Download Sac à rire 2009 - Jeunesse d`Ecuvillens

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Éditorial
Éditorial
Chères amies et chers amis du «Sac à rire».
Le principal acteur de ce mois de février 2009,
c’est le froid. Mais pas seulement! C’est également le temps des divers carnavals... Et qui dit
carnaval, dit forcément journal de carnaval.
Celui qui est tant redouté par certains, et tant
attendu par d’autres...
L’équipe rédactionnelle a tout mis en oeuvre
afin de vous offrir un journal de qualité, digne
des plus grands magazines du monde.
Vous pourrez donc trouvez à l’intérieur de
cette édition encore plus d’images chocs,
d’histoires extraordinaires, de scoops et de
révélations toujours plus étonnantes. Sans
oublier du cynisme, de la satire et beaucoup
d’humour...
Notre équipe, aidée par ses nombreux informateurs, à la pointe de l’information, n’est
donc pas passé à côté des sujets chauds de
l’année 2008. Une touche de people avec Federer, Johnny et autres. Une pointe de drames
ménagers qui ne laisseront personne indifférent. Une once d’images volées et d’autres
bouffoneries animeront votre lecture. Vous
y trouverez finalement quelques recettes de
cuisine et conseils pour éviter la crise financière.
A l’honneur également dans ce journal, Benoît
XVI. Sacré déconneur ce Benoît. En effet, il a
quand même sacrément déconné en réhabilitant le négationnisme. Enfin il a tout de même
annoncé la joie de l’espérance chrétienne et
la vérité qui nous rend libre. Bref...
Finalement, je tiens à remercier nos annonceurs pour leur générosité, la commune pour
l’aide matérielle, ainsi que toutes les personnes ayant contribuées à la rédaction du journal et finalement, concitoyennes, conyitoyens,
sans qui le contenu de ce journal serait bien
moins fourni.
Bonne lecture et n’oubliez pas :
«Yes, we can’t!»
«Oui, nous ne pouvons pas!»
Eric «Obama» Chavaillaz, président
O Sole mio
o sole mio
24 décembre 2008, Noël chez Maurice
orthodoxe. Quoi qu’il en soit, alors que
Seydoux. Vin, cadeaux, vin, bourgui-
Pauline pensait déjà à autre chose, Qui-
gnonne, vin, débats en tout genre, et
quine eu un mal fou à se relever!
encore du vin!
A genou, appuyé contre le mur, il lui a
Apparemment trop pour notre «first
fallu bien 5 minutes pour se relever!
lady» d’Ecuvillens. Est-ce que Quiquine
(Marie-Christine Chavaillaz), ne suppor-
Mais quelle fierté d’avoir pu le faire tou-
terait plus ce délicieux breuvage?
te seule, comme une grande!
Quoi qu’il en soit, on a eu la preuve
Fière de son acte, elle leva le bras devant
qu’elle n’a pas bu qu’un verre! Notre
elle et chanta l’»Internationale» d’une
amie voulu consoler Pauline Zamofing,
voix tonitruante. «C’est la lutte finale...»
tombée dans le corridor de la maison
des Seydoux.
Bravo Quiquine, pour ta philanthropie à
l’égard de cette chère Pauline et finale-
Inquiète, Quiquine se précipita, s’age-
ment bravo pour ton sens de l’auto-dé-
nouilla devant Pauline pour l’aider à se
rision...
relever et la consoler… Réaction peu
À l’attaque du vanil noir
À l’attaque du vanil noir
Après une année passée dans le plat
arrêter. Ils montèrent donc droit haut
pays de Berlin, Doud (Dimitri Dousse)
à travers les pâturages et les rochers.
avait soif de montagne. Il s’organisa
donc une petite course dans les Préal-
Mais on ne dompte pas si facilement
pes avec son vieil ami du collège Vincent
la nature. Proche du sommet, il n’était
Vuarnoz. Se prenant pour des alpinistes
plus possible d’avancer sans danger de
chevronnés, les deux compères déci-
mort. Ils contournèrent la montagne
dèrent de s’attaquer à ce qu’il se fait de
et virent tout à coup un autre sommet,
mieux dans le canton de Fribourg, le Va-
avec une croix et des gens. La vérité leur
nil Noir, et, pour
éclata à la face, ils
pimenter le tout,
s’étaient trompés
de manger une
de
montagne...
fondue au sommet. Ils partirent
Ils tentèrent dé-
ainsi
bon
sespérément
matin, muni de
de rejoindre le
fromage, caque-
véritable
lon, pain, four-
Noir, sans suc-
chettes et vin
cès, la topogra-
blanc. Une bien
phie étant trop
belle
de
journée
en
perspective.
escarpée.
Vanil
La décision de rebrousser
chemin fut dure à prendre, mais même
Après une petite marche d’approche
Erhard Loretan le disait :
«Quand
pour l’échauffement, ils virent le fier Va-
les conditions deviennent trop dan-
nil, dominant la vallée. Ils s’élancèrent
gereuses, il faut savoir renoncer.»
dans l’ascension, dopés par l’air vivifiant de la montagne. Shootés même,
De retour à la maison, il étudièrent les
car ils passèrent à côté d’un panneau
raisons de leur échec. Ils s’étaient en fait
où il était écrit «Limite à ne pas dé-
totalement plantés en tentant de gra-
passer», sans se poser de questions...
vir la Dent de Folliéran, puis la Dent de
Hors des sentiers balisés, les deux ca-
Brenleire... Tout montagnard devrait le
marades se retrouvèrent en terrain
savoir, en montagne, une carte est bien
difficile. Mais il en fallait plus pour les
plus utile qu’un caquelon à fondue!
la chute à perriard
la chute à perriard
Jacques Perriard, notre cher conseiller
communal, est sportif. Ça nous le savions tous. De plus, notre
élu national est professeur
au collège St-Michel, prof
de sport, ah ben tiens...
Il aime à répéter les consignes de sécurité dans
ses cours, ou encore à
ses enfants, mais les applique-t-il
vraiment?
La réponse est non.
La preuve durant le joli
mois d’août 2008, Jacques
se rafraîchissait gentiment
dans sa piscine avec ses enfants. Soleil de plomb, crème
solaire, comment mieux profiter de ses
jours de congé durant l’été. Mais voilà,
Jacques, voulant certainement impressionner ses enfants, décida
de leur plonger par-dessus...
Pas de problème me direzvous, et pourtant le sol était
bien peu profond pour un
grand gaillard comme lui.
En effet sa tête se fracassa
contre le sol de la piscine.
Résultat, une belle ligne
de cheveux rasée et surtout 17 agrafes dans la
peau du crâne histoire de
recoller tout ça. M. Perriard, vous confirmez une
nouvelle fois l’adage qui
dit : «Faites ce que je dis,
pas ce que je fais»... Bel exemple!
Gaga happé par un transpalette
Gaga junior (Cédric Galley) est connu
pour son magnifique discours de la
bénichon de 2007. Il est même reconnu pour sa ponctualité au travail...
Le travail, justement, alors que Gaga
faisait une petite réparation en altitude, entendez par là qu’il était sur
une échelle, une de ses collègues pilotait un transpalette en dessous de lui.
Tout se passait bien, jusqu’au drame. En effet, sa collègue, certainement un peu fatiguée, n’a rien trouvé de mieux que d’happer l’échelle où Gaga était posé. Résultat,
une chute digne des plus grands bêtisiers
et une luxation de la rotule. Ouf! On est
passé tout prêt du vrai drame, mais finalement tout est bien qui finit (presque) bien...
Maude Seydoux :
«Il y aura bientôt plus de divorce que
de mariage!»
Rachel Panchaud (devant le London Bus) :
«Il est ou le London Bus maintenant?»
un dindon sur une digue
un dindon sur une digue
Après une représentation du théâtre de la jeunesse, la fête allait
bon train au bar de l’ampoule.
Une vidange s’imposant, Eugène (Jérémy Galley) et Panch (Nicolas Panchaud)
se rendirent au toilette des hommes.
À peine entrés, un bruit sourd provenant des cabinets attira leur attention.
En effet, un son proche du cri du dindon qui se noie se faisait entendre, un
cri ressemblant à «bloubloubloubloub,
haaaaaaaa, blouboubloublou» (ndlr :
à prononcer en bougeant son index
devant ses lèvres). Les deux compè-
Jean-Denis et les
nouvelles technologies
Notre cher syndic, JeanDenis Chavaillaz, a encore
quelques lacunes au sujet
des nouveaux moyens
de surveillance bébé.
Non Jean-Denis, un babyphone, ce n’est pas un
talkie-walkie ni un téléphone, ça ne sert à rien
de dire allô ou de parler à la personne dans
la chambre du bébé,
personne ne t’entend!
Albert Panchaud :
«Le Fernet, c’est un médicamen qui saoule!»
res se dirent «Ah voilà encore un petit
jeune qui n’a pas su se tenir». Ils décidèrent alors d’attendre que l’auteur
de ce doux bruit sorte des cabinets
afin de s’en payer une bonne tranche.
Quel ne fût pas leur étonnement quand
la porte s’ouvrit et qu’ils virent sortir
Marc-Antoine Emery. Celui-ci, devant
les deux visages abasourdis lança :
«Ben ouai, ça arrive même aux profs!».
Désormais certains comprendront
mieux pourquoi la copine de Marc-Antoine était quelque peu rétissante envers
ses baisers durant le reste de la soirée...
yves est fan de hockey
yves est fan de hockey
Yves Chavaillaz est fan de hockey sur
glace, ça se sait. D’ailleurs lors des derniers championnats
du monde, au Canada,
il a prouvé sa passion.
En effet, le 3 mai 2008,
Yves est allé faire une
petite grillade chez
Grégoire
Schaub
avec quelques amis.
Ceci après avoir été
chanter avec la société de jeunesse.
La grillade s’est bien
passée, normalement,
rien de spécial à signaler. Donc vers 2h du
matin, Yves et quelques compères se mettent devant la
télé afin d’assister à un match passion-
nant, Suisse-France. Franchement faut
vraiment aimer pour rester éveillé si
tard afin de regarder ce
genre de match. Sans
surprise et pour l’anecdote, la Suisse s’était
imposée. Forcément...
Et Yves dans tout ça?
Eh ben ce passionné
n’a finalement pas
eu le courage de regarder tout le match
(image
ci-contre).
Oui, il s’est bel et bien
endormi devant les
prouesses de ces gladiateurs du futur. On
sait tous désormais
que la France au hockey, c’est un véritable somnifère. Merci
Yves pour cette magnifique preuve...
granet
ce motard
A la fin du mois d’août a lieu le désormais traditionnel rendez-vous des
bikers à la mythique cabane du Bois
Cornard. Autant le dire tout de suite, l’organisation est impeccable. Pour preuve,
construction d’un bar en règle, agencement de tables sur la place de la cabane, bâches gigantesques anti-pluie etc.
Durant tout le week-end, le d’habitude
paisible village d’Ecuvillens-Posieux a
donc vu défiler des motos plus grosses les unes que les autres. Des dizai-
nes et des dizaines de motards se sont
donc rassemblés dans notre forêt...
Que des motards? Non, en effet quelques villageois ont pris part à la fête, notamment notre ami Didou (Didier Galley)
(lire ci-dessous) et notre ami Granet...
Granet n’a rien d’un biker, mais alors vraiment rien. Mis à part peut-être le fait que
notre cher employé de la Poste aime faire la fête. Pour preuve durant ce rassemblement de motards en tout genre, il a
passé tout le week-end là-bas.
Même en arrivant sans tente
ni même de sac de couchage,
Granet a tout de même campé
durant tout le long de la fête sur
place. Eh oui, grâce à l’hospitalité de ces chers bikers qui lui
ont prêté tout le matériel pour.
Ah Granet, la prochaine fois,
mets au moins un veston de
cuir avec un aigle sur le dos
pour squatter les bikers...
Écho de la fête
Alors que la fête du rendez-vous des bikers se passait très bien, une curieuse bête, entendez par là une curieuse moto, est venu troubler l’ambiance. En effet, une magnifique Vespa verte a commencé à dévaler la pente de la cabane du Bois Cornard pour venir faire retentir son faible moteur devant le bar.
Les bikers présents furent bien évidemment étonnés en voyant Didou (Didier Galley) les narguer sur sa «bécane»... Mais ils sont bons joueurs et ont finalement beaucoup rit à cette provocation de la part de l’électricien villageois. Didou se réjouit d’ailleurs de remettre ça l’an prochain, le rendez-vous est donc pris!
heureusement que l’on peut compter
sur nos sponsors
Le théâtre s’est comme chaque année
très bien déroulé, les spectateurs étaient
au rendez-vous et l’ambiance aussi.
Après une attente qui a duré une éternité, voilà un sponsor qui montre le
bout de son nez, Damien Chatton.
Les sponsors nous ont soutenus fidèlement et nous leur en sommes reconnaissants. Comme chaque année, nous
avons donc voulu leur montrer notre
reconnaissance et nous avons organisé l’apéro des sponsors. Panch (Nicolas Panchaud), en bon président a été
chercher un magnifique plateau de fromages et de viande ainsi que des cacahuètes et des chips en grande quantité.
Ce sera le seul et unique à venir.
La déception se lisait sur le visage du
cher président qui s’était donné tant
de mal à organiser cet apéro.Par dépit,
il invita la coiffeuse, la maquilleuse et
les acteurs qui ne se sont pas fait priés
pour se ruer sur ce magnifique plat.
Toutes ces délicieuses attentions
ont bien fait envie aux acteurs mais
pas touche, c’est pour les sponsors.
A 19h, personne n’était là…
Donc merci les sponsors pour votre
fidélité et votre précieuse aide durant le théâtre car sans vous rien ne
serait possible mais s’il vous plaît, la
prochaine fois, venez à l’apéro, ne serait-ce que pour donner raison à la
peine que le président s’était donnée!
dans les règles
de l’art...
Vous n’êtes pas censé ignorer que
Johnny d’Ecu se retrouva impliqué
dans un accident de la circulation.
Une voiture heurta son boguet-Davidson. Face à l’aura et à la prestance surdimmentionnées de ce personnage mythique, la conductrice voulu faire les choses
dans les règles de l’art et appela la police.
Résultat des courses, Johnny a
pu rentrer à pied à la maison.
Pourtant, deux questions s’imposent :
Est-ce l’éthylomètre qui a eu raison de son permis de conduire?
Ou est-ce la police qui remarqua que le permis de boguet, et
bien, Johnny, il ne connaît pas?
Le mystère planera à jamais et nourrira
la légende de notre Johnny national.
Chez les Panchaud, lors d’un débat animé :
Yvette Panchaud : «Nanuche» c’est pas tellement péjoratif, par contre «pétasse» oui.
Chacha (Jean-Marc Chavaillaz) : Ho, «nanuche», «pétasse», même combat!
Hé mec, ils sont ou mes skis?
Ce célèbre adage va si bien à René
Gendre... Surtout pour un professeur!
Explication : le camp de ski avec l’école avait très bien débuté! Leysin est
très sympathique, la neige est parfaite, le temps magnifique… Bref!
Le vendredi, le camp, tant aimé par les
enfants, se termine, c’est retour à la casa!
Au moment de partir, notre cher René
active les élèves en leur faisant la morale. Ils sont grands et doivent être responsables! Interdiction donc d’oublier ne
serait-ce qu’une minuscule chaussette!
Tout le monde entre dans le car, et surprise, les enfants n’ont rien oublié! Ouf!
Le départ se fait donc sereinement
vers Ecuvillens… Mais arrivé à destination, René sursaute d’un coup!
En effet, il a oublié sa paire de ski à Leysin!
Dire que quand on est gosse, on prend
nos chers professeurs comme modèle… Bel exemple pour la jeunesse!
rodger is the best!
rodger is the best!
Roger Federer est un mythe, une icône de notre pays. Tout le monde le
connaît, tout le monde l’aime. Pourtant certains l’aiment plus que d’autre,
comme par exemple, Nicole Chavaillaz,
secrétaire communale à ses heures
et fan inconditionnelle de Federer.
Entre les réveils à
3h du mat pour
voir une demi-finale pourrie lors
de l’US Open ou
les réveils durant
l’Open d’Australie, Nicole n’en
rate pas une miette. Mieux depuis
2008, elle s’offre
chaque année le
magnifique calendrier Roger
Federer. Un calendrier qui coûte tout de même
29.- (sans les frais
de port)... Mais
rien ne fait peur à Nicole pour affirmer
son fanatisme. Elle répond d’ailleurs volontiers concernant le prix du calendrier
«Il y a une partie qui va à sa fondation...».
Oui Nicole, on se justifie comme on peut!
Revenons à ce calendrier et la magnifique photo du mois de décembre. Un
Rodger lifté à souhait, en position de recevoir un service. Franchement une photo ratée et beaucoup trop retravaillée.
C’est d’ailleurs le même sentiment que
le conseiller communal Dominique Zamofing a
ressenti lorsqu’il
a vu le calendrier fièrement
affiché dans la
cuisine à Nicole.
Ni une ni deux, il
décida d’emprunter un stylo et de
refaire Federer à
sa sauce. Fausses
lunettes, fausses
moustaches, tout
y passe... Pauvre
Nicole, et pauvre
Zamo...
Imaginez la vengeance qu’il va certainement
subir dans un futur proche... Osez s’en
prendre à l’idole de Nicole, c’est encore pire que de caricaturer Mahomet...
les pieds nickeles
les pieds nickelés
Il y a parfois des soirées qui durent,
mais qui durent... Une belle illustration
pourrait être la fameuse soirée raclette
chez Didou. Malgré le fait qu’aucun reporter du journal de carnaval n’était
présent durant les faits. Plusieurs témoins ont pu certifier que c’était une
sacrée noce chez Didou ce soir là.
Zinzin le condamnant définitivement à
rester avec eux. A ce moment là Zinzin se
leva pour admirer le spectacle. En voulant se rasseoir, tout dépité qu’il était, il
oublia de regarder s’il avait une chaise à
portée de fesse. Heureusement, le drame fut évité grâce à Didou Superman
qui se jeta pour retenir son ami. Ouf!
Par contre le lendemain matin, 3 de nos
fidèles reporters étaient à la Pinte et assistèrent au spectacle offert par les derniers survivants de
cette petite sauterie.
Il était 10h quand
Panch, Schaub et
le rouge sirotaient
un Henniez gommé chez Rito avant
d’aller démonter les
décors du théâtre.
Fier de son héroïsme, Didou se sentit
pousser des ailes. Il proposa à tout le
bistrot d’aller bober derrière la laiterie.
Il ajouta même qu’il
allait faire du vin
chaud, un thermos,
4 litres qu’il disait.
A la table d’à côté,
Zinzin, Micky et Didou donnaient tout.
Après avoir mangé
les fameuses saucisses de survie à Rito, Zinzin voulait absolument rentrer chez lui en voiture alors
que Didou lui avait piqué les clés. Ni
une, ni deux, Micky en profite pour aller
placer sa propre voiture derrière celle de
Micky ne l’entendant
pas de cette oreille
contra
l’initiative
de Didou en proposant d’aller chez lui,
car il avait de «puissantes bouteilles».
On ne sait toujours pas si finalement ils s’en allèrent luger derrière
la laiterie ou savourer les «grands»
crus de Micky, mais une chose est
sûre, leur soirée a duré, mais duré...
une fondue chinoise,
c’est si compliquée?
Kako et sa copine ont le cœur sur la
main. En effet, à Noël, le jeune homme a décidé d’inviter sa grand-maman pour le repas. Au menu, fondue
chinoise accompagnée de frites au four.
Mais voilà, les frites au four c’est quand
même vachement moins bon que les
frites à la friteuse. C’est ce que Bubule fera remarquer à Kako. Ni une, ni
deux, il décide d’en emprunter une.
En effet, rien n’est trop beau pour sa
grand-maman. Problème, il n’arrivera
pas l’enclencher... Kako a donc l’idée
de frire les frites à la poêle! Il mit donc
de l’huile dans sa poêle et la fit frire.
L’horreur de tous les pompiers, cuire
de l’huile dans une poêle. Rien de plus
dangereux. Heureusement, pas de dra-
me ménager à relater. Par contre, on
vous laisse imaginer l’état des frites...
Mais le couple ne s’arrêtera pas là. En
effet, après avoir misérablement raté
les frites, ils ont voulu décongeler la
viande. Quelle idée à nouveau? La
viande de fondue chinoise n’a pas besoin d’être décongelée... De plus, ils ne
trouvèrent rien de mieux que de laisser le plastique sur le plat de viande
pendant la décongélation. L’horreur!
La viande était incrustée de plastique!
Résultat des courses, les frites gâchées, la viande vraiment immangeable! Quel bonheur cela a dû être
pour la grand-maman malheureuse
de cette soirée. Ah la magie de Noël!
Qui dort dîne...
La tondeuse d’Hicham
On ne compte plus le nombre de
personnes nous dire que la nourriture à l’hôpital, ce n’est pas l’extase.
Un samedi ensoleillé de l’été
passé, Hicham Frossard, résident de la célèbre route des
vins du Triolet, se leva exceptionnellement tôt afin de tondre son gazon dont il est si fier…
Benoît Chenaux en a fait les frais il y a
peu de temps. Notre ami a été opéré
du nez et de la gorge tôt le matin et
le soir venu, une fringale se fit sentir.
Mais seul un ridicule petit plateau
lui fut livré… Pas vraiment la joie!
Vers minuit, il se réveilla avec des crampes au ventre. Il se leva donc, et sortit
de la chambre. Quelle ne fut pas sa surprise de voir que les plateaux déjeunés
étaient déjà là! Ni une, ni deux, il se précipita sur les petits pains de ses confrères!
On ne sait toujours pas si les infirmières ont découvert le glouton...
Après deux heures de travail acharné (et deux tee-shirts trempés de
transpiration et quelques petites
bibines prestement avalées) il se
rendit compte qu’il n’y avait pas
beaucoup de différence entre
le début et la fin de son labeur.
La prochaine fois Hicham demande
à Gigi (Gilbert Galley) ses précieux
conseils en matière de travaux manuels et enclenche le couteau de
ta tondeuse avant de commencer.
la bénichon à ecuvillens, mode d’emploi
deux français ont testé
Samedi soir
» Arrivez en vous excusant de n’avoir pu goûter au marché traditionnel.
» Commencez par manger plus ou moins 25 raclettes accompagnées de quelques topettes
de vin blanc.
» Partez à la découverte du bar de l’ampoule et laissez-vous imprégner de son histoire.
» Testez la boisson locale, ces fameux «Vietnam».
» Profitez des quelques pas de rock’n’roll si gentiment proposés par une jeune fille.
» Sortez prendre un peu l’air, histoire d’évacuer le trop plein qui pèse sur l’estomac (tâchez
d’éviter le charmant carrousel des enfants).
» Entamez la rentrée jusqu’à la maisonnée qui vous loge, en admirant le nombre de zigzag
que vous faites en seulement 2 mètres.
» Observez les détails du plafond si typique de votre chambre d’hôte en vous écrasant
dans le lit.
Dimanche matin
» Savourez les effluves de la soirée en vous réveillant.
» Même si vous n’avez dormi que 4 h, saluez joyeusement la propriétaire du gîte.
» D’un pas nonchalant déplacez-vous jusqu’au milieu du village en profitant pour enfin
découvrir le chemin que vous aviez fait la veille en sens inverse.
» Admirez les visages réjouissants des habitants tous réunis (malgré ce que vous avez déjà
subi à la soirée raclette essayez, vous aussi, d’avoir l’air réjoui.
» N’hésitez pas à taper du pied en rythme au passage de la fanfare.
» Emerveillez-vous en voyant les vaches, les chèvres, les vieux tracteurs, les danseurs, les
lanceurs de drapeaux, les motos,...
» Ne vous retenez surtout pas de rire aux éclats devant les chars humoristiques avec leur
thèmes si pertinents.
» Ecoutez avec intérêt le discours du président de la jeunesse.
» Dégustez un petit verre de vin (et c’est reparti...!).
Dimanche midi
» Tâchez de ne pas arriver trop en retard pour l’apéro dans votre famille «d’accueil».
» Faites-vous surprendre par le goût de la moutarde de Bénichon.
» Installez- vous à table entouré d’inconnus qui se connaissent tous entre eux.
» Délectez-vous avec ce somptueux repas composé d’une demi-douzaine de plats (essayer
d’en reprendre à chaque 2ème service, histoire de faire honneur).
» Après avoir savouré meringue, beignet, cukette et pain d’anis, sortez de table et soyez
fier de vous car il est environ 16h30-17h.
» Terminez les festivités par une petite balade de digestion et retombez en enfance au volant d’un auto-tamponneuse.
Épilogue
En tout cas un tout grand merci pour la sieste d’un jour et demi qu’on a dû faire pour récupérer, les aigreurs d’estomac, la crise de foie, le mal de nuque des manèges, les futurs
plombages chez le dentiste...
Mais une chose est sûre, c’est qu’on y reviendra à la plus grande Bénichon du monde à
Ecuvillens...!
Soirée Ch’ti bonus
Robert Zwahlen, dit Boubi, grandpère
d’Eugène
(Jérémy
Galley), tout heureux d’avoir un nouveau lecteur DVD, se réjouissait de
regarder le film «Bienvenue chez les Ch’tis».
Le week-end suivant, en redonnant le DVD
à sa fille Anita Galley, la maman d’Eugène, Boubi annonça : «Il est nul ce film, j’ai
rien compris et je n’ai même pas ri…»
Une chose est sûre, Anita a bien ri
en apprenant que Boubi avait regardé le disque des bonus et non le film!
La prochaine fois, elle ne lui prêtera que le disque du film afin d’éviter toute nouvelle terrible déception.
Mais où est Munich?
Didou (Didier Galley) aime la bière et
le foot. D’ailleurs lorsqu’il est allé à Munich, il a fait un lapsus révélateur. On
cite : «On va voir Munich 1664 contre
le Herta?» Mais Didou, c’est Munich
1860! Et la 1664, c’est une bière Kronenbourg! Ah la la, la bière et le foot
ne font décidément pas bon ménage.
courge metal jacket
courge metal jacket
C’était Halloween au Godet. Christel,
la patronne, s’était donnée beaucoup
de peine pour faire une belle déco,
avec courges, toiles d’araignée et divers gadgets d’Halloween. Jackson
et Panch se trouvaient là, par hasard,
au bar. Ils se retrouvèrent malgré eux
bien éméchés, car c’était une folle soirée au Godet. Et on ne ressort par indemne d’une folle soirée au Godet.
L’heure de rentrer était arrivée. Pour une
raison encore inconnue, les deux compères volèrent des courges. Ils placèrent aussi des bottes de paille devant la
porte pour empêcher les gens de partir.
Le niveau ne volait déjà pas très haut...
Comme d’habitude cet hiver, la neige
était de la partie. Ils commencèrent à
s’échanger quelques boules de neige.
Ce petit jeu allait vite dégénérer et c’est
à grand coup de bout de courge dans
la gueule que la bataille se termina. Le
deux amis, devenus ce soir-là les pires
ennemis du monde, rentrèrent chacun de leur côté, le visage amoché.
Jackson, pris de honte en voyant son
visage plein de sang dans le miroir,
regagna même à la course son appartement à Fribourg! Tout ça pour éviter d’expliquer à ses parents le pourquoi du comment de ses blessures...
Discussion par texto le lendemain entre les deux intéressés : «Merci pour
la croûte à travers la gueule!», «Mais
de rien. Merci à toi pour les lunettes
pliées et la croûte au bout du nez!»
Vous pensiez connaître tous les secrets de la fête d’Halloween? En voilà
un que vous ne saviez certainement
pas, si vous en avez marre que les enfants viennent vous réclamer des friandises, lancez-leur des bouts de courge!
C’est dans la plus pure tradition
de la fête et, pour sûr, ils ne reviendront pas l’année prochaine!
lancer de
la pierre d’hauterive
Hercule des temps modernes,
se sont affrontés dans ce sport
demandant force, souplesse,
technique et volupté. La pierre, pesant «bien 20 kilos» selon
les arbitres officiels, s’est souvent vu projetée à plus de 3 m.
Pour la première fois au monde, a
eu lieu à la cabane du bois Cornard
le lancer de la pierre d’Hauterive.
En effet, parmi les nombreuses activités proposées par la jeunesse lors de
la fête villageoise organisée au printemps dernier, le lancer de la pierre
d’Hauterive n’est pas passé inapperçu.
Après quelques tristes lancés d’échauffement durant l’après-midi, c’est en début
de soirée que le tournoi atteint son apogée. Une quinzaine d’athlètes, véritables
Défasel
Le dimanche suivant la plus grande
bénichon du monde, la jeunesse (ou
plutôt les 3-4 mêmes courageux que
chaque année) s’était donnée rendez-vous à la cabane du terrain de
foot afin de démonter les chars ayant
paradés durant le cortège du matin.
Après avoir terminé, le rouge
(Eric Chavaillaz) et Panch (Nicolas Panchaud) se rendirent en voiture vers le centre du village.
C’est alors qu’ils croisèrent Fasouille
Trois concurrents sont cependant sortis du lot. Martin «le
déracineur de tronc» Galley a
été le premier à passer la barre
des 3m90, sa supériorité lui
laissait penser à la victoire. Mais
cela était sans compter sur l’entrée dans
la compétition d’Eduard «le palfrenier
d’Acapoulco» Gumy, qui même s’il ne
paie pas de mine, a titiller la ligne des 4m.
Finalement Patrick «Bub-Hulk» Mauroux a quitté le bar 10 secondes histoire de mettre tout le monde d’accord avec un jet à 4m10. Félicitation
à lui et vivement l’année prochaine
pour qu’il remette sont titre en jeux.
(Nicolas Fasel), marchant au milieu de
la route et se rendant au démontage
des chars avec plus d’1h30 de retard.
Le rouge demanda à Fasouille :
«Ca va bien?»
Réponse du principal intéressé :
«Ouais, un peu...»
Depuis cela Nicolas s’est vu attribuer le charmant surnom de Défasel.
Jackson’s bus
Après la fête villageoise, Schaub (Grégoire
Schaub) et Panch (Nicolas Panchaud) ont
emprunté le mini-bus de la famille Jackson-Dousse afin de ranger le matériel.
Ils parvinrent à charger tant bien que mal
une trentaine de pieds métalliques de table puis se mirent en route.
En traversant le bois de la glâne un «poc»
se fit entendre suivi de craquements, comme quand on met du lait sur des chocopops.
Un pied était venu heurter le pare-brise
arrière et l’avait orné d’une magnifique
toile d’arraignée.
Ce que ne dit pas l’histoire c’est que
Schaub et Panch ramenait les pieds de
table à la carroserie des Daillettes. Ainsi il
purent laisser ce qui restait du pare-brise
sur place et directement en commander
un nouveau.
Aux dernières nouvelles la carroserie devrait bientôt proposer un forfait «tables et
pare-brise» à un prix préférentiel.
méthode
pour arrêter de fumer!
En ce jour, un des plus grand fléau de la
société reste la fumée.
La liberté individuelle du fumeur se restreint de jour en jour. Au point que la
plupart des fumeurs se disent qu’il vaudrait mieux «tout simplement» (heum,
heum) arrêter de fumer.
Le Docteur le rouge (Eric Chavaillaz) a
eu la bonté de nous donner le secret
de sa méthode révolutionnaire pour en
finir avec ce fléau universel : «Cette méthode a été testée et expérimentée sur
moi-même et je vous garantis qu’elle
est efficace.
Ce qui est le plus dur pour un fumeur
qui tente d’arrêter de fumer, ce n’est pas
le manque physique provoqué par la nicotine, mais ce sont les habitudes que
l’on cultive avec la cigarette. Ce que l’on
appelle, dans le jargon médico-clopal,
le réflexe cigarette.
Lorsque que l’on est en soirée, assis au
bar avec notre paquet, on fume par réflexe, on ne se rend même pas compte
que l’on est en train d’allumer une cigarette. C’est inconscient mais nos doigts
ont besoin de tenir ce petit bâtonnet
fumant.
Alors pour en finir une fois pour toute
avec cette infâme cigarette il vous suffit
de faire comme moi, ayez toujours un
verre dans chaque main!
De cette façon vos doigts se sentiront
occupés et comme par magie au bout
d’un certain temps vous oublierez
même que vous êtes un fumeur. Santé.
dossier médical
dossier médical
Hey Thierry si tu continues à ce rythme là, il en faudra des pages à ton dossier médical...
mais où sont
nos chers villageois?
Durant cet été, la société de jeunesse a
tenté d’innover. En effet, elle a décidé
d’organiser une fête villageoise. Le principe était simple, inviter tous les habitants du village grâce à un tout ménage
et plus particulièrement les nouveaux
habitants grâce à une lettre. Évidemment la fête était ouverte à tous.
Tous était prêt pour une belle fête, la
fanfare avait accepté de venir égayer
la petite sauterie et diverses activités
(pour enfants, grands enfants ou adultes) furent préparées. Même que, par
chance, le soleil était présent, et quel
soleil! Au moins 45 degrés à l’ombre.
(lire ci-dessous)
Pourtant, malgré tous ces efforts, toute
cette chance, uniquement 2-3 nouveaux habitants se sont joints à la fête.
Par contre, pas mal de gens habitués à
nos contrés étaient présent. Mention
spéciale à Michel Geinoz qui est venu
seul, et qui est reparti dans les derniers,
heureux de sa journée...
Franchement, si la fête est réorganisé,
venez passer au moins un moment avec
nous, on ne mords pas, du moins pas
encore...
Écho de la fête
Le soleil de plomb de cette journée en a fatigué plus d’un. Par exemple, Eugène (Jérémy
Galley). Le bougre a passé sa journée à boire des verres au soleil. Autant le dire tout de
suite, il a cherché toute la journée l’insolation... Et il l’a trouvée...
Durant la soirée, Eugène en est d’ailleurs venu aux mains avec son pote Martin Galley pour
une sombre histoire de jeu avec la fontaine. On ne sait pas qui fut le vainqueur, mais une
chose est sûr c’est qu’Eugène est rentré franc-fou après cet événement.
La prochaine fois Eugène, évite le soleil ou alors met un casquette, ça sera plus simple...
pour tout le monde!
les sans-tireuse fixe
les sans-tireuse fixe
On le sait tous, la Bénichon, à Ecuvillens,
c’est une institution... Certains sont
même aller jusqu’à l’appeler, sans rougir, la plus grande bénichon du monde.
un fût dans le camion frigorifique que
Papaux leur avait prêté pour le weekend. Il est vrai que ce fût était ouvert
mais pas terminé...
Après un week-end pleinement réussi
malgré la météo désastreuse, quelques
motivés se sont retrouvés au bar chez
Gumi, le dernier ouvert...
Ni une ni deux, ils se rendirent donc
au camion qui était stationné prêt de
l’église. Quelques minutes plus tard, les
sans-tireuse fixe étaient de retour chez
Gumy, pour le plus grand malheur des
gens travaillant au bar... Le fût fut alors
branché et la bière put à nouveau couler à flot.
Il y avait d’ailleurs quelques membres
de la société de jeunesse, qui après avoir
tout bien rangé et nettoyé, décidèrent
d’aller en boire une dernière. Mais malheureusement pour eux, arrivés au bar,
l’horreur. Il n’y avait plus de fût.
Panch (Nicolas Panchaud) et le rouge
(Eric Chavaillaz) craignant de mourir de
soif ont alors eu une idée mémorable.
En effet, ils ont décidé d’aller chercher
Mais voilà, la famille Gumy en avait marre de ce long week-end. Ils décidèrent
donc de fermer le dernier survivant de
la fête, leur bar. L’histoire ne dit pas ce
que les derniers lurons sont allés faire
ensuite. Sûrement se reposer. En effet, il
faut aussi savoir s’arrêter à la bénichon.
Écho de la fête
Les sans-tireuse fixe, une nouvelle mode? Pas vraiment... Pourtant, une information a circulé concernant quelques jeunes qui étaient en possession d’une tireuse et de fûts, mais
qui n’avaient pas d’électricité.
En effet, ils se seraient rendus à
la cabane du terrain de foot et
auraient «pomper» l’électricité
du club depuis la prise extérieure.
Heureusement pour eux, ils ont
pu terminer leur besogne sans
être dérangés. On ne saura malheureusement jamais qui sont
les coupables. Certainement des
jeunes gens un peu trop culottés.
la police,
même le dimanche
Il est 2h30 du matin un dimanche soir.
Après avoir nettoyé de fond en comble
le bar à raclette du théâtre, Panch (Nicolas Panchaud), le rouge (Eric Chavaillaz)
et Eugène (Jérémy Galley) allaient gentiment rentrer chez eux en voiture.
Banale, eh bien non, il s’agissait de nos
chers amis policiers.
Le conducteur, Panch, qui a bu quelques bières durant la soirée, quelques...
En gros, pas beaucoup, du moins c’est
ce que l’on croyait!
Contrôle de routine, permis, carte grise,
alcool etc. Tout se passait bien, mais Nicolas avait finalement bu trop d’alcool,
0,72 pour mille à l’alcootest. Arf, c’était
moins une...
Le trio s’empressa de monter dans la
Starlett des Panchaud. Direction chez
Eugène, histoire de le ramener, vu qu’il
faisait un sacré froid de canard.
Mais voilà, tout à coup, en l’espace de
quelques secondes, alors que la voiture
se dirigeait vers le Triolet, une autre voiture arriva juste derrière. Une voiture
banale...
A quelques mètres de chez Eugène, les
phares rouges de la voiture s’allumèrent
et le trio a donc dû s’arrêter.
En effet, à 0,8, c’était au poste, prise de
sang et retrait de permis. Il l’a échappé
belle, le bougre.
Moralité de cette histoire, la police travaille même le dimanche, qui l’eut cru?
RED BULL TE DONNE
DES AILES
Résultat, une face bien amochée complétée par quelques points de suture à
l’arcade (photo ci-contre).
Si l’on regarde de plus près les faits précédant ces deux terribles chutes, on n’ y
trouve des coïncidences troublantes.
En effet, à chaque fois, Schaub avait bu
pas mal de Vodka, dans les deux cas
Grégoire s’était rendu au To See Club,
Schaub avait passé chacune de ces soirée à danser, mais encore il avait bu pas
mal de Vodka.
Cette année il n’y a pas que la bourse
qui a lourdement chutée.
Schaub (Grégoire Schaub) s’est également illustré dans le domaine.
Après une impressionante chute dans
les escaliers lors du souper du comité de
l’année dernière (ndlr. Sac à rire 2008),
le fils du docteur a de nouveau joué les
cascadeurs après une soirée en companie de ses copains de basket.
Pour épater ses collègues, Grégoire à
tenté un saut de l’ange depuis un muret.
Il faut également noter que lors des
deux soirées, la Vodka était mélangée
à du faux Red Bull. Sans oublier qu’à
chaque fois il portait les mêmes chaussures. Encore plus troublant, il avait bu
pas mal de Vodka.
Dans tout ces faits communs, l’un d’eux
pourrait-il être la cause de ses chutes?
Eh bien oui, Grégoire l’a identifié, selon
ses dires, c’est la faute au faux Red Bull.
D’ailleurs depuis sa dernière chute
Schaub n’a plus touché au faux Red
Bull, désormais il mélange la Vodka à du
Tonic ou du lemon.
Et ça marche! Car depuis Grégoire n’a
plus chuté...
La corvée de vaisselle
Lors d’un café noir bien arrosé, comme
toujours, Didou (Didier Galley) d’un esprit
noble et serviable se dévoua pour la corvée de vaisselle.
Il s’appliqua à sa tâche, prit bien soin de
n’oublier aucun verre, mit le tout soigneusement dans le lave vaisselle et s’assura de
mettre la pastille bleue dans le bon compartiment. D’un geste héroïque, il referma
la porte et pressa le bouton «start» avec
une fierté digne d’un guerrier qui avait accompli son valeureux devoir.
Heum... Une pastille bleue vous dites...?
C’était bien une pastille bleue qu’il mit
dans le lave-vaisselle...? Une pastille qui
ressemble étrangement à celle que l’on
met dans les cuvettes des WC?
Quel ne fut pas l’émerveillement lors de
l’ouverture de la porte. Une vaisselle peutêtre étincelante, certe, mais un lave-vaisselle rempli de petits grains bleus et on ne
parle pas même pas de l’odeur. Merci du
coup de main Didou.
Hey, dis-donc, Didou, elles doivent en faire
une de ces mousses tes toilettes!
royal palace
royal palace
Pour certain, la sortie annuelle de l’amicale des pompier reste l’évènement de
l’année. L’attente de ce jour est presque
comparable à un enfant qui compte les
jours avant Noël.
En tout cas y’en a qui ont dû faire de
beaux rêves...
Cette année la sortie emmenait nos valeureux pompiers vers le Royal Palace
de Kirrwiller. Nombre d’entre eux, dont
Jean Schlaefli, étaient déjà tout émoustillés en imaginant les danseuses à plumes.
C’était plus ou moins son unique sortie
de l’année alors autant dire qu’il avait
bien l’intention d’en profiter un max.
A la fin du spectacle, il ne put s’empêcher d’immortaliser cet instant magique en prenant la pause avec une de
ces jolies demoiselles.
Regardez comme les yeux de Jean
brillent à la lueur des strass de la danseuse. La fierté de l’homme à coté de sa
belle.
C’est la jet-set...
Le 27 décembre 2008, Gigi
(Gilbert Galley) a eu la peur
de sa vie!
Son fils, Jérémy Galley (Eugène), descendant les escaliers
de la maison, abordait son
magnifique nouveau look,
totalement bling-bling.
Même choqué, il n’osa rien
dire, son fils est grand et il
s’habille comme il veut. Heureusement Anita le rassure,
Eugène est habillé comme
ça uniquement pour l’assemblée annuelle de la société de jeunesse.
Quelle frayeur!
Gigi, si ton fils sort en costume moulant façon ABBA,
tu dirais quoi?
Lui en tout cas dirait «Maaa,
c’est la jèèèèt-sèèèèèt...».
route de
contournement
Vous êtes tous au courant que notre
belle, magnifique, somptueuse route de
contournement est en pleine construction. Notre chère commune avait bien
entendu réservé le service cantonal de
marquage pour une date déterminée.
Le jour J, rien ne se passa comme prévu.
Un gros manteau blanc avait recouvert
les routes et chemins de notre beau
village. Je ne sais pas si vous vous y
connaissez en marquage, mais à mon
avis, la neige n’est pas forcément le revêtement le plus adéquat à cette tâche.
Mais la mauvaise posture de la situation
n’arrêta nullement Titi (Joseph Gumy)
qui téléphona illico presto au Babe (Bertrand Jacquaz) afin qu’il déblaie immédiatement la route de contournement.
De cette façon le marquage sera fait et
la commune pourra se vanter d’avoir
respecté les délais des travaux. Chose
dite chose faite : Bertrand obéit aux ordres.
Tout satisfait, Titi téléphona aux services cantonaux en leur disant que tout
était prêt pour leur venue. On lui répondit bien gentiment qu’une route
mouillée, ce n’était pas terrible pour un
marquage… Et oui «route déblayée» ne
rime pas forcément avec «route sèche»!
Hé... hé...
A ce jour, on ne sait toujours pas si Titi
s’est excusé auprès du Babe pour l’avoir
fait travailler pour des prunes, ou s’il est
encore à l’heure actuelle entrain de rechercher une déblayeuse qui fasse aussi
sèche-route, parce que bon, les marquages, ils sont toujours pas fait...
Par ici
le bleu!
Le 23 mai dernier se déroulait la fameuse Campus Fever à l’Ecole d’Ingénieurs
de Fribourg. Les concerts, les kebabs et
autres cantines à gniole battaient leur
plein. Mais tous ces divertissements finissaient beaucoup trop tôt au goût de
David Chenaux.
Juste avant de s’embarquer pour le Rock
Café, il se rappela que sa voiture était
illégalement garée sur un trottoir. Voulant éviter une petite prune indésirable,
il la déplaça jusqu’au parking de l’Ecole
des Métiers. (distance parcourue, environ 80 mètres)
Seulement voilà, David oublia de mettre son clignotant en se rendant sur le
parking et malheureusement pour lui,
la police était juste derrière lui… Pas de
bol David...
Les flics l’arrêtèrent gentiment :
Permis, carte grise, contrôle d’alcoolémie... bref la routine.
Résultat : 0,82 pour mille, 3 mois sans
permis...
Aïe pour 80 mètres, ça doit faire mal...
hein David ?
panique
chez la famille grand
Par ce mois de décembre tout enneigé,
Jacqueline Grand avait rendez-vous à
Cottens pour une soirée du genre «tupperware» entre copines. Arrivée à destination, Jacqueline parqua avec élégance le véhicule familial et alla toute
guillerette à sa soirée-représentation.
Olivier, bien heureux, au fond de son canapé et les pieds sur sa table basse sursauta au retentissement du téléphone.
C’était un habitant de Cottens tout paniqué qui lui annonça qu’il était devant
leur voiture et qu’elle était parquée au
milieu de la chaussée enneigée.
Olivier, affolé et transpirant, appela expressément sa «chère et tendre», pour
lui demander si tout allait bien. Jacque-
line, lui répondit d’un ton expéditif que
tout allait bien, qu’elle était occupée et
qu’il fallait la laisser tranquille... Holala...
dure dure pour Olivier qui s’inquiétait
du sort de sa bien-aimée..
On ne sait pas comment tout ça c’est
vraiment terminé mais on a quand
même un petit conseil à donner.
Tu sais Jacqueline, y’a des fois où il vaut
mieux rester chez soi, comme cela on
évite de confondre la chaussée avec les
places de parc.
Joël Chavaillaz :
«Quand j’étais petit, avec mes
cheveux bouclés, je ressemblais
à du vomi!»
ah quand
on a pas la tête!
Par une journée ordinaire, Claudy Monney revenant des courses et allant dîner,
se fit déposer par le taxi aux alentours
du Godet.
Attiré par quelques amis, il ne put s’empêcher d’aller boire un petit apéro vite
en vitesse. En remontant vers chez lui,
chargé de ses commissions, une force
invisible l’attira à la Pinte d’Ecuvillens...
et l’après midi se passa...
Un peu fatigué, Golette rentra à la maison alors que le soleil était déjà cou-
Bravo!
Rien à dire ou presque, il suffit juste de
regarder la photo ci-contre.
La société de jeunesse vous conseille
sérieusement d’aller à l’«Epxo» de poussins à Grangeneuve...
ché et c’est là qu’il remarqua qu’il avait
oublié ses deux sacs à commission à la
Pinte. Il décrocha donc le téléphone et
appela le Godet, afin de trouver une
âme charitable qui pourrait lui ramener
ses commissions oubliées à la Pinte, je
le rappelle...
Je ne vous parle même pas de l’effet
que ça a fait à l’âme charitable, de voir
Claudy en pyjama rayé ouvrir la porte
pour récupérer ses sacs. Quel spectacle!
SAEPE PREMENTE DEO,
fert deus alter opem *
Depuis que Jésus est né, la jeunesse
réserve les dates de son théâtre annuel au mois de février pour le mois
de novembre. Et lorsqu’une autre société voudrait réserver la salle un soir
de représentation, en général, bonne
joueuse, elle s’adapte et renonce. Toutes les sociétés?
Non, malheureusement non, pas la
paroisse... Cette année la confirmation
était organisée à Ecuvillens, un samedi où une représentation de théâtre était
agendée. Jusque là pas de problème!
Mais qui dit confirmation, dit forcément apéro après la messe... C’est là
que le bas blesse!
La paroisse voulait absolument organiser cet apéro dans la salle du restau-
rant paroissial (euh non communal).
Malgré les compromis proposés par
la jeunesse (La salle des répétitions?
Trop petite! La salle à l’école à Posieux? Trop loin!), la paroisse ne démordait pas à son idée de base.
Résultat pour la jeunesse, la représentation a dû être déplacée à un dimanche
soir.
Résultat pour la paroisse, un apéro terminé à 19h, une salle nettoyée, putzée
à 19h05 (ndlr. La représentation était
prévue à 20h15)
Que peut le tiers-état contre le clergé?
* Si quelque Dieu nous presse, un autre
nous délivre.
ah les nouvelles
technologies
Par un geste malheureux, Laly (Aurélie
Galley) renversa un verre de vin rouge
sur son clavier d’ordinateur. En s’étonnant qu’à l’heure actuelle, les informaticiens n’étaient pas encore capables de
nous fournir des claviers «Waterproof»,
elle alla en acheter un autre.
Sur les bons conseils du vendeur, elle
opta pour un clavier USB, faute d’être
résistant à l’eau, on se débarrasse déjà
d’un fil.
Laly rentra chez elle et se mit de suite
dans le déchiffrage du manuel d’utilisation de son nouveau bijou de techno-
logie. L’opération se résumait en gros à
mettre des piles dans le clavier. Après
quelque tentative, Laly fut obligée de
se rendre à l’évidence que son clavier
ne fonctionnait toujours pas. Elle appela Gabo (informaticien) à la rescousse.
Gabo ne pu s’empêcher de poser cette
question agaçante :
Laly, t’as pensé à mettre des piles?
Malgré l’acquiescement de Laly, Gabo
ne put s’empêcher de contrôler et c’est
là qu’il constata que les piles étaient belles et bien insérées dans le clavier mais
malheureusement dans le faux sens...
aller...
retour!
Le 1er voyage de jeunesse est toujours
une expérience unique en son genre.
En effet Ilfete en a fait les frais.
Toute motivée et munie de son permis
de séjour ainsi que de son passeport
albanais, elle monta dans l’avion qui
devait nous mener à Amsterdam. Une
certaine appréhension la guettait tout
de même, elle qui prenait pour la 1ère
fois ce moyen de transport de l’ère moderne.
Tout se passait bien jusqu’à ce que l’on
arrive à la douane où l’accès au pays
Hollandais lui fut refusé.
La raison de cette situation tragique,
Ilfete ne savait pas qu’elle avait besoin
d’un VISA.
Après plusieurs heures de négociations
soutenues entre Panch (Nicolas Panchaud), Soso (Sophie Crausaz) et les
douaniers charmants comme des portes de grange, rien n’y a fait.
Les deux demoiselles ont même fondu
en larmes pour amadouer ces messieurs, mais en vain.
Le verdict fut l’effet d’une douche froide
pour la pauvre Ilfete, elle devra passer
la nuit dans l’aéroport et reprendre un
avion pour rentrer le lendemain.
Heureusement que les charmants douaniers avaient le sens pratique, ils ont
rassuré Ilfete en lui disant qu’il y avait un
Burger King dans l’aéroport...
Au moins Ilfete aura appris quelque
chose dans son malheur : n’oublie plus
jamais ton VISA!
Mumu elle a gagné
mumu elle a gagné
Mumu (Muriel Cuennet) a participé à un coucours de photos en 2006. Le principe était
simple, se mettre en scène afin de devenir «mannequin» pour une société de voyage. On a
retrouvé les photos. Sachez que Mumu a terminé au 6ème rang... La prochaine, tu gagneras sûrement, mais n’hésite pas à nous envoyer les photos....
Après verdun,
la bataille d’ecu!
Un samedi soir, Doud (Dimitri Dousse) et
Fasouille (Nicolas Fasel), rentrant d’une
longue soirée à Fribourg, décidèrent
de faire un petit café noir. Peu après,
Panch (Nicolas Panchaud), le rouge (Eric
Chavaillaz), Eugène (Jérémy Galley) et
Schaub (Grégoire Schaub) les rejoignirent, rentrant eux d’une très longue soirée, souper du comité oblige. Après 1-2
bières, la bande décida d’aller faire un
petit tour dehors pour prendre un peu
l’air et profiter de la masse de neige fraîchement tombée.
Effondré de fatigue, Panch posa les armes. Les autres gais lurons commencèrent à s’échanger quelques boules
de neige. Très vite, Le rouge fut mis
KO par un superbe lancer en cloche de
Schaub (à n’importe quelle heure de la
nuit, on reconnaîtra toujours le basketteur). Eugène et Fasouille, venant tous
les deux d’Ecuvillens et frustrés de voir
deux des leurs mis hors combat, agressèrent littéralement nos deux pauvres
amis de Posieux, Doud et Schaubi.
Ceux-ci ne se laissèrent pas faire et, par
la fierté de Posieux, ripostèrent avec
violence. Une bataille acharnée s’ensuivit. Les balles sifflaient, quelques boules perdues frappèrent des passants et
des voitures égarées, la place du village
était criblée d’impacts de balles, témoignage de la violence de l’affrontement.
Plus d’une heure et demie de haine et
de réglement de compte.
Au lever du jour, après moult efforts et
manoeuvres stratégiques, les grands tireurs d’élite que sont Doud et Schaubi
prirent le dessus et repoussèrent l’ennemi jusque dans leur chaumière. Bons
princes, ils décidèrent d’épargner les
vaincus, mais s’emparèrent tout de
même des terres d’Ecuvillens.
Et oui, habitants d’Ecuvillens, vous ne
le saviez peut-être pas, mais vous vivez
sous le joug de Posieux! Et si vous observez bien, c’est l’étendard de Posieux
qui flotte au-dessus de la place du village!
welcome to the usa
welcome to the usa
Qui n’a jamais entendu dire que les
Etats-Unis sont fous en matière d’antiterrorisme?
Bouli (Vincent Corpataux), en a eu la
preuve lors de son voyage au Canada.
Trois amis à lui, lui rendirent visite l’année passée, Vincent leur proposa un
petit détour en voiture, aux pays de
l’Oncle Sam. Les quatre amis emportent
leurs affaires et s’en vont, direction la
frontière!
En arrivant, les douaniers leur demandent de passer au bureau d’immigration. Jusque là, rien d’anormal. Sauf
qu’un douanier arriva, ou plutôt surgit
dans l’office, accompagné d’un sac avec
trois bananes.
David Chenaux, un texto?
David Chenaux qui écrit un texto à sa copine, malheureusement pour lui ça arrive
chez le rouge (Eric Chavaillaz).
On cite :
«Coucou bb sa va moi suis crevé on à
Il demanda, légèrement énervé, ce que
ces fruits faisaient dans la voiture. Même
si le discours de Bouli était convaincant,
le douanier américain n’hésita pas à
gueuler sur les jeunes suisses, leur expliquant qu’un seul, et unique fruit était
autorisé à traverser la frontière!
Bouli, déconcerté, hésita à répondre…
Il finit par dire qu’il y avait une banane
par personne, ou presque. Mais le douanier hurla encore plus en leur disant que
vu qu’elles étaient sur le même siège, ils
n’avaient pas le droit de les transporter!!!
Eh oui une banane, ça peut tuer en
Amérique.
eu une monstre marche trop la misère
mais on à été tiré trop bien sa la mmmmh des gatteries trop avec toi tt les jours
meme t es tellement chou je t aime eh
mon coeur le 27 décembre souper de
la jeunesse je peux t inscrire avec moi
mon coeur veut trop que tu vienne chérie bisouxxxxx»
Amsterdam, une ville
sans tabous?
La célèbre sortie annuelle de la jeunesse s’est déroulée cette année à Amsterdam. C’est donc tout plein d’émotions
et d’excitation que nous avons parcouru
le fameux quartier rouge, le musée du
sexe, les divers magasins de préservatifs, les nombreux sex shops, etc…
Ces ballades ont eu pour conséquences
de révéler des discussions et des révélations assez intimes au sein des membres de la jeunesse, plus aucun tabou
entre nous, du jamais vu.
Dans toute cette euphorie, on a aussi
pu relever certains achats spéciaux qui
ne se seraient sans doute pas faits dans
un autre cadre. Deux demoiselles de la
jeunesse* sont arrivées toutes frémis-
santes en nous montrant leurs achats
de la journée, des godemichets.
Sur le coup, personne n’a été choqué ou
étonné, après tout nous étions à Amsterdam.
Mais une fois de retour, on a jamais su si
ces fameux jouets sexuels ont été utilisés et si c’est vraiment efficace…
Etrangement, les tabous s’envolent uniquement à Amsterdam!
*Pour des raisons évidentes, nous avons
préféré préserver l’identité de ces deux
jeunes demoiselles. Mais si vous voulez
vraiment savoir, demandez à un membre
de la jeunesse.
Eglantine Dousse
a chopé la gale!
Défoncine (Eglantine Dousse) a chopé
la gale!
Il y a quelques jours, Eglantine découvrit une tâche rougeâtre sur sa cuisse.
Qu’est que cela pouvait bien-t-il être?
Allergie, piqure d’insecte ou, pire, d’araignée? Tout en soucis, elle s’empressa
d’aller demander conseil à son frère Dimitri. N’étant pas médecin, il lui répondit que ça pouvait être beaucoup de
chose, probablement sans gravité. Nullement rassurée, elle fit une recherche
sur internet.
Conclusion : piqure de tique (en plein
mois de février...) ou grippe aviaire! Les
compétences d’internet en matière de
médecine sont encore à prouver...
Pour enfin connaître son mal, elle décida d’aller voir le Dr. Schaub.
Le diagnostic fut encore plus terrible
que tout ce qu’elle aurait pu imaginer.
Allergie à sa plus fidèle amie, celle qui
partage toutes ses nuits, sa chatte Gribouille!
Le seul remède est la séparation. Il paraît que depuis ce jour là, l’ambiance est
tendu chez les Dousse.
La rupture forcée n’est pas très bien vécue, pour l’une comme pour l’autre!
Le Vietnam!
LE vietnam!
Historique
Après avoir découvert, une spécialité d’Argentine, le Fernet-Coca, qui retranscrit bucalement un sous-bois de Patagonie en hiver, le rouge (Eric Chavaillaz) a eu l’idée de
mélanger les deux alcools les plus amers du monde, la
Suze et donc le Fernet.
Après avoir dégusté ce rigoureux brevage, Panch, cobaye
émérite, s’exclama haut et fort : «C’est trop bon, c’est le
Vietnam dans la bouche». En effet, une attaque puissante
suivie d’une amertume persévérante est non sans rappeler une attaque de napalm dans la bouche.
La recette
Introduite au grand public durant le théâtre de cette année, de nombreuses personnes sont devenues adeptes.
Entre autre, La merone (Céline Meroni) et Grég Chatton qui
lui donnèrent le doux surnom de «Noël dans la bouche».
Santé!
Ingrédients
Fernet Branca
Suze
Cola
Préparation
Versez 2cl de Fernet Branca, 2 cl de Suze
et du coca à volonté dans un joli verre à
cocktail.
Agrémentez le tout de glaçons et d’une
paille.
Attention, ne vous étonnez pas de la
consistance solide et jaunâtre de la
mousse. C’est normal.
On en parle
Étant donné les vertus curatives, guérisseuses des nombreuses plantes présentes dans le Fernet et la Suze, Novartis
est en train de racheter le brevet. Ils ont
refusé de communiquer à quel prix.
Nicole, quelle statue!
En rentrant des Etats.Unis, il est toujours
difficile de se remettre de ses émotions
et encore plus difficile de se remettre
du décalage horaire.
Nicole Chavaillaz, son mari, la famille
Jean-Marc Galley et Jean-Denis Galley
sont allés aux Etats-Unis cet été.
A l’arrivée en Suisse, ils ont décidé de
manger une fondue au café du Midi. En
passant devant la pleureuse (statue de
la rue de Romont), Nicole n’a rien dit,
en repassant devant elle, elle s’exclame
: «C’est qui cette dame, elle était déjà là
quand on est arrivé.» Nicole, c’était une
statue!