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Feuilleton du Stéphanois. 29 Octobre
Le secrétaire eut un mouvement d'impatience et répondit :
— 66 —
—.Faut-il que j e vous répète que le
patrdn^est revenu ce matiÏÏpour affaire T
Il avait une dame a recevoir, -,et,-dès
TTÏT
Pentfevue a été terminée;-ïl est reparla;.
Le commatidant^e- red r$?Sà' ;et, ' à'ai-*
d a n t d e sa' tîannev' sortit- 'lentement-'ëel'appartëmént VouzÉtâouxT. Il descendit
lourdement l'escalier et fila îe long de îa rue, sans sbngejfà. Regarder-'en"arrièréi '
S'il levait fait, il aurait" aperçu, .derrière"'
Par Pierre SALES
la fenêtre de la chambré de-Vduzadousrdeux! figures narquoises^qui souriaient
LIVRE II
méchamment.-Quand la silhouette du commandant
R O B E R T D E C A ΠS P I G N A C se fut perdue au coin de la rue, Vouzadoux laissa tomber le rideau.
' —Xlela vous apprendra à vous mo.JBâisy elle ramassa le billet qui était quer " de moi, mistress Arabella f Grol^-Sur la table : et avant que Vouzadoux riez-vous," maître Vernouillard, que cette
eût pu la retenir, elle ouvrit ,1a porte et coquine a eu l'audace de m'insulter, au
s'enfuit. Elle rentra chez plie,' boulever- moment où j'allais lui rendre u n sersée, comprenant 'enfin de quelle atroce' vice?
— Il est certain, répliqua Vernouilmachination elle avait été victime, et
songeant à la~ Couleur qu'éprouverait lard, que,cette jeune dame a été pour l e
Bob.lorsqu'il apprendrait qu'on ne pou- moins imprudente. '
vait pas faire honneur à sa signature.
Et il se mit à ranger la chambre de
Elle trouva le commandant très anxieux son maître; tout en bavardante Vernouil-i
elle M - r a c o n t a seulement que Vouza- lard occupait, auprès de Vouzadoux,
doux refusait de tenir ses engagements, une situation qui tenait;, à la fois du
sans lui en donner les motifs. Il bondit confident et du domestiqué.' „
de sa'-chaise, saisit sa canne, mit son
Il lui servait de "valet de" chambre,*
chapeau de travers, et, à grandes enjam- mais seulement dan& èa'xshàmbre^caril •
bées, courut chez Vouzadoux. Il fut reçu ne s'occupait jamais du reste de la maipar le'secrétaire qu'il avait'déjà vu et' son ; il faisait ses commissions louches
qui lui dit de sa voix la plus'mielleuse : et Souvent lui tenait lieu d'espion. Enfin,— Monsieur était rentré ce matin pour quand Vouzadoux voulait tenter "une
affaires '. mais il est reparti immédiate- spéculatioUjPour se faire connaître, Verment. •
nouillard était son homme de paille.
Le brave commandant chancela et dut
-r- Ainsi donc, demanda ce parfait sers'appuyer sur un meuble.
— Voiis êtes bien certain qu'il e s t rc- viteur, monsieur est décidé à repartir ?
— Oui, dès ce matin.
,
parti ?
:
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s
s ,
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Drame Financier
— Monsieur me laissera-t- il son
— Parfait. Et pour l'affaire Arabella ?
adresse ?
i —- Vous pourriez être un peu plus sé— Toujours la même.
rieux, maître Vernouillard, et dire ma—Bon. Château d'Ecoufflaîït.Motisieur dame.
•
i e m'a pas» fait l'honneun det me dire ^ — Four raffairfl*de«madame Lytton-?
< omment les choses allaient de ce côté- interrogea Vernouillard avec un- respect
L>..
exagérée
— Vous saurez cela plus tardi -quand » Du ton le plus calme, Vouzadoux>.ré~
out sera terminé. •
ppndit :
,
— Si je me permets d'interroger mon'Î-T Le billet,présenté aujourd'huichez
ieur, c'est parce -que je crains que son ±5ôb Lytton, ne sera pas paye ; représenté,,
; miMarsébert ne le joue par ^.dessous. demain soir par ministère d'huissier, il
» e sera pas payé non plus. Le protêt
, ambes.
Expliquez-vous plus clairement» maK, a u r a lieu le dettdemaid; matin; éfe sera
etiregistré avant midi; en suivant la
re Vernouillard."
— Moi, c'est mon idée qu'il joue une . filière des divers îendosseurs^ il-«nous
comédie, et qu'il n'a pas du' tout envie reviendra dans-cinq à six jaurs^Je.serai
peut-être rentré à ce moment-là £ mais,,
de Vous prendre pour beau-frère.
si j'étais, encore absent, maître Vërnouiln.
t — Et quand cela serait t
lard,vous donneriez à mon huissier l'or• — Si cela est égal à monsieur
> — Naturellement. J&> joue.aussi-fin,: dre dé poursuivre avec, toute la; rigueur
qu£ mon ami Georges. Si je deviens aon à laquelle nous autorise la loi..
beâu-frère, j ' a i une femme millibnnaiT
Le jugement sera prdmptement rendu ;
re;*si la jeune personne ne veut pas* de t Boy Lytton sera déclaré en faillite vers
mol, Georges "Teste mon : obligée et "> ne . la ffia du mois'd'ectobre.*- Et^mistress
peut plus se passer de moi.»
Arebella verra alors ce qu'elldfcaurait
Vousnepense* pas, maître.Vernouil-1 gagné à se montrer un peu plus aimable
lard, que ce soit par amour que je prodk, ce matin. Voilà, vos.instructions, maître
gue '-mes- -galanteries à «mademoiselle' Vernouillard* Maintenant, conduisez-moi
âUfChèmin de fer.
~ •
Yvonne?
Vernouillard s'inclina respectueuse-
f
:
:
1
:
{
ANNONCES
i v c ^ i s o i s r
mônC.vî',/^*- •
•
• . . .
» —-Monsieura pensé à tout. Monsieur:*
n'ai plus qu'à me donner ses instructions -»
ponrjes affaires^en train.,
^«Quelles affaires ? , .
. \
—4)'abord pour;.le magasin de l a r u e Turbigo, le magasin* Vernouillard -et G .
— 11 me semble, monsieur, Vernouillard, que, pour cette> affairera*r toufea étéconvenu d'avance 2— Alo rs rien n'est< changé ?> - — Rien. Il n'y a qu'a exécuter -le'programme jusqu'au bout.'
;
9
Trahison
? À l a gare Saint-Lazare, Vouzadoux,,
prit son billet pour Ecoufflant ét;;s'endof mit enchanté deiui-mêmeét ènrévanta tout-ce-qui» s'était 'passé depuis'* qu'il"
était .allé a a château dès Marsébert pour
la première. fpis<4Ly,f.vait euvirQn.trois .
jemaineSfdecela. I l étaij;part.ia^ep Ge,oiv,
ges ét3aranyille lë'jpur" h^&ine .où, ce',
dernier était J"«.ve.n,p „dë Ëuenos; Âyres.
Pendant ce voyage, Georges avait essayé^
à diverses reprises, d'interroger Baran^
t
7
K
grand plaisir lorsque tu viendras te reposer ici de tes travaux.
Vouzadoux remercia gravement, commeiin-- hommequi est, en effet, accablé
par>deg travaux-considérables, et se retira de très bonne heure. Quand enfin
Georges, Mme Marsébert ek- Baranville
furent seuls, ce dernier s'écria brusquement •:
! — Quand je suis parti d'ici, on ne devait plus revoir ce M. Vouzadoux ; et, le
jour même où je viens^ j e le trouve installé comme un membre de la famille 1
Gela vous choque donc beaucoup ? fit
Georges avec un grand calme ; j'en suis
aux regrets, mais cela me plaît, à
moi I
Baranville frissonna* et deux larmes
coulèrent de ses yeux,
— Georges» dit timidement sa mère, tu
me fais beaucoup de peine».. Si; tu savais comme M* Baranville a ét4 bon et
dévoué pour toi !
— Je le sais, ma mère, et j'ai voué à
M- Baranville la plus vive reconnais* sanee-. Mais je-- suis assez grand pour
•choisir-mes amis. Vouzadoux* lui aussi,
• m'a donné de grandes preuves d& dévouement ; et bientôt je compte lui en demander de plus grandes encore.- Avant
.longtemps*,, Vouzadoux me., rendra, un
service que M. Baranville, malgré tout
son-amour pour- moi, n e pourrait pas
j
nie
rendre. <
La jeune fille accueillit très gracieusei
ment Vouzadoux, et se montra enpore
.
,
•
•pljis àimable^lorsqu'il lui eut donne'des , ;f
-i,^> •
(A suivre)
nouvelles de tous ses protégés.
Vouzadoux fut installé dans un délicieux appartement, situé dans l'aile op~
pQsée à celle où était la Chambre d'Yvon- ; < On, s'abonne sa/i&, fra.ù; au
ne,, -et 'Georges lui dit - devant • tout le STÉPHANOIS da?\$ coustesbv
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ville, sur ce qui s'était passé à BuenosAyres; mais soit que Baranville se défiât
de Vouzadoux, soit qu'il ne pût répondre
plus catégoriquement, il avait dit .cette
seule phrase :
— Tout marche.au gré'de nos désirs;
'mais nous ne saurons que dans quelques
-jours si les choses se sont _ terminées à
notre entière satisfaction.
. Quand ils arrivèrent au château, madame Marsébert l'interrogea aussi vivement qu'Yvonne.sur le.sort des trois
voyageurs.,
Baranville donna alors plus d'explications ; mais il fut aisé de voir qu'elles
étaient surtout destinées à^Yvonne.
; Le voyage du Havre à Baenbs-Ayres,
^affirma-t-il,'s'était effectué sans incident
particulier ; Robert, Déverain et Mérénus
se portaient admirablement.* Il les avait
présentés au directeur des travaux pu*
bljcs de la Plata,. duquel.dépendaient les
mjnes de Montenar ; celui-ci- leur avait
dpnné immédiatement l'autorisation- de
"s'établir à Montenar,- et il les avait laissés au -moment 'où, ayant frété- un petit
vapeur,- ils s e disposaient à-remonter le
fleuve de la 4?lata pour gagner la province
où étaient, situées les fameuses mines.
Yfonne s'étonna qu'aucun d'eux n'eût
écrM $ mais Baranville lui expliqua qu'ils
avaient été absorbés par leurs préparar
DU
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