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IM «froilleton de STEPHAMOIS 10 Décembre fi l e conduisit chez l e commissaire d e police du quartier, à q u i r e n f ë n t é > péta c e qu'il avait confessé au forain. L e magistrat fit prendre des informa-tions sur le patron d e Séverin ; l'apprenti avait dit vrai ; cet h o m m e était r é p n ' é dur et brutal. C o m m e aucun contrat d'apprentissag e n'avait été passé entre le menuisier et les personnes qui lui avaient confié le jeune garçon, il n'avait aucun droit sur lui. Pierre insista donc pour qu'on laissât l'enfant entre ses mains, c e à q u c i 1- .comissaire, qui connaisait l e forain depuis de longues années, consentit volontiers . V o i l à donc notre ancien apprenti menuisier devenu l'élève de Pierre, endossant gaiement chaque jour les costumes du métier et étalant fièrement, à la parade, sa culotte rouge et sa petite veste pailletée» Son intelligence et sa bonne volonté lui attirèrent bientôt l'estime et l'affection de son nuoveau maître, qui s'attacha sincèrement a son jeune élève. Ouan Thérèse, alors dans sa pension de Vatigirard, venait chaque année, passer les vacances chez son père, quelles fêtes pour les deux enfants qui avaient bientôt fait connaissance et s'étaient liés d'une amitié F i n c è r e . Aussi, quelle tristesse quand, les vacances t e r m i n a s , Séverin devait se séparer de sa petite amie. U n jour vint cependant, o ùThérèse quita le" pensionnat pour n'y plus retourner : Séverin ne fut pas l e dernier à s'en réjouir. r PAR IVlelchior B O N N E F O I S U n matin il trouva, le petit Séverin Hormant blotti sous l e plancher de cette partie de la baraque qu'on n o m m e |a parade. J-e prenant pour un vaurien i l l e SSCOÏS»' internent. Réveillé. sursaut Tenfant effrayé, Se jeta à ses g e n o u x : — Pardon, monsieur ! s'écria-t-il, n e tne faites pas de mal/je suis si malheureux 1 Ces paroles avaient été prononcées fl'un accent si vrai, si pénétrant q u e l e forain en fut touché. — N e crains rien, m o n petit, dit-il, avec bonté, pui'3 i l ajouta : Qui est-ce o u i te rend si malheureux ? : — M n patron... qui m e bat toujours. : *— I l faut retourner chez tes parents.' •— J e n'en ai plus, ils sont morts. — Que comptes-tu faire alors, si tu n e veux pas rentrer chez ton patron ? — A h ? monsieur, vous avez l'air si bon ! si vous vouliez m e gardez avec v o u s ? Je ferai tout ce que vous voudrez Pierre, Beauval sourit : Le gamin lui >sraissait intelligent, la proposition fut oin d e lui déplaire : — Nous verrons cela plus tard, m o n garçon, d i U l avec dqueeur ; pour l e moment, viens avec m o L 1 Î fTKPHÀTTOTS les chants d e l'enfant remplacèrent bientôt, pour tous s e s Camarades, ceux de l'oiseau envolé, c e qui lui fit donner le charmant surnom d e chardonneret sobriquet que nous lui conserverons au cours de ce récit . Cependant le jeune forain venait d'accomplir sa dix-neuvième année et un changement aussi subit qu'inexplicable s'était opéré dans ses allures. Ce changement datait du jour où pour la première fois, le peintre Albert était entré chez Pierre Beauval. L e joyeux pitre avit d'abord semblé soucieux ; puis, peu à peu, ses chants, sa gaieté avaient fini par s'éteindre ; il était devenu rêveur, mélancolique ; parfois m ê m e une larme furtive mouillait sa paupière. Personne ne soupçonnait la cause de ce mystérieux chagrin ; plus tard nous la ferons connaître au l e c t e u r ; pour l'instant, continuons de passer en revue les hôtes du restaurant d e « L ' H o m m e Sauvage. » De l'autre côté du poêle, en face de Chardonneret, se trouvait un homme d'une.stature colossale; de son vrai nom ii s'appelait Mouton, mais on l'avait s u r * * r ~ m é Jarret dAcier à cause de sa force musculaire. Mouton avait épousé une paysanne des environs d'Angers. Mademoiselle Léocadie Truchard s'était éprise de l'hercule un. jour de f où il donnait une représentation eni j i n vent sur le Champ de Mars. Madame Mouton; en quatre années de mariage, avait gratifié son mari de deux filles, qui malheureusement n'avaient pas vécu, et d'un gros garçon dont elle venait d'accoucher te qui, le matin même, avait été tenu sur les fonts baptis- Son entrée dans la troupe foraine avait coïncidé par hasard avec la disparition d'un superbe chardonneret, auquel P i e r r e Beauval tenait beaucoup : maux par Thérèse et Chardonneret, ses parrain et-marraine.r . P r è s d e Jarret d'Acier était assis Ha g r o s garçon t' Ï- vingt deux ans, à la figure béate et sans malice ; son vériUble nom était Joseph Durand ; mais ses camarades l'avaient malicieusement remplacé par le sobriquet de Dégourdi. Ces deux hommes étaient c o m m e Chardonneret gagistes de Pierre Beauval. Sous le manteau de la cheniinée se dessinait une assez laide figure : les cheveux d'un brun foncé, presque noirï, tombaient en longues boucles sur les épaules, un front bas, déprimé, étroit, des sourcils épais, ombrageant deux petits yeux mobiles et fauves, un nez camard, des joues saillantes, deux grosses lèvres lippues surmontant un menton pointu, composaient l'ensemble de cette physionomie, avec laquelle le mar quis- de Bréville nous a déjà fait faire coraissance le jour où se promenant avec ses amis su le boulevard, il leur racontait sa première rencontre avec la fille du forain. -Cet homme n'était autre q u e l ' i n d i v i d u survenu si à propos pour faire connaître au marquis le n o m et l'adresse d e Thérèse Cvprien Leroux était fils de roumaniôhel/race ambulante, qui n'a ri«m de commun avec le~ forains, on ne lui connaissait pas de profession fixe : tour à tour h o m m e de peine, marchand ambulant, macmignon, tenanrier de jeux de hasard, il louait ses services à l'un et à l'antre. As*&z lonsrtemns il avait été employé-par Pierre Beauval: maïs ayant abusé de la confiance de son patron, ce lui-ci l'avait chassé de cnez lui. Dès ce jour Cyprien Leroux avait voué ur& haine profonde au forain et il saisissait avec bonheur toutes les occasions qui se présentaient de s'en v e n g e r . Au moment où nous lé retrouvons, il est marchand d e livres~et de giavures qu'il colporte dans les foires et marchés d " environs de Paiis. Nous connaissons maintenant presque tous les personnages a p p - ' ' » à jouer un rôlr dans ce récit ; prêtons donc J'oreilb à la conversatiou engagée entre le père Jérôme, Jarret d A c i e r et les autres. COMMENT vous donc qu'il n'y a rien de surnatore» là-dedans ? Bien sûr, oa m'a jeté va' sort ! A u x dernières paroles d e l'herculeun s o u n r - ii.dulgerrt et moqueur à la fois vint éclairer le visage du v i t M i t a r d — Je vois avec peine, mon cher JUDL~ qu'un homme c o m m e vous, un h o m m e de bon sens, puisse .croire à de semblables absurdités-. — Cependant... monsieur Jérôme, Jtf . Jarret d'Acier, manifestement eiubar. îussé. .— I* n'ya pas de cependant, mon ami., croire que nos semblables, c'està-dira. des_ hommes faibles et misérables con> m2 nous, esclaves des mêmes besoins exposés aux mêmes .souffrances, condamnés à la m ê m e impuissance, aient par tin effet d e leur volonté l e pouvoir d'exercer une influence funeste ou sala- " taire sur notre fortune, sur notre ien- . Unie, sur notre existence, c'est une surdité tellement en contradiction toutes les lois de la nature e t de son qu'il est impossible d'y ajon! — Mais, monsieur Jérôme, inl pit Cyprien Leroux, qui n'avait p i core trouvé l'occasion de contrai io:vieillard, ce à quoi se plaisait fort sv. méchant caractère, vous ne pouvez pa * •' nier q u e la mère Sarah, qui, comme un chacun le sait, est unejvieille sorcière, avait prédit au grand Bëkmann, le g y m nacte, qu'il lui arriverait bientôt malheur : eh bien, il y a huit jours, en es- sayant un nouveau t r u » êar le trapèze, Bekmann est tombé et s'est cassé la jambe. LA NAIS- ON CELEBRA SANCE D'UN P E T I T H E R C U L E — Oui, monsieur Jérôme, disait Jarret d'Acier, voilà m o n troisième enfant les deux premiers sont morts, l'un à six mois, l'autre à deux ans, et j'ai bien peur que celuici aille l e s rejoindre! — Allons donc !- répondit le vieillard, il n'y a rien à craindre pour lui, j ' e n réponds ! il est bien trop gaillard et trop verace pour cela I... un iwarmot qui se met à pleurer dès que l'on cesse de lui remplir le bec ! il vivra j ' e n suis sûr, et longtemps. — Dieu vous entende t car c'est vraiment" bien terrible de v o i r tous ses enfants s'en aller les uns après les autres. Il faut avoir des ennemis implacables... — A h ça 1 mais quel rapport peut-il donc y avoir entre vos ennemis, si vous en avez, et la mort de vos enfants '! — Comment quel rapport, mais i l y en a beaucoup. • — En quoi, s'il vous plaît, fit Jérôme — Ils viennent au monde robustes, bien constitués, c o m m e le dernier, enfin, et puis crac ! tout d'un coup, ils meurent c o m m e des pierrots. Croyez- x - lA . W'f . PO!!» K3SE DE FUI IFE1T8EP8ISE Tente anx enchères publiques \ MERCREDI II DÉCEMBRE à 3 heures du soir ] l Zaint-Rienns, place Viïîebœaf 9 Sens Ghevanz La vente aura lieu ancompavec perception de 10 p. en sus applicables aux frais. P. GISCLON . Commissaire-priseur. Le Moniteur Financier E N (32* ANNËSI M, Avenue te VQptn, dans PARIS Le V «filMur rUaneUr, p a ï mile * » diTeleppemeat «ontiéémble « e **o tirât*, réduira le prix 4e ton iboBOeu n i à 6 Iran ci par u à partir as i » jiDTier 19UU. 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