Download télécharger/visualiser içi

Transcript
t
••
~
MAl 1962 le titre
d'ING~NIEUR ~LECTRONICIEN E. S. E.
O.
';;(
est reconnu par la Commission des
titres d'ingénieurs au Ministère de
l'Education Nationale.
Journal
IMPRIMERIE E. lAIRRE · ANGERS
de I'E. S. E.O.
En relis :=,n t le "Nho" u.e mai I96I pour me u.onner quelques
idées(on est si peu inspiré en fin d'année) je voyais le président de l'an
dernier inquiet et dénonçant l'apathie générale des électrons.En particulier il se uésolt=ü t de voir combien il avait été difficile de trouver 50%
de votants pour les élections.A la fin de cette année 1 j'aurais mauvaise
grâce à me montrer aussi pessimiste.Lors de la derniere assemblée généra~e,à l'occasion des élections,sur 123 inscrits on pouvait noter 104 présents.Sil'on tient compte de ceux qui ne pouvaient pas venir,il est agréable de constater que tous ou presque vous avez tenu à montrer par votre
présence que vous vous intéressiez au travé,il du bureau.Dans ces conditions et par suite des modifications apportées au règlement intérieur,
j'ai accepté sans difficultés de conserver pour une année le poste de
président.
Ava11t de parler de l'avenir,je tiens d'abord à remercier
mes collaborateurs de cette année qui, pour le. plupart,m 'ont beaucoup facilité la tâche.Sans aucun parti pris,je crois qu'il serait ingrat de ne pas
remercier plus spécialement les secondes années qui ont donné un sérieux
coup de main pour toutes les activités.
Dru1s ces perSpectives l'année prochaine sera,j'en suis
persuadé,une excellente année.A partir des l2cunes constatées cette année,
nous essaierons de rendre notre Ecole plus vivante.Il serait bon,je pense,
d'insister sur deux points.D'abord un esprit de camaraderie pl~s grand entre promotions. Il n'est pas noru1<:ü de passer trois ou quatre ans à l'école
sans se connaître,alors qu'en sachant écouter les autres,prendre part à
leurs soucis,leur rendre service,plutôt que de s'enfermer dans notre tour
d'ivoire,on peut faire des découvertes sensationnelles.Ensuite il faudrait
une ouverture plus grande sur l'extérieur tant dans le milieu étudiant
que dans le monde des adultes.On nous reproche souvent et à juste titre
d'être un monde fermé qui ne songe qu'à ses petits problèmes internes et
et qui ne se rend pas compte qu'il existe d'autres personnes au delà de ce
vase clos.Voilà quelques jalons qui pourraient orienter l'année prochaine.
Pour terminer,je souhaite à tous,professeurs et élèves,
d'excellentes vacances et rendez-vous tous en octobre.
Le l3HESIDSNT
LE hOf DE LA
Pri~SIJL~TE.
Vous venGz de m'~lire.au titre de présidente. Ayant eu quelque @al à le fsire le jour des élections, je vous remercie m~intenant
de votre confiance.
J'ai pourtant quelque crainte en prenant cette fonction à la
suite de Géraldine. Etant de le mtme pro~otion qu'elle, j'ai pu me rendre compte du travail qu'elle a fe,i t, en collabora ti on avec le pr~si­
dent, pour la r~forme des statuts de l'école, pour le raffermisse~ent de
liens un peu fragiles avec la FEUCO, pour une représentation efficace
et utile d2-:.:1s les activités de l'Université entr-e autres le cong:rès
in ter-ca thos. . . Elle est de même J}lOur 11ous tous, une très a5réaule camarade .•. Aussipuis-je, en votre nom et en le mieD propre, la remercier du
r8le réel qu'ell0 a GU jouer d~ns l'évolution de l'~cole.
e>ui vt:=nt son exemple? j'essaierai l' 2,n rrochain de seconder
utilement le président.
En at te.ldf.n t, je vous souhaite à tous de bonnes vacances.
La Présideüte.
l\:ous remercions les Anciçns qui ont uiün voulu uous doüner de
leurs nouvelles. Le Présidt:n t s' çxcus,:; de n' 2.voir pu 1 endre: réponse à
tous. Le cr~ation d'un secret~riat permettra l'anï,ée proch2.ine, nous
l'es)érons, de pallier à cette lacune.
L'équipe du journal remerci~ la DirGction de la collaboration
qu'elle a bien voulu lui apporter par le prêt des ~ivçrses ~achines et
surtout, par une série d'articl6S qui nous ont permis de mieux connaitre
l'Ecole et son ~volution.
Le mha du directeur
La grande nouvelle est officielle:
11
1 'Ecole Supérieure d 1 Electronique o.e 1 'Ouest 9. Angers,
est habilitée J. déc erlle r- le diJ_)lÔme d' I NG3l-TIEUR ELEC'I'IWlifi CIEN
E.S.E.O.,titre reconnu par la Commission de s Titres d'Ingénieurs
du Ministère de 1 ':Educe,ti on Nationale.
n
Je suis particuli èrement heureux de vous annoncer officiellament cette nouvelle qui consacre une évolution. 1\ious devons reconnaitre que les choses ont été assez vite,puisquo la diplomatie
d'usage (rapports, rapport s et ins1J e etions) a co cme ncé le I4 Dé cembre I96I •
Cett e reconnaiss3nce s'est faite 9. l'unanimité, 9. la
23 mai I962, de la commission du Titre au
~ inistère
séanc~
du
de l'Education
N ationale.
- Cet év ènement est la récompense d'un long effort commencé en
Octobre I956. · Je tiens à redire ici que cet effort fut celui de tout
le corps professoral; ,j'ai, 9. cette oc cas ion, remercié personnellement l e s p rofes seurs de ce qu'ils ont apporté. Il est bien clair,
aux yeux de tous, q_ue la coor dinRt ion quo tid ienne dans le trava il,
la s ympathie rJ.utue lle et 1' esprit d'équipe, furent autant 1.de forces
qui amenèrent l'E co le à ce niveau.
:::
Les étudiants, très joyeux de cet évènement si important
p·Jur leur avenir, ont vu cette union fraternelle dac"ls la fondation
et en ont été édifiés. Je dois dire aussi la part prise par les étudiants 9_ cette fonda tion, notamr,1 8nt par ceux des prer,lières promotions
qui ont fondé "l'Esprit de l'Ecole" et créé des traditions, ce qui
est toujours si délic at.
Sans doute, nous voi· ·i en route pour de nou;,eau:;;: ei'fots:
la rentrée s'annonce belle .•.... et nous ne savons pas à quels développements l'Ecole est appelée.
Il nous faut construire,et il nous faut créer un riche
esprit de 4° Année. Je vous convie tous à cette tâche : nous par
tagerons ensemble les soucis et la joie de l'évolution. Déjà quelques anciens vont revenir pour se "recyclern. L'année I962-I963
sera dure: voyons-le clairement et généreusement et ensemble.
J'ai aussi la joie de vous annoncer que je viens de commencer une procédure pour l'attribution de bourses aux étudiants
de l'école et le transfert des bourses des facultés. J'ai connnencé
aussi les démarches pour le nouveau statut vis-à-vis de la sécurité
sociale. Que de travaux! mais aussi que d'éspoirs !.La question
du surcis va aussi se règler et nous pensons que les étudiants de
l'Ecole auront le sursis jusqu'à 25 ans.Vous pourrez , dans le calme et l'éqüilibre de la douco province, vivre on étudiants sérieux
aptes à vous rendre utilos plus tard et solides dans votre foyer
chrétien.
LES STAGES !>REVUS POUR CET ETE SONT LES SUIV AJ.l"'IS
2°année
A. C.B •
.ANTAR- DONGES
: DESI.lONT Fr.
: :J AUFFRED
C.E.A. FONTENAY AUX ROSES
: BOILEVE Bernard
THOHSON-HOUS TON-ANGERS
: FRIBAULT Gérard,MENEZ J'ierre,
HONORE Roger, BENETTA Robert.
C. G. E. liiA.RCOUSSIS
: BOUG.AULT Rémi
C.G.E.E. ?ARIS LEVALLOIS
: UGON Michel
C. S , F. CHOLET
THORIGNE Colette
C.S.F. LEVALLOIS
DUFOSSE Jean, TURBET Georges
E.D.F. Diverses Régions
BRI CJJt T- DESMONTS- THORIGNE-LE
LE LUHERNE-BENETTA-BRILLAUD
HASSON Fr. ROCHET J. C.- Jl.iENEZ
. GRUAU.
LABO CENTR/.L
BLJ,CHEZ-GUILLARD- Melles GOURDON
BRILLJ~UD
M. C.B.
:lvielles de SAUVEBEUF-STEPI-IAN
S.I.C.
CJ.RIOU
S.t~ FCO
L,;~ BEYE-Melle
CHIRON-LE LUHERNE
li'IJJNFROID-BER THOU
îdERON
SORIVEL
d'EVRY
Li~
ROCHET
RADIO TECBNIQ,UE
S. W. CR./.1:1PJ.GNE
ROUAUD-DORLOT
TELEC
l.LiSf) ON
ORLY
S1VYSSEN
C. E. J... SACLAY
LETOURNEUX- FEUNTEUN
C.E. A. GRENOBLE
::
C. F. T. H. PJ.. THE 11/JWONI
BALi:flONT
C. S • F. CHOLET
BELLOCQ, J oan-l<U..RIE
E. D. F.
PONCOT-DESOOHER-GUILLOU Jean-Noël
FERISOL
C0 TTERKAU Bernard
HOFEJlil NN CH!.. TEAUROUX
AUMIAUX-COTTEREl•U-BETTVVY-KERAUTRET
LELAND
M.ARZIN
BUREJ..U-LEON
1.1/~RCONI
l:lli.R T.IN
HERON
TEILLET
LA
&1DIOTECHNI~UE
D.AV:{
SCHNEIDER
BEÇ~UET
S.N.C.F.
G!..UL TIER- RAJ.'JN OU
SE CRE
COGNJ~RD
CONDENSJ.. TEURS TOURS
J A COB-Gi~.UTIER
DROU;.BT-J 1.1.1-CH.~ TEJ..U-LE FUR-LOR
LORVELLEC
Le total est de 98 mois, car il y
ct
des stages de deux mois
pour les troisièmes années: ce sont des priviligiés (tout dépend
de l'idée que l'on se fait des stages; ; ); ce fut un rude travail
de combiner dates, logement,niveau •.. mais la machine logique
combinatoire est là.
le Directeur de l'écolevient de déposer un e demande de brevet pour la machine logique combinatoire permettant la recherche
des solutions au travers de r programmes définis par N parw1ètres
à liaisons logiques variables: nous tiendrons nos lecteurs au
courant.
NOUVZLLES DIVERSES
les stagiaires de la centrale Nucléaire de Chinon ont terminé leur stage au milieu de Mai. Ils ont été satisfaits de ce qu'ils
ont appris ; un nouveau groupe est prévu pour novembre.
Le petit laboratoire d'Electrotechnique vabientôt être terminé
et permettra l'ensemble des manipulations dont l'électronicien
a besoin en Electrotechnique.
Il existe, depuis 2ans,
J~rts
à !~gers,
sous l'égide de l'école des
et I.1étiers, un centre associé au conservatoire de Paris:par
cours du soir et du samedi après-midi, il amène en quelques années
des techniciens supérieurs à devenir ingénieurs.
C'est à l'école d'Electronique que le conservatoire des Arts
et métiers a demandé l'enseignement de
l'Electroni~ue
et c'est
un professeur de l'Ecole, ·u onsieur Lefebvre, qui assurera cet
enseignement à partir d ' ;octobre prochain.
Bonnes vacances à tous. :?our moi, je repars au Canada pour
la 4ème fois et de l'autre côté de la mer, je penserai à vous,
à vos vacances familiales, surtout peut-être aux stagiaires, et
peut-être, en survolant l' Atlanti~ue, en Boeing 707, m'apercevrai
-je joyeusement qu'entre
~aris
et New-York, il n'y a qu'une Ecole
d'Electronique, la nôtre.
Le Directeur de l'Ecole
Chanoine J.Jeanneteau.
Note Importante :
-~:our
tout courrier qui n'est pas strictement personnel, veuil-
lez écrire au:
Secrétariat de l'Ecole Supérieure d'Electronique de l'Ouest
B.?.
-
20I - .ANGERS
tout courrier personnel, veuillez mettre:
~our
Monsieur le Chanoine J. JE /~ETEAU
Ecole Supérieure d' éle ctronigue de 1' Ouos.t
B.~. 20I - Jl.NGERS
Si vous écrivez .•.. signez ••. lisiblement ... merci!
-Certains d'entre vous ont demandé la liste des adresses des
professeurs, la voici:
ADRESSES
NO"MS
DIRECTEURS
Mr. JEANNETEAU
Université B. ? . 20I-i\.NGERS-
Ur.
I4, l"Jlace .André Leroy- ANGERS-
MAND~~ROUX
:PROFESSEURS
Hr. BJ..RDIN
II6 rue
Mr .1' .Abbé BETTON
Université
Bressigny- I~GERS­
-B. ~ .
20I-ANGERS-
Mr BIK/.. DOROFF
: I9, rue Faidherbe-ANGERS-
Hr. BLANCHi..RD
: 66, rue
Mr. do BODIN/.. T
: Sainto-ï.,Iarie- -1~VRILLE- (11é:--cL)
Hello BOUIC
L é tenduère- l~GERS­
: 5, rue des
'·.
1.1r. CORùON
: I6, rue de
"~rènes-,:\.NGERSBelgi·que- ,~GERS-
l:lr • GENEST
54, rue l.Urabef:m-J.....'T'I.JGERS_
Mr. GOUIN ·
Villa des Roses -BOUCI-IB::L·I..UNE-
Mr. JUHEL
I7; rue de la
M adeleine- .iJ~GERS-
11Les Bertins"
-MONTJ~BON-
(Sarthe)
IIr. LEFEBVRE
36, · rue
Hanneloup- /~GERS-
Chanoine LE!::1ESLE
IO, rue
Daillière- d~GERS-
i.Ir. ?ERI GORD
Cité de Beauval; "Les Herninestt-J;.NGERS
Mr. l' J..bbé P .
Mr. 1 'Abbé
ROL,~JJD
Les Chesnaies•ANGERS-
SD:~ON
Institution Saint-lJartin, Cloitre
Saint 1/.L artin-./J-JGERSFROIDFOND (Vendée)
.. r. TOUGERON
~" ~
Br. TURBE
i1r.
W~U.KER
E r.
iJ!~ RTIN
....___..
42, rue Blaise i'ascal-ANGERSI7, rue de la 1Iadeleine-J.NGERSrue Canille rerdriau-SORGES rONT
DE CE-
Phil_osophie: De s r épon.se s i n co urpr ..: h e n s i
insolubl e s.
b l~s
à d t,j s problèwes
Adams
Une banque E:J st l'endroit ol! l'on vous prête un parapluie quand
il f a it beau et o ~ on vous l e r e tir e d ès qu'il se me t à pleuvoir •
. ~ \:!QQQQ .,> Q • Q\,!Q\:!QQQQQQQQQQQ
,
VOT~..
c--s
Tout est encore cal %9 à
DE J!'IN. · D'ETUDES,
J~nge rs
lo r sque nous :prenons la route.
Hons ieur le Chanoine Jennneteau et d.eux pro f esseurs nous
L' ao.bia11ce
accO!ilpagneh~
est vi te faite, grâce à la mise en circulation dB . recueils
de chansons, sortis d'tm centre de polycopiage
cl~Ddestin.
:.,assant par Saumur, qui nous est déjà familier, nous arrivons
bientôt à Chinon ou plutôt à ,tvoine, puisque c'est sur le terri toi re
de cette com•,mne qu'est édifiée la Centrale Nucléaire de Chinon.
Inplal1tée sur
1~
rive gauche de la Loire, la Centrale a une superfi•
cie de 80 ha. environ.
lJous som:.1e s accueillis dans la salle de Conférences où un ingénieur nous présente la
Cent~ale
et nous informe sur ce que l'énergie
nuclé a ire peut avoir d'int~ressant pour l'E.D.F. La visite étant ac~
tu allemont interdite à cause des travaux, c'est
une maquette
qui va nous ser vir de guide, en nous permettant de voir de près les
parties ossen:tiolles de la Centrale. Deux réacteurs sont actuellement
en construction:
E.D.F. I constitué par un réacteur d'une puissance thermique
de 300
~Tl.
E. D.
F. 2 c.onsti tué par un réacteur d'une puissa11ce de 800 iiW.
Ces réacteurs sont du n 3tile type, à savoir:
- combustible: ura...YJ.iun naturel
- refroi dissement: gaz ca rborique
- modératE.ur: gr2..phite.
Le
contr3le de 12 Centrale Nucléaire de Chinon sera confié à
plusieurs enso ubles de calculateurs électroniques CITJ. . C, ce qui explique le peu de main-d'oeuvre prévu.
Il est IO h 45 lorsque nous reprenons la route. Nous passons devant le
vieux cha.teau de Chinon. Le tenps nous presse et la proc:haine hal te sera
le château d' J.. zay-1e-Rideau. Construit sur 1 'Indre, celui- ci date de
François I 0
•
Toute l'archi'cture y indique l'époque de la Renaissance.
Un guide, extrêï.11emont sympathique et très volubile, va nous en faire re ...
vivre les dates marquantes et nous en nontrer los princ:ipalos curiosités
tout en ponctuant ses dires de grands coups de clef. Beaucoup do neubles
de toutes sortes, mêno un vieux rouet qui narcho eneore •.. La cuisine
est roaarquablo par son ir.nn.ense cheninée:
n~~ as
lg peino d 1 avoir une si
grande cheminée pour une si petite aarm.iten, nous dit lo guide. : uis
c'est un escalier typique do la Renaissance, dont la voûte sculptée
représente des personnages do l'histoire,
11
personnages h2.ut placés"
sans nul doute .••
Nous avons juste le t emps d ·.,_r-rivor à 'l,ours, où la déjeuner
est prévu au Restaura-n.t Universitaire. Celui-ci, tout neuf, vasto, ost
tout-à-fait différent de celui d' Angers au point do vue service.
Et voici la Touraine, avec ses caves
réputées et ses tro-
glodytes, dont nous apercevons les deneures creusées à oême les collines calcaires. Nous sonmes aussi dans cet t e région qui renferme les plus
beaux châteaux de France.
Le château de Cheverny date du :X:VII 0 siècle.Son principal
mérite est de n'avoir pratiquement pas été
rest~uré
depuis sa construc-
tion. Ce qui ne gâte rien du tout, c'est une charmante guide qui va
nous retracer l'histoire du chsteau de Cheverny. Tout ici respire la
fraicheur. Los ta1")isseries flar.1andes, très nora.breuses, ont gardé leur
éclat de jeunesse. L'occasion nous est fournie d'admirer les prenières
arnes à feu et tout un lot d'ar(:m res. L'une d'elles, percée au e:oude
droit, nous vaut une expli.cation toute scientifique de la part d'un
professeur qui affirme, avec le plus grand sérieux:" Son propriétaire
a certainenent passé beaucoup de temps à 1' école" ••• 4\lJrès une brève
visite au chenil, · qui 2-brite toujours une meute do 40 chiens, nous quit ..
tons , avec un certain regrat, Cheverny et ses splendeurs.
TraversRnt la petite Solo gne, nous allons. bientôt arriver au
chateau de Chambord. Datant du XVI 0 siècle; ce châtonu fut successivement
· la résidence do Frenç ois I
0
,
Louis XIII; Louis XIV ••. "Les châteaux se sui
vent, r:J.ais pRs les guides 11 Celui- ci, très spi ri tu el, et doué d'un tal_.ent
oratoire cert<1in, sait se faire pathétique quand ·il le faut• Ici, le but
de la visite est surtout l'architecture. Un escalier peu coruuun conduit
aux terrasses: il comorte deux s.ccès distincts tels que les visiteurs
ne peuvent se rencontrer alors qu'ils se voient à intervalles réguliers.
De là-haut, nous a vons une perspective sur la forèt environnante, coupée
par des
e~lées
bien rectilignes qui convergent vers le château. Ceci ex-
plique que Chambord ait été surtout un rendez-vous de chasse. On aperçoit
au ssi,tout près, le village de Chambord, unique en son genre par le fait
que ses habite.nts sont locataires Ce 1' .3 tat ••• Au passage, nous pouvons
admirer la table (plutôt bancale!) qui servait au dépeçage du gibier et
sur laquelle fut, l.)e.rait-il, nembauno le coeur du
i '~a.réchal
de Saxo".
Un dernier regard sur le château de Chae1.bord qui se détache sur un
fond de bois et nous prenons la direction de Blois. Le temps ne nous permet pas de nous y arrêter et nous obliquons vers Candé, où nous allons
être hébergés dans des locaux nornalemeut destinés à une colonie de vacan
ce s. La visite du petit bourg de Candé est rapide et les électrous y
sont bie n vite chez eu::;: (ou presque .•. ) Ce qui se passe ensuite pendant
la nuit, je ne puis le relater: il faisait si soo.bre dans ce dortoir,
dont le silence fut troublé à maintes reprises par d'inquiètants bruits
de ferre,ille ..•
Hardi IO avril
Le brouillard ne s'est pas encore estonpé que
déjà nous som::1es dans la grande Sologne. Ceux qui n'avaient pas encore vu
de faisans sont servis. Il est vrai qu'il arrive qu'on prenne un moineau
. voire un chat, p our
Ul1
f a isRn! •••
Le centre de r a dio-astrononie de Nançay sere. une étape importe.nte
de notre voyat; e . ? réparée par trois cours d'Op ti que de Honsieur 1 'Abbé
Simon, c e tte visite va être suivie
?-V O C
intérêt,
J..Iis 9. part le grand l7a diotélescorJe, la station c·omporte essentiellement un certain nonb re de miroirs, en corr élation, disposés suivant
deux directions:
- direction ·.i.E.: 32 niroirs de 5 m. de diaLlètre diste.nts de
50 m.. et accordés sur I69 U~/s.
direction N.S. :8 Eliroirs de IO m. de diamètre, distants
de IOO m.
Tous ces miroi:c-s sont mobil e s et permatte:at ainsi d'étudier n' importe quelle région du ciel.
C'est en car que nou s nous r e ndons vers le radiotélescop e géant.
Celui-ci se compose de trois §,randes :re.rties qu'on peut représ enter schématiqucm.ent:
x
./
M1 est un r:liro ir plan rno bile aut·our d'un a xe A.
Dimensions: hauteur
longueur
20 m.
2 x 20 m.
_.:~
2 et . . . 3 sont des niroirs sphé riques fixes.
Dimensions de ,_ 2 : hauteur
40 n.
longueur 60 n.
rayon
560
El.
Les ondes issues dos dire ct ions XX' sont réfléchies pc=tr ii 1 sur le
miroir sphérique
~ I2
•
Celui- ci concentre les rayons sur
1~ 3
qui les concen
tre lui-m&me en son propre foyer F. C'est en ce point que sont placés
l'antenne et les div-ors systèmes récepteurs et aoplificat ours. On conçoit
facilement quo la mobilit é du miroir
~:1
pernette une exploration plus lon
-211
gue d'une région donnée du ciol. L' énercie minimun reçue est de IO · ''!/m').
et la précision de cet enser.l'ole nétallique équivaut à la minute d'arc.
Les trav-aux ne sont pas encore terr:lin é s et l e s di:.!1ensions du grnnd
r a diot é lescope vont ~tre au ~mont ée s prochaino~ent.
Un copieux déjetme r nous attend dans un restaurant de Ea:.1çay. Le
café se faisant attendre, nous avons dr:> it ;::. une histoire captivante (et
pas trop longuG) de . . :onsieur lo Chan .J ine Joannete8.U. C' ost ensui te une
histoire charnantG , cl' unG ing.3 nui t é tou tG enf<:mtine, qui nous non tre que,
.
1\
,
,
"
meme
à 2 ans e t dorn, on peut etre o bsede par un cours de calJteurs •••
:"·our clôturer le tout, dG l'humour anglais ... de l'humour noir ... que
certains n'ont 0. ' Rille urs pas en co re co op ris ..•
:Notre après-r.J.idi est consacr6 à la vi si te du centre d' énission de
France I, situé à .,Ulouis. L2 st?.tion conporte deux bâtiments distincts:
- la partie G. O. , signalée par· le pylÔne de 308 mètres de hautour, pos sède doux émet teurs distincts, travfü ll2.nt E?ir.mltanément et déve
loppant à 1 r antenne une puis sance do 500 I<:W. D'ailleurs, nous avons pu
observer que, t out près de 1'8ntenne, la puissance est telle que les
post Gs de radio sont saturés et que 1 'on entend France I sur ·: oute la
gan:J.e G.O. et
J.·.o.
s a uf sur se.. position normale. La partie G.O.est l'oeu-
vre de la S.F.R. Nous y retrouvon s les parti e s classiques d'tm émetteur
étudiées en cours de radio, nais en des proportions que nous n'avions
pas
inagin~es.
Seule se trouve ici la partie émission. Les studios
se
F es t anenee
· par ca
"bl
'
·
•
tro u Ven +v a'·~ar l. s d'a'u 1 a B••
, es te' l 'e~nonlques
speciaux.
La partie O. C., oeuvre da la C.F.T.H., fonctionne dens la bande
décamétri que, aux envir·ons de I7 ~. : c/s. Il existe 4 énettours distincts
dévelopllant · chacun tme puiss2.nce de IOO I0.I. Les antennes . sont plus :
petites at dirigées. La partie O.C. sert essentie llenent à corresp ondre
.
_, t "
0 .
' -- d
1
. t alns:
avea 1 es pays 1 oln
~x rene- rl en"G, .L.a agascar, par exemp e ...
la fin de le. vi si te, iionsieur le Chanoine Jeanneteau nous quitte
ses occupations ne -lui l)ermettent pas de poursuivre ce voyage. No us
rej oignons alors Bourges, nerveilleusGi!leat c;uidés p<.w 1 'un de nos camarades. :'iemontant l a rue noyenne, "qui est l a rue principale", nous arrivans au g r and séminaire, chaleureus ement accueillis par l'économe.
Après avoir pris possession de nos chambres, nous entreprenons la visite
de la co.thédr2.le. Celle-ci date du XIII 0 siècle. De style gothique, elle
est surtout connue pour ses vitraux.
Le dinar fut excellent et la nuit bien ce.lne. Ce:9e nd8nt
11
est- ce
une distractions des Reli g ieuses?" toujours est-il que le bruit courut
que 1 'un des professeurs trouva son lit fait d'une façon
as~;ez
inhabi-
tuollo •••
~ ~ ercredi
II avril
C'est dans une fonne rmnarqueble et tout-à-fcüt repos3s, que Eous
quittons Sources ot plusiours cio nos car.1arades, pour affronter
le~
der-
nière étape quo s e r a oss<:mtiellemont une ét?.pe routière.
i.' ar la Ch2~tre, . ~igurande, n ) US ar:c'i v ons bion tôt on vue du barrnge
d'Eguson. Colui-ci, 6difié sur la Creuse, est du typo barrag ~ vofita.
C'est le preooor barraGe construit en Fran ce et il sert actuellement de
tampon. Sans nous att;.:~~ rdèr, nJus entrons dans la magnifique vallée de
)
la Creuse, étonnés de nous trouv a r t ·J ut à coup on tilOntagne. Les beaux
paysages ne nanquent r)as et nul doute que plusieurs d'entre nous se
sent ir.snt une
âmo do )oëte en adcüra21t le. Creuse roulant ses eaux 8~U
fond de la vallée. Lu pas S2.fO , n=ms saluons Gargi lesse, le pays de
Geore:;e ,Sand ..•
A la naye j)escartes, un déjeuner bien arrosé nous attend. Les
électrons s'y sont 5&rement fait entendre car tous y allèrent de bon
coeur ..•
Ber6és uar le doux ronronnenent du car, nous ne jetons qu'un
regard distrait
~ur
les noms de Richelieu, de Loudun, avec tout e fois
une pensée pour celle dont il fut question durant plusieurs cours .••
Les vi t;nes réé\yparais :,ent , annonçant 1 ' ,''-'.J.j ou et rév e illant certains
dorn.surs dont la digestion s eo.ble avoir été plutôt pénible.
Le voyage c:.e fin d' étude s va se terminer sur une note joyeuse et
bianvenue puisque la dernière halte a eu lieu au caveau de L' Aubance
à Brissac. Le vin ccmle à i'lots et il y a de quoi satisfaire les plus
délicats. Le noelleux I959, bion connu de quelques-uns, termine cette
dégustation. L'esprit lucide, très lucide (jo ne vise personne), nous
remontons d2ns le car, u..n :c1eu excités, mais vcillélnt bien à ce que le
chauffeur
11
~n·enne
la b:mne sinuso J'. de de J!eur de tomber dans les bandes
latérales 11 • • •
Bientôt a1;paro.it lmgG rs. Le voyage est t e rminé, les vacances de
: ' âques vont cor:uencer •••
Raymond Guillou
3° année
l\'~ AQUETTES
61-62
A l2. demande des IQ et 2Q années 1 et en espérant que cela intéressera
les ancients~voici la li s te ds s maquettes proposées et,parfois réali
sées par les 3~ an_J.ée s.
J.P. ALJ.JIOUX: mise au point d'un ampli B.F. Bi-canal Haute fidélité
pour le télévision avec tronsformation en stéréo.
Michel AùHIAUX: Tüse au po 1.nt d'un émetteur et: réc.?pt eurde télécommande
transistorisé. fonctionnant sur 72 lViHL:, susceptibles,de radio-télécomrnan
der un jouet quelconque (voiture bateau, par exemple)
Yves BA:SIN: Radar 3cm Mise au point d'un ensemble radar complet • Emetteur. Recept eur. Scope. Les années précédentes, une équipe de plusieurs
élèves avaient rassemblé et monté les éléments du radar. L'année a été
consacrée au réglage du scope, de l'émetteur (en particulier le contrôle
automatique de fréquence, l'étage de puissance: Klystron, J.Vlagnétron 1 mon
tage de guide d'onde.)
Michel BALMONT: Assemblage d'un poste de télévision complet dont les
divers éléments avaient été cablés les années précédentes et amelioratio
des performances des divers éléments.
Jean-Marie BELLOCQ: Règlage du fontionnement d'un amplificateur à cou
rant continu destiné au calculateur Analogique.
Claude BEQUET & ALAIN MARTIN: Réfection a.'une visill e console a.'orgue
dans laquelle l2s tuy E~ux cl2.s.si qut:: s sont r 8mp lacés par des oscillateurs i tubes e t, dont les signaux de sortie sont convenablement transformés et amplifiés. ME.dLET et PHELIPP BAu av aient déj .3. coi.nmehcé ce travail de répar&tion.
Jean Pierre Be ttwy & rloger Teillet:Rayons X-Mise au point d'un ancien
app?..reil d<.- radioscopie - Emission de rayons X par tube Hotalix à anode
tournante- Source T.H.T. à partir d'un transformat8ur(40 kv) - Arüênagement d'un labora toire pour l'étude des rayons X- Préparation d'un T.P.
sur le. diffraction des rayons X
Jo~l Bureau:Etude d'un prése lecteur bicanal.L'appar eil fo nctionne à l'aide de relais électromagnétiques.Etudes propos ées:
-trier une impulsion sur quatre pour un m1pli linguistique
-lecture et transforma tion d'un nombre binaire (fourni par D.Chateau)
dans l e système à base aéci mal e.
Daniel Cha teau:Etude des circuits lo6iqu0s pour la réalisation d'un cal-
culP.teur numériq_ue
Hel vé Han.!lQ.ll!..Képa.ration du généré.:. te J. r d' L~ pulsions Tes tor - iviise au
point ~'u- T.P. sur l es ferrites;leur fonctionnement et laur fondtion
mémoire - Réalisation d'un décodeur pour pour pa sser du système binai-
--
re s.u système décimal
Daniel Cognard: Réalisation d'un ad <~pt a teur d'impédance, extrayant du
continu variable d'un courant continu,sans courant de repos,adaptant
ainsi un rythmographe ?-'tl rythiaoscop e .
Bernard Cottr eau: IVlet ru point un générateur de fréq_uences grcwes pour
un ' pédalier d'orgue électronique.
Rép aration,régl ~ge et mise au p6itit d'un indicateur de radar(servant
à Yves Bab in) et c ablr~ge de son ali men t a ti on
Jo~l Drouart:étudie un t,énérateur de ti!llbres en circuits transis-tarisés.
Alain Douguet:Réalisatiun de deux interphons s.But;installer entre les
divers bure n.ux de 1' école des liaisons interphoniques.
Pierre Feunteun:S.I.O.C.Sél ectEJur d'aülplitudie à IO canallx qui entre
dans ensemble . d ~ comptage atomique. IJi is e au point des différents canaux
d'un e platine cédé e par l e C.E.A.
Didier Ga riod:Réalis a tion et mis e au point d'un g énérateur T.B.F.(
1 1
.; ,
( 3 a.:. Sù Hz) néc essqire pour la èyilchronisa ti on d'une courb e f( t) à trans.
.
. former en coordonnées polair~s à·l'aid~ d'un cha~p tournant;générateur
sinusoïdal e t en ·crénaux.
André G2.u thier: -Ré alisation du po il t ZY. C'est un appareil permettant de
mesurer les impédances e t les admittances entre lOO et IO.OOOriz.Les différents réglages permett ent de lir e séparé!llent e t directement les parties réelles e t i magina ir es de Z et Y.
Bernard Gaultier e t Haryvonne .Sandre t:.t:tudi ent un fréquencemètre enregistreur à circuits sélectifs accordés sur l es üOtes de la ~amme.C'est
un travail d{licat.
Je an No~l Guillou.e t Jea n Lorvell e c :Perfectionnent les oscillas réalisés Jes années précédent es en ca bl age dirigé
Joël Jam: Etudie un amplificateur linguistique devant permettre à un
étranger d' &cquérir plus r apidement l'accent français et inversement.
Louis Jacob
Maurice Davy et Yves Le Fur:Electrotechnique(sujet tres
vas te) -Aménagement du nouve2.u labo -Bc:ü ayage de 1 'oscille en coordonnées polair a s;par une dynélli10 de voiture.Héalisation d'une douzaine de
T.P.(régulation,mesure des vitesses,stroboscope;tachymètre,relais,
triphasé •.•
)Régul~teur
Ward LEONARD régulation rhéostatique
JVlarie ;ec:.ule Lambal1:,.s:_ Réalis?.. ti on d'un oscillateur à ligne fonctionnànt sur 4'iOMHz
Pa};!1_1§.g_p_~Généra tuer
de fonctions à diodes, r,ppareil serv2.n t à fournir
le second membre variable pour pouvoir résoudre des équations différentielles de ce type avec le calculateur analogique.Des problèmes de gain
en courant et d'adaptation d'impédances ont conduit à la réalisation
d'un ampli continu
Bea~nique Letourneux et Yves Désoomer:Analyseur panorrunique permettant
d'obtenir sur l'écran d'un oscilla le spectre en fréquence et en amplitude d'un son.Principe:on résonne sur la fréquence d'un quartz avsc la
fréquence variable d'un oscillateur H.C."balayant"le son.
Huber,iJ•Iartel..:. Initialement devait faire un impédancemètre H.F. pour
mesurer les CP.ractéristiques des antennes, lignes ..• mais a du auparavant
rée.liser un générateur H.F.le gros problème etant d 1 8.voir une tension
de sortie constr;...nte dans toutes les gammes.
Auguste Marzin:Calcul et mise au point partielle d'un suiveur de spot,
servomécanisme servant à suivre le mouvement d'un spot qui se déplace
sur une échelle de galva.
Louis Ponçot:~iet en application le cours de capteurs en analysant a
l'aide de dispositifs appropriés un phénomène vibratoire,en l'occurence
le mouvement d'un balancier d'horloge
Marie Andrée Sevegrand: Prépare une manipulation sur la mesure d~ la
charge de l'électron par la méthode de Millikan
Nicole D~ug~~t Pierre Cottereau:Réalisent une alimentation,pour tube
Vidicon.
Qu:t Tourm!lt: RéB.lisation d'un T.P. sur le calcul logique à partir d'exemples simples pour faire comprendre le principe de cette forme de calcul.
Raymond Guillou:Dekatron;mise au point d'un tiroir destiné à faire partie de l'ensemble de comptage atomique.Le tube utilisé compte et affiche directement le nombre d'impulsions appliquées à l'entrée.
_Agnes Fallou:Alimentations stabilisées également pour l'ensemble de
comptage atomique.
Alain Kérautret:Montage d'un amplificateur d'Emregistremc:mt.mnplification de l'intensité d'un rayonnement
a
C2. colle?~ dem8.ü ·..... e le pi of au J.:iilleU cl. 'une ciéùlOn~:J tl atiCI'l-et il poursuit
A lors ~
ç a v,e. être siv_;w. de
Le do o tourn.é 7 il con ti.nu
:non voisin~ à a.roi te? rattr ap e
cons~se •.1ent
son calcul. fio:ri. re68.rd pl~ne dans la salle;
UL ret c:,rci en électronicrue ,·et s ' e.pplh1ue
à de Gainer des zéros oie.n ronds dans des 11atrices flottantes
plus loin~ deux autres~ le menton sur la main, re 0 ardeüt Vo,e;uement lj_Uelque
part derrière; Joêl nettoie son porte-ci 6 arettes er1 tais ant des 6 rimaces;
André, ~ c8té de l ~ i~ excuse le prof qui a fait un ~ erreur: il vient de
prendre un sinus pour un cosinus! Tout le monde peut se tromper •••
On se i_1e.sse etes charaà. es: :4on ;? remier est un petit L pin qui fait
ctcwa au t>ord de l a route; J.ll01'!. deuxième est une carte maÎGresse e·t mon .tout
est une mc:.x Lüe ? Le :)c:,pier passe, enfin y_ueL:ue chose ~1 eu t passer le te&ps!
Les ruains se tendent, 0 11 cherche 1 on sèche~ alors le pap1er suivant circule, L -: ré ·l1onse: "La. providence a peüs é :t tout n. Ah! pour quoi? · arce que:
Lapereau vida.nt sa panse et atout. Oh! •.•
~~ns l'autre coin 1 on est plus calme: ~u fona, heryé , affalé sur sa
chaise, sourit Jéatement ta11dis que, derrière lui, ~ ernard garde la main
sur so.1 oreille, le prof parle trop fort: ça le 6êne! Guj essaie des'aosoroer dans une re~ue .••
... La pa.use, crie le prof. Les cit_S<H ettes sortent, les [·,llumette s craquent
un brouhaha s' élève. Yveo fait des e .•périences sur l a chaleur, . il tire
sur son mébot en l' appliquant sur son cr&yon bille: ça fond!
Un a obé vient donnerson point de vue au prof, tandis que les :Bonnes
Soeurs se retournent entre elles pour discuter maths •••
- I l s'a5it de calculer, s'il vous pl gît ••• Les discussions s'apaisent
- ... so ~m e de moins u11 i plus un de x dx sur deux moins x~ facteur de
racine de un mo ins x deux~ à intégrer p~r 1 & métnode des résiJus.
On entend des bruits de papiers, de crayons , de derr L~r~~ qui frotten~
l2, chaise (-.,va.n t de trouver la iJonne po s i ti on~ les pieds râcle11 t le sol, les
chaises se pouesent ••. On regarde la IilO.utre:. plus qu'Une heure, pas tout-
à fait, on calcule exa.ctement cor;1bien, ça passe un moment!
Dominique se
do~ande
si le brouillard ne viendrai pas par
hasard .de la poussière déposée sur sos lunettes, il prend le
parti de · les essuyer d.a ns le beau mouchoir écarlate qu'il déplie
entièrem~nt ~ p6ur l'occ ~iion.
( ~ 1' .
-Alors ce qui va me donner à ce moment
bien d'appeler
quol~u'un.·
1~ ...
au fond, je ferais
0
On se réveille soudain, qu'est-ce
~u'c~
fait?
Derrière ce sont plutôt des mots croisés: le premier c'est
"paysan".
- ••..... Voyez-vous? lorsque z tend vers unt
~moins
z tend vers
zéro, et tout tend vers z , application du théorèr:w de Jordan,
par conséquent, los deux intsgrales ici sont nulles ..•
André se passe la main sur las cheveux, pour vérifler si le
pli y est conservé; -!.vos sou) ire de lassitude; IIarie-I'aule, appliquée, süit pas à pas. ::'lus qu'une demi-heure! Joël taquine de son
stylo 1 'é1)i de son voisia de devant; Claude confie des se crots
burlesques dans 1 'oreille do l' ier :·e qui "se marre comoe UL'1e baleine"
- Ceux qui veulent aller à la messe peuvent y
.' .' .' ..
·.~
I'ersonne ne
- Le cours ; est fini,
a~ler.
bouge .
je vais 9. la messe.
i .h! bon, le cours est
fini, là on conprend .•. Ca, fait toujours vingt ninutes de gagnées!
Sept heures moins vingt!
lünce alors, qu 1 est-co que je vais faire maintenant? ..
D. COGN.ARD
P AGE
des
A NC I E N S
Voici un article envoy6 par Michel AUDOUX pour les anciens.
Merci.
Afe ••• . c'e t ce que l'on emploie ici pour saluer quelqu'un que l'on connatt
déjà. Phonétiqu ement, cela se traduit par le petit cri que pousse le Français moyen
quand on lui marche sur le pied. Après 9 mois de vie américaine, on devient Iankee
sur les bords ; je dois bien laisser fuir une trentaine de O.K
par jour ; on dit
même qu'un schéma est OK- ed quand il a été agréé. Je ne suis pas tout à fait habitué aux Hot dogs qui n'ont rien à voir avec la gent canine, aux Hamburgers, qu'on
ne trouve pas à Hambourg, aux French sauces qu e je n'avais jamais encore goûtées •••
etc .••
En dépit de tout cela, je me plais aux Etats-Unis.
A Noêl, avec deux autres étudiants français, nous avons lancé une expédition
de près de 6 000 Km dans une vieille voiture d'occasion. Nous avons d'abord atteint
Denver et le Colorado, et les Montagnes Rocheuses, où nous nous sommes faufilés la
nuit où ils autorisaient le franchissement des cols de 3 000 m.
Nmus somœes ensuite
descendus sur le grand Lac Sal 6 , Salt Lake City, le Temple Maman, nous avons eu la
chance d'écouter un merveilleux r écital d'orgue dans l'auditorium Mambn. Le malheur,
c'est que je ne connaissais ces Marnons que par le Roman de Pierre Benoît, et il a
' fallu se mettre à la page
la polygamie, par exemple, n'est plus permise.
Nous avons ensuite visité Reno, qui vit avec ses casinos et son centre national du
divorce
<
un minnesotain (le Midwest est assez purt~in) peut, par exemple,obtenir
un divorce d~licat s'il réside 1 mois dans un hôtel de Reno ••• le commerce s'y
retrouve •.•
Après les pentes glacées, nous avons eu la joie de nous retrouver sur une vraie
Côte d'Azur : San Francisco, ville maghirique, Los Angelès et Hollywood •••
Nous nous sommes baignés le 28 Décembre sur la plage d'Hollywood, malgré l'avis de
tous les gens qui nous criaient
"too
Cold ~
; j'ai trouvé que d'était encore plus
chaud que la MAnche au mois d'Août .•• avec nos tenues de bain bien de chez nous,
je
vou~
assure que nous avons vraiment eu
~n
petit succès local . . •
Nous avions une voiture faisant le 150 Km à l'heure, et comme aux U S A on
ne dépasse guère le 100 (légalement), nous avons appris une dizaine de fois à nos
dépens que ces Messieurs de la Police ont des petits radars spéciaux très efficaces •
.../ ....
Dans ces cas là, nous avons une sorte de paralysie que nous empêche de dire deux
mots d'anglais correct ••• cela doit être contagieux, car nos braves flics ont
toujours été paralysés pour nous coucher sur leur calepin.
Nous avons bien sùr été voir des Réserves
d'Indi~ns •••
en étant un peu satirique,
je vous dirai que les adversaires de Davy Crocket sont de grands buveurs de Coca
Cola, des danseurs de Twist et de Rock n'Roll ••• des amateurs du Juke Bos automatique •••• encore heureux si vous ne vous faites pas baratiner pour acheter des colliers
de perles ou des poupées •••. indiennes .•• "Made in Japan".
Nous sommes revenus par le Nevada, l'Arizona et le nouveau Mexique. Santa Fé est
une petite ville Hispano-Mexidaine, très haute en couleurs. Nous y sommes arrivés
le 31 Décembre
pour y être accueillis à bras ouverts. On y dansait ce qu'ils ap-
pellent "The Latins" (Tangos, Cha-cha, Ru~ba ••• etc ••• ). Dans l'ambiance Sud
Américaine
1
i l s'en est fallu de peu que dans la joie du "Celebrating" nous n'in-
gurgitions l'équivalent en whisky de 3 fois le prix de notre chambre • . • payé par
le gérant de l'h6tel. Généralement, nous préféro ns la vodka (ils en fabriquent
beaucoup aux US A) •• surtout depuis qu'on nous a off ert
"a Cognac ••• from
'North Calvados ••• ".
Minneapolis est sans doute le 1er centre d'automatisme du monde ••• dans les labos
nous avons des gyroscopes de contrôle de fusée ••• etc;;• Le Contrôle du Projet
Mercury a été conçu à Minneapolis, une vraie merveille. Le seul ennui, c'est que
quand le Colonel Glenn a retourné sa capsule, i l a oublié de débrayer l'automatisme
et les gyros ••• perdant ses références de vol ; les servomécaniciens du coin m'ont
dit malicieusement que la prochaine ils enverraient un général pour avoir
qu~lqu'un
capable de lire le mode d'emploi ; je les ai consolés en leur disant que dans les
spoutniks, ce n'était pas le gyro mais le tov arib h qui était asservi ••• genre de
paisanterie qui vous assure la bienveillance des
Coll ~ gues
jusqu'à la fin de l'année.
L'Université, en plus d'avoir formé 3 Prix Nobel (dont l'un de~ inventeurs du
transistor), est très fière d'avoir envoyé déjà deux satellites dans l'espace
les physiciens fabriquent des instruments de détection , les "capsulent" et le
NASA les envoie dans l'espace.
L'Ho~ital
de l'Université est le Haut Lieu de la Chirurgie "à coeur ouvert".
Récemment, un interne en Chirurgie m'a fait visiter tous les services (je voulais
avoir une idée de la façon dont ils utilisent l'électronique en Physiologie)e J'ai
.. .1..
t
/
même vu le grand patron placer des valvules d'acier à l'intérieur d'un coeur.
Comme la coupole et les salles sont réservées aux étudiants en médecine, mon guide
m'avait dit
présenter
11
Vous ne parlez pas un mot d'Anglais ••• " ce qui lui permettait de me
con~e
un collègue Français, sans que je m'attire des questions embaras-
santes. Je vous assure que j 1 ai eudu mal à garder mon sérieux quand j'entendais
les infirmières qui parlaient des Français qui viennent aux U S A sans savoir un
mot d'Anglais ••• ou d'autres sujets ••• très diffifiles à raconter.
La présence de 1 600 étudiants étrangers à l'U of M. crée une situation spéc-iale.
Dernièrement, les Américains ont eu l'idée de joue à 1'0 Nu ••• grande salle •••
micros ••• etc ••• Les étrangers étaient cordialement invités ••• mais les Français
se sont abstenus de participer. Le tableau n'était pas trop loin de la réalité •••
en ce sens que nos camarades du Bloc Afro-Asiatique ont consciencieusement largué
leur paquet de Vetos ••• excepté pour la Chine Communiste qui a été admise.
Un de mes braves camarades est Polanais ; il étudie la Métallurgie Nucléaire ; il
a commencé en Angleterre où on lui a donné un visa pour les U S A. Ce visa indirect
a tout de suite paru louche, et, en arrivant à New YorM, il s'est retrouvé au Bloc
pendant 2 jours (Dans son petit monde cela n'a pas détendu les relations Est-Ouest).
J'ai repé ·ré ce camarade en l'entendant chanter
"Chevaliers de la Table Ronde"
un soir de liesse ; il ne sait pas le Français, mais il y a 2 ans il s'est retrouvé
avec l'UNEF à un congrès international ; or, nos collègues de 1 1 U NEF ont la
bonne idée de se déplacer avec des caisses de pinard et des chansons paillardes .••
partie du programme très supérieure aux mmtions. Il m'a dtailleurs appris une chanson paillarde polonaise qui consiste essentiellement à faire rimer Mik0yan et
Michèle
Mor~an,
Malenkov et B. Bardot, etc ••• avec des comparaisons assez piquantes.
J'ai eu un témoignage direct de la vie dans les universités de là-bas, et c'est
assez différent des enquêtes américaines.
Parfois des étudiants africains qui ne parlent pas un mot d'angl ais arrivent au
milieu de la nuit à l'Aéroport de Minneapolis ; les hôtesses de l'air téléphonent
à l'Université où le seul service de nuit ••• est tenu par les policiens du Campus
(enceinte comprenant l'Université)
une équipe, avec voiture à sirène, va chercher
les voyageurs du so±r ••• mais il y a eu parfois des réàctions assez inattendues •••
La seule inimité entre étudiants étrangers réside dans les discussions entre
Arabes et ISraéliens. J'ai la chance d'être invité par les Israéliens qui eMposent
dès photos avec Dauphines et Cars Chausson •• • et par des Arabes qui dansent sur
la musique de Mustapha, en chantant les paroles françaises de "Chérie, je t'aime" ,
Chérie je t'adore. J'ai d'ailleurs été surpris de voir comment des étudiants
de
pays comme la Syrie ou l'Egtpte désirent retrouver une influence française dans
la culture de leur pays. Ils sont venus un jour dans ma piaule m'annoncer que Nasser
avait libéré les Français de la mrussion d i plomatique, et nous avons arrosé cela •••
Certains évènements ont ici une résonance toute spéciale.
De nombreuses lettres m'ont demandé des précisions sur les Américaines •••
Comme beaucoup d'entre elles ont des voitures, et comme avec les standards américains je passe pour bon danseur ••• j'arrive à tenir le coup. Sans voiture, vous
perdez 50% èe votre valeur. En fait, à mon avis, le malheur
vient du fait qu'aux
U S A les femmes ont été traitées en espèce rare par les premiers pionniers, et,
depuis, les hommes sont facilement à genoux devant le beau sexe. Quand un étudiant
Européen invite une fiile à danser (au ~oins 3 jours avant et par téléphone) elle
s'habillera corrèctement, et se comportera comme une "lady", ou au moins comme une
petite fille bien élevée. Un Européen qui se retrouve avec une fille en pantalon,
refusera d'aller danser, et poliment lui paiera un Coca Cola avec paille gyroscopique orientable
• Cela elles le savent, et si elles adorent une ~nvitation
de ce genre, c'est
peut~tre
un peu parce qu'elles savent que le test est plus dif-
ficile. Les garçons américains découragent souvent les efforts que font les filles
pour
~tre
elles en
"originales" ; on ne voit pas de talons hauts tous les jours ••• et quand
me~tent
d'échasses ••••
elles ont l'air aussi à l'aise que votre
sur une paire
se~viteur
Quand on est Français ou Italien, on peut se permettre de donner
son avis sur les toilettes, voire
m~me
des suggestions, c'est toujours bien accueil-
li, et elles se mettront en quatre pour vous plaire. Vous allez rire, mais les
françaises, qui, en général, savent s'habiller, nous forment un goût très sûr, et
nous permettent de juger correctement. L'étudiante classique
up
américaine a un make
(cheveux et maquillage) parfait, porte des chaussures de tennis et des socquettes
blanches, un sweater à manches longues, et un Bermudor
qui est un short de toile
arrivant ~ la hauteur des genoux.
Le paradoxe qui me frappe le pillus, est de voir comment la femme américaine, qui se
dit émancipée lorsqu'elle fume dans la rue, porte des pantalons et des chemises à
bouton de manchettes, etc ••• dépend très étroitement de l'homme pour une foule de
détails. Une fille ira difficilement danser si elle n'a pas de cavalier pour l'emmener au bal ••• Une étudiante n'a pas d'activités sociales si elle n'a pas de
b ~)
friend ••• elle prend donc de l 1 entrainement vers les 12- 13 ans (les parents disent
•
•
./ •
•
a
·~
qu'ils réagissent contre ce que fut leur éducation). Pour ne pas res:ter ce qu'elles
appellent "un trésor non réclamé", une foule d'américaines se marient à18 ans,
souvent plus tat, et parfois, à 100n avis, sautent dans le -premier compartiment
pour ne pas
r~ter
le train. Il y a aussi les questions de Religions qui sont
sérieuses dans le domaine. En chaire, les curés de paroisse annoncent triomçhalement
les 11 Mixers" Catholiques (tradùire pa:r SOirées dansantes et non par mélangeurs ou
presse purée ••• ).
De temps en temps, il y ades
"Formac", nous dirions "Sélect"••• avec smokings
(heureusement que mon père m'avait refilé le s-ien àVaht de partir) et robes à ci"inoline ••• en fait les deux extrèmes existent.
A l'actif des femmes américaines, je dois dire qu'elles sont des maitre$ de maison
de premier ordre; les suisines sdlht toujours itnpeècables. Elles s'e cultivent beauc.oup
et savent se ménager des loiSirs qu'elles utilisent généralement à bon escient.
Quand je veux me faire bien voir,. Je his la cuisj,he française; je 'bénis tnes années
de
Boy Scout, et si vous savez que dans un resta\,traht américain les crêpes se
vendent 5 NF pièce, vous vous -doutez qu ·•un -Breton
~e.
f:ait beaqcoup d 1 amis •••
Les études c<butent 4 à 5 fois plus cher qu'en France, et je travaille à temps perdu
pour vivre convenalbement.
Actuell~ment,
je suis dans un labo de recherches pour
la Cie du Scoth (cela colle à .fond question travail).
La partie la plus passionnante dont je n·•ai pas le temps de vous parler est surement
la politique Intérieure des Etats-Unis à l'heure actùeUe • .Plus que. partout ailleurs
économie et poli tique sont étroitement lié'·e s et C"1 est captivant de -découvrir comment
marche le système américain. L'automation
lOOs~
des prbblèmes humains que nous ne
connaissons pas en Europe, et je souhaite avoir le temps pour vous écrire un topo
là-dessus. Les américains sont en admiration devaht( 11 Le Plan Français" + 5,5 %
par an). ILs sont un peu inquiets du Marché Commun et qUelquefois quand j'en parle
avec mon enthousiasme caractéristique, je lesvp~~fois se raidir, et si je veux
rester pcllpulaire, je n'ai plus qu'à refiler le petit couplet du plan Marshall •••
ce qui n'a pas
~ché
un businessmann de mesortir une fois "Vous en avez eu la
chance d'avoir eu la guerre en Europe ; toutes vos usines sont neuves ••·"
Dans l'ensemble les américains sont vraiment épatants pour les étudiants étrangers
et nous avons vraiment l'impression d'être attendus.
••!'/ •••
M'en voudra-t'on si j'utilise la fin de cet article pour transmettre ma
sympathie la plus vive à mes collègues de promotion ••• en souvenir de l'équipe de
Marguerite de Blois. J'espère les avoir distraits quelque peu, et c'est sans doute
ce but qui m1 a tenu si longtemps en haleine.
A bientôt.
Michel AUDOUX
Promo 58-61
Room 4216 - Univ. of Minnesota. Minneapolis 14
Minnesota
Etats-Unis
Cher aui;
Vo~_ ci le. dernier nuuéro. Il pe.:rait. en p lGine :'lériode d 'G:r:anen. T·u n.o déjD. d:ft lirG dan a lc.o autrea nuuéroa du MRO la cléci::rion
concernani1 le è.ipl6ne de l 1 éoole .. Houo ne. le coDUe n t e rono pa..s d.'avc.ntae;et
cc.r, pour noun qui avo n o 7 écu la vie dG la .w1i oon~ n Gu o oavono cG qu'il
repréoent.e .. C'e::r-t oftrGne.nt u ne grn.n d c joie.
,.
Bertrand St Loubert Bie ecrt parti en A1g4rie. La page des
anoienn perd un précieux oo llaborateur.
( 00:1 n.dre cr ne: PE. 2 HP.
SP 88 882 Ju..Tl'N) I 1 e at cln.nn lG GéniG 1 perdu dana un petit po ote de le.,
front~ère eot. Ma..ia i l reviendra aürm:nen.-t bientt'tt, pouro.uivrc. non aide efficace • . N' e niF-oe-pa.o Be rtran:h '?
Voici quelqueo nouvelleo roouèi1lio:lll
1
Noun avonfl' le plr:.i nir de. tc. fcdro part d u n a ri11ge de
Henri-Jean LE::?AY' avec Had.cmoinelle Oiu.:,n tcl CHEBROU de la
ROULlE RE
célébré: le 23 Avril
ela
Joan-Louio llESLIER avec l.iello Hn.rie PASQUfiER
qui a. eu l.iou ~e 16 Mai à. NALLIERS (Vendée)
do
Hic hel CALLOi!l 1 E a.vcc He lle. Gwenola GUEGlDElJ
célébré le 20 Jt:in à. REN1JES
ela
Bernard LE PAGE o,vec E.c~rie Céoile ROCI-f
oél.éblr4 le. 30 Liln.i à lli~ISOHS-ALFORT
(Pn.:rin)
Dt n.ut. roparl·;~ nouo o.vono n.pprin. L:t nc.insanoe- dG Bruno BEUGNETROli.DMifiR-RICiillTIU le 12 Juin à. lillgern.
:
- EOREAU; le 7 nai I9G2 ~ q_ui ost
rop~rti pour l'Lle;~rie le I5 E~i { Oon adresse : S P 87 536 )
DE l~OI·JTI; le I2 H['.,i I9G2 ( A H R 0 - 2/652 - B E I23 BRIAY AIR
S6nt pa.r:;;sés, à. l'Ecolo :
Loiret ) • Il trav-cille clcns les rc.è.r.rs.
FERRJüTD; le G Ho..i !962. Il est t.o-c.~ou.rs G. LAVAL.
1All.OCHE, qui étcit on :?ornissio:.l, (s l' 8'? 23G) no'l:.S. a clom:é c~cs
nouvo llo s; de C2L. L~J.Li.IID { S P GD L.:G7 A F H)
FOLL Je e-n-Louis P C.
G I T C I T I5I Cew.p c:.o Lina.,s EOl·TT LE:3JRY
Seine ct. Oise.
BENARD è.oi t. Otrc li b~ré bicnttl't
( S P GG 35G - A F H).
LJ.JTD:.-_JJ:..U ( 2èrw Cie C S 2 - 43. BT' - Quc.rticr Da.,ucsno- FontL:.inoblocu
S 8: H )
LORJ.JTCEET trL:.veillc -toujours à S ~-~ ( 20~ rue èo Berne ?lû1I3 8Gr::.c)
I l noua c.. c1onné des nouvcl]c s clo DAlTT'EC ( i..~n.tclot TransfilistG
service T' E R Prcun.r - Biz.o.rto Nc.vo..l Po ste lTo..vr-lo - A F N )
èl.o LI BERT'' Gi lclo.,s q'-"-i n.n.vi gue sur le Foch
clc LERJI.Y ;] oL:.n gui :2o..i t
Gon so.rvico ni l i tc.. ire on JJ.le;ério
de lleryvonne HOI SEL ct do Annette EZVJ... IT qu 1 il rencontre tout.as les:
doux h s
ct o.nsuito. de
SEGALEU q1.'i ost o..·11. Lont Vn.léricn
LUS:JJ...ULT { S1.:hclivis.ion Boit.o Postn.lo 74 - VJJTII3S ) où il co:t
secrétn.irc
NOGUE3 evoe sn. fcuso; c..insi quo COLLO, qui sent toujours à CD:OLET
:PAILLOT qui fc..it. los E 0 R à. -3J:..ULUR ( Esccclron 205 - I5èue brign,c1o)
w;
Sn.unu.r
Il 11ouo ~ l)~rlé c1c T' I~El'llULT; qui ont âgc..lc:.J.c11t è,
( Escn.C'..ron 204 - Brigc..clc 26 E A A B C Sn.ucur l.l Dr. L )
GEROHDEAU ( I2, bel Reapo..il Peris 7èoc)
l'ii che l JEAN
Noum avons reçu doo nouvo.llco de
( G- U E Scct/T'o 1. Be.. oc C E il.. H llo nt do
aui
oonptc roi.:tror
....
BOUE
i~ 11r s:c..n
( Air)
Lo..ndcs )
u.oi::; cl 1 J.~.~ut.
(S P 8G 498 A F H) oo:t à ORAH; où i l fr.it elu clépo..nnc..go rc.dio.
Hn.cl~r.w Philippe Bl:..UDOT
(lricolo O'KELLY) BclloVt!.c - 3n.inte-Foy
L'Argcn~ièrc
( Rhanc)
LEFBUVRE Henri vioEt do finir brilln.nont un stn.ge ( n.c":.roo,sc incortcJino)
è.c AUDOUX q_t:i no c:.oit pt.s tarder è rer~tror c1'1J.Dériqu.c
( Roon 42I6
Univ. of ~inncsota.,
Einncc..polio I4
Linnosotn.)
R.P..l.lBAULT ( ?o ntc il. 1 -
S P GC 461 - L F 1~ )
BliliLOY c:;.ui t .rc..vc:.illo cl:oz Phi l..ipn ~ Drive ( 39, rue du Colono.l
(Corràzo)
Veugour - Brive
LEBLJJ.W Serge
LOlJGI!JSPE f c..i t
( 21~ rue Ecï_ouercl Vo..i ll11Et - SL:.int Fons - Rh&no )
-trn.v11illo c:hoz Rhono-Po'l:.lonc
oo n o,orvicc !:li li tr.iro è Chc.ton.uclun ( :i3 A 279
Euro & Loire)
3o., 11ouvo.1:_o 11drocoe ~ Nen•oo - II3~ rue G. , Turpiu
J'
L.UDO Jon.n-Cln.u.c1o ( S P 8G 610 A F N ) no tromro n,_ quolqucG
l:ilooètroa cio BOl-TEl ot:. i l ost Chef c.1 1 J...tclior c,u c16pc,nl:c.e;o L'c.,dio
du rée;i::10nt. I 1 noua donr:o c.lc o noï:vo llo G de: LBG:.lALL Jc.,c,quo s
qui c st è.. BOITE o~oo.
CASES Bornc.,r& ( S P 09 4GG
A F N ) fcit le oaintion ~o l'ordre
D., Orc,.~ll
Jae:ouno: TAILLEBOIS "brc.vci::..lo au Leborc,toirc Contrc~l do Rochorchco
( G&C B ~ SIC ote •• &) Il y étudie dec nouvolloa fcbricc.,tiono
è. titre c1o Chercheur ( oh oz Eo ::oieur FIG Il TI - 37, avenue Pc.ul
Lcne;ovin - FOHTElTAY a..u:r: ROSES ( Seiiw)
l:Ilu"'i.HY Yvoo ( S P 8G 372/C -
A F H)
GAUFFRIAU Jocn-1-icrie ( 8èoc Cio - S T' - Bene Aèronc,vc.lo- Lc.r-tieue
?o ste lb velo 1'.. F H ) oct n.ffoct & n.u oorvi oo ole ct1•oniquo; ot
cho..re;-é do l 1 ontrotio:1 c1u natériel c:o le bc,so~ çui s:a trouve à,
20 ken c.,u sud d'Oran.
Serga EOllY ( Servica ci::6::1a. - qua.rtiar Ca.ffo..rélli- TOULOUSE
Il répare loo o..ppnroils do projection défoctueu~.
rTI:ü;IùLSOH
E L A R hl
(li-G)
Ho us avons c.lo no o ~wuvo llo n pc..r 1.1011 frère
lictriaulo 34 I54 T GI E E Forbein Buro~u Central
J? Ji..H.I 3 1Ji•.VAL
riAVARY orrt toujouru
~ Alcor on tc..nt que profo8nour. Il cloit
rejoindre bicnt6t le Frc.nco ct cnvis~eo une nitu~tion ~ Lcva.l.
Le prochcin li li 0 p~r~itrc en octobre. Il
sore tcnpu do cooceD.cor à, l'Annociction c1eo Lncicno. Cos quelques
ooilo~ q_ui vorrot:t u:: bon nonbro clo confrères tor::~incr leur service
nilit.ci:to, vont a~reoont nous p or:.:10tt;re c~c po:1scr sériousooont 0..
l'a..ifa.iro. En espèrent ~uo tu cures un petit nouent pour noua
ilinner de ton nouvelles qui font toujours plaisir; nous t'ensurono
c1e notre a.uico..l n.ouve:ür.
DJ..RD I P Da. nie 1
IIG
l~uo.
c1G B:t."O:Ouie;ny
AHGERS
La clavinetto
-----------Quend ~ça" conte~ »ça.~ daucen~ !·
Et quencl ttç.a.' 1
clos:cenc:.~ "ça. 11 rcoonto !
QUI SUIS-JE ????
IÂ~A
$o
6)"1
,
LU
POUR
VOUS
Le règne cleo oo.lculr..tcurs élcctroniquca:
( él'a.prèn "Elec-bronique indus.triollc" juin I962 )
On nc conçoit pluo un bu.rca.u noclcrue sa.no
ncchine l écrire ••• Bie~t8t a.ucunc gra.ndo entrepriao no pourra. ao
lJO.OOor do la. ncchiho électronique à. tro.itcr l'iÎ1forna.tioi':r •••••• "
11
L 1 a.rticlo on donne conne cxonplo l'onploi
clos. cpp.c..reilo do goution électronique pa.r le R6.gio Roncult ( ordinctour I.B.u. ) dopuin !952
Bion ontonduj 1 1 orclinc"tcur n.cconplit le
..,
.,
tra.va.il do con•Jtc..bilité: il a'cgit d 1 n.duiniotror G5 00j -l:)orsonncs,·
ce qui a.urn,it doon.nclc 150 conpt,a.blcs. L' orëlinc..tour ronplc.co cas
I50 oonptn,bloo ct fa.it leur trn,vcil en IO heuroo (I)
L 1 ordino.tour aert en outre
à. ln, è.étcmil'in.tion è.u. prix de revient a.u coura de le.. prépo.ra.tion dtun nouvc~u nodèlo
~ ln, direction do la. fa.brioa.tion.
I l fa.llc..it juoou'ici coopter oinn o.no ontro
---~-~~-,
lo non<mt ou' le principe du l~:maooont d'une
nouvelle voiture
o-tcit
crr~té o~ le nouent a~ cette voiture cxis-t~it ; l'cnploi do"l'infornction électronique" ouvre lc" pcropoctivc do Gc..gncr doux a.110 clo.ns
,
------~
la. prepo.rc..tion
d 1 <:n nouvcr:.u noè.èlc.
..__ _____ __
Enfir~~ 1 e éethcHl~c cleo: inforon.tiono entre
sociétés peut s'offcctucr dn.no ïë-ï~n~a.ga-dës-o~ëhiüëa:-~enn.ult ct
lo Crécli t Lyonnc.is sont é.quipés du ueno ordinctour : ontrc eco deux
nociétés, on oo contente ci 1 échcngcr cleo bobines o.n.e;nétiquos. T'outeo
opérctiono clc crédit ou de vi rouent o' o ffeotuc.nt onna: ln. noinclro
éorituro.
{I) A ro.pproohor do oo qu'écrivcit Au.cloux
des Etn.to-Unis en n.vril èornicr WUnc firuc u-tilise la ca.lculnteur
pour l 1 n.vcnt-projct d'un réa.cteur nucléa.iroj ot; on fin de nois~
en oha.ngoa.nt lo bloc dos r:;.o.triccs. do oowncncle~ cclculo lo. pc.. io c:u.
poraonncl" •·
Jo no co contenterai pcc do r6ponaro nuz 3ontoc deooioc ll oo
do l'E.G.:3.0 pn~· un· "croc;nor:2.ont :Jnrcnntiqco oc.oct:.lin" c~on-~ olloo
p~rlont oi volontioro ~ ~otro 6c~r~ dnns le précodont article du
Mho,nrticlo ~ont l'initintivo leur fnit on tout point h6nnour.
(Dois-jo uréciocr couon~nnt oua le croencncnt en aucotibn n'oct
pao cxc lu;i 1 ~ 1 1 hoo~10 car l i o:;.::porioncc nonj.,;rc c:_"Œ; no-.:.o entendons
oo't!.vent;. c~o no::Jblnblo o o n.ci lL·.tiono pnrr.oi tc n dont le., fJ..~é~t:.cnco
,
.).. J..O.:J..lno
" .
.
·'
.
.). .
' Cl_UO 1 quo
p l un o'1 evoe
pot.:.u
cro~ro,on pror:nero
c.pFroxJ..oc.~.~:z.or:,c
chose do plue oéloc-:.icuv.:: oG.io c:_ui,G.prèo oxc..non,reviont o:.::cct.onol:t
cu ~6no si on ~rend le obin ~c fnire la trcnouooition·· enno loo
Gc.on.oo i::1pr.rJ0i~n à chG.cuc don cleu:.: ceJ.:oo)
Ainoi vot:s :;_:;rotondoz quo cotte fornation technique
c.péciclio6e vouo niC:.ern à ::lioux co:.:.1prendro ct oouto:ür votre
· · t t •J c voue 1 e ooutn1~o,c~~o
r·~· co~~o
.)...).. :z.~ao
.,, co BCC0-0
' 1
'
conJ01D
pou nun~cao
pour loo je12.nos filloo délic:::.ton ct sonoiblon :;_-Jo vous: ètcn.
Dc:.nn l'hypot-hèoc où vouo c12.rioooz l 1 copoir quo l'élu c:o votre coo-.:r
cit auol~ue rG.pport evoe la toc hn i~ue(co cui oct boaucou~ n. 1 avcnoer)
jo n; po~oo ·)an" CJTI 1 ï..:r: couple noror.Î nuiooë 8tro pluo uni-à cct:_oc
d 1 épro;votto; et-~ 1 oocill~grnpboo.Ln-jc12.nO féDQo-~orc6o ~on pan
on vue ela fonder u.n foyer caio do cc.cno:;.· ne vie,c1ovio.:Yc ln caoc,rc.. C:e
tc trrjvni 1 de oo:-:-. :.:1c:::i OJ(i t.o\..!.to l' hr.ruoni o è.e lo.. rc.c;turo s' e::::.
trouve i'c,.ucoée .Jo no croi o pc. c non ~)luc quo le Créateur co coit.
donné tnnt do ccl po-.:::: ~ifforoncicr en tou8 ~ointe ~eux Stree cui
o;.::t. l 1 ci:r è.o oc conplo-:.or 2, oorvoillo,~Jour quo cou:;.::-ci :1011
contenta do cotte orcnniactionpr6tonc1o=t tout bouloveroor.
C~ qui OC~ aurpron~nt c 1 oot 0~0 VOUD pnrciosioz ~oroundocc
quo VO\.:S: aVez i..èl10 11 ropo;.1SO ccrvicnlo 11 ~plue lento cf.:. 1 Ul': esprit ',
na.scu 1in.Pont-6t!'o y cxrC'.it-il ièJ u::1 oujct cie thèse intoroosrjr..t
pour quelque pll.y siolocirr..G.o cisccyne!l..ic.is je pré:Zèro vous réponc~ro
pr.1· los proprco i)c.rolcs C: 1 L.Iic fo:.:.1w.e c:ui éc:dvr.it è.C'.l'-D un nrticlc
Il,..
,
•
•
n' •
•
C1 ' U~C !'GV~G pGl"10~10UO: ~CS ZGDDGB ne DOn~ n1 1n ~Or10L.res 1 Dl G~DG-riauros:clleD conofitL.ont tout sioplcocn~ une cct6corie (iff&r;nte~
Veil~ l~ position du probl~oo c~ il-no f~ut ~cc sc lancer ~~no dos
co:.:1pr.raioons qui n 1 c.. boutiront jnonio.
Uc,i o a.loro c".ircz;-vo-c.::; p ouquoi le oondo 'technique noue, ::woblc :2or:J.é
::mi no"J..o noue avonc les ::.18r..1o c cl:n.ncc o do réuos;i te?Voun r;_c ;:orccttroz
; .. lor~ de r8pcnc~ro par cotte phraoo d'un contcr"!!porc_.in:
11 L 1 univoroiJ.:.6 c.. pi.:'. ndoo ·btrc loo feooon è toï.:'..B loo col:cot:rB;
cn.io cc oont doo concours pano6o pnr deo ccrvonu~ nelco,lociquoc,
calcul~teuro ou rhotouro.;n ~ow.w.c,je le nnis,o~ello dans ~cs
conaou~s.Elle . pout y d6pG.sser l'hoorJ.e,ocis p~r sn lnoulté d'obctiJ· ·
.
•
"
•
'+'
.;.n•
J...l-.
-nr.~aon,pc,r
sr. p-~n::Hlnnco
CiO n~Devl.:::tDc,pnr Cie .s::L 1 pnr coq_uo~verJ..·c,
. PG.r jnlousio,pnr pG.ssion.Enis dnn~ le ~onnino proproncnt nnoculin,
olle n'ost pas chez ollc.Lc C:éocrt r.bntr~i-t ost occupé p~r la
concurrence n~lo".
Et enfin ~ propoo do cette citation c1o ~.=lcr..s no
con:Zonc~ono pao ln vc.lour C: 1 un hocco evoe oonreopcct potE· ln fow.nc
ou plutet ~..:.ùo oopèco do t;C'. l[mtorio précio1.:oo ou r.ri::;-toc :;:c,-tiqw.o
à le, nanièro d 1 t:.n Tc.,rt"L'-f:Zo.7oilc. t:,n crit,èrc g_'t:!.i QG secblo bio:::
1
•
-
•
l'
dnngoro~.:x.
l.~. UGOl!
.
•
2 ° Jilllê.é G
3 ---I2 l"t1G ?c:::r:r I \l Jall~io (i~ oJG !;)
JU1l.
c.out
~:'.••••• 8 Avenue cleo: i.:lc,r-Gyrn
Lic;uc.il (I etL ) juil o ct.o brc
J ••• Lc..nde~eo
?o~t-Lven Finiat6re
j'C.il oeptcnb
Ti'
•
·LCU0JG1.1ll
·
J
•
/L
. (-hO~~
. -' - )
J •••• -Lc.. -v
~c~l"1G!'G
· 01!'0
Aout oept'
B~rcr1ce r
)1 Ber:Gte~
7:: c!.·thou
E ln-chez
Boilè.vc
B •••• Ln. Sn.U.c
Bol!.G~Ll"t
R ••••
"
~
~
.,..
t
l
l
t
')(
~
)Q
Cc..rqt:ofou
Vond6c
(L.At)
jui 1
n.out
n,out
c.. out
sept.
:::apt
A ••• Ln. Tourlcnery
(~etL)
Brillcud. H. • • 7 rue èu Trn.it-Hcuf I3r éti gno llo o sur
cout
r:.i er
Von cl éc
<) •
r~out
oep-(;
Cc,riou
ge:,rc..gc
Bé[prG. ( C elu lT )
Chiron
aout
l.: • •• Bel cir de Conbr~e (LctL)
juil
Dorlot
Plouray
ilcrbihcn
G• • •
ne pt
Dufo ocré
St l.ic.:t hu ri n
( U ct 1)
J •••
D' Evry G•••
6 rue ~oc ~tete U~io
Fontaine ble cu (SetE)
?
Fribcult G...
St L Ziii
(ï:. :otL)
?
Ga..u..thier J •• La Cl"oiJ.:: Houvo
~u.e uter:.bcrt l.iorhihc..n
Juil nout
Gourdon A •• 11 Leo Trottiè.rco" Thouc..rcé (E&L)
?
Grt:.n,u
D •• I5 Rue GcnbcJütc•. Sn.blé o/Sc,rthc ( oc..::-'..;ho)
Guil l c..rd F •• Ln, Civ clièro
lfe:.ntca (Loire Atl.)
Aout Sept
Honoré
R •• 23 :Bd Be.. bi~ Chcva..yc Hc..r:.'to :::~
·
Jcuf~recl L • • G Rue elu Crucifi:::
i:..Yi(;no:1 Vn.u.clu.ac)
Sept
Lc..bcye-Voioin G •• 54 ?..t:G è.c Briosa,c Angcro (LD:L)
Ao1:t sop·0
Lcfc..ucheuz JL •• ü4 Rue de le.. rivi~ro Le lle:,no (Scrthc)Aout sep
Le Lub.crno .re •• Scdnte Gœ:meo o/Loi::=o. (:i.;~tL)
i .out
iic.infroid. O•• II :Ouuc de ln. c;cre C~',nà.é (L<:~Is)
Aout Sept.
~c..ooon
F..
H.D ~e Cenilly (llc..ncho)
lTenoz
P •• Be!. do Renno f,l_ L' Eornitc..go ( IêcV)
l:..ou.t
Rochet
JC •• Plc..cc do lféglinc Grc..n~-Auvornc(t=c..tl) Aout
Roucx.è.
1:1 •• P l c.cc do l'églio:c Cc":o.pbon (L c.tl)
Juil
Do Sc.uvobcuf ~·Ville.. "Elb.o~ien 3orèc~ 11 Ci~ou~·o. (~ P)~o:-t nep
St.ophc..u
J •• li ruo Dc..nton ~nt-l'Abbe (ouc-F1n1ctcro)Ju11 n,out
S1·rycon
P I3I Lv do St. :Pono
Cc.ctroG; (T'cru)
juil sept
T'ho ri cné C
Bc.i n
( I2z:V)
cout
Turbot
G
Oi ococ..t:.
(i.Lc..ycnnc)
jui 1 r.:.out
Ugon
li
Le Ecrtinot Doucier (Jure..)
juil
I4 Av do J?oi tou Seo cu:: (Seine)
;:;cpt c.. out
'18 Brioc.. rd
'f'
lln.rtinc~
..
IOJnmée
Lrvor A.
juil c.out
Yc..cht club ela CcrD.cc
Sc:t.~t
4 Avcnuc Préto:.·iC'.. lic..r::.ton
Brochnrcl p 25 Av l.iirc..bcc.u c.,ne;crn
Colonie D.i.:.IT. SJG Gc.:rnc.in le Vence!' Cn.lvc.,doo Leut.
?Il3D J ••• Villr. o/boin Lonc;ovi l lc-plc.gc (Vel:èéc)
LG rot:;; JY ••• ~{o ri e;c 1 Le :;c brc q Re r b i ro 1: Fin.
n.oujü
Ile Tu.è.:t (Fin)
Euncc..u C
Le Jubc..uè.i~:rc
(i.:&.i,)
Lc..rchor JP..
Putcn~on
(Orne)
Loch~~rtier Cl..
Rocquig!lY pc.,r le. hn.yc Pc:::m.ol(llr:.nchc)
~'lillic..nnon L...
42 rue c"..u roi Bc.co Nc.,ntes
Grc. ne;é JC
~ rue dcc J...uc;uot.ins Pcrpir?;::c:.n. (PO)
Bric..nt G
Gonuord
(li&L)
Zoubbo~f V....
5 hi::J Ch.onin. cle::J cn.pucinc l!..nc;oro (L.&.L)
Gt:illon E ••• 7 rue Yvcrn
Hiort
- (D.S)
Ec.,non
Gt Brcndc..n
(Cc~J ).
Gc.o rge G y • • •
St .lll:lc..nd. p c.ulo
( ccm)
v...
1
..
..
~
Ch.c..u.vé
(LA)
5Q rue Eontoc..u.cicl nc..ntcc
(LA)
~ ?lece Lc..reneo
Angora
Grt,nd I:Tote!
Font Renot:. (PO)
Robert L
..Ll.:ru.c vitel Ctorlon
Borclemu.:
Thooc.,zeo.ù JLt ••• I2: rt::.G Dupin
lriort
(DS)
Bondu:. J
••• Co lo de le.. cotu.•o:wnc
3o ;)tnonco 1 (Jure.)
"Le Bouocini~ro"
Gcnne~ (li&L)
Godin J ••• 3 plc..ce ~o le vicitc.,tion Aneo~c
Boccor Ji:.'! ••• I7 Av Friedlt.nO: Hc,ntco
(LL)
Foyer B...
Rue Da.vicl d'Ane;oro Vii:.iers ÜEtL)
Béa.ooc JC
I90 rue pcu.l Bcllc.,ny lbntes
(LA)
Bczillc U
Cecuco
(Orne)
~cbihc..n F •• Pont Jieu
Cleder (Fin)
Terrière J 20 ru.e Gutenberg
Angerc
Bc.,ron JP •••. 4 Bd Bcsoonncc.,u Angora
Chc.,rricr J ••• I7 rue Vallier Angora
Le Ho nor
Av Fe li:.: Lcnoino
lkn:te n · ( :i:.JA)
Tr8l~zé
(l.~[~L)
liai lla,rcl
29 Av cleo J.1i lcn Vc,l ci. r Or
Crvc..ult. ( 1A)
GuillonC
Vc..lJvon L ••• II rue Dobréo Nc.ntoo
R.ouc..u<i C •••
ltlc..zc,rguil J .P
Vincent P •••
ju.il cept
c,out
juil
Boionerd A Le Hoculne
Vioscicho (I&V)
St Julien do Concelles (LA)
Cct~onoz JL
29 3d Dt Aigncn Hc..ntos
Docou:rtye C 20 bic ru ~ clc _ lc., tc,nr..oric lT2.1:ton:
Lefebvre B •• ~ B~ Lcnhr~ino St Briot.:~
Breud A Pleco de l'~glioe
P. 1 •
~,.,
- '>
1
-,
,
,
(- -,. -. )
uc.,o1n
~~
••
~rcn~~on~
~ reze
ua~
Guillon Li
7 rue Yvoro lTior.lc.
(DG)
.
Gocli chocu L
I 3 Plt-<:~e 3to T hérè sc Lne;o:rn
Uclc..ssigné P •• Ker Lere Ste Ec..rino on Coobrit
(?in)
Gorcrd J
GO rue de le.. gere Conccrnocu (Fin)
Lepoyro JP.. 3 rue Bc.rla.
lTico
Boin.ot 0 tJ5 rno Gc..nbe.l.:,t,c:,
lJiort
Girt~ult. F
6 Plt"co du. Tertre. Angerc
Drunt6rc•h ni •• 40 Lv de le 3lcnchorcic Ln~oro
Guillou B... 50 rue do Brossigny Lne;ers
aoLnnéo
Alliou.x JP
Auoio,u};:
i •.,
Be;.bin
y
I ?lnco den Licon
'~"! c. . n!1o n
38 :rue du ~uincor..ce
Jui lloy pa.~ J...vrc,nche n (Hc"'nche)
60 rue Du Bollc,y
Le.. Pooooni~re
(U&L)
II rue Iîo che
Be.. loo nt L[
3cllocc: J
Bequet
c
Boit,vy Jp
Btïl"'C~U
J
Cl1CJtCQ..U D
Co cnc,rd D
Cotterec.,u p
Cotter0o,u B
.A ubin Le Lo::ic,l (i:..llio:r)
G rue Je:,cquos' Grcnnec"u
II r~o Lrthur LLger Hontrougo ( 3oino)
3I rue
2 rue Goorgeo Cl,~cncocu
Hc,n-to o
43 ruo d 1 Auouo Ce;.stroo (To,rn)
~
'
, ~,
l -~;~, rue
a:c.
genere..
.. ourn. or
lJc.nto o
Chi tcnc,y
( L&C)
~ rue St Benin
Nevers (Ni~vrc)
3I rue jt.:lo::; F· err~r
rue de le.. poste
1la.yenno Üic..ycnnc)
llouilloron en pareds (Vendée)
/
DAlJIJ:L Jo soph
Dk'TI i...laurico
DEŒ.~OHT'S F:a.·a.nço i c.
DEG.O JEER Yvn n
DOUGUET L l c..i::::
DP-.OUJw1.T Jo ê l
FLLLOU~.': l ... Gnè o
F3IDT':'ZUH Pierre
GUI:L.:;:;ou: Jeo..n-I:ro8l
GJJ1IOD Diëior
GLU:~JI' I::JR Rornnrcl
GAUTIER J.~.nd.:ré
GUE.JLOU" J.o..yno~1C:
JLCOB Louic
JL.HJoë l-::"vo n
::c:mJ. .ïJT:::.ET L.lc..i n
Ll..i.J:BLÎ!:?.JE Ee:,rio-Pc.1!.lo
LE FUR Yves
L:J::T 0UC'&H3W- DoD.i ni q_ue
î..~L.D.!:: EL ~n.bor-t
l:I.Li""lT DT L lc in
HL.2ZIH J.~.ue;uotin
POliCOT Lou.io
ELlJFOU E:crv6
S.L.lTD?uET Hr.ryvo nr:o
:J:JVEGRJ:.lm 1..lc.. :de-c.nc1rée
T3I ~~?...1ET P'"'o ~cr
T3~.J:::..IZH. Hi co l e
T'OUJ1J...ULT Ch.'.y
LI~3UD,0U (If.: V)
r1:.e clc ln. Fonta.ine4.:J...UROH (:MorbihO.n)
't' bio rue c"coo Eat:.~r -Pc..ric. :;:VI 0
3 G rue d.t:. Bo i n.-C ouche -EURE
G rue 8>c..intc -Dc.ï•bo--lvll... R ~U I ;]3-(?-Do-C),
~I rv..c Gtl.l n.thiou (UHIP:.3R (Finintèro)
I GG rue c"~u. Porni ch.ot- SL.IlJT lJASJ..IL1.;.;J
: I8 r~.:o c'.c le, Croi;:-Blc:..nche-Pl.:. Tiü (LO:lil.j]T)
SALOU-!d..lTDIUT\TJ..,RZBC (Finintèrc nu.d.)
:\orn.nco lvcn-GJ...IHT' )".V..{ (Fini otèrc nue"'..)
: Le.. T'OU!l C:o30U ::'UJ:LOlJ ;J c..r lw. TROHCEZ( I nère)
;Le courier JOUE ET'IAU- pc.r GONHORD(iietL)
: 80 Cluw.i Car1"-ot r:;:_,z D'Ylru" (Vcncléc)
• Bou1:r:; de GLDTT VOUGL.Y ( J'ini nt 0rc)
IG rue Hicolc..o Leblr..uc-BOURGES (Cher)
Qu.cir:.cou.cl 1 ch-CO:S~c.~OREC-(Fini n-'Gère· Horc1~
?.G qun.i e"'..o L6on- 1LHD321Bi..U (Fini nt ère i
BZIGHOH (l.lorbihcP.)
:Z ch·ijo['.r..- PLOUMOGU::JR (Finistèl·e Hard.)
: ID 8 rue et c le. Gi L~·,rc1i e lJLHT'ZS
Beur~ cl0 ?L~VIH ( C-clu-H)
: 2 place è_c Vorc1un GEEHOBLE ( I aère)
2 rue Jc.q_'l.wo.-7..Jc.f:Zitto-Bl.~.YOlHTE-(B.?.)
l:::ervil~ou r,'l: Don :i.JE DEEHlBC (Fini:::tèro nore"':.)
VLLOHEG pt..r VILLL.PuD S/DlJ.ü?JOUJ: (Douhn:)
Ci.~.ST (Fini ct ère Su cl)
:::iG bou.lovr. rd ~li 1 no n-SL.II!T-HLZLIR.;'"J
SEITG do Brt.ETi .. G:rT3 ( I l:t V)
B.P. :ür. Grinl1t:.(~ière-11.. i.10CEE STJ:il YOH(VEncléo)
IO pla.cc Dou:Jer-CB:l ...T'El...U GClT'::' IER(l.."Lo..·:rcnr:.o)
,
G rue i ..LO nfron:r LlJG:82G
++++++++++++·:·++++++++++++++++
,
,.
..·
/
./
/
,/
/
,.·
...
/
/
1
"Si
j'o~
j~co
••• oi j'on jueo •.•
.:;O!:.lDO::t?
3i j'on jul 1 !Pnr{on,si
j'o~ j~co
••• "
-:ui ot:.i o-j o?
ooooooooooooooooocooo
Rccllcrci'!:.c bc.,tl13rocc.~LJh. c
3L:: T' o r:o c.n •
~criro
ro
porto
~
sc110
lo ::r'c, lJo L-.r u.ti li ot#.Jc.i on
cc.ucho entrée lc.bo
~0
~c..""'ûior1no
llo
c.,nnéo
0000000000000~0000000
::_no lq'L"'--O o pro j ot.s c1'
ir~ ni
fp.o, rotorr.'.o pc.r le., co:1oi ooion coopétonto
0
0
B8
r
~\
8
6
....