Download Mise en page 1 (Page 2)

Transcript
her(e) adhérent(e), le mois de juin est traditionnellement un
mois fertile en événements mutualistes, témoins de la vitalité
d’un mouvement vivant, moderne, actif, militant : c’est le mois
des assemblées générales, vecteurs d’une démocratie active, et
porteuses de bilans et de projets.
C’est le mois où l’Union tient effectivement son Assemblée générale. Les
délégués ont pu prendre connaissance de la montée en charge du projet de
développement de l’UMC au profit de ses mutuelles et apprécier les efforts
accomplis dans la réorganisation des services pour une meilleure qualité de
réponse aux adhérents, dans l’élaboration et la promotion d’une nouvelle
gamme de garanties plus performante et voulant répondre aux nouveaux
besoins de la population.
Une assemblée porteuse de bilans marqués par une année de crise et de
dangers : manque de compétitivité de l’économie, dégradation des comptes
publics et sociaux avec en corollaire de nouvelles charges affectées aux
mutuelles et à leurs adhérents.
Porteuse également de projets, car le mouvement mutualiste ne peut se
satisfaire d’une situation
où le financement de la
protection sociale et de la
solidarité nationale repose,
pour l’essentiel, sur les
seules cotisations sociales
des salariés.
Cette année, c’est aussi le mois du congrès triennal de la Mutualité
Française. Un congrès où a été réaffirmé avec force le rôle primordial de la
Mutualité dans l’organisation et le fonctionnement de notre système de protection
sociale, son rôle essentiel dans la couverture du pays en réalisations sanitaires
et sociales.
Un congrès où ont été lancés, après une période de rodage en Bretagne et
Languedoc Roussillon, les services « Priorité Santé Mutualiste » dont je vous
invite à découvrir les objectifs , les services proposés, la qualité.
C’est enfin le mois où l’on commence traditionnellement à penser
« vacances ». Mais combien pourront réellement concrétiser leurs vacances
cet été ? Cette année, peut-être plus que les autres, pensons à ceux qui resteront
chez eux, parfois en souffrance, souvent en isolement. Soyons solidaires en
toutes circonstances. C’est aussi cela l’esprit mutualiste !
C
Juin ;
mois témoin
de la vitalité mutualiste
D JEAN-CLAUDE FREY
NCE
A
V
A
C
M
U
’
L
,
EN 2009
IT !
O
V
E
S
A
Ç
T
E
suffire, dans
ne devait pas
la
ce
si
t
E
O,
z choisir pour
présenté KIDE
ois, vous pourre
s
m
on
es
av
qu
us
el
vo
qu
EO, aux
e,
r, nous
crédit » SOLV
Zentao Attitud
«
n avril dernie
e
ck
m
m
pa
ga
e
tr
la
no
négociées
pas
ntie de
qui ne vivent
avantageuses
première gara
s
nt
ns
fa
io
it
en
nd
s
le
co
le
éger
re financier,
destinée à prot
s parents dans
notre partenai
de
de
n
l’u
ès
pr
de
au
ile
t, vous ne
au domic
que prévoyan
au quotidien
ns
oi
m
à
,
er votre
ration.
les particuliers décidiez de vous constitu
ur
po
cas d’une sépa
e
éé
cr
e,
ivant au
ent
ntao Attitud
ranties égalem
rve en souscr
ga
se
ré
es
La gamme Ze
tr
re
au
op
d’
r
pr
pa
complète
» PREVEO.
s’enrichit et se
ck « épargne
pa
e
ut
to
.
es
en
r
cident
pose
très innovant
t à l’abri d’un ac
us pouvez com
es
vo
n’
le
e,
us
nd
ud
no
it
e
po
tt
tr
A
es
toutes
d’en
corr
Avec Zentao
longue durée,
ire santé qui
Parce qu’aucun
de
ta
e
en
ag
ém
ôm
pl
ch
m
ou
tions
cès
liberté la co
uité des cotisa
de parcours, dé
at
gr
de
s.
e
in
s
un
t
ie
so
nt
en
be
ra
oi
mieux à vos
ne des 3 ga
garanties prév
opter pour l’u
ajoutez nos
la vie.
is
ez
de
pu
uv
nt
po
o,
de
m
ci
ti
us
ac
Vo
en cas d’
o, et Taop
lt
oa
us
Ta
Vo
.
,
t)
po
en
mpenser
ient(n
base, Taotem
qui vous conv
al de vous réco
é
rm
e
nt
tr
no
sa
)
et
no
(s
ile
ur
ck
ut
t
’il es
ter po
astucieux
le (ou les) pa
Enfin, parce qu
ssibilité d’op
is en place un
m
po
s
nc
la
on
do
t
av
,
en
us
re
ai
no
s de la
ité,
modul
avez égalem
pour votre fidél
é des pratique
ir
oprimo (non
sp
Ta
re
in
,
tu
lle
ts
er
ie
in
uv
nt
po
co
se
mpte
garantie es
ck), pour une
système de co
d’ajouter un pa
ile.
ob
m
ie
sans possibilité
téléphon
d’une
minimale.
EO bénéficient
L
U
IB
TR
et
O
MPE
novante
Les packs TE
lièrement in
u
TTITUDE
A
ic
s
O
rt
ne
TA
pa
on
EN
rs
Z
ce
pe
»
n
x
ista
teurs de
iné au
LES « PACKS
garantie Ass
principaux ac
TALEO est dest
s
VI
e
ir
»
de
e fa
n
tr
nt
l’u
-ê
te
en
de
ai
bi
ès
n Le pack « sirs, qui souh
négociée aupr
e de soins plai
sé
France.
en
.
e
té
nc
ni
à la recherch
ta
personnali
l’assis
té et séré
au
ou
be
ie
ec
ap
av
tion et devis
ér
é
th
ta
go
en
er
m
e,
cu
pi
rimer sant
o
héra
ns, d
ques
apie, luminot
Informatio
sont que quel
Thalassothér
ne
ue
iq
ét
th
.
gie es
sur simple demande au :
dans ce pack
encore chirur
l local)
tions incluses
va
n appe
no
in
s
de
rix d’u
p
(
exemples
5
des
50 25
810 2
nd aux besoins
po
0
ré
O
LE
U
IB
ns
« famille »TR
e des prestatio
n Le pack
ntes. Il propos
ea
s :
ig
ue
ex
iq
us
at
pl
m
s
lé
elles prob
familles le
uv
no
x
au
es
de à la
adapté
ic allergène, ai
spécialement
st
no
ag
di
e,
nforcé
orthodontie re
c…
et
n,
io
procréat
i, été
a, quant à lu
O
E
P
M
TE
»
s plus
« senior
n Le pack
lématiques de
ob
pr
x
au
re
pond
jusqu’à
crire ce pack
conçu pour ré
us
so
de
té
ili
sition de
possib
âgés avec la
e aide à l’acqui
un
i
ns
ai
s
on
opos
thèses,
ts en audiopro
75 ans. Nous pr
or
nf
re
s
de
,
és
uvant
icalis
spécifique po
matériels méd
ce
an
st
si
as
e
micile.
ent un
mais égalem
assistance à do
lé
té
e
un
de
man
inclure à la de
santé
de dépenses de
re
iè
at
m
en
s
erve + »
exigeant
n Les plus
le pack « rés
ec
av
r
eu
nh
bo
u ti li se r
trouveront leur
e d ’a rg e n t à
rv
se
ré
le
b
ri ta
ements
à des dépass
S O U R C E O , vé
ce
fa
e
ir
fa
ur
t po
e n ta ire
indifféremmen
o p ti q u e o u d
se
n
e
p
é
d
e
n
u
pareillages
d ’h o n o ra ire s,
cquisition d’ap
l’a
à
re
co
en
e ou
supplémentair
eux.
ût
co
x
médicau
n
E
3
:
S
R
U
O
C
E
S
S
R
E
I
M
PRE
E
L
I
V
I
C
N
O
I
T
C
E
T
LA PRO
C
E
V
A
E
I
L
L
A
’
S
C
L’UM
ante
nts de la vie cour de personnes
de
ci
ac
d’
e
br
m
peu
le no
, et autres. Trop les premiers
millions par an
es
nq
qu
ci
ti
à
es
m
ue
al
do
év
e,
ut
On
dans
accidents de la ro
se joue souvent
dans l’Hexagone, es qui sauvent. Pourtant, tout
gest
connaissent les
s secours.
ême l’arrivée de
m
t
an
av
,
ts
an
st
in
4
r
ident fondateu
la FNPC, Prés National de
eil
, Président de
Louis LarengFrance et membre du Consésident de l’UMC.
du SAMU de et Jean-Claude Frey, Pr
Sécurité Civile
ateur
isé par le form
e suivi
al
L
ré
t
,
n
es
io
ts
at
an
tu
icip
n est
e si
suivi des part
Une attestatio
sible à cett
n
.
Le
se
on
ti
t
rs
ua
en
ie
al
m
év
em
d’
re
articulièr
ion aux p
ide de fiches
cé la format
es de à l’a
ir
ta
participant.
ri
à la fin
io
pr
l’UMC a pla
s
mise à chaque
ement donné
re
s objectif
al
se
ég
t
t
i
es
es
rm
s’
re
pa
le
oi
ém
ques et
nté, el
secours
ifiques, techni
n livret aide-m
ser cette volo
U
nt
ti
ie
ré
sc
n
s
nc
io
rt
co
ct
pe
r
te
ex
ou
Pro
es
dations
prévention. P
la formation. D
tionale de la
aux recomman
de
t
na
en
n
io
ém
de
at
m
in
ér
or
af
nf
éd
,
gé ce
t, co
ique
alliée à la F
dagogiques on
courisme, rédi
d’utilité publ
pé
se
ue
du
rs
nn
al
ie
co
on
re
ti
em
),
veteur
ire na
aux pr
civile (FNPC
ation SST (Sau
de l’Observato
rm
de formation
fo
s
la
pe
ty
de
i
lu
ux
nne et
e ce
proposer de
à toute citoye
manuel, comm
ile
rises :
ut
ep
ra
tr
se
en
Il
s
le
l).
Travai
secours dans
Secouriste du
sa vie.
VEAU 1
NI
ut au long de
DE
to
n
ES
ye
QU
to
VI
ci
CI
ut
RS
to
OU
EC
S
émentaire
atique. Elle
N PREMIERS
LA FORMATIO
deux ans.
ntiellement pr
rmation compl
se
Fo
es
t
t
es
es
pe
n
ou
andé tous les
io
gr
at
m
n
m
rm
U
co
fo
e.
re
,
te
âg
et
d’
ge
C
ition
se Recycla
us, sans cond
s et la séance
ne
on
s’adresse à to
rs
pe
10
L (SST)
lement de
TE DU TRAVAI
urnées.
jo
UR SECOURIS
constitué idéa
ux
TE
de
VE
r
AU
S
su
,
éférence
nel des
répartit, de pr
tout le person
Pour qui ?
temps :
à
ux
à
e
de
ss
es
ir
re
en
ia
e
ad
is
ag
s’
ion
membres
aux st
Elle se réal
Cette format
s ainsi qu’aux
ée
iteur apprend
iv
ur
le
pr
ou
is
s
pu
ue
er temps : le mon
bliq
1
de détresse,
entreprises pu
les situations
e
tr
ns un
aî
da
nn
T
C
co
S
re
des CH
propriés.
ap
xes
eu
st
er
ge
is
s
nique
és à réal
enseigne le
domaine tech
t.
ats sont amen
en
m
te
ec
e temps : les candid
2
s intégrer corr
à risque.
stes, afin de le
s face à ou
at
id
und
ca
s
le
mêmes les ge
ent
n sauveteur seco
concrets plac
t analyser U
t
en
es
iv
l
do
ai
s
av
’il
tr
qu
Puis, des cas
riste du
mulées
si
ns
io
at
tu
si
du
différentes
la victime.
n m e m b re
er secours à
pable de : u
ca
e
t
bl
es
t
pa
ca
an
l
ip
ic
avant de port
ne
part
person
e formation, le
tt
ce
s
de
ur
co
ue
se
ss
s
l’i
er
er
A
les ti
de port
les victimes et
nt
n protéger
e
nc
ge
en cas d’accide
ur
d’
e
la victim
de
les secours
n
n
so
io
at
n alerter
de
tu
si
in
au se
on de la
attendant
l’attente de
er l’aggravati
en
ns
e
u
da
,
iq
n empêch
se
ys
ri
entrep
grité ph
té
in
n
écialisés.
so
r
ve
ibilisé aux
des secours sp
et préser
ée
iv
rr
l’a
travail est sens
s.
:
ur
du
es
co
ul
te
se
is
od
s
m
ur
de
8
co
se
en
prévention
l’arrivée
Le sauveteur
sont abordées
rtant dans la
nt
po
de
im
ci
ac
le
d’
rô
ns
un
tion
Les situatio
risques et joue
n la protec
un membre
des accidents.
n l’alerte
ement à avoir
rt
fo
te
ci
in
l
e
ff
ai
e s’étou
Code du trav
rs secours.
n la victim
damment Le
é aux premie
on
rm
ab
fo
l
ne
sauveteurs
ig
ne
sa
on
e
rs
n la victim
du pe
de plusieurs
er
te
os
sp
en
ci
di
ns
de
co
le
s lieux où les
e est in
n la victim
Il est préférab
rtout dans le
su
s
l,
pa
ai
e
av
ir
tr
sp
us graves.
e ne re
n la victim
secouristes du
élevés et les pl
us
se
pl
ai
s
al
le
m
nt
un
so
d’
s
nt
avail entre
e se plaint
n la victim
risques d’accide
couriste du tr
un
se
s
r
rè
eu
ap
et
nt
uv
ai
lle et dans
e se pl
ation sa
n la victim
n professionne
e, La form
io
at
ur
ûl
rm
br
fo
,
ie
la
la
de
(p
(DIF).
dans le cadre
traumatisme
à la formation
s articulations,
el
de
du
et
vi
os
di
s
in
de
it
te
le Dro
attein
e
te du travail
Le programm
etc.).
eteur secouris
uv
sa
du
le
rô
protéger
ion du
n Explicat
rsistants pour
pe
s
ue
sq
ri
s
her le
n Recherc
er à prévenir
ég
ot
pr
n De
erter
ime et faire al
ct
vi
la
er
in
m
n Exa
er
1)
eau 1 (PSC
alerter à inform igne abondamment
ique de niv
n De faire
cours civ
se
n
i
tio
qu sa
Préven
r une victime
n Secouri
qui s’étouffe
r une victime
n Secouri
P
Sauveteur seco
uriste au
m
graphic.co
www.icone
Secourir une victime qui
répond, se plaint de sensations
pénibles et/ou présente des
signes anormaux
n Secourir une victime qui se
plaint de brûlures
n Secourir une victime qui
répond, se plaint d’une douleur
empêchant certains mouvements
n Secourir une victime qui se
plaint d’une plaie qui ne saigne
pas abondamment
n Secourir une victime qui ne
répond pas, mais respire
n Secourir une victime qui ne
répond pas, ne respire pas
n Etudier les risques spécifiques à l’entreprise ou à la
profession : module optionnel
de 2 heures à la demande du
chef d’entreprise ou du médecin
du travail.
La formation initiale dure 12
heures (+ 2 heures s’il y a
des risques spécifiques à
l’entreprise).
La formation continue annuelle
est obligatoire et dure 4 heures.
Les groupes se composent
de préférence d’un maximum
de 10 personnes.
Formation complémentaire
Recyclage obligatoire au bout
de la première année, puis
recommandé tous les deux ans.
n
travail (SST)
www.protection-civile.org
[email protected]
Les Opticiens Mutualistes
Paris sud
43, Grande Rue, Juvisy-sur-Orge (91)
Tél. : 01 69 21 13 30
Du mardi au samedi
de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h
Paris Bastille
68, Bd Beaumarchais, Tél. : 01 43 55 63 73
Le lundi de 13 h à 18 h 30 et
du mardi au samedi de 9 h 30 à 19 h
Juillet et Août :
du mardi au samedi de 10 h à 18 h 30
tous les lundis de juillet ainsi que les
lundis 24 et 31 août, de 13 h à 18h
AUDITION MUTUALISTE
Des spécialistes s’engagent pour vous !
Du test auditif gratuit au suivi pendant toute la durée de votre
appareillage, en passant par la délivrance et le contrôle, notre
volonté est de vous garantir une solution auditive optimale sur le plan
du confort d’écoute et de la discrétion mais aussi de vous garantir la
transparence sur le prix de l’appareil et sur le prix de la prestation.
n Dès l’accueil, nous prenons le temps nécessaire pour comprendre votre situation
et répondre à toutes vos questions.
n Nous prenons le temps de vous aider à comparer les différentes solutions auditives.
n Nous prenons le temps de vous expliquer point par point toutes les étapes de
votre appareillage.
n Nous vous proposons des produits de haute qualité à des prix maîtrisés.
n Nous vous remettons un devis, clair et expliqué, des prix détaillés pour
chaque proposition de réponse à vos besoins.
n Nous avons des accords avec les mutuelles pour réduire les avances de frais.
n Vous pouvez essayer les aides auditives chez vous avant toute décision d’achat.
n L’efficacité de vos aides auditives est régulièrement vérifiée.
n Votre médecin est systématiquement informé des résultats des tests et du
choix de votre appareil.
Les centres Audition Mutualiste
Paris Bastille
68, Bd Beaumarchais - 75011 Paris
Tél. : 01 40 21 77 53
M° Chemin vert ou Bastille
Le samedi, uniquement sur rendez-vous
Paris sud
17, av. du Pont Royal - 94230 Cachan
Tél. : 01 45 46 09 29
RER B Bagneux (Pont Royal)
Du mardi au vendredi
uniquement sur rendez-vous
OPTICIENS MUTUALISTES
Les yeux, c’est précieux ! Alors pour en prendre soin au quotidien
voici les gestes « bien-être » et ceux à proscrire.
LES GESTES À FAIRE :
n Faites surveiller régulièrement votre vue par votre ophtalmologiste.
Certaines atteintes de l’œil ne provoquent aucun trouble au début, mais il est
important de les dépister tôt.
n Quand le soleil est au rendez-vous, protégez vos yeux des rayons UV avec des
lunettes de soleil filtrantes et un chapeau à large bord.
n Retirez les lentilles de contact en cas d’irritation.
n Respectez le traitement prescrit et les durées de conservation des collyres après
ouverture. Une présentation uni dose permet d’éviter tout risque de contamination
du flacon par des microbes et protège donc les yeux contre une éventuelle infection.
n Mangez bien. En effet le contenu de notre assiette a une influence directe sur
la santé des yeux. Une alimentation saine (légumes verts, poisson, fruits....) aide
à conserver de bons yeux.
LES GESTES À ÉVITER :
n Lire avec un éclairage insuffisant.
n Se frotter les yeux, surtout avec les mains sales.
n Manipuler des produits chimiques n Utiliser l’eau du robinet pour rincer ses lentilles.
n Se baigner en piscine avec ses lentilles.
sans lunettes protectrices.
n Regarder directement le soleil.
Faites régulièrement contrôler votre vue et celle de vos enfants : pour vos lunettes,
les Opticiens Mutualistes vous guident et vous aident à trouver la solution la
mieux adaptée à votre cas.
5
is en
e mes soins pr
qu
e
pt
m
co
s
rend
tations.
uis peu, je me
relevé de pres
ep
D
on
m
r
à
su
lé
té
nt
formation à la
yant apparaisse
campagne d'in
main tiers pa
la
hu
r
pa
us
e
ir
?
sé
av
er avril, votre mutuelle
li
bi
Sensi
papillom
'est nouveau
1
le
C
le
re
s
nt
ui
de
co
ep
l
D
co
in
u.
cc
ea
du
s aux
propos du va
ains cancers
effet, c'est nouv
ins remboursé
rt
n
so
E
ce
s
de
is
de
e
da
e
bl
bl
an
sa
eux à
dem
l'ensem
(HPV), respon
iez été nombr
z élevé, je me
it apparaître
av
se
fa
as
us
t
Vo
an
é.
ét
nt
ix
pr
dans la
de sa
l’utérus, et le
tre tout à fait
ofessionnels
a mutuelle ?
en
pr
i
m
r
qu
Le
n
pa
.
io
ie
sé
at
ac
ur
m
e plus
inform
s'il était rembo boursé au titre de la phar
uelle pour un
clamer cette
ut
ré
m
e
la
tr
vo
s,
r
se
m
plus
re
e pa
s do
Le vaccin est
cessitant troi
et une attitude ise
litique engagé
,
né
po
es
n
io
ns
ue
at
pe
aq
in
dé
cc
ch
s
tr
va
visibilité de
donc à 65 %
protocole de
meilleure maî
35 %. grande
remboursera
et donc une
e
de
us
al
r
ci
to
eu
so
ut
de
é
e
ha
it
bl
Sécur
étera à
r responsa
utuelle compl
santé.
est de pratique
ux
ie
m
dose, votre m
le
s dépenses de
s,
de
ai
fr
s
ne
de
er
e
nc
nc
va
on co
ade ou si
Pour éviter l'a
i cette questi
je tombe mal
S
i
.
S
al
é.
la
gr
ét
et
té
t
le
in
ce
ta
nt
sée ?
ter la carte Vi
rs en Espagne
le tiers paya
rai-je rembour
uelles Je pa
suffit de présen
se
sq
,
us
le
ée
vo
r
is
t, et pour
il
,
su
al
le
it
é
fil
it
sp
votre
est dès à présen
je suis ho
s de valid
ux
ur
ie
co
m
le
en
,
xe
te
centre
réfle
carte mutualis
clamer à votre
us avez le bon
ré
Vo
de
,
le
es
r
nc
pa
.
ca
r
le
vos va
e maladie.
i régulie
figure votre fil
ne pas gâcher
enne d'assuranc
pas d'un suiv
pé
ro
ls
se
te
eu
en
s
e
rt
sp
en
ca
di
prévoit.
exam
ale, la
Ce vaccin ne
tre garantie le
cologue ni les
de Sécurité soci
vo
né
si
gy
a
le
er
ou
ét
pl
nt
m
nsulter
médecin traita
tre mutuelle co es pays, je vous invite à co
e.
Vo
ir
ra
nt
co
au
tr
en
s au
que frottis, bi
Concernant le
eli.fr
m
.a
w
w
le site w
ÊTRE LÀ
QUELQUES
QUAND
IL FAUT…
ILLUSTRATIONS DES
SOUTIENS ACCORDÉS ...
L’équipe de l’Action Sociale
Souffrant d’une maladie invalidante, Madame X
devait financer un monte escalier. Sans cet
équipement, il lui devenait difficile de rester à son
domicile. Le coût de ce projet s’élevait à 4 223 €.
Une aide de 1 000 € lui a été allouée qui, ajoutée
aux financements accordés par d’autres
organismes, a permis à Madame X de concrétiser
ce projet.
n
Parce qu’un jour l’imprévu survient et fragilise l’harmonie
familiale, parce qu’un jour le chômage, le handicap,
une forte dépense de santé déstabilisent le budget ou obligent
à repenser le quotidien…
F
ondée sur des principes forts de solidarité et d’entraide,
les Mutuelles UMC se mobilisent pour vous aider à
surmonter les difficultés que la vie réserve quelquefois.
En effet, nous avons développé une action spécialement
pour ceux d’entre vous qui peuvent rencontrer d’importantes
difficultés pour faire face à des dépenses médicales ou
liées au handicap.
COMMENT CELA SE PASSE-T-IL ?
Les demandes d’intervention sont examinées en toute
confidentialité et au cas par cas, par une Commission
d’Action sociale. Celle-ci décide de l’attribution d’une aide
financière exceptionnelle sur la base de critères qui incluent
les ressources et l’évaluation globale de la situation.
Cette aide peut s’inscrire dans le cadre d’un plan de financement
qui permet à plusieurs organismes sociaux d’intervenir
(Assurance maladie, caisse de retraite complémentaire,
centre d’action sociale…), réduisant ainsi au minimum les
frais restant à votre charge.
Les Mutuelles UMC savent être là quand il faut …
Pour vous écouter, vous conseiller, pour vous indiquer si
vous pouvez solliciter l’aide de votre mutuelle et comment le
faire, toute l’équipe de l’Action Sociale est à votre disposition
au 01 49 29 56 47 ou au 01 49 29 49 35.
204
c’est le nombre de
structures d’hospitalisation
à domicile en France
Source : Essentiel Santé Magazine,
juin 2009
Madame Y envisageait de faire réaliser des prothèses
dentaires. La somme de 830 € restait à sa charge (après
les remboursements de la Sécurité sociale et de sa
mutuelle). Une allocation de 731 € a pu lui être
attribuée.
n
Monsieur Z n’entendait plus suffisamment bien.
Sa vie sociale en souffrait, il sortait de moins en moins
et donc s’isolait. Pour mieux vivre, il devait mieux
entendre. Pour cela, il a été accompagné dans sa
démarche de soins et a bénéficié d’une aide pour
s’appareiller. Un tiers des frais restant à sa charge
a été ainsi financé.
n
(
6
?
!
(
S
N
O
I
T
S
E
U
Q
S
VO
S
E
S
N
O
P
É
R
S
NO
ÇA S’EST PASSÉ
DANS VOTRE RÉGIO
N
ALSACE : la M
utualité frança
ise Alsace a
espace de sa
ouvert un
nté, 257 rout
e de Lyon à
centre de sa
Illkirch : un
nté dentaire,
un centre de
auditive Audit
correction
ion Mutualiste
, un magasin
Les Opticiens
d’optique
Mutualistes.
Infos : Charlot
te Escande 03
88 55 91 02
HÉRAULT : la M
utualité frança
ise Hérault a
établissemen
ouvert un
t d’hébergem
ent pour pers
dépendantes
onnes âgées
de 62 lits et
3 places d’ac
Marsillagues,
cueil jour, à
la résidence La
Roselière.
Infos : Nicole
Tézier 04 67
22 85 72
INDRE-ET-LOIRE
: la Mutualité
française Indr
a créé trois ce
e-et-Loire
ntres d’accuei
l de jour pour
atteintes de la
personnes
maladie d’Alz
heimer.
Infos : à Balla
n-Miré 02 47
53 66 16,
à Chambray-l
ès-Tours 02 47
25 91 16,
à Tours-nord
02 47 51 34 72
7
#
MODIFICATIONS
STATUTAIRES
UMC : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 9 JUIN PANOTECHNIQUE : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 23 JUIN
’
MUTATIS
’
n
: SUITE À L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 25 JUIN
ANCIENNE RÉDACTION
NOUVELLE RÉDACTION
MUTUELLES CONCERNÉES
I : FORMATION, OBJET ET COMPOSITION DE L’UNION
CHAPITRE 1ER : FORMATION, OBJET ET COMPOSITION DE L’UNION
TITRE
:
E
T
S
I
L
A
U
T
U
M
É
T
N
A
S
É
T
I
PRIOR
35 adhérents et de leurs proches : PriolisritésemSaenntté
9
3
E
L
Z
E
L
E
APP t un nouveau service à destinationosdeitifleurvosus accompagne pour choiégsiralunemétenabt des programmes
Article 3 : Objet de l’union
Les activités exercées relèvent du Livre II du Code de la mutualité, branches
1, 2 et 20 et visent à :
1. réaliser les opérations d'assurance suivantes :
a) couvrir les risques de dommages corporels liés à des accidents ou à la maladie
(branches 1 - 2) ;
b) contracter des engagements dont l'exécution dépend de la durée de la vie
humaine (branche 20)
Elle peut accepter les engagements mentionnés ci-dessus en réassurance.
2. à titre accessoire, elle peut :
n assurer la prévention des risques de dommages corporels liés à des accidents
ou à la maladie ainsi que la protection de l'enfance, de la famille, des personnes
âgées, dépendantes ou handicapées
n mettre en œuvre une action sociale.
Ajout
disp
ose
ncen
Les mutuelles la
one au 39 35, ce iorité Santé Mutualiste prop
ph
lé
té
r
pa
le
ib
cess
r la santé. Pr
Mutualiste. Ac
s informations su le maintien de l’autonomie.
de
r
ni
te
ob
ou
s
de soin
trition et
les
r le tabac, la nu
aussi obtenir
personnalisés su
vous pourrez
8
TRAITANT
TRE MÉDECIN
EN LIEN AVEC VO
ique de Priorité
LES PARTENAIRES
DE LA MUTUALITÉ
FRANÇAISE
UMC
L’union propose à ses mutuelles adhérentes relevant des sections 1 à 5 de
faire bénéficier leurs membres participants (et leurs ayants droit) des garanties
directement assurées par elle et ce, dans les conditions définies dans les
règlements mutualistes correspondants.
Elle leur apporte, par ailleurs, dans le cadre de son action de promotion
mutualiste, les conditions de développement nécessaires à leur croissance
harmonieuse.
Elle peut recourir à des intermédiaires d’assurance ou de réassurance.
Elle peut déléguer, de manière totale ou partielle, la gestion d’un contrat
collectif.
9
Les activités accessoires sont accessibles uniquement aux membres participants
et à leurs ayants droit et les prestations déclinées dans ce cadre découlent
directement du contrat qu'ils ont souscrit.
Elle peut également, à la demande d'autres mutuelles ou unions, se substituer
à ces organismes dans les conditions prévues au Livre II du Code de la mutualité
pour la délivrance de ces engagements.
Elle met à la disposition des bénéficiaires des mutuelles adhérentes :
n une garantie d'Assistance à la Famille, appelée U.M.C. Services. Cette garantie
est souscrite auprès d'Inter mutuelles Assistance (IMA).
n une garantie de protection juridique "Recours Médical" dite UMC-JURIS,
souscrite auprès de Protection Mutualiste Assurance S.A. (PMA-SA), société
du Groupe MATMUT.
n un fonds de solidarité
Elle peut adhérer à une union de groupe mutualiste visée à l'article L.111-4-1
du code de la mutualité.
Ajout
Dans les conditions définies dans les règlements mutualistes et le respect
des dispositions du Code de la mutualité, elle met à la disposition des membres
participants (et leurs ayants droit) des mutuelles adhérentes :
n des garanties d'Assistance,
n des garanties de protection juridique,
n ainsi que d’autres garanties d’assurance.
Ces garanties sont souscrites auprès d’organismes dûment habilités.
n et un fonds de solidarité.
Elle peut adhérer à une union mutualiste de groupe visée à l'article L.111-4-2
du Code de la mutualité.
Plus généralement, elle mène toute activité compatible avec la législation en
vigueur.
L’union est également inscrite sur la liste des organismes participant au dispositif
de protection complémentaire en matière de santé instauré par la Loi 99-641
du 27 juillet 1999 portant création de la couverture maladie universelle.
Articles 4, 5, 10, 21, 24, 62, 66 et 67
Articles 4, 5, 10, 21, 24, 62, 66 et 67
« Le » ou « un » règlement mutualiste
« du » ou « au » règlement mutualiste
« Les » ou « des » règlements mutualistes
« des » ou « aux» règlements mutualistes
TITRE
UMC
II : ADMINISTRATION DE L’UNION
1ER : ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
CHAPITRE
Section 2 : Réunion de l’Assemblée Générale
Pour élaborer le programme Priorité Santé
Mutualiste, la Mutualité française a engagé
de nombreux partenariats avec des associations
ou de grandes institutions :
n l’Association nationale de prévention en
alcoologie et addictologie (Anpaa)
n la Croix-rouge française
n l’École européenne de chirurgie
n la Fédération française de cardiologie (FFC)
n la Fédération nationale des centres de lutte
contre le cancer (FNCLCC)
n la Fédération nationale des comités féminins
pour le dépistage des cancers
n la Fondation Médéric Alzheimer
n l’Institut national du cancer (Inca)
n l’Institut national de prévention et d’éducation
pour la santé (Inpes)
n la Ligue nationale contre le cancer (LNCC)
n l’Office français de prévention du tabagisme (OFT).
«
te
Santé Mutualis
un
,
on
in
ph
so
lé
té
be
e
de
La plateform
icaux. En cas
r des paraméd
pondre aux
pa
ré
ée
de
im
in
an
af
t
t,
es
en
és
pr
t
ations
égalemen
utes les inform
To
médecin est
.
es
ex
pl
m
icaux,
plus co
s experts méd
de
questions les
r
pa
s
ée
lid
grandes
t été va
ations et des
transmises on
ci
so
as
s
de
t avec
en partenaria
ualiste
.
orité Santé Mut
ri
institutions
P
:
us
vo
ur
de soins
eauté po
ablissement
ét
Principale nouv
un
r
ve
ou
r à tr
exemple,
le cancer par
e
peut vous aide
m
m
co
ne
ai
fférente
un dom
est parfois di
adapté. Dans
ge
ar
ch
en
e
ualiste
la pris
orité Santé Mut
ri
la qualité de
P
.
né
ig
so
t
itères
où l’on es
ndent à des cr
po
selon l’endroit
ré
i
qu
es
ur
Haute
s struct
ment par la
a référencé le
am
ot
n
s
xé
fi
écis,
du cancer
titut national
de qualité pr
ns
l’I
ou
)
S
A
nté (H
Autorité de sa
(Inca).
PHILIPPE RÉMOND
Elle peut présenter, proposer ou aider à conclure des contrats d’assurance
ou de réassurance dont le risque est porté par un organisme habilité à pratiquer
ce type d’opération.
Ajout
Cahier spécial détachable
O
malades
Au 39 35,
sociations de
as
d’
s
ée
nn
do
coor
rencontres
et lieux des
s
te
da
s
le
ou
mutuelles
sées par les
ni
ga
or
é
nt
sa
us les cas,
vous. Dans to
ez
ch
de
ès
pr
peut être
in traitant
ec
éd
m
e
tr
vo
auprès de
tre démarche
vo
de
é
rm
fo
in
vous le
utualiste… si
M
é
nt
Sa
ité
Prior
peler !
ésitez pas à ap
souhaitez. N’h
«
t performant
établissemen
ù trouver un
cancer ?
soigner d’un
pour se faire
e ? Vers
ter la cigarett
Comment arrê
ur aider un
se tourner po
e
ur
ct
ru
st
le
quel
tions, vous
t ? Ces ques
an
nd
pe
dé
nt
pare
r à Priorité
ais les pose
rm
so
dé
ez
pouv
programme
, un nouveau
te
lis
it
ua
ut
M
é
Sant
çaise, dont fa
Mutualité fran
la
r
pa
é
or
élab
partie l’UMC.
d’hui quatre
couvre aujour
te
lis
ua
ut
M
é
aladies cardio
Priorité Sant
cancer, les m
)
le
is
:
ab
é nt
nn
sa
ca
, alcool et
ac
domaines de
ab
(t
ns
io
s
s addict
ersonnes âgée
vasculaires, le
l’autonomie (p
de
n
ie
nt
ai
m
ainsi que le
).
n de handicap
ou en situatio
rix
e au 39 35 (p
par téléphon
le
à
ib
es
ss
ur
ce
he
ac
9 t
redi de
nd
ve
Ce service es
au
i
nd
listes
cal), du lu
hérents mutua
ad
d’un appel lo
x
au
é
rv
devez
est rése
néficier, vous
bé
19 heures. Il
en
r
ou
P
s.
s proche
UMC (7829). Le
ainsi qu’à leur
de de l’Union
co
le
r
t donc
lle
ei
ns
anonymat es
e
fournir au co
tr
vo
:
if
at
s nomin
code n’est pa
respecté.
Article 3 : Objet de l’union
L'union a pour objet, dans le respect de l'autonomie statutaire des mutuelles
adhérentes, de faire œuvre de coordination, d'action et de promotion mutualistes
en créant des services destinés :
n d'une part, à faciliter et améliorer la gestion des mutuelles adhérentes,
n d'autre part, à compléter et à prolonger leur rôle respectif par la mise en
application d'une politique concertée commune.
Article 21 : Compétences de l’Assemblée Générale
I. L'Assemblée Générale ne délibère valablement que sur les questions inscrites
à l'ordre du jour.
L'Assemblée Générale procède à l'élection des membres du Conseil d'administration.
I. L'Assemblée Générale ne délibère valablement que sur les questions inscrites
à l'ordre du jour.
L'Assemblée Générale procède à l'élection des membres du Conseil d'administration.
II. L'Assemblée Générale est appelée à se prononcer sur :
1. les statuts et leurs modifications.
2. les activités exercées.
3. l'existence et le montant des droits d'adhésion.
4. le montant du fonds d'établissement.
5. les montants ou les taux de cotisations, les prestations offertes ainsi que
le contenu du règlement mutualiste défini par l'article L.114-1, 5e alinéa du
Code de la mutualité.
6. l'adhésion à une union ou à une fédération, la conclusion d'une convention
de substitution, le retrait d'une union ou d'une fédération, la fusion avec une
autre union, la scission ou la dissolution de l'union, ainsi que la création
d'une autre union.
7. les règles générales auxquelles doivent obéir les opérations de cession en
réassurance.
8. l'émission des titres participatifs, de titres subordonnés et d'obligations
dans les conditions fixées aux articles L.114-44 et L.114-45 du Code de la mutualité.
9. le transfert de tout ou partie du portefeuille de garanties, que l'union soit
cédante ou cessionnaire.
10. le rapport de gestion et les comptes annuels présentés par le Conseil
d'administration et les documents, états et tableaux qui s'y rattachent.
11. les comptes combinés ou consolidés de l'exercice ainsi que sur le rapport
de gestion du groupe.
12. le rapport spécial du commissaire aux comptes sur les conventions
réglementées, mentionnées à l'article L114-34 du Code de la mutualité.
13. le rapport du Conseil d'administration relatif aux transferts financiers opérés
entre les mutuelles ou unions régies par les livres II et III du Code de la mutualité
auquel est joint le rapport du commissaire aux comptes prévu à l'article
L.114-39 du même Code.
14. le rapport des opérations d’intermédiation.
15. le plan prévisionnel de financement prévu à l'article L.310-4 du Code de
la mutualité.
16. toute question relevant de sa compétence en application des dispositions
législatives et réglementaires en vigueur.
Article 21 : Compétences de l’Assemblée Générale
UMC
5. les montants ou les taux de cotisations, les prestations offertes ainsi que
le contenu des règlements mutualistes définis par l'article L.114-1, 5e alinéa du
Code de la mutualité
14. le rapport du Conseil d’administration relatif aux opérations d’intermédiation
et de délégation de gestion, selon les principes de délégation de gestion
par elle définis, visées aux articles L.116-1 à L.116-3 du Code de la mutualité.
Le reste de l’article est inchangé
MODIFICATIONS
RÈGLEMENTS MUTUALISTES
UMC : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 9 JUIN PANOTECHNIQUE : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 23 JUIN
’
: SUITE À L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 25 JUIN
ANCIENNE RÉDACTION
’
n
MUTATIS
TITRE
Article 5. : Répartition des bénéficiaires
10
NOUVELLE RÉDACTION
Article 5. : Répartition des bénéficiaires
Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes :
n Catégories individuelles
n Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives
Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes :
n Catégories individuelles
n Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives
CATÉGORIES INDIVIDUELLES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance
Maladie.
Catégorie 12 dite Ciel : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007.
Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription à compter du 1er janvier
2007.
Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements
Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements
Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 36 : quittant un groupe de la catégorie 16 concerné par la disposition
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
Catégorie 38 : quittant un groupe de la catégorie 18 concerné par la disposition
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
Catégorie 83 dite Nacre : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2005.
Catégorie 84 dite Opaline : fermée à la souscription à compter du 1er janvier
2005.
Catégorie 93 : salariés d’un cabinet d’avocats allocataires de la CREPA quittant
un groupe de la catégorie 92.
Catégorie 94 : retraités allocataires de la Caisse de retraite du personnel
des avocats et avoués près de la Cour d’appel (CREPA).
Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27
juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle.
Catégorie 137 : bénéficiaires de la (ajout) Couverture Maladie Universelle,
souhaitant un complément à la catégorie.
Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie 133, 134, 135 ou 136.
Catégorie 360 : quittant un groupe de la catégorie 160 concerné par les dispositions
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
Catégorie 370 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 371 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 372 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 373 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 374 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 380 : quittant un groupe de la catégorie 180 concerné par les dispositions
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
CATÉGORIES INDIVIDUELLES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance
Maladie.
Catégorie 12 dite Ciel : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007.
Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription à compter du 1er janvier
2007.
Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements
Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements
Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 36 : quittant un groupe de la catégorie 16 concerné par la disposition
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
Catégorie 38 : quittant un groupe de la catégorie 18 concerné par la disposition
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
Catégorie 83 dite Nacre : réservée aux départements Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 84 dite Opaline: réservée aux départements Calvados, Manche,
Orne.
Catégorie 93 : salariés d’un cabinet d’avocats allocataires de la CREPA quittant
un groupe de la catégorie 92.
Catégorie 94 : retraités allocataires de la Caisse de retraite du personnel
des avocats et avoués près la Cour d'appel (CREPA).
Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27
juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires d'une mutuelle.
Catégorie 137 : bénéficiaires de la Complémentaire Couverture Maladie
Universelle, suppression.
Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie suppression, 134, suppression
ou 136.
Catégorie 260 dite fluo : jeunes de moins de 28 ans.
Catégorie 261 Mut@robase : selon conditions particulières de souscription
et diffusion uniquement sur Internet.
Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 264 dite Parme : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007.
Catégorie 265 dite Carmin : sans conditions spécifiques Gamme nationale
hors les départements Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 267 dite Ivoire : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007.
Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les
départements Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 339 : personnes relevant de l’UCR CFDT Option 3.
Catégorie 355 dite Platine : nouveaux adhérents de plus de 60 ans ne bénéficiant
pas au moment de l’adhésion d’une couverture santé.
Catégorie 360 : quittant un groupe de la catégorie 160 concerné par les dispositions
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
Catégorie 370 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 371 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 372 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 373 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 374 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 380 : quittant un groupe de la catégorie 180 concerné par les dispositions
de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes
et assurées contre certains risques.
2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique
d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle
Catégorie 87 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 88 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 89 : sans conditions spécifiques.
2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique
d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle
Catégorie 87 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 88 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 89 : sans conditions spécifiques.
3. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime d'Assurance
Maladie des Travailleurs non salariés non agricoles
Catégorie 24 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 136 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27
juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle.
3. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime d'Assurance
Maladie des Travailleurs non salariés non agricoles
Catégorie 24 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 136 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27
juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle.
4. Catégorie 100 : membres honoraires.
4. Catégorie 100 : membres honoraires.
CATÉGORIE OUVERTE DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie
Catégorie 16 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 18 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la
mutuelle.
Catégorie 24 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 41 : actifs et retraités cadres d'une entreprise couverte par ailleurs
par un contrat du secteur aéronautique.
Catégorie 42 : actifs et retraités bénéficiaires par ailleurs du régime professionnel
des Entreprises d'Assurance.
Catégorie 50 : salariés et retraités de l’entreprise RENALMUT.
Catégorie 77 : salariés du secteur informatique ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle.
Catégorie 92 : salariés d’un cabinet d’avocats ayant souscrit un contrat dans
le cadre d’opérations collectives à caractère obligatoire auprès de la
mutuelle COMAP.
Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières hospitalisation ».
Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée.
Catégorie 142 : salariés de GEODIS CALBERSON.
Catégorie 143 : salariés de GEODIS CALBERSON.
Catégorie 144 : salariés de GEODIS CALBERSON.
Catégorie 160 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 168 : salariés de l’entreprise AVIONS MARCEL DASSAULT, BREGUET
AVIATION.
Catégorie 180 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
CATÉGORIE OUVERTE DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie
Catégorie 16 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 18 : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2006.
Catégorie 260 dite Fluo : jeunes de moins de 28 ans.
Catégorie 261 dite Mut@robase : diffusion uniquement sur internet selon
conditions particulières de souscription.
Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 264 dite Parme : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007.
Catégorie 265 dite Carmin : sans conditions spécifiques Gamme nationale
hors les départements Calvados, Manche, Orne
Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 267 dite Ivoire : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007.
Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les
départements Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 339 : personnes relevant de l’UCR CFDT Option 3.
Catégorie 355 dite Platine : adhérents de plus de 60 ans. Ajout
MUTUELLES CONCERNÉES
I : BÉNÉFICIAIRES
Catégorie 24 : sans conditions spécifiques.
Catégorie 41 : actifs et retraités cadres d'une entreprise couverte par ailleurs
par un contrat du secteur aéronautique.
Catégorie 42 : actifs et retraités bénéficiaires par ailleurs du régime professionnel
des Entreprises d'Assurance.
Catégorie 50 : salariés et retraités de l’entreprise RENALMUT.
Catégorie 77 : salariés du secteur informatique ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle.
Catégorie 92 : salariés d’un cabinet d’avocats ayant souscrit un contrat dans
le cadre d’opérations collectives à caractère obligatoire auprès de la
mutuelle COMAP.
Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières hospitalisation ».
Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée.
Catégorie 142 : salariés de GEODIS CALBERSON.
Catégorie 143 : salariés de GEODIS CALBERSON.
Catégorie 144 : salariés de GEODIS CALBERSON.
Catégorie 160 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 168 : salariés de l’entreprise AVIONS MARCEL DASSAULT, BREGUET
AVIATION.
Catégorie 180 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
MUTUELLE PANOTECHNIQUE
ANCIENNE RÉDACTION
NOUVELLE RÉDACTION
Catégorie 182 : salariés de la SERNAM.
Catégorie 183 : salariés de la SERNAM.
Catégorie 184 : salariés de la SERNAM.
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 316 : salariés de l’entreprise EUROCONTROL.
Ajout d’une nouvelle catégorie
Catégorie 325 dite Palatine : salariés de la Banque San Paolo.
Catégorie 354 : salariés et retraités de l’OPAC du Loiret.
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Ajout d’une nouvelle catégorie
Catégorie 619 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) Base.
Catégorie 620 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris)
IMM Option 1.
Catégorie 630 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris)
IMM Option 2.
Catégorie 182 : salariés de la SERNAM.
Catégorie 183 : salariés de la SERNAM.
Catégorie 184 : salariés de la SERNAM.
Catégorie 272 : salariés TIETOENATOR régime général.
Catégorie 273 : salariés TIETOENATOR régime local.
Catégorie 291 : salariés UNA base.
Catégorie 292 : salariés UNA option 1.
Catégorie 293 : salariés UNA option 2.
Catégorie 294 : salariés UNA option3.
Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle.
Catégorie 316 : salariés de l’entreprise EUROCONTROL.
Catégorie 324 : CCN DU LIN.
Catégorie 325 dite Palatine : salariés de la Banque San Paolo.
Catégorie 354 : salariés et retraités de l’OPAC du Loiret.
Catégorie 382 : GEODIS Niveau 0.
Catégorie 383 : GEODIS Niveau 1.
Catégorie 384 : GEODIS Niveau 2.
Catégorie 386 : REG LOCAL Optique Différenciée.
Catégorie 619 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) Base.
Catégorie 620 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris)
IMM Option 1.
Catégorie 630 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris)
IMM Option 2.
2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique
d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle
Catégorie 86 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 186 : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2008.
2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique
d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle
Catégorie 86 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Suppression
Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes :
Catégories individuelles
Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives
Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes :
n Catégories individuelles
n Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives
CATÉGORIES INDIVIDUELLES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie
Catégorie 6 (MUTATIS Base) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à la
mutuelle MUTATIS.
Catégorie 8 : retraités et préretraités inscrits à la mutuelle SMER.
CATÉGORIES INDIVIDUELLES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie
Catégorie 6 (MUTATIS Base) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à la
mutuelle MUTATIS.
Catégorie 8 : retraités qui ont été inscrits en catégorie 6 pendant un minimum
de deux ans dans le cadre de la mutuelle SMER ou MUTATIS.
Catégorie 12 dite Ciel : fermée à la souscription au 01.01.07.
n
n
Catégorie 12 dite Ciel : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription au 01.01.07.
Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 51 (MUTATIS Sécurité) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à
la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 53 (MUTATIS Optim 3) : fermée à la souscription au 01.01.2008.
Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27
juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires d'une mutuelle ou Union
adhérente à l'union.
Catégorie 137 : bénéficiaires de la (ajout) Couverture Maladie Universelle,
inscrits en catégories 134 ou 136, pour des prestations non couvertes par
celles-ci souhaitant un complément à la catégorie.
Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie 134 ou 136.
Catégorie 156 (MUTATIS Confort) : actifs, préretraités et retraités ne disposant pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits
à la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 253 (MUTATIS Plénitude) : actifs, préretraités et retraités ne disposant
pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits à
la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 260 dite Fluo : jeunes de moins de 28 ans.
Catégorie 261 : Mut@robase selon conditions particulières de souscription
et diffusion uniquement sur Internet.
Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 265 dite Corail : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 267 dite Ivoire : fermée à la souscription au 1er janvier 2007.
Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les
départements Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 355 dite Platine : nouveaux adhérents (ajout) ne bénéficiant pas
au moment de l’adhésion d’une couverture santé.
Catégorie 370 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 371 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 372 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 373 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 374 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
2. Catégorie ouverte aux seuls ressortissants du régime d'Assurance
Maladie des Travailleurs non salariés non agricoles.
Catégorie 136 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du
27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle.
Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription au 01.01.07.
Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 51 (MUTATIS Sécurité) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à
la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 53 : actifs, préretraités et retraités, cadres ou assimilés cadres
inscrits à la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27
juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle - Suppression.
Catégorie 137 : bénéficiaires de la Complémentaire Couverture Maladie
Universelle, suppression.
Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie 134 suppression.
Catégorie 156 (MUTATIS Confort) : actifs, préretraités et retraités ne disposant pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits
à la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 253 (MUTATIS Plénitude) : actifs, préretraités et retraités ne disposant
pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits à
la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 260 dite Fluo : jeunes de moins de 28 ans.
Catégorie 261 Mut@robase : selon conditions particulières de souscription
et diffusion uniquement sur Internet.
Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 265 dite Carmin : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Suppression
Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados,
Manche, Orne.
Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les
départements Calvados, Manche, Orne.
Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 355 dite Platine : nouveaux adhérents de plus de 60 ans ne bénéficiant
pas au moment de l’adhésion d’une couverture santé.
Catégorie 370 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 371 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 372 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 373 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Catégorie 374 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat
d’entreprise.
Suppression
3. Catégorie 100 : membres honoraires
2. Catégorie 100 : membres honoraires
CATÉGORIES OUVERTES DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie
Catégorie 6 (MUTATIS Base) : salariés d’entreprises ayant souscrit un
contrat auprès de la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 16 : salariés et retraités d'entreprises ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle.
Catégorie 18 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la
mutuelle.
Catégorie 77 (SSCI) : salariés d'entreprise du secteur informatique et personnes
relevant du régime spécifique des travailleurs non salariés ayant souscrit un
contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières d’hospitalisation ».
Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée.
CATÉGORIES OUVERTES DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES
1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie
Catégorie 6 (MUTATIS Base) : salariés d’entreprises ayant souscrit un
contrat auprès de la mutuelle MUTATIS.
Catégorie 16 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès d'une
mutuelle ou Union adhérente à l'UMC.
Suppression
Catégorie 77 (SSCI) : salariés d'entreprise du secteur informatique et personnes
relevant du régime spécifique des travailleurs non salariés ayant souscrit un
contrat auprès de la mutuelle.
Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières d’hospitalisation ».
Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat
auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée.
MUTUELLES CONCERNÉES
MUTUELLE MUTATIS
11
#
ANCIENNE RÉDACTION
NOUVELLE RÉDACTION
Catégorie 159 (MUTATIS Optim 9) : salariés d'une entreprise ayant souscrit
par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur.
Catégorie 161 (MUTATIS Optim 1) : salariés d'une entreprise ayant souscrit
par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur.
Catégorie 416 : salariés et retraités issus d’un CNR (Contrat non responsable).
Catégorie 159 (MUTATIS Optim 9) : salariés d'une entreprise ayant souscrit
par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur.
Catégorie 161 (MUTATIS Optim 1) : salariés d'une entreprise ayant souscrit
par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur.
Catégorie 416 : salariés et retraités issus d’un CNR (Contrat non responsable).
II : ADHÉSIONS - MUTATIONS - RÉSILIATION
Article 8. : Conditions d’âge à l’adhésion
Article 8. : Conditions d’âge à l’adhésion
Les membres participants adhérant dans une catégorie individuelle doivent
être âgés lors de l'adhésion initiale de :
n moins de 60 ans : catégories 6, 51, 77, 159, 161.
n 60 ans et plus : catégories 8, 355.
n moins de 70 ans : catégories 22, 27, 156, 253, 261, 262, 263, 265, 266, 267,
268, 269, 370, 371, 372, 373, 374.
n sans limite d’âge : catégories 134, 136, 137, 154.
Les mineurs de plus de seize ans peuvent devenir, à leur demande, membre
participant sans l'intervention de leur représentant légal.
Pour les membres participants adhérant dans le cadre d'une opération collective,
les limites d'âge éventuelles sont spécifiées dans le contrat écrit et signé
entre la personne morale souscriptrice et la mutuelle.
L'âge est défini par la différence entre le millésime de l'année en cours et le
millésime de l'année de naissance.
Les membres participants adhérant dans une catégorie individuelle doivent
être âgés lors de l'adhésion initiale de :
n moins de 60 ans : catégories 6, 51, 77, 159, 161.
n 60 ans et plus : catégories 8, 355.
n moins de 70 ans : catégories 22, 27, 156, 253, 261, 262, 263, 265, 266,
suppression, 268, 269, 370, 371, 372, 373, 374.
n sans limite d’âge : catégories 134, suppression, 137, 154.
Les mineurs de plus de seize ans peuvent devenir, à leur demande, membre
participant sans l'intervention de leur représentant légal.
Pour les membres participants adhérant dans le cadre d'une opération collective,
les limites d'âge éventuelles sont spécifiées dans le contrat écrit et signé
entre la personne morale souscriptrice et la mutuelle.
L'âge est défini par la différence entre le millésime de l'année en cours et le
millésime de l'année de naissance.
TITRE
Article 25. : Dispositions de solidarité
12
LES QUESTIONS QUE VOUS POUVEZ POSER AU 39 35
MUTUELLE MUTATIS
Priorité Santé Mutualiste concerne aujourd’hui quatre vastes domaines de santé : le cancer, les maladies
cardio-vasculaires, les addictions et le maintien de l’autonomie. Mode d’emploi.
IV : AUTRES GARANTIES INCLUSES
Article 25. : Dispositions de solidarité
Le début de l’article reste inchangé
Le début de l’article reste inchangé
25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective
vers une catégorie individuelle
La disposition concerne les membres participants quittant une personne
morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle.
Le membre participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au
sein de la mutuelle.
La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le
membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes :
22-27-260-262-263-265-266-267-268-269-370-371-372-373-374.
25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective
vers une catégorie individuelle
La disposition concerne les membres participants quittant une personne
morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle.
Le membre participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au
sein de la mutuelle.
La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le
membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes :
22-27-260-262-263-265-266- suppression -268-269-370-371-372-373-374.
Le début de l’article reste inchangé
Le début de l’article reste inchangé
25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective
vers une catégorie individuelle
La disposition concerne les membres participants quittant une personne
morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle. Le membre
participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au sein de la
mutuelle.
La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le
membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes :
12 - 22 - 27 - 260 - 262 - 263 - 264 - 265 - 266 - 267 - 268 - 269 - 370 - 371 372 - 373 - 374.
25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective
vers une catégorie individuelle
La disposition concerne les membres participants quittant une personne
morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle. Le membre
participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au sein de la
mutuelle.
La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le
membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes :
suppression - 22 - 27 - 260 – 262 - 263 - suppression - 265 - 266 - suppression 268 - 269 - 370 - 371 - 372 - 373 - 374.
MUTUELLE PANOTECHNIQUE
MUTUELLE MUTATIS
Cahier spécial détachable
TITRE
MUTUELLES CONCERNÉES
L’INFORMATION SANTÉ
Vous vous posez des questions :
n « J’ai 58 ans, dois-je me faire dépister pour le cancer
colorectal ? »
n « Mon père souffre d’une maladie cardio-vasculaire.
Est-ce héréditaire ? »
n « Mon fils boit trop le week-end avec ses copains.
Que risque-t-il ? »
n « Mon grand-père a du mal à marcher. Est-ce dû à
l’âge ou à une maladie ? »
Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste :
Les adhérents des mutuelles peuvent trouver des
réponses à toutes leurs questions sur les facteurs de
risques, la prévention et le dépistage, les maladies et
leurs prises en charge. Les conseillers du 39 35 sont tous
des paramédicaux ou des médecins. Ils s’appuient sur
des fiches validées par des spécialistes. Des brochures
peuvent également vous être envoyées en complément
de l’information téléphonique. Enfin, des rencontres
santé sont régulièrement organisées : conférences,
journées de sensibilisation, ateliers interactifs…
L’AIDE À L’ORIENTATION
Vous vous posez des questions :
n « Je dois me faire opérer rapidement d’un cancer du
sein. Pouvez-vous m’indiquer un établissement en Illeet-Vilaine ? »
n « Où puis-je me procurer une prothèse capillaire
après ma chimiothérapie ? »
n « Ma mère souffre de la maladie d’Alzheimer. Je
cherche une structure qui puisse l’accueillir dans la
journée. A qui dois-je m’adresser ? »
Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste :
Le dispositif vous aide à choisir le service ou le prestataire
le plus adapté à vos besoins. Si vous recherchez un
établissement de santé, le conseiller propose trois services,
sélectionnés en fonction d’exigences de qualité reconnues
par les autorités sanitaires. Si vous le souhaitez, ces
informations seront transmises à votre médecin traitant.
L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ
Vous vous posez des questions :
n « J’ai trop de cholestérol et mon médecin me recommande un régime alimentaire. Mais seule, je n’y arrive
pas. Comment faire ? »
n « Demain, j’arrête de fumer. Pouvez-vous m’aider à
tenir bon ? »
n « Comment organiser le retour à domicile de mon
père âgé suite à son hospitalisation : qui peut m’aider ?
Comment m’y prendre ? »
Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste :
Trois programmes d’accompagnement personnalisés
vous sont proposés : le sevrage tabagique, l’équilibre
alimentaire en cas de risque cardio-vasculaire et l’aide à
l’organisation du maintien à domicile. Pendant une durée
de 12 à 18 mois, un diététicien, un médecin tabacologue
ou un conseiller en économie sociale et familiale va
vous appeler régulièrement au téléphone. Ces entretiens
vous aideront à soutenir vos efforts et à adapter le programme
à vos progrès.
Afin de mettre toutes les chances de votre côté, votre
médecin traitant ou le professionnel de santé de votre
choix peut être associé à ce suivi. Toutes les solutions
sont proposées en lien avec les dispositifs existants :
les centres locaux d’information et de coordination
(Clic) ou les maisons départementales des personnes
handicapées (MDPH).
13
L’ÉCOUTE
Vous vous posez des questions :
n « Mon mari vient d’être hospitalisé en urgence après
un infarctus. Je ne sais pas à qui en parler. »
n « J’attends les résultats d’un dépistage du cancer de
la prostate. Je n’arrive plus à dormir. »
n « Je viens d’apprendre que mon fils a une sclérose en
plaques, j’ai peur pour lui. »
Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste :
Sur simple appel, vous pouvez être soutenu dans les
moments difficiles que chacun traverse dans sa maladie
ou celle d’un proche. Si c’est nécessaire, le conseiller
du 39 35 vous mettra en relation avec un écoutant de la
Ligue contre le cancer ou d’une autre plate-forme
téléphonique.
.fr
Plus d’infos sur :
tualiste
u
m
e
t
n
ioritesa
www.pr
MONTAGNE EN FAMILLE :
PRUDENCE AU SOMMET !
CES
N
A
C
A
V
S
E
D
PROFITEZ
E ! s physiques
L
L
I
M
A
F
N
E
des activité
OUGER
pratiquer une ou
ur
po
n
-e
ez
POUR auB
it
of
habitudes. Pr
la famille.
x changements d’
l santé de toute
En montagne, les jeunes enfants n’ont pas la même
résistance que les adultes. Une balade apparemment facile
peut se révéler dangereuse. Pour éviter les problèmes,
il faut être bien équipé, respecter des règles élémentaires de
prudence et tenir compte de la météo.
«
14
Nous étions partis de Nice pour un week-end
dans l’arrière-pays, se souvient Georges.
Mon fils Erwan, 18 mois à l’époque, a dormi
durant les deux heures de trajet. Il était enrhumé.
Lorsqu’il s’est réveillé à 1 500 mètres d’altitude, il a
hurlé pendant un quart d’heure ! ».
Ce père ignorait que son fils souffrirait d’une ascension
trop rapide. « Sur la route qui les mène à la montagne,
les enfants atteints de rhino-pharyngite déclenchent
souvent des otites avant même d’arriver à destination,
parce que leurs tympans ne sont pas mis en pression,
explique le Dr Jean-Dominique Laporte, président de
l’association Médecins de montagne (MdeM :
www.mdem.org). On constate le même phénomène
lorsque certains enfants prennent le téléphérique. »
Un séjour sur les hauteurs, surtout avec des tout-petits,
nécessite un minimum de préparation et de précautions.
« Pour autant, souligne le Dr Laporte, il n’y a aucune
contre-indication à amener des enfants à la montagne.
Il faut juste faire preuve d’un peu de bon sens. »
La commission médicale de l’Union internationale des
associations d’alpinisme (UIAA) confirme qu’à partir de
2 ans, un enfant peut monter en altitude « sans risque
d’en souffrir » jusqu’à « environ 2 500-3 000 mètres ».
Entre 0 et 2 ans, l’UIAA recommande « d’éviter les
ascensions non justifiées au-dessus de 2 000 mètres ».
A plus haute altitude, « le risque de mort subite inexpliquée
du nourrisson peut être augmenté tout comme le
risque de mal des montagnes ».
« Un enfant est toujours plus fragile qu’un adulte, prévient
le Dr Laporte. Il se fatigue plus vite, se montre plus
vulnérable au froid et à la déshydratation. Ce sont des
paramètres dont il faut tenir compte avant de
programmer une balade. »
SE RENSEIGNER AVANT DE PARTIR
Avant toute chose, il convient donc d’être réaliste. Un
bout de chou de trois ans ne pourra pas supporter sept
heures de randonnée. Il faut adapter le parcours à l’âge
de l’enfant et à sa condition physique. Il est indispensable
de se renseigner sur l’itinéraire, le temps de marche, le
dénivelé et… la météo. Autant d’informations qui pourront
être obtenues dans les offices de tourisme et dans les
bureaux des guides de montagne.
Il convient aussi d’accorder une attention particulière à
l’équipement du jeune montagnard : de bonnes chaussures,
des vêtements adaptés sont nécessaires. « Si l’enfant est
très jeune, il faut éviter le transport dans des porte-bébés
par temps froid ou lorsque le tout-petit dort profondément :
la circulation du sang dans les membres inférieurs
peut être comprimée », conseille Jean-Dominique Laporte.
Pour tous, il faut prévoir des habits chauds et une
tenue imperméable : même en plein été et même si le
soleil brille, le temps change très vite sur les hauteurs.
Un chapeau ou une casquette, des lunettes teintées et
une crème solaire à indice de protection élevé (supérieur
à 25) sont également de rigueur.
« Les parents veilleront à ce que les réserves d’eau soient
suffisantes et les repas assez copieux, en gardant à l’esprit
que les enfants boivent beaucoup et brûlent énormément
de calories sur les sentiers », complète le Dr Laporte.
Ce spécialiste préconise enfin de « ne pas surcharger
les sacs à dos des petits qui veulent faire comme les
grands ». « Qu’ils portent leur pull et leur coupe-vent,
ce sera déjà bien !, souligne-t-il. L’excès de poids est
le pire ennemi du jeune randonneur. »
«
CÉDRIC PORTAL
NE PARTEZ PAS S
ANS
TROUSSE DE
SECOURS !
Pas de balade en
montagne, mêm
e
courte,
secour
sans trousse de
s. « Elle est auss
i indispensable
fraîche et le repa
que la gourde d’
eau
s de midi, tranch
e le Dr Jean-Dom
Laporte. Suivant
inique
l’état du malade
ou du blessé, cette
doit permettre de
trousse
dispenser les prem
iers soins et, dans
les plus graves, d’
attendre l’arrivée
les cas
des secours prof
dans de bonnes
essionnels
conditions. ». Po
ur cela, il n’est pa
saire qu’elle cont
s nécesienne des médic
aments, hormis
randonneur a be
ceux dont le
soin à titre pers
onnel, par exem
vasodilatateur ou
ple un
un médicament
contre le mal de
Le « minimum re
tête.
commandé » pa
r les secouristes
1 couverture de
:
survie, 1 bande
élastique 10 x 15
1 rouleau de spar
cm,
adrap, 2 bandes
tr
iangulaires perm
réaliser des écha
ettant de
rpes en cas de tr
aumatisme des
supérieurs, 1 pa
membres
ire de gants en la
tex, 1 paire de ci
3 bandes de gaze
seaux,
6 x 4 cm, 4 com
presses 10 x 10
Les guides de mon
cm
.
tagne conseillent
d’ajouter des pa
type Compeed®
nsements
en cas d’ampoul
e et une pompe
en cas de piqûre
Aspivenin®
ou de morsure ve
nimeuse.
Enfin, une form
ation aux premie
rs secours, perm
notamment de pr
ettant
atiquer le massa
ge cardiaque, es
recommandée au
t
fortement
x adeptes de la ra
ndonnée.
propices
le capita
Les vacances sont s de bien-être, elles préserveront
ce
et sportives. Sour
«
bre ou
itter leur cham
qu
à
nt
ne
ig
rech
osant de
Si vos bambins
es en leur prop
-l
ez
iv
ot
m
,
gner à
ligne
vous accompa
leurs jeux en
ur
po
e
ss
ba
idi est
marée
fin d’après-m
profiter de la
de
re
iè
m
lu
La
verger
pied.
une pêche à
otographier un rver
ph
r
le
al
d’
casion
ine pour obse
une bonne oc
ter sur la coll
on
M
x.
ant car
au
ev
ou des ch
ssi être alléch
au
ut
pe
il
le
so
le coucher de
e.
éphémèr
physique
re d’une activité r l’état
liè
gu
ré
ue
iq
La prat
, influe su
ême modérée
es de la
ou sportive, m
us
s, à to les âg
du
vi
di
in
s
de
é
é et de la
de sant
al de la sant
on
ti
na
t
tu
ti
ns
l’I
ude récente.
vie », affirme
m) dans une ét
er
ns
(I
e
al
ic
pathologies
recherche méd
ente le risque de
gm
au
ité
ar
nt
de
ro lo g iq u es ,
Alors que la sé
re u se s, n eu
cé
n
ca
,
es
ir
la
ca rd io -vas cu
at ives .
FFIT
AUSSURES SU
es et d ég én ér
e rien,
al
m
is
at
E PAIRE DE CH
NN
BO
rh u m
« Cela ne coût
NE
.
U
us
u
to
lie
de
de
r
ée
rt
ge
an
la po
es suffit,
En vacances, ch
Marcher est à
e de chaussur
ir
e
pa
lig
e
ob
t
nn
en
bo
em
catrice
ne
et d’environn
monitrice-édu
ou presque. U
s,
an
la
r
53
,
se
ie
is
ar
la
M
d’été ou
souvent à dé inateur, témoigne Annent nos congés
da
en
P
s.
nt
rd
fa
l’o
s en
montagne
télévision ou
et mère de troi
randonner en
t
ps
en
m
uv
te
so
du
rs
t plus
je pa
ce qui laisse
enfants étaien
le week-end,
s
le
La
s.
nd
té
ua
vi
ti
Q
ac
i.
nous. »
pour d’autres
ec mon mar
menions avec
aussi se av
le
em
el
s
le
muscles,
ut
us
pe
e
no
,
voitur
entretient les
er
, jeunes
et
ug
aj
bo
tr
,
ée
ng
ér
lo
mod
ndant par
reposer d’un
Même à dose
munitaires, re
im
se
es
ns
de
fe
ile
dé
s
ut
in
et le
équentes,
car il devient
renforce les os
oires moins fr
at
s
ir
se
sp
re
e
ir
ns
fa
io
r
logique
fect
presser pou
exemple les in
détente psycho
La
s.
id
po
de
ise
ntraintes
courses.
et limite la pr
lérant aux co
to
ou
s
u
ed
pl
pi
d
à
n
es
e re
Les promenad
qui en résult
.
moyens les
s
ure un
les et sociales
le
el
nt
n
so
on
si
lo
es
à vé
of
régulière proc
pr
ue
e
iq
tr
ys
et
m
ph
se
té
vi
de
cœur est
e acti
plus simples
l’exercice, le
n « Avoir un
de
it
tio
di
fa
pé
on
ex
:
nd
t ua
isseaux.
en mouvemen
mieux-être. Q
vite dans les va nt la
us
de
pl
e
e
tt
ul
lle
rc
ei
ci
cu
ng
nce, améliore
au marché,
sollicité. Le sa
par intermitte
ies, ramas,
ts
ba
mme un
en
de
m
ou
te
ot
rs
fleu
Ces fr
nt sur elles co
se
ts
is
le
ag
ga
,
s
Il
es
ag
s.
re
professeur
sage de coquill
paroi des artè
rançois Arnal,
r
-F
se
an
po
Je
m
e
co
m
ur
su
Toulouse
t », ré
et bois flottés po
médecine de
, médicamen
de
us
é
lt
nd
cu
te
fa
at
in
la
culaires à
logie à
des tableaux
ies cardio-vas
r, de physio
ad
ie
al
nt
m
se
s
le
un
r
r
su
excursion su
et chercheur
eau fort ou
ât
ch
un
.
d’
m
te
visi
l’Inser
romane à
à bénéficier
d’une église
le de continuer
,
ib
es
ss
nc
po
ca
t
va
es
il
n
,
E
ulement en
été actif
proximité…
es. Et pas se
de Après un
nc
e
ir
ca
fa
va
de
s
s
de
its
les escaliers
les occasion
t des bienfa
sport ! Choisir
en
de
qu
ub
an
cl
m
un
e
ns
, remplacer
l’exercice n
s’inscrivant da
iner ou bricoler
rd
ja
,
ur
se
en
lévision par
pas !
plutôt que l’asc
vidéo ou de té
ux
je
de
es
ssi faire de
heur
parc, c’est au
s, quelques
te
un
et
qu
ns
ra
da
n,
e
plage (ballo
une promenad
ein air et de
ue, volley ou
nq
ta
pé
Les jeux de pl
n,
to
l’exercice !
olant, badmin
s de s’activer
en
oy
m
frisbee, cerf-v
s
nt
aussi d’excelle
s grandscricket) sont
us jeunes. Le
pl
x
au
r
si
ai
r, avec
t pl
t de retrouve
tout en faisan
en
em
al
MARTINE DORIAC
ég
nt
écie
temporelles,
in
s
té
vi
parents appr
ti
ac
nfants, ces
ssés par
leurs petits-e
t un peu dépa
en
uv
so
t
en
nt
se
alors qu’ils se
ech.
-t
gh
hi
ts
les joue
15
T
N
E
U
Q
A
T
T
A
S
E
T
C
SE
N
I
S
E
L
,
É
T
É
’
L
T
S
C’E
!
mps,
. La plupart du te rgique ou
es
ct
se
in
d’
s
re
vous êtes alle
ennent les piqû
soyez prudent si
s : avec l’été revi
s
at
ai
ût
M
ao
é.
,
nt
es
sa
qu
la
ti
ereux pour
es, abeilles,
Moustiques, guêp nt plus inconfortables que dang
so
ces désagréments qué par une tique.
pi
si vous avez été
prennent du
, les insectes
on
is
sa
lle
be
plus souvent
uand vient la
açant mais le
ag
st
’e
C
!
te
La grande
poil de la bê
la santé. « ur
po
e
nc
ue
le Dr Jeansans conséq
s climats, note
no
de
e
es
ct
se
s in
oire), c’est qu
chance avec le
-Chamond (L
nt
ai
s.
S
à
se
te
eu
lis
er
ng
néra
entiel, pas da
Noël Bally, gé
nt, pour l’ess
so
s tiques, et
ne
le
s
r
re
pa
qû
e
ansmis
leurs pi
tr
e,
m
Ly
de
un inconfort
adie
Hormis la mal
provoquent plus
s
le
el
,
ie
rg
le
d’al
les problèmes
er. »
ng
s soirs d’été,
da
el
qu’un ré
ment actifs le
re
iè
ul
ic
rt
pa
s,
amment, en
Les moustique qui attaquent le plus cour
s
ctes
stagnantes. Le
sont les inse
et des eaux
es
cs
la
gn
ni
s
bé
de
r
ès
de sang. Pou
particulier pr
ur se nourrir
car très
po
t
es
bl
en
éa
qu
pi
gr
s
sa
femelle
sont dé
s
re
qû
pi
s
ur
s
, le
« Le produits
qu’elles soient
enir que guérir.
év
,
pr
nc
do
ut
ux va
me les sprays
irritantes. Mie
mmerce com
co
r
D
le
le
ns
re
da
su
us
efficaces, as
répulsifs vend
s
èmes sont très
cr
s
le
ifiques pour le
et
s
on
les loti
versions spéc
s
»
de
t. te
en
is
ex
em
Il
al
ly.
en ég
Jean-Noël Bal
otègent très bi
pr
es
ir
ua
iq
st
ou
enfants. Les m
r
S LE SOIR
MENTS LONG
iter de laisse
PORTEZ DES VÊTE ents longs en soirée et év
s
ée
m
lu
al
tem
s sont
Porter des vê
que les lumière
rs
lo
us
es
vo
rt
,
ve
ut
ou
to
es
s. Si, malgré
fenêtres et port
e
iles précaution
ut
d’
appliquer un
nt
te
en
représ
, vous pouvez
ue
aq
tt
l’a
à
s
n’échappez pa
geaison.
sera la déman
parfois le fait
ai
ap
i
qu
e
crèm
oustiques sont
m
x
urs
au
es
ué
ib
tr
n reconnaît le
O
« n.
Des piqûres at
ie
ch
chat ou de
la puce sur la
des puces de
ivre le trajet de
su
ut
passe
pe
n
’o
qu
. La prévention
ly
al
B
piqûres parce
l
oë
-N
e le Dr Jean
és par l’animal
peau », indiqu
droits fréquent
en
s
de
e
ag
oy
tt
alors par le ne
uet, etc.).
piquent
oquette, parq
m
s,
er
ni
pa
s, les taons
,
ce
pu
(tapis
s
le
et
os
oustiques
res de ces gr
Comme les m
main. Les piqû
hu
re
êt
ng
t
sa
en
du
uv
r
ri
es, pe
pour se nour
t douloureus
t
en
en
m
om
re
m
iè
ul
le
ic
e
lai entr
dé
le
:
insectes, part
e nc
la
gi
de
peu de vi
ction permet
évitées avec un
ils passent à l’a
où
i
lu
ce
et
nt
où ils se pose
temps.
à
r
se
as
ch
les
TIQUES :
… suite de l’article
Q
16
UX
S GESTES DO
ÊPES AVEC DE
GU
S
LE
R
es
NE
ELOIG
iques, c’ t
)
ndre
pour se défe
st
ne pas
t aux mou
t. Mieux vaut
en
qu
pi
Contrairemen
s
on
el
. Sachez
eilles et fr
s gestes doux
de
que guêpes, ab
ec
av
er
nt, tout
les éloign
ves les attire
vi
rs
les effrayer et
eu
ul
co
ents aux
et la viande.
que les vêtem
mets sucrés
s
le
s,
mprend
um
rf
amille qui co
(f
comme les pa
s
re
tè
op
ovoquent
d’hymén
, fourmis…) pr
ns
Les piqûres
do
ur
bo
,
ndroit
s guêpes
cale est liée à l’e
lo
n
tio
notamment le
ac
ré
La
upières,
d’effets : « ’il s’agit des pa
S
.
ly
plusieurs types
al
B
r
D
le
précise
us important.
du corps piqué,
lement est pl
nf
go
le
z,
ne
des lèvres, du
L’ARSENAL
ANTI-INSECTES
Pour éviter de vous faire piquer ou pour
soigner une peau attaquée, il est conseillé de
mettre dans la trousse à pharmacie des
vacances ou dans la trousse d’urgence du
sac à dos :
n des sprays ou crèmes antimoustiques
et antiaoûtats
n 1 crème pour apaiser les démangeaisons
n 1 désinfectant du type alcool à 70°
ou Hexomédine®
n 1 antihistaminique et une crème corticoïde
en cas d’allergie
n 1 stylo autopiqueur d’adrénaline en cas
de réaction avérée aux piqûres d’hyménoptères
n 1 tire-tique, de préférence en forme
de mini-pied-de-biche
n 1 pince à épiler pour ôter un dard
n du paracétamol contre la douleur et la fièvre.
)
La réaction toxique est corrélée au
nombre de piqûres ; si l’on a eu plus
de vingt piqûres, il faut absolument se
rendre dans un service d’urgences.
Enfin, pour la réaction allergique, qui
varie d’un individu à un autre, une
seule piqûre suffit. »
Après avoir ôté le dard avec une pince
à épiler, il est important de laver la peau
à l’eau et au savon, de la désinfecter,
puis de passer de la glace ou de l’eau
fraîche sur la piqûre pour atténuer les
symptômes. « En cas d’allergie importante
avec difficulté à respirer ou à avaler, la
langue, les yeux ou les lèvres qui enflent,
il faut consulter immédiatement un
médecin ou joindre le 15 au téléphone,
recommande le Dr Bally. Il faut faire de
même en cas de nausées, vomissements,
sensation d’accélération du rythme
cardiaque, éruption cutanée généralisée.
Par la suite, il est nécessaire d’effectuer
un bilan et d’envisager des mesures
préventives, qui vont de la désensibilisation
au port sur soi d’un stylo autopiqueur
d’adrénaline, le traitement de base du
choc allergique. »
Lors des balades, on doit se méfier
des tiques, qui peuvent provoquer de
fortes fièvres. Pour décrocher convenablement ces insectes qui se gorgent
de sang, il est conseillé d’utiliser un
tire-tique en forme de pied-de-biche,
qu’on fait tourner dans le sens
contraire des aiguilles d’une montre.
Si les piqûres d’aoûtats sont totalement
bénignes, elles provoquent de fortes
démangeaisons. Pour se protéger de
ces deux insectes qui se cachent dans
l’herbe, mieux vaut se couvrir le bas
des jambes.
Enfin, il est indispensable de mettre
les enfants en garde contre les chenilles
processionnaires. Très colorées, elles
les attirent mais leurs poils provoquent
des réactions extrêmement allergisantes.
CORINNE RENOU-NATIVEL
ATTENTION À
LA MALADIE
DE LYME
Après avoir été pi
qué par une tique
,
il est important
de surveiller l’app
ar
ition
éventuelle de sym
ptômes.
La maladie de Ly
me, ou borréliose
,
peut se traduire
à terme par des
at
te
articulaires, neur
intes
ologiques et card
« Il faut repérer
iaques.
surtout la phase
primaire de
cette maladie, ex
plique le Dr Jean
-Noël Bally.
Un érythème – ro
ugeur – migrant
ou une tache
rosée qui s’étend
peuvent surgir au
point
de la piqûre ou
à distance dans
les quinze jours
qui suivent. En
cas de fièvre, de
syndrome
grippal, consulte
z un médecin, qu
i prescrira
des antibiotique
s. En revanche, il
est inutile de
prendre ce type
de traitement en
l’absence de
symptômes. »
17
ÉES
H
C
A
C
S
E
I
D
DES MALA LE DES PLAGES
DANS LE SAngBer sur le sable fin ? Mais la plaguee pes prutécêtauretisoonuisllépee.uvent vous aider
lq
able que de s’allo
sagréments. Que
Quoi de plus agré tions, des mycoses et autres dé
ta
Résultat : des irri
à les éviter.
… suite de l’article
plastique pour
s chaussons en
de
e
eilles
ag
pl
la
r
jours su
t aussi des bout se
en
é
èg
nt
ot
ue
pr
éq
e
fr
m
ut être
qui peuvent
che à voile. Ils
espace qui pe
ues usagées
icrobes plan
ng
m
ri
s
se
le
s
30 ans.
r,
a plage est un
de
O
et
s.
cassées
ique Maryse,
d’estivant
pl
rs
ex
le
,
ie
r
»
ill
e su
m
bl
il
s
le
sa
chure,
ns le
au so
par de
éviter une écor
dissimuler da
se prélasser
i
i
ss
ss
au
.
au
t
au
x
en
pe
eu
uv
t
e
pe
r ils
qui se
à votr
aimen
s plantaires,
Bonne idée, ca
s à s’attaquer
ue
pa
s
rr
si
nt
ve
ia
te
s
yr
si
le
it
P
hé
ur
le
po
nfondu
sable et n’
courant, c’est
porte d’entrée
ir souvent co
us
,
no
pl
et
t
le
el
in
e
ss
po
m
ou
lè
R
un
r
« Le prob
Dr Gérard
anifestent pa
et en garde le
s. Il s’agit m
ue
d’oursin.
oches
e
og
in
ol
at
ép
versicolor », m
e
rm
avec un
plages trop pr
t des de
s
ca
le
de
di
yn
er
on
S
it
ti
év
up
du
d’
t
ér
e
le
ettes
présiden
ports, les boul
anifeste par un
Il est préférab
s
m
de
le
se
i
ou
ou
qu
s
u
e
le
co
os
el
le
ri
st
uvant
aules,
d’une myc
sur le sable po
des zones indu
thorax, les ép
es
le
n.
ué
r
tio
ho
su
ta
n
éc
en
ro
rs
ar
gm
n s’en
trolie
dépi
taches m
de résidus pé
d’irritations. O
es blanches de
et
ch
us
rs
ta
vo
eu
i
en
ug
nt
qu
ro
,
ua
de
entaire
édecin
dos, évol
être à l’origine
de l’huile alim
à
e
nsulter un m
er
âc
co
nn
gr
t
vo
ux
en
sa
ie
m
m
pide
Il vaut
l pour vous
solvant.
débarrasse ra
produit spécia
ni essence ni
ez
traitement
lis
gros
n
ti
’u
’u
N
qu
e.
conseillera un
i
ir
ns
ou sola
au, ai
t pas source de Dr
pe
en
m
la
se
r
eu
te
ur
ec
he
t
et désinf
nts, indique le
« Le sable n’es
s jeunes enfa
le
ur
s, à la
po
interne.
es
m
problè
à Clichy. Mai
re
at
di
pé
,
ol
ym
est plus
Jacques Che
dés, leur peau
nu
Z CORIACE
ils
dé
SE
te
AS
ès
or
tr
s
ON
nt
le
GN
e
so
ils
specter
x entr
UN CHAMPI
plage, comme
ulièrement re
ic
it
s, petites peau
rt
ag
on
pa
ti
s’
ta
ut
Il
ri
to
ir
e.
ut
s,
fa
Fissure
pied d’athlèt
vulnérable. Il
. »
ifestation du
contractée
ène corporelle
re
gi
êt
hy
ut
e
sont la man
pe
nn
i
bo
qu
e
e
un
os
yc
i
m
une
chomycose qu
également d’
comme l’ony
ut
to
crira
S!
e,
bl
sa
DES CANARD
anifeste
médecin pres
dans le
Le
.
es
gl
ELOIGNEZ-VOUS
on
bouche » se m
.
s
nle
ge
ai
ta
e
-m
at
îm
gr
ed
ab
pi
r
« et
te
pieds, la
ent pa
colore
La maladie di
la plante des
r
s un prélèvem
ti
su
rè
an
s
ap
s
on
e
de
ti
ys
up
er
al
ér
s, qui se
mport
une an
par de petites
is des enfant
ment peut co
z
la
te
se
ai
pa
tr
as
le
le
,
on
et
ng
gn
ns
llué par
ampi
s mai
Assez lo
sur le sable po
prévenir ce ch faut soigneu- paume de
r
nt
ou
na
P
aî
tr
« s.
se
en
elle est
, il
biotique
contaminent
Dr Rousselet
ue à un virus,
x
le
D
eu
« lle
ri
s.
ei
sé
ne
ns
ni
co
un
ca
rès
ité. Elle
coriace,
des déjections
les pieds ap
et sans grav
s
es
er
re
ur
ch
at
ss
sé
di
au
pé
se
ch
s
t
s
de
r de
ure le Dr
semen
bien connue
seule », rass
er de conserve
e
it
ut
év
to
t
et
e
en
m
ag
le
… suite page19
savonn
guérit généra
re
qû
pi
e
us
. »
re
es
humid
ès doulou
heymol.
j’ai subi une tr
porte tou- C
je
,
au
l’e
« Depuis que
de
chant au bord
de vive en mar
L
18
Souvent romantiques, les bords de lac ne sont pas plus
sûrs, bien au contraire ! Les eaux douces sont parfois
contaminées par des eaux usées mal traitées et des
déjections animales : chiens, mais aussi bétail. Vous
pouvez aussi contracter la dermatite des nageurs, une
affection bénigne de la peau qui se manifeste par des
démangeaisons provoquées par des parasites ou puces
du canard. Eloignez-vous donc de ces charmants volatiles et, en nageant, n’avalez pas d’eau et rincez-vous
bien après le bain.
(
EZ
P
I
C
I
T
R
A
P PRETÉ
À LA PRLOAGES !
DES P
Enfin, en prenant certaines précautions simples, vous
réduirez les risques sanitaires si le sable n’est pas très
propre. Même s’il est très doux, évitez de vous allonger
directement dessus : utilisez une serviette de bain,
posée sur une rabane ou un matelas. Prenez-en soin.
« Dès que je rentre de la plage avec les enfants, je lave
les serviettes et les maillots et je les étends au soleil »,
témoigne Maryse.
simples, il
consignes
s
e
in
a
rt
e
c
tenir la
nt
En respecta de contribuer à main éventuels
ile
réduire les
est très fac
plage et de
le.
la
e
d
té
un sable sa
propre
à
s
é
li
s
e
ir
nita
risques sa
sur le sable
vos déchets entaires…) et
s
a
p
z
te
je
n Ne
es alim
égots, rest
sez les
(papiers, m pas non plus. Utili
n.
z
e
rr
e dispositio
ne les ente oubelles mises à votr
up
ets
corbeilles o te présence de déch
u
to
e secours
z
d
le
e
a
st
n
o
n Sig
au p
s)
e
u
g
n
ri
se
(
dangereux
sition
irie.
a
m
votre dispo
la
à
is
ou à
m
s
e
ir
z les sanita et douchez-vous
n Utilise
des plages
sur le bord
ent.
s animaux
régulièrem
estivale, le terdits sur
n
o
is
sa
la
ant
n Pend
lement in
sont généra e les salir et de
s
e
u
iq
st
e
dom
ent d
ar ils risqu . Laissez les vôtres
c
s,
e
g
la
p
les
nade
au de baig
souiller l’e
n.
à la maiso
NADINE ALLAIN
Mutuelles UMC
35-37, rue Saint-Sabin
75011 Paris
Tél. : 01 49 29 49 29
www.mutuelles-umc.fr
(
Revue trimestrielle
Abonnement annuel : 3,05 €
Directeur de la publication
Jean-Claude Frey
Directeur de la rédaction
Olivier Drouard
Rédacteur en chef
Marie-Lys Moulin
[email protected]
ISSN 1240-0904
Commission paritaire
3724 D 73
(RCS B 344 734 793)
Réalisation EderyCréa.
Crédits photos
N. Merguy / FNMF
Couverture : © Monkey Business
Page 15 : © Anna
Page 16 : © Skydiverss
Tirage
105 000 exemplaires
Union soumise
aux dispositions
du livre II du Code
de la mutualité
RNM 784 491 995
CPPAP : 0410 M 07274
19