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DEPOT : BRUXELLES X
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Le B-BB n’est pas à la fête
A l’occasion des fêtes de fin d’année, la
société Delhaize lance une campagne
de promotion d’une viande d’origine
américaine. Provocation ou maladresse?
Dans le contexte actuel, cette initiative est
très mal ressentie par nos éleveurs. On
s’interroge sur les engagements pris par la
filière distribution…
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Courant novembre, la marque au lion a pris l’initiative de
commercialiser des pièces de
viande d’origine américaine. Il
s’agit de morceaux de premier
choix issus de la race Hereford
spécialement pensés pour le
marché européen. Les animaux sont élevés en pâture
durant les quinze premiers
mois de leur vie et reçoivent
ensuite en phase de finition
une ration à base de grains.
Présentés comme délicatesse
de fin d’année, ces morceaux
de viande, vendus parfois
le double du prix de notre
viande Blanc Bleu Belge, sont
garantis sans hormones par
leur promoteur. Précisons que
Zwischen Eupen
und Sankt Vith
Informationen in deutscher Sprache
auf den Seiten 16-17
la société Delhaize n’en est
pas à un premier coup d’essai puisque en 2006 et 2007
déjà, elle proposait du Waguybeef d’origine japonaise lors
des fêtes de fin d’année.
De tels faits ne peuvent que
susciter la stupéfaction dans
le contexte actuel de crise que
vivent nos éleveurs et justifient
pleinement notre réaction par
courrier adressé sans délai au
patron du Groupe Delhaize,
Monsieur Pierre-Olivier
Beckers. En effet, une telle
initiative du Groupe Dehaize
serait-elle une réponse aux
graves difficultés exprimées
ces derniers mois par nos
éleveurs et à la convention
récemment signée entre la
Fedis et les Organisations
Professionnelles Agricoles de
notre pays? Cette convention
vise à renforcer l’identification et la commercialisation
des produits d’origine belge!
Si la marque au Lion n’a pas
été directement touchée par
les actions de nos éleveurs
entre juin et septembre derniers, il est clair que ces manifestations étaient un message adressé à l’ensemble
des enseignes de la grande
distribution sans exception.
Il serait regrettable que des
tensions renaissent entre les
éleveurs et la société Delhaize
à l’occasion des fêtes de fin
d’année. Cette initiative présentée comme une offre de
délicatesses de fin d’année
est d’autant plus mal perçue
qu’elle semble jeter le discrédit sur les produits de nos éleveurs. 365 jours par an, ceuxci font des efforts pour offrir
une viande bovine de qualité à nos concitoyens, notamment sous le label Meritus.
Notre Blanc-Bleu Belge ne serait-il pas une délicatesse qui
mérite la meilleure promotion
à l’occasion des fêtes de fin
d’année? Quel est le sens
d’une telle démarche dans le
contexte de crise du pouvoir
d’achat que nous connaissons? Où est également la
prise de conscience des défis
environnementaux à l’échelle
planétaire? Doit-on rappeler
qu’il n’y a pas quinze jours, la
Fedis était cosignataire d’une
charte intitulée «Politique environnementale – 10 piliers
pour la chaîne alimentaire».
Elle s’engageait, à travers
Provocation ou maladresse? Toujours est-il que la campagne de promotion de Delhaize est une réponse particulièrement inadéquate aux problèmes que vivent nos éleveurs
cette charte, aux côtés de
l’ensemble des acteurs de la
chaîne alimentaire, à apporter
sa contribution à un système
alimentaire plus durable. De la
parole aux actes, y aurait-il un
manque de cohérence dans le
chef de la Société Delhaize?
De plus, et nous l’avons rappelé de nombreuses fois, produire sans hormone est une
obligation légale. Développer
des campagnes de promotion
garantissant des produits
sans hormone est fallacieux
et contribue injustement à
semer la suspicion sur les
autres produits dans l’esprit
des consommateurs. Nous
nous interrogeons aussi sur
les garanties que peut offrir la
société Delhaize à ses clients
car, selon nos informations, il
n’existe pas de circuit officiel
au niveau de la production
bovine américaine garantissant des produits sans hormone.
Une telle promotion de la
part du groupe Delhaize suscite beaucoup d’interrogations et nous nous devions de
réagir au regard du contexte
actuel. Dans les prochains
jours, nous rencontrerons les
responsables achats de chez
Delhaize avec nos collègues
du Boerenbond qui ont également réagi de leur côté.
Bien sûr, on nous rétorquera
que cette campagne de promotion ne concerne que des
petits volumes et est limitée
dans le temps. Bien sûr no-
tre idée n’est pas d’interdire
toute commercialisation de
produits d’origine étrangère.
Mais dans la situation de crise
qu’il a largement exprimé ces
derniers mois, le monde de
l’élevage est en droit d’exiger
plus de solidarité de la part
des autres acteurs de la filière
et de la grande distribution en
particulier.
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Parlementaires et Ministres: tous contre les épandages?
Le projet de décret relatif à la gestion
des sols arrive tout doucement au stade
de l’adoption par le Parlement wallon.
Alors qu’il vise principalement à gérer la
problématique des sols pollués comme
d’anciennes friches industrielles, un article
«hors du lot» concerne l’épandage des
effluents d’élevage.
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Au printemps dernier,
la FWA avait eu l’occasion
d’exprimer son interrogation
concernant ce fameux article
via les organes consultatifs
auxquels elle est membre, tels
que le Conseil Economique et
Social de la Région Wallonne.
Entre-temps, le texte a été
renforcé sans que nous
soyons consultés et, est en
passe d’être adopté définitivement.
Qu’est-ce qui nous
inquiète tant?
Déjà nous sommes étonnés de lire que l’épandage
d’effluents est abordé dans
une réglementation relative
aux sols alors que ses impacts
concernent la protection des
eaux. Rien dans l’article ne
permet non plus de comprendre en quoi le sol serait pollué
par des effluents. L’article est
par ailleurs rédigé de telle manière que le Gouvernement
wallon peut prendre toutes
les mesures nécessaires pour
réglementer, voire interdire,
les épandages de matières
organiques.
Le commentaire de l’article quant à lui explique à ce
propos que la réglementation
existante (sous-entendu le
PGDA) est insuffisante pour
faire face aux flux massifs de
fertilisants provenant d’autres
régions et que, vu le caractère
monnayable des effluents, il y
a des risques évidents de surconsommation...
On ignore
l’agriculteur
Il est évidemment vexant
d’entendre de tels propos au
sein de notre Parlement. Cela
revient à ignorer les efforts
faits par le secteur agricole
pour gérer ses effluents, voire
même à laisser croire que
les pénalités prévues dans
la conditionnalité PAC sont
dérisoires et non dissuasives.
Quant aux «flux massifs»
provenant d’autres régions,
la Fédération n’en a pas
connaissance depuis que la
Région wallonne a interdit les
importations en 2002 et ce,
même si l’Europe considère
les effluents comme des sousproduits soumis à la libre circulation des marchandises.
L’article aborde également les
problèmes de terres excavées
et d’érosion... Bref, on peut
dire qu’il est fourre-tout, mal
justifié et que son statut juridique est très ambigu. Mais
surtout, il donne tout pouvoir
Contrats chicorées 2009 à Orafti
Insatisfaite des conditions proposées par
Orafti, l’Organisation professionnelle des
producteurs de chicorées d’Oreye invite
les planteurs à lui renvoyer leur contrat
2009 plutôt que de l’adresser directement à
l’usine.
La semaine dernière, les
planteurs travaillant habituellement avec Orafti ont
reçu de l’usine un contrat
en deux exemplaires. Le
premier exemplaire est à
conserver par le planteur,
alors que le second est
théoriquement à renvoyer
à l’usine.
Cependant, en vertu du
mandat reçu par l’Association pour négocier le contrat
2009 et de la décision unanime prise par les planteurs
au cours des assemblées
générales des semaines
passées selon laquelle les
)
contrats de chicorées 2009
devaient être présentés à
Orafti par l’organisation des
planteurs, l’Organisation
professionnelle des producteurs de chicorées d’Oreye
demande aux planteurs de
renvoyer cet exemplaire
non pas à l’usine mais bien
à l’organisation.
Celle-ci les remettra à la
direction de l’usine dans les
prochains jours mais elle
entend ainsi faire pression
sur Orafti au moment de
clôturer les discussions sur
les conditions du contrat
2009.
L’organisation rappelle
en effet qu’en fonction des
coûts de production actuels,
et avec le prix proposé,
le revenu de la culture de
chicorées reviendrait pratiquement au niveau de
2007. A cette époque, de
nombreux planteurs envisageaient l’arrêt de la culture
pour manque de rentabilité
d’une production qui reste
difficile à maîtriser et entraîne même des frais supplémentaires pour la culture
de froment qui suit.
L’organisation désire que
l’usine d’Oreye poursuive
ses activités et continue à
se développer, mais en renvoyant le contrat à l’association, les planteurs auront
ainsi démontré qu’ils ont
pris leurs responsabilités
dans la défense de leur revenu.
au Gouvernement d’agir dans
des conditions très vagues.
Il est dès lors peut-être
bon de rappeler que, quelle
que soit la bonne intention
du rédacteur, le Parlement ne
peut déléguer son pouvoir au
Gouvernement de manière
aussi large, avec tous les risques d’abus que cela comporte. N’oublions pas que les
effluents sont réglementés
par le PGDA révisable tous
les 4 ans, que les parcelles à
protection particulière sont
gérées via la réglementation
Natura 2000, que les phénomènes d’érosion sont régis
par le Code de l’Eau, les matières organiques exogènes
par la réglementation sur
les déchets et les matières
excavées par le décret sur
les déchets et le permis d’urbanisme. On ne peut donc
pas dire que les outils légaux
manquent et s’ils devaient
s’avérer insuffisants, il serait
peut-être plus judicieux de les
retravailler.
Déplacer l’article?
La Fédération avait par
voter cet article, le 20 novembre dernier. Le décret doit
encore subir son adoption
finale en séance plénière, il
est donc encore temps que
nos Députés reconsidèrent
leur position. Entendons donc
nous bien! La FWA n’est pas
opposée à dialoguer sur la
question des sols en agriculture, elle considère seulement
que l’article controversé n’a
strictement rien à faire dans
un décret réservé à organiser
l’assainissement des sols pollués.
FCO: assouplissement des critères
d’approbation pour
les interventions financières
De nouvelles garanties venant d’être
apportées par la firme Mérial quant à
l’efficacité des vaccins contre la fièvre
catarrhale, les modalités de remboursement
des éleveurs sont désormais facilitées.
Lors de la première tranche
de paiement de la campagne
de vaccination des bovins et
ovins contre la fièvre catarrhale (maladie de la langue
bleue) quelques 4000 dossiers concernant les interventions financières sont restés
en attente en raison du non
respect de certains critères
d’approbation.
Seront dorénavant consi+[„Z\dYi\)''/
conséquent proposé que
l’article soit enlevé du texte
et qu’un décret spécifique à
la gestion des sols agricoles
soit travaillé, notamment à la
lumière de la Directive européenne en préparation sur la
protection des sols qui prévoit
entre autres de traiter les phénomènes d’érosion, la perte
en matière organique ou encore la compaction. L’Office
Wallon des Déchets avait fait
à cet égard la même proposition. La Commission de l’Environnement du Parlement
Wallon vient néanmoins de
dérés comme recevables dans
le cadre des interventions
financières les dossiers des
bovins vaccinés 2 fois avec
un intervalle de minimum 18
jours entre les 2 vaccinations
(injections) et ne resteront en
suspens que les dossiers des
bovins n’ayant reçu qu’une
seule dose de vaccin.
Il est à noter que les détenteurs étant concernés par cet
assouplissement et qui :
· ont déjà reçu une intervention, recevront la différence lors de la deuxième tranche
(début 2009).
· n’ont pas encore reçu
d’intervention, seront payés
d’ici la fin de l’année.
Au total, cette dernière
catégorie concerne 2500
dossiers qui seront régularisés
avant la fin de 2008.
Pour rappel, les médecins
vétérinaires restent tenus de
respecter strictement le mode
d’administration des vaccins
tel que prévu dans la notice
du fabricant.
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Contrôles AFSCA: d’un point de vue à l’autre
Une nouvelle approche du contrôle a
été initiée la semaine dernière lors de
la formation annuelle des contrôleurs
de l’AFSCA. Cette formation s’inscrit
dans l’un des objectifs stratégiques de
l’AFSCA: «une Agence acceptée par les
opérateurs et reconnue par la société». Les
enseignements que l’on peut tirer de cette
formation sont particulièrement intéressants
et serviront de base à la formation continue
des inspecteurs et contrôleurs de l’Agence.
Voici en résumé quelques réflexions utiles à
partager avec les agriculteurs, qui sont tous
des contrôlés potentiels.
à plusieurs reprises de la part
des opérateurs interviewés
qui souhaitent savoir ce qu’il
faut faire pour ‘être en ordre’
et veulent donner au contrôle
une finalité constructive.
Il est important d’avoir un
dialogue clair vis-à-vis de
l’opérateur et de pouvoir lui
dire quelles seront les conséquences pour lui d’éventuelles non-conformités. Ceci
n’est pas toujours possible,
notamment vis-à-vis des agriculteurs à cause de la conditionnalité et les contrôleurs le
regrettent.
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La vision des
contrôleurs
Depuis la mise en place des
check-listes, les contrôleurs
estiment disposer d’un réel
outil et d’un aide-mémoire
précieux dans le contrôle qui
leur permettent une meilleure
uniformisation des contrôles
dans les différentes entreprises d’un même secteur.
Néanmoins, ils souhaiteraient
une certaine flexibilité par
rapport à cette check-liste.
Certaines d’entre elles doivent évoluer et le processus
est trop lent à leur yeux. En
étant sur le terrain, ils ont une
vision claire des modifications
à apporter et ils souhaitent
être mieux entendus par les
services centraux. Vu le caractère binaire (oui-non) des
check-listes, il est important
que les contrôleurs puissent
faire des remarques afin
« d’atténuer » la portée de
certaines non-conformités.
Un espace est d’ailleurs prévu
à cet effet car la manière dont
l’opérateur travaille ne ressort
pas toujours clairement à la
lecture de la check-liste.
Non-conformités
expliquées
Il est capital pour un contrôleur d’expliquer pourquoi il
relève une non-conformité.
Les opérateurs ont souvent
besoin d’un cadrage car une
part d’interprétation de la
part du contrôleur existera
toujours. Mais il n’est pas non
plus un consultant et donc,
il ne faut pas passer trop de
temps à expliquer.
De plus, les contrôles ne
doivent pas perturber le travail l’entreprise.
Sanctions
et corrections
L’Afsca n’a pas pour mission première d’informer les
opérateurs sur ce qu’il doit
faire et de plus, les contrôleurs
n’ont pas toujours le temps
de le faire. Pourtant, il s’agit
d’une demande forte, réitérée
Les contrôlés
Ils attendent des contrôleurs une bonne connaissance pratique de leur métier. Ils
veulent des gens compétents
et bien formés. Les checklistes sont une bonne chose
pour uniformiser les contrôles
mais certains critères sont
parfois non applicables ou
ils ne tiennent pas toujours
compte des spécificités des
plus petites structures. Dans
ce cas, les contrôlés attendent
des contrôleurs une capacité
à prendre du recul par rapport
à la check-liste.
Dialoguer
et expliquer
A contrario, ils regrettent
que certains contrôleurs se
cachent derrière la norme et
les obligations de la checkliste qui parfois leur semblent
tout à fait inapplicables.
Certains opérateurs interviewés veulent dialoguer avec
les contrôleurs et ils estiment
qu’un contrôle doit être plus
un échange d’informations
en vue d’apporter des améliorations, en tout cas, en ce qui
concerne des non-conformités mineures.
Les opérateurs estiment
que, par peur du contrôle, le
contrôlé a tendance à accepter trop facilement certaines
interprétations du contrôleur.
Il ne faut pas avoir peur de
demander des explications et
de faire des remarques sur le
rapport de contrôle si l’opérateur n’est pas d’accord avec
l’approche du contrôleur.
Des réponses
Les opérateurs souhaitent
des réponses claires quand
ils posent des questions. Les
contradictions d’interprétations d’un contrôleur à
l’autre sont très mal perçues.
Certains opérateurs ont également pointés le fait que les
résultats d’analyses ne leur
soient jamais transmis ou
soient très lents à arriver alors
que toute l’activité de l’exploitation agricole est parfois bloquée. Plusieurs opérateurs ont
souligné à maintes reprises la
nécessité de prévenir avant
un contrôle afin que l’opérateur puisse prendre des dispositions pour être présent lors
du contrôle.
Conclusions
L’approche du contrôle est
sensiblement différente entre
le contrôlé et le contrôleur. Le
contrôlé a une approche plus
pédagogique et constructive
du contrôle qui doit l’aider
à s’améliorer. Dans les interviews, un opérateur compare
le contrôle à un échange et
un dialogue. Par contre, la
vision du contrôleur est différente. Selon ce dernier, il a,
avant tout, une mission de
contrôle avec l’outil qu’est
la check-liste. Il estime devoir expliquer la raison des
non-conformités mais pas
nécessairement aller jusqu’à
donner les solutions correc-
trices par manque de temps.
Logique, me direz-vous ! Le
premier préfère être éduqué
que sanctionné et le second
est mandaté pour procéder
à un contrôle et constater les
éventuelles non-conformités.
Néanmoins, il y a unanimité
pour souligner que la bonne
volonté de part et d’autre et
la compréhension mutuelle
sont de toute évidence les
bases d’un contrôle qui se
déroule bien.
99985532/4808 plc jht
Le principe de la formation était le suivant : de petits
films présentaient les impressions, réactions, attentes des
contrôlés et des contrôleurs.
Ces projections étaient entrecoupées par une séance de
questions-réponses avec trois
contrôleurs et trois contrôlés
(un agriculteur, un restaurateur et la représentante d’une
entreprise agroalimentaire)
qui répondaient aux questions d’un éminent journaliste
de la RTBF. Deux agriculteurs
de la FWA s’étaient libérés
pour participer aux deux journées de débat organisées en
Wallonie. Un grand merci à
eux pour leur belle prestation
lors de ce difficile exercice.
PROMOTION
du 1 décembre 2008 au 31 janvier 2009
Sur toute notre gamme
de formules minérales granulées
et semoules
Une superbe
veste polaire
par 500kg
minéraux granulés
ou semoules
Fait pour vous par le service d’études
24/11
Namur Cwedd: bureau
+ section études d’incidence
Namur PFSA: GT biocarburants
Namur CRAEC: GT stratégie sols
Wavre Plan ECO:
centre de glisse d’Antoing
Messancy Séance d’info Natura 2000
25/11
Namur DNF:
comité de projet Natura 2000
Gembloux FWA: Naturawal
Namur Nitrawal: GT communication
Namur Cabinet B. Lutgen:
décisions bilan de santé
Bruxelles Belplume: conseil
d’administration
Waterloo Cwedd: ZACC
Mont-Saint-Jean
Court St Etienne ZACC
Jambes DGATLP: CRAT
HorruesFWA: bilan de santé,...
Sainte-Ode Séance d’info
Natura 2000
Marloie DNF: sites Natura 2000
Jambes DGARNE: Comac
Natura 2000
26/11
Namur Commission des eaux
Tournai Nitrawal: essais CIPAN
Herve FJA: cours B
Gembloux FWA/FIWAP:
GT pommes de terre
Gembloux FWA/CFLPL/CBL:
proposition avenir promotion
Esneux Séance d’info Natura 2000
27/11
Gembloux FWA: comité
directeur syndical
Namur Comité
d’accompagnement Naturawal
Namur Cwedd: 20 ans!
Namur DGA/Nitrawal: FAQ
Gembloux Accueil Champêtre
en Wallonie: colloque diversification
Gozin Séance d’info Natura 2000
28/11
Namur CRAEC-assemblée plénière
Demandez conseil à nos ingénieurs : NOUVELLE
Pierre LALOUX: 0475/65.94.63
TENEUR
Nicolas LEROY: 0478/54.65.24
EN
Damien GREGOIRE: 0473/52.33.96
SELENIUM
Mathieu DECOSTER: 0498/97.97.60
085/84.60.36
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Relance du Cycle OMC de Doha?
La crise économico-financière – dont il se répète
de plus en plus qu’elle est sans précédent depuis
1929 – incite les gouvernements à adopter divers
types de mesures. Des plans de relance financés
par les pouvoirs publics- comme le programme
européen de relance coordonnée présenté le
26 novembre par M.Barroso, et qui sera discuté
aujourd’hui et demain au Sommet de Bruxelles
- mais aussi de lutte contre le protectionnisme:
une façon de plaider pour la conclusion des
négociations de l’OMC dès cette année.
Le souvenir de la crise de
1929 remet à l’esprit l’engrenage des mesures protectionnistes de concurrence déloyale
et de «dévaluations compétitives» qui s’était enclenché
rapidement à l’époque. Le tout
se soldant par de dangereux
effets de régression de la demande, les mêmes entraînant
un effondrement de l’offre, etc.
Autrement dit le cycle infernal et difficilement jugulable
de la «dépression» (laquelle,
contrairement à la «récession»,
constitue un cycle durable de
baisse de la demande et des
productions).
Les conséquences négatives
d’un ralentissement de l’activité commerciale mondiale étant
unanimement acquises, le «cycle de Doha» des négociations
à l’OMC connaît une brusque
et nouvelle impulsion. Le directeur général de l’OMC, Pascal
Lamy, n’hésitant pas à parler de
conclusion pour la fin de l’année… ce ne sera que la nième
fois, nous dira-t-on, mais cette
fois, la crise aidant, des «chances» réelles existent de sortir
les négociations de l’ornière.
Ce que nous ne regretterons
pas, à la condition impérative
que les intérêts de l’agriculture
ne soient pas unilatéralement
+
sacrifiés.
Du 17 novembre à
fin décembre
Pour sa part, le directeur général de l’OMC, Pascal Lamy,
est en tout cas prêt à accueillir
une nouvelle réunion ministérielle à partir du 10 décembre
à Genève pour tenter d’arrêter
les « modalités » d’un accord,
après l’appel en ce sens lancé
le 15 novembre à Washington
– à l’instigation des Etats-Unis,
du Brésil, de l’Australie et du
Royaume-Uni – par le sommet
du G-20 consacré aux marchés
financiers et à l’économie mondiale. Encore faudra-t-il que les
travaux techniques aient bien
avancé jusque là. S’agissant de
l’agriculture, les négociateurs
sont encore loin du but : chacun s’accorde à l’admettre.
Le néo-zélandais Crawford
Falconer, qui préside les négociations agricoles du cycle
de Doha, a constaté que les
représentants des membres de
l’OMC, réunis le 17 novembre
à Genève, « n’ont pas été en
mesure de donner des détails
sur leur marge de manœuvre »,
alors qu’« il y a un engagement
politique d’au moins une vingtaine de pays».
Dates limites
La dernière session du
Conseil général de l’OMC (ambassadeurs) avant la pause de
Noël et de la nouvelle année
est prévue les 18 et 19 décembre. Les principaux points qui
soulèvent encore des difficultés
dans la négociation sont, selon
M. Falconer : le mécanisme de
sauvegarde spéciale pour les
pays en développement, qui
avait provoqué l’échec de la
réunion ministérielle de juillet
dernier ; le nombre de produits
sensibles (soumis à une moindre baisse tarifaire) ; la possibilité de maintenir certains droits
à l’importation à plus de 100%
; la suppression progressive de
l’actuelle sauvegarde spéciale
pour les pays développés ; la
simplification tarifaire (conversion en pourcentage) ; la
création ou non de nouveaux
quotas tarifaires à l’importation, question liée aux produits
sensibles, etc.
Parvenir cette année
à un accord ?
Dans la déclaration publiée
le 15 novembre à l’issue de leur
sommet de Washington sur les
marchés financiers et l’économie mondiale, les dirigeants
du Groupe des Vingt (pays développés + pays émergents)
soulignent «combien il est
vital de rejeter le protectionnisme et ne pas nous replier
sur nous-mêmes en ces temps
d’incertitudes financières». «A
cet égard, dans les douze mois
à venir, nous nous abstiendrons
d’ériger de nouvelles barrières
à l’investissement ou au commerce des biens et des services,
d’imposer des nouvelles restrictions ou de mettre en œuvre
des mesures de stimulation des
exportations contraires aux règles de l’OMC», ajoutent-ils.
« En outre, nous nous efforcerons de parvenir cette année
à un accord sur des modalités
conduisant à la conclusion de
l’agenda pour le développement de Doha de l’OMC avec
un résultat ambitieux et équilibré », poursuit le G-20. « Nous
demandons à nos ministres du
commerce d’atteindre cet objectif et restons prêts à les assister directement, si nécessaire ».
« Nous convenons également
que nos pays ont la plus large
part dans le système d’échanges mondiaux et qu’en conséquence chacun doit apporter
les contributions positives nécessaires pour atteindre ce résultat », conclut sur ce chapitre
la déclaration.
Le calendrier et le
contenu
«L’un des dangers d’une
crise comme celle que nous
traversons serait que les gens
commencent à mettre en place
une politique protectionniste »,
a souligné le 15 novembre au
matin George W. Bush, juste
avant la reprise des pourparlers
du G-20 sur la crise financière.
Les négociations de l’OMC
sont «une partie très importante de ce sommet», a commenté le président américain
à l’issue de la réunion, faisant
état d’«un effort déterminé
pour voir si nous ne pouvons
pas compléter les modalités
pour (le cycle de) Doha d’ici la
fin de l’année».
«Je pense que les différences entre l’Inde et les Etats-Unis
peuvent être résolues rapidement», a déclaré de son côté
le premier ministre britannique,
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Gordon Brown (Rappelons que
le contentieux entre l’Inde et
les Etats-Unis sur l’ouverture
du marché indien aux produits
agricoles américains avait
fait capoter les négociations
l’été dernier). Pour sa part, la
commissaire européenne au
commerce, Catherine Ashton,
a estimé que, «avec la bonne
combinaison d’un dur travail et
d’un leadership, nous devrions
viser maintenant un accord
sur le cadre d’un compromis
final avant Noël». Il revient
maintenant aux ministres du
commerce et au directeur général de l’OMC, Pascal Lamy,
de «faire de cela une réalité»,
a-t-elle ajouté.
Le 17 novembre, à New
Delhi, le ministre indien du
commerce, Kamal Nath – qui
s’était fermement opposé aux
Américains en juillet sur le
dossier du mécanisme de sauvegarde spéciale – a toutefois
averti que son pays ne ferait
aucun compromis sur certaines
des questions qui ont jusqu’ici
bloqué la conclusion d’un accord à l’OMC. «Le calendrier ne
doit pas nous dicter le contenu.
La question n’est pas d’avoir
une réunion des ministres. La
question est de savoir si nos
préoccupations vont être prises en compte ou non», a-t-il
prévenu.
Conseil agricole
sur la Pac post-2013
Le 28 novembre, la présidence française de l’UE
organisait un Conseil agricole exceptionnel à
Bruxelles, après celui de la semaine précédente qui
avait conclu sur le «bilan de santé». L’objet en était
notamment de définir les grandes lignes de ce que
doit être la Pac après 2013.
I`Z_Xi[:p[q`b
Le souci français, que nous
partageons, était de «bétonner» certains grands principes,
avant que ne s’engage en 2009
le «bras de fer» sur le budget
2013-2020 – lequel risque, si
l’on n’y prend garde – de déboucher sur une désarticulation
complète de la Pac, notamment
par souci d’effectuer des économies budgétaires. Deux grandes
thèses s’affrontent au sein des
vingt-sept. L’une, défendue par
la présidence française dans
son document de travail, part
de l’affirmation selon laquelle
l’agriculture représente un actif
stratégique pour l’UE et à ce titre
est un élément fondamental de
la «stratégie de Lisbonne» - qui
vise à faire de l’UE l’économie de
plein emploi la plus avancée, la
plus dynamique et la plus performante du monde (cette stratégie
est ainsi nommée parce qu’elle
a été décidée lors d’un sommet
européen qui s’est tenu dans la
capitale portugaise voici près de
dix ans).
La thèse inverse – dont on ne
s’étonnera pas qu’elle soit portée
en premier lieu par le RoyaumeUni – est que précisément il
convient de réduire substantiellement le budget de la Pac, et à
l’aide des montantsn ainsi dégagés, de renforcer les crédits aux
secteurs qui «dopent» la croissance et l’emploi: la recherche, la
formation, le développement de
divers réseaux transeuropéens,
etc.
Finalement, les conclusions
du Conseil ont été approuvées
par 24 pays membres; s’y sont
opposés: le Royaume-Uni, la
Suède et la Lettonie.
Ces conclusions expliquent
pourquoi une «Pac forte»
sera nécessaire après 2013. Il
conviendra de faire face à une
hausse considérable de la demande de produits alimentaires,
parallèle entre autres à celle de
la population mondiale. Il faudra
tenir compte du fait que s’installe
une tendance durable à la volatilité des prix…Une pac stabilisatrice pour les agriculteurs et les
consommateurs en est d’autant
plus indispensable.
Il s’agira aussi de compter
avec des exigences environnementales croissantes et d’éviter
que l’agriculture ne soit pas
victime de distorsions de concurrence, étant donné ses normes
environnementales plus élevées
que dans le reste du monde.
Enfin, apparaîtront sans doute
des risques sanitaires nouveaux,
tandis qu’il faudra faire face aux
effets du changement climatique. Le texte, présenté sous
forme de «conclusions de la présidence» en l’absence d’unanimité rappelle que l’accord sur le
«bilan de santé» permettra aux
agriculteurs de mieux répondre
aux signaux des marchés, tout
en garantissant une plus juste
concurrence. Et qu’il ne préjuge
pas des discussions à venir sur le
réexamen du budget européen,
notamment agricole.
Quels que soient les périls
qui guetteront demain l’agriculture, on se réjouira pourtant de
l’adoption de ce texte à une majorité de 24 Ministres de l’agriculture. Même si les formulations
demeurent fort théoriques, et
que le dernier mot reviendra
finalement aux Ministres des
finances et au-delà aux Chefs
d’Etat et de Gouvernement, il
est positif que la présidence française ait pu faire admettre la nécessité pour l’UE de continuer à
disposer d’une Politique Agricole
Commune ambitieuse, basée
sur le fait que l’une des forces
européennes de l’économie
de l’Europe, c’est son secteur agricole et agroalimentaire.
<LIFG@E@FEJ
L’avenir de la PAC et son rôle dans la sécurité alimentaire mondiale
«Notre objectif doit être une
agriculture productive, performante, tournée vers l’avenir
et qui préserve les territoires
ruraux», a estimé le Président
du Parlement européen, HansGert Pöttering, en ouverture
de la rencontre. En 2013, l’UE
sera dotée d’un nouveau cadre budgétaire, et si le Traité
de Lisbonne est vigueur, «le
PE aura acquis de l’expérience
en matière de codécision dans
le domaine agricole. Soyez certains que nous utiliserons notre
faculté d’intervenir, aux côtés
des parlements nationaux» qui
verront aussi leurs pouvoirs renforcés, a-t-il souligné.
du la commissaire européenne
à l’agriculture, Mariann Fischer
Boel, justifiant son approche
visant à peaufiner d’abord la
réforme de 2003. Pour l’après
2013, il faudra «laisser davantage la place au jeu du marché»
en maintenant des filets de sécurité seulement en cas de vraie
crise, et justifier encore plus les
dépenses agricoles auprès des
citoyens en développant la politique de développement rural
et en tenant davantage compte
de l’environnement, a-t-elle
estimé.
Maintenir une véritable PAC après 2013
Pour le rapporteur du PE
sur le bilan de santé de la PAC,
Luis Manuel Capoulas Santos
(PSE, PT), «l’agriculture est un
bon secteur d’investissement
pour l’avenir si l’Europe veut
continuer à produire des aliments de qualités à des prix
acceptables», mais pour que les
citoyens continuent à défendre
la PAC, «il faudra davantage
d’objectivité et de transparence
dans les critères de soutiens»,
en misant notamment sur des
facteurs comme l’emploi et
l’environnement.
«L’agriculture n’est pas un
secteur du passé, c’est un secteur moderne et plein d’avenir,
Introduisant la première
journée de débats consacrée
au bilan de santé de la PAC et
ses perspectives après 2013, le
président de la commission de
l’agriculture du PE, Neil Parish,
a regretté que la proposition
de la Commission européenne
«n’envisage pas comment la
PAC devrait résoudre la question
de la crise alimentaire mondiale
et de la demande croissante en
énergie ni ce que devrait être la
PAC après 2013». «Il faut longtemps pour qu’un super tanker
change de direction», a répon-
L’agriculture,
secteur d’avenir
aussi important que l’industrie
et les services», a poursuivi
Hervé Gaymard, rapporteur de
l’Assemblée nationale française
et ancien ministre de l’agriculture. «Les signaux du marché
ne doivent pas être la doctrine
absolue», a-t-il souligné, estimant qu’un consensus pourrait
être trouvé autour d’une PAC
capable de nourrir le continent,
accordant plus de place à l’écoconditionnalité et qui puisse
couvrir les risques climatiques
et sanitaires.
Pas revenir à la PAC
d’avant 1992
Lors du débat, la plupart des
intervenants se sont prononcés,
avec certaines nuances, pour
une régulation des marchés et
le maintien d’une politique agricole forte sans toutefois revenir
aux systèmes de gestion de la
PAC d’avant 92. Les parlementaires ont également fait état
d’inquiétudes pour l’avenir du
secteur laitier avec la disparition
des quotas prévue pour 2014,
en particulier les régions où
les producteurs souffrent d’un
manque de compétitivité du
fait de conditions de production
plus difficiles (montagnes, etc.).
Concluant cette discussion,
Jean Bizet, sénateur français, a
estimé qu’il existait un «consensus» sur la nécessité d’une «politique agricole commune suffisamment ambitieuse», répondant aux attentes de la société,
insérée dans l’ordre alimentaire
mondial et plus réactive au
changement climatique.
Priorité mondiale
«Hier, nous avons tourné la
page de la PAC du passé» et
notamment des subventions
à l’exportation, «aujourd’hui
nous devons préparer une PAC
réformée», a déclaré en introduction à la deuxième journée
consacrée au rôle de l’agriculture européenne dans la sécurité
alimentaire mondiale Patrick
Ollier, président de la commission des affaires économiques
de l’Assemblée nationale
française. «Si les marchés doivent être la pierre angulaire, ils
doivent également être soumis
aux règles de la régulation», «il
ne faut pas moins de PAC, mais
plus de PAC au niveau mondial», a-t-il ajouté.
«Nous devons tirer les leçons de la crise financière et
agir avec l’ensemble du monde
pour relever le défi alimentaire», a affirmé Michel Barnier,
ministre français de l’agriculture
et président du Conseil agricole de l’UE. Il s’est prononcé
notamment pour la création
d’un partenariat mondial pour
l’alimentation et l’agriculture
impliquant des responsables de
la FAO, de la Banque mondiale,
du FMI et de l’OMC, la mise en
place d’un groupe technique à
l’image du GIEC établi pour la
question du changement climatique, et une «mobilisation
financière internationale à la
hauteur des enjeux pour développer l’agriculture dans les
pays en développement».
Un milliard de personnes menacées de
famine
«Aujourd’hui nous sommes
face à une situation où 923
millions de personnes souffrent
de la faim. Ce nombre risque
d’augmenter encore de 100
millions en un an si nous ne faisons rien», a souligné Jacques
Diouf, directeur général de la
FAO. Suite à la flambée de prix
de 2007, les pays développés
L’avis de Fischer Boel
S’exprimant lors de la même occasion devant
les Parlementaires européens et nationaux,
la Commissaire Fischer Boel a estimé que la
pérennité de la Pac ne pourra être assurée que
moyennant des «aides directes plus ciblées» à
l’avenir.
Sous leur forme actuelle, les
paiements directs soutiennent
le revenu agricole et contribuent
au respect de normes environnementales et sanitaires par
le biais de la conditionnalité,
mais «ils font cela de façon non
ciblée», a souligné Mariann
Fischer Boel. En effet, a-t-elle
expliqué, l’aide octroyée à un
exploitant n’est pas calculée
sur la base de son revenu, et,
de même, bien que ce paiement
découplé soit lié au respect de
normes (conditionnalité), sa
valeur initiale n’est pas calculée
sur la base de ces normes.
D’un autre côté, a reconnu la
commissaire à l’agriculture, ce
système a le mérite d’être relativement simple.
Bouleversement
Parallèlement, a poursuivi
Mme Fischer Boel, l’UE dispose
d’instruments «beaucoup plus
ciblés» que les aides directes,
essentiellement dans le cadre de
la politique de développement
rural et pour la gestion du marché. Là, c’est un résultat chiffré
ou un revenu qui est recherché,
et les paiements sont calculés
sur cette base. Un «ciblage»
qui nécessite un gros travail de
prévision et d’évaluation, selon
la commissaire européenne.
Une question se pose donc
pour l’avenir, estime-t-elle :
«Voulons-nous mettre plus de
ressources dans un système simple mais relativement imprécis ?
Ou voulons-nous nous efforcer
d’atteindre des objectifs plus
précis – par exemple soutenir
le revenu des agriculteurs européens, les compenser pour les
coûts plus élevés qu’ils supportent par rapport à de nombreux
agriculteurs non européens, et
s’occuper de l’environnement,
entre autres?».
Le rôle futur des paiements
directs dépend en partie des réponses à ces questions, a ajouté
Mme Fischer Boel, «et ces questions sont politiquement lourdes,
car si l’on bougeait de l’équilibre
actuel vers une approche plus
“ciblée”, cela bouleverserait
presque certainement la répartition des financements de la Pac
entre les agriculteurs, les régions
et les Etats membres».
Exigence de l’opinion
publique
Personnellement, la commissaire européenne s’attend
à ce que «l’opinion publique
demande plus de ciblage dans
le futur», car «nos citoyens
veulent voir clairement ce que
donne l’argent qu’ils mettent
dans une politique». «Ce n’est
pas toujours évident de rendre
les choses aussi claires, bien
entendu, a-t-elle ajouté, mais
c’est ce que nous devons viser
dans la foulée des prochaines
perspectives financières, quand
nous aurons à justifier un budget suffisant pour la Pac».
En liaison avec cela, la commissaire à l’agriculture a aussi
réaffirmé qu’elle n’imagine pas
que la politique de développement rural puisse absorber après
2013 une part des fonds de la
Pac plus petite qu’aujourd’hui.
Selon elle, «l’inverse est beaucoup plus probable». «Je ne
veux certainement pas dire que
le second pilier de la Pac est sur
le point d’avaler le premier pilier,
a-t-elle précisé. Je dis que je ne
pense pas que la place de plus
en plus importante de la politique de développement rural est
un feu de paille. Cette tendance
devrait se poursuivre».
ont augmenté leur production
de céréales de 11%, tandis que
celle des pays en développement n’a pu augmenter que de
0,9% faute d’obtenir les fonds
nécessaires pour financer des
engrais et des semences, a-t-il
relevé. «Nous avons besoin de
30 milliards de dollars par an
pour investir dans l’agriculture
des PVD, les subventions des
pays de l’OCDE représentent
372 milliards, on a pu mobiliser
4 000 milliards pour faire face
à la crise financière: dans quel
monde vivons nous?» a interrogé M. Diouf.
Le représentant de la FAO
a été soutenu notamment par
Christopher Delgado, de la
Banque mondiale, qui a souligné qu’aucun pays au monde
ne s’est développé sans avoir
d’abord développé son agriculture et qui a plaidé pour la
constitution de stocks suffisants
(sans revenir aux surplus des
décennies précédentes) pour
réduire la volatilité des prix.
Redéfinir les politiques d’aide au développement
Lors du débat, la majorité
des parlementaires nationaux
et européens ont estimé qu’il
fallait recentrer les politiques
d’aide au développement sur
l’agriculture, assurer des revenus décents aux agriculteurs
du monde entier pour qu’ils
puissent continuer à produire
suffisamment et parvenir à un
accord plus équilibré pour les
pays en développement dans
les négociations commerciales
internationales.
Plusieurs orateurs ont défendu la négociation d’une
«exception agricole» à l’OMC,
tandis que d’autres ont souligné l’importance de soutenir
la recherche dans les nouvelles
technologies pour augmenter
la productivité. Les biocarburants d’origine agricole, en
particulier ceux de deuxième
génération, ne doivent pas être
les boucs émissaires de la crise
même si la priorité absolue doit
être donnée aux productions
alimentaires, ont souligné les
participants.
Rôle prééminent
pour l’Europe
«L’agriculture sera au cœur
des enjeux alimentaires de
demain, car il nous faudra
nourrir pas moins de 9 milliards
d’hommes au cours de ce siècle
avec une surface constante», a
relevé en conclusion Jean-Paul
Emorine, président de la commission des affaires économiques du Sénat français. Pour relever ce défi, «l’Europe aura un
rôle prééminent qu’il s’agisse
de production, de régulation et
de coopération avec les pays en
développement», a-t-il estimé.
«L’avenir de la PAC, c’est la
qualité et la sécurité alimentaire, la sécurité de la production, la protection de la diversité
des paysages et une meilleure
utilisation des ressources en
eau», a ajouté Neil Parish. «Il ne
faut pas non plus de réglementation trop stricte qui détruirait
les marchés», «il faut une politique agricole plus juste à l’égard
des PVD pour ne pas qu’elle
déstabilise leurs marchés», at-il affirmé.
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La crise provoquée par la brusque hausse des
prix alimentaires mondiaux, l’an passé surtout,
et le débat sur la lutte contre les changements
climatiques ont replacé la politique agricole
au centre de l’actualité. Réunis à Bruxelles
les 3 et 4 novembre pour une rencontre
interparlementaire sur l’avenir de l’agriculture
européenne et son rôle au niveau mondial, des
députés européens et nationaux ont entamé
la réflexion sur les contours de la future PAC
dans le contexte des défis alimentaires et
énergétiques.
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Pays de Herve
Dimanche
15 février 2009
Spectacle «La revue des
Fêtes» au Trocadéro à Liège.
Départ en car du parking
de Scar à Herve à 13h15. Le
nombre de participants étant
limité à 42, inscription au
plus vite chez Victor Taeter
au 087/301.326 au plus tard
avant le 20 décembre 2008. A
payer 29,40 euros par personne au compte 103-015863511
Hainaut
Mercredi
10 décembre
A 10h, au parc industriel
d’Achène, visite de l’entreprise
ECOLAM, dirigée par Monsieur
Etienne de Cartier. Fabrique de
poutres en bois lamellés-collés de grande portée à usage
agricole et industriel. Repas
à 12h30 au San Marino près
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de la gare de Ciney. Itinéraire:
autoroute 411- sortie 20 direction Dinant-Philippeville; traverser le village d’Achène vers
parc industriel. Inscription Th
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065/258.394, Th Vaucant
069/859.307 ou F Glineur
064/334.381
Fleuru
Mardi 6 janvier 2009
A 14h, goûter au local de
football à Heppignies. A cette
occasion, Emile Jeanfils présentera un travail personnel sur
la réforme du marché du sucre
en Europe. Inscriptions auprès
d’un membre du Comité.
Brabant
Vendredi
12 décembre
Changement de date
(salle indisponible le 19/12): A
13h30, tartes et jeux de cartes
au Hall Manifagri
Concours open liégeois
le 12 décembre
L’Association Régionale
des Eleveurs et Détenteurs
de Bétail de Montzen organisera, pour la 11ème fois, son
concours régional. Pour assurer un maximum de participants, elle a décidé de l’ouvrir
à tous les éleveurs de la
Province de Liège. Il aura lieu
le vendredi 12 décembre
2008 dès 19h30 au Hall de
Criées à Herve.
Cette année, le jugement
du concours a été confié à
Bruno TOUSSAINT, originaire
de Olne. Monsieur Toussaint
est un ancien lauréat de
l’Ecole Européenne des Jeunes
Eleveurs organisée, annuellement, lors de la Foire agricole
de Battice-Herve. Il a, au fil
des années, acquis un savoirfaire dans le domaine de la
préparation et de la présentation d’animaux Holstein.
Récemment, il a été promu
parmi les lauréats de l’école
des juges organisée par l’Association Wallonne de l’Elevage.
Les éleveurs liégeois sont fiers
de présenter leurs meilleurs
sujets à un jeune juge wallon
d’une telle envergure.
Le programme de la soirée
comportera un concours de
60 vaches en lactation et un
show junior de 6 à 13 ans accomplis.
Durant la soirée, il sera possible de se restaurer à des prix
démocratiques.
Invitation cordiale à tous.
LA FWA SUR LA RTBF
Magazine «Opinions»
La FWA vous propose l’émission
«2008 : Année internationale de la Pomme de Terre»
Echéancier
22 décembre
Versements anticipés : Date limite pour le 4ème versement trimestriel
31 décembre
Contrats d’épandage : date limite pour la conclusion d’un
contrat d’épandage
Le portrait d’un secteur wallon très dynamique,
du producteur jusqu’au consommateur ...
... en passant par la Filière wallonne de la Pomme de Terre !
Diffusion :
Le samedi 6 décembre à 10h30 sur La Une
Le mercredi 10 décembre à 23h30 sur La Deux
et le jeudi 18 décembre vers 23h30 sur La Une (émission courte)
Ey:IFCF>@<
Monsieur Gaston DEFLANDRE, époux de Flore WALBRECQ
Né à Biercée le 29 janvier 1923
et décédé à Thirimont le 25 novembre 2008
Trieu Flaminne 10 à 6500 Thirimont
666
Madame Alice BOUCKAERT, épouse de Roger LENOIR
Né à Beselare le 1er octobre 1933
et décédé à Ath le 25 novembre 2008
Rue Dendrelette 13 à 7830 Gondregnies
Madame Bouckaert était membre du Comité des Retraités
de la FWA Ath Soignies Mons
666
Madame Jeannine LECLOUX, épouse de Théo HUYNEN
Née à Andrimont le 10 novembre 1960
et décédée à Thimister le 24 novembre 2008
666
Monsieur Henri DERWA, veuf de Blanche CORSWAREM
Né à Lantremange le 7 juin 1913
et décédé à Waremme le 25 novembre 2008
666
La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein Champ
présentent leurs sincères condoléances aux familles
JFLM<E@IJ
François-Xavier Germis
10 mars 1985 - 2 décembre 2006
Le temps passe, les saisons se suivent
Souffrances et vie s’harmonisent
Bientôt reviendront
bourgeons et printemps
Tu es toujours si présent...
Une messe sera célébrée
le dimanche 7 décembre à 9h15
à l’Eglise St Martin de Ways.
Ta sœur, ta maman, ton papa.
/HODERXUG¶XQH
SUDLULHSHUPDQHQWH
9EDJ79J;PD?JH7M7B7K&.'%,(-)&+[„Z\dYi\)''/
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Semaine de l’arbre: plantons wallons!
A l’occasion de la 25ème Journée de
l’Arbre, Benoît Lutgen a distribué des
arbres à Marche-en-Famenne et a fait le
point sur une série de mesures spécifiques
prises pour faire de nos forêts et de nos
arbres des instruments de sauvegarde
de notre biodiversité et de lutte contre
les changements climatiques. Voici le
communiqué de presse que nous envoie ses
services pour l’occasion.
Le rôle des arbres, des
vergers ou des haies est
d’une importance capitale.
Ils constituent des «puits de
carbone»: la plantation d’un
kilomètre de haies permet la
séquestration de 1 tonne de
CO2 sur 20 ans. Nos arbres
et arbustes sont un frein au
ruissellement des eaux et
luttent ainsi contre l’érosion
des sols, néfaste pour notre
agriculture. Ils contribuent à
la sauvegarde de la biodiversité: de nouvelles plantations
sont autant de refuges et de
couloir supplémentaires pour
la migration des espèces.
Outre les actions de sensibilisation menées en Région
wallonne, le ministre a insufflé une nouvelle dynamique
à la valorisation de notre
patrimoine vert au travers notamment du nouveau Code
Forestier, de la concrétisation
du réseau Natura 2000 ou de
la révision de différents arrêtés de subvention.
Distribution d’arbres
Ce 29 novembre, à l’occasion de la Journée de l’Arbre,
120.000 plants ont été distribués dans 50 communes en
Région wallonne.
Par ailleurs, suite à un appel
à projet, la Région wallonne
a mis à disposition des com-
munes, des écoles et des associations, des arbres et des
arbustes. L’action vise à agrémenter les espaces publics
(place publique, square, abord
d’école,…) et les voiries de
plantations. 120 projets ont
été retenus : 29.000 plants
forestiers et arbustes ainsi
que 2.045 plants à haute tige
ont été fournis.
Subventions pour des
plantations
Pour les particuliers
Le ministre Lutgen a modifié l’arrêté d’octroi de subventions pour la plantation
et l’entretien de haies vives,
de vergers et d’alignements
d’arbres.
En fonction de l’expérience
acquise et pour rendre le mécanisme d’aide plus attractif, il
a décidé de doubler les montants forfaitaires prévus pour
subventionner la plantation
de haies par des particuliers.
De la sorte, l’intervention de
la Région wallonne couvre
environ 70 % des coûts réels.
Par ailleurs, d’autres types
de plantations sont encouragés, tels les vergers et les alignements d’arbres. Le champ
d’application de l’arrêté de
1995 a été élargi pour subventionner la plantation et
l’entretien. L’intervention de
la Région wallonne représentera également environ 70%
des coûts réels. L’objectif ?
600 arbres d’alignements et
1500 arbres en vergers supplémentaires par an.
Dans les sites Natura 2000
et dans les parcs naturels, où
les mesures favorables à la
biodiversité sont particulièrement encouragées, il est
prévu que les aides octroyées
soient majorées de 20%.
Pour les pouvoirs publics, les associations, les
écoles, …
En 2008, le ministre a lancé
une nouvelle opération à destination des communes. La
Région wallonne accorde un
subside aux communes pour
l’achat de plants. 72 projets
ont été retenus ce qui représente la plantation de près de
20 km de haies pour un subside de 74.729eur.
De plus, la Région wallonne
accorde un subside d’un montant de 1.250eur aux projets
dont l’objectif est de mettre
en valeur des espaces redevenus naturels (friches urbaines
ou industrielles, abords de
voiries, de sentiers, abords
d’écoles,…). 57 projets d’associations et 75 projets de
communes ont été retenus,
ce qui représente respectivement une subsidiation de
56.150eur et de 58.670eur.
Pour la promotion de
la production horticole
wallonne
Afin de sensibiliser le grand
public, les communes et les
entrepreneurs de parcs et jardins à la grande diversité des
plantes ornementales produi-
tes en Wallonie et de mettre
en valeur le savoir-faire des
producteurs, le Ministre a
également débloqué un
budget de 240.000eur au
Centre d’Essais Horticoles de
Wallonie.
Un des objectifs de ce plan
de promotion est de permettre
aux communes de devenir de
véritables vitrines du savoirfaire wallon en aménageant
des parcelles 100% wallonnes sur leur territoire : sur les
ronds-points, dans les espaces piétonniers, aux abords
d’écoles, ... Les communes
qui s’engagent dans ce projet
bénéficieront de l’appui d’un
architecte paysagiste et d’un
ingénieur agronome qui les
conseilleront, tant en termes
d’aménagement que de suivi
des plantations.
Le Nouveau
Code forestier
La forêt est le plus grand
puits de carbone de notre
Région. Le carbone qui y est
enfermé équivaut à 7 ans
d’émissions de gaz à effet de
serre. Par ailleurs, la valorisation du bois permet de stocker
définitivement le CO2.
Pour lutter contre les changements climatiques et sauvegarder notre biodiversité, le
nouveau Code Forestier favorise le mélange des espèces et
assure un haut niveau de protection de la forêt. La réforme
prévoit par exemple de limiter
la surface des mises à blanc et
de considérer les dégâts au
sol comme des infractions.
Fichier écologique
des essences
Les plantations en forêt seront obligatoirement réalisées
-
sur base du fichier écologique
des essences. Ce fichier regroupe les essences forestières économiquement rentables chez nous (hêtres, chêne,
…). Il détermine surtout les
conditions dans lesquelles
elles doivent être plantées
(qualité du sol, pente, altitude,
degré d’humidité, …).
Suppression des
droits de succession
La suppression des droits
de succession décidée par le
ministre de l’agriculture, c’est
la reconnaissance des services
que les 120.000 propriétaires
privés rendent à la société. Il
s’agit ici d’un incitant fiscal
fort à la production de bois de
qualité et en quantité et à la
protection de notre environnement.
Service d’appui et de
conseils aux propriétaires
privés
Tous les propriétaires privés pourront prochainement
obtenir des informations
auprès d’un service d’appui
à la gestion forestière. Ce guichet unique des «forêts» leur
offrira des conseils personnalisés : atouts de leur patrimoine, plantations à effectuer en
fonction des caractéristiques
des parcelles, …
A terme, l’objectif est de
créer une banque de données
on-line des ventes de bois, des
travaux forestiers à effectuer
dans les forêts domaniales
ou dans les propriétés privées,
… Elle visera à intensifier les
relations entre propriétaires
et opérateurs économiques
de la filière bois pour maximiser l’intérêt des uns et des
autres.
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Quantité et qualité en symbiose au provincial BBB luxembourgeois
Pour tous les éleveurs de blanc-bleu ainsi
que pour ses fans, l’apothéose des concours
provinciaux est sans nulle doute celui du
Luxembourg. En nocturne dans le hall
Walexpo, quel show de richesses viandeuses
sous la griffe des élevages ardennais venus en
nombre mais aussi et surtout accompagnés
d’un haut de gamme de notre joyau BlancBleu Belge . Oserais-je dire, à perte de vue
parmi les séries quelle explosion de belle
viande faisant baver nos papilles gustatives .
Cfe^$Gi„
Ce très riche provincial, aux
rappels des plus disputés vu
la répartition des voix, dont
les 148 présences furent diversifiées par 27 éleveurs tous
indispensables à sa réussite et
elle le fut. Si 10 d’entre eux se
positionnent davantage parmi
la formule des trios de tête, je
ne peux passer sous silence
l’exploit de deux élevages .
Tout d’abord le magnifique
sans faute de l’élevage d’Izier à
Jean-Marie Lambert le réalisant
en 3 premiers, 2 deuxièmes et
1 troisième soit 6 trios sur 6
présences couronné d’un doublé de championnat. Ensuite
cette prouesse de rentrée des
plus imposante de l’élevage de
l’Allemoine à Daniel et Jean-
françois Lejeune, plus apparu
depuis 2005 et dont ses performances se traduisent en 5 premiers, 2 deuxièmes soit 7 trios
sur 9 présences sans négliger
l’effleurement certain de deux
championnats.
Doublé de championnat génisses et taureaux à Jean-Marie
Lambert
Sans bruit mais persévérant
l’élevage d’Izier s’affirme de
sortie en sortie. Le tremplin du
régional de Melreux le propulse au hit parade du provincial. D’abord chez les jeunes
génisses avec la 1ère prime
de Melreux, Jaserie d’Izier (5
voix), qui en série vit sa compagne d’étable championne
du régional lui ouvrir la porte
du rappel non par fairplay mais
en reconnaissance de ses qualités viandeuses et d’élevage
certaines. Elles furent d’ailleurs
plus que nécessaire lors du
rappel face à la forte résistance
venue de la plus jeune et magnifique cularde Légende de
l’Allemoine (1 voix), à Daniel et
Jean-François Lejeune. Ce rappel des 8 demoiselles garantes
de l’avenir de notre blanc-bleu,
le clou du provincial, à lui seul
méritait le déplacement et
la citation des propriétaires
lauréats de série n’est point
exagérée : Jean-Marc Perin,
Brassinne-Hénneaux (2 x),
Jean-Marie Lambert (2 x), D. et
J-Fr Lejeune.(3 x).
Ensuite chez les jeunes taureaux dans un rappel à quatre
la bouteille à encre vu la répartition des voix des juges entre
trois d’entre eux. La situation
du plus jeune est souvent
désavantagée d’autant plus
que le champion de Bastogne,
Lambeau de la Grande Rose à
Philippe Laloi. a moins de 10
mois ou alors il doit être un
super. Il n’empêche que la voix
reçue confirme ses qualités qui
lui permirent en dernière minute d’être déplacé à la 1ère
place . Plus question dès lors de
possibilité d’arbitre et un face
à face remporté par le champion (3 voix), Judicieux d’Izier
à Jean-Marie Lambert devant
Junior du Petit Juju (2 voix), à
Brassinne-Hénneaux.
Un peu déçu, le quatrième
rappelé Jimenes de Tohogne
à Didier Pétry qui aurait pu lui
aussi accrocher une voix parmi
ce méli-mélo .
Championnat des
génisses âgées à Guy
Perin & Adams
L’élevage de Beaujeu exploite admirablement son bon flair,
aidé en cela je pense par son
routinier papa Gilbert dans ses
nombreux choix généralement
performants. Tel est encore le
cas pour cette jeune mais déjà
très connue Farandole ET de
l’Ecluse. Une championne (4
voix) dont les qualités certaines
sont rehaussées une fois de
plus par la réelle valeur de l’élevage de l’Allemoine à Lejeune
D. et J-Fr. avec Illusion (2 voix),
qui d’ailleurs en série est parvenue à contrer cette autre
remarquable connue et reconnue Identique de Roupage à
Philippe Collignon.Voilà encore
trois sujets de haute gamme de
notre Blanc-Bleu. Et pour être
complet qui retrouve-t-on en
série derrière la championne ?
Encore Lejeune avec Héritée
de l’Allemoine. Une dernière
citation pour les deux éleveurs
accompagnateurs, l’élevage
de Belle Eau à Christophe et
Frédéric Lequeux et l’élevage
de la Claie à Raphaël et Frédéric
Krier.
Championnat des
vaches à Philippe
Lhote & Adams
Un trio de rappelées une fois
encore de toute beauté et des
plus homogènes en viande ne
sait désigner qu’une championne dont ses deux dames
d’honneur n’ont point à rougir.
Ici aussi l’élevage D’al Gote
à l’art de choisir des sujets de
les amener au top niveau afin
de les positionner sur la plus
haute marche du podium et
ce même plusieurs fois lors des
concours nationaux. Ce titre
provincial sera-t-il le tremplin
des Journées de Tournai en
janvier 2009 pour Equinoxe
ET de L’Ecluse (4 voix), qui en
série repoussait pour leur 2ème
confrontation Guérilla-ET de
Tohogne à Guy Gaillard ?. Au
rappel, deuxième difficulté
garante de ses énormes qualités face à cette championne
provinciale de 2005, Groseille
de la Coué vice-championne
par 2 voix, à Jean-Marc Perin,
et pour continuer dans le style
laitier, et pourquoi pas, la mention d’honneur à Fougue de
Roupage à Philippe Collignon.
Championnat des
taureaux âgés
à Christophe et
Frédéric Lequeux
Une chance sur deux pour
le duo des rappelés et l’égalité
des voix des juges exige l’intervention de l’arbitre qui penche
en faveur de Israël de la Faussie
à Lequeux Chris. et Fred. qui
récidive son titre régional de
Bastogne en provincial face
Jargon du Donjon à Jean-Marc
Perin.
Et les autres élevages
L’élevage du Petit Juju à
Brassinne-Hénneaux animateur par 15 présences mais
aussi performant par 6 trios
composés en parfaite égalité de premier et deuxième
prix. L’élevage de Roupage à
Collignon Ph. se positionne selon la formule de 1 premier +
2 deuxième + 3 troisième = 6
trios sur 12 présences.
Quant à l’ensemble de l’élevage du Donjon à Perin J-M,
il se définit en 3 premiers + 1
troisième = 4 trios sur 9 présences.
Génisses de 12 à 13 mois ; série de la
Championne , Jaserie d’Izier (Hésitant)
à Lambert Jean-Marie, Izier , Jurée
d’Izier (Flash) à idem , Justine du Sartay
(Occupant) à Haufroid Bernard, Tohogne
Taureaux de 10 à 12 mois, série du
champion , Judicieux D’Izier (Hésitant) à
Lambert Jean-Marie, Izier , Jobard de Belle
Eau (Vigoureux) à Lequeux Frédéric, Sibret
, Javelot de Tohogne (Occupant) à Gaillard
Guy, Tohogne
Taureaux de 16 à 17 mois , Jimenez de
Tohogne (Escadron) à Pétry Didier, Septon
, Jockey de la Mandebras , (Davidson) à
Marenne Robert, Thibesart
Justicier (Dartagnan) à Burgraff Alain,
Tellin
Génisses de 8 à 9 mois , Légende de
L’Allemoine (Germinal) à Lejeune Daniel
et J-F., Opont , Lache de la Grande Rose
(Kilo) à Laloi Philippe, Vaux-sur-Sûre
Langouste de Steinbach (Flash) à Hubert
Jean-Luc, Limerlé
Vaches de 3,8 à 4,1 ans , Groseille de
la Coué (Opérateur) à Perin Jean-Marc,
Grandhan , Hitaque du Grand Courty
(Baroque)à Otjacques Gérard, Villance
Gravure de la Mandebras(Dandi) à
Marenne Robert, Thibesart
Primipres de 39 à 43 mois, série de la championne , Farandole ET de L’Ecluse (Ecrin) à
Perin G. & Adams A,Grandhan, Héritée ET
de L’Allemoine (Despote) à Lejeune D. et
J-Fr., Opont , Honorine de Roupage (Radar)
à Collignon Philippe, Ortho
Taureaux de 29 à 30 mois, série du champion , Israël de la Faussie (Gaillard) à
Lequeux Chr. et Fred, Vaux-sur-Sûre
Igoal ET du Grand Courty (Lasso) à
Otjacques Gérard, Villance
Taureaux de 20 à 23 mois , Jargon du
Donjon (Baroque) à Perin Jean-Marc,
Granghan , Jaconas de la Hasse (Eclair)
à Kinet Alex, Neufchâteau , Ondoyant
de Chardeneux (Fugitif) à Perin J-M.,
Demaasy, Jacoby
Génisses de 26 à 31 mois , Illusion de
L’Allemoine (Magistrat) à Lejeune Daniel
& J-Fr., Opont , Identique de Roupage
(Despote) à Collignon Philippe, Ortho
Italia du Grand Courty (DAvidson) à
Otjacques Gérard, Villance
Vaches de 5,2 ans et plus , Fougue de ,
Roupage (Lasso) à Collignon Philippe,
Ortho , Fierté du Petit Juju (Osborne) à
Brassinne-Hénneaux, Vesqueville, Epopée
des 3 Frontières (Brigand) à Béchet Chr. et
Ph., Halanzy
Vaches de 4,2 à 5 ans, série de la championne , Equinoxe ET de L’Ecluse (Lasso)
à LhotePh. & Adams, Bastogne , Guérilla
ET de Tohogne (Radar) à Gaillard Guy,
Tohogne , Filature de Roupage Radar) à
Collignon Philippe, Ortho
Taureaux de 8 à 9 mois , Lambeaux de
la Grande Rose (Kilo) à Laloi Philippe,
Vaux-sur-Sûre, Laborieux de Tohogne
(Occupant) à Gaillard Guy, Tohogne
Lactique de Steinbach (Hotelier) à Hubert
Jean-Luc, Limerlé
Génisses de 10 mois , Jipsie du Petit
Juju (Monarque)à Brassinne-Henneaux,
Vesqueville, Javeleuse d’Izier (Haricot)
à Lambert Jean-Marie, Izier , Jaspine
des Peupliers (Dafydd) Kinet Alex,
Neufchâteau
Primipares de 34 à 37 mois , Hypocrite
ET de la Claie (Débordant) à Krier
Raph.,Fred., Halanzy , Herda de Belleau
(Jupiter) à Lequeux Christophe, Vaux-surSûre, Halifornie de la Claie (Tropique) à
Krier Raph et Fred, Halanzy
/
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Décembre au jardin de Long-Pré
Décembre: Joyeux
et festifs
Nous voilà arrivés au terme
de l’année. Si décembre n’est
pas le mois qui réclame le plus
de soins dans votre jardin, il
est bien l’un des plus joyeux
et festifs. Il nous apporte son
lot de journées festives, SaintEloi, Sainte-Barbe, SaintNicolas et Noël se fêtent que
je vous souhaite personnellement en compagnie de toute
la famille. Et pour que finisse
l’année, en toute simplicité et
recueillement, au terme du
jour le plus court et de la nuit
la plus longue, l’espoir surgit
«Renaît lumière «Aux Rois le
jour croît, et bientôt reviendront les beaux jours.»
En ce dernier mois de l’année, les mains vertes pourront
s’adonner à leur passion végétale en soignant leur plantes d’intérieur car maintenant
le jardin en décembre a pris
ses quartiers d’hiver.
Salsifis
et ou scorsonère
Redécouvrez l’étonnante
saveur de ces légumes injustement oubliés. Un amalgame entre les deux légumes
s’est vite répandu alors que
sur le plan botanique ils se
révèlent d’un genre à part entière le salsifis (Tragopognon
porrisfolius) et le scorsonère
( Scorzonera hisponica). Deux
légumes racines bien distinctes mais au goût très rapproché. C’est surtout la couleur
de la peau qui entoure leur racine comestible qui distingue
Lorsque Saint-Eloi a bien froid,
pour nous, c’est pour trois mois
Calendrier lunaire décembre 2008
Calendrier lunaire DECEMBRE 2008
les deux plantes. La racine
du salsifis vrai est blanche,
conique et allongée, plus ou
moins garnie de radicelles; et
celle du salsifis noir ou scorsonère est noire, cylindrique,
longue et nette, pratiquement
la seule cultivée et donc la
seule dégustée. Leur saveur
est souvent comparée à celle
de l’huître ou de l’asperge.
Leur chair renferme un type
de glucide particulier, l’inuline,
un ersatz de l’amidon dont les
propriétés santé sont maintenant bien démontrées et qui
permet d’être consommé par
les diabétiques.
· Achat, conservation
Privilégiez les racines non
lavées et entières. Le suc laiteux qui peut s’en écouler
témoigne de leur fraîcheur
ainsi que de leur fermeté.
Préférez-les plutôt fins car
cela signifie qu’ils sont jeunes, et donc plus tendres. Trop
gros ils seront creux au centre
et fibreux. Prenez aussi en
compte, lors de l’achat, le fait
que l’épluchage fait perdre 40
% du poids total des légumes.
Emballés dans un journal, ils
se conservent quelques jours
dans le bac à légumes du réfrigérateur ou bien comme les
carottes, 3 à 4 semaines à la
fraîcheur et à l’obscurité de la
cave dans un contenant rempli de sable. La congélation
est possible après les avoir
blanchis.
· Utilisation en cuisine
Ils exigent, après un brossage sous l’eau courante , un
épluchage soigneux au couteau économe et un lavage
dans plusieurs eaux. Coupés
en tronçons, ils doivent toujours être longuement cuits
à l’eau , dans un blanc (50 g
de farine délayée dans 10 cl
d’eau) ajouté dans l’eau de
cuisson, sinon ils noircissent.
Ils se préparent ensuite à la
poêle, sautés au beurre; au
jus; en beignets et en gratin.
· Conseils de culture
De préférence une terre
fraîche, meuble, profonde,
légère et humifère. La levée
étant assez capricieuse, semer
lorsque la terre est suffisamment réchauffée.
1 Lu
2 Ma
3 Me NL (6h)
4 Je (jus. 12h)
4 Je (ap.
W 12h)
5 Ve (22h)
6 Sa (jus. 11h)
6 Sa (ap. 11h)
7 Di
8 Lu
9 Ma
10 Me
11 Je
13 Ve
M(18h) T (20h)
Pg (23h)
13 Sa
14 Di
15 Lu
16 Ma NL (0h)
(jus. 14h)
16 Ma (ap. 14h)
17 Me
18 Je
19 Ve W (11h)
20 Sa
21 Di
22 Lu (jus. 19h)
22 Lu ap. 19h)
23 Ma
24 Me
25 Je
26 Ve S (9h) Ag (19h)
27 Sa L (13h)
28 Di
29 Lu (jus. 10h)
29 Lu (ap. 10h)
30 Ma NL (9h)
31 Me (jus. 18h)
3
1
1
3
1
2
3
3
2
Travaux de décembre Première quinzaine
Fruits: Meilleur moment pour planter les arbres fruitiers: le10
Racines: Ail: P si le temps est favorable, R en août
Feuilles: Epinard d'hiver, cerfeuil, mâche: S en pleine terre ou sous
verre
Poireau, céleri, laitue: tous premiers semis sous verre chaud,
R en mai-juin
Travaux de décembre Deuxième quinzaine
Feuilles: Epinard: S en pot pressé pour P en mars, R en avril
Racines: Carottes: S sous verre
1
1
3
2
2
2
3
3
3
1
1
3
3
Généralités pour décembre
Première possibilité de tailler les pommiers et les poiriers, si possible en
Lune descendante et en jours fruits • Enfouissement des engrais verts
(phacélie, moutarde) • Bêchage des sols argileux • Nourrissage des oiseaux
• Pose de nichoirs • Forçage des endives • En lune descendante, du 13 au
25 décembre: période favorable à l'abattage du bois d'oeuvre, éviter jours
feuilles et NL, Pg et Ag • Rédiger un rapport annuel des activités potagères
et de jardinage et classer ce calendrier avec les précédents. Il seront utiles
par la suite • Travailler au jardin, même par temps froid, cela allège le
travail au printemps • Tâcher de voir comment on peut, en se basant sus
ses moyens personnels, faire des progrès pour consolider sa santé et harmoniser son existence au sens le plus large • Faire tout son possible. On ne
peut, en fin de compte, attendre davantage des humains.
Constellations
1
1
= Bélier-feu-fruit,
= Taureau-terre-racine,
= Gémeaux-air-fleur,
1
= Cancer-eau-feuille,
= Lion-feu-fruit,
= Vierge-terre-racine,
Légendes
Racine Fleur Feuille Fruit
T lune descendante =
= début période de
= fin période
plantation; S lune montante =
de plantation et début période de semis; NL =
noeud lunaire; Pg = périgée lunaire;
W Ag = apogée
lunaire; W = premier quartier;
= dernier quartier; Mpleine lune; L nouvelle lune; --h = heure de
l'événement (ou son début). Eviter les zones
et
- de la colonne 3; Dans la colonne 3: 1 à 3 = jour
de + en + favorable; C =
= lune croissante; D =
= lune décroissante; colonne "travaux"; S =
semis; P = plantation/repiquage; R = récolte
A la préparation du sol, apportez un engrais complet plus
riche en azote qu’en phosphore et potasse.
Un semis de mars à mai, en
pleine terre, en lignes distantes
de 20-25 cm., recouvrez les
graines de 2-3 cm de terre et
tassez. Maintenez bien le sol
humide par des arrosages pour
favoriser la levée ainsi qu’en
période de sécheresse.
Eclaircissez quand les plants
ont 2-3 feuilles pour laisser une
distance de 8-10 cm entre eux.
Supprimez les tiges florales
dès leur apparition afin de fortifier les racines.
La récolte se pratique d’octobre à mars, au fur et à mesure des besoins. En hiver avant
les gelées, couper les feuilles
au-dessus du collet, butter légèrement et couvrir le sol d’un
paillis afin de faciliter l’arrachage. Le rendement escompté est
de l’ordre de 2 kg de racines
par m2. Un rang de 6 m suffit
généralement à la consommation moyenne d’une famille de
4 personnes.
Distance
entre les légumes
Voir tableau joint
= Balance-air-fleur,
= Scorpion-eau-feuille,
= Sagittaire-feu-fruit,
= Capricorne-terre-racine,
= Verseau-air-fleur,
= Poissons-eau-feuille.
Avec l’aimable autorisation de
”Nature et Progrès”et de Vincent Gobbe, concepteur
Du potager à la table
Filets de plie et bavarois de scorsonère
· Ingrédients pour 4 personnes : 600 g de plie, 1 kg de
scorsonères, 2 cl de vinaigre, 50 g de farine, 2 oeufs, 0,8 dl de
crème, 0,8 dl de lait demi-écrémé, 200 g de beurre clarifié, sel,
poivre, muscade, et poivre de Cayenne.
· Préparation
- Parez et épluchez les scorsonères et les tremper dans une
eau vinaigrée.
- Versez de l’eau dans une casserole, ajoutez le sel, poivre
et le blanc (50 g de farine délayée dans 10 cl d’eau); portez à
ébullition et y plonger les scorsonères pour les cuire à feu doux
et couvert pendant 30 minutes
- les égoutter, mixez finement la moitié et laissez refroidir,
réservez l’autre moitié au chaud.
- battre les oeufs avec le lait et la crème. Y ajouter les scorsonères mixés, assaisonnez de sel, de poivre ordinaire et de
poivre de Cayenne.
- Remplir la préparation dans des ramequins à gratin ronds
et graissés et cuire 15 minutes au bain-marie à 200° C dans
un four préchauffé.
- Coupez les scorsonères restants en fines lanières et les
faire revenir dans la moitié du beurre clarifié.
- Farinez les filets de poisson et les cuire à la poêle dans le
reste de beurre .
- Retirez le bavarois des ramequins. Dressez les filets de
poisson sur des assiettes préchauffées, nappez de beurre
fondu et accompagnez du bavarois de scorsonères.
- Garnir de tranches de scorsonères et servir avec des pommes de terre .
Source: Guide des recettes
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Pages mensuelles de l’UAW - Distribué toutes fermes - Chaussée de Namur 47 - 5030 Gembloux
Tél. 081/60.00.60 - Fax. 081/60.04.46 - E-mail. [email protected]
Décembre 2008
N°93
Edito
par Anne-Marie Tasiaux, Présidente nationale UAW
Un coup de blues de fin d’année...
En trayant ce matin, je me sens pleine d’amertume,
de découragement et de colère contre ces
bureaucrates européens qui, par leurs règlements,
nous forcent à travailler toujours plus pour gagner
toujours moins. J’ai très mal au genou et je suis
obligée de me mettre en dessous des vaches pour
traire ! Que l’on soit malade, ou bien portant, les
vaches doivent être traites, deux fois par jour, tous
les jours de l’année !
Cotitularité
On se demande à quoi ils réfléchissent ces Eurocrates ! En sidérurgie,
lorsque les prix baissent, on diminue la
production, pour réduire l’offre et inverser la tendance. En agriculture, les prix
baissent,... et on augmente les quotas,
pour les beaux yeux de Mme FisherBoel !!!
Lorsqu’on subit un bilan de santé,
c’est généralement pour appliquer
ensuite un traitement qui vous rende
votre énergie, en agriculture, c’est le
contraire!
Mais qu’ils se méfient, les politiques,
les Eurocrates, qui trouvent tout naturel
que nous assurions, par notre travail, la
sécurité alimentaire de nos concitoyens,
la souveraineté alimentaire européenne.
Qu’ils se méfient, car un jour, à force
de mépriser les travailleurs, les paysans,
tout cela pourrait être mis à mal !
En tant que présidente, on m’apostrophe souvent: « Que fait la FWA ? ».
A la fin de notre dernière réunion de
bureau, où nous avions examiné les
premiers échos des réunions du conseil
européen au sujet du bilan de santé,
nous étions tous indignés !
En dehors d’une petite embellie
pour nos jeunes (on passe de 55000
à 70000 eur pour l’aide à la première
installation), il n’y a guère de raison de
se réjouir !
Bien sûr, la FWA va analyser ces décisions attentivement et travailler ce
dossier, pour tenter, dans la mesure du
possible, de renverser la vapeur, mais ce
ne sera pas un travail facile !
Il n’y a pas qu’en agriculture que
l’époque est morose: je pense par exemple aux travailleurs de la sidérurgie, en
chômage économique pour de longs
mois, avec des craintes de licenciements
à la clef !
La société semble déboussolée ! Un
vent de panique souffle sur nos concitoyens, qui réduisent leurs dépenses en
prévision de la longue crise qu’on nous
promet...
Bref, alors que Noël approche et que
nous nous apprêtons à quitter 2008,
l’ambiance n’est pas à la fête !
Je veux pourtant vous souhaiter
de bonnes fêtes de fin d’année et une
année 2009 meilleure que cette année
2008, qui fût difficile dans beaucoup de
fermes !
Que l’année nouvelle soit belle pour
vous et pour vos familles !
Que vous rencontriez du succès dans
la gestion de votre ferme !
Que l’agriculture wallonne se porte
mieux !
Que l’agriculture belge soit fructueuse !
Que les agriculteurs européens
vivent encore de la vente de leurs productions!
Que l’agriculture permette aux paysans du monde de vivre décemment et
de manger à leur faim tous les jours !
Bonnes fêtes de fin d’année à vous !
Cotitularité: une victoire pour les femmes... et pour l’UAW !
Au début 2008, nous avons participé à une tournée
d’information sur la cotitularité organisée par la DGA.
Lors de cette tournée des circonscriptions DGA, Monsieur
Edouard Charlier nous avait exposé en détail les subtilités du
décret et de ses effets sur vos exploitations.
Cet été, tous les couples composés
d’un conjoint et de son conjoint aidant
ont reçu un recommandé leur proposant
d’adhérer au système.
Plusieurs solutions s’offraient aux couples concernés:
– accepter, auquel cas la carte CTI
serait modifiée et intitulée aux noms des
deux époux
– refuser, auquel cas aucun changement n’intervient
– avoir des avis divergents, auquel cas
aucun changement n’intervient
Si le couple n’a pas répondu à ce premier courrier, la DGA s’est chargée d’un
rappel, par recommandé également.
Dans le cas où le couple n’a pas répondu à ces deux courriers, la DGA a automatiquement modifié la carte CTI pour y faire
Cette page a pu être publiée grâce au soutien
du Ministère de la Communauté Française de Belgique.
apparaître les noms des deux conjoints.
Aujourd’hui, cette session d’envoi de
courriers étant terminée, c’est l’heure du
bilan.
C’est pour se livrer à cet exercice que
Monsieur E.Charlier est venu nous rendre
visite au comité directeur de l’UAW. Il est
arrivé avec d’excellentes nouvelles, puisque la cotitularité a rencontré un franc
succès dans vos exploitations. En effet, un
large pourcentage des couples contactés
ont accepté de modifier les cartes CTI, ce
dont nous ne pouvons que nous réjouir.
Le graphique ci-contre montre que
près de 77 % des personnes contactées
sont ou seront sous peu, cotitularisées.
Il s’agit d’une grande victoire pour les
agricultrices, et pour l’UAW en particulier,
qui a revendiqué et obtenu que cette opération s’organise.
+[„Z\dYi\)''/ (
Echo des Provinces
Journée Provinciale du Luxembourg
Par Myriam Lambillon, coordinatrice UAW Namur-Luxembourg
Nous avons pris l’habitude dans le Luxembourg de
choisir des sujets marquants, forts et pas toujours facile
à élucider… Ce fut encore le cas le 28 octobre dernier à
Rochehaut où la section de Libramont nous a reçues de
façon exceptionnelle. Nous les en remercions déjà.
La reprise des fermes sans compromettre la retraite des aînés et
l’avenir des jeunes…
Sujet pas facile à développer
dans le contexte de crises agricole
et financière que nous connaissons
aujourd’hui.
Depuis 1993, nous pouvons observer chaque année, une diminution impressionante de fermes dans
le Luxembourg. En 2008, le SPIGVA
(Service Provincial d’Information,
de Gestion et de Vulgarisation
Agricole) dresse un bilan inquiétant
du secteur. Moins de 3000 exploitations pour la seule province (2 983
exactement). Et les perspectives
sont peu réjouissantes pour une
province où la production viandeuse grimpe à 82%.
Une réflexion est entamée depuis septembre à l’échelon provincial avec des acteurs du DER, du
CER, du CRA-W et de l’ULG pour
s’interroger sur les avenirs possibles
de l’élevage bovin en province du
Luxembourg à un horizon de 15
ans. Car le secteur reste un pan fort
de l’économie. Il est aussi un acteur
majeur de la gestion du territoire.
Alors que faire en tant que parents, comment pouvons-nous aider
nos jeunes qui le désirent à se réaliser dans la reprise de cette grande
entreprise qu’est la ferme tout en ne
compromettant pas la retraite bien
méritée qui nous attend ?
Premier aspect de la reprise :
une bonne connaissance de la
ferme
Monsieur Dewez, ingénieur
agronome du Service Extérieur de la
Direction Générale de l’Agriculture
à Libramont est une figure connue
de la Province.
Il nous a expliqué de façon très
claire les facteurs de base qui per-
)
+[„Z\dYi\)''/
mettront une bonne reprise. Cela
dépend déjà d’une bonne préparation du candidat agriculteur.
Il y a des points importants à ne
pas négliger tels que une formation
adaptée, mais aussi la connaissance
des forces et des faiblesses de l’exploitation (trop de bêtes, trop d’hectare ou trop de capital peut nuire à
la reprise).
D’autres facteurs agro-économiques entrent en ligne de compte
dans une bonne reprise.
Un bon dossier de reprise ne se
fait pas sans aide. IL faut estimer le
coût de la reprise, les droits du quota
laitier et primes vaches allaitantes,
les DPU, les MAE. Il faut établir une
liste des éléments techniques tels
que superficie, cheptel, stocks (en
volume et en qualité) mais aussi la
sécurité d’exploitation, les baux de
fermes, les structures (bâtiments,
matériel, situation parcellaire,…)
qui peuvent aider ou freiner la
reprise surtout si beaucoup de travaux sont nécessaires pour faciliter
le travail.
qui ouvre le feu sur l’aspect reprise
des jeunes et crédits.
Une reprise de ferme est un partenariat entre l’acheteur, le cédant,
la famille, le banquier, l’ingénieur
agronome, l’assureur, le fiscaliste et
le comptable.
La première étape est d’établir
la carte d’identité de l’exploitation.
Cela comprend l’actif net qui est
l’actif (patrimoine) diminué du passif (dettes), ainsi que le revenu net
qui représente les revenus (ferme
et salaires extérieurs) diminués des
charges. Ne pas oublier les ‘clignotants rouges’ c’est-à-dire les rappels, les dettes de fournisseurs ou
les arriérés.
famille
Reprendre est un acte mûrement réfléchi, votre enfant doit être
un acteur de sa reprise et non un
spectateur. Chacun aura son rôle à
jouer, les parents en associant leur
enfant aux décisions, les stages qui
permettent d’étoffer son expérience
et les fédérations qui suivent de très
prêt toute la Politique Agricole et
informe très régulièrement les agriculteurs
Troisième aspect de la reprise : comment organiser sa
retraite
C’est Monsieur Colmant qui
a terminé ce tryptique. Son rôle
Il y a ensuite toutes les conditions
AIDA, et là beaucoup de services
peuvent vous aider à confectionner
votre dossier.
Ensuite, il y a toutes les formalités, identification de l’exploitation,
les transferts du quota laitier, du
quota ‘primes vaches allaitantes’,
les transferts DPU, les reprises d’engagement MAE, et surtout l’établissement et la présentation du plan
de développement.
Cela peut paraître le parcours
du combattant mais différents services sont là pour vous aider: les
consultants FWA et FJA, les services
provinciaux, et aussi les services de
la DGA. Reprendre dans de bonnes
conditions est de nature à ‘sécuriser’
le jeune qui débute. Une reprise doit
être une réussite au point de vue
travail, famille, financier. Quand un
jeune réussit, c’est toute une famille
qui réussit.
Second aspect de la reprise:
un soutien de la banque
En ces temps un peu tourmentés pour le secteur bancaire, C’est
Monsieur Hoyos, Chargé des relations agricoles au sein du Crédit
Agricole pour le secteur des crédits,
On établit grâce à cela un rating,
c’est une carte des risques que la
banque prend en vous accordant un
crédit, il sera faible, à très élevé.
Les agriculteurs vivent tous la
même situation quelle que soit la
spéculation et la situation géographique.
Un bon état des lieux et une
étude de la valeur de l’outil de
production ainsi qu’une étude sur
la rentabilité de l’outil suivi d’une
réflexion approfondie sur le projet
d’avenir: tout cela peut permettre
une bonne reprise.
Bref, quelques conseils aux parents et au repreneur ?
- Bien préparer son enfant (en
l’impliquant à 100% dans la gestion, les prises de décisions et en
éveillant sa curiosité)
- Accepter de nouveaux points de
vue sur son exploitation
- Accepter de ne pas avoir le dernier euro de la cession
- Bien définir le rôle des parents
quant aux investissements futurs
- Anticiper le transfert du patrimoine aux autres membres de la
n’était pas aisé puisque en tant que
chargé des relations agricoles au
Crédit Agricole pour les placements,
il devait nous donner une idée sur
la façon de gérer notre future retraite et cela sur fond de crise financière que tout le monde connaît.
Heureusement, le Crédit Agricole
n’est pas passé par ce tourbillon qui
s’est installé sur l’Europe.
Nous pouvons choisir comment
vivre notre retraite. Des voyages,
des activités sociales diverses ? Ou
aussi continuer à venir travailler
dans la ferme ? Cela influencera
autant les décisions à prendre que
la façon de gérer notre argent. En
effet, aurons-nous besoin de notre
argent régulièrement ou pouvonsnous le placer ? Allons-nous investir
dans une maison ou dans des titres
bancaires ?
Doit-on envisager une donation
ou une remise ou bien existe-t-il de
nouvelles législations ?
Quand nous parlons de reprise
de ferme, il paraît évident que le
volet du repreneur est lourd à mettre en place mais il en est de même
pour le volet du cédant.
Il faut prendre en compte également les autres enfants, faire les
partages et tout cela en trouvant un
équilibre financier, familial avec des
droits civils à respecter.
Nous pourrions dire que chaque
ferme est unique, et qu’un conseil
privé avec votre banquier ou votre
notaire est de toutes façons à envisager bien avant que la reprise ne
soit clôturée.
Si maintenant, nous voulons
placer l’argent que nous avons reçu
Par contre, d’autres facteurs
avaint une influence positive:
l’Amour du métier est toujours
aussi fort, que ce soit les bêtes ou
simplement le fait de transmettre
un patrimoine.
De même que les compétences,
grâce aux formations et au statut
d’enfant d’agriculteur (qui a son
métier dans la peau).
Les Relations sont également
vues positivement : le soutien moral
et les aides concrètes (voisinage,
parents mais aussi syndicat, associations).
Bref, tous ces facteurs pourront
faire l’objet d’une prochaine réunion au niveau de la province.
Pour le moment, on peut tirer
comme conclusion de cette expérience qu’il existe des facteurs internes et externes.
Certains facteurs internes ont été
cités, on peut agir dessus. Il faut y
mettre de l’énergie et s’orienter vers
des aides extérieures si nécessaire
(fiscaliste, ing agro, comptable,…).
Pour d’autres facteurs, il existe
une composante macro, par ex : la
mondialisation. Peut-on agir sur ces
composantes ? pour certaines c’est
impossible.
Aussi, le fait de se tenir informer
et de savoir vers qui se tourner
pour obtenir des réponses est déjà
un incitant positif. N’oubliez pas
que vous n’êtes pas seul même si
chaque ferme est unique, et que la
crise économique est grave, c’est en
étant solidaire que nous arriverons
à maintenir le cap.
Nous avons besoin de tous nos
interlocuteurs pour permettre à le
nouvelle génération de continuer
le travail dignement commencé par
les générations antérieures.
L’UAW en bref...
Concours photos
En 2009, l’UAW fêtera les 40 ans des
mouvements agricoles féminins. A cette
occasion, nous avons décidé d’organiser un grand concours de photographie,
sur le thème:
« Ma femme, ma partenaire dans
l’exploitation »
Nous attendons des photographies
d’agricultrices au travail réalisées par
leur époux.
Un jury sélectionnera les projets les
plus parlants et récompensera leurs
auteurs. Les photos pourront être en
couleur ou en noir et blanc, au choix. Le
format nous importe peu.
Les photos seront exposées dans
nos locaux de Gembloux dans le but
de montrer la place essentielle qu’occupent les femmes dans l’agriculture
wallonne d’aujourd’hui.
Ces photos peuvent nous parvenir
développées, sous enveloppe, pour le
1ier février 2009 à l’adresse d’Anne
Pétré- UAW – 47, chée de Namur à
5030 Gembloux ou en format numérique à l’adresse mail suivante: [email protected] . N’oubliez pas de joindre
vos coordonnées et de donner un titre
à votre photo.
Dialogue agriculteursrestaurateurs
Le jeudi 6 novembre dernier les
agriculteurs et agricultrices de la
province de Liège se sont rendus à
l’ISPC à Herstal (grossiste pour restaurateurs) pour une action de dialogue avec les clients de ce magasin.
Les agriculteurs et agricultrices présents ont pu ainsi discuter autour
d’un petit café et d’une bonne galette maison avec les restaurateurs
et traiteurs venus faire leurs achats.
L’APAQ-W et le chef Michel Servais,
avec lesquels nous collaborions lors
de cette action, ont réalisé une dégustation de Blanc-Bleu Belge, et
distribués des échantillons à cuisiner.
La journée, riche en dialogue fut
très instructive. Elle a notamment
permis de sonder les critères de ces
professionnels dans le choix de leurs
produits et les raisons de ces choix.
L’action a ainsi pu rapprocher deux
professions qui se côtoient peu et a
permis de lancer des ponts pour des
rencontres ultérieures.
Saveurs et terroir
Promouvoir une alimentation
saine, faites de produits locaux et
de saison issus de nos exploitations,
voici l’un des objectif que l’Union
des Agricultrices Wallonnes s’est
fixé. Quoi de mieux pour mettre en
valeur ces produits qu’une bonne
recette de cuisine… Promouvoir une
alimentation saine, faites de produits
locaux et de saison issus de nos exploitations, voici l’un des objectif que
l’Union des Agricultrices Wallonnes
s’est fixé. Quoi de mieux pour mettre
en valeur ces produits qu’une bonne
recette de cuisine… Si vous souhaitez
nous aider à réaliser ce beau projet,
envoyer vos recettes et/ou trucs et
astuces (sans oublier d’y adjoindre
vos coordonnées) à l’Union des
Agricultrices Wallonnes, 47 chaussée
de Namur à 5030 Gembloux ou par
mail à [email protected].
Echo des Provinces
Quel sentiment face à la reprise dans le Luxembourg ?
Agricall a pu nous aider à mettre
des mots sur notre ressenti face à
cet avenir incertain dans l’agriculture Luxembourgeoise.
Après réflexion, 8 facteurs ont
été mis en évidence :
Certains de ces facteurs ont une
influence très négative sur la vie
de tous les jours dans nos fermes:
les Finances avec un manque de
confiance dans les banques ou encore l’Avenir incertain et le manque
de repreneur.
D’autres facteurs stressants ont
été approchés: L’organisation du
travail, cela allait de la diversification nécessaire et difficile à mettre
au point avec les permis, au temps
de travail toujours plus long, à la
nécessité d’avoir un second salaire
pour tenir le coup, au fait que la
transmission est difficile car il faut
pendant un certain temps nourrir
deux familles.
Mais aussi La Santé de l’exploitation et de l’agriculteur, la taille de la
ferme et le stress étaient les principaux freins, par contre la diversification qui permet d’amortir les chutes
de prix de certaines spéculations
était aidant.
Pour l’Administratif, cela allait des
normes, AIDA (trop complexe) , aux
divers contrôles et temps passé aux
dossiers sans avoir droit à l’erreur.
En bref
de la vente de la ferme, il y a deux
questions à se poser : Qu’est ce que
je veux faire avec ? Combien de
temps je peux m’en passer ?
Salon de l’Alimentation..
nous y étions.
Lors de quatre séances de démonstration de
cuisine, les agricultrices de l’UAW ont pu promouvoir les produits wallons en proposant des recettes
de terroir auprès d’un public de 150 personnes attentives et curieuses de la provenance des produits
utilisés.
Ces recettes simples et rapides seront prochainement édités dans nos pages. Vous pourrez ainsi
refaire pour le plaisir des papilles familiales des
recettes à base de fromage de chèvre telle que
les petites pommes de terre farcies au fromage de
chèvre accompagnées de dés de veau à la sauce
au chèvre et poivre vert ou encore le poulet aux
prunes et mirabelles et comme dessert le Riz au
lait façon grand-mère. Mais vous pourrez également apprécier le macres rôti et caramélisé au
miel d’acacia et épices ou encore la spécialité des
Ardennes: « Le Matoufé ». Encore un grand merci
à toutes les agricultrices qui nous ont donné un
peu de leur précieux temps !
+[„Z\dYi\)''/ *
L’Union des Agricultrices du Brabant Wallon vous invite à
son traditionnel goûter de Noël
le jeudi
18 décembre 2008 à 13h15’
salle Jules Collette, 16, rue des combattants à 1301 BIERGES (WAVRE)
avec la participation exceptionnelle de Pie Tshibanda Humoriste renommé qui présentera son spectacle
«UN FOU NOIR AU PAYS DES BLANCS»
Une production de la Charge du Rhinocéros asbl
Bienvenue à toutes et tous, au plaisir de vous retrouver
pour cet après-midi exceptionnel !
Participation au goûter de Noël : 10 eur (animations,
1 boisson de Noël, tartes/café, 1 cadeau et votre participation
à l’action de solidarité de Noël). Merci de confirmer votre participation
avant le 11 décembre 2008
Union des Agricultrices Wallonnes, auprès
de votre permanente, Brigitte HUET
tél : 081 / 60 00 60 - fax : 081 / 60 04 46 ou par courrier à l’UAW,
47, chée de Namur 5030 à GEMBLOUX.
Envie de parler ? Besoin d’aide ?
Nous sommes à vos côtés
et vous proposons gratuitementt :
š une écoute bienveillante pour
rompre l’isolement
šdes avis et accompagnements
de la profession
šdes visites de soutien
contact :
Un
Union
des Agricultrices Wallonnes
Brigitte HUET : 081 60 00 60
Anne-Marie TASIAUX : 085 41 11 12
U.A.W. Chaussée de Namur 47
5030 GEMBLOUX Tél. : 081 60 00 60 Fax : 081 60 04 46
www.fwa.be
Agenda décembre 2008
Avec le soutien du Ministère de l’Agriculture, la Ruralité, l’Environnement et du Tourisme, des Provinces de Liège
JEUDI 4 DECEMBRE 2008
UAW
NAMUR
NORD
GEMBLOUX FOSSES
19h SART ST LAURENT, salle paroissiale. Travail et discussion autour
des produits de terroir en cuisine.
Réservation chez B Debilde 071 71 10
08.
MARDI 9 DECEMBRE 2008
UAW LIBRAMONT
13h à PETITVOIR NEUFCHÂTEAU
chez O Annet, 27 chée des barrières.
Deuxième partie de l’atelier d’expression, création d’un champignon inscription. O Annet 061 278131 PAF 5
euros.
UAW MOUSCRON CELLES
PECQ ESTAIMPUIS MONT DE
L’ENCLUS
20h à DOTTIGNIES ferme des jeunes; préparation d’un milieu de table
pour Noël, prévoir PAF et prendre un
sécateur. Inscription pour le 4/12 chez
C Liagre 056 48 83 74.
JEUDI 11 DECEMBRE 2008
UAW EGHEZEE
19h30 à LEUZE salle « Esderel »
à côté du « Match ». Art floral : décoration de Noël – apportez matériel
de base + mousse + feuille de laurier + boule de Noël (3cm diamètre).
+
+[„Z\dYi\)''/
Inscription obligatoire M A Monjoie 081
56 95 32, C Bouvier 081 85 52 97.
UAW BOUSSU DOUR
19h30 à THULIN ! Changement de
salle « la citadelle », rue Léon Mahieu,
33. Cours de cuisine PAF 8 euros Memb
et 10 euros Non Memb.
UAW HERVE AUBEL
13h30 HERVE espace trois fontaines, place Albert 1er : « maquillage
personnalisé » par Laurence Drèze,
Esthéticienne. PAF 5euros
UAW BASTOGNE
20h STE ODE chez Monique Pierlot :
cours de cuisine, le terroir pour les fêtes
pourquoi par Marc Koeune (2è partie).
SAMEDI 13 DECEMBRE 2008
UAW SOIGNIES BRAINE LE
COMTE
à VALKENBURG (Pays-Bas) escapade au marché de Noël : départ 8h15
Horrues (Délépine), 8h25 Soignies
(Escale), 8h35 Braine (parking Match)
PAF 35euro/Memb – 40euro/Non
Memb à verser sur le cpte 1030120593-90 et indiquer nbre de places
et les noms. Inscription A Desprets pour
le 30/11 067 55 37 63.!!!! Inscrivezvous, maintenant, pour le théatre
à Tubize « Soi Belge et tais-toi » le
13 février 09. PAF 30euros à payer
103-0120593-90 avec le nombre
de place et les noms et tél M L Siraux
067333369
UAW + FWA
SENEFFE
FONTAINE L’EVÊQUE
19h30 à THINES (Nivelles)
Commanderie Vaillampont, 10, av
Vaillampont. Souper annuel de Saint
Eloi. PAF 45euro (avec boissons) et
5euro de réduction si paiement avant
le 6/12 sur le cpte 103-1018014-67.
Inscription bureau Tegias 067 21 61
01 ou Martine Lefevre 064 54 19 97
(après 20h).
LUNDI 15 DECEMBRE 2008
UAW BASTOGNE
20h Art Floral chez Jany Kaiser.
Inscription obligatoire pour le 11/12
chez Monique 061 68 83 62 prendre le
plat en verre rectangulaire de 33/10cm
déjà utilisé pour ce cours.
MARDI 16 DECEMBRE 2008
UAW FLEURUS
19h30 LIBERCHIES maison de village, promotion des produits de terroir en
cuisine et verre de fin d’année prévoir
1 assiette, couverts. Inscription obligatoire chez Ingrid Kairet 071 35 11 64
et du Luxembourg
et CERA
UAW LA ROCHE
19h45 LA ROCHE (piscine) bricolage, réalisation d’un croisillon de Noël
en bronze, réservation chez Ch Collard
084 43 30 44.
UAW DINANT BEAURAING
10h à FALAËN, chez Martine Pierard,
38 rue de Chession. Prendre son piquenique. Décoration de table. Inscription
avant le 12/12 chez S Willem 082 22 22
88 et M Pochet 082 71 10 71.
UAW MALMEDY
19h30 à BAUGNEZ au gîte de
J Gonay, route du monument 21.
Cuisinez les légumes oubliés. Réservez
avant le 9/12 chez Ch Renard 080 67
82 99.
JEUDI 18 DECEMBRE 2008
UAW ATH LESSINES CHIEVRES
FLOBECQ ELLEZELLES
13h à OSTICHES, salle du blanc
moulin montage spécial fêtes : sapin
de Noël. Apporter 15 pommes de
pin, 1 pince coupante, des ciseaux, et
décoration de Noël. Inscriptions avant
le 08/12 chez Carine 068 64 50 42 ou
Brigitte 068 64 50 38.
UAW PROVINCE DU BRABANT
WALLON
GOÛTER DE NOËL (voir encadré).
UAW FLEURUS
à Bruxelles excursions «Marché de
Noêl et exposition crèches». Inscr. chez
I. Kairet 071 351 164
UAW PERUWELZ
13h30 BAUGNIES, ancienne école
communale près de l’église – art floral
pour les fêtes; apportez un sécateur et
matériel de bricolage.
VENDREDI 19 DECEMBRE 2008
UAW LENS ENGHIEN SILLY
19h à LOMBISE, foyer lombisois, 5, av
de l’Yser. Décoration de fêtes: 1 chandelier. Apportez 1 sécateur, verdures,
fleurs du jardin (blanc, rose, pourpre)
1 sac poubelle. Inscription obligatoire
pour le 15/12 : Greta 0474 48 83 38 ou
Magda 068 45 41 84 PAF 25euro/Mem
et 28euro/non M.
LUNDI 22 DECEMBRE 2008
20h à SOUVRET chez Anna de
Padt, 21, rue de la brasserie. Art floral,
montage de Noël, inscription chez
Marie-Christine Detroz 067 87 71 60
(co-voiturage).
Prochaine date de
parution le 8 janvier 09
Vos articles et dates
agenda pour le 24 décembre au plus tard
D8I:?yJ
La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne
de droite indique, entre parenthèses, les cotations du
marché précédent. A défaut d’indication contraire, les
prix s’entendent hors TVA.
J
8E;<IC<:?K$>IFJ
2/12/2008
Apports: 411
euros/kg sur pied
Taureaux: cdp <24m & 650kg :
2,88-2,97 (2,83-2,97)
cdp >24m & 650kg:
2,68-2,73 (2,68-2,73)
assimilés:
2,38-2,58 (2,38-2,58)
bonne conformation:
2,08-2,28 (2,08-2,28)
60 %:
1,78-1,98 (1,78-1,98)
55 %:
1,64-1,69 (1,59-1,69)
holsteiner
1,34-1,54 (1,34-1,49)
Vaches: culs-de-poulain
2,58-2,73 (2,58-2,73)
assimilées:
2,28-2,43 (2,28-2,43)
bonne conformation:
1,74-2,13 (1,74-2,13)
55 %:
1,39-1,69 (1,29-1,69)
50 %:
1,19-1,29 (1,14-1,24)
fabrication:
0,89 -1,09 (0,89-0,99)
Génisses: culs-de-poulain 2,53-2,83 (2,53-2,83)
assimilées
2,28-2,38 (2,28-2,38)
bonne conformation:
1,64-2,13 (1,64-2,13)
ordinaires:
1,39-1,54 (1,39-1,54)
Par rapport au marché précédent, on a enregistré 113
têtes de bétail en plus.
L'offre plus grande de cette semaine est rapidement
vendue à des prix à peine modifiés.
98KK@:<
:@E<P
28/11/2008
Nombre d’animaux exposés: 3.423. Bétail maigre et de
boucherie: 3.259; 143 veaux, 21 chevaux. Prix du bétail
bovin hors T.V.A. et frais de marché inclus.
a) Bétail maigre: euro/pièce:
I. Veaux:
PN:
0-70
(0-70)
PR:
25-100
(25-100)
BBB ordinaire:
125-350
(125-350)
C.d.p. mâle:
550-700
(550-750)
C.d.p. femelle:
450-625
(450-650)
II. Génisses:
180-250kg: PN/PR:
200-300
(200-300)
BBB culard:
540-740
(540-740)
250-400kg: PN/PR:
350-450
(350-450)
BBB culard:
850-1100 (850-1100)
26/11/2008
Nombre: 184
Prix à la pièce
Vaches ordinaires:
250-600
(250-600)
Vaches p.n. et p.r.:
150-500
(150-500)
Vaches bonne conform:
350-750
(350-750)
Vaches cdp:
1000-1100 (1000-1100)
Vaches cdp âgées:
850-1050 (850-1050)
Vaches de qualité moyenne: 600-850
(600-850)
Vaches bonne qualité:
750-900
(750-900)
Génisses 10-18 mois:
750-900
(750-900)
Génisses cdp:
600-850
(600-850)
Taureaux 6-10 mois:
350-500
(350-500)
Taureaux cdp:
800-1050 (800-1050)
Têteurs cdp:
700-950
(700-950)
Veaux rouges:
70-80
(70-80)
Veaux noirs-blancs:
25-60
(25-60)
Veaux blancs-bleus:
150-240
(150-240)
Veaux culs de poulain:
400-550
(400-550)
Prix au kg
Taureaux 5 à 10 ans:
1,75-2,00 (1,75-2,00)
Commerce fort calme et forte baisse dans tous les
veaux. Prochain marché le 3/12/08.
98JKF>E<
26/11/2008
Nombre: 289
Prix au kg:
1,00-1,50 (1,00-1,50)
1,60-2,10 (1,60-2,10)
Prix pièce
Vaches ordinaires:
275-525
(275-550)
Vaches bonne confor:
500-800
(550-800)
Vaches cdp:
1000-1350 (1000-1350)
Vaches cdp âgées:
750-850
(750-850)
Génisses ordinaires:
300-600
(325-600)
Génisses cdp:
600-800
(600-825)
Taureaux cdp :
650-950
(650-950)
Taureaux ord. 6 à 10 mois: 275-500
(275-500)
Jeunes veaux:
25-200
(25-200)
Difficile. Prochain marché le 3/12/08.
Taureaux ordinaires:
Taureaux cdp âgés:
JK$KIFE;
27/11/2008
Bovins: 131; veaux: 31.
Euro/kg:
Génisses 56%:
1,20-1,41
58-60%:
1,46-2,11
63-65%:
2,14-2,59
cdp 70%:
2,96
Taureaux 55%:
0,98-1,23
60%:
1,23-1,58
62%:
1,77-2,03
assim. :
2,23-2,43
cdp 67%:
2,33-2,83
cdp extra hors marché :
3,00
Vaches: 50%
0,81-0,96
55%
1,31-1,41
60%:
1,61-1,86
Bonne conformation:
2,08-2,68
fabrication:
0,45-0,60
(1,20-1,41)
(1,46-2,11)
(2,14-2,59)
(2,96)
(0,98-1,23)
(1,23-1,58)
(1,77-2,03)
(2,23-2,43)
(2,33-2,83)
(3,00)
(0,81-0,96)
(1,31-1,41)
(1,61-1,86)
(2,08-2,68)
(0,45-0,60)
:8I:8JJ<J;<>IFJ9FM@EJ
Sem. du 24 au 30 novembre 08
(Entre parenthèses,
les cotations de la semaine précédente)
Taureaux de moins de deux ans
A - S2
462,53
(462,53)
A - S3
429,63
(429,63)
A - E2
411,68
(411,68)
A - E3
375,85
(375,85)
A - U2
335,16
(335,16)
A - U3
311,91
(311,91)
A - R2
297,91
(297,91)
A - R3
268,43
(268,43)
A - O2
255,09
(255,09)
A - O3
238,65
(238,65)
Vaches
D - R2
279,47
(279,47)
D - R3
272,70
(272,70)
D - O2
241,14
(241,14)
D - O3
234,89
(234,89)
D - O4
228,90
(228,90)
D - P2
200,96
(200,96)
D - P3
188,18
(188,18)
Génisses
E - U2
347,50
(347,50)
E - U3
328,00
(328,00)
E - R2
282,50
(282,50)
E - R3
267,00
(267,00)
GIF;L@KJ C8@K@<IJ
Cotations de la Confédération Belge
de l’Industrie Laitière
26/11/2008
Prix euro/kg
Beurre
2,43
(2,43)
Poudre de lait écrémé
1,81
(1,86)
Poudre l. écrémé alim anim
1,57
(1,60)
Poudre de lait entier
2,22
(2,23)
Gouda
3,10
(3,10)
Cheddar
3,01
(3,01)
GFI:J
XL + 73 g
L + 63-73 g
M + 53-63 g
S - 53 g
Prix négoce
7,67 (7,57)
6,24 (6,08)
5,67 (5,44)
4,12 (4,02)
7,77 (7,64)
6,31 (6,13)
5,68 (5,41)
3,92 (3,79)
M<><K
9ILO<CC<J
Sem. du 20 au 26 novembre 08
(Prix livr. usine E/tonne )
Blé panifiable
143,00
(145,00)
Blé fourrager
137,00
(138,00)
Escourgeon fourr
122,00
(126,00)
JPE8>I8
2/12/08
(Prix culture en E/tonne )
Prix des céréales payés aux producteurs, communiqués
par l’association des négociants en céréales. Prix purement indicatifs susceptibles d’importantes variations
régionales.
Ces prix sont adaptés plusieurs fois par semaine.
Blé fourrager
107,00
(108,50)
Blé meunier (1)
109,00
(111,50)
Escourgeon fourr
91,50
(93,00)
Maïs indigène
106,00
(109,00)
Maïs humide
53,50
(55,50)
(+/-E/T/% humidité) 3,00
(3,00)
(1) proteïnes: 12 - Zeleny: 35 - Hagberg: 220
D8K@<I<JGI<D@<I<J
8C@D<EK8K@FE9<K8@C
26/11/08
Prix par 1000kg en vrac hors TVA, départ négoce
Pulpes sèches bett. 8mm Fr 170
(173)
Luzerne 18% pellets 6mm Fr 196
(199)
Tourteau Tournesol 28% Arg 157
(153)
Tourteau colza 34% Belg 166
(161)
Tourteau soja 43% Arg
283
(302)
Tourteau soja 44% Holl
287
(298)
Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés
318
(346)
Tourteau soja 49% Belg
293
(318)
Tourteau lin 40% Belg
328
(332)
Glutenfeed maïs 22% EU 184
(184)
Manioc Thaïlande
(-)
Mélasse cannes
179
(179)
:?@:8>F
M@8E;<GFI:@E<
Sem. du 17 au 23 novembre 08
(Entre parenthèses,
les cotations de la semaine précédente)
Porcelets
(euro/pce + 8E supp inclus)
23kg:
40,00
(39,00)
Porcelets 23kg + supp 12E
45,00
(-)
Porcs carcasses 100kg
138,20
(136,00)
8M @ :LCK
LI <
29/11/2008
Nombre de bovidés: 544
CATEGORIE BOUCHERIE:
• euro/kg :
Taureaux:
C.d.p.:
2,60-3,20 (2,60-3,20)
assimilés:
2,40-2,70 (2,40-2,70)
bonne conformation
1,60-2,10 (1,60-2,10)
60%:
1,50-1,85 (1,50-1,85)
poids lourds:
1,20-1,40 (1,20-1,40)
• euro/tête:
Vaches:
Bonne conformation
800-950
(800-950)
1ère catégorie 45%:
550-700
(550-700)
2ème catégorie 40%:
375-475
(375-475)
de fabrication:
150-250
(150-250)
Génisses (euro/kg):
c.d.p.:
2,50-2,85 (2,50-2,85)
Assimilées.:
2,20-2,50 (2,20-2,50)
Bonne conformation:
700-850
(700-850)
Ordinaires:
325-550
(325-550)
Stationnaire.
CATEGORIE COMMERCE:
• euro/Tête:
Vaches c.d.p. -5 ans:
1250-1700 (1250-1700)
Vaches c.d.p. +5 ans:
1050-1250 (1050-1250)
Bonnes vaches ordinaires: 600-900
(600-900)
Vaches ordinaires:
350-500
(350-500)
Génisses 2 ans:
nc
(-)
Génisses 1 an:
nc
(-)
Veaux cdp:
400-700
(400-700)
Veaux blancs bleus:
250-350
(250-350)
Veaux Bleus Holstein:
75-150
(75-150)
Veaux rouges:
40-75
(40-75)
Veaux noirs bonne qualité: 30-55
(30-55)
Veaux noirs moyenne qual.: invendables (invendables)
Stationnaire. Veaux: calme.
E<L=:?8K<8L
Euro/pièce:
Veaux cdp extra:
700-750
(520-570)
Veaux cdp 2e cat.:
500-600
(370-470)
BBB extra:
350-400
(245-295)
BBB 2e cat.:
250-300
(135-195)
Rouges extra:
80-130
(15-55)
rouges 2e cat.:
40-80
(10-15)
noirs extra:
80-120
(15-55)
noir 2e cat.:
40-80
(10-15)
BBB génisses:
150-300
(135-235)
veaux génisses:
25-100
(10-15)
Bovins: marché calme. Veaux: calme. Prochain marché:
4/12/08
8LO
;<
9FM@
400-500kg: PN/PR:
390-590
(390-590)
1090-1390 (1090-1.390)
BBB culard:
pleines:
1200-1800 (1200-1800)
III. Vaches:
Moyennes, PN/PR:
400-800
(400-800)
mixtes cat.I:
700-950
(700-950)
mixtes cat. II:
900-1100 (900-1100)
C.d.p. 2 à 4 ans:
1100-2050 (1100-2050)
âgées:
950-1800 (950-1800)
IV. Taureaux:
Ordin.: 180-250kg:
250-480
(250-480)
250-320kg:
480-540
(480-540)
320-370kg:
515-615
(515-615)
370kg et +:
600-740
(600-740)
Assimil.: 180-250kg:
640-765
(640-765)
250-320kg:
790-915
(790-915)
320-370kg:
940-1015 (940-1015)
370kg et +:
990-1165 (990-1165)
C.d.p.: 180-250kg:
800-950
(800-950)
250-320kg:
950-1150 (950-1150)
1125-1225 (1125-1225)
320-370kg:
370kg et +:
1225-1325 (1225-1325)
b) Bétail de boucherie (prix/kg)
I. Vaches:
Fabrication:
0,95-1,15 (0,95-1,15)
50%:
1,25-1,45 (1,25-1,45)
55%:
1,45-1,65 (1,45-1,65)
II. Taureaux:
55%:
1,65-1,85 (1,65-1,85)
60%:
1,90-2,10 (1,90-2,10)
assimilés
2,60-2,80 (2,60-2,80)
C.d.p.
2,80-3,25 (2,80-3,25)
Baisse veaux cdp, stationnaire pour le reste. Prochain
marché le 5/12/08.
;<@EQ<$MFC8@CC<J
26/11/2008
• Poules à bouillir:
extra lourdes (+ 3,5 kg): 0,51-0,53
brunes (1,8 à 2,0 kg):
0,23-0,25
blanches (1,6 à 1,8 kg):
0,19-0,21
• Poulets à rôtir (1,8 kg): 0,75-0,77
• Lapins:
2,30
(0,47-0,49)
(0,23-0,25)
(0,19-0,21)
(0,73-0,75)
(2,30)
BIL@J?FLK<D$F<L=J
2/12/2008
Prix euro/100 pces
Prix producteurs
blancs
Cat. 0: + 75 g
7,17 (7,07)
Cat. 1: 70 à 75
5,93 (5,83)
Cat. 2: 65 à 70
5,74 (5,58)
Cat. 3: 60 à 65
5,52 (5,31)
Cat. 4: 55 à 60
5,17 (4,94)
Cat. 5: 50 à 55
4,51 (4,35)
Cat. 6: 45 à 50
3,82 (3,72)
Cat. 7: - 45
2,70 (2,60)
bruns
7,27 (7,14)
6,03 (5,90)
5,81 (5,63)
5,58 (5,32)
5,18 (4,91)
4,41 (4,20)
3,62 (3,49)
2,50 (2,37)
25/11/2008
1ère col.: en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau = 27,2 kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907
kg pour le tourteau de soja; 2ème col.: en E/Tonne;
3ème col.: prix de la semaine précédente en euros.
Froment
534,00 152,98
(153,65)
Maïs
354,00 108,72
(118,32)
Tourteau Soja
225,92 262,50
(267,40)
@EK<IE8K@FE8C$FCy8>@E<LO
20/11/2008
Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les
marchés mondiaux, en $/tonne.
Soja
Graines U.S. Cif. Rotterdam:
376
(374)
Graines Arg. Cif. Rotterdam:
381
(379)
Pellets 44,46% Arg. Cif. Rotterd.: 318
(326)
Pellets 48% Brésil Cif.Rotterdam: 328
(333)
Colza
Graines Europe “00” Cif. Hamb: 387
(403)
Tourteaux 34% Fob Hambourg: 157
(149)
Lin
Graines Canada Cif. Europe:
510
(530)
Tourteaux 36% Allemagne:
320
(315)
GFDD<J;<K<II<
25/11/2008
euro/100kg HTVA
Bintje: Marché toujours très calme, avec peu d’offre et
peu de demande. On note de meilleures possibilités
d’export vers la Russie, et l’envoi de quelques camions
vers l’Europe du Sud.
L’industrie achète des quantités très limitées en complément de ses contrats et de ses achats antérieurs.
Les prix varient entre 7,10 et 8,00 E /100 kg pour le 35
mm +, fritable, livraison immédiate, en fonction du calibre et de la longueur moyenne des tubercules.
+[„Z\dYi\)''/
(,
QN@J:?<E<LG<ELE;J8EBKM@K?
Die Eifel Ardennen Expo stand ganz im Zeichen des Pferdes
Die Eifel Ardennen Expo öffnete zum
vierten Mal in der Warche Stadt Malmedy
ihre Pforten. In der Zeit vom 21. bis zum
23. November 2008 nutzten es zirka 12.000
Besucher, die Messe zu besichtigen.
Um dies zu erreichen, seien
im besonderen Maße umfassende Recherchen nötig.
:fejkXeq\ >Y\c$Q\_i k ?Xej D•cc\ej
Der Bürgermeister der Stadt
Malmedy, André Denis, sagte,
dass es ihm eine große Ehre
sei, im Rahmen dieser Messe
die Gäste und Besucher im
Malmedy begrüßen zu dürfen. Diese Veranstaltung steht
für die guten Beziehungen
der Landwirte in und zu den
Kantonen. Er dankte den
Organisatoren für den sehr
guten Dialog mit der Stadt und
man freue sich die Expo hier zu
haben. Gleichzeitig bedankte
er sich bei den vielen ehrenamtlichen Helfern ohne die
diese Veranstaltung in dieser
Form nicht möglich gewesen
wäre.
Der Minister Bernd
Gentges bedankte sich für
die Einladung. Er sei glücklich
heute hier sein zu dürfen. Die
Eifel Ardennen Expo ist ein
Fenster der Leistungsfähigkeit.
Gentges sprach über die gute
und vielseitige Ernährung,
die unserer Bevölkerung
heutzutage zur Verfügung
stehe. Darauf könnten wir in
der heutigen Zeit Dank der
guten und funktionierenden
Landwirtschaft zurückgreifen.
Als Rückblende benannte er
die, durch Missernten geprägt
Armut der Bevölkerung gegen
Ende des 19. Jahrhunderts; in
dieser Zeit seien der Zugang
zu Lebensmitteln und eine
gute Ernährung breiter
Bevölkerungsschichten nicht
selbstverständlich gewesen.
Er sprach die gemeinsame
Agrarpolitik an, den in 2003
beschlossenen Ausstieg aus
den Milchquoten der in 2015
umgesetzt werden soll und die
vor kurzem dazu stattgefundene „Halbzeitbewertung“
seitens der EU. Er sei überzeugt, dass Fairplay auch in
der Landwirtschaft zwingend
notwendig sei. Die Ziele einer gesunden Agrarpolitik
dürften trotz der Turbulenzen
unserer Zeit nicht vergessen
werden. Er bemerkte, dass
es besonders wichtig sei, die
Eigenständigkeit der Landwirte
zu erhalten, dass dadurch die
Landflucht verhindert würde
und die Pflege der Landschaft
weiter sichergestellt bliebe.
Jetzt sei es besonders wichtig,
mutig und zuversichtlich zu
agieren, denn es müssen alle
an einem Strang ziehen, um
die Schwierigkeiten zu überwinden.
Seit diesem Jahr steht
erstmals Karl von Frühbuss
als Präsident an der Spitze
und lenkt die Aktivitäten
der Organisation der
Regionalvereinigungen
der Rindviehzüchter und
–halter Büllingen, St. Vith und
Malmedy. Wie auch in den
Jahren zuvor ist diese Expo
mit viel Liebe zum Detaille
vorbereitet und gestaltet
worden und dies nicht zuletzt
Dank der vielen ehrenamtlichen Helfer.
Während des ersten
Messetages hatten die
Schulen der umliegenden
Gegend und sogar Klassen
aus Kelmis Gelegenheit, der
Messe einen Besuch abzustatten. An diesem Tag genossen die Kids das weitläufige
Gelände auf dem es vieles
zu sehen und zu erleben gab.
Dieser Tag wurde vorrangig den Schulen vorbehalten. Zirka 700 Schulkinder
wurden in Gruppen von
den Mitarbeitern über das
Messegelände geführt.
Allen Kindern wurden fundierte Erklärungen, beispielsweise über die Abläufe auf
den Höfen und allgemein
Wissenswertes über die
Landwirtschaft, gegeben.
Eröffnung
Gleichzeitig fand die offizielle Eröffnung der Messe statt.
Karl von Frühbuss begrüßte
alle anwesenden Gäste und
Besucher und sprach über die
Messe als Schaufenster der
Region. Für die Expo wurde
diesjährig unter dem Motto
– Die Landwirtschaft in unse(-
ren Händen – geworben.
Karl von Frühbuss sagte
angesichts der Situation
unter den Aspekten der
Weltwirtschaftskrise, dem
bevorstehenden Wegfall
der Milchquoten und dem
Ringen um alternative
Energien, sei es an der Zeit
die Zukunftsperspektiven
der Landwirtschaft auf den
Prüfstand zu stellen und
zum Beispiel die regionale
Produktionsvielfalt zu erhöhen
sowie auf größere Akzeptanz
regionaler Produkte bei den
Verbrauchern zu setzten.
Durch das Umsetzen innovativer Produktionstechniken
ist es den Betrieben möglich
zu wachsen. Auf der anderen Seite sprach er offen die
zu erwartenden Qualitätsund Ertragseinbussen
an, die auf Grund der
Anwendungsvorschriften
im Pflanzenschutz entstehen werden. Er sprach sich
gegen Verschärfungen bei
Milchüberlieferungen für die
Landwirten aus. Die Landwirte
werden durch die geänderten
Anforderungen besonders
in die Pflicht genommen,
und hier ist mehr denn je
unternehmerisches Denken
und Handeln gefordert. Zur
Bankenkrise sagt er, dass die
skandalösen Machenschaften
der Banken unverantwortlich
seien und dass er sich um die
Landwirtschaft sorge. Um die
Milch werden derzeit sehr
emotionale Diskussionen
geführt, er wünsche sich
allerdings sachlichere
Auseinandersetzungen zum
Thema, damit die Landwirte
ihre Ziele festlegen können.
+[„Z\dYi\)''/
Fenster des
Leistungsfähigkeit
Stellvertreter der
Ministerin
Stellvertretend für die
Ministerin Sabine Laruelle
sprach Yves Jeholet über
das, was die Ministerin zur
Verbesserung der Situation
aller Selbständigen unseres
Landes bisher erreicht habe,
nämlich über das verbesserte
Sozialstatut. Weiter sprach
er über marktregulierende
Mechanismen und darüber,
dass die Landwirte, trotz
der angespannten Situation
doch optimistisch bleiben
sollten. Verbesserte Hilfen
für die Ernährungskette, die
von der Ministerin erreicht
wurden, sprach er ebenso
an. René Thissen kam als
Vertreter des Ministers Benoît
Lutgen. Er sprach über die
Problematik der Landwirte in
der wallonischen Region. Der
Minister möchte, dass sich
die Landwirtschaft weiter entwickeln könne. Die sehr gute
Qualität, die wir hier haben, sei
für die Region bezeichnend.
Die qualitativ hochwertigen
Landprodukte seien gleichfalls
eine Chance für die Landwirte
aus dieser Gegend. Die Eifel
Ardennen Expo habe sich
bereits einen festen Platz in
der ostbelgischen Region gesichert, hier werde vom internationalen Austausch rege gebrauch gemacht. Die Zukunft
der Landwirtschaft hängt nicht
unwesentlich von der Vielfalt
in der Landwirtschaft ab. Da
in diesem Jahr das Pferd im
Mittelpunkt des Geschehens
als Themenschwerpunkt steht,
knüpfte er an die bereits bestehenden Möglichkeiten des
Wanderreitens, welches die
Region auch touristisch fördert, an. Abschließend sagte
er, dass ein Wandel in der
Landwirtschaft stattfände.
Unsere Aufgabe sei es diesen
zu erkennen, die Kräfte für
den Erhalt der Landwirtschaft
zu bündeln, denn nur so werde es uns möglich sein, die
Landwirtschaft zu erhalten.
Marc Vanbergen kam als
Vertreter von Julian Mestrez.
Auch er sprach über die besonderen Herausforderungen
der Landwirtschaft in ihrer
Komplexität. Weiter ging
er besonders auf die von
Agricharme durchgeführten
Tage des offenen Bauernhofes
für Schulkinder ein. Hierbei
werden die Schüler in
Ateliers hautnah und umfassend über die Abläufe auf
dem Bauernhof informiert.
Einerseits erfahren sie so vieles
über das Berufsbild Landwirt
und andererseits erhalten die
Kinder an diesen Tagen eine
warme Malzeit, die ausschließlich aus saisonalen und
regionalen Produkten hergestellt wurde. Das Ziel hierbei ist
es die junge Generation für
die Landwirtschaft und deren
Produkte zu interessieren und
für eine gesunde Ernährung zu
sensibilisieren.
Messegeschehen
Begonnen hatte alles mit
einer Wanderausstellung
im 20. Jahrhundert. Hierzu
traf sich die landwirtschaftliche Bevölkerung dieser
Gegend. Mit dem weiteren Ausbau der Messe trug
man der gesellschaftlichen
Entwicklung Rechnung indem man der Eifel Ardennen
Expo einen festen Standort in
Malmedy zuordnete. Durch
die Verlagerung auf das heutige Messegelände hat man
einen festen Austragungsort,
einen Ort der Kommunikation
zwischen Verbrauchern und
Produzenten, geschaffen.
Dieser Ort spiegelt gleichfalls
die dynamische Entwicklung
dieser Region wieder.
Landwirtschaft, Handel,
Handwerk, Dienstleistung
und Tourismus nutzten diese
Plattform, um sich zu präsentieren. Mit den 126 Ausstellern
war das Messegelände komplett ausgebucht.
Viehwettbewerbe: Am
Freitag Abend wurden unter, die Nacht der Holstein,
die Viehwettbewerbe bis
um 23.00 Uhr ausgetragen.
Eines der Highlights war
unumstritten das begehbare
Pferd. Galt das Pferd in früheren Jahrhunderten mehr als
Nutztier und wurde regelrecht
verschlissen, man denke hierbei nur an die Postpferde oder
die Kohlenpferde, so werden
die Pferde in der heutigen Zeit
größtenteils mit verdienten
Respekt von ihren Haltern behandelt. Wenn der Mensch eines erkannt hat, so ist es dies,
dass er sich das Pferd zum
Freund gemacht hat. So hat
der deutsche Tierarzt Dr. Ende
das Exponat „das begehbare
Pferd“ entwickelt, welches nun
erstmals in Belgien zu bestaunen war. Das begehbare Pferd
ist eine weltweit einmalige
Lehrschau, deren Anliegen es
ist, Sachkenntnis weiter zu geben. An allen Messetagen bildeten sich lange Schlangen vor
dem Eintritt in das überdimensionalen Innere des Pferdes.
Auf Flachbildschirmen konnte
man in Filmsequenzen eine arbeitende Lunge und ein schlagendes Herz sehen. Über eine
eingespielte Geräuschkulisse
im Inneren wurde einem das
Gefühl vermittelt, tatsächlich
funktionierende Organe vor
sich zu haben.
Westernreiten, usw.
Bei dieser Sportart konnte
man die Pferde in Aktion im
Parcours bestaunen. In den
verschiedenen Disziplinen
d e s W e s t e r n r e i t e n s,
wie Westernpleasure,
Horsemanship, Reining und
Trail, stellten sich Pferd und
Reiter dem Publikum.
Dressurreiten: Bei dieser
Reitart geht es vorrangig um
die Harmonie zwischen Reiter
und Pferd. Auf Bahnfiguren
werden beispielsweise die
Grundgangarten wie Schritt,
Galopp und Trab vorgeführt.
Diese einzelnen Lektionen sind
QN@J:?<E<LG<ELE;J8EBKM@K?
Ein Mittelwert für Bodenbindung
in Ihrem Briefkasten
Von Euch haben viele sich mit dem
Thema der schwierigen Vorhersage
des Bodenbindungssatzes (B.B.) und
insbesondere den Stickstoff, der von den
Tieren erzeugt wird, an uns gewandt. Der
FWA bat somit seit geraumer Zeit darum,
den Landwirten eine Vorhersage dieser
Stickstoffproduktion mitzuteilen, die der
Wirklichkeit am nächsten kommt, damit
diese ihre Ausbringungsverträge in Ruhe
aufstellen können. In diesem Sinne haben
Sie seitens der Verwaltung ein Schreiben
erhalten, das Sie über den sog. Mittelwert
der Bodenbindung informiert.
Fc`m`\i >„iXi[ le[ ;\e`j ;\mfj
Welche
Informationen
werden Ihnen zugesandt?
Dieses Schreiben enthält
mehrere Informationen:
1) Angaben zum Vieh
Für Rinder hat die
Verwaltung für die beiden
letzten Quartale 2007 und die
beiden ersten Quartale 2008
die mittleren Anwesenheiten
berechnet. Auf der Grundlage
dieser vierteljährlichen
Bestandsverzeichnisse hat
die Verwaltung für die beiden
Bezugszeiträume ebenfalls ein
mittleres Bestandsverzeichnis
berechnet:
- Vom 1.Juli 2007 bis zum
30. Juni 2008
- Vom 1. Januar 2008 bis
zum 30. Juni 2008.
Was Milchkühe betrifft,
so wird ihre Anzahl unter
Zugrundelegung der am 1.
April 2008 gehaltenen Quote,
und für diejenigen, die an
der Milchkontrolle beteiligt
sind, unter Zugrundelegung
der Milchkontrolle des
Kalenderjahres 2007 berechnet.
Für Schweine entspricht
die angegebene Zahl dem
Durchschnitt der 3 letzten Bestandsverzeichnisse
vor dem 30. Juni 2008.
Für Geflügel handelt es sich
Bestandteile einer Kür. Bei den
Vorführungen glänzten Pferde
und Reiter und sie alle wurden
durchaus hohen Ansprüchen
gerecht.
Ein weiteres Schmankerl
der Reitkunst waren die
Darbietungen der Feria
Andalucia. Reiten in ästhetischer Vollendung boten die
Reiter und Reiterinnen mit
ihren Pferden über den gesamten Zeitraum der Messe.
Von den Organisatoren war
es gewünscht, das Pferd in
diesen Jahr in den Mittelpunkt
des Geschehens zu stellen.
Dies war ihnen hervorragend
durch die ständige Präsenz der
Tiere und durch sich ständig
abwechselnde Darbietungen
bei der angegebenen Zahl um
die Anzahl Liegeflächen, die
im Sanitärfonds eingetragen
sind.
2) Angaben zur
Oberfläche
Die Flächen 2007: das
Schreiben gibt Ihnen die
Anbau- und Grünflächen
an, wie sie in Ihrer
Flächenerklärung 2007 angegeben sind. Für die jeweiligen Flächen unterscheidet
man diejenigen, die in anfälliger Zone liegen, und diejenigen außerhalb der anfälligen
Zonen. Die außerhalb der
Wallonischen Region bewirtschafteten Flächen werden
ebenfalls mitgeteilt.
Genau
diese
Flächen 2007 werden
zur Berechnung des
Mittelwertes für die
Bodenbindung herangezogen.
Ihre Fläche 2008: diese
Fläche wird rein informativ angegeben und wird
NICHT zur Berechnung
des Mittelwertes der
Bodenbindung benutzt. Sie
entspricht der Fläche, die Sie
2008 angegeben haben. Sie
dient nicht als Grundlage zur
Berechnung des Mittelwertes
für Bodenbindung, weil sie in
der Tat von der Verwaltung
noch nicht regelmäßig überprüft gewesen ist (Abgleiche,
gelungen.
Regionale Produkte
Getreu dem alten Motto
„Warum in die Ferne schweifen? Sieh, das Gute liegt so
nah.“ sind erfreulicher Weise
viele Händler und Hersteller
von qualitativ hochwertigen
regionalen Produkten zur
Messe mit ihren Waren angereist. Die Produktvielfalt
war so enorm, dass man
nicht alle benennen kann.
Im Schlemmerdorf bot
man beispielsweise feinste
Schokolade und Pralinen,
Schinken, Würste, delikate
Pasteten und vieles mehr
an. Durchweg wurden alle
graphische Flächenkontrollen,
usw.).
3) Der Mittelwert der
Bodenbindung
Die Verwaltung hat
Ihnen für jede der zwei
Bezugszeiträume für
Rinder einen Mittelwert für
Bodenbindung berechnet.
2. Märchen und Lichterfest auf der
Eyneburg Hergenrath
Ein romantischer Weihnachtsmarkt vor der
Filmkulisse der „Kinder von Timpelbach“ mit
Gérard Dépardieu und Carole Bouquet.
Ausbringungsverträge werden nicht
berücksichtigt
Ausbringungsverträge, die
Sie bereits in Zusammenhang
mit dem B.B. 2008 abgeschlossen und der Verwaltung
zugesandt hätten, werden
NICHT zur Berechnung
dieses Mittelwertes für
Bodenbindung berücksichtigt.
Sie müssen dies also eventuell
berücksichtigen. Es sei daran
erinnert, dass ein Vertrag für
das Jahr 2008 als gültig gilt,
wenn er nach 2008 abläuft.
Abweichungen werden nicht berücksichtigt
Gewisse Landwirte haben
in Zusammenhang mit der
Abweichung Massnahmen
ergriffen, sei es in Bezug
auf Ausbringungsnormen
oder Normen für Tiere. Diese
Abweichungen werden bei der
Berechnung der Mittelwerte
für Bodenbindung NICHT
berücksichtigt.
Der Mittelwert für
Bodenbindung ist
rein informativ
Achtung, die im Schreiben
mitgeteilte Bodenbindung
ist rein informativ und hat
nur Folgen auf Ebene der
Cross-compliance-Regelung,
AIDA usw. Sie sind eben nur
dazu bestimmt, Ihnen bei der
Vorhersage Ihres „offiziellen“
Bodenbindungssatzes zu helfen. Dieser wird immer auf die
gleiche Art und Weise berechnet und im Monat April des
nächsten Jahres berechnet.
Waren sehr ansprechend
präsentiert. Dem Anspruch
auf frische Produkte wurde
jeder Hersteller und Händler
gerecht. Und um das ganze
Drumherum abzurunden,
durfte der Stand mit dem
wohlschmeckenden Val-Dieu
Bier natürlich auch nicht fehlen. Dementsprechend gut
war dieser besucht. In jedem
Fall dürfte wohl für jeden
Geschmack etwas dabei
gewesen sein.
Streichelzoo und Co
Für die kleinsten Besucher
hatte man den Streichelzoo
eingerichtet. Ein Stück weiter
konnten nicht nur die Kinder
Küken beim Schlüpfen beo-
Am 13. und 14. Dezember findet auf der Eyneburg – fernab von
Autolärm und dem Getümmel
der Massenveranstaltungen
– ein ganz besonderer
Weihnachtsmarkt statt.
Hunderte von Kerzen erleuchten den Burghof, der von mittelalterlichem Handelsvolk
und Handwerkern erfüllt sein
wird, die den Besuchern gar
außergewöhnliche Waren,
Fertigkeiten und Geschenkideen
präsentieren.
Das gesamte Fest steht im
Zeichen des Lichts und der
Märchen. Katrin Geilenkirchen,
die „Mutter“ der „Wunderbaren
Eyneburger Märchenwelt“,
liest im Haupthaus vor winterlicher Kulisse alte, schon fast
vergessene Geschichten und
die genialen Komödianten von
Max Gaudio sind dabei mit
„Sternenstaub & Märchenwald
- Kinder es ist Weihnachtszeit
- Max Gaudio`s Sterntaler
Geschichten. Auch Petronius
Paternoster hat Erzählungen,
Puppentheater und Märchen
im Gepäck und natürlich darf
keinesfalls die traditionsreichste
Geschichte unserer Zeit fehlen:
die Weihnachtsgeschichte, auf
der Eyneburg dargestellt von
Ingo, dem Diakon, mit seinen
Schafen und Eseln und von
der Firma Mike Roth mit einer
lebenden Krippe inmitten der
weihnachtlich geschmückten
Burglandschaft.
Eine kleine Kunstausstellung
lädt in den Rittersaal der Burg
bachten. So birgt ein jedes
noch so kleine Lebewesen
ein Wunder in sich, was man
immer wieder vom Neuen
bestaunen könnte. Für die
größeren Kids war der Rodeo
Bull-Rider Programm, und
keinesfalls durften auf der
Messe die Landmaschinen
fehlen. Rundum wohl fühlen
konnte man sich durch die
familiäre Atmosphäre in
Malmedy. Wieder hatten
die Organisatoren ein glückliches Händchen dafür,
eine für alle ansprechende
Messe auf die Beine zu stellen. Man darf jetzt schon
gutes Gelingen für die Eifel
Ardennen Expo in zwei
Jahren wünschen.
ein und im Innenhof darf man
sich auf fröhliche Mittelalter
Musik von Dubia Fortuna und
auf die Sprüche und Possen
von Tausendsassa Tamino, dem
Gaukler, freuen.
Harmonie und Besinnlichkeit
stehen im Mittelpunkt der
Veranstaltung und geben
sowohl Kleinen als auch Großen
die Gelegenheit, dem eigentlichen Sinn des Weihnachtsfestes
wieder ein wenig näher zu
rücken. Das Schlagen des
Schmiedehammers, der Geruch
nach Schafswolle und Rauch
und die vielen gewandeten
Mitwirkenden nehmen uns
mit in eine alte Zeit, in der
das Schenken noch nicht
Hauptbestandteil des Festes war,
eine Zeit, in der Glück bedeutete,
genügend Brennholz und einen
schönen Vorrat an getrocknetem
Obst und Rauchfleisch zu haben,
eine Zeit, in der es ein Geschenk
war, den Winter überleben zu
dürfen...
Das Fest der Märchen und der
Lichter findet fast gleichzeitig
mit dem Kinostart des auf der
Eyneburg gedrehten Spielfilms
‘‘Die Kinder von Timpelbach’’
statt. Am 17. Dezember
nämlich läuft der Familien- und
Jugendfilm in belgischen und
französischen Sälen an.
Drei Monate lang war letztes Jahr ein fast 250-köpfiges
Filmteam bis Dezember auf der
Burg zu Gast und das Burgteam
durfte sogar Gérard Depardieu
und Carole Bouquet unter ihnen
begrüßen.
Nach Beendigung der
Dreharbeiten verblieben eine
Anzahl größerer Bauten im
Burghof, die ‘‘Droguerie’’, die
heute eine kleine Burgbäckerei
beherbergt, der Laden des
dicken Metzgers Stettner, nun
Vorbau des Burgcafés oder
der Fahrradladen des Films, in
dem sich jetzt die ‘‘Düfte des
Schlosses’’ befinden.
Das vorab zum Film veröffentlichte Video zeigt die Eyneburg
als einen hinreißenden, verwunschenen und bunten Ort,
voll vom Geschrei, den Späßen
und dem Lachen der Kinder von
Timpelbach.
Vor dieser Kulisse laden
Stände mit duftendem Brot,
warmem Met und heißem
Glühwein zum Verweilen und
zum Träumen ein.
Lassen Sie sich verzaubern von
der wunderschönen Stimmung
dieses Weihnachtsmarktes.
Die Eyneburg .
Emmaburger Weg 26 – 4728
Hergenrath (B)
Tel.: 0032 (0)87 88 17 89,
E-Mail: [email protected]
Wegezoll: Erwachsene
6,50E - Kinder 3,50E,
Gewandete 4,50E, Kinder
unter Schwertmaß (ca.1 m)
haben freien Eintritt
Weitere Informationen
finden Sie unter: www.eyneburg.com
Wettbewerb - Concours
open liégeois
Die Rindviehzüchter und -haltervereinigung
von Montzen organisiert zum 11. Mal ihren
regionalen Viehwettbewerb. Um allen
Tierzüchtern der Hosteinrasse die Teilnahme
am Wettbewerb zu ermöglichen, haben die
Organisatoren beschlossen, auch die Züchter aus
der Provinz Lüttich daran teilnehmen zu lassen.
Diese Wettbewerbe finden am
Freitag, den 12. Dezember
2008 in der Auktionshalle
von Battice – Herve ab 19.30
Uhr statt.
Als Preisrichter wird Bruno
TOUSSAINT aus Olne die
Bewertungen vornehmen. Herr
Toussaint ist Preisträger der
Europäischen Jungzüchterschule.
Diese wird jährlich im Rahmen
der Landwirtschaftsmesse von
Battice – Herve durchgeführt.
Bruno Toussaint hat sich im
Laufe der Jahre ein großes
Fachwissen in der Vorbereitung
und der Vorstellung von Holstein
Zuchttieren angeeignet. Kürzlich
hatte er Gelegenheit, bei einem
Wettbewerb der durch die wallonische Tierzüchtervereinigung
(AWE) organisiert wurde,
sein Können unter Beweis
zu stellen. Dabei ist er als einer der Preisträger aus dieser
Preisrichterschule hervorgegangen.
Die
Lütticher
Holsteintierzüchter erfüllt es mit
Stolz ihre besten Tiere einem jungen dynamischen wallonischen
Preisrichter mit einen ausgesprochen guten Augenmaß zu
präsentieren.
Das Abendprogramm: Es
werden sechzig in der Laktation
stehende Milchkühe dem
Preisrichter zur Bewertung vorgestellt. Gleichzeitig wird es eine
Juniorenshow für die 6 bis 13
jährigen Kinder geben.
Vor Ort hat man die
Möglichkeit sich zu zivilen Preise
zu beköstigen.
Herzliche Einladung an alle
Interessierte.
+[„Z\dYi\)''/
(.
8><E;8
FEDERATION WALLONNE
DE L’AGRICULTURE (FWA)
JEUDI 4 DECEMBRE
SL JODOIGNE: à 20h, réunion dans la salle des Calèches du
Château Pastur à Jodoigne. «Zoning industriel de Jodoigne et régularisation des bâtiments agricoles» par le Bourgmestre Jean-Paul Wahl et
«Une agriculture sans produits phytos demain?» par Bernard Decock,
Conseiller au Service d’Etudes
LUNDI 8 DECEMBRE
SL DISON LIMBOURG: à 20h, séance d’études au Centre de
Séminaires du Château Séroule, rue de Franchimont 1 à Verviers.
«Comment redresser le prix du lait?» par Yves Somville, Directeur et
Alain Masure, Conseiller au Service d’Etudes de la FWA
MARDI 9 DECEMBRE
SR VERVIERS: à 20h, séance d’études au Charlemagne à HenriChapelle. «Réforme de la PAc à mis parcours, quotas laitiers» par Yvan
Hayez, Secrétaire Général Adjoint; «Situation sanitaire» par Marie-Laurence
Semaille; «Action syndicale de la FWA» par René Ladouce, Président et
«Quel relais politique en agriculture?» par Anne Delvaux, Sénatrice.
SR LIBRAMONT CHEVIGNY: De 19h30 à 22h30 à l’Institut
Saint-Joseph de Libramont, séance sur les mesures agrienvironnementales et Natura 2000 par Didier Vieuxtemps dans le cadre des
séances sur les actualités agricoles..
JEUDI 11 DÉCEMBRE
SL Herve Aubel: à 20h, au Café Pasteger à Aubel. «La législation
des quotas laitiers en Région wallonne, l’avenir du secteur laitier» par
Alain Masure, de la FWA. «La législation des quotas laitiers et quotas
lisier en région flamande» par André Leroy de l’ABS.
MARDI 16 DECEMBRE
SL THUIN CHATELET: à 20h, conférence débat au centre sportif
de Bertransart, route de Philippeville 45 à Nalinnes. «Actualités agricoles de la production primaire, mise en route de certification toutes
productions» par Alain Masure, Conseiller au Service d’Etudes. «Bilan
de santé Pac: quotas laitiers, découplage des aides, modulation, …»
LaA leFJA
de DINANT
plaisir de vous convier à son
REVEILLON DE LA
ST-SYLVESTRE
Qu’elle organise A la salle « La Victorieuse » à Evrehailles
(Yvoir) (fléché depuis Spontin)
JEUDI 18 DECEMBRE
SL MALMEDY: à 20h. A la salle Michel de Champagne (Waimes).
Séance d’information «Tout sur l’actualité agricole» par Yves Somville,
Directeur du Service d’Etudes de la FWA.
FÉDÉRATION DES JEUNES
AGRICULTEURS (FJA)
VENDREDI 5 DECEMBRE
FJA ANDENNE: Souper de Saint-Eloi an la salle «Les Houlottes»
de Jallet.
FJA SILLY: Election du comité de section locale au café Le Vieux
Moulin, Chaussée de Ghislenghien 44 à 7830 Silly.
FJA BASTOGNE: Election du comité de section locale à la salle de
la Maison du Village, Bourcy à 6600 Bastogne.
FJA ROCHEFORT: Election du comité de section locale à la buvette du foot de Sinsin.
SAMEDI 6 DECEMBRE
FJA ATH-FLOBECQ: Soirée de Saint-Nicolas à l’Aquarium de
Leuze. Sono Aquarium
FJA HANNUT: Soirée à la Goutte à Latinne. Sono DAX (voir encart)
FJA SUD LUXEMBOURG: Dance Party All Inclusive au cercle
Saint-Martin à Meix-le-Tige. (voir encart)
VENDREDI 12 DECEMBRE
FJA HANNUT: Election du comité de section locale à «La
Coupole», rue de Tirlemont 7 à 4280 Hannut.
FJA ATH-FLOBECQ: La FJA d’Ath-Flobecq participe au marché de
Noël organisé par la ville de Frasnes-lez-Buissenal. Nous vous proposerons de bonnes choses à manger et à boire. Nous vous y attendons
nombreux dès 17 heures!!!
SAMEDI 13 DECEMBRE
FJA BASTOGNE: Souper à «La Reine des Prés» de Vissoule
(Tavigny). Réservations: Aude Bernes (0472/44.80.07) pour le 10
décembre (voir encart).
La Vous
FJAinvitede
Ath
à leur
RÉVEILLON DE LA
SAINT-SYLVESTRE
Mercredi 31 décembre 2008
Au menu : Pétillant et ses Zakouskis
Assiette terre- mer
Crème méditerranéenne
Emincé de Blanc Bleu Belge sauce béarnaise
accompagné de pomme Macaire et de ses légumes du marché
Buffet de réductions
Le souper débute à 19h et sera suivi d’une soirée dansante dès
23h30 70 eur pour le souper et la soirée
(comprenant cotillons et boissons)
30 eur membres et 35 eur non-membres pour la soirée.
Tenue de cocktail et cravate exigées
Réservation valable uniquement si confirmation téléphonique et
paiement de l’entièreté au n° de compte 104-0426996-49 (+ nom
et nombre de réservations en communication)
Réservations auprès de Charlène Willem au 0474/38 88 04 après
18h pour le 20/12/2008.
Le comité décline toute responsabilité en cas de perte, vol ou accident.
Dès 18h30
Au hall CEVA à Ath
Au menu :
Apéritif, buffet poisson, buffet viande, buffet dessert, soupe
à l’oignon
Traiteur « La forge » et « Le Central » à Ath.
Tenue correcte exigée
Membre 60 euros, non-membre 70 euros
Enfant 30 euros
Soirée (dès 23h) 30 euros
Places limitées !
Ambiance assurée par DJ Ptit Manu
Réservation obligatoire avant le 20 décembre 2008 au
0494/11.31.85
Celle-ci sera effective après paiement
La Fédération des Jeunes
Agriculteurs
Organise un
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plaisir de vous inviter à sa
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PHYTOPHARMACIE
Samedi 6 décembre 2008
A Libramont
Cours le lundi et mercredi en journée
Renseignements et inscriptions au 081/627.423
La FJAOrganise
DE BASTOGNE
son premier
SOUPER DE JUMELAGE DES
SECTIONS DE BASTOGNE 1 ET 2
(/
Le 13 décembre dès 20h
A « La Reine des Prés » de Vissoule (Tavigny)
Réservations : Aude Bernes (0472/44.80.07)
pour le 10 décembre au plus tard
UNION DES AGRICULTRICES
WALLONNES (UAW)
Voir pages de l’UAW
DIVERS
SAMEDI 6 DECEMBRE
HENNUYERES: à 19h30 dîner de St-Eloi du Groupement des
Fermiers à la salle du cercle. Réservation pour le 30/11 auprès d’un
membre du Comité
MARDI 9 DÉCEMBRE
SAINT-REMY: Journée fertilisation.A 13h: 1ère partie : Sur la route
de Ruette à Saint-Remy Examen d’un profil pédologique 14h30: 2ème
partie: Salle des Grillons à Saint-Remy (près de la tour carrée à l’entrée
du village):Alternatives à une fertilisation classique+Présentation
de la synthèse d’essais + La problématique de l’helminthosporiose
Analyse de terre et indice de nutrition. Organisée par Le Comité du
Comice de Virton
CHIEVRES : de 13h30 à 17h, conférence débat au Moulin de la
Hunelle, rue d’Ath 90. Produire ses protéines végétales en ferme laitière. Organisation du Comice Ath Flobecq, Lessies et la Dir Dévelop
& Vulgar Ath
SAMEDI 13 DECEMBRE
PIPAIX: à 19h30 au restaurant Le Romantik, rue de la justice, 1, souper de la St Eloi du comice de Péruwelz - Leuze en Ht.
Renseignements et inscriptions: F. Delbecq (069/67.11.52) ou M.
Quintart (069/77.11.13)
SAMEDI 13 ET DIMANCHE 14 DECEMBRE
JURBISE: de 12 à 19h le samedi et d 10 à 19h le dimanche, à
l’Académie Provinciale de police, grand marché fermier et artisanal.
En invité d’honneur, la cuisine Ch’ti. Restauration à base de produits
régionaux de 12 à 15h
MERCREDI 17 DÉCEMBRE
Wavre: «Guide sectoriel de l’autocontrôle pour la production
animale» par Alain De Bruyn de CODIPLAN asbl. A 20H au Centre
d’insémination et de promotion du BBB (AWE) de Wavre (Chaussée
de Bruxelles, 416 - 1300 Wavre). Organisé par La Chambre provinciale
d’agriculture du Brabant wallon et de l’arrondissement de BruxellesCapitale, la Direction du Développement et de la Vulgarisation de
Wavre et le Centre provincial de l’agriculture et de la ruralité
$5('%0217=(1
SOIRÉE
A la Goutte à Latinne
PAF : 5 euros
Sonorisation DAX
Sécurité assurée
FJA Sud Luxembourg
Remet ça…
All Inclusive
DANCE PARTY
Filles : 14 euros – Garçons : 18 euros
Au cercle Saint-Joseph
A Meix-le-Tige
Samedi 6 décembre 2008
California Dreams discothèque
+[„Z\dYi\)''/
MERCREDI 31 DECEMBRE
FJA ATH: Réveillon de la Saint-Sylvestre dès 18h30 au hall du
CEVA à Ath. Au menu: Apéritif, buffets poisson, viande, dessert,
soupe à l’oignon. Membre 60 euros; non-membre 70 euros; enfant
30 euros. Soirée dès 23h: 30 euros. Réservation obligatoire avant le
20 décembre 2008 au 0494/11.31.85. Celle-ci sera effective après
paiement.
FJA EGHEZEE: Réveillon de la Saint-Sylvestre en la Ferme «l’Arsouille» à Temploux. Renseignements et réservations jusqu’au 12
décembre auprès de Sophie Mathieux au 0475/58.22.05 (après 17
heures). Sono DAX
FJA DINANT: Réveillon de la Saint-Sylvestre à la salle «La
Victorieuse» à Evrehailles (Yvoir). (voir encart)
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Philippe BODSON 0476/88.63.79 (Luxembourg)
Sylvain CAUCHY 0473/91.07.26 (Hainaut)
Léon HENRY 0476/53.09.96 (Liège)
Serge LEMPEREUR 0494/58.41.40 (Namur & Brabant wallon)
,1)2 Jos BOCLINVILLE 0477/22.66.28
Gérard BONDUEL 0495/16.30.34
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PROCHAINE VENTE DE TAUREAUX BBCI LE 20 DECEMBRE 2008 à ATH
Invitation cordiale à tous!!
Présentation de nos nouvelles recrues de l'IA : Joker de Fooz, Panache de Somme, Obéissant de Centfontaine, Satyre de Somme...
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Glané pour vous
Un ver dans
le cerveau
peuvent apparaître après l’ingestion de viande de porc mal
cuite ou par contact avec des
personnes qui ne se lavent
pas bien les mains après être
allées aux toilettes. (Yahoo )
Les vaches ne perdent pas le nord
Alors qu’ils opèrent une
femme d’une tumeur au cerveau en Arizona, des chirurgiens ont découvert que la
tumeur est en fait un ver.
Rosemary Alvarez a dû subir
une opération à cause d’une
paralysie du bras et d’une
vision brouillée. Après un
scanner non concluant, les
médecins qui redoutaient une
tumeur cérébrale, lui ont fait
passer une IRM qui a montré quelque chose d’étrange.
Ils ont décidé d’opérer et ont
découvert un ver à l’intérieur
de son cerveau. Après l’avoir
enlevé, les chirurgiens pensent que Rosemary Alvarez ne
devrait pas avoir de séquelles.
Selon les médecins, les vers
)+
Des scientifiques de l’Université de Duisburg-Essen
(Allemagne) ont découvert
que le bétail, outre une prédisposition reconnue pour « prédire » le temps, est également
capable d’indiquer la direction du Nord. Grâce à Google
Earth, permettant de visualiser la Terre à partir d’images
satellites, ils ont pu constater
sur plusieurs cheptels, que les
animaux pointaient systématiquement dans la direction
du Nord, que ce soit pour se
reposer ou pour paître. Les
scientifiques ont conclu que
les vaches se baseraient sur le
champ magnétique terrestre
pour s’orienter. (Agriculture
et nouvelles technologies)
Abeilles: 153 milliards d’euros en termes économiques
Entre 200 et 250
euros par an pour
nourrir ses animaux
de compagnie
La nourriture pour mésanges
est ainsi très en vogue.
(RTL info)
Un milliard d’euros
de plus grâce aux
contrôles fiscaux
Rage: 55.000 décès
chaque année
La rage est une maladie
qui reste très répandue dans
le monde, principalement en
Asie et en Afrique. Si aucun
cas de rage humaine n’a été
observé depuis plus de 25
ans en Belgique, elle est ainsi
à l’origine de 55.000 décès
chaque année dans le monde,
souligne le Service public
fédéral santé. Qui rappelle
l’interdiction de ramener en
Europe un animal qui ne satisfait pas aux exigences sanitaires. (Avenir du Luxembourg)
L’activité des insectes pollinisateurs, menacée par la
diminution des abeilles, représentait 153 milliards d’euros
en 2005 et leur disparition
entraînerait une hausse du
prix des fruits et légumes. La
mise en garde est signée par
l’Institut français de recherche
agronomique (INRA). Cette
somme représente 9,5%
de la valeur totale de la production agricole mondiale.
Mesurée en poids, 35 % de la
production mondiale dépend
des pollinisateurs, principalement les fruits, les légumes
et les oléagineux et dans une
moindre mesure, le café, le
cacao, les fruits à coque et les
(Vers l’Avenir)
épices.
Selon des chiffres de l’institut GFK, les ménages consacrent 200 euros par an en
Wallonie pour la nourriture
de leurs animaux de compagnie, et 250 euros à Bruxelles.
Dans le sud du pays, 4 ménages sur 5 possèdent des
animaux, contre 2 sur 3 en
Région bruxelloise. Les ménages bruxellois possèdent
nettement plus de chats que
dans les autres Régions. Ils
représentent 65 pc des dépenses de nourriture, soit 10
pc de plus qu’en Wallonie et
en Flandre. Selon cette étude,
il apparaît par ailleurs que le
segment des aliments pour
animaux non domestiques
connaît une forte croissance.
A peine 7% des déclarations fiscales font l’objet d’un
contrôle, selon le rapport
annuel de l’entité « impôts
et recouvrements » du SPFFinances. Ces contrôles sont
toutefois efficaces puisqu’il
ont généré un supplément
d’impôts de 1,052 milliard
d’euros. Sur ce montant, 310
millions proviennent des
sanctions infligées aux contribuables. Ces suppléments
sont infligés aux particuliers
(440 millions) plus qu’aux
entreprises (283 millions) et
aux assujettis à la TVA (328
millions). Le rapport de l’administration chiffre aussi l’arriéré fiscal à 22 milliards, dont
4 milliards exigibles. (L’Echo)
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