Download Sac à rire 2009 - Jeunesse d`Ecuvillens
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Éditorial Éditorial Chères amies et chers amis du «Sac à rire». Le principal acteur de ce mois de février 2009, c’est le froid. Mais pas seulement! C’est également le temps des divers carnavals... Et qui dit carnaval, dit forcément journal de carnaval. Celui qui est tant redouté par certains, et tant attendu par d’autres... L’équipe rédactionnelle a tout mis en oeuvre afin de vous offrir un journal de qualité, digne des plus grands magazines du monde. Vous pourrez donc trouvez à l’intérieur de cette édition encore plus d’images chocs, d’histoires extraordinaires, de scoops et de révélations toujours plus étonnantes. Sans oublier du cynisme, de la satire et beaucoup d’humour... Notre équipe, aidée par ses nombreux informateurs, à la pointe de l’information, n’est donc pas passé à côté des sujets chauds de l’année 2008. Une touche de people avec Federer, Johnny et autres. Une pointe de drames ménagers qui ne laisseront personne indifférent. Une once d’images volées et d’autres bouffoneries animeront votre lecture. Vous y trouverez finalement quelques recettes de cuisine et conseils pour éviter la crise financière. A l’honneur également dans ce journal, Benoît XVI. Sacré déconneur ce Benoît. En effet, il a quand même sacrément déconné en réhabilitant le négationnisme. Enfin il a tout de même annoncé la joie de l’espérance chrétienne et la vérité qui nous rend libre. Bref... Finalement, je tiens à remercier nos annonceurs pour leur générosité, la commune pour l’aide matérielle, ainsi que toutes les personnes ayant contribuées à la rédaction du journal et finalement, concitoyennes, conyitoyens, sans qui le contenu de ce journal serait bien moins fourni. Bonne lecture et n’oubliez pas : «Yes, we can’t!» «Oui, nous ne pouvons pas!» Eric «Obama» Chavaillaz, président O Sole mio o sole mio 24 décembre 2008, Noël chez Maurice orthodoxe. Quoi qu’il en soit, alors que Seydoux. Vin, cadeaux, vin, bourgui- Pauline pensait déjà à autre chose, Qui- gnonne, vin, débats en tout genre, et quine eu un mal fou à se relever! encore du vin! A genou, appuyé contre le mur, il lui a Apparemment trop pour notre «first fallu bien 5 minutes pour se relever! lady» d’Ecuvillens. Est-ce que Quiquine (Marie-Christine Chavaillaz), ne suppor- Mais quelle fierté d’avoir pu le faire tou- terait plus ce délicieux breuvage? te seule, comme une grande! Quoi qu’il en soit, on a eu la preuve Fière de son acte, elle leva le bras devant qu’elle n’a pas bu qu’un verre! Notre elle et chanta l’»Internationale» d’une amie voulu consoler Pauline Zamofing, voix tonitruante. «C’est la lutte finale...» tombée dans le corridor de la maison des Seydoux. Bravo Quiquine, pour ta philanthropie à l’égard de cette chère Pauline et finale- Inquiète, Quiquine se précipita, s’age- ment bravo pour ton sens de l’auto-dé- nouilla devant Pauline pour l’aider à se rision... relever et la consoler… Réaction peu À l’attaque du vanil noir À l’attaque du vanil noir Après une année passée dans le plat arrêter. Ils montèrent donc droit haut pays de Berlin, Doud (Dimitri Dousse) à travers les pâturages et les rochers. avait soif de montagne. Il s’organisa donc une petite course dans les Préal- Mais on ne dompte pas si facilement pes avec son vieil ami du collège Vincent la nature. Proche du sommet, il n’était Vuarnoz. Se prenant pour des alpinistes plus possible d’avancer sans danger de chevronnés, les deux compères déci- mort. Ils contournèrent la montagne dèrent de s’attaquer à ce qu’il se fait de et virent tout à coup un autre sommet, mieux dans le canton de Fribourg, le Va- avec une croix et des gens. La vérité leur nil Noir, et, pour éclata à la face, ils pimenter le tout, s’étaient trompés de manger une de montagne... fondue au sommet. Ils partirent Ils tentèrent dé- ainsi bon sespérément matin, muni de de rejoindre le fromage, caque- véritable lon, pain, four- Noir, sans suc- chettes et vin cès, la topogra- blanc. Une bien phie étant trop belle de journée en perspective. escarpée. Vanil La décision de rebrousser chemin fut dure à prendre, mais même Après une petite marche d’approche Erhard Loretan le disait : «Quand pour l’échauffement, ils virent le fier Va- les conditions deviennent trop dan- nil, dominant la vallée. Ils s’élancèrent gereuses, il faut savoir renoncer.» dans l’ascension, dopés par l’air vivifiant de la montagne. Shootés même, De retour à la maison, il étudièrent les car ils passèrent à côté d’un panneau raisons de leur échec. Ils s’étaient en fait où il était écrit «Limite à ne pas dé- totalement plantés en tentant de gra- passer», sans se poser de questions... vir la Dent de Folliéran, puis la Dent de Hors des sentiers balisés, les deux ca- Brenleire... Tout montagnard devrait le marades se retrouvèrent en terrain savoir, en montagne, une carte est bien difficile. Mais il en fallait plus pour les plus utile qu’un caquelon à fondue! la chute à perriard la chute à perriard Jacques Perriard, notre cher conseiller communal, est sportif. Ça nous le savions tous. De plus, notre élu national est professeur au collège St-Michel, prof de sport, ah ben tiens... Il aime à répéter les consignes de sécurité dans ses cours, ou encore à ses enfants, mais les applique-t-il vraiment? La réponse est non. La preuve durant le joli mois d’août 2008, Jacques se rafraîchissait gentiment dans sa piscine avec ses enfants. Soleil de plomb, crème solaire, comment mieux profiter de ses jours de congé durant l’été. Mais voilà, Jacques, voulant certainement impressionner ses enfants, décida de leur plonger par-dessus... Pas de problème me direzvous, et pourtant le sol était bien peu profond pour un grand gaillard comme lui. En effet sa tête se fracassa contre le sol de la piscine. Résultat, une belle ligne de cheveux rasée et surtout 17 agrafes dans la peau du crâne histoire de recoller tout ça. M. Perriard, vous confirmez une nouvelle fois l’adage qui dit : «Faites ce que je dis, pas ce que je fais»... Bel exemple! Gaga happé par un transpalette Gaga junior (Cédric Galley) est connu pour son magnifique discours de la bénichon de 2007. Il est même reconnu pour sa ponctualité au travail... Le travail, justement, alors que Gaga faisait une petite réparation en altitude, entendez par là qu’il était sur une échelle, une de ses collègues pilotait un transpalette en dessous de lui. Tout se passait bien, jusqu’au drame. En effet, sa collègue, certainement un peu fatiguée, n’a rien trouvé de mieux que d’happer l’échelle où Gaga était posé. Résultat, une chute digne des plus grands bêtisiers et une luxation de la rotule. Ouf! On est passé tout prêt du vrai drame, mais finalement tout est bien qui finit (presque) bien... Maude Seydoux : «Il y aura bientôt plus de divorce que de mariage!» Rachel Panchaud (devant le London Bus) : «Il est ou le London Bus maintenant?» un dindon sur une digue un dindon sur une digue Après une représentation du théâtre de la jeunesse, la fête allait bon train au bar de l’ampoule. Une vidange s’imposant, Eugène (Jérémy Galley) et Panch (Nicolas Panchaud) se rendirent au toilette des hommes. À peine entrés, un bruit sourd provenant des cabinets attira leur attention. En effet, un son proche du cri du dindon qui se noie se faisait entendre, un cri ressemblant à «bloubloubloubloub, haaaaaaaa, blouboubloublou» (ndlr : à prononcer en bougeant son index devant ses lèvres). Les deux compè- Jean-Denis et les nouvelles technologies Notre cher syndic, JeanDenis Chavaillaz, a encore quelques lacunes au sujet des nouveaux moyens de surveillance bébé. Non Jean-Denis, un babyphone, ce n’est pas un talkie-walkie ni un téléphone, ça ne sert à rien de dire allô ou de parler à la personne dans la chambre du bébé, personne ne t’entend! Albert Panchaud : «Le Fernet, c’est un médicamen qui saoule!» res se dirent «Ah voilà encore un petit jeune qui n’a pas su se tenir». Ils décidèrent alors d’attendre que l’auteur de ce doux bruit sorte des cabinets afin de s’en payer une bonne tranche. Quel ne fût pas leur étonnement quand la porte s’ouvrit et qu’ils virent sortir Marc-Antoine Emery. Celui-ci, devant les deux visages abasourdis lança : «Ben ouai, ça arrive même aux profs!». Désormais certains comprendront mieux pourquoi la copine de Marc-Antoine était quelque peu rétissante envers ses baisers durant le reste de la soirée... yves est fan de hockey yves est fan de hockey Yves Chavaillaz est fan de hockey sur glace, ça se sait. D’ailleurs lors des derniers championnats du monde, au Canada, il a prouvé sa passion. En effet, le 3 mai 2008, Yves est allé faire une petite grillade chez Grégoire Schaub avec quelques amis. Ceci après avoir été chanter avec la société de jeunesse. La grillade s’est bien passée, normalement, rien de spécial à signaler. Donc vers 2h du matin, Yves et quelques compères se mettent devant la télé afin d’assister à un match passion- nant, Suisse-France. Franchement faut vraiment aimer pour rester éveillé si tard afin de regarder ce genre de match. Sans surprise et pour l’anecdote, la Suisse s’était imposée. Forcément... Et Yves dans tout ça? Eh ben ce passionné n’a finalement pas eu le courage de regarder tout le match (image ci-contre). Oui, il s’est bel et bien endormi devant les prouesses de ces gladiateurs du futur. On sait tous désormais que la France au hockey, c’est un véritable somnifère. Merci Yves pour cette magnifique preuve... granet ce motard A la fin du mois d’août a lieu le désormais traditionnel rendez-vous des bikers à la mythique cabane du Bois Cornard. Autant le dire tout de suite, l’organisation est impeccable. Pour preuve, construction d’un bar en règle, agencement de tables sur la place de la cabane, bâches gigantesques anti-pluie etc. Durant tout le week-end, le d’habitude paisible village d’Ecuvillens-Posieux a donc vu défiler des motos plus grosses les unes que les autres. Des dizai- nes et des dizaines de motards se sont donc rassemblés dans notre forêt... Que des motards? Non, en effet quelques villageois ont pris part à la fête, notamment notre ami Didou (Didier Galley) (lire ci-dessous) et notre ami Granet... Granet n’a rien d’un biker, mais alors vraiment rien. Mis à part peut-être le fait que notre cher employé de la Poste aime faire la fête. Pour preuve durant ce rassemblement de motards en tout genre, il a passé tout le week-end là-bas. Même en arrivant sans tente ni même de sac de couchage, Granet a tout de même campé durant tout le long de la fête sur place. Eh oui, grâce à l’hospitalité de ces chers bikers qui lui ont prêté tout le matériel pour. Ah Granet, la prochaine fois, mets au moins un veston de cuir avec un aigle sur le dos pour squatter les bikers... Écho de la fête Alors que la fête du rendez-vous des bikers se passait très bien, une curieuse bête, entendez par là une curieuse moto, est venu troubler l’ambiance. En effet, une magnifique Vespa verte a commencé à dévaler la pente de la cabane du Bois Cornard pour venir faire retentir son faible moteur devant le bar. Les bikers présents furent bien évidemment étonnés en voyant Didou (Didier Galley) les narguer sur sa «bécane»... Mais ils sont bons joueurs et ont finalement beaucoup rit à cette provocation de la part de l’électricien villageois. Didou se réjouit d’ailleurs de remettre ça l’an prochain, le rendez-vous est donc pris! heureusement que l’on peut compter sur nos sponsors Le théâtre s’est comme chaque année très bien déroulé, les spectateurs étaient au rendez-vous et l’ambiance aussi. Après une attente qui a duré une éternité, voilà un sponsor qui montre le bout de son nez, Damien Chatton. Les sponsors nous ont soutenus fidèlement et nous leur en sommes reconnaissants. Comme chaque année, nous avons donc voulu leur montrer notre reconnaissance et nous avons organisé l’apéro des sponsors. Panch (Nicolas Panchaud), en bon président a été chercher un magnifique plateau de fromages et de viande ainsi que des cacahuètes et des chips en grande quantité. Ce sera le seul et unique à venir. La déception se lisait sur le visage du cher président qui s’était donné tant de mal à organiser cet apéro.Par dépit, il invita la coiffeuse, la maquilleuse et les acteurs qui ne se sont pas fait priés pour se ruer sur ce magnifique plat. Toutes ces délicieuses attentions ont bien fait envie aux acteurs mais pas touche, c’est pour les sponsors. A 19h, personne n’était là… Donc merci les sponsors pour votre fidélité et votre précieuse aide durant le théâtre car sans vous rien ne serait possible mais s’il vous plaît, la prochaine fois, venez à l’apéro, ne serait-ce que pour donner raison à la peine que le président s’était donnée! dans les règles de l’art... Vous n’êtes pas censé ignorer que Johnny d’Ecu se retrouva impliqué dans un accident de la circulation. Une voiture heurta son boguet-Davidson. Face à l’aura et à la prestance surdimmentionnées de ce personnage mythique, la conductrice voulu faire les choses dans les règles de l’art et appela la police. Résultat des courses, Johnny a pu rentrer à pied à la maison. Pourtant, deux questions s’imposent : Est-ce l’éthylomètre qui a eu raison de son permis de conduire? Ou est-ce la police qui remarqua que le permis de boguet, et bien, Johnny, il ne connaît pas? Le mystère planera à jamais et nourrira la légende de notre Johnny national. Chez les Panchaud, lors d’un débat animé : Yvette Panchaud : «Nanuche» c’est pas tellement péjoratif, par contre «pétasse» oui. Chacha (Jean-Marc Chavaillaz) : Ho, «nanuche», «pétasse», même combat! Hé mec, ils sont ou mes skis? Ce célèbre adage va si bien à René Gendre... Surtout pour un professeur! Explication : le camp de ski avec l’école avait très bien débuté! Leysin est très sympathique, la neige est parfaite, le temps magnifique… Bref! Le vendredi, le camp, tant aimé par les enfants, se termine, c’est retour à la casa! Au moment de partir, notre cher René active les élèves en leur faisant la morale. Ils sont grands et doivent être responsables! Interdiction donc d’oublier ne serait-ce qu’une minuscule chaussette! Tout le monde entre dans le car, et surprise, les enfants n’ont rien oublié! Ouf! Le départ se fait donc sereinement vers Ecuvillens… Mais arrivé à destination, René sursaute d’un coup! En effet, il a oublié sa paire de ski à Leysin! Dire que quand on est gosse, on prend nos chers professeurs comme modèle… Bel exemple pour la jeunesse! rodger is the best! rodger is the best! Roger Federer est un mythe, une icône de notre pays. Tout le monde le connaît, tout le monde l’aime. Pourtant certains l’aiment plus que d’autre, comme par exemple, Nicole Chavaillaz, secrétaire communale à ses heures et fan inconditionnelle de Federer. Entre les réveils à 3h du mat pour voir une demi-finale pourrie lors de l’US Open ou les réveils durant l’Open d’Australie, Nicole n’en rate pas une miette. Mieux depuis 2008, elle s’offre chaque année le magnifique calendrier Roger Federer. Un calendrier qui coûte tout de même 29.- (sans les frais de port)... Mais rien ne fait peur à Nicole pour affirmer son fanatisme. Elle répond d’ailleurs volontiers concernant le prix du calendrier «Il y a une partie qui va à sa fondation...». Oui Nicole, on se justifie comme on peut! Revenons à ce calendrier et la magnifique photo du mois de décembre. Un Rodger lifté à souhait, en position de recevoir un service. Franchement une photo ratée et beaucoup trop retravaillée. C’est d’ailleurs le même sentiment que le conseiller communal Dominique Zamofing a ressenti lorsqu’il a vu le calendrier fièrement affiché dans la cuisine à Nicole. Ni une ni deux, il décida d’emprunter un stylo et de refaire Federer à sa sauce. Fausses lunettes, fausses moustaches, tout y passe... Pauvre Nicole, et pauvre Zamo... Imaginez la vengeance qu’il va certainement subir dans un futur proche... Osez s’en prendre à l’idole de Nicole, c’est encore pire que de caricaturer Mahomet... les pieds nickeles les pieds nickelés Il y a parfois des soirées qui durent, mais qui durent... Une belle illustration pourrait être la fameuse soirée raclette chez Didou. Malgré le fait qu’aucun reporter du journal de carnaval n’était présent durant les faits. Plusieurs témoins ont pu certifier que c’était une sacrée noce chez Didou ce soir là. Zinzin le condamnant définitivement à rester avec eux. A ce moment là Zinzin se leva pour admirer le spectacle. En voulant se rasseoir, tout dépité qu’il était, il oublia de regarder s’il avait une chaise à portée de fesse. Heureusement, le drame fut évité grâce à Didou Superman qui se jeta pour retenir son ami. Ouf! Par contre le lendemain matin, 3 de nos fidèles reporters étaient à la Pinte et assistèrent au spectacle offert par les derniers survivants de cette petite sauterie. Il était 10h quand Panch, Schaub et le rouge sirotaient un Henniez gommé chez Rito avant d’aller démonter les décors du théâtre. Fier de son héroïsme, Didou se sentit pousser des ailes. Il proposa à tout le bistrot d’aller bober derrière la laiterie. Il ajouta même qu’il allait faire du vin chaud, un thermos, 4 litres qu’il disait. A la table d’à côté, Zinzin, Micky et Didou donnaient tout. Après avoir mangé les fameuses saucisses de survie à Rito, Zinzin voulait absolument rentrer chez lui en voiture alors que Didou lui avait piqué les clés. Ni une, ni deux, Micky en profite pour aller placer sa propre voiture derrière celle de Micky ne l’entendant pas de cette oreille contra l’initiative de Didou en proposant d’aller chez lui, car il avait de «puissantes bouteilles». On ne sait toujours pas si finalement ils s’en allèrent luger derrière la laiterie ou savourer les «grands» crus de Micky, mais une chose est sûre, leur soirée a duré, mais duré... une fondue chinoise, c’est si compliquée? Kako et sa copine ont le cœur sur la main. En effet, à Noël, le jeune homme a décidé d’inviter sa grand-maman pour le repas. Au menu, fondue chinoise accompagnée de frites au four. Mais voilà, les frites au four c’est quand même vachement moins bon que les frites à la friteuse. C’est ce que Bubule fera remarquer à Kako. Ni une, ni deux, il décide d’en emprunter une. En effet, rien n’est trop beau pour sa grand-maman. Problème, il n’arrivera pas l’enclencher... Kako a donc l’idée de frire les frites à la poêle! Il mit donc de l’huile dans sa poêle et la fit frire. L’horreur de tous les pompiers, cuire de l’huile dans une poêle. Rien de plus dangereux. Heureusement, pas de dra- me ménager à relater. Par contre, on vous laisse imaginer l’état des frites... Mais le couple ne s’arrêtera pas là. En effet, après avoir misérablement raté les frites, ils ont voulu décongeler la viande. Quelle idée à nouveau? La viande de fondue chinoise n’a pas besoin d’être décongelée... De plus, ils ne trouvèrent rien de mieux que de laisser le plastique sur le plat de viande pendant la décongélation. L’horreur! La viande était incrustée de plastique! Résultat des courses, les frites gâchées, la viande vraiment immangeable! Quel bonheur cela a dû être pour la grand-maman malheureuse de cette soirée. Ah la magie de Noël! Qui dort dîne... La tondeuse d’Hicham On ne compte plus le nombre de personnes nous dire que la nourriture à l’hôpital, ce n’est pas l’extase. Un samedi ensoleillé de l’été passé, Hicham Frossard, résident de la célèbre route des vins du Triolet, se leva exceptionnellement tôt afin de tondre son gazon dont il est si fier… Benoît Chenaux en a fait les frais il y a peu de temps. Notre ami a été opéré du nez et de la gorge tôt le matin et le soir venu, une fringale se fit sentir. Mais seul un ridicule petit plateau lui fut livré… Pas vraiment la joie! Vers minuit, il se réveilla avec des crampes au ventre. Il se leva donc, et sortit de la chambre. Quelle ne fut pas sa surprise de voir que les plateaux déjeunés étaient déjà là! Ni une, ni deux, il se précipita sur les petits pains de ses confrères! On ne sait toujours pas si les infirmières ont découvert le glouton... Après deux heures de travail acharné (et deux tee-shirts trempés de transpiration et quelques petites bibines prestement avalées) il se rendit compte qu’il n’y avait pas beaucoup de différence entre le début et la fin de son labeur. La prochaine fois Hicham demande à Gigi (Gilbert Galley) ses précieux conseils en matière de travaux manuels et enclenche le couteau de ta tondeuse avant de commencer. la bénichon à ecuvillens, mode d’emploi deux français ont testé Samedi soir » Arrivez en vous excusant de n’avoir pu goûter au marché traditionnel. » Commencez par manger plus ou moins 25 raclettes accompagnées de quelques topettes de vin blanc. » Partez à la découverte du bar de l’ampoule et laissez-vous imprégner de son histoire. » Testez la boisson locale, ces fameux «Vietnam». » Profitez des quelques pas de rock’n’roll si gentiment proposés par une jeune fille. » Sortez prendre un peu l’air, histoire d’évacuer le trop plein qui pèse sur l’estomac (tâchez d’éviter le charmant carrousel des enfants). » Entamez la rentrée jusqu’à la maisonnée qui vous loge, en admirant le nombre de zigzag que vous faites en seulement 2 mètres. » Observez les détails du plafond si typique de votre chambre d’hôte en vous écrasant dans le lit. Dimanche matin » Savourez les effluves de la soirée en vous réveillant. » Même si vous n’avez dormi que 4 h, saluez joyeusement la propriétaire du gîte. » D’un pas nonchalant déplacez-vous jusqu’au milieu du village en profitant pour enfin découvrir le chemin que vous aviez fait la veille en sens inverse. » Admirez les visages réjouissants des habitants tous réunis (malgré ce que vous avez déjà subi à la soirée raclette essayez, vous aussi, d’avoir l’air réjoui. » N’hésitez pas à taper du pied en rythme au passage de la fanfare. » Emerveillez-vous en voyant les vaches, les chèvres, les vieux tracteurs, les danseurs, les lanceurs de drapeaux, les motos,... » Ne vous retenez surtout pas de rire aux éclats devant les chars humoristiques avec leur thèmes si pertinents. » Ecoutez avec intérêt le discours du président de la jeunesse. » Dégustez un petit verre de vin (et c’est reparti...!). Dimanche midi » Tâchez de ne pas arriver trop en retard pour l’apéro dans votre famille «d’accueil». » Faites-vous surprendre par le goût de la moutarde de Bénichon. » Installez- vous à table entouré d’inconnus qui se connaissent tous entre eux. » Délectez-vous avec ce somptueux repas composé d’une demi-douzaine de plats (essayer d’en reprendre à chaque 2ème service, histoire de faire honneur). » Après avoir savouré meringue, beignet, cukette et pain d’anis, sortez de table et soyez fier de vous car il est environ 16h30-17h. » Terminez les festivités par une petite balade de digestion et retombez en enfance au volant d’un auto-tamponneuse. Épilogue En tout cas un tout grand merci pour la sieste d’un jour et demi qu’on a dû faire pour récupérer, les aigreurs d’estomac, la crise de foie, le mal de nuque des manèges, les futurs plombages chez le dentiste... Mais une chose est sûre, c’est qu’on y reviendra à la plus grande Bénichon du monde à Ecuvillens...! Soirée Ch’ti bonus Robert Zwahlen, dit Boubi, grandpère d’Eugène (Jérémy Galley), tout heureux d’avoir un nouveau lecteur DVD, se réjouissait de regarder le film «Bienvenue chez les Ch’tis». Le week-end suivant, en redonnant le DVD à sa fille Anita Galley, la maman d’Eugène, Boubi annonça : «Il est nul ce film, j’ai rien compris et je n’ai même pas ri…» Une chose est sûre, Anita a bien ri en apprenant que Boubi avait regardé le disque des bonus et non le film! La prochaine fois, elle ne lui prêtera que le disque du film afin d’éviter toute nouvelle terrible déception. Mais où est Munich? Didou (Didier Galley) aime la bière et le foot. D’ailleurs lorsqu’il est allé à Munich, il a fait un lapsus révélateur. On cite : «On va voir Munich 1664 contre le Herta?» Mais Didou, c’est Munich 1860! Et la 1664, c’est une bière Kronenbourg! Ah la la, la bière et le foot ne font décidément pas bon ménage. courge metal jacket courge metal jacket C’était Halloween au Godet. Christel, la patronne, s’était donnée beaucoup de peine pour faire une belle déco, avec courges, toiles d’araignée et divers gadgets d’Halloween. Jackson et Panch se trouvaient là, par hasard, au bar. Ils se retrouvèrent malgré eux bien éméchés, car c’était une folle soirée au Godet. Et on ne ressort par indemne d’une folle soirée au Godet. L’heure de rentrer était arrivée. Pour une raison encore inconnue, les deux compères volèrent des courges. Ils placèrent aussi des bottes de paille devant la porte pour empêcher les gens de partir. Le niveau ne volait déjà pas très haut... Comme d’habitude cet hiver, la neige était de la partie. Ils commencèrent à s’échanger quelques boules de neige. Ce petit jeu allait vite dégénérer et c’est à grand coup de bout de courge dans la gueule que la bataille se termina. Le deux amis, devenus ce soir-là les pires ennemis du monde, rentrèrent chacun de leur côté, le visage amoché. Jackson, pris de honte en voyant son visage plein de sang dans le miroir, regagna même à la course son appartement à Fribourg! Tout ça pour éviter d’expliquer à ses parents le pourquoi du comment de ses blessures... Discussion par texto le lendemain entre les deux intéressés : «Merci pour la croûte à travers la gueule!», «Mais de rien. Merci à toi pour les lunettes pliées et la croûte au bout du nez!» Vous pensiez connaître tous les secrets de la fête d’Halloween? En voilà un que vous ne saviez certainement pas, si vous en avez marre que les enfants viennent vous réclamer des friandises, lancez-leur des bouts de courge! C’est dans la plus pure tradition de la fête et, pour sûr, ils ne reviendront pas l’année prochaine! lancer de la pierre d’hauterive Hercule des temps modernes, se sont affrontés dans ce sport demandant force, souplesse, technique et volupté. La pierre, pesant «bien 20 kilos» selon les arbitres officiels, s’est souvent vu projetée à plus de 3 m. Pour la première fois au monde, a eu lieu à la cabane du bois Cornard le lancer de la pierre d’Hauterive. En effet, parmi les nombreuses activités proposées par la jeunesse lors de la fête villageoise organisée au printemps dernier, le lancer de la pierre d’Hauterive n’est pas passé inapperçu. Après quelques tristes lancés d’échauffement durant l’après-midi, c’est en début de soirée que le tournoi atteint son apogée. Une quinzaine d’athlètes, véritables Défasel Le dimanche suivant la plus grande bénichon du monde, la jeunesse (ou plutôt les 3-4 mêmes courageux que chaque année) s’était donnée rendez-vous à la cabane du terrain de foot afin de démonter les chars ayant paradés durant le cortège du matin. Après avoir terminé, le rouge (Eric Chavaillaz) et Panch (Nicolas Panchaud) se rendirent en voiture vers le centre du village. C’est alors qu’ils croisèrent Fasouille Trois concurrents sont cependant sortis du lot. Martin «le déracineur de tronc» Galley a été le premier à passer la barre des 3m90, sa supériorité lui laissait penser à la victoire. Mais cela était sans compter sur l’entrée dans la compétition d’Eduard «le palfrenier d’Acapoulco» Gumy, qui même s’il ne paie pas de mine, a titiller la ligne des 4m. Finalement Patrick «Bub-Hulk» Mauroux a quitté le bar 10 secondes histoire de mettre tout le monde d’accord avec un jet à 4m10. Félicitation à lui et vivement l’année prochaine pour qu’il remette sont titre en jeux. (Nicolas Fasel), marchant au milieu de la route et se rendant au démontage des chars avec plus d’1h30 de retard. Le rouge demanda à Fasouille : «Ca va bien?» Réponse du principal intéressé : «Ouais, un peu...» Depuis cela Nicolas s’est vu attribuer le charmant surnom de Défasel. Jackson’s bus Après la fête villageoise, Schaub (Grégoire Schaub) et Panch (Nicolas Panchaud) ont emprunté le mini-bus de la famille Jackson-Dousse afin de ranger le matériel. Ils parvinrent à charger tant bien que mal une trentaine de pieds métalliques de table puis se mirent en route. En traversant le bois de la glâne un «poc» se fit entendre suivi de craquements, comme quand on met du lait sur des chocopops. Un pied était venu heurter le pare-brise arrière et l’avait orné d’une magnifique toile d’arraignée. Ce que ne dit pas l’histoire c’est que Schaub et Panch ramenait les pieds de table à la carroserie des Daillettes. Ainsi il purent laisser ce qui restait du pare-brise sur place et directement en commander un nouveau. Aux dernières nouvelles la carroserie devrait bientôt proposer un forfait «tables et pare-brise» à un prix préférentiel. méthode pour arrêter de fumer! En ce jour, un des plus grand fléau de la société reste la fumée. La liberté individuelle du fumeur se restreint de jour en jour. Au point que la plupart des fumeurs se disent qu’il vaudrait mieux «tout simplement» (heum, heum) arrêter de fumer. Le Docteur le rouge (Eric Chavaillaz) a eu la bonté de nous donner le secret de sa méthode révolutionnaire pour en finir avec ce fléau universel : «Cette méthode a été testée et expérimentée sur moi-même et je vous garantis qu’elle est efficace. Ce qui est le plus dur pour un fumeur qui tente d’arrêter de fumer, ce n’est pas le manque physique provoqué par la nicotine, mais ce sont les habitudes que l’on cultive avec la cigarette. Ce que l’on appelle, dans le jargon médico-clopal, le réflexe cigarette. Lorsque que l’on est en soirée, assis au bar avec notre paquet, on fume par réflexe, on ne se rend même pas compte que l’on est en train d’allumer une cigarette. C’est inconscient mais nos doigts ont besoin de tenir ce petit bâtonnet fumant. Alors pour en finir une fois pour toute avec cette infâme cigarette il vous suffit de faire comme moi, ayez toujours un verre dans chaque main! De cette façon vos doigts se sentiront occupés et comme par magie au bout d’un certain temps vous oublierez même que vous êtes un fumeur. Santé. dossier médical dossier médical Hey Thierry si tu continues à ce rythme là, il en faudra des pages à ton dossier médical... mais où sont nos chers villageois? Durant cet été, la société de jeunesse a tenté d’innover. En effet, elle a décidé d’organiser une fête villageoise. Le principe était simple, inviter tous les habitants du village grâce à un tout ménage et plus particulièrement les nouveaux habitants grâce à une lettre. Évidemment la fête était ouverte à tous. Tous était prêt pour une belle fête, la fanfare avait accepté de venir égayer la petite sauterie et diverses activités (pour enfants, grands enfants ou adultes) furent préparées. Même que, par chance, le soleil était présent, et quel soleil! Au moins 45 degrés à l’ombre. (lire ci-dessous) Pourtant, malgré tous ces efforts, toute cette chance, uniquement 2-3 nouveaux habitants se sont joints à la fête. Par contre, pas mal de gens habitués à nos contrés étaient présent. Mention spéciale à Michel Geinoz qui est venu seul, et qui est reparti dans les derniers, heureux de sa journée... Franchement, si la fête est réorganisé, venez passer au moins un moment avec nous, on ne mords pas, du moins pas encore... Écho de la fête Le soleil de plomb de cette journée en a fatigué plus d’un. Par exemple, Eugène (Jérémy Galley). Le bougre a passé sa journée à boire des verres au soleil. Autant le dire tout de suite, il a cherché toute la journée l’insolation... Et il l’a trouvée... Durant la soirée, Eugène en est d’ailleurs venu aux mains avec son pote Martin Galley pour une sombre histoire de jeu avec la fontaine. On ne sait pas qui fut le vainqueur, mais une chose est sûr c’est qu’Eugène est rentré franc-fou après cet événement. La prochaine fois Eugène, évite le soleil ou alors met un casquette, ça sera plus simple... pour tout le monde! les sans-tireuse fixe les sans-tireuse fixe On le sait tous, la Bénichon, à Ecuvillens, c’est une institution... Certains sont même aller jusqu’à l’appeler, sans rougir, la plus grande bénichon du monde. un fût dans le camion frigorifique que Papaux leur avait prêté pour le weekend. Il est vrai que ce fût était ouvert mais pas terminé... Après un week-end pleinement réussi malgré la météo désastreuse, quelques motivés se sont retrouvés au bar chez Gumi, le dernier ouvert... Ni une ni deux, ils se rendirent donc au camion qui était stationné prêt de l’église. Quelques minutes plus tard, les sans-tireuse fixe étaient de retour chez Gumy, pour le plus grand malheur des gens travaillant au bar... Le fût fut alors branché et la bière put à nouveau couler à flot. Il y avait d’ailleurs quelques membres de la société de jeunesse, qui après avoir tout bien rangé et nettoyé, décidèrent d’aller en boire une dernière. Mais malheureusement pour eux, arrivés au bar, l’horreur. Il n’y avait plus de fût. Panch (Nicolas Panchaud) et le rouge (Eric Chavaillaz) craignant de mourir de soif ont alors eu une idée mémorable. En effet, ils ont décidé d’aller chercher Mais voilà, la famille Gumy en avait marre de ce long week-end. Ils décidèrent donc de fermer le dernier survivant de la fête, leur bar. L’histoire ne dit pas ce que les derniers lurons sont allés faire ensuite. Sûrement se reposer. En effet, il faut aussi savoir s’arrêter à la bénichon. Écho de la fête Les sans-tireuse fixe, une nouvelle mode? Pas vraiment... Pourtant, une information a circulé concernant quelques jeunes qui étaient en possession d’une tireuse et de fûts, mais qui n’avaient pas d’électricité. En effet, ils se seraient rendus à la cabane du terrain de foot et auraient «pomper» l’électricité du club depuis la prise extérieure. Heureusement pour eux, ils ont pu terminer leur besogne sans être dérangés. On ne saura malheureusement jamais qui sont les coupables. Certainement des jeunes gens un peu trop culottés. la police, même le dimanche Il est 2h30 du matin un dimanche soir. Après avoir nettoyé de fond en comble le bar à raclette du théâtre, Panch (Nicolas Panchaud), le rouge (Eric Chavaillaz) et Eugène (Jérémy Galley) allaient gentiment rentrer chez eux en voiture. Banale, eh bien non, il s’agissait de nos chers amis policiers. Le conducteur, Panch, qui a bu quelques bières durant la soirée, quelques... En gros, pas beaucoup, du moins c’est ce que l’on croyait! Contrôle de routine, permis, carte grise, alcool etc. Tout se passait bien, mais Nicolas avait finalement bu trop d’alcool, 0,72 pour mille à l’alcootest. Arf, c’était moins une... Le trio s’empressa de monter dans la Starlett des Panchaud. Direction chez Eugène, histoire de le ramener, vu qu’il faisait un sacré froid de canard. Mais voilà, tout à coup, en l’espace de quelques secondes, alors que la voiture se dirigeait vers le Triolet, une autre voiture arriva juste derrière. Une voiture banale... A quelques mètres de chez Eugène, les phares rouges de la voiture s’allumèrent et le trio a donc dû s’arrêter. En effet, à 0,8, c’était au poste, prise de sang et retrait de permis. Il l’a échappé belle, le bougre. Moralité de cette histoire, la police travaille même le dimanche, qui l’eut cru? RED BULL TE DONNE DES AILES Résultat, une face bien amochée complétée par quelques points de suture à l’arcade (photo ci-contre). Si l’on regarde de plus près les faits précédant ces deux terribles chutes, on n’ y trouve des coïncidences troublantes. En effet, à chaque fois, Schaub avait bu pas mal de Vodka, dans les deux cas Grégoire s’était rendu au To See Club, Schaub avait passé chacune de ces soirée à danser, mais encore il avait bu pas mal de Vodka. Cette année il n’y a pas que la bourse qui a lourdement chutée. Schaub (Grégoire Schaub) s’est également illustré dans le domaine. Après une impressionante chute dans les escaliers lors du souper du comité de l’année dernière (ndlr. Sac à rire 2008), le fils du docteur a de nouveau joué les cascadeurs après une soirée en companie de ses copains de basket. Pour épater ses collègues, Grégoire à tenté un saut de l’ange depuis un muret. Il faut également noter que lors des deux soirées, la Vodka était mélangée à du faux Red Bull. Sans oublier qu’à chaque fois il portait les mêmes chaussures. Encore plus troublant, il avait bu pas mal de Vodka. Dans tout ces faits communs, l’un d’eux pourrait-il être la cause de ses chutes? Eh bien oui, Grégoire l’a identifié, selon ses dires, c’est la faute au faux Red Bull. D’ailleurs depuis sa dernière chute Schaub n’a plus touché au faux Red Bull, désormais il mélange la Vodka à du Tonic ou du lemon. Et ça marche! Car depuis Grégoire n’a plus chuté... La corvée de vaisselle Lors d’un café noir bien arrosé, comme toujours, Didou (Didier Galley) d’un esprit noble et serviable se dévoua pour la corvée de vaisselle. Il s’appliqua à sa tâche, prit bien soin de n’oublier aucun verre, mit le tout soigneusement dans le lave vaisselle et s’assura de mettre la pastille bleue dans le bon compartiment. D’un geste héroïque, il referma la porte et pressa le bouton «start» avec une fierté digne d’un guerrier qui avait accompli son valeureux devoir. Heum... Une pastille bleue vous dites...? C’était bien une pastille bleue qu’il mit dans le lave-vaisselle...? Une pastille qui ressemble étrangement à celle que l’on met dans les cuvettes des WC? Quel ne fut pas l’émerveillement lors de l’ouverture de la porte. Une vaisselle peutêtre étincelante, certe, mais un lave-vaisselle rempli de petits grains bleus et on ne parle pas même pas de l’odeur. Merci du coup de main Didou. Hey, dis-donc, Didou, elles doivent en faire une de ces mousses tes toilettes! royal palace royal palace Pour certain, la sortie annuelle de l’amicale des pompier reste l’évènement de l’année. L’attente de ce jour est presque comparable à un enfant qui compte les jours avant Noël. En tout cas y’en a qui ont dû faire de beaux rêves... Cette année la sortie emmenait nos valeureux pompiers vers le Royal Palace de Kirrwiller. Nombre d’entre eux, dont Jean Schlaefli, étaient déjà tout émoustillés en imaginant les danseuses à plumes. C’était plus ou moins son unique sortie de l’année alors autant dire qu’il avait bien l’intention d’en profiter un max. A la fin du spectacle, il ne put s’empêcher d’immortaliser cet instant magique en prenant la pause avec une de ces jolies demoiselles. Regardez comme les yeux de Jean brillent à la lueur des strass de la danseuse. La fierté de l’homme à coté de sa belle. C’est la jet-set... Le 27 décembre 2008, Gigi (Gilbert Galley) a eu la peur de sa vie! Son fils, Jérémy Galley (Eugène), descendant les escaliers de la maison, abordait son magnifique nouveau look, totalement bling-bling. Même choqué, il n’osa rien dire, son fils est grand et il s’habille comme il veut. Heureusement Anita le rassure, Eugène est habillé comme ça uniquement pour l’assemblée annuelle de la société de jeunesse. Quelle frayeur! Gigi, si ton fils sort en costume moulant façon ABBA, tu dirais quoi? Lui en tout cas dirait «Maaa, c’est la jèèèèt-sèèèèèt...». route de contournement Vous êtes tous au courant que notre belle, magnifique, somptueuse route de contournement est en pleine construction. Notre chère commune avait bien entendu réservé le service cantonal de marquage pour une date déterminée. Le jour J, rien ne se passa comme prévu. Un gros manteau blanc avait recouvert les routes et chemins de notre beau village. Je ne sais pas si vous vous y connaissez en marquage, mais à mon avis, la neige n’est pas forcément le revêtement le plus adéquat à cette tâche. Mais la mauvaise posture de la situation n’arrêta nullement Titi (Joseph Gumy) qui téléphona illico presto au Babe (Bertrand Jacquaz) afin qu’il déblaie immédiatement la route de contournement. De cette façon le marquage sera fait et la commune pourra se vanter d’avoir respecté les délais des travaux. Chose dite chose faite : Bertrand obéit aux ordres. Tout satisfait, Titi téléphona aux services cantonaux en leur disant que tout était prêt pour leur venue. On lui répondit bien gentiment qu’une route mouillée, ce n’était pas terrible pour un marquage… Et oui «route déblayée» ne rime pas forcément avec «route sèche»! Hé... hé... A ce jour, on ne sait toujours pas si Titi s’est excusé auprès du Babe pour l’avoir fait travailler pour des prunes, ou s’il est encore à l’heure actuelle entrain de rechercher une déblayeuse qui fasse aussi sèche-route, parce que bon, les marquages, ils sont toujours pas fait... Par ici le bleu! Le 23 mai dernier se déroulait la fameuse Campus Fever à l’Ecole d’Ingénieurs de Fribourg. Les concerts, les kebabs et autres cantines à gniole battaient leur plein. Mais tous ces divertissements finissaient beaucoup trop tôt au goût de David Chenaux. Juste avant de s’embarquer pour le Rock Café, il se rappela que sa voiture était illégalement garée sur un trottoir. Voulant éviter une petite prune indésirable, il la déplaça jusqu’au parking de l’Ecole des Métiers. (distance parcourue, environ 80 mètres) Seulement voilà, David oublia de mettre son clignotant en se rendant sur le parking et malheureusement pour lui, la police était juste derrière lui… Pas de bol David... Les flics l’arrêtèrent gentiment : Permis, carte grise, contrôle d’alcoolémie... bref la routine. Résultat : 0,82 pour mille, 3 mois sans permis... Aïe pour 80 mètres, ça doit faire mal... hein David ? panique chez la famille grand Par ce mois de décembre tout enneigé, Jacqueline Grand avait rendez-vous à Cottens pour une soirée du genre «tupperware» entre copines. Arrivée à destination, Jacqueline parqua avec élégance le véhicule familial et alla toute guillerette à sa soirée-représentation. Olivier, bien heureux, au fond de son canapé et les pieds sur sa table basse sursauta au retentissement du téléphone. C’était un habitant de Cottens tout paniqué qui lui annonça qu’il était devant leur voiture et qu’elle était parquée au milieu de la chaussée enneigée. Olivier, affolé et transpirant, appela expressément sa «chère et tendre», pour lui demander si tout allait bien. Jacque- line, lui répondit d’un ton expéditif que tout allait bien, qu’elle était occupée et qu’il fallait la laisser tranquille... Holala... dure dure pour Olivier qui s’inquiétait du sort de sa bien-aimée.. On ne sait pas comment tout ça c’est vraiment terminé mais on a quand même un petit conseil à donner. Tu sais Jacqueline, y’a des fois où il vaut mieux rester chez soi, comme cela on évite de confondre la chaussée avec les places de parc. Joël Chavaillaz : «Quand j’étais petit, avec mes cheveux bouclés, je ressemblais à du vomi!» ah quand on a pas la tête! Par une journée ordinaire, Claudy Monney revenant des courses et allant dîner, se fit déposer par le taxi aux alentours du Godet. Attiré par quelques amis, il ne put s’empêcher d’aller boire un petit apéro vite en vitesse. En remontant vers chez lui, chargé de ses commissions, une force invisible l’attira à la Pinte d’Ecuvillens... et l’après midi se passa... Un peu fatigué, Golette rentra à la maison alors que le soleil était déjà cou- Bravo! Rien à dire ou presque, il suffit juste de regarder la photo ci-contre. La société de jeunesse vous conseille sérieusement d’aller à l’«Epxo» de poussins à Grangeneuve... ché et c’est là qu’il remarqua qu’il avait oublié ses deux sacs à commission à la Pinte. Il décrocha donc le téléphone et appela le Godet, afin de trouver une âme charitable qui pourrait lui ramener ses commissions oubliées à la Pinte, je le rappelle... Je ne vous parle même pas de l’effet que ça a fait à l’âme charitable, de voir Claudy en pyjama rayé ouvrir la porte pour récupérer ses sacs. Quel spectacle! SAEPE PREMENTE DEO, fert deus alter opem * Depuis que Jésus est né, la jeunesse réserve les dates de son théâtre annuel au mois de février pour le mois de novembre. Et lorsqu’une autre société voudrait réserver la salle un soir de représentation, en général, bonne joueuse, elle s’adapte et renonce. Toutes les sociétés? Non, malheureusement non, pas la paroisse... Cette année la confirmation était organisée à Ecuvillens, un samedi où une représentation de théâtre était agendée. Jusque là pas de problème! Mais qui dit confirmation, dit forcément apéro après la messe... C’est là que le bas blesse! La paroisse voulait absolument organiser cet apéro dans la salle du restau- rant paroissial (euh non communal). Malgré les compromis proposés par la jeunesse (La salle des répétitions? Trop petite! La salle à l’école à Posieux? Trop loin!), la paroisse ne démordait pas à son idée de base. Résultat pour la jeunesse, la représentation a dû être déplacée à un dimanche soir. Résultat pour la paroisse, un apéro terminé à 19h, une salle nettoyée, putzée à 19h05 (ndlr. La représentation était prévue à 20h15) Que peut le tiers-état contre le clergé? * Si quelque Dieu nous presse, un autre nous délivre. ah les nouvelles technologies Par un geste malheureux, Laly (Aurélie Galley) renversa un verre de vin rouge sur son clavier d’ordinateur. En s’étonnant qu’à l’heure actuelle, les informaticiens n’étaient pas encore capables de nous fournir des claviers «Waterproof», elle alla en acheter un autre. Sur les bons conseils du vendeur, elle opta pour un clavier USB, faute d’être résistant à l’eau, on se débarrasse déjà d’un fil. Laly rentra chez elle et se mit de suite dans le déchiffrage du manuel d’utilisation de son nouveau bijou de techno- logie. L’opération se résumait en gros à mettre des piles dans le clavier. Après quelque tentative, Laly fut obligée de se rendre à l’évidence que son clavier ne fonctionnait toujours pas. Elle appela Gabo (informaticien) à la rescousse. Gabo ne pu s’empêcher de poser cette question agaçante : Laly, t’as pensé à mettre des piles? Malgré l’acquiescement de Laly, Gabo ne put s’empêcher de contrôler et c’est là qu’il constata que les piles étaient belles et bien insérées dans le clavier mais malheureusement dans le faux sens... aller... retour! Le 1er voyage de jeunesse est toujours une expérience unique en son genre. En effet Ilfete en a fait les frais. Toute motivée et munie de son permis de séjour ainsi que de son passeport albanais, elle monta dans l’avion qui devait nous mener à Amsterdam. Une certaine appréhension la guettait tout de même, elle qui prenait pour la 1ère fois ce moyen de transport de l’ère moderne. Tout se passait bien jusqu’à ce que l’on arrive à la douane où l’accès au pays Hollandais lui fut refusé. La raison de cette situation tragique, Ilfete ne savait pas qu’elle avait besoin d’un VISA. Après plusieurs heures de négociations soutenues entre Panch (Nicolas Panchaud), Soso (Sophie Crausaz) et les douaniers charmants comme des portes de grange, rien n’y a fait. Les deux demoiselles ont même fondu en larmes pour amadouer ces messieurs, mais en vain. Le verdict fut l’effet d’une douche froide pour la pauvre Ilfete, elle devra passer la nuit dans l’aéroport et reprendre un avion pour rentrer le lendemain. Heureusement que les charmants douaniers avaient le sens pratique, ils ont rassuré Ilfete en lui disant qu’il y avait un Burger King dans l’aéroport... Au moins Ilfete aura appris quelque chose dans son malheur : n’oublie plus jamais ton VISA! Mumu elle a gagné mumu elle a gagné Mumu (Muriel Cuennet) a participé à un coucours de photos en 2006. Le principe était simple, se mettre en scène afin de devenir «mannequin» pour une société de voyage. On a retrouvé les photos. Sachez que Mumu a terminé au 6ème rang... La prochaine, tu gagneras sûrement, mais n’hésite pas à nous envoyer les photos.... Après verdun, la bataille d’ecu! Un samedi soir, Doud (Dimitri Dousse) et Fasouille (Nicolas Fasel), rentrant d’une longue soirée à Fribourg, décidèrent de faire un petit café noir. Peu après, Panch (Nicolas Panchaud), le rouge (Eric Chavaillaz), Eugène (Jérémy Galley) et Schaub (Grégoire Schaub) les rejoignirent, rentrant eux d’une très longue soirée, souper du comité oblige. Après 1-2 bières, la bande décida d’aller faire un petit tour dehors pour prendre un peu l’air et profiter de la masse de neige fraîchement tombée. Effondré de fatigue, Panch posa les armes. Les autres gais lurons commencèrent à s’échanger quelques boules de neige. Très vite, Le rouge fut mis KO par un superbe lancer en cloche de Schaub (à n’importe quelle heure de la nuit, on reconnaîtra toujours le basketteur). Eugène et Fasouille, venant tous les deux d’Ecuvillens et frustrés de voir deux des leurs mis hors combat, agressèrent littéralement nos deux pauvres amis de Posieux, Doud et Schaubi. Ceux-ci ne se laissèrent pas faire et, par la fierté de Posieux, ripostèrent avec violence. Une bataille acharnée s’ensuivit. Les balles sifflaient, quelques boules perdues frappèrent des passants et des voitures égarées, la place du village était criblée d’impacts de balles, témoignage de la violence de l’affrontement. Plus d’une heure et demie de haine et de réglement de compte. Au lever du jour, après moult efforts et manoeuvres stratégiques, les grands tireurs d’élite que sont Doud et Schaubi prirent le dessus et repoussèrent l’ennemi jusque dans leur chaumière. Bons princes, ils décidèrent d’épargner les vaincus, mais s’emparèrent tout de même des terres d’Ecuvillens. Et oui, habitants d’Ecuvillens, vous ne le saviez peut-être pas, mais vous vivez sous le joug de Posieux! Et si vous observez bien, c’est l’étendard de Posieux qui flotte au-dessus de la place du village! welcome to the usa welcome to the usa Qui n’a jamais entendu dire que les Etats-Unis sont fous en matière d’antiterrorisme? Bouli (Vincent Corpataux), en a eu la preuve lors de son voyage au Canada. Trois amis à lui, lui rendirent visite l’année passée, Vincent leur proposa un petit détour en voiture, aux pays de l’Oncle Sam. Les quatre amis emportent leurs affaires et s’en vont, direction la frontière! En arrivant, les douaniers leur demandent de passer au bureau d’immigration. Jusque là, rien d’anormal. Sauf qu’un douanier arriva, ou plutôt surgit dans l’office, accompagné d’un sac avec trois bananes. David Chenaux, un texto? David Chenaux qui écrit un texto à sa copine, malheureusement pour lui ça arrive chez le rouge (Eric Chavaillaz). On cite : «Coucou bb sa va moi suis crevé on à Il demanda, légèrement énervé, ce que ces fruits faisaient dans la voiture. Même si le discours de Bouli était convaincant, le douanier américain n’hésita pas à gueuler sur les jeunes suisses, leur expliquant qu’un seul, et unique fruit était autorisé à traverser la frontière! Bouli, déconcerté, hésita à répondre… Il finit par dire qu’il y avait une banane par personne, ou presque. Mais le douanier hurla encore plus en leur disant que vu qu’elles étaient sur le même siège, ils n’avaient pas le droit de les transporter!!! Eh oui une banane, ça peut tuer en Amérique. eu une monstre marche trop la misère mais on à été tiré trop bien sa la mmmmh des gatteries trop avec toi tt les jours meme t es tellement chou je t aime eh mon coeur le 27 décembre souper de la jeunesse je peux t inscrire avec moi mon coeur veut trop que tu vienne chérie bisouxxxxx» Amsterdam, une ville sans tabous? La célèbre sortie annuelle de la jeunesse s’est déroulée cette année à Amsterdam. C’est donc tout plein d’émotions et d’excitation que nous avons parcouru le fameux quartier rouge, le musée du sexe, les divers magasins de préservatifs, les nombreux sex shops, etc… Ces ballades ont eu pour conséquences de révéler des discussions et des révélations assez intimes au sein des membres de la jeunesse, plus aucun tabou entre nous, du jamais vu. Dans toute cette euphorie, on a aussi pu relever certains achats spéciaux qui ne se seraient sans doute pas faits dans un autre cadre. Deux demoiselles de la jeunesse* sont arrivées toutes frémis- santes en nous montrant leurs achats de la journée, des godemichets. Sur le coup, personne n’a été choqué ou étonné, après tout nous étions à Amsterdam. Mais une fois de retour, on a jamais su si ces fameux jouets sexuels ont été utilisés et si c’est vraiment efficace… Etrangement, les tabous s’envolent uniquement à Amsterdam! *Pour des raisons évidentes, nous avons préféré préserver l’identité de ces deux jeunes demoiselles. Mais si vous voulez vraiment savoir, demandez à un membre de la jeunesse. Eglantine Dousse a chopé la gale! Défoncine (Eglantine Dousse) a chopé la gale! Il y a quelques jours, Eglantine découvrit une tâche rougeâtre sur sa cuisse. Qu’est que cela pouvait bien-t-il être? Allergie, piqure d’insecte ou, pire, d’araignée? Tout en soucis, elle s’empressa d’aller demander conseil à son frère Dimitri. N’étant pas médecin, il lui répondit que ça pouvait être beaucoup de chose, probablement sans gravité. Nullement rassurée, elle fit une recherche sur internet. Conclusion : piqure de tique (en plein mois de février...) ou grippe aviaire! Les compétences d’internet en matière de médecine sont encore à prouver... Pour enfin connaître son mal, elle décida d’aller voir le Dr. Schaub. Le diagnostic fut encore plus terrible que tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Allergie à sa plus fidèle amie, celle qui partage toutes ses nuits, sa chatte Gribouille! Le seul remède est la séparation. Il paraît que depuis ce jour là, l’ambiance est tendu chez les Dousse. La rupture forcée n’est pas très bien vécue, pour l’une comme pour l’autre! Le Vietnam! LE vietnam! Historique Après avoir découvert, une spécialité d’Argentine, le Fernet-Coca, qui retranscrit bucalement un sous-bois de Patagonie en hiver, le rouge (Eric Chavaillaz) a eu l’idée de mélanger les deux alcools les plus amers du monde, la Suze et donc le Fernet. Après avoir dégusté ce rigoureux brevage, Panch, cobaye émérite, s’exclama haut et fort : «C’est trop bon, c’est le Vietnam dans la bouche». En effet, une attaque puissante suivie d’une amertume persévérante est non sans rappeler une attaque de napalm dans la bouche. La recette Introduite au grand public durant le théâtre de cette année, de nombreuses personnes sont devenues adeptes. Entre autre, La merone (Céline Meroni) et Grég Chatton qui lui donnèrent le doux surnom de «Noël dans la bouche». Santé! Ingrédients Fernet Branca Suze Cola Préparation Versez 2cl de Fernet Branca, 2 cl de Suze et du coca à volonté dans un joli verre à cocktail. Agrémentez le tout de glaçons et d’une paille. Attention, ne vous étonnez pas de la consistance solide et jaunâtre de la mousse. C’est normal. On en parle Étant donné les vertus curatives, guérisseuses des nombreuses plantes présentes dans le Fernet et la Suze, Novartis est en train de racheter le brevet. Ils ont refusé de communiquer à quel prix. Nicole, quelle statue! En rentrant des Etats.Unis, il est toujours difficile de se remettre de ses émotions et encore plus difficile de se remettre du décalage horaire. Nicole Chavaillaz, son mari, la famille Jean-Marc Galley et Jean-Denis Galley sont allés aux Etats-Unis cet été. A l’arrivée en Suisse, ils ont décidé de manger une fondue au café du Midi. En passant devant la pleureuse (statue de la rue de Romont), Nicole n’a rien dit, en repassant devant elle, elle s’exclame : «C’est qui cette dame, elle était déjà là quand on est arrivé.» Nicole, c’était une statue!