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her(e) adhérent(e), le mois de juin est traditionnellement un mois fertile en événements mutualistes, témoins de la vitalité d’un mouvement vivant, moderne, actif, militant : c’est le mois des assemblées générales, vecteurs d’une démocratie active, et porteuses de bilans et de projets. C’est le mois où l’Union tient effectivement son Assemblée générale. Les délégués ont pu prendre connaissance de la montée en charge du projet de développement de l’UMC au profit de ses mutuelles et apprécier les efforts accomplis dans la réorganisation des services pour une meilleure qualité de réponse aux adhérents, dans l’élaboration et la promotion d’une nouvelle gamme de garanties plus performante et voulant répondre aux nouveaux besoins de la population. Une assemblée porteuse de bilans marqués par une année de crise et de dangers : manque de compétitivité de l’économie, dégradation des comptes publics et sociaux avec en corollaire de nouvelles charges affectées aux mutuelles et à leurs adhérents. Porteuse également de projets, car le mouvement mutualiste ne peut se satisfaire d’une situation où le financement de la protection sociale et de la solidarité nationale repose, pour l’essentiel, sur les seules cotisations sociales des salariés. Cette année, c’est aussi le mois du congrès triennal de la Mutualité Française. Un congrès où a été réaffirmé avec force le rôle primordial de la Mutualité dans l’organisation et le fonctionnement de notre système de protection sociale, son rôle essentiel dans la couverture du pays en réalisations sanitaires et sociales. Un congrès où ont été lancés, après une période de rodage en Bretagne et Languedoc Roussillon, les services « Priorité Santé Mutualiste » dont je vous invite à découvrir les objectifs , les services proposés, la qualité. C’est enfin le mois où l’on commence traditionnellement à penser « vacances ». Mais combien pourront réellement concrétiser leurs vacances cet été ? Cette année, peut-être plus que les autres, pensons à ceux qui resteront chez eux, parfois en souffrance, souvent en isolement. Soyons solidaires en toutes circonstances. C’est aussi cela l’esprit mutualiste ! C Juin ; mois témoin de la vitalité mutualiste D JEAN-CLAUDE FREY NCE A V A C M U ’ L , EN 2009 IT ! O V E S A Ç T E suffire, dans ne devait pas la ce si t E O, z choisir pour présenté KIDE ois, vous pourre s m on es av qu us el vo qu EO, aux e, r, nous crédit » SOLV Zentao Attitud « n avril dernie e ck m m pa ga e tr la no négociées pas ntie de qui ne vivent avantageuses première gara s nt ns fa io it en nd s le co le éger re financier, destinée à prot s parents dans notre partenai de de n l’u ès pr de au ile t, vous ne au domic que prévoyan au quotidien ns oi m à , er votre ration. les particuliers décidiez de vous constitu ur po cas d’une sépa e éé cr e, ivant au ent ntao Attitud ranties égalem rve en souscr ga se ré es La gamme Ze tr re au op d’ r pr pa complète » PREVEO. s’enrichit et se ck « épargne pa e ut to . es en r cident pose très innovant t à l’abri d’un ac us pouvez com es vo n’ le e, us nd ud no it e po tt tr A es toutes d’en corr Avec Zentao longue durée, ire santé qui Parce qu’aucun de ta e en ag ém ôm pl ch m ou tions cès liberté la co uité des cotisa de parcours, dé at gr de s. e in s un t ie so nt en be ra oi mieux à vos ne des 3 ga garanties prév opter pour l’u ajoutez nos la vie. is ez de pu uv nt po o, de m ci ti us ac Vo en cas d’ o, et Taop lt oa us Ta Vo . , t) po en mpenser ient(n base, Taotem qui vous conv al de vous réco é rm e nt tr no sa ) et no (s ile ur ck ut t ’il es ter po astucieux le (ou les) pa Enfin, parce qu ssibilité d’op is en place un m po s nc la on do t av , en us re ai no s de la ité, modul avez égalem pour votre fidél é des pratique ir oprimo (non sp Ta re in , tu lle ts er ie in uv nt po co se mpte garantie es ck), pour une système de co d’ajouter un pa ile. ob m ie sans possibilité téléphon d’une minimale. EO bénéficient L U IB TR et O MPE novante Les packs TE lièrement in u TTITUDE A ic s O rt ne TA pa on EN rs Z ce pe » n x ista teurs de iné au LES « PACKS garantie Ass principaux ac TALEO est dest s VI e ir » de e fa n tr nt l’u -ê te en de ai bi ès n Le pack « sirs, qui souh négociée aupr e de soins plai sé France. en . e té nc ni à la recherch ta personnali l’assis té et séré au ou be ie ec ap av tion et devis ér é th ta go en er m e, cu pi rimer sant o héra ns, d ques apie, luminot Informatio sont que quel Thalassothér ne ue iq ét th . gie es sur simple demande au : dans ce pack encore chirur l local) tions incluses va n appe no in s de rix d’u p ( exemples 5 des 50 25 810 2 nd aux besoins po 0 ré O LE U IB ns « famille »TR e des prestatio n Le pack ntes. Il propos ea s : ig ue ex iq us at pl m s lé elles prob familles le uv no x au es de à la adapté ic allergène, ai spécialement st no ag di e, nforcé orthodontie re c… et n, io procréat i, été a, quant à lu O E P M TE » s plus « senior n Le pack lématiques de ob pr x au re pond jusqu’à crire ce pack conçu pour ré us so de té ili sition de possib âgés avec la e aide à l’acqui un i ns ai s on opos thèses, ts en audiopro 75 ans. Nous pr or nf re s de , és uvant icalis spécifique po matériels méd ce an st si as e micile. ent un mais égalem assistance à do lé té e un de man inclure à la de santé de dépenses de re iè at m en s erve + » exigeant n Les plus le pack « rés ec av r eu nh bo u ti li se r trouveront leur e d ’a rg e n t à rv se ré le b ri ta ements à des dépass S O U R C E O , vé ce fa e ir fa ur t po e n ta ire indifféremmen o p ti q u e o u d se n e p é d e n u pareillages d ’h o n o ra ire s, cquisition d’ap l’a à re co en e ou supplémentair eux. ût co x médicau n E 3 : S R U O C E S S R E I M PRE E L I V I C N O I T C E T LA PRO C E V A E I L L A ’ S C L’UM ante nts de la vie cour de personnes de ci ac d’ e br m peu le no , et autres. Trop les premiers millions par an es nq qu ci ti à es m ue al do év e, ut On dans accidents de la ro se joue souvent dans l’Hexagone, es qui sauvent. Pourtant, tout gest connaissent les s secours. ême l’arrivée de m t an av , ts an st in 4 r ident fondateu la FNPC, Prés National de eil , Président de Louis LarengFrance et membre du Consésident de l’UMC. du SAMU de et Jean-Claude Frey, Pr Sécurité Civile ateur isé par le form e suivi al L ré t , n es io ts at an tu icip n est e si suivi des part Une attestatio sible à cett n . Le se on ti t rs ua en ie al m év em d’ re articulièr ion aux p ide de fiches cé la format es de à l’a ir ta participant. ri à la fin io pr l’UMC a pla s mise à chaque ement donné re s objectif al se ég t t i es es rm s’ re pa le oi ém ques et nté, el secours ifiques, techni n livret aide-m ser cette volo U nt ti ie ré sc n s nc io rt co ct pe r te ex ou Pro es dations prévention. P la formation. D tionale de la aux recomman de t na en n io ém de at m in ér or af nf éd , gé ce t, co ique alliée à la F dagogiques on courisme, rédi d’utilité publ pé se ue du rs nn al ie co on re ti em ), veteur ire na aux pr civile (FNPC ation SST (Sau de l’Observato rm de formation fo s la pe ty de i lu ux nne et e ce proposer de à toute citoye manuel, comm ile rises : ut ep ra tr se en Il s le l). Travai secours dans Secouriste du sa vie. VEAU 1 NI ut au long de DE to n ES ye QU to VI ci CI ut RS to OU EC S émentaire atique. Elle N PREMIERS LA FORMATIO deux ans. ntiellement pr rmation compl se Fo es t t es es pe n ou andé tous les io gr at m n m rm U co fo e. re , te âg et d’ ge C ition se Recycla us, sans cond s et la séance ne on s’adresse à to rs pe 10 L (SST) lement de TE DU TRAVAI urnées. jo UR SECOURIS constitué idéa ux TE de VE r AU S su , éférence nel des répartit, de pr tout le person Pour qui ? temps : à ux à e de ss es ir re en ia e ad is ag s’ ion membres aux st Elle se réal Cette format s ainsi qu’aux ée iteur apprend iv ur le pr ou is s pu ue er temps : le mon bliq 1 de détresse, entreprises pu les situations e tr ns un aî da nn T C co S re des CH propriés. ap xes eu st er ge is s nique és à réal enseigne le domaine tech t. ats sont amen en m te ec e temps : les candid 2 s intégrer corr à risque. stes, afin de le s face à ou at id und ca s le mêmes les ge ent n sauveteur seco concrets plac t analyser U t en es iv l do ai s av ’il tr qu Puis, des cas riste du mulées si ns io at tu si du différentes la victime. n m e m b re er secours à pable de : u ca e t bl es t pa ca an l ip ic avant de port ne part person e formation, le tt ce s de ur co ue se ss s l’i er er A les ti de port les victimes et nt n protéger e nc ge en cas d’accide ur d’ e la victim de les secours n n so io at n alerter de tu si in au se on de la attendant l’attente de er l’aggravati en ns e u da , iq n empêch se ys ri entrep grité ph té in n écialisés. so r ve ibilisé aux des secours sp et préser ée iv rr l’a travail est sens s. : ur du es co ul te se is od s m ur de 8 co se en prévention l’arrivée Le sauveteur sont abordées rtant dans la nt po de im ci ac le d’ rô ns un tion Les situatio risques et joue n la protec un membre des accidents. n l’alerte ement à avoir rt fo te ci in l e ff ai e s’étou Code du trav rs secours. n la victim damment Le é aux premie on rm ab fo l ne sauveteurs ig ne sa on e rs n la victim du pe de plusieurs er te os sp en ci di ns de co le s lieux où les e est in n la victim Il est préférab rtout dans le su s l, pa ai e av ir tr sp us graves. e ne re n la victim secouristes du élevés et les pl us se pl ai s al le m nt un so d’ s nt avail entre e se plaint n la victim risques d’accide couriste du tr un se s r rè eu ap et nt uv ai lle et dans e se pl ation sa n la victim n professionne e, La form io at ur ûl rm br fo , ie la la de (p (DIF). dans le cadre traumatisme à la formation s articulations, el de du et vi os di s in de it te le Dro attein e te du travail Le programm etc.). eteur secouris uv sa du le rô protéger ion du n Explicat rsistants pour pe s ue sq ri s her le n Recherc er à prévenir ég ot pr n De erter ime et faire al ct vi la er in m n Exa er 1) eau 1 (PSC alerter à inform igne abondamment ique de niv n De faire cours civ se n i tio qu sa Préven r une victime n Secouri qui s’étouffe r une victime n Secouri P Sauveteur seco uriste au m graphic.co www.icone Secourir une victime qui répond, se plaint de sensations pénibles et/ou présente des signes anormaux n Secourir une victime qui se plaint de brûlures n Secourir une victime qui répond, se plaint d’une douleur empêchant certains mouvements n Secourir une victime qui se plaint d’une plaie qui ne saigne pas abondamment n Secourir une victime qui ne répond pas, mais respire n Secourir une victime qui ne répond pas, ne respire pas n Etudier les risques spécifiques à l’entreprise ou à la profession : module optionnel de 2 heures à la demande du chef d’entreprise ou du médecin du travail. La formation initiale dure 12 heures (+ 2 heures s’il y a des risques spécifiques à l’entreprise). La formation continue annuelle est obligatoire et dure 4 heures. Les groupes se composent de préférence d’un maximum de 10 personnes. Formation complémentaire Recyclage obligatoire au bout de la première année, puis recommandé tous les deux ans. n travail (SST) www.protection-civile.org [email protected] Les Opticiens Mutualistes Paris sud 43, Grande Rue, Juvisy-sur-Orge (91) Tél. : 01 69 21 13 30 Du mardi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h Paris Bastille 68, Bd Beaumarchais, Tél. : 01 43 55 63 73 Le lundi de 13 h à 18 h 30 et du mardi au samedi de 9 h 30 à 19 h Juillet et Août : du mardi au samedi de 10 h à 18 h 30 tous les lundis de juillet ainsi que les lundis 24 et 31 août, de 13 h à 18h AUDITION MUTUALISTE Des spécialistes s’engagent pour vous ! Du test auditif gratuit au suivi pendant toute la durée de votre appareillage, en passant par la délivrance et le contrôle, notre volonté est de vous garantir une solution auditive optimale sur le plan du confort d’écoute et de la discrétion mais aussi de vous garantir la transparence sur le prix de l’appareil et sur le prix de la prestation. n Dès l’accueil, nous prenons le temps nécessaire pour comprendre votre situation et répondre à toutes vos questions. n Nous prenons le temps de vous aider à comparer les différentes solutions auditives. n Nous prenons le temps de vous expliquer point par point toutes les étapes de votre appareillage. n Nous vous proposons des produits de haute qualité à des prix maîtrisés. n Nous vous remettons un devis, clair et expliqué, des prix détaillés pour chaque proposition de réponse à vos besoins. n Nous avons des accords avec les mutuelles pour réduire les avances de frais. n Vous pouvez essayer les aides auditives chez vous avant toute décision d’achat. n L’efficacité de vos aides auditives est régulièrement vérifiée. n Votre médecin est systématiquement informé des résultats des tests et du choix de votre appareil. Les centres Audition Mutualiste Paris Bastille 68, Bd Beaumarchais - 75011 Paris Tél. : 01 40 21 77 53 M° Chemin vert ou Bastille Le samedi, uniquement sur rendez-vous Paris sud 17, av. du Pont Royal - 94230 Cachan Tél. : 01 45 46 09 29 RER B Bagneux (Pont Royal) Du mardi au vendredi uniquement sur rendez-vous OPTICIENS MUTUALISTES Les yeux, c’est précieux ! Alors pour en prendre soin au quotidien voici les gestes « bien-être » et ceux à proscrire. LES GESTES À FAIRE : n Faites surveiller régulièrement votre vue par votre ophtalmologiste. Certaines atteintes de l’œil ne provoquent aucun trouble au début, mais il est important de les dépister tôt. n Quand le soleil est au rendez-vous, protégez vos yeux des rayons UV avec des lunettes de soleil filtrantes et un chapeau à large bord. n Retirez les lentilles de contact en cas d’irritation. n Respectez le traitement prescrit et les durées de conservation des collyres après ouverture. Une présentation uni dose permet d’éviter tout risque de contamination du flacon par des microbes et protège donc les yeux contre une éventuelle infection. n Mangez bien. En effet le contenu de notre assiette a une influence directe sur la santé des yeux. Une alimentation saine (légumes verts, poisson, fruits....) aide à conserver de bons yeux. LES GESTES À ÉVITER : n Lire avec un éclairage insuffisant. n Se frotter les yeux, surtout avec les mains sales. n Manipuler des produits chimiques n Utiliser l’eau du robinet pour rincer ses lentilles. n Se baigner en piscine avec ses lentilles. sans lunettes protectrices. n Regarder directement le soleil. Faites régulièrement contrôler votre vue et celle de vos enfants : pour vos lunettes, les Opticiens Mutualistes vous guident et vous aident à trouver la solution la mieux adaptée à votre cas. 5 is en e mes soins pr qu e pt m co s rend tations. uis peu, je me relevé de pres ep D on m r à su lé té nt formation à la yant apparaisse campagne d'in main tiers pa la hu r pa us e ir ? sé av er avril, votre mutuelle li bi Sensi papillom 'est nouveau 1 le C le re s nt ui de co ep l D co in u. cc ea du s aux propos du va ains cancers effet, c'est nouv ins remboursé rt n so E ce s de is de e da e bl bl an sa eux à dem l'ensem (HPV), respon iez été nombr z élevé, je me it apparaître av se fa as us t Vo an é. ét nt ix pr dans la de sa l’utérus, et le tre tout à fait ofessionnels a mutuelle ? en pr i m r qu Le n pa . io ie sé at ac ur m e plus inform s'il était rembo boursé au titre de la phar uelle pour un clamer cette ut ré m e la tr vo s, r se m plus re e pa s do Le vaccin est cessitant troi et une attitude ise litique engagé , né po es n io ns ue at pe aq in dé cc ch s tr va visibilité de donc à 65 % protocole de meilleure maî 35 %. grande remboursera et donc une e de us al r ci to eu so ut de é e ha it bl Sécur étera à r responsa utuelle compl santé. est de pratique ux ie m dose, votre m le s dépenses de s, de ai fr s ne de er e nc nc va on co ade ou si Pour éviter l'a i cette questi je tombe mal S i . S al é. la gr ét et té t le in ce ta nt sée ? ter la carte Vi rs en Espagne le tiers paya rai-je rembour uelles Je pa suffit de présen se sq , us le ée vo r is t, et pour il , su al le it é fil it sp votre est dès à présen je suis ho s de valid ux ur ie co m le en , xe te centre réfle carte mutualis clamer à votre us avez le bon ré Vo de , le es r nc pa . ca r le vos va e maladie. i régulie figure votre fil ne pas gâcher enne d'assuranc pas d'un suiv pé ro ls se te eu en s e rt sp en ca di prévoit. exam ale, la Ce vaccin ne tre garantie le cologue ni les de Sécurité soci vo né si gy a le er ou ét pl nt m nsulter médecin traita tre mutuelle co es pays, je vous invite à co e. Vo ir ra nt co au tr en s au que frottis, bi Concernant le eli.fr m .a w w le site w ÊTRE LÀ QUELQUES QUAND IL FAUT… ILLUSTRATIONS DES SOUTIENS ACCORDÉS ... L’équipe de l’Action Sociale Souffrant d’une maladie invalidante, Madame X devait financer un monte escalier. Sans cet équipement, il lui devenait difficile de rester à son domicile. Le coût de ce projet s’élevait à 4 223 €. Une aide de 1 000 € lui a été allouée qui, ajoutée aux financements accordés par d’autres organismes, a permis à Madame X de concrétiser ce projet. n Parce qu’un jour l’imprévu survient et fragilise l’harmonie familiale, parce qu’un jour le chômage, le handicap, une forte dépense de santé déstabilisent le budget ou obligent à repenser le quotidien… F ondée sur des principes forts de solidarité et d’entraide, les Mutuelles UMC se mobilisent pour vous aider à surmonter les difficultés que la vie réserve quelquefois. En effet, nous avons développé une action spécialement pour ceux d’entre vous qui peuvent rencontrer d’importantes difficultés pour faire face à des dépenses médicales ou liées au handicap. COMMENT CELA SE PASSE-T-IL ? Les demandes d’intervention sont examinées en toute confidentialité et au cas par cas, par une Commission d’Action sociale. Celle-ci décide de l’attribution d’une aide financière exceptionnelle sur la base de critères qui incluent les ressources et l’évaluation globale de la situation. Cette aide peut s’inscrire dans le cadre d’un plan de financement qui permet à plusieurs organismes sociaux d’intervenir (Assurance maladie, caisse de retraite complémentaire, centre d’action sociale…), réduisant ainsi au minimum les frais restant à votre charge. Les Mutuelles UMC savent être là quand il faut … Pour vous écouter, vous conseiller, pour vous indiquer si vous pouvez solliciter l’aide de votre mutuelle et comment le faire, toute l’équipe de l’Action Sociale est à votre disposition au 01 49 29 56 47 ou au 01 49 29 49 35. 204 c’est le nombre de structures d’hospitalisation à domicile en France Source : Essentiel Santé Magazine, juin 2009 Madame Y envisageait de faire réaliser des prothèses dentaires. La somme de 830 € restait à sa charge (après les remboursements de la Sécurité sociale et de sa mutuelle). Une allocation de 731 € a pu lui être attribuée. n Monsieur Z n’entendait plus suffisamment bien. Sa vie sociale en souffrait, il sortait de moins en moins et donc s’isolait. Pour mieux vivre, il devait mieux entendre. Pour cela, il a été accompagné dans sa démarche de soins et a bénéficié d’une aide pour s’appareiller. Un tiers des frais restant à sa charge a été ainsi financé. n ( 6 ? ! ( S N O I T S E U Q S VO S E S N O P É R S NO ÇA S’EST PASSÉ DANS VOTRE RÉGIO N ALSACE : la M utualité frança ise Alsace a espace de sa ouvert un nté, 257 rout e de Lyon à centre de sa Illkirch : un nté dentaire, un centre de auditive Audit correction ion Mutualiste , un magasin Les Opticiens d’optique Mutualistes. Infos : Charlot te Escande 03 88 55 91 02 HÉRAULT : la M utualité frança ise Hérault a établissemen ouvert un t d’hébergem ent pour pers dépendantes onnes âgées de 62 lits et 3 places d’ac Marsillagues, cueil jour, à la résidence La Roselière. Infos : Nicole Tézier 04 67 22 85 72 INDRE-ET-LOIRE : la Mutualité française Indr a créé trois ce e-et-Loire ntres d’accuei l de jour pour atteintes de la personnes maladie d’Alz heimer. Infos : à Balla n-Miré 02 47 53 66 16, à Chambray-l ès-Tours 02 47 25 91 16, à Tours-nord 02 47 51 34 72 7 # MODIFICATIONS STATUTAIRES UMC : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 9 JUIN PANOTECHNIQUE : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 23 JUIN ’ MUTATIS ’ n : SUITE À L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 25 JUIN ANCIENNE RÉDACTION NOUVELLE RÉDACTION MUTUELLES CONCERNÉES I : FORMATION, OBJET ET COMPOSITION DE L’UNION CHAPITRE 1ER : FORMATION, OBJET ET COMPOSITION DE L’UNION TITRE : E T S I L A U T U M É T N A S É T I PRIOR 35 adhérents et de leurs proches : PriolisritésemSaenntté 9 3 E L Z E L E APP t un nouveau service à destinationosdeitifleurvosus accompagne pour choiégsiralunemétenabt des programmes Article 3 : Objet de l’union Les activités exercées relèvent du Livre II du Code de la mutualité, branches 1, 2 et 20 et visent à : 1. réaliser les opérations d'assurance suivantes : a) couvrir les risques de dommages corporels liés à des accidents ou à la maladie (branches 1 - 2) ; b) contracter des engagements dont l'exécution dépend de la durée de la vie humaine (branche 20) Elle peut accepter les engagements mentionnés ci-dessus en réassurance. 2. à titre accessoire, elle peut : n assurer la prévention des risques de dommages corporels liés à des accidents ou à la maladie ainsi que la protection de l'enfance, de la famille, des personnes âgées, dépendantes ou handicapées n mettre en œuvre une action sociale. Ajout disp ose ncen Les mutuelles la one au 39 35, ce iorité Santé Mutualiste prop ph lé té r pa le ib cess r la santé. Pr Mutualiste. Ac s informations su le maintien de l’autonomie. de r ni te ob ou s de soin trition et les r le tabac, la nu aussi obtenir personnalisés su vous pourrez 8 TRAITANT TRE MÉDECIN EN LIEN AVEC VO ique de Priorité LES PARTENAIRES DE LA MUTUALITÉ FRANÇAISE UMC L’union propose à ses mutuelles adhérentes relevant des sections 1 à 5 de faire bénéficier leurs membres participants (et leurs ayants droit) des garanties directement assurées par elle et ce, dans les conditions définies dans les règlements mutualistes correspondants. Elle leur apporte, par ailleurs, dans le cadre de son action de promotion mutualiste, les conditions de développement nécessaires à leur croissance harmonieuse. Elle peut recourir à des intermédiaires d’assurance ou de réassurance. Elle peut déléguer, de manière totale ou partielle, la gestion d’un contrat collectif. 9 Les activités accessoires sont accessibles uniquement aux membres participants et à leurs ayants droit et les prestations déclinées dans ce cadre découlent directement du contrat qu'ils ont souscrit. Elle peut également, à la demande d'autres mutuelles ou unions, se substituer à ces organismes dans les conditions prévues au Livre II du Code de la mutualité pour la délivrance de ces engagements. Elle met à la disposition des bénéficiaires des mutuelles adhérentes : n une garantie d'Assistance à la Famille, appelée U.M.C. Services. Cette garantie est souscrite auprès d'Inter mutuelles Assistance (IMA). n une garantie de protection juridique "Recours Médical" dite UMC-JURIS, souscrite auprès de Protection Mutualiste Assurance S.A. (PMA-SA), société du Groupe MATMUT. n un fonds de solidarité Elle peut adhérer à une union de groupe mutualiste visée à l'article L.111-4-1 du code de la mutualité. Ajout Dans les conditions définies dans les règlements mutualistes et le respect des dispositions du Code de la mutualité, elle met à la disposition des membres participants (et leurs ayants droit) des mutuelles adhérentes : n des garanties d'Assistance, n des garanties de protection juridique, n ainsi que d’autres garanties d’assurance. Ces garanties sont souscrites auprès d’organismes dûment habilités. n et un fonds de solidarité. Elle peut adhérer à une union mutualiste de groupe visée à l'article L.111-4-2 du Code de la mutualité. Plus généralement, elle mène toute activité compatible avec la législation en vigueur. L’union est également inscrite sur la liste des organismes participant au dispositif de protection complémentaire en matière de santé instauré par la Loi 99-641 du 27 juillet 1999 portant création de la couverture maladie universelle. Articles 4, 5, 10, 21, 24, 62, 66 et 67 Articles 4, 5, 10, 21, 24, 62, 66 et 67 « Le » ou « un » règlement mutualiste « du » ou « au » règlement mutualiste « Les » ou « des » règlements mutualistes « des » ou « aux» règlements mutualistes TITRE UMC II : ADMINISTRATION DE L’UNION 1ER : ASSEMBLÉE GÉNÉRALE CHAPITRE Section 2 : Réunion de l’Assemblée Générale Pour élaborer le programme Priorité Santé Mutualiste, la Mutualité française a engagé de nombreux partenariats avec des associations ou de grandes institutions : n l’Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (Anpaa) n la Croix-rouge française n l’École européenne de chirurgie n la Fédération française de cardiologie (FFC) n la Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer (FNCLCC) n la Fédération nationale des comités féminins pour le dépistage des cancers n la Fondation Médéric Alzheimer n l’Institut national du cancer (Inca) n l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) n la Ligue nationale contre le cancer (LNCC) n l’Office français de prévention du tabagisme (OFT). « te Santé Mutualis un , on in ph so lé té be e de La plateform icaux. En cas r des paraméd pondre aux pa ré ée de im in an af t t, es en és pr t ations égalemen utes les inform To médecin est . es ex pl m icaux, plus co s experts méd de questions les r pa s ée lid grandes t été va ations et des transmises on ci so as s de t avec en partenaria ualiste . orité Santé Mut ri institutions P : us vo ur de soins eauté po ablissement ét Principale nouv un r ve ou r à tr exemple, le cancer par e peut vous aide m m co ne ai fférente un dom est parfois di adapté. Dans ge ar ch en e ualiste la pris orité Santé Mut ri la qualité de P . né ig so t itères où l’on es ndent à des cr po selon l’endroit ré i qu es ur Haute s struct ment par la a référencé le am ot n s xé fi écis, du cancer titut national de qualité pr ns l’I ou ) S A nté (H Autorité de sa (Inca). PHILIPPE RÉMOND Elle peut présenter, proposer ou aider à conclure des contrats d’assurance ou de réassurance dont le risque est porté par un organisme habilité à pratiquer ce type d’opération. Ajout Cahier spécial détachable O malades Au 39 35, sociations de as d’ s ée nn do coor rencontres et lieux des s te da s le ou mutuelles sées par les ni ga or é nt sa us les cas, vous. Dans to ez ch de ès pr peut être in traitant ec éd m e tr vo auprès de tre démarche vo de é rm fo in vous le utualiste… si M é nt Sa ité Prior peler ! ésitez pas à ap souhaitez. N’h « t performant établissemen ù trouver un cancer ? soigner d’un pour se faire e ? Vers ter la cigarett Comment arrê ur aider un se tourner po e ur ct ru st le quel tions, vous t ? Ces ques an nd pe dé nt pare r à Priorité ais les pose rm so dé ez pouv programme , un nouveau te lis it ua ut M é Sant çaise, dont fa Mutualité fran la r pa é or élab partie l’UMC. d’hui quatre couvre aujour te lis ua ut M é aladies cardio Priorité Sant cancer, les m ) le is : ab é nt nn sa ca , alcool et ac domaines de ab (t ns io s s addict ersonnes âgée vasculaires, le l’autonomie (p de n ie nt ai m ainsi que le ). n de handicap ou en situatio rix e au 39 35 (p par téléphon le à ib es ss ur ce he ac 9 t redi de nd ve Ce service es au i nd listes cal), du lu hérents mutua ad d’un appel lo x au é rv devez est rése néficier, vous bé 19 heures. Il en r ou P s. s proche UMC (7829). Le ainsi qu’à leur de de l’Union co le r t donc lle ei ns anonymat es e fournir au co tr vo : if at s nomin code n’est pa respecté. Article 3 : Objet de l’union L'union a pour objet, dans le respect de l'autonomie statutaire des mutuelles adhérentes, de faire œuvre de coordination, d'action et de promotion mutualistes en créant des services destinés : n d'une part, à faciliter et améliorer la gestion des mutuelles adhérentes, n d'autre part, à compléter et à prolonger leur rôle respectif par la mise en application d'une politique concertée commune. Article 21 : Compétences de l’Assemblée Générale I. L'Assemblée Générale ne délibère valablement que sur les questions inscrites à l'ordre du jour. L'Assemblée Générale procède à l'élection des membres du Conseil d'administration. I. L'Assemblée Générale ne délibère valablement que sur les questions inscrites à l'ordre du jour. L'Assemblée Générale procède à l'élection des membres du Conseil d'administration. II. L'Assemblée Générale est appelée à se prononcer sur : 1. les statuts et leurs modifications. 2. les activités exercées. 3. l'existence et le montant des droits d'adhésion. 4. le montant du fonds d'établissement. 5. les montants ou les taux de cotisations, les prestations offertes ainsi que le contenu du règlement mutualiste défini par l'article L.114-1, 5e alinéa du Code de la mutualité. 6. l'adhésion à une union ou à une fédération, la conclusion d'une convention de substitution, le retrait d'une union ou d'une fédération, la fusion avec une autre union, la scission ou la dissolution de l'union, ainsi que la création d'une autre union. 7. les règles générales auxquelles doivent obéir les opérations de cession en réassurance. 8. l'émission des titres participatifs, de titres subordonnés et d'obligations dans les conditions fixées aux articles L.114-44 et L.114-45 du Code de la mutualité. 9. le transfert de tout ou partie du portefeuille de garanties, que l'union soit cédante ou cessionnaire. 10. le rapport de gestion et les comptes annuels présentés par le Conseil d'administration et les documents, états et tableaux qui s'y rattachent. 11. les comptes combinés ou consolidés de l'exercice ainsi que sur le rapport de gestion du groupe. 12. le rapport spécial du commissaire aux comptes sur les conventions réglementées, mentionnées à l'article L114-34 du Code de la mutualité. 13. le rapport du Conseil d'administration relatif aux transferts financiers opérés entre les mutuelles ou unions régies par les livres II et III du Code de la mutualité auquel est joint le rapport du commissaire aux comptes prévu à l'article L.114-39 du même Code. 14. le rapport des opérations d’intermédiation. 15. le plan prévisionnel de financement prévu à l'article L.310-4 du Code de la mutualité. 16. toute question relevant de sa compétence en application des dispositions législatives et réglementaires en vigueur. Article 21 : Compétences de l’Assemblée Générale UMC 5. les montants ou les taux de cotisations, les prestations offertes ainsi que le contenu des règlements mutualistes définis par l'article L.114-1, 5e alinéa du Code de la mutualité 14. le rapport du Conseil d’administration relatif aux opérations d’intermédiation et de délégation de gestion, selon les principes de délégation de gestion par elle définis, visées aux articles L.116-1 à L.116-3 du Code de la mutualité. Le reste de l’article est inchangé MODIFICATIONS RÈGLEMENTS MUTUALISTES UMC : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 9 JUIN PANOTECHNIQUE : SUITE À L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 23 JUIN ’ : SUITE À L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 25 JUIN ANCIENNE RÉDACTION ’ n MUTATIS TITRE Article 5. : Répartition des bénéficiaires 10 NOUVELLE RÉDACTION Article 5. : Répartition des bénéficiaires Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes : n Catégories individuelles n Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes : n Catégories individuelles n Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives CATÉGORIES INDIVIDUELLES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie. Catégorie 12 dite Ciel : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 36 : quittant un groupe de la catégorie 16 concerné par la disposition de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. Catégorie 38 : quittant un groupe de la catégorie 18 concerné par la disposition de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. Catégorie 83 dite Nacre : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2005. Catégorie 84 dite Opaline : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2005. Catégorie 93 : salariés d’un cabinet d’avocats allocataires de la CREPA quittant un groupe de la catégorie 92. Catégorie 94 : retraités allocataires de la Caisse de retraite du personnel des avocats et avoués près de la Cour d’appel (CREPA). Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle. Catégorie 137 : bénéficiaires de la (ajout) Couverture Maladie Universelle, souhaitant un complément à la catégorie. Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie 133, 134, 135 ou 136. Catégorie 360 : quittant un groupe de la catégorie 160 concerné par les dispositions de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. Catégorie 370 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 371 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 372 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 373 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 374 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 380 : quittant un groupe de la catégorie 180 concerné par les dispositions de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. CATÉGORIES INDIVIDUELLES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie. Catégorie 12 dite Ciel : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 36 : quittant un groupe de la catégorie 16 concerné par la disposition de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. Catégorie 38 : quittant un groupe de la catégorie 18 concerné par la disposition de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. Catégorie 83 dite Nacre : réservée aux départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 84 dite Opaline: réservée aux départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 93 : salariés d’un cabinet d’avocats allocataires de la CREPA quittant un groupe de la catégorie 92. Catégorie 94 : retraités allocataires de la Caisse de retraite du personnel des avocats et avoués près la Cour d'appel (CREPA). Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires d'une mutuelle. Catégorie 137 : bénéficiaires de la Complémentaire Couverture Maladie Universelle, suppression. Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie suppression, 134, suppression ou 136. Catégorie 260 dite fluo : jeunes de moins de 28 ans. Catégorie 261 Mut@robase : selon conditions particulières de souscription et diffusion uniquement sur Internet. Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 264 dite Parme : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 265 dite Carmin : sans conditions spécifiques Gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 267 dite Ivoire : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 339 : personnes relevant de l’UCR CFDT Option 3. Catégorie 355 dite Platine : nouveaux adhérents de plus de 60 ans ne bénéficiant pas au moment de l’adhésion d’une couverture santé. Catégorie 360 : quittant un groupe de la catégorie 160 concerné par les dispositions de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. Catégorie 370 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 371 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 372 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 373 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 374 : gamme nationale Arc en Ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 380 : quittant un groupe de la catégorie 180 concerné par les dispositions de la loi n°89-1009 du 31.12.1989 renforçant les garanties offertes aux personnes et assurées contre certains risques. 2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle Catégorie 87 : sans conditions spécifiques. Catégorie 88 : sans conditions spécifiques. Catégorie 89 : sans conditions spécifiques. 2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle Catégorie 87 : sans conditions spécifiques. Catégorie 88 : sans conditions spécifiques. Catégorie 89 : sans conditions spécifiques. 3. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime d'Assurance Maladie des Travailleurs non salariés non agricoles Catégorie 24 : sans conditions spécifiques. Catégorie 136 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle. 3. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime d'Assurance Maladie des Travailleurs non salariés non agricoles Catégorie 24 : sans conditions spécifiques. Catégorie 136 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle. 4. Catégorie 100 : membres honoraires. 4. Catégorie 100 : membres honoraires. CATÉGORIE OUVERTE DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie Catégorie 16 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 18 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 24 : sans conditions spécifiques. Catégorie 41 : actifs et retraités cadres d'une entreprise couverte par ailleurs par un contrat du secteur aéronautique. Catégorie 42 : actifs et retraités bénéficiaires par ailleurs du régime professionnel des Entreprises d'Assurance. Catégorie 50 : salariés et retraités de l’entreprise RENALMUT. Catégorie 77 : salariés du secteur informatique ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 92 : salariés d’un cabinet d’avocats ayant souscrit un contrat dans le cadre d’opérations collectives à caractère obligatoire auprès de la mutuelle COMAP. Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières hospitalisation ». Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée. Catégorie 142 : salariés de GEODIS CALBERSON. Catégorie 143 : salariés de GEODIS CALBERSON. Catégorie 144 : salariés de GEODIS CALBERSON. Catégorie 160 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 168 : salariés de l’entreprise AVIONS MARCEL DASSAULT, BREGUET AVIATION. Catégorie 180 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. CATÉGORIE OUVERTE DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie Catégorie 16 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 18 : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2006. Catégorie 260 dite Fluo : jeunes de moins de 28 ans. Catégorie 261 dite Mut@robase : diffusion uniquement sur internet selon conditions particulières de souscription. Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 264 dite Parme : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 265 dite Carmin : sans conditions spécifiques Gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 267 dite Ivoire : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2007. Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 339 : personnes relevant de l’UCR CFDT Option 3. Catégorie 355 dite Platine : adhérents de plus de 60 ans. Ajout MUTUELLES CONCERNÉES I : BÉNÉFICIAIRES Catégorie 24 : sans conditions spécifiques. Catégorie 41 : actifs et retraités cadres d'une entreprise couverte par ailleurs par un contrat du secteur aéronautique. Catégorie 42 : actifs et retraités bénéficiaires par ailleurs du régime professionnel des Entreprises d'Assurance. Catégorie 50 : salariés et retraités de l’entreprise RENALMUT. Catégorie 77 : salariés du secteur informatique ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 92 : salariés d’un cabinet d’avocats ayant souscrit un contrat dans le cadre d’opérations collectives à caractère obligatoire auprès de la mutuelle COMAP. Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières hospitalisation ». Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée. Catégorie 142 : salariés de GEODIS CALBERSON. Catégorie 143 : salariés de GEODIS CALBERSON. Catégorie 144 : salariés de GEODIS CALBERSON. Catégorie 160 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 168 : salariés de l’entreprise AVIONS MARCEL DASSAULT, BREGUET AVIATION. Catégorie 180 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. MUTUELLE PANOTECHNIQUE ANCIENNE RÉDACTION NOUVELLE RÉDACTION Catégorie 182 : salariés de la SERNAM. Catégorie 183 : salariés de la SERNAM. Catégorie 184 : salariés de la SERNAM. Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 316 : salariés de l’entreprise EUROCONTROL. Ajout d’une nouvelle catégorie Catégorie 325 dite Palatine : salariés de la Banque San Paolo. Catégorie 354 : salariés et retraités de l’OPAC du Loiret. Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Ajout d’une nouvelle catégorie Catégorie 619 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) Base. Catégorie 620 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) IMM Option 1. Catégorie 630 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) IMM Option 2. Catégorie 182 : salariés de la SERNAM. Catégorie 183 : salariés de la SERNAM. Catégorie 184 : salariés de la SERNAM. Catégorie 272 : salariés TIETOENATOR régime général. Catégorie 273 : salariés TIETOENATOR régime local. Catégorie 291 : salariés UNA base. Catégorie 292 : salariés UNA option 1. Catégorie 293 : salariés UNA option 2. Catégorie 294 : salariés UNA option3. Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat avec la mutuelle. Catégorie 316 : salariés de l’entreprise EUROCONTROL. Catégorie 324 : CCN DU LIN. Catégorie 325 dite Palatine : salariés de la Banque San Paolo. Catégorie 354 : salariés et retraités de l’OPAC du Loiret. Catégorie 382 : GEODIS Niveau 0. Catégorie 383 : GEODIS Niveau 1. Catégorie 384 : GEODIS Niveau 2. Catégorie 386 : REG LOCAL Optique Différenciée. Catégorie 619 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) Base. Catégorie 620 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) IMM Option 1. Catégorie 630 : salariés et retraités de l’IMM (l’Institut Mutualiste Montsouris) IMM Option 2. 2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle Catégorie 86 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 186 : fermée à la souscription à compter du 1er janvier 2008. 2. Catégories ouvertes aux seuls ressortissants du régime spécifique d'Assurance Maladie dit Alsace Moselle Catégorie 86 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Suppression Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes : Catégories individuelles Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives Les bénéficiaires se répartissent selon les catégories suivantes : n Catégories individuelles n Catégories ouvertes dans le cadre d'opérations collectives CATÉGORIES INDIVIDUELLES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie Catégorie 6 (MUTATIS Base) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 8 : retraités et préretraités inscrits à la mutuelle SMER. CATÉGORIES INDIVIDUELLES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie Catégorie 6 (MUTATIS Base) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 8 : retraités qui ont été inscrits en catégorie 6 pendant un minimum de deux ans dans le cadre de la mutuelle SMER ou MUTATIS. Catégorie 12 dite Ciel : fermée à la souscription au 01.01.07. n n Catégorie 12 dite Ciel : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription au 01.01.07. Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 51 (MUTATIS Sécurité) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 53 (MUTATIS Optim 3) : fermée à la souscription au 01.01.2008. Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires d'une mutuelle ou Union adhérente à l'union. Catégorie 137 : bénéficiaires de la (ajout) Couverture Maladie Universelle, inscrits en catégories 134 ou 136, pour des prestations non couvertes par celles-ci souhaitant un complément à la catégorie. Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie 134 ou 136. Catégorie 156 (MUTATIS Confort) : actifs, préretraités et retraités ne disposant pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 253 (MUTATIS Plénitude) : actifs, préretraités et retraités ne disposant pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 260 dite Fluo : jeunes de moins de 28 ans. Catégorie 261 : Mut@robase selon conditions particulières de souscription et diffusion uniquement sur Internet. Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 265 dite Corail : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 267 dite Ivoire : fermée à la souscription au 1er janvier 2007. Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 355 dite Platine : nouveaux adhérents (ajout) ne bénéficiant pas au moment de l’adhésion d’une couverture santé. Catégorie 370 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 371 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 372 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 373 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 374 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. 2. Catégorie ouverte aux seuls ressortissants du régime d'Assurance Maladie des Travailleurs non salariés non agricoles. Catégorie 136 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle. Catégorie 21 dite Sable : fermée à la souscription au 01.01.07. Catégorie 22 dite Amande : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 27 dite Grenat : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 51 (MUTATIS Sécurité) : actifs, préretraités et retraités, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 53 : actifs, préretraités et retraités, cadres ou assimilés cadres inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 134 : bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle (loi du 27 juillet 1999) antérieurement non bénéficiaires de la mutuelle - Suppression. Catégorie 137 : bénéficiaires de la Complémentaire Couverture Maladie Universelle, suppression. Catégorie 154 : antérieurement inscrits en catégorie 134 suppression. Catégorie 156 (MUTATIS Confort) : actifs, préretraités et retraités ne disposant pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 253 (MUTATIS Plénitude) : actifs, préretraités et retraités ne disposant pas de régime obligatoire complémentaire à l’assurance maladie, inscrits à la mutuelle MUTATIS. Catégorie 260 dite Fluo : jeunes de moins de 28 ans. Catégorie 261 Mut@robase : selon conditions particulières de souscription et diffusion uniquement sur Internet. Catégorie 262 dite Indigo : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 263 dite Pivoine : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 265 dite Carmin : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 266 dite Ginko : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Suppression Catégorie 268 dite Opale : gamme nationale hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 269 dite Jojoba : gamme nationale sur complémentaire hors les départements Calvados, Manche, Orne. Catégorie 306 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 307 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 308 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 309 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 310 : salariés d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 355 dite Platine : nouveaux adhérents de plus de 60 ans ne bénéficiant pas au moment de l’adhésion d’une couverture santé. Catégorie 370 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 371 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 372 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 373 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Catégorie 374 : gamme nationale Arc en ciel, destiné sortants d’un contrat d’entreprise. Suppression 3. Catégorie 100 : membres honoraires 2. Catégorie 100 : membres honoraires CATÉGORIES OUVERTES DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie Catégorie 6 (MUTATIS Base) : salariés d’entreprises ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle MUTATIS. Catégorie 16 : salariés et retraités d'entreprises ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 18 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 77 (SSCI) : salariés d'entreprise du secteur informatique et personnes relevant du régime spécifique des travailleurs non salariés ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières d’hospitalisation ». Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée. CATÉGORIES OUVERTES DANS LE CADRE D’OPÉRATIONS COLLECTIVES 1. Catégories ouvertes aux ressortissants de tous régimes d'Assurance Maladie Catégorie 6 (MUTATIS Base) : salariés d’entreprises ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle MUTATIS. Catégorie 16 : salariés d'entreprise ayant souscrit un contrat auprès d'une mutuelle ou Union adhérente à l'UMC. Suppression Catégorie 77 (SSCI) : salariés d'entreprise du secteur informatique et personnes relevant du régime spécifique des travailleurs non salariés ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle. Catégorie 98 : garantie « indemnités journalières d’hospitalisation ». Catégorie 116 : salariés et retraités d’entreprise ayant souscrit un contrat auprès de la mutuelle avec une garantie optique différenciée. MUTUELLES CONCERNÉES MUTUELLE MUTATIS 11 # ANCIENNE RÉDACTION NOUVELLE RÉDACTION Catégorie 159 (MUTATIS Optim 9) : salariés d'une entreprise ayant souscrit par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur. Catégorie 161 (MUTATIS Optim 1) : salariés d'une entreprise ayant souscrit par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur. Catégorie 416 : salariés et retraités issus d’un CNR (Contrat non responsable). Catégorie 159 (MUTATIS Optim 9) : salariés d'une entreprise ayant souscrit par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur. Catégorie 161 (MUTATIS Optim 1) : salariés d'une entreprise ayant souscrit par ailleurs un contrat couvrant l'ensemble du ticket modérateur. Catégorie 416 : salariés et retraités issus d’un CNR (Contrat non responsable). II : ADHÉSIONS - MUTATIONS - RÉSILIATION Article 8. : Conditions d’âge à l’adhésion Article 8. : Conditions d’âge à l’adhésion Les membres participants adhérant dans une catégorie individuelle doivent être âgés lors de l'adhésion initiale de : n moins de 60 ans : catégories 6, 51, 77, 159, 161. n 60 ans et plus : catégories 8, 355. n moins de 70 ans : catégories 22, 27, 156, 253, 261, 262, 263, 265, 266, 267, 268, 269, 370, 371, 372, 373, 374. n sans limite d’âge : catégories 134, 136, 137, 154. Les mineurs de plus de seize ans peuvent devenir, à leur demande, membre participant sans l'intervention de leur représentant légal. Pour les membres participants adhérant dans le cadre d'une opération collective, les limites d'âge éventuelles sont spécifiées dans le contrat écrit et signé entre la personne morale souscriptrice et la mutuelle. L'âge est défini par la différence entre le millésime de l'année en cours et le millésime de l'année de naissance. Les membres participants adhérant dans une catégorie individuelle doivent être âgés lors de l'adhésion initiale de : n moins de 60 ans : catégories 6, 51, 77, 159, 161. n 60 ans et plus : catégories 8, 355. n moins de 70 ans : catégories 22, 27, 156, 253, 261, 262, 263, 265, 266, suppression, 268, 269, 370, 371, 372, 373, 374. n sans limite d’âge : catégories 134, suppression, 137, 154. Les mineurs de plus de seize ans peuvent devenir, à leur demande, membre participant sans l'intervention de leur représentant légal. Pour les membres participants adhérant dans le cadre d'une opération collective, les limites d'âge éventuelles sont spécifiées dans le contrat écrit et signé entre la personne morale souscriptrice et la mutuelle. L'âge est défini par la différence entre le millésime de l'année en cours et le millésime de l'année de naissance. TITRE Article 25. : Dispositions de solidarité 12 LES QUESTIONS QUE VOUS POUVEZ POSER AU 39 35 MUTUELLE MUTATIS Priorité Santé Mutualiste concerne aujourd’hui quatre vastes domaines de santé : le cancer, les maladies cardio-vasculaires, les addictions et le maintien de l’autonomie. Mode d’emploi. IV : AUTRES GARANTIES INCLUSES Article 25. : Dispositions de solidarité Le début de l’article reste inchangé Le début de l’article reste inchangé 25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective vers une catégorie individuelle La disposition concerne les membres participants quittant une personne morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle. Le membre participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au sein de la mutuelle. La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes : 22-27-260-262-263-265-266-267-268-269-370-371-372-373-374. 25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective vers une catégorie individuelle La disposition concerne les membres participants quittant une personne morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle. Le membre participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au sein de la mutuelle. La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes : 22-27-260-262-263-265-266- suppression -268-269-370-371-372-373-374. Le début de l’article reste inchangé Le début de l’article reste inchangé 25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective vers une catégorie individuelle La disposition concerne les membres participants quittant une personne morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle. Le membre participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au sein de la mutuelle. La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes : 12 - 22 - 27 - 260 - 262 - 263 - 264 - 265 - 266 - 267 - 268 - 269 - 370 - 371 372 - 373 - 374. 25-5. Mutation d'un membre participant dans le cadre d'une opération collective vers une catégorie individuelle La disposition concerne les membres participants quittant une personne morale ayant souscrit un contrat écrit et signé avec la mutuelle. Le membre participant doit justifier d'une ancienneté minimum de 10 ans au sein de la mutuelle. La disposition concerne une exonération de cotisation de trois mois lorsque le membre participant décide de sa mutation dans l'une des catégories suivantes : suppression - 22 - 27 - 260 – 262 - 263 - suppression - 265 - 266 - suppression 268 - 269 - 370 - 371 - 372 - 373 - 374. MUTUELLE PANOTECHNIQUE MUTUELLE MUTATIS Cahier spécial détachable TITRE MUTUELLES CONCERNÉES L’INFORMATION SANTÉ Vous vous posez des questions : n « J’ai 58 ans, dois-je me faire dépister pour le cancer colorectal ? » n « Mon père souffre d’une maladie cardio-vasculaire. Est-ce héréditaire ? » n « Mon fils boit trop le week-end avec ses copains. Que risque-t-il ? » n « Mon grand-père a du mal à marcher. Est-ce dû à l’âge ou à une maladie ? » Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste : Les adhérents des mutuelles peuvent trouver des réponses à toutes leurs questions sur les facteurs de risques, la prévention et le dépistage, les maladies et leurs prises en charge. Les conseillers du 39 35 sont tous des paramédicaux ou des médecins. Ils s’appuient sur des fiches validées par des spécialistes. Des brochures peuvent également vous être envoyées en complément de l’information téléphonique. Enfin, des rencontres santé sont régulièrement organisées : conférences, journées de sensibilisation, ateliers interactifs… L’AIDE À L’ORIENTATION Vous vous posez des questions : n « Je dois me faire opérer rapidement d’un cancer du sein. Pouvez-vous m’indiquer un établissement en Illeet-Vilaine ? » n « Où puis-je me procurer une prothèse capillaire après ma chimiothérapie ? » n « Ma mère souffre de la maladie d’Alzheimer. Je cherche une structure qui puisse l’accueillir dans la journée. A qui dois-je m’adresser ? » Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste : Le dispositif vous aide à choisir le service ou le prestataire le plus adapté à vos besoins. Si vous recherchez un établissement de santé, le conseiller propose trois services, sélectionnés en fonction d’exigences de qualité reconnues par les autorités sanitaires. Si vous le souhaitez, ces informations seront transmises à votre médecin traitant. L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ Vous vous posez des questions : n « J’ai trop de cholestérol et mon médecin me recommande un régime alimentaire. Mais seule, je n’y arrive pas. Comment faire ? » n « Demain, j’arrête de fumer. Pouvez-vous m’aider à tenir bon ? » n « Comment organiser le retour à domicile de mon père âgé suite à son hospitalisation : qui peut m’aider ? Comment m’y prendre ? » Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste : Trois programmes d’accompagnement personnalisés vous sont proposés : le sevrage tabagique, l’équilibre alimentaire en cas de risque cardio-vasculaire et l’aide à l’organisation du maintien à domicile. Pendant une durée de 12 à 18 mois, un diététicien, un médecin tabacologue ou un conseiller en économie sociale et familiale va vous appeler régulièrement au téléphone. Ces entretiens vous aideront à soutenir vos efforts et à adapter le programme à vos progrès. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, votre médecin traitant ou le professionnel de santé de votre choix peut être associé à ce suivi. Toutes les solutions sont proposées en lien avec les dispositifs existants : les centres locaux d’information et de coordination (Clic) ou les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). 13 L’ÉCOUTE Vous vous posez des questions : n « Mon mari vient d’être hospitalisé en urgence après un infarctus. Je ne sais pas à qui en parler. » n « J’attends les résultats d’un dépistage du cancer de la prostate. Je n’arrive plus à dormir. » n « Je viens d’apprendre que mon fils a une sclérose en plaques, j’ai peur pour lui. » Les réponses apportées par Priorité Santé Mutualiste : Sur simple appel, vous pouvez être soutenu dans les moments difficiles que chacun traverse dans sa maladie ou celle d’un proche. Si c’est nécessaire, le conseiller du 39 35 vous mettra en relation avec un écoutant de la Ligue contre le cancer ou d’une autre plate-forme téléphonique. .fr Plus d’infos sur : tualiste u m e t n ioritesa www.pr MONTAGNE EN FAMILLE : PRUDENCE AU SOMMET ! CES N A C A V S E D PROFITEZ E ! s physiques L L I M A F N E des activité OUGER pratiquer une ou ur po n -e ez POUR auB it of habitudes. Pr la famille. x changements d’ l santé de toute En montagne, les jeunes enfants n’ont pas la même résistance que les adultes. Une balade apparemment facile peut se révéler dangereuse. Pour éviter les problèmes, il faut être bien équipé, respecter des règles élémentaires de prudence et tenir compte de la météo. « 14 Nous étions partis de Nice pour un week-end dans l’arrière-pays, se souvient Georges. Mon fils Erwan, 18 mois à l’époque, a dormi durant les deux heures de trajet. Il était enrhumé. Lorsqu’il s’est réveillé à 1 500 mètres d’altitude, il a hurlé pendant un quart d’heure ! ». Ce père ignorait que son fils souffrirait d’une ascension trop rapide. « Sur la route qui les mène à la montagne, les enfants atteints de rhino-pharyngite déclenchent souvent des otites avant même d’arriver à destination, parce que leurs tympans ne sont pas mis en pression, explique le Dr Jean-Dominique Laporte, président de l’association Médecins de montagne (MdeM : www.mdem.org). On constate le même phénomène lorsque certains enfants prennent le téléphérique. » Un séjour sur les hauteurs, surtout avec des tout-petits, nécessite un minimum de préparation et de précautions. « Pour autant, souligne le Dr Laporte, il n’y a aucune contre-indication à amener des enfants à la montagne. Il faut juste faire preuve d’un peu de bon sens. » La commission médicale de l’Union internationale des associations d’alpinisme (UIAA) confirme qu’à partir de 2 ans, un enfant peut monter en altitude « sans risque d’en souffrir » jusqu’à « environ 2 500-3 000 mètres ». Entre 0 et 2 ans, l’UIAA recommande « d’éviter les ascensions non justifiées au-dessus de 2 000 mètres ». A plus haute altitude, « le risque de mort subite inexpliquée du nourrisson peut être augmenté tout comme le risque de mal des montagnes ». « Un enfant est toujours plus fragile qu’un adulte, prévient le Dr Laporte. Il se fatigue plus vite, se montre plus vulnérable au froid et à la déshydratation. Ce sont des paramètres dont il faut tenir compte avant de programmer une balade. » SE RENSEIGNER AVANT DE PARTIR Avant toute chose, il convient donc d’être réaliste. Un bout de chou de trois ans ne pourra pas supporter sept heures de randonnée. Il faut adapter le parcours à l’âge de l’enfant et à sa condition physique. Il est indispensable de se renseigner sur l’itinéraire, le temps de marche, le dénivelé et… la météo. Autant d’informations qui pourront être obtenues dans les offices de tourisme et dans les bureaux des guides de montagne. Il convient aussi d’accorder une attention particulière à l’équipement du jeune montagnard : de bonnes chaussures, des vêtements adaptés sont nécessaires. « Si l’enfant est très jeune, il faut éviter le transport dans des porte-bébés par temps froid ou lorsque le tout-petit dort profondément : la circulation du sang dans les membres inférieurs peut être comprimée », conseille Jean-Dominique Laporte. Pour tous, il faut prévoir des habits chauds et une tenue imperméable : même en plein été et même si le soleil brille, le temps change très vite sur les hauteurs. Un chapeau ou une casquette, des lunettes teintées et une crème solaire à indice de protection élevé (supérieur à 25) sont également de rigueur. « Les parents veilleront à ce que les réserves d’eau soient suffisantes et les repas assez copieux, en gardant à l’esprit que les enfants boivent beaucoup et brûlent énormément de calories sur les sentiers », complète le Dr Laporte. Ce spécialiste préconise enfin de « ne pas surcharger les sacs à dos des petits qui veulent faire comme les grands ». « Qu’ils portent leur pull et leur coupe-vent, ce sera déjà bien !, souligne-t-il. L’excès de poids est le pire ennemi du jeune randonneur. » « CÉDRIC PORTAL NE PARTEZ PAS S ANS TROUSSE DE SECOURS ! Pas de balade en montagne, mêm e courte, secour sans trousse de s. « Elle est auss i indispensable fraîche et le repa que la gourde d’ eau s de midi, tranch e le Dr Jean-Dom Laporte. Suivant inique l’état du malade ou du blessé, cette doit permettre de trousse dispenser les prem iers soins et, dans les plus graves, d’ attendre l’arrivée les cas des secours prof dans de bonnes essionnels conditions. ». Po ur cela, il n’est pa saire qu’elle cont s nécesienne des médic aments, hormis randonneur a be ceux dont le soin à titre pers onnel, par exem vasodilatateur ou ple un un médicament contre le mal de Le « minimum re tête. commandé » pa r les secouristes 1 couverture de : survie, 1 bande élastique 10 x 15 1 rouleau de spar cm, adrap, 2 bandes tr iangulaires perm réaliser des écha ettant de rpes en cas de tr aumatisme des supérieurs, 1 pa membres ire de gants en la tex, 1 paire de ci 3 bandes de gaze seaux, 6 x 4 cm, 4 com presses 10 x 10 Les guides de mon cm . tagne conseillent d’ajouter des pa type Compeed® nsements en cas d’ampoul e et une pompe en cas de piqûre Aspivenin® ou de morsure ve nimeuse. Enfin, une form ation aux premie rs secours, perm notamment de pr ettant atiquer le massa ge cardiaque, es recommandée au t fortement x adeptes de la ra ndonnée. propices le capita Les vacances sont s de bien-être, elles préserveront ce et sportives. Sour « bre ou itter leur cham qu à nt ne ig rech osant de Si vos bambins es en leur prop -l ez iv ot m , gner à ligne vous accompa leurs jeux en ur po e ss ba idi est marée fin d’après-m profiter de la de re iè m lu La verger pied. une pêche à otographier un rver ph r le al d’ casion ine pour obse une bonne oc ter sur la coll on M x. ant car au ev ou des ch ssi être alléch au ut pe il le so le coucher de e. éphémèr physique re d’une activité r l’état liè gu ré ue iq La prat , influe su ême modérée es de la ou sportive, m us s, à to les âg du vi di in s de é é et de la de sant al de la sant on ti na t tu ti ns l’I ude récente. vie », affirme m) dans une ét er ns (I e al ic pathologies recherche méd ente le risque de gm au ité ar nt de ro lo g iq u es , Alors que la sé re u se s, n eu cé n ca , es ir la ca rd io -vas cu at ives . FFIT AUSSURES SU es et d ég én ér e rien, al m is at E PAIRE DE CH NN BO rh u m « Cela ne coût NE . U us u to lie de de r ée rt ge an la po es suffit, En vacances, ch Marcher est à e de chaussur ir e pa lig e ob t nn en bo em catrice ne et d’environn monitrice-édu ou presque. U s, an la r 53 , se ie is ar la M d’été ou souvent à dé inateur, témoigne Annent nos congés da en P s. nt rd fa l’o s en montagne télévision ou et mère de troi randonner en t ps en m uv te so du rs t plus je pa ce qui laisse enfants étaien le week-end, s le La s. nd té ua vi ti Q ac i. nous. » pour d’autres ec mon mar menions avec aussi se av le em el s le muscles, ut us pe e no , voitur entretient les er , jeunes et ug aj bo tr , ée ng ér lo mod ndant par reposer d’un Même à dose munitaires, re im se es ns de fe ile dé s ut in et le équentes, car il devient renforce les os oires moins fr at s ir se sp re e ir ns fa io r logique fect presser pou exemple les in détente psycho La s. id po de ise ntraintes courses. et limite la pr lérant aux co to ou s u ed pl pi d à n es e re Les promenad qui en résult . moyens les s ure un les et sociales le el nt n so on si lo es à vé of régulière proc pr ue e iq tr ys et m ph se té vi de cœur est e acti plus simples l’exercice, le n « Avoir un de it tio di fa pé on ex : nd t ua isseaux. en mouvemen mieux-être. Q vite dans les va nt la us de pl e e tt ul lle rc ei ci cu ng nce, améliore au marché, sollicité. Le sa par intermitte ies, ramas, ts ba mme un en de m ou te ot rs fleu Ces fr nt sur elles co se ts is le ag ga , s Il es ag s. re professeur sage de coquill paroi des artè rançois Arnal, r -F se an po Je m e co m ur su Toulouse t », ré et bois flottés po médecine de , médicamen de us é lt nd cu te fa at in la culaires à logie à des tableaux ies cardio-vas r, de physio ad ie al nt m se s le un r r su excursion su et chercheur eau fort ou ât ch un . d’ m te visi l’Inser romane à à bénéficier d’une église le de continuer , ib es ss nc po ca t va es il n , E ulement en été actif proximité… es. Et pas se de Après un nc e ir ca fa va de s s de its les escaliers les occasion t des bienfa sport ! Choisir en de qu ub an cl m un e ns , remplacer l’exercice n s’inscrivant da iner ou bricoler rd ja , ur se en lévision par pas ! plutôt que l’asc vidéo ou de té ux je de es ssi faire de heur parc, c’est au s, quelques te un et qu ns ra da n, e plage (ballo une promenad ein air et de ue, volley ou nq ta pé Les jeux de pl n, to l’exercice ! olant, badmin s de s’activer en oy m frisbee, cerf-v s nt aussi d’excelle s grandscricket) sont us jeunes. Le pl x au r si ai r, avec t pl t de retrouve tout en faisan en em al MARTINE DORIAC ég nt écie temporelles, in s té vi parents appr ti ac nfants, ces ssés par leurs petits-e t un peu dépa en uv so t en nt se alors qu’ils se ech. -t gh hi ts les joue 15 T N E U Q A T T A S E T C SE N I S E L , É T É ’ L T S C’E ! mps, . La plupart du te rgique ou es ct se in d’ s re vous êtes alle ennent les piqû soyez prudent si s : avec l’été revi s at ai ût M ao é. , nt es sa qu la ti ereux pour es, abeilles, Moustiques, guêp nt plus inconfortables que dang so ces désagréments qué par une tique. pi si vous avez été prennent du , les insectes on is sa lle be plus souvent uand vient la açant mais le ag st ’e C ! te La grande poil de la bê la santé. « ur po e nc ue le Dr Jeansans conséq s climats, note no de e es ct se s in oire), c’est qu chance avec le -Chamond (L nt ai s. S à se te eu lis er ng néra entiel, pas da Noël Bally, gé nt, pour l’ess so s tiques, et ne le s r re pa qû e ansmis leurs pi tr e, m Ly de un inconfort adie Hormis la mal provoquent plus s le el , ie rg le d’al les problèmes er. » ng s soirs d’été, da el qu’un ré ment actifs le re iè ul ic rt pa s, amment, en Les moustique qui attaquent le plus cour s ctes stagnantes. Le sont les inse et des eaux es cs la gn ni s bé de r ès de sang. Pou particulier pr ur se nourrir car très po t es bl en éa qu pi gr s sa femelle sont dé s re qû pi s ur s , le « Le produits qu’elles soient enir que guérir. év , pr nc do ut ux va me les sprays irritantes. Mie mmerce com co r D le le ns re da su us efficaces, as répulsifs vend s èmes sont très cr s le ifiques pour le et s on les loti versions spéc s » de t. te en is ex em Il al ly. en ég Jean-Noël Bal otègent très bi pr es ir ua iq st ou enfants. Les m r S LE SOIR MENTS LONG iter de laisse PORTEZ DES VÊTE ents longs en soirée et év s ée m lu al tem s sont Porter des vê que les lumière rs lo us es vo rt , ve ut ou to es s. Si, malgré fenêtres et port e iles précaution ut d’ appliquer un nt te en représ , vous pouvez ue aq tt l’a à s n’échappez pa geaison. sera la déman parfois le fait ai ap i qu e crèm oustiques sont m x urs au es ué ib tr n reconnaît le O « n. Des piqûres at ie ch chat ou de la puce sur la des puces de ivre le trajet de su ut passe pe n ’o qu . La prévention ly al B piqûres parce l oë -N e le Dr Jean és par l’animal peau », indiqu droits fréquent en s de e ag oy tt alors par le ne uet, etc.). piquent oquette, parq m s, er ni pa s, les taons , ce pu (tapis s le et os oustiques res de ces gr Comme les m main. Les piqû hu re êt ng t sa en du uv r ri es, pe pour se nour t douloureus t en en m om re m iè ul le ic e lai entr dé le : insectes, part e nc la gi de peu de vi ction permet évitées avec un ils passent à l’a où i lu ce et nt où ils se pose temps. à r se as ch les TIQUES : … suite de l’article Q 16 UX S GESTES DO ÊPES AVEC DE GU S LE R es NE ELOIG iques, c’ t ) ndre pour se défe st ne pas t aux mou t. Mieux vaut en qu pi Contrairemen s on el . Sachez eilles et fr s gestes doux de que guêpes, ab ec av er nt, tout les éloign ves les attire vi rs les effrayer et eu ul co ents aux et la viande. que les vêtem mets sucrés s le s, mprend um rf amille qui co (f comme les pa s re tè op ovoquent d’hymén , fourmis…) pr ns Les piqûres do ur bo , ndroit s guêpes cale est liée à l’e lo n tio notamment le ac ré La upières, d’effets : « ’il s’agit des pa S . ly plusieurs types al B r D le précise us important. du corps piqué, lement est pl nf go le z, ne des lèvres, du L’ARSENAL ANTI-INSECTES Pour éviter de vous faire piquer ou pour soigner une peau attaquée, il est conseillé de mettre dans la trousse à pharmacie des vacances ou dans la trousse d’urgence du sac à dos : n des sprays ou crèmes antimoustiques et antiaoûtats n 1 crème pour apaiser les démangeaisons n 1 désinfectant du type alcool à 70° ou Hexomédine® n 1 antihistaminique et une crème corticoïde en cas d’allergie n 1 stylo autopiqueur d’adrénaline en cas de réaction avérée aux piqûres d’hyménoptères n 1 tire-tique, de préférence en forme de mini-pied-de-biche n 1 pince à épiler pour ôter un dard n du paracétamol contre la douleur et la fièvre. ) La réaction toxique est corrélée au nombre de piqûres ; si l’on a eu plus de vingt piqûres, il faut absolument se rendre dans un service d’urgences. Enfin, pour la réaction allergique, qui varie d’un individu à un autre, une seule piqûre suffit. » Après avoir ôté le dard avec une pince à épiler, il est important de laver la peau à l’eau et au savon, de la désinfecter, puis de passer de la glace ou de l’eau fraîche sur la piqûre pour atténuer les symptômes. « En cas d’allergie importante avec difficulté à respirer ou à avaler, la langue, les yeux ou les lèvres qui enflent, il faut consulter immédiatement un médecin ou joindre le 15 au téléphone, recommande le Dr Bally. Il faut faire de même en cas de nausées, vomissements, sensation d’accélération du rythme cardiaque, éruption cutanée généralisée. Par la suite, il est nécessaire d’effectuer un bilan et d’envisager des mesures préventives, qui vont de la désensibilisation au port sur soi d’un stylo autopiqueur d’adrénaline, le traitement de base du choc allergique. » Lors des balades, on doit se méfier des tiques, qui peuvent provoquer de fortes fièvres. Pour décrocher convenablement ces insectes qui se gorgent de sang, il est conseillé d’utiliser un tire-tique en forme de pied-de-biche, qu’on fait tourner dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. Si les piqûres d’aoûtats sont totalement bénignes, elles provoquent de fortes démangeaisons. Pour se protéger de ces deux insectes qui se cachent dans l’herbe, mieux vaut se couvrir le bas des jambes. Enfin, il est indispensable de mettre les enfants en garde contre les chenilles processionnaires. Très colorées, elles les attirent mais leurs poils provoquent des réactions extrêmement allergisantes. CORINNE RENOU-NATIVEL ATTENTION À LA MALADIE DE LYME Après avoir été pi qué par une tique , il est important de surveiller l’app ar ition éventuelle de sym ptômes. La maladie de Ly me, ou borréliose , peut se traduire à terme par des at te articulaires, neur intes ologiques et card « Il faut repérer iaques. surtout la phase primaire de cette maladie, ex plique le Dr Jean -Noël Bally. Un érythème – ro ugeur – migrant ou une tache rosée qui s’étend peuvent surgir au point de la piqûre ou à distance dans les quinze jours qui suivent. En cas de fièvre, de syndrome grippal, consulte z un médecin, qu i prescrira des antibiotique s. En revanche, il est inutile de prendre ce type de traitement en l’absence de symptômes. » 17 ÉES H C A C S E I D DES MALA LE DES PLAGES DANS LE SAngBer sur le sable fin ? Mais la plaguee pes prutécêtauretisoonuisllépee.uvent vous aider lq able que de s’allo sagréments. Que Quoi de plus agré tions, des mycoses et autres dé ta Résultat : des irri à les éviter. … suite de l’article plastique pour s chaussons en de e eilles ag pl la r jours su t aussi des bout se en é èg nt ot ue pr éq e fr m ut être qui peuvent che à voile. Ils espace qui pe ues usagées icrobes plan ng m ri s se le s 30 ans. r, a plage est un de O et s. cassées ique Maryse, d’estivant pl rs ex le , ie r » ill e su m bl il s le sa chure, ns le au so par de éviter une écor dissimuler da se prélasser i i ss ss au . au t au x en pe eu uv t e pe r ils qui se à votr aimen s plantaires, Bonne idée, ca s à s’attaquer ue pa s rr si nt ve ia te s yr si le it P hé ur le po nfondu sable et n’ courant, c’est porte d’entrée ir souvent co us , no pl et t le el in e ss po m ou lè R un r « Le prob Dr Gérard anifestent pa et en garde le s. Il s’agit m ue d’oursin. oches e og in ol at ép versicolor », m e rm avec un plages trop pr t des de s ca le de di yn er on S it ti év up du d’ t ér e le ettes présiden ports, les boul anifeste par un Il est préférab s m de le se i ou ou qu s u e le co os el le ri st uvant aules, d’une myc sur le sable po des zones indu thorax, les ép es le n. ué r tio ho su ta n éc en ro rs ar gm n s’en trolie dépi taches m de résidus pé d’irritations. O es blanches de et ch us rs ta vo eu i en ug nt qu ro , ua de entaire édecin dos, évol être à l’origine de l’huile alim à e nsulter un m er âc co nn gr t vo ux en sa ie m m pide Il vaut l pour vous solvant. débarrasse ra produit spécia ni essence ni ez traitement lis gros n ti ’u ’u N qu e. conseillera un i ir ns ou sola au, ai t pas source de Dr pe en m la se r eu te ur ec he t et désinf nts, indique le « Le sable n’es s jeunes enfa le ur s, à la po interne. es m problè à Clichy. Mai re at di pé , ol ym est plus Jacques Che dés, leur peau nu Z CORIACE ils dé SE te AS ès or tr s ON nt le GN e so ils specter x entr UN CHAMPI plage, comme ulièrement re ic it s, petites peau rt ag on pa ti s’ ta ut Il ri to ir e. ut s, fa Fissure pied d’athlèt vulnérable. Il . » ifestation du contractée ène corporelle re gi êt hy ut e sont la man pe nn i bo qu e e un os yc i m une chomycose qu également d’ comme l’ony ut to crira S! e, bl sa DES CANARD anifeste médecin pres dans le Le . es gl ELOIGNEZ-VOUS on bouche » se m . s nle ge ai ta e -m at îm gr ed ab pi r « et te pieds, la ent pa colore La maladie di la plante des r s un prélèvem ti su rè an s ap s on e de ti ys up er al ér s, qui se mport une an par de petites is des enfant ment peut co z la te se ai pa tr as le le , on et ng gn ns llué par ampi s mai Assez lo sur le sable po prévenir ce ch faut soigneu- paume de r nt ou na P aî tr « s. se en elle est , il biotique contaminent Dr Rousselet ue à un virus, x le D eu « lle ri s. ei sé ne ns ni co un ca rès ité. Elle coriace, des déjections les pieds ap et sans grav s es er re ur ch at ss sé di au pé se ch s t s de r de ure le Dr semen bien connue seule », rass er de conserve e it ut év to t et e en m ag le … suite page19 savonn guérit généra re qû pi e us . » re es humid ès doulou heymol. j’ai subi une tr porte tou- C je , au l’e « Depuis que de chant au bord de vive en mar L 18 Souvent romantiques, les bords de lac ne sont pas plus sûrs, bien au contraire ! Les eaux douces sont parfois contaminées par des eaux usées mal traitées et des déjections animales : chiens, mais aussi bétail. Vous pouvez aussi contracter la dermatite des nageurs, une affection bénigne de la peau qui se manifeste par des démangeaisons provoquées par des parasites ou puces du canard. Eloignez-vous donc de ces charmants volatiles et, en nageant, n’avalez pas d’eau et rincez-vous bien après le bain. ( EZ P I C I T R A P PRETÉ À LA PRLOAGES ! DES P Enfin, en prenant certaines précautions simples, vous réduirez les risques sanitaires si le sable n’est pas très propre. Même s’il est très doux, évitez de vous allonger directement dessus : utilisez une serviette de bain, posée sur une rabane ou un matelas. Prenez-en soin. « Dès que je rentre de la plage avec les enfants, je lave les serviettes et les maillots et je les étends au soleil », témoigne Maryse. simples, il consignes s e in a rt e c tenir la nt En respecta de contribuer à main éventuels ile réduire les est très fac plage et de le. la e d té un sable sa propre à s é li s e ir nita risques sa sur le sable vos déchets entaires…) et s a p z te je n Ne es alim égots, rest sez les (papiers, m pas non plus. Utili n. z e rr e dispositio ne les ente oubelles mises à votr up ets corbeilles o te présence de déch u to e secours z d le e a st n o n Sig au p s) e u g n ri se ( dangereux sition irie. a m votre dispo la à is ou à m s e ir z les sanita et douchez-vous n Utilise des plages sur le bord ent. s animaux régulièrem estivale, le terdits sur n o is sa la ant n Pend lement in sont généra e les salir et de s e u iq st e dom ent d ar ils risqu . Laissez les vôtres c s, e g la p les nade au de baig souiller l’e n. à la maiso NADINE ALLAIN Mutuelles UMC 35-37, rue Saint-Sabin 75011 Paris Tél. : 01 49 29 49 29 www.mutuelles-umc.fr ( Revue trimestrielle Abonnement annuel : 3,05 € Directeur de la publication Jean-Claude Frey Directeur de la rédaction Olivier Drouard Rédacteur en chef Marie-Lys Moulin [email protected] ISSN 1240-0904 Commission paritaire 3724 D 73 (RCS B 344 734 793) Réalisation EderyCréa. Crédits photos N. 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