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Six réélections avaient eu lieu en province dans le cours de l'année, à Rouen, Orléans, Bayonne, Mamers, Meaux, - 230 Saintes, et partout les candidats de l'opposition avaient été nommés à des majorités formidables. A Rouen,ie candidat du gouvernement n'avait pu obtenir que 37 voix sur 967 votants. . Etiln'yayait point à se, méprendre SUITE ET flU CES sur le caractère agressif da ces nominations, car au nombre des nouveaux élus MOHICANS DE PARIS figuraient la Fayette et Laffitte. Et c'est là que tous les gouvernements PAB passés, présents et futurs ont échoué et De la çiiupUcité et de l a frugalité échoueront. de M. R a p p t Quand bh ne précédé pas Foppositon, *. Les ministres ressemblent aux vieux il faut la suivre f Q'esjt "se yeag^r naïvement delà mer — Ne connaissons-nous pas tous deux comédiens : ils ne savent pas se retirer à [uë de la fouetter. Ce n'est pas satisfaire ' < ' la valeur des serments ? dit en souriant temps. Certainement, les votes de la cham- Îes appétits que de' lés distraire.'« La / le comte. est mauvaise, çqnçeiUère, », dit l'a— Sans doute, sans doute! fit l'évê- bre des pairs auraient dû xvertir M., de faim dage,. Villèle du danser qui menaçait 1g roi. que; entre honnêtes gens, on s'entend Aussi allez-vous voir, à partir de ce Depùil quatre ans, là chambré'héréditoujours ! moment, le vieil esquif de la monarchie, taire était, en effet, en opposition cons— Eh bien, ajouta-t-il, que, si je vous radoubé ^aiit bien que mal par des dien priais,vous me confimeriez cette pro- tante avec les vœux du gouvernement, .Mais, soit que, doué d'un orgueil im- plomates étrangers a là France et par ^n messe? mense Ou d'un esprit étroit, M. de Vil- ministère étranger à Ja .ftatiQiu chavirer — Certainement, monseigneur. moment, sel relever,uhé minute,,lftu-1 — Môme par écrit? demanda l'évèque lèle ne remarqua! pas cette opposition un persistante, ou qu'il dédaig.iât de la re- vôyér, pendant; trente et un mois, entre d'un air de doute. marquer, non seulement il ne songea mille ècueiisî, et sombrer définitivement, — Même par écrit 1 affirma le comte. ' a ' — Eh bien I. .fitl'évêque en se tour- point à se retirer, mais là création de sans espoir de retour.. M. Rappt, toutefois, en revenant de quatre-vingt pairs nouveaux lui parut nant du côté d'une table sur laquelle il y avait du papier,une plume de l'encre,et, un moyen assuré de ramener à lui l'es- chez monseigneur Coletti, était loin de faire toute.Qbs,réflexiws. Il désirait remcomme on dit en argot de théâtre, tout prit de la chambre haute. ce qu'il faut pour écrire. Cependant une majorité, en admettant pjacs.r. M. de.YiUéle, £t U agissait cpmme eût agi» sa. place,.c'est-àCe mot eh bien était si expressif, que qu'il l'obtint à la chambre .des pairs, ne M.de,VjUèlê dire qu'il travaillait pour son seul.complui assurait pas la majorité jà la chamle comte Rappt, sans demander plus tej pour sou ùniquejntérêt. • •<• d'explication, se dirigea vers la table, et bre des députés. Il voulait âtr§ député, d'abord, minisconfirma par écrit la promesse, qu'il veL'oppositiou avait fait des progrès ranait de taira verbalement a ï'ëveque. pides, dans la chambre élective. De dix tre, ensuite, et, pour cela, il m reculait Il lui tendit le papier; l'évêque le prit, où tjôuze yoix de majorité, elle s'était devant aucun obstacle- H. est wai qu'il en lut le contenu, le saupoudra, le plia, peu $ peu élevée à cent cinquante regardait avec fant de mépris, les obstacles qu'il rencontrait, qu'il n'avait pas le mit dans un tiroir, èt, regardant M. voix. feuilleton du S t é p h a n o l s . 5 Rappt avec un sourire dont soft aïeul Mépliistophélès ou son confrère l'évêque d'Autun lui avaient certainement transmis le secret : — Monsieur le comte, lin dit-il, à partir de cette heure, vous n'avez pas d'ami plus dévoué que moi. — Monseigneur! répoudit le comte Rappt, que Dieu, qui nous entend, me punisse si j'ai jamais douté de votre affection. " Et ces deux gens de bien se quittèrent après s'être étroitement serré la main. CXIX Novembre ( : grand mérite à essayer de les écarter. — Alors, il faut absolument le receDe retour à l'hôtel, il passa par le voir ? . • petit escalier de service et rentra* dans . — Je crois que yous ne pouvez pas son cabinet. l vous en dispenser, monsieur le comte, Madame de la Touraella venait de le j —Nous allons le recevoir*ait le futur quitter ; "il n'y trouva quêBordier. députe d'un air d§ martyr. Auparavant, — Vous arrivez bièii, monsieur, te . SQnàpi Baptiste ; je n'ai rieu mangé decomte, dit le secrétaire, je vous atten- puis ce matin,; je meu\r% de.faim. dais impatiemment. Le secrétaire sjônuq, Baptiste, et le do-T- Qu'arrive-t-il, Bordier? demanda le mestique, entra. - ."• député en jetant son-chapeau sur une — Ap.pqr|§z-moi un, bouillon et une table, et en se laissant tomber sur. un croûte de pain, dit ig compte Rappt. En fauteuil. ', allant â la cuisine, faife entrer le mon— Noos n.'eu avonsp.a§ ijni avec les sieur qui est dansî'a,p,ticnambre» électeurs, répondit Ëordier. *" Puis,, se tournant vers le [secrétaire : — Gomment cela ? ' ,, r - Y ÀMez des notes précises sur ce — Je vous ai débarrassa de tout ce qui personnage f : restait, sauf un individu, qu'it m'est , p ; Précises, à peu près, dit le secréimpossible de renvoyer.. . taire en lisant les^ notes sur, une feuille #v — Est-il connu ?**•*• ^e papier. , — Gomme les bourgeois, pèuven^ l'êBrewer, brasseur} . homme franc, tre. Il dispose de cent voix. ^ Ouvert ;. ami du pharmacien Renaud ; — Comment l'appelez-vous ? [ &s,de Pftysa,ft, parvenu à la fortune par — Brewer. trente:çin5 aQ3 de travaux persistants; — Qù'èst-ce qu'il fait, èë Brewer \ l'jinnant pas à être ûatté. ; s'irritànt de — Delà bière. ' * •' ' < jfftp^iîe politesse, confiant envers tous — C'est donc pour cela qu'on l'appelle jé^.siens, défiant envers tous les autres, le CrQ,mye.t du quartier % très estimé dans le quartier» Cent, voix, enfin. , — Oui, rqonsJLe.urle ÇQRite- • — pouahj li.t.%- R B P W aiç d4 j ^—Bien | dit J e comte Rappt; ce ne dégoût Êt qu'est-ce qu'y veut, ce, rnar: ; sèx% p⧠long. îs ou8 en aurons bien vite chand de bière ? , . , • '"' j-aisqo. ; ^ Jé M sait pâS au juste ceqq11 Veut; , "Le îJoiiiejjtimie annonça : -. " sais ce' î 'ii'iï"hë 'veut pas fîf he mais jé veut pas s'en aller": " •' '" Un homme de ciaqiianté* et quelques •*- Qu'est-ce 4û'^ï demâhd'ej erififr ?* anjjéçs,^ haute atatji,re,à la figure loya,>r Il demande à vous voir, et il pré: ie^,f.^'§4ap? laçabiçiet._ . > tend qu'il ne quH|er| pas l'hôtel sans! . — Monsieur, dit le nouveau venu en vous avoir vif, dûl-il vous attendre toutef §'iuciiimut, pardonfïez à un inconnu de la nuit. "' '" "" **"**', * .. mettre aïitànt d'in^istàniè à être, reçu de Et vx>us dites qu'il a cent voix dans, sa poche ?.. ,v *••> v~-ï- 't. • i-^L Mohsièur BréweM répondit lé dé— Cent voix au mains» monsieur le, poté en examinant attentivement la figure du visiteur, comme s'il devait décomte.. ( : t 0U a ua ; T J ! couvrir dans les lignes de son visage la ligne de conduite qu'il allait avoir à suivre avec lui,- monsieur Brewer, dit-il, vous n'êtes pas tin inconnu pour moi, tant s'en faut ; car je connais le nom de mes ennemis (et vous êtes du nombre) presque autant que celui de mes amis. — Je suis loin oYètrè votre ami, en effet, monsieur; mais- je ne sais pas non plus votre ennemi:* Je- suis opposé absolument à votre "candidature, et le serai probablement toujours, non a. Gause de vous personnellement, mais à causa du système (système désastreux, à mon sens), que vous préconisez. A part e-tte inimitié, de parti, toute politique, je rends hommage, monsieur à votre grand talent. ' " '• ' • — Vous me flattez, monsieur, dit en feignant là confusion le comte Rappt. —Je neflattej amais,moi>sieur,dit d'un àir. fâché le brasseur j je flatté aussi peu que j'aime peu à" être flatté... Mais il est temps, je pense,âe vous dire la cause de ma visite, si vous le permettez: 1§— Parlez, monsieur Brewer, — Monsieur, j'ai lu hie.r dans mort journal, à mon grand étonnement, car le Conétiiutionneh n'est pas précisément l'organe du gouvernement, j'ai lu,dis-je, une circulaire électorale, une profession defoi.signée - de votre nom. Est-ce bien réellement de vous ? — En doutez-vaas, monsieur ? s'écria le comte Rappt. 1 , i suivre) . M i U ' e i sonnes qul,mo fer.Vni m.în dé se m<!" méOe:- clos S'iU- S i\JU I s i , f i l i o n s oi tfè t o i » ! * -kiV--r ;f-' *.,„>".„ yjv;»i ; les p/lngjpali}'-: s'-nl, O r ^ n t U m , C r a n d e Of lié, H ô p i t a l , puis.-.inuiu i l < mt> uliiillsfire J 4 aurvefiié* pal- un tènrfinMé/tit aé 'r«.ai, »e nom dft la sourco est sur îvutj.uetiq, lô liouaiinn et :a l'apsuie. Exiger sur les pastilles fabriquées réellement avec les sets extraits des' Eaux de Vichy la marque de l à Compagnie fermière. ANNONCES JUDICIAIRES, GOMMËRCIALBS ET AVIS DIVERS :-:r.. Etude de M" MA.GDINIER, avoué licencié, près le Tribunal civil de St-Etienne, sise en ladite ville, place Mi-Gàrême, 5. Assistance Judiciaire^. bécision du 11 mûrs 1892 D'UN lugoiiiciit p o p n t k Divorce 01GE$TlQK8tNTESTIH8 GOUTTE, ORAVEUE Avoir sain H'eceifs*r ?<ç Source. B U L L E T I N O F F I C I E L d o X'Exp ositioix clo l i y o n Universelle, Internationale: et Coloniale ; j.i in.no Virginie , RAYMOND, * JOURNAL ILLUSTRÉ : HUIT PAGES Jj! n.,< >viw»puse, épouse' âa sieur Jean 1S \ i h 'MON. arif(urier, demeurant à du^lienne, rue Boargreuf, 9, elle anU'i'isée à résider et résidant à ADMINISTRATION ET RÉDACTION : . .. _ St-f'.iienne, rue Marengo, 49. Kl ledit sieur Jean SALICHON, L Y U f — * V « l K CONFORT, 1 4 — L Y O M préi|Uiilifié. - ABONNEMENTS SIX MOIS France.', ."r^f.. 4 f r a n g e r (u. 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I» di«)o i!if dudit jugement sur les regist>i:s à <*HTfcsttrrés"Bt TreTrTaîfè irtontioii «'"> mai^e de l'acte de mariage. Condamne le sieur Salichon en tous les dépens de l'instance M Masdinier, avoué, a occupé pour la demanderesse. Le sieur Saliclio» a fait défaut durant tout le cours de l'instance. St-Eliemie, le 3 novembre 1893. Pour extrait : Signé : MA.GDINIER. v i a s i K i T t ? aoasî en 1894 JJ'nn jugement de défaut rendu pyr ht première chambre du Tribune- civil de Saint-Etienne, le dix J0111L OFriCltLM I/EXrOSÎIiON aof.t mil huit cent quatre-vingtIl conti^. $t tous les renseignements pouvant intéresser les visit r e i z e . enregistré, expédié et signifié ' ' ' ' ' feurs et les exposants. • à \ aiiio. 1- Utro : La REVUE BI-MENSUELLE des Tirages Financiers paraissant les 12 et 2 5 de chaque mois, publie tous lea Tirages des Valeurs à Lots, et reproduit périodiquement la Liste des Lots non réclamés. 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