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LA VENDÉE R-1PUi~tÀCA, diront, qu'outragrennat l'luneDe vile pas~ ion il outrait la licence ; [celles,] Prenez mon bras Les voit créateurs, Et sous vos pas, Et divins auteurs (De Dieu, partout, jugeant l'action trop dl- Les fleurs : la rose Du gracieux _ être Lftete,) Que Dieu soufflait sa conduite indiscrets... À peine éclose, Qui Et la bluet, De leur jeune ardeur Et le muguet, Et Que noui,il le ppussait dans son aveugle ar- Ne môme loi s'applique aux animau x -La Au monopole Ét, de vous, les cieux sont jaloux. pas toujours jusque IL net. »- - Non ; vois Coco 1 forte lanière G UAI~In s Il eùt fallu pour L'extase est en votre sourire Ça va tout seul; surtout chezjeunes gens. > Ne voulant pas des lois de la nature, Et les coeurs, prit un détour. Elle inventa les diables Cha rgés de pousser l'homme à tous actes Rua trois fois, d'humeur rentrée, Qu'elle le suivit : Qn'entr'eur n'accomplit D Pas content. Qui soit sur la terre. Versa dans son » Citez l'homme on lie saurait S'aimer 'a la fa- l e s ,] Sui-tout les rici~es, les gentilles. [fi lsme" ma fillei hier, Coco c'était ton [diable.] La pauvre fille, ailleurs, court après 1 garC'est un moyen de spêeulation. Içon.] e Comme lui, désirant un plaisir condamnable, Cela varie au gré des législations. Il s'affollait dans un accès d'amour Le rapprochement des deux sexes, Et sa folie a duré tout un jour. » Que l'on cribl. Dans ses côtés complexes, Au bien visé de l'artilleur, C'ont ainsi qu'il perdit, au paradis terrestre, Nos deux premiers parents, qu',Ivant fin de « Que Mit à la porte, me dis-tu, Est donc règle de par la loi. sans foi, Et ton diable amoureux, libertin et mon père ? Il m'avait l'air tout en colore. Est un gredin qui trompe la jeunesse. Chez Coco, de l'amour 1... Ltrimestre] Dieu, sous escorte, Dans l'Olympe, avant sa dét~csse, Il ne savait donc pas faire la cour ? peu trop tard Et par hasard.... Cédait, bien naturellement, Elle était la plus belle. A son discret empressement. Le feu de sa prunelle Oh! non, jamais chevaux n'y pourront croire; Doux L'absurde nous indign~. Et son Honteux, crotté, Avec de pareilles données, Engoissé dedans la souffrance, Et Eh 1 n'ont jamais été parole Dit le bon Dieu, DO môme dans les nouveaux âges, [ges;l Courir toutes les femmes, nouveaux entretiens... masse est [Ilètestablia ;] Et donne le bonheur , Et fruits et fleurs lui verso T,,,~~it en allondance ; M. «~har1es UN In luin 5 Our transposîteur d'un octave Mais l'homme meurt. Sa reproduction, Chatoie, Pareillement Dieu l'a rêglementée, Toits arr~iii,-cnonts 'seront faits n u M" 0-.30 ~ (7 le M Na t u re lle dizlich ol . LE LITRE (l i t Il Ne Eh 1 ne t'y trompe pas. de Va is 3c>1~~-gstfL:f et i ~ o ~ ; 5 rc Je L o ie dii et I',~re~ tais-toi DE RABAIS Mais qui remplit l'âme, UN MAPAICHAIN. (A s u ivre .) IMPRIME R IE J1 FOURNI-CURES À L DE en BU R IEA U tous &T es 1 fr. 25; de 100 tasses, poids 500 granalmes, prix 2 fr. "de 200 tasses, poids 1 kilogramme, prix 4 fie. LLPOTS Port part et eti p'lli au moment de la livraison.Toutes lesexpéditions Se font de Vais liv), dans les 15 jours de la demande, contre niandat-voste adres,' à Fadministrationde notre journal. '79, rue Paraissant tous les Saitaiedist .. ~ O3D 3 Le s—lac, -ta «ai--Cl.) Malles » 1--.. il -v xz, i a(rariger leur 5 n a., L et -et se LOCATiON DE PIANOS & HARMONIUALIS - 8 - ': «ë, .::,S 9-g,~ a 0 -E o~, A âme ci El Il a _ 1~ 2 _d_à b ti M -4 4J ,à LIVRES 'CLASSIQUES & FOURNITURES SCOLAIRES) Gravures, Paroissiens et Livres de piété en toiïs genres R A 1 R Livres et 0"*ets pour première communion et Cadeaux wl jour de lau Di Les Sa ble"' Olc n n e. erie et Lib~ 'cri, ;e BRI A S , 7 9, r ue des Ha lles , ÉDITION il, l 1. T-Is 4 1 Tr .i ....... Ir Si. -is 7 50 Si. at.l .......... 1 Un an ........... 4 fr. U,,n. ......... 26. ON SIMPLE 1. qr A 22j. CÉ 1 M - ~'«b-.~ 1. --y di, M. Abi,l 2 5 FP d« y lot'$ (A PAR SEMAINE pot -tout, honvilos ou dames (travail de bureau cil(Z ~oi)- Ecrira et, Directeur dit je urosi les G,a nds T avaux 63 bis , rue Ramoy, 7 3 r~ Î ACCOUDS 1. ires à 1. P.rtée di, e d- Pl.. o .91 g , g S ~ ?, ef 14 ET Constater le succès to,jours croissant elle 1, Mod, est la ineilleale _it et, le de e.tle ptt ein,te~t. à 1. tête ê.. g las. In dela~h* 1. ai raiuneai. _I~_aivëi jeti Les Plus hautes Récompense,, rA LE PRIEUR E, INVENTÉ 1373 Pierre BOURSAUP ge L'AN UUsagô journalier de I1E~ixer x~latifflie. a.. R~R. Wl». M.— ai jus, à la dose de quelques goi~ttes dans. rodu, Srévient et guérit la carte elsde- tafIIut11~ eu blanchit fiant et a os~1.1ss-t et conse 1 parfaitement las goret ed~ ron C' si un v ritable service à tir. 0 à n~s lecteurs de leur SIgnaler cette antique et util f ation le meilleur cug -atie et 1. seul proservatif des Affections d e,ta ilnplopRIrk, 21,41,81,1V, 2W; P-ir., V25,21,31; Pia,, 1125,21. "is.n landé. se t .1807SEGUIN Bordeaux di tes t~,,t,s Io~ k~,.es ï ot du e F91 RR. PP."à ÊNÉDICTINS —D'OL 0 N_ (les LE MONITEUR DE LA MODE Eï- Ili CLe Abonnement sans irais à tous s journaux, Reyan et Pablicatiaili de Frai G VENTE AUX S~_BLES-D'OLONNE MM. Paul LALU, pharrnacieii; RABU, épicier, et dans toutes les principales maisons MAUX OE l'Elimir, genres À Ji S A 13 L E S VIS MZeA ~ ÏO, &G lis Waragre (Rhône) et dans toutes les pl~incipale.s pharmacies, herboristeries, droUueries et épiceries de Franco et de ]Étranger. Boites 0 50 tasses, poids 250 granula S prix > DE 1 E~ C T U 1 1 Il' Pi C 1 Sie l; LIBRAIRIE CLASSIQUE, FABRIQUE DE REIGISTRES CABINET IiI33 'AL 1 A GROUPE VII CI 72 d'Illlonneur celle des eaux minérales,les plus salut8ires. Se vend chez l'inven cur : IR. Barlerin, chimiste à « U-i inot:ja choisirai le pâte à toilenfant. pardonne à Coco sa faiblesse. » Jamais, vraiment! Médailles c'est un produit alimentaire, composé de fruits adoucissants ayant une composition chiMi(JUEb à peu près semblable à et y brille ; et -«Ali !.j(>.I'eii i,rio,ôpêre,allori.~-nouseti I...» [clair IVeuf ADMIS PARIS 1889, Il S excès de travail ou de plaisir. donne les meilleurs résultats dans les migraines et les névralgies. Le Café Barlerin est le meilleur marche et le plus agréable des cafés de santé; -.rxme [de chaleur... »I De divine flamme. Dans le court instant De l'enivrement. La philosophie, Qui tout vivifie, DE glostralgiesetles irrigations d'intestins, détruit laconstiPation, stimule l'appétit, rend le sommeil aux personnes irritées par l Es t o iii e c . « Son sang plein » Î Ee Café Barlerin doit être recommandé aux personnes nerveuses; il facilite la digestion, guérit les gastrites, les 10 et di, L'EXPOSITION &vee- 700 Fa cilit e ~i Li ë'rJ - x-, « Il Il y mit le plaisir du cœu, et de la baie Rayon d'en haut qui brille et fait comale I,é Cartonn ages la - da ns v in . d. dig e s j , , ï ~ 01. 1àdie, pas A aqréa ble . [soit superbe organe,... »] Pour les obliger- à ces actes, [Talents.] accouple- et de 0--t A IkTk. Aimé chez la - « G lâce 1 gràc,, Arriver à ses fins exactes, neliure acquéreurs Hygién iq u e de San t é, S t oin a ch iq u e t n ,gra,7~ -, et d,-i liyyién iq u e 1,7 15le le wrla Horreur 1... Esultan.... »] Cour ET des se it l 1 1. 0 dl S 'U de (SIl de 'Pilly) . (- .1_1 ï 1)é%jà tu lie veux pas do l'âne. . - « Lui donne PAPETERIE gre E giCAFE L A R1 ' leur assure le bonheur. Deux sexes sont citez les êtres vivants. oh 1 lui dit-il, ma pucelle, -A vous voir en vos atours, On vous trouve la plus belle; Et les astres, dans leurs cours. Vous proclament le modèle De la beauté, pour toujours. au FM5 k9 De grâce ! ... `Oh 1 tu me fends le coeur! » Sans de'sa loi faire longue épopée. Am amours. ICA R~T11q 'L Nouveaux êtres naitro 'il de lourd Et trône ds ]Décè~-; DE,,kPAIISSANDREIM POIS . W~9 ~ Il y faut. cependant, de la sévérité. La choie, Au royaume IDIEIV Cause a i,% «) Revot moins de solennité. C'est la règle de vie, avecque sanction. une droit percussion à Sans tacon Ondoie en P ELERIE, QUINCAILLERIE & FERB!-Uï'~'c 0 C T A V E S Qui brûle dans leur coeur [ce 1 ... 1 En joie licencié (Vendée). UN il N'es t pas en notre usage ; et la galanterie Admirable est, chez Dieu, pareille prévoyait- Faeoie, CIRARG-i%EAkU, Sables-d'Olonne c:~IIEIPIDIEI=k raa dos Halles, 79, aux ii, nous, chevaux, aller à la mairie, Magnétise, Tranquillise de aux VENDUE Et prologer A prolonger son existence. Subtilise, ment pour divers D e se gard ci, la [)lire et douce flamme Comme appétence Il la courtise, Ch n Travaux de VENTE DE MATÉRIAUX EN TOUS GENRES doit la sanctionner. Vins généreux et pleins d'appats, Sans soupçon, S -') p ô le i a 1 i t é De Son palais veut motsdélicats, Et pétille dames et lit es l'elle, lis ïurent de s'airner, Mère nature, en récompense., Frétille, ou Cotte union de l'homnin avec ht femme, S'il n'y soumet, avec et courage et constance, Babille, e S Avec l'honneur. Monstre hâve, hideux, aux tortures sans fin. Sautille hommes PriX1~-eâ6 franes~; Pour manger, travailler. Et de ruine. le W il lit à p 0 il a- R U_ F U N É R A1e 011 peut le voir et Possayar tous les Il est du coeur l'apothéose, S'il y êontrevenait, il subirait la fRiro, Qui brille, il W W U Si l'amour sur l'affection repose, Qui le préserve do famille Gen«tLa fille 011 ZÎ rD Grêlé, Pour vivre, il doit manger «Ah ?. De quelle façon ? > [ma Ide. >1 (D 2 jeux 1/2, 8 registres D'un feu souillé: Et le, travail est une loi divine Mais d'un on m'a parlé, que l'on dit fort ai- Caveaux _N T S M ON U M 'C ]Paris. UN JIILJA IL Et Qui dans l'amour ne connaît que las flammes Afin qu'à sa tâche il se livre. Que penses-tu du diable 1 > • Lequel? lis sont nombreux. La IB S A :B _T_g ID S - ID ' C) I, C) Flie, CuRapelq es,', 00GALSIOW :BOWDTU A. Oui, d'Lin cerveau fêlé, Donc, à tout prix, il lui faut vivre, Approche un peu... là, tiens... la Est le fait d'un écervelé ; Môme au-dessus du désespo'Ir. • Vient, Alezane, à de par mois à à gagne, demande représentants Qui conduirait à bonheur mensonger. il joignit Il son immensité, Pour lui, la vie est un devoir, e t un vrai trépassé. rue Il est une porte bitarde L'homme surtout, son couvre la plus chère. Et 8 faribole. CI œuvre Doit remplir un rôle en sa sphère Sentant et gaudriole 6, L'on sait vite s'habituer. Chaque être appelé sur la terre, Monsieur la diab'e est l'ogre usé, CIED SII(DC-IEDSSEDLle 3 Ir. le Litie. aggee- FMUCO) L. ARSAC,,& F. CHRYSOGOME A A côtèAu devoir, se trouve le danger. La perpétuité. Et peur-l'enfant désabusé ; ELL Niais qu'on y lit enne garde. Dieu, voulant donner a son X_~ft forfait A la porter sans, nulle peine Le vrai cachet de tout chef-d'œuvre même pour l'homme avisé, turet ci-api,és : Aussitôt qu'inventé. Son espèce à perpétuer ; e haine 1 douce Et c'est une assez Ne retient. « c'est insensé I... PA L E B LI' 11ÂYAUX DE BAT NIEINTS -Aneienn-,3 M . J-'l en font le SCROFULES I.DEBrLITE GENER,~L~È~,'I~'R.A~Mb~0'tLIL'l-SS]~Es MENT et l'a CARIE cI~ OS, ete., et généralement toute. les qu~ ilt peu, ...se la PAUVRETE 1. MALIGNITE DES DU SANG, tinette Il ..,,t il, s~,v.r, HUMEUR N e . PERè S NES' FA1%'~E Te' . 1 ai a ' elle E FSAI~rS COMPLEXION FAIBLE et DELICATE. a Ir. lu Demi-Litre: 6 ~rï A se La loi de Dieu tout être entrains, Entre les gens qu'aucun lien En Dieu du mal t C'est du corsé 1 » Si' Li Et ton diable s'est offritê mq v père ? - « Oui, c'est bien là l'amour chez les sauva- - En la nature, un diable intronisé iNTBE, t Cabinet Coco l'a fort mal réliassi... De I'àvoni'ile. Oh ! non. Dieu s'en est amusé.. Il i de St-PAUL-TROIS-CHATEAUX (Drôme) SOLUTION pn- rn,,b.t,re les CHROPUOUES, 1 ~~, CATARRHES INVETERES 1. PHTHISIE TUBERCOLIEUSEi, toutes pé,i.d.,, p,jn.ipl~i,<I,l il,, p,1aoe~ et les degré, où ellin 1, n.e qmilla décisive et montre souveraine. - Ses p-priétés ri-onstituantes MI : Il 1 A passé Je comprendrais l'amour ainsi. Malgré son monopole, Fp i f ' iP l *,~ , 1) 1 '0 q lt i-S ie~ e t Gr(a nc t iers . MODE D,EMPLOI ,~6yê. en Ngn,~ 2il, F1 . 1- 1 , AI t~l1 IlUD E cZ ~__ --'a 50 ~L1, g r. 1 Ce articles et produits. Sous rayon de bon sens, Poussé. Parle à ta fille, sans rny.têre. > Mois les arrêts de la fameuse école, FIIE" l' 8 ?à A' ' il 1811ES cd c2sï,,ONC.1ilTFS On Pour singer la déesse. beau diable triomphait. Est-ce mon là l'amour, ô Maudissant le bon Dieu, Il n'aurait qu'il mourir, parbleu 1 'r Vénus, avecque sa prêtresse, Son cerveau s'échauffait; Et .1tivatours DES 1 rue Sainte-Eugénie, A présenté Un nouvel attrait l'entrainait. Des fleurs qu'en sa main il apprête, à la douleur sans espérance, me t cou 't ant six fois moins. et copies. S'adressor à M. -1~,ucLebert, 29, Au monopole Aux parfums de l'encens qu'il jette, Et pour toujours, :~ INSTRUCTION, AT-MiT'TICNS,t p q l iî l'?. jeuies gens, travail facile chez soi, écritures Que l'école Et son coeur qui s'apaise, Qu'attend l'homme en ses destinées ? ÏZG ~ ~.'c ~ s N 0 U R R I S S A N TE C p Le Io lait maternel N'LN-Tr: C li e Z 10 2 ( S les rent j-, ;a ll éle-urs et de Chaux Solution de 120 FRANCS Chêtif vampire, âme était aise ; Petit à petit se prenait. Esc,ave-nè du diable, et livré tous les jours très GF1~1f~~1 b- c a u DÉPOT DANS TOUTES LES BONNES PHARMACIES Petit sire'. Ravie, elle restait sans voix. le vrai tout nu. LOURD GRAS PARIS sont égaiement envoyés franco ics écliantuions de tous les tissus Composant nos immenses assortiments, mais mon spéculer les Qu'est auprès ton diable pervers 1 comme le ramage Des tourtereaux sous les grands bois, Jamais cheval ne s'y résigne. G'~' 0 G bicn Pour duit" l es c on t reft ç o its, exig e )- l es signe- Pouvait embrâser l'univers... A son calme langage, Enfantillage saugrenu 1 Oh ! je le dis tout cru comme Un rayon Or-du jour. E l l e y brillait Il sait s'y prendre ; et la gentille Las ! quelle étrange histoire 1 Vénus était déesse de l'amo mon diable, avec la jeune fille. Parle-moi de Pour escapade à lui contée un Il veut [çon] Du colimacon. Eneur.] En Franco, les gar~ons recherchent j Deprendrel'homme ainsi qu'en prend la cible très la et prix. aonta à pai de 25 xpéditionogg L'amour libre, ai-je dit, chez un peuple eauLvage,] âge. à notre Ne l'est Plots e liez nous, Il est soumis aux lois de la raison. est plus qu'un subor- Un gouapeur pour NN.~ JULES JALUZOT & CIO . Concluons Mais l'établit t la douleur GROS ELANO fr a , . i ico adressée b, Et finissons. L'éconduisit, E d'y semer la misère Avec devoir et modes nouvelles toutes les ma très chère. Ne plaisantons plus, Voilà, mon père, un diable Qui me paraît aimable, Et ne ferait pas , peur. e Eh bien 1 gratis - « Enfin, lui dit son père, âme Auprès de lui, Coco la GRAS bien du catalogue général illustré renfermant Un âne pour compère Il! Dans toute l'ardeur Du parfait bonheur. Son nom serait: gx 14c, ffliel, du [mul. lib] NOUVEAUTÉS Oh!... oh ! ... > Elle en tressaillit, En maître et puissant et fatal. Et le malheur aux avec SAISON d'Été, sur demande affranchie La divine flamme. eréeveclerait, ainsi que les fantômes~ Dessus la terre, IME; vous Comme enfant Et répétant Un rayon y prit; D'où viendrait-il ?.. Des cieux où fin rebelle Il faisait branle-bas et constante querelle. Dieu le vainquit, avantageuses 25 0/0 (le différence Gambadant, Le plus doux mystère Le ciel il ouvrit ; - Vendée. Conditions üvoi Dieu ne frapperait plus. Il aurait ,on sicaire. et les hommes. Sa - pour la Trotinant, on dit C'est là, pour notre école, un intermédiaire. Ille idée a dû bien rire son auteur. Plèpllê, Pl' Se promena le nez au vent, mon bon fiers, A la ronde a ux une toits les autres papiers. Là, je vous ouvrirai mari coeur. ses lois DrF Un bouriquet. Par un chemin serné, de fleur. Ent.re luein, M-A GA S I IVS - « Garde-t-en bien 1 Il te ferait... Eh bien 1 ]Lîî»rairie Ha l les , Venez chez moi, ma toute belle. Fi seul dépositaire b les - d ' O lo n n e , marchands. A ce mot, la pouliche entrée Qui nous englobe, GROS : EN Urîns,'79, r u c d es Et chez poulains!... dit Alezane. Avec des lianes de fleur.- Dans la nature, sur, le globe A_ 1-I G_ Pour ami, j'aurai donc un âne. > Nies tentures sont en dentelle, Donc le diable serait quatrième facteur 1 Tombent languissants à vos piês. Del'entraiiieràson malheur, [cou patates,] La diable, des~ méchante agent auxiliaire, Serait de la vertu l'affreux tortionnaire. 1. dompter ses Malle , Après vos beaux yeux l'on soupire. d'amour enflammés, c papiers à cigir(,Ltes. VENTE LIQUEUR nE L'ÊTOILE non, et rester en deçà ? Mai. pourquoi VI' Reconnaître l'effet, dans leur divine allure, Elle A_ Le meilleur et ]RI meilleur inarclié des > - « Pis de sanction, dis-tu, Pô hommes sont i vos genoux; Les lè_y L . S E U L C U R A T I F dr ." ,* S T ; 1 4t E, Li ', L . S E U L R E M È D E l ~4 O e FE N S ( F q - ~ U r P. i T, l'homme seul, ici, Je n'ai non Plus vi,,é que De la terre la suzeraine. L'école » ,"es e laf l t. f A ST 0 RI AT lu E S la Et pour l'homme sonsô et pour le cannibale, monde vous ôtes.la reine F U 31 L~'U R S; ! ! ! Deinaildoz partout IL ~1ï*~,Z_,',' os m a i ., Souriront à vos appas. Du A toute force il voulait la conquête. AUX ga'ISTHIE, pins de SurrecATIONS bientôt va naître commun bonheur. Inutile était là la sanction pénale, Et les fils@, [deur,l Alors que d'Alezane, outrageant la pudeur, 1L&Aâ1~ ~A pla MERVEILLEUSE DÊCOUVERTEt 7 P 4Z~ e J'a, Pei zà oân 777] CERTAIN[ ET RADI d~t.1tesI..AF1 Q ~1 g'e.. psti, o a L.,% q JUIS ïrHE~~LEs ANII,9--n-,%r~lînl-ru-t ... a, tr'r~tie p,,t~t 1, é,it,, ~s Timbre bleu d~ 1*-Julon des M'abricants et 1. lae-nue, : `~ land.t.. f. .; si. ro , acœla . 1 ,tolcti , _ n i ENVOI ORA TIS d',,e ires urieuse et ir.têressant~ sarocivre (51. eég'~,Iératioit do, 8aetg le ÀZ o b r eU&tt zi x. (~ er1if i é p ar r imp r im '?ur soussign é ~onz7~un Tels,, PLIUM - -sidérés INCUI:L"LEB p ces. Le ent .. dèr. la e~tt« d2p du b=s~&il.t v .11«t& dé. le jaur Il Prodwtune~èliomtion M. LZNO!= las :ëd gRt~ ln sïée, 1:~iL =idr lis Le Gérant : BMAS