger, et nous ne sau- TIONS Approuver ceux qui usurpent la compétence de le condamner. Nous n’a- vons pas davantage le droit de louer ces Congrégalions. Le Saint-Siège a réservé l'appréciation de toute l’attitude à prendre aux Congrégations elles-mêmes, et à Pé- piscopat à l'égard des Congrégations qui dépendent de l’Ordinaire. Ge qu’il nous ] appartient de faire, à nous catholiques BU1SSeS, C'est de prier pour la France cathoiïique, pour nos frères, hélas ! trop aveuglés par les préjugés révolutionnai- res pour constituer tune force de résis- tance comparable à celle qui, organisée an moyen du Centre, fit reculer en Alla- magne ie tout puissant Bismark, I! faut éclairer les masses, aller au peuple, selon la recommandation de Léon XIII. Loreque l’opinion aura été éclairée et que les préjugés seront tombés, alors des Iniquités du genre du droit d'abonnement ne seront plus possibles, nn LETTRE DE BERNE (Correspondance particulière de la Ziberté.) Ta Berne, le 27 Juiltel. Chronique du jour. — Nécrologie de M. Hoffmann. M. Hofimann, ancien député aux Etats pour le canton de Saint-Gall et deux fois président de ce Conseil, vient de mourir, Il avait été élu conseiller fédéral en 1881. et, chose rare dana nos annales politiques, il déciina ce poste d'honneur. I! faut surtout remarquer que l’homme qui vient de dig- paraître était au dessus de la moyenne des personnages politiques du parti radical de jadis, et qu'eux-mômes étaient bien supé- rieurs à ceux qui gérent aujourd'hui 13 chose publique. La famille Hoffmann est originaire de Francfort, et ce fait explique bien un peu le caractère du défunt. Dans ce grand canton d’affaires, où la concur- rence est encore aggravée par l'influence presque toute puissante de la Banque silage, celui qui vaut arriver doit faire preuve de qualités qui ne sont pas l’apa- 1 паре ordinaire des gens; d’uas activité ininterrompue, d'une ténacité à toute Spreuve dans la poursuite du but fixé. de hsaucaup de finesse st d'habileté ; il fant de plus étre sobre et simple dang sa vie privée. Il faut savoir se taire quand il y auratent inconvénient & parler, et parier ия . . . " = " = EA AT SAT Pudo =. 1 TL gy а" = E ALA ran = Emm n,m gE tm om mass am mm ms нок рее к =P TAE =" = A AA aise Илл See ae re FE ULI of ETT ет; a e Sam Eu ee i ro ean LC HER ua: == — x = от И URLS DAA Sr PTAS ie Ma ONO ив ион whe puna ue ps «МЫ gl om nee ETRE Tr, Г 1 à FF я За а mL PCat . - a "a mi mnt г. FC . К Ej =i ied chopper] ol a TET ris 1%) Purdy mip dl 7 = za SA ны a re Г т =; TL НЙ - lt = i . A Г) Е E LE E E oa e Г = TEA Tere Cm FAA STE a EL Le yd EE A E EE y A prs Th nT a NT Ee TR RT BE gh nd plaid AT YN ato Ro e a 2 a FHL yh = = YI и 20 ar A a E = вн Jai == . A le на. PE Pa ур. 1 - a . Trl 1 + pele Lp Tl = ra EE и, mh era Lr a ши — ОНА ла. = а pil JL Pl ES | hem = EY r= a 1" EE “An "ue qe . Lr Ly - X TE ne 1 - Nm led и: aT ml - La = Larry L lL X . r ul == fo un ly Nin, Fr. . 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Il savait bien que le libéralisme capitaliste, dans la seconde -moitié de ce aiêcle en oursdé, avait dépassé dépuis longtemps son point culminant, que le capitalisme avait créé, par la force des choses, de nouvelles couches sociales, avides d'un nouvel idéal, Il se rendit surtort compte que ces gé- nérations nouvelles, bien qu'étrangéres a toute idés reiicieuse, et qui se rappro- chaient par ce côté du libéralisme qui n’a pas de principes, avaient pouriant, au point de vue politique et social, da secrôtes affi- nités avec la minorité conservatrice que le libéralisme saini-galloïs avait traitée avec tant de mép'is pendant trop longtemps. M. : Hoffmann .eävait surtout que, puisque les “ déu minorités avaient un ennemi com- mun, № parti libéral, on n'était plus à l'é poque où il suffisait, pour l'emporter dans les luttes politiques, de donner en pâture, aux assemblées du Schützengarten, à Saint-Gall, le Syllabus et TInfaitlibilité, C'est M. Hoffmann quí 2 su amener son parti à accepter, en 1880, la nouvelle Cons- titutfon cantonale, œuvre de compromis, et qui, comme taile, n'était j'œuvre d'aucun arti, et pour cela même marquait la fin da à toute puissance du parti libéra: à Saint- Gall, bien qu'elle ne donnät pas pleine sa- tisfacthion aux minorités conservatrices et | démocratiques. Ce fut le dernier grand acte à | quatorze ans, demeurant à la Caquerelle-Des- politique de M. Hoffmann. Miné par la ma- ladié, usé par une vie de travail et d'acti- treinte de la politique cantonaie, il dut se ménager toujours davantage. Il avait ainsi Politique et des préoccupations de notre époque, où l'on oublie si vite. M. Hoffmann était aussi déjà Hen oublié au Conseil des Etats. Il avait présidé, entre autres, la Commission pour la loi sur la poursuits et la faillite et 1l avait eu une part considérable un avocat trés occupé; 1l avait aussi son « grand bureau », comma Ruchoaret, d'o ' sont sortis des avoeats ef des hommes poli. tigues. | М. Hoffmann laisse un fils, surnommé depuis longtemps le dauphin, président du © se | | 11 p Comité central libéral de Saint:Gall, Tteu- : de 25 %/o. Aussitót, le train se mit 4 descendre députó au la pente avec une effeayante ranidité, au grand effrol, il faut le dire, des voyageura. Неогец- , ‚ Sement, le mécanicien put enrayer, au moyen jour ou l'autre, peut ôtre bientôt, député : des freins ordinaires, cette marche furibonde, | : et méêmé réussit à obtenir l'arrêt complet. Les commerce agréable et facile, un de cos | hommes dont on garde avec plaisir ‘e a6u- . ' nen. Quant aux autres, ils restèrent dans le leur connaissance. Le nom de M. Arthur : train, qui, au bout d’une demi-heure, reprit sa Hoffmann doit être retonu: on le rencon- . ténant-colonel à l'état-major, Grand Conseil, avocat naturellement, et un aux Chambrea. C'est un jeune homme dun venir, quand on a eu l’occasion da faire trera encore souvent dans la politique fé- dérale, où il est à peine connu en ce mo- | ment. CONFEDERATION Commissions parlementaïres. — Les commisstons du Consell national et du Conseil des Etats pour Parrangement com- mercial avec la France se réuniront Is PTE yy e A A TL ST PLY SE Le Pe AT Her Aller i aE a o i eC CTC CLE EEL EE TR CEE rear SE rie er Toll A EP RER Ap É_—_————]—;———;—;—;———;TZ——;TZ—;——;———;TT————]]——T—oo——;—];—— ———_— A 12 août, à trois heures anrés-midi, a Berne, La commiasión des deux Consells pour l'achat d’un terrain à Kreuzlingen pour la construction d'un bâtiment de douäané se réunira la à août, à neuf heures du matin, à Kreuzlingen. Tir fédéral de Winterthour. Avis QuX tireurs. — Les tireurs qui se rendent au tir fédéral ne sauralient trouver une méilleure occasion pour faire une excursion 4 Schaffbouse ot a 1a chute du Rhin.llya et Schafthouse et autant de Schafinouse 4 Winterthour. Chaque soir, grande illumi- nation de la chute. Yendredi soir, réunion sur la terrasse de la citadelie du Munot. (Communiqué) Recrunes de cavalerie. — Les cours préparatoires à l’école de recrues de cava- leris auront lieu du 11 janvier au 30 mare du 8 janvier au 30 mars (et non du 11 jan- vier au 2 avril) pour les recrues de Zurich, des). Arestatlon — La police saint gailoise a arrôté lundi deux jeunes gens qu on soup- cone étre les antenrs dun crime comm:s ques jours, Coup de foudre. — Pendant un orage qui a éclaté samedi A Buix (Jura-hernois!, une mere de famille, Mune Goffinet, à élé tuée per la foudre devant son habitation. Elle se irou- vaiten compagnie de deux autres personnés qui en ant été quittés pour la peur. Les crimes de I’alcool. — Vendredi, un nommé Jean-Baptiste L., âgé de soixante- aous, commune d'Asuel, s'étant mis en colère, vité, il so retira en 1890 du Conseil des t voulut apalsér sa vive emotion en bavant one - ox | I forte dose de liqueur, Il absorba on litro entier Etats, et de plus, dans la ephére plus res- | de gentiane pure et, au bout de quelques I heures, iI expirait. Fait curieux; L., était un homme sobre, qu'on ne voyait jamais dans une disparu presque complétement de la scène : auberge. Un généreux amateur de musique. — On raconte qu'QOn étranger, en séjour à un franc. On peut se faire une idée dela joie & cés écoliers. _ Bescente rapide. — Mardi après-midi, comme le train de 4 heures guittait la station de la Wengernalp ponr se rendre à Lauter- brunnen, avec 45-voyageurs, le {rein & air comprimé cessa soudain de fonctionner, alors que le convoi se trouvait lancé sur une pénie voyageurs les plus effrayés descendirent. alors de wagon et partirent à pied pour Lauterbeun- marche sans autre incident. ; $ NOUVELLES DU MATIN France. — Dimanche, cômme nous le disions hier, ont eu lieu, dang toute la France; les élections pour le renouvelle- ment, par moitié, des conseils généraux. On connait 1,982 résultats. Sur 1,343 élus, ; On compte 1,015 répubiicains, 12 socialistes, 226 conservateurs. Ii Les républicains gagnent 101 sièges et en | " an rg 2h 1 A YE. sur la personne d'une jeune fills de vingt | aus, dont le cadavrea été trouvolil ya quel- | aucune amitió. Les nations jalousent ; l'Angleterre doit être prête à ° LA LIBERTE perdent 19. Les ministres Gadaud et Dupuy- Dutemps sont élus. | — ‘Tous les journaux constatent la dé- faite des socialistes dans ces élections. Les journaux républicains se félicitent des résultats, qui permettert, disent-ils, de constater la victoire des républicains de gouvernement aur leg réactionnaires ef les socialistes. Les fenilles socialistes se mon- trent également satisfaites. La Petite Ré Publique relève ainsi le succès des socia: h tras tre Winterth ¡ Jistes : « Dans des grandes villes et dans chaque jour onze trains entre Winterthour i des centres ouvriers importants nous som- mes en tête ; à Limoges, Marseille, Toulon, ; Carmaux, nous triomphons dès le premier tour de scrutin. À Lille, la majorité des ballottages est en notre faveur, de même dans la région da Nord, et aussi À Amiens, | | Reims, Lyon, dans les Départements de l'Allier et du Cher : bref, ‘c'est un nouveau | pas en avant que le pays vient de faire, un | pas qui le rapproche du but vers lequel pour les recrues de la Suisse romande, et | pas 1 PP q hous le sentons enfin s'dbranler, a savoir l'émantipation pleine et entiére du prolé- i tariat dans la république sociale définitive- Thurgovia, St Gall, Appenzell (Tes 2 Ro" 1 ment fondás. » Angleterre. — Les ólections pour les Chambres des Commerces sont pour ainsi dire connues; il ne reste plus que cing élections á faire. Sont álus 340 conserva. teurs, 70 unionistes, 174 libéraux, 12 par Dellisies, 69 antiparnellistes et Z ouvriers. : C'est l'une des plus fortes majorités dont - on ati le souvenir en Angleterre. — Une dépôcle de Constantinople au Daily News dit que les Tares ne crolent pas que la politique anglaise à l’égard de la Porte change avec l’arrivée au pouvoir de lord Salisbury. — Le Daily Telegraph critique lattitude des journaux étrangers à l'égard de l'Angle- terre. L'Angleterre a toujours montré la plus grande réserve, et cela ne lui a attiré puissantes la toute éventualité. COURRIER DES HUMANITÉS у Nous avons exprimé notré sentiment sur à l'idée qui a dirigé M. l’abbé Guillaume, y A. t dans la publication de sa Collection de clas- 1 SIEriswyl, pres Thcnne, a ététellement charmé | siques latins comparés. Réunir dans trois par les chants qu'ont exécutés 7Ü enfants de € : Thonne qui passaient en course scolaire dans | ; que village, qu'il a donne à chacun une pièce © dans l'élaboration de a cette loi. Cétait un jurisconsulte distingué, © { cents pages de texto des morceaux de qua- i raute auiocars diflérents, c'est vouloir riYa- lisor avec le caléidoëcope. Le savant écclé- point de vue,dans une Préface placés en tête de ia partie du maître et tirée à part. Eile ©s1 consacrée tuute entière à l'apologie des auteurs chrétiens, d’après lui trop mêcon- nus. Sur ce point, nous serions assez facile- ment d'accord. Ainsi, quand il nous dit que Tertullien, saint Ambroise, saint Augustin, saint Jé- rôme, saint Grégoire-le-Grand étaient ré- putés parmi les meilleurs maîtroé de laur - temps dans l’art de bien dire et de bien écrire, | parmi les rhéteurs paiens; nous n'avons garde de le contredire, car il ne dit que la vérité, Mails nous verrons tout À l'heure que c'est déplacer la question. Nous serions moins facilement d'atcord - aveé M. Guillaume lorsqu’il oppose, & la httérature essentieilement savante et con- grands auteurs clas- | ventionnelis des siques, la littérature plus populaire et moins artificielle des auteurs chrétiens. Il est aûr que ces derniers, s’adressant à la | foula, ont dû se servir d'une langue plus у а 121 baliottages. | simple el d'un styie moins complexe. Le style des premiers est essentiellement eyn- "ly зто qu’ils n'avaient point de rivaux - | penser et d'écrire à colle que nous en | laïgsée les anciens. Il y | thétique, et celui des seconds est plutôt analytique. Nous admettons cette distine- tion, d’une manière générale, mais avec de nombreuses exceptions. Saint Ambroise et saint Augustin ont écrit des pages assure- rément tout aussi synthétiques que celles de Cicóron ou de Tite-Live et beaucoup d'écrivains chrétiens se ressentent du mau- vais goût régnant chez leurs contempo- rains. La littérature anaiytique, destined au peuple, offre anjourd'hui moins de diffl- cultés 4 la traduction: mais n'est-ce pas l'un des motifs pour lesquels les collèges ropugnent & lui faire une grande place dans l'enseignement ? M. Guillaume, conséquent avec sûr sys- tème, exalte aussi ia versification syllabi- que et rimée, déjà connue des anciens el usitée dans les couches populaires, au prê- judice de la poésie rythmée, basée sur ‘a | prosodie, la seute prisée A Rome par ce que | Nous appelierions les classes dirigeantes- | Ce sont Ja des questions que l'on peut dif: | euter dans une faculté des lettres, mais qui n'entrent pas dans ie cadre de l'enseigne- ment gymnpasial. Le jeune homme quí fait sea classes NA pas à s'occuper d'une manióre approfondié des multiples points de vue qui se rapportent à l’histoire ei aux variations de la littérature | latine. Il lui importe peu que le style ana- 1lytique soit plus populaire et le style synthe: tique plus savant, que la poésie prosodiquê soit moius populaire que ia poésie syllabi que, queles écrivains chrétiens soient égaux ou supérieurs aux écrivains païens leur# contemporains. Dans nos gymnases, On Hé met entre les mains des étudiants que 168 | auteurs Jatigs du siècle qui a précédé et dv siècle qui a ouvert l'ère chrétienne. L'au- teur classique le plus récent est Tacite qu mourut avant l'an 135. Ah! nous eomprendrions I'objection de M. l'abbé Guillaume si Von s'était avisó de | préférer Ciaudien à son contemnporain gaint Augustin. Mais la question est antro. a-til une énoque cu la littérature romalB? s'eat élevés à une rare perfection qu'elle n'a pas su conserver dans les’ siècles sur vants? Tous les humanistes font à celle question une réponse affirmative, et fort de cette communauté de jugements, nous A saurions souffrir que le débat se rouvri' dans les &yrunases. Co sont discussions porter dans l'enseignement supérieur. Du reste, à notre avis dù moins, la que’ tion de la perfection littéraire n'a pas ét | seule prise en considération lorsgu 0% я arrêté le choix des auteurs consi siastique belge, dont nous apprécions d’ail- | leurs Ie zéteet leg inientions,a exposé son | dérés comme classiques. Si l'on s’en était tenu a? mérite du style, on s6 serait gardé d'intr0- duire dans tes gymnases Cornelius Nepos qui, au jugement des meillaura juges, Dé fut pas un écrivain d'un talent remarqué ble. On s'eet placé au point de vue du but? atteindre, et cs but nons l'avons déjà ind!” qué: mettre les hommes instrults en me sure de comprendre a l'audition et de tra duireálalecture les textes latins de difficuit moyenne, A pros une prémière période, pendan® laquelle l'élèvé doit travailler avant tout acquérir la connaissance d'un grand nombre ds mots, commence ia {ravail lus difficile de ja pénétration de la pensée des deriva i’ latins. Nous- avons déjà noté que la diff rence des civilisations réagit sur la manière de concevoir et de rendre les idées. bé’ Romaine percovaient les choses 801% un autre angle que nous. Ce n'est que par", long travail convenablement dirigé 4e nous reussisgons à adapter notre façon at a là un problem d'optique intellectuelle qui n'a Pas y même soupçonné par la plupart diques 1 te 8€ 50 FEUILLETON pe La LIBERTÉ E CODAE DE JO-CALTADE D'abord, Étienne eut l'intention de prévenir la justice de l'agression dant il avait été l’objet. Mais aussitôt ii y renonca, dédalgneux, Pourquoi? La plainte, si naturelle, si légitime qu’elle fût, répugnait à son caractère. Flie lui semblait une sorte d'humiliation, Soldat dans la plus belle acception de ce mot qu'il considérait comme un titre de gloire, 11 LrOLYail presque une déchéance dans cet appel à la force légale. C'était quand même réclamer ie sacours d'autrui, avouér son impuissance. Or, un soldat dévait savoir se défendre lui-méme, en toute occasion, et ne laisser à parsonne le soin de le venger, fât-ce de l'aitaque d'un bandit vulgaire... | Et puis, Etienne crelenalt, inconsciemment peut-êlre, que les journaux ne réparlassent du drame de Aoir-Calvaire, y cherchant des coin- cidencés, réveillant des souvenirs susceptibles de provoquer de nouveaux commentaires, el $ d'exoiter, plus ardente, la maligoité publique. Au surplus, il s’imaginait avoir joué un role assez piteux dans cette affaires qui pouvait être pour lui nn triomphe ; et dés lorg, il ne désirait pas l'ébruiter. Étienne se contenta de narrer l'incident à ses parents de Redinne. Encore, il en atténua y la portée. Tout le monde resta convaineu qu'ij | acte de brigandage, : pareil 4 ceux dont le médecin et le receveur s'agissait d'un nouvel avaient été victimes. Etienne et Henri de Morin pronlongérent leur séjour á Redinne, se rendantanx instencea 1 de leurs hôtéa. Ce fut dans la seconde partie du mois d'octobre séulement qu'ils quittèrent l'hospitalière demeuré, pour retourner er Bretagne, au château de Larsenac De son côté, Paul Hériot était rentré en France, et de retour chez son père Guillaume Hériot, maire de Morival, AA] L’automns vint, avec ses mélancolies, ses crías funôbres, sus grandes désolations -échevelées, el ses !ugubres plaintes emportées par le vent de ia nuit, . L'tiiver lul succéda, rigoureux, impitoyable, immobilisant les eaux des riviéres, glacant le sang dana les veines des vieillards, TecouYrant les camparnes dénadées de ses froides. neiges ax éternelles er monotones blancheurs ! Mais Etienne, malgré tous les moyéns mig en œuvre, n'avait pu découvrir l'assassin de sa — Mere, Souvent il se répétait pieusement les der- nières paroles de ia mourante et ne négligeait rien pour accomplir ses dernières recomman- dations, Ain de mieux veiller sur ienri, Etienne avait renoncé pour un temps À sa vie de marin qui l'obligeait à delongues absences. Bien que l’éducation du jeune orphalin fût confée aux soins d‘un excellent précepteur, le frère ainé "HE GE a Pa = 1 "a SEAL el TRE LF al, TEE Tr FE TE Le AL E AA PE Aa ys A TH =, ne s'en désintéressait pas, el la prenait d'autant plus à cœur, qu'il savait de la sorte accomplir - 1e désir dé sa mère. Mais s'il aimait Yalentine, il ne pouvait Ja lations du comte n'avaient pu dissiper le donte et mettre fin à la- cruelle incertitude. On commencalt 4 se décourager, Comme il arrive souvent, c'est alors que parut une Jueur d'espérance À la vérité, cette lueur était bien faible, | mais elle valait cent fois mieux que l'obscurité | profonde. N'est-ce pas d'ordinaire par une lueur que la clarté qui s'approche commence à se manifester | Un matin, en dépouillant sou courrier, au | châteaa de Larsenac, Etienne de Morin y trouva un biliet anonyme. | l'intention évidente de déguiser une deriture au reste (rés peu calligraphique : « Vous voulez connaître l'assassin de votre mere, ., Cherchez-le & Morival... » Di date, ni signature. Le pli qui contenait ce hittet.étrange portait l'empreinte postale de Villardenne. En lisant ces mots, Etienne éprouva une émotion intense. Les caractères dansaient on s'effacatent sous Ses yeux; Sa main trembiait, sa poitrine était opressée, son cœur battait précipitamment, Mais bienlôt il se ressatsit et retrouva pen 4 peu son calme. Il sé mit à relire le billet, à l'examiner, à : dicté, Je secret qu”i? dissimulait sous cette | | dication précise. ¡ rendre heureuse , car le myslère persistait en | , dépit de toutes les recherches. Et lg réeon- | : eiliation familiale, non plus que les protes- | j chargé de l'affaire de Noir-Gul vaire ? 11 ne renfermait que ces lignes, tracées par - une main malhabile, en gros carsciéres, avec : ‘d'un traître. Sans se l'avouer, peut meer amos ab, letudier avec une attention mail cherchant à surprendre la pensée QU in- Qui dohc avait écrit ce billet? ‘пя 86 : Etienne n’aurait pu le dire, et M0 prononcer sur son importance. — sat, UN Etait-ce on mauvais plaisant, uf “ap la conpable peut-étre qui cherchailt 8 dep ation justice, 4 Tégarer par une 108! ' fatsse?... ; souté- Toutes ces suppositions paraissaien nables. jeêuse, Toutefois, si celte lettre était ble, quil : l'auteur devait être on peureux, UN 4 ejateurs n'osait se poser franchement en déno# . Tedoutant de se comprometire. Que faliait-il faire ÿ enstruction Communiquer l'écrit au juge d Laiséer à la justice le soin de sin er suite provoquer une enquéte, enfin de donne a Tincident? lie Ce parti était le plus naturel, le plus reg lé plus sage en apparence. ag UN Pourtant, Etienne le repou3sd, apt examen sommaire. Pourquoi? açise. Il Ii n'aurait pu le dire d'une façon Pre l’objet craignait de fuire 1840586 route, tear, e d'une mystification, la dupe d m 3 projelé compromettre l'avenir, de A er craiguait-il la partie qui allait s'engab dont l'enjeu était 6norme !... (A givre. NE RER latins, et c'est le m Propagande a été ju Ppróciables, Nous avons indique fait préférer Cornelit les débuts do l'étude Ils emploient très ra Les mots se présent avec le sens naturel métaphorique, ce q dans le choix des t traduits par des débu . C'est seulement ap lation que l’étudian ment dans les textes bloyés fréguemment 18 ferd des progrès 1 partir constammen ots pour saisir leu ant Aetaphorique, Di De Pernicigux en ce j Pas tenir compte « | 408ue; en feuill «que, le collégien Me du mot latin “emble convenir, et ‘ait qu'un contre-se sert habituellement *0hge même pas À Valen propre et de Mots: it ignorera tou Les auteurs emplc “prés Cornélius Nép: 98 difficuités progr léhension et pour | fat la compréhensi Per profondément à sor hoi de l'ablatif : dan es mots, par un o de Ye par une synt Noe, 4 langue latine « quee du traducten: cin. 48 faudrait pa: ria DX auteurs clase Hon 085 Ovide, Virgi ne Face, Taeite, et en mitt qui n’interes Ma: 6 de lecteura. No exe), Rous constato inane ls de la littéra eso lol pas réusai, lati #6, de former un р Bs de la chrétiente сотовая це si déli jour" Chension, A ce les e. harmonique, q = Orces de l’intellig tin, PUlS, ii laz d mot at a s'afiranchir Yao: atte difficulté e que d'exprimer exa aut. Un ensemble d'i i fan langue. Tradui D dUt'serret de Hrag м la phrase, en r ay ent, en raison d ble e remp'acer u Ce Dar Une nuance ex qui artistes dans l’a Ta, Bappelnient Cic la oie n'ont pas san Di ave e par telle in Verb ablatif absolu te] 4 sun complén: toy Usctif. Si vous r lion $92 détails, vou . May a0uttore, tra Anas. OF aque, pen latte ©! Vous avez en tos 1 AYec quatre ou song 118 du siécie ( Mia *Z, avec Boileau bella | Aa place "E lâche äbgue francais ange Une expressic má 8 de cadence c Von, emant de la | 8 avez y | 0 : 160 gens 1111 étude Gous permettr d'un Ta quelques Part altre ед Var Höre y penser. M. À Collège Conataté le no loupe, “8 catte vil! On, moot être, car | CoE py que d'au! Mérito ces aventu ig 1,1 00 tiene laqu’il nous di traquer Organiser sur nn des auteurs, Sega) tes que fait 212 12 page. 66 eco College de te Surtout | Classique. Моран; 1 version at Me |! des bons écris lez calles Coltiver a Vey leven SES de la gran Ча qu E. nous a ев а presqu hen ge es n'ont, plus * l'Ancsises, ni qu’, Belie raison À Ca le trouve, SDE lag > Móins im Чет E. classes trop n gig > ENCE est utile Cig el Sable a Gendve 9 Urlons-nous Pesge Poufririons-n lMóéraipe dont — = sada кота iy mk, rom o e ugh ‚Pr .. A LA LIBERTE FEE = TILE TET И TIT TT LEE rT FTE Ua E FO E PE LL a des seconds est plutôt admettons cette distinc- ‘e généraie, mais avec de options. Saint Ambroise ef t écrit des pages assuré- | synthôtiques que celles 3 Tite-Live et beaucoup 08 58 ressontent du mau- t chez leurs contempo- tre analytique, destinée 1jourd'hui moins de diffl- ction ; máis n'est ce pas ur lesquels lea colleges faire une grande place nt? onséquent avec son sys | la versification ayllabl- A connue des anciens et ichea populaires, su pré- ie rythmée, basée sur ia prisée 4 Rome pur ca qu® les classes dirigeantos- ations que Yon peut dif: ulté des lettrés, mais qu! 5 le câdre de l’eriseigne- 8 qui fait ges classes n'a une mânière approfondié 8 de vue qui se rapportent ariations de la littérature rte peu que le style ana- pulaire etle style synthe: que Ja poésie prosedique re que la poésie syllab!- ins chrétiens soient égaux X écrivains païens leurs ins 108 gymnases, on Me ins des étudiants que les siècle qui a précédé et du rt l'ère chrétienne. L'au- us récont est Tacite qu! 135. rendrions l'objection de ne si l’on s’était avisé de А son contemporain sain? a question est autre. ou la littérature romaine > rare perfection qu'elle ver dans les siècles sul humanistes font à cette nee affirmative, et fort de 5 de jugements, nous Hé que le débat se rouvrit 3. Ce sont discussions ignement supérieur. e avig da moins, la que ion littéraire n'a pas я nsidération Joraqu 07 des auteurs consideres Si l’on s’en était tenu av R s6 serait gardé d'intro mnases Cornelius Меро des meilleura juges, Dé in d'un talent remarqué au point da vue dû but : it nous l'avons déjà inél hommes instruits en pie” ra à l'audition et de trä' 8 textes latins de difficulté mire période, pendan® it travailler avant tout ssahce d’un grand nombre se le travail plus difficile le la pensée des écrivain* lg déjà noté qua la diffé lons réagit sur la maniéré la rendre les idées- Le? ient les choses sous VU oud. Ce n'est que par. venablement dirigé 40° a adapter notre façon ‘ ; 3 À colle qua.nous ed E. Il ya la un prob trelle qui n'a pas ar la plupar | gna contre los classique’ DOM EE PERM NF A ERE == a ntiensé 1e attention minuto ndre la pensés qui tte in” | dissimulzit s0u8 Ce rit ce billet pu le dire, el Importance. uE, UN vals plaisant, un 8 qui cherchait à déf ation er par une ins es cat outer 8101018 paraissaient 5 te lettre était 3 оп peureux, un 1ehement en déno Trometire. it au juge amsirue le Noir-Galvalres, ñ de in Je goin de s’informe site uête, enfin de donner | ta ; régulier. après un as naturel, le plu "ence. le le repougsäs Pa + Tr 7 ire d'une façon l'objet fausse route, ae ‘eur, de - latine, et c'est le motif pour lequel leur Propagande a été jusqu'ici sans résultats Appréciables. Nous avons indiqué les motifs qui avaient fait préférer Cornelius Nepos et César pour les débuts do l'étude des auteurs anciens. Це empioient très rarement le style figuré. Les mots se présentent dans leurs écrits dTêéc le sens naturel et littérai, nullement métaphorique, ce quí est une condition dans le choix des textes destinés à être traduits par des débutants. . C'est seulement après cette première ini- lation que l’étudiant pout se guider sûre- ent dans les textes où les mots sont em- ployés fréguemmient au sens figuré ; mais il 18 ferd des progrès réèls, que s’il s’habitue partir constamment du sens naturel des Mots pour saisir leur signification dérivée eut Aétaphorique. L'usage des dictionnaires ne P&rnicieux en ce qu'il habitue l'élève à lo PAS tenir compte de ces deux aepécts de Le ‘dlgue ; en feuilletant hâtivement un 1, QUe, le collégien cherche dans la co- Ie du mot latin un mot français qui “eMbla convenir, et le plus souvent il ne lait qu'un contre-sens, L'étudiant qui se 8ért habituellement d'un lexique latin ne “0Bga méme pás A se rendre compte de la Valeur propre et de la valeur dérivés des Mots: il ignorera toujours ia langue latine. Les auteurs employés dans les collèges apres Cornélius Nepos et César présentent “8 difficultés progressives pour la com- ension et pour la traduction. D'abord, For là compréhension. Le génie latin dif- Per Profondément du génie francais, Par sion oi de l’ablatif absolu, par l'intarver- dbs os mots, par un savant usage du sens об e Dar une syntaxe idéalement nuan- io. 12 langue latine exerce et affine l’intel- bance du traducteur. din 0us faudrait passer en revue les prin- Fins OX autéurs classiques des classes supé- оо, Ovide, Yirgile, Cicóron, Tite-Live, Pomo Tacite, ot entrer dans des dévelop- [migo qui vintéresseraient qu'un domore M $ de lecteura. Nous nous en abstenons. ais no ; a " Sxely US constatons que les partisans USO: la chrétienté qui se prétent 4 cette om astique gi délicate de ia faculté de jour | ension, a ce développement tou- les for. Armonique, quoigue varié, de toutes ces de l'intelligence. tion Puis, it y à la difficulté de la traduc- Stig ont op tend aujourd'hui malheureu- Mot at A s'affranchir par un barbare mot à Rg Geîte difficulté existe chaque fois qu'il ee d'exprimer exactement dans une tan- ati UN ensemble d'idées écrites dans une i мо langue. Traduire, ca n'est pas imiter; Auf kbrrer de ards te texte; suivre pas a bas la phrase, en rendre les nuances et Jan eut, en raison du différent génie des le, remp'acer une nvance intraduisi- Con. ry Une Nuance exactementequivalento. Ta S'appelsient Cicéron; ou Virgile, où ] | pla ao par сапе ifèldente, où mis à telle York ablatif absolu, ou fait précéder tel te] Ae “on complément, Ou mix en vedette Ola J8CliE, Si vous ne tenez pas compte de lig Ses détails, vous méritez l’adage ita- : lraduttore, traditore. hr ais. doraque, pendant trois ou quatre- litte. YOUB avez entamé et poursuivi cette tes late quatre ou cing ces grand stylis- sentez Ce du siècle d'Auguste, alors vous ia я dYec Boileau, la valeur d'un mot bella | За place : vous savez écrire la lop, “Que française. Une tournure trog Man, (He expression impropre, un léger le mare de cadence on йе proportion dans Voug ment de la phrase vous choquent. On VEZ le sens litiéraire. — étude Sons permettra de terminar cette d'un PAP quelques opportunes réflexions Par quaitre en l’art d'écrire, comme en Hève а penser. M. Adrien Naville, de Ge- Colla, Sonataté le m:1 qui existe dans le leurs” da cette ville ; il existe moins nil: ont man être, car les collèges catholiques pépins Que d'autres résisté à l'attrait Mérite ces aventurées. Mais M. Naville ig 1, A 00 tieñné grand compie de son l‘aqu’il nous dit que: Il # trad “uf Organiser sur de tout autres bases la ête а lon d Siren ¡que fuit A ce sujet M. Ernest Ur Ze ot 0 Page, 66 de sa récente brochure Steg air lege de Gencve el Venscignement a, LUE À les ; bons écrivains francais. On conti- т Collège Ultiver avec soin dans les lycées et devenus de Ja grande république. Que sont M qu'on oo nous ges exercices? J'entends DE Ven А à presque abandonnés, parce que CN tANES fra Ont plus le temps de faire des qu tlle rdison en vérité ! Le temps, 11 ing; Та trop nombreuses, Si la traduc- Cha ensEblo A € utile à Paris, n'est-elle pas ! > À Genève, à Lausanne et’ à Neu- Égère 5 SOU S nous done une plume trop . | servations. *alre dont il conviendrait de pré- Un troisième recours vient d'être adressé Dlengg Heften Tions-nous d’un excés de sou- Tay | LEE al | A A a" 3118 de la littérature chrétienne, n’ont | 101 pas réussi, et n'ont même pas | › 46 former une collection d'auteurs . q > Artistes dans Vart de polir leur style, -D'ONt pas sans intention commencé | + ——]—_— Ie. or ri I SOLE wl — haa CT £8 auteurs, Qu'on lise les réfddexions | EL ; classique. La version grecque at | Blopart den LS OR latine ont été l’école de la | Dcalses, ni les maîtres celui de les | | n и | ba, Eludes > trouve, en sacrifiant pour cela | < quence, d'annuler Vólection du 5 mai 1895 tio? les claggos Importantes, et'en dédou- | gerver nos fils? Seraient-ils en péril d'acquérir un style frop net et Lrop vigoureux ? Mais à côté du latin est venu se placer l'alle- mand ; une langué de plus, c'est-à-dire s1 l'on n’y prend garde, un danger de plus pour la rédaction et le parier français. Et combien cette étude ne nous a-t-elle pas déjà fait de mal! L'allemand nous est nécessaire pour des rai- Sons nationales et pour des raisons scientif- ques, It élargit notre horizon intellectuel et moral et nous met en présence d'œuvres litté- raires admirables. Mais, s'il ÿ avait un moyen de conserver les avanisges tout en atténuant les inconvénients, né faudrait-il pas le saisir avec empressément ? versions allemandes, et surtout qu’on exige qu'elles soient écrites en français et non pas en suisse. Il ÿ à des difficultés qui tiennent à la différence des deux génies littéraires. Fen- | dre en francais, en vrai francais, la pensée d'un écrivain allemand, cela pourra bien quel- cela, justement, qui assouplira la plume fran- caise. l! y en a d'autres qui tiennent au per- sonnél enseignant. 11 faudrait que tous les maitres d'allemand eussent une intelligence complète des deux langues qu'ils doivent ma- nier. On a fait, à cet égard, je le crois, de crands progres. Il en resté à faire. | mi, en attendant, ne serait-il pas utile que le maitre de composition revit et corrigeút quel- quefois au point de vue francajs la version | allemande de ses élèves ? Cicéron, un orateur passabte, n'est-ce pas ? a raconté qu’un travail | prolongé de traduction avait contribué à for- _ mer son talent: « Dans mon adolescence, dit-il, je traduisis les harangues des grands orateurs de la Grèce. Ce travail me fut utile : en donnant uné forme latine à ce que j'avais lu en grec, non seule- ment je pouvais me servir des meilleures ex- pressions en usage parmi nous, maisl'imitation me conduisail à en imaginer d'autres, qui, pour être nouvelles dans notre langue, n’en étaient pas moins hétreuses. » | Que cet exemple soit recommandé aux ado- lescents d'aujourd'hui. Dans la pagé que nous veñons dé fépro- duire, M. Adrien Naville insiste aurítout sur la traduction des textes allemande ; il veut nous délivrer du français fédéral, Tâche ingrate, tant que les traducteurs | Ness séront pas fait un style avec les textes | latins ét eracs. Les langues anciennes sont | Le 5 © représentées, selon toute probabilité, émitemment propres à la gymnastique lit- téraire qui a formé la plupart des grands ÉLECTION PARTIELLE DANS LA GRUYERE Une assemblée des délégués dm parti conservateur de tout le dis- trict de la Geuyôre est convogaée pone le mereredi 314 juillet, joar de | MARCHE A Énile, à À heupçe, dnns Is salle du Tribunal, pour désigner dé finitlvement 1e candidat à l'électfon qui aura llen le 4 aoút. Les conservateurs sont instam- | | des cantons de Berne, Vaud, Neuchâtel, etc, j On remarquait partiéulièrement les Socié- ment priés d'envoyer lenrs délégués, et d'assister aussi nombreux que possible à Ia réunfon. = a 11 est rappelé que Ia réunion préli- minaire de Vaulruz propose M. Jenn Fnasquier, juge suppléant. Premiéres messes, — l'imanche ont été célébrées dans notre diocèse les premié- reg messes sulvantes =. a . , " L О A Vilarsiviriaux: M. l'abbé Berset (prê- ligna, et M. de Dissbach, capitaine de cuiras- i Biers, alors premier secrótaire de TAmbas- - à sade, aujourd hrui chef de léfation. Venaient ( E ensuite le Conseil communal, le Comité de | ® dicateur: M. Berset, doven-curé de Neu- chätei) ; A Attalens: M. l’abbé Chevalley et M. | l'abbé Savoy (prédicateur: M Fragnière, directeur au Séminaire}; A Rueyres-les Pras; M. 'abbé Ducotferd (prédicäteur : M. de Cocatrix, chanoine de saint Maurice); À Courtion : M. l’abbé Singy (prédicateur : К. P. Mandoanat) ; Au Landeron : M l'abbé Gambon (prédi- cateur: M Bovet, profasseur). Le ei рая Eecours feifbourgeois. — Le Conseil fédéra: dans sa séance du 24. juillet, modi- fió 82 décixióon concérnant les suspensión: | des conseils communaux de Fribourg et de Romont. La snspsnsion a été levée. Ein ce qui concerne spécialement Romont, le Conseil fédéral à modifié sa decision pro- | vigoire du 5 juillet « dans cé sens qu'il cosse i « d'interdire aux citoyens reconnus élue « par décision gouvernementale du 24 juin « d'exercer les fonctions de conseillers com- « munaux de ja ville de Romont; en re- « vanche, la Conseil fédéral conaidère cas « fonctions comme purement provisoires « juaqu'a ca quel dit ltquidó tá recóura en « question et il se réserve expressément le « droit, dans le cas où ie résultat de l'étudé « qu'il va faire emporterait coite cousé- « déciarée valable par le gouvernement de « Fribourg ». 11m Le recours a été trangemis au gouverne ment fribourgeois pour présenter ses ob- -_ "PT ir Au Consel fédéral, cette fois par is Comité | radical et par le Comité bienpublicard de la ville de Fribourg. Ce recours tend à contester le droit de vote aux étudiants de | l'Université porteurs du permis d’étabiis- | sement de 2 fr., et aux gardiens des pëni- | tenciers, détachés, pour affaires de service, dans les chantiers des routes. Nous croyons inutile de discuter, pour le ! moment, ce recours; mails nous nous re- jouissona qu’il ait été déposé, Les deux | questions qu’il soulève auraient dû étre | depuis longtemps soumises à l'autorité fé- | Que l'on demande aux élèves beaucoup de | Cérale par nos adversaires ; céla aurait | mieux valu que de faire renaître ls conflit | à la veille de chaque votation en refusant | la carte de capacité électoraie à des caté- | Eories de citoyens qui, se basant sur la loi, | | estiment avoir rempli toutes les formalités Ata ий ita maja wect | Tsquises pour jouir pleinement de. leurs | quefois être Un véritable casse-lete ; mais ¢’est | droits ‘eiviques. On n’osait pas aborder la question en face, et on se vengeait sur da | pauvres électenrs qui n'en pouvaient mais. | ee JA -.=1- Le cavéau ot le monument do 14 | soldats francais enterrés à Bulle seront inaugurés solennellement dans le courant du mois d'août, probablement le 25, pitivement arrêté, nous croyons savoir qu'un office avec atlocution de circonstance sera célébré à 10 1/, heures, dans légiiso § © ; ¡ tilon dans la grande salle des Macons, à ; Fribourg. Quoiqu'il n’y ait que de faibles | primes, elle invite séricusement sor mem- paroissiale de Bulle, Après l'office, ou dans I'aprés-midi, vers 21//N. où 5 heures, un cortège sera formé pour se rendre au éimetière, où il absoute donnée, probablement, par M. le Curé de la paroisse ; discours ; chants par | 1% 706) | ; suite du concours de vergers dans le dis- là Chorale, et morceaux funèbres par la musique de Buile, ces deux Soctétés se disposaat, nous assure-t-on, a offrir leur | Concours. La Société francaise de Fribourg asaia- tera én corps aux deux cérémonies, où s'y fera représenter par son drapeau et una son Nom 8ur le nouveau monument, dil a francais. D'autres Sociétés françaises seront aussi On ignore encore st tous les Cercles de Bulle et toutes iss Sociétés, militaires ou autres, assisteront à ces cérémonies, comme toutes leg Sociétés et tous les Cercles de Fribourg, sans aucune exception, assistóé- rent; en 1890, à l'inauguration du caveau que la Société française venait de faire construire et dans lequel elle avait trana- féré les cendres des 8L soldats français morts dana cette viile en 1871. Vingt -neuf drapeaux, une quarantaine de Snciétés et tous les corps constitués figuraient dans Vimposant cortége, qui par- tit de la place Notre Dame pour sé rendre au cimetière, en faisant le tour par la rue des Chanoines, la rue de la Poste, la Grand'- Rue, etc., afin d'avoir un parcours suffi samment long pour se développer entière- ment. Dans ce cortège de plus de 3,000 partici- pante, dont un bon nombre étaient venus tés militaires et dé nombreux soldats en uUnilèrns Aprés la musique de Landwehr et les drapeaux, venaient Messieurs les coniéillers d'Etat et les membres du personnel de l’Am- bassade de Fränca, dont plusieurs en uni- § E fqrme militaire, entre autres, M. le colonel d'Heilty, alors attaché militaire à l’Ambas- sade, aujourd'hui commandant du 92° de la Société française de Frihourg, le clergé, | § | les officiers et soldats en uaiforme, etc. À . ll est à prévoir que, l'armée française | géra représentée au cérémonies. de Bulle par M. la colonel du Moriez, sucéssseur de M. le colonel. d'Heilly, comme attache mili. faire 4 l'Ambassade de France pres la Confédération suisse. | - +4 446. Pensionnat d’Ueberstorf, — Lesexa- mens de fin d'année du Pensionnat de jeiznes filles d'Ueberstorf ont eu lieu jeudi passé à la satisfaction unanime des assistants. [ls ont prouvé, une fois de plus, que le pro- gramme de la maison, st’ judicieusérment combiné pour former d'eéxcellantes ména- góros, chrótionnes et lettróva, y était suivi avec non moins d'intelligence que de sug- pr в Lexcellente réputation dont jouit cel établissement est due, non seulement au dévouement des bontes Sœurä qui ie diri gent'depuis tant d'années, mais aussi à leur constante préoccupation d’y apporter toutes les améliorations, intelleetuelles et matérielles, utiles à l'éducation, à la santé et au confort des nombreuses élèves (une cinquantaine) qui leur sont confiées. C'est ainsi que, cette année, nous avons pu admirer uno nouvelle et vaste dépendance contenant, avec une buanderis modéle, accompagnée de tous ses accessoires (tels que: éssoreuse centrifuge, séchoirs, szlle de repassage, Stc.,) Uno installation de bains aussi complóte que bien organisée. y aura | -huralisté de 2 TIL OCT OT) A D ET LA SE TEA L'après midi fai consacrée à des produe- tions littéraires et musicales très reussies : puis, après la distribution des témoignages, Monsieur l'abbé Spæth, Rd curé de 1Hópi- tal, À Fribourg, qui avait bien voulu prési- der à toutes les cérémonies de la journée, | prononça le discours de cióture, en quel- ques paroles très écoutées, Enfin sonna l'heure de la séparation, et | les larmes qui mouiilèrent alors les yeux | des jeunes partantes, témoignaient élo- | quemment des jours heureux qu’elles avaient pâssés à Usbaratorf. IE a mim Le College électoral, réuni ce matin, à procédé aux nominations suivantes : Juge de paix dù 6° cercle de la Gruyère (Vauiruz), en remplacement de M. Farre, j décédé, M. Moret, Louis, l°' assesseur, à | Vuadens; ler assesseur, M. Monney, Alexandre, 2% asgessour, 4 Rueyres-Treyfayes : 2° assespeur, M. Chollet, Casimir, ler sap- pléant, a Vaulruz; le axppléant, M. Gobet, Honoré, 2e sup- pléant 4 Sales; 2 suppléant, M, Borcard, Maurice, syn- | dic de Yaulruz, Quoique le programme ne soft pas défi- | Horticalinre, — Le dimanche 4 aont, [ 2 2 heures du soir, la Société fribourgeoise d'horticuitura aura une assemblée-exposi- bres á y apporter des produits : fleurs, lé- gumes et fruits. À la fin de cette aésemblée, la Société distribuera les prix décernés à la trici de la Sarine st aux horticulteurs établis à Fribourg. Ont obtenu dés prix: MM. Roulin, Paul, député à Tréyraux ; schualler, J.-P,, 4 La-Corbaz; Renaud, Louis, A Bourguillon; Berger, Florentin, à Prez- délégation. Une couronne sera déposée en | Yers-Noréaz; Despont, Adrien, à Cormin- qui est } bœuf; Berrard, Célestin, syndic à Givisiez ; la Bociété nationale du Souvenir | Roll, Jalien, & Vuisternebs en Ogoz; Bise, rév. curé à Vuiaternens-en Ogoz ; Seydoux, adjudant de gendarmerie, & Villars: Ma- gnin, Pierre, à Cottens ; Gendre, Francis, a Viliarsel-aur Marly; Margueron, Jean, deputó 4 Cottens; Biolley, Jean-Baptiste, 4 Praroman ; Marchon, J., épicier à Vuister- nens-en-Ogoz ; Nissille, P., huiasier, à Vuis- fernens en-Ozoz ; Cotting, Fridolin, pintier, à Präroman. Sn O1. Accident, — Samedi après-midi, un douloureux accident est venu plonger dans la désolation une honorable famille de Mierlet la-Bois, | Un garçon de trois ans, fils de ta veure Buchs, voulut grimper sur une caisse à £ravier appuyée contre la maison, IT attira à lui Ja caisse qui, en tombant, lui donna la mort, Lorsqu'un quart d'henre plus tard, оп ве MIL A Ja recherche de l'enfant, où né trowve plus qu'un cadavre. Qu'on juge de la douleur de la mère, déjà tant éprouvéae, il y à dix huit mois, par ia mort subite de son mari, M. le syndie Antonin Buchs, tud par une ruade de son cheval. Toute la contrée compâtit à ses épreuves. a rma sl Postes — Le Conseil lédéral a nommé poste et facteur à Sugiez (Vailiy), Mme veuve Marie Derrou, à Su- gies, 5 Monsieur et Madame Jambé-Thé E M raulsz, pharmacien, à Châtel-Saint- ¥ g Denis, Monsieur et Madama Auguste À A Jamhé et leurs enfants, 4 Lausanne, | Moosieuret Madame Alph,'Fhéraulaz, & d conssiiler d'Etat, et leurs enfants, à À SN Fribourg, ont a douleur de faire part À à leurs parents, amis et connaissances À E do la perte cruelle qu'ils Viernent de J a faire enla personne de leur cher fils ы et patit-fils, AUGUSTE | décédé à Lausanne le 29 juiilst, acd § de & Mois, я L'enterrement aura lieu à Châtel- = Saint Denis, le mercredi 31 courant, | 32 % heures de l'apres midi. E В Вай Cet ovis tient liew de lellre X & de faire-part. 8 KO SAROMBTRE “Joillet | 24] 25] 26] 27] 28] 29130] Juillet 726.0 [=| | | | | | —| 725,0 90.0 i=| | e A = 755.0 тво [ео | | [ет ms 16,0 |= | NI mes =! 710,0 Moy. |" HI = Moy. 705,0 [== || HHH ==, 7050 700,07 | НН, [HE i=] 700.0 s05,0 == IEEE MIE | 098,0 > MN we M. SOUSSENS, rédacteur. | = - 2 Rl tN PRE Г Tol ir Ci ITC rt аа ти rrr TTF Ито eT ES a il в Ы Pry К, E | arr pr. Sy ELT TL Tra Pal 4 y =i E FET ite] rr — TALE EA A ERA Ba TE Pie Ta rom Ea E ro ak‘ AR HATE o CL Her wl TES Г) a и a . Я = Г] Г! Г] ГИ] Г] Г] Г] LIN | Г] Г] .. “= ". ball " " Ы Lh a =" "" es " " " al "" a ) Г] I a. m = я я .. и НЕ . НЕА de em й и . 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ORL été portés, nota lance et de l' Angl Cor Une fête a ét -Ollege au professer du Le Duily News Y Berliner Tagol Sultan aceepterait s: Sar puissances pour aid pacha donnera On télégraphie d a 277 que la Russie By], un agent dip co ulgarie devrait, d: Dditiong de la Ru Er Salat Pét: ti ‘Topératrice do chr: 6 grand due ] 9830 Olga sont p Wark 4 bord de Г.Л! a Hier, vers midi, e tremblement de e vomacchio, La pop flan fonendant las dégâ ay Le bruit s'étant et valt voló un enfar in essa plusiour: “élvénue, a digsi alt deg arrestation Rio-d Le Conseil des Juestion du Rio-G1 cher cePté les cond le “e nsurgá Тата: Ongrès sera 6 Uaorg naire pour Ce sujet, р De nos corres lier La Congrégatior dan TA à autorisé l'in so UN monastère établissement | poètes St qu'il ne | “ence de deux © Hier, vers 3 hen Propriétaire de fil, LCBsch, agé de 5 ong, de sont г! 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