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On l'a bien appliqué, cette loi, « Jo sais quels deuils peut causer sa contre les Allemands, pourquoi mort puisqu'il était fiancé. » C'était un caractère des plus sympadonc tant d'hésitation, quand il thiques. D'une grande audace aveé des s'agit des complices hypocrites et qualités militaires, il rendait dé grands fourbes de l'assasein de Berlin? services, et j'allais le proposer pour marécttâl des logis. ** * » II est mort, sans aucune souffrance et La Proclamation du a dû être enterré à Voyer; en Lorraine anprès de Sarrebourg. Prince Royal de Bavière nexé, » Je prends une vive part à la douleur Le prince Ruprecht de Bavière de la famille de ce brave soldat, à celle de a adressé le i l novembre, devant safiancée». Ypres, une proclamation à ses soi-; Le brigadier Chambefort est mort dats, qui commence par ces mots :•. en brave, regretté de tous ses ca« Soldats, le monde entier a les- marades et de ses chefs; ce doit « yeux sur vous, s On dirait du être une consolation pour les siens sous Bonaparte parlant à ses sol* si cruellement frappés. dats d'Egypte. Mais la suite ne vaut pas le comConférence Patriotique mencement. Il ajoute, le fameux La Conférence que M. René Gcrchef des bandits bavarois « Vous vais du Thâtre Sarah-Bernhard, a « serez vainqueurs, car les offi- faite, dimanche dernier, dans la ce ciers et les soldats français se salle de la Brasserie Alsacienne, a « rendent par milliers et volontai- été un régal au point de vue patrio« rement. Vous abattrez l'ennemi tique et littéraire. . « facilement. » M. René Gervais, qui est un adII y a entre ces paroles et leur mirable diseur, a tenu le public réalisation, des milliers de cadavres sous le charme de sa parole éléallemands qui ont rougi de leur gante et convaincue, en même ; sang les flots deJ'Yser. temps qu'il L'a intéressé au plus -.Preuve que nos officiers et nos haut point par sa documentation. soldats font mieux que se rendre La Belgique; dont M. Gervais à volontairement. parlé en patriote et en ami dévoué, Et Herr Ruprecht n'a pas encore il la connaît à fond et dans son franchi l'Yser, malgré que lehistoire et dans son âme. monde entier eut les yeux sur lui C'est avec des accents émus qu'il et ses kamerades. . :;• ^-r- ; a fait connaître à son auditoire ce ; v > La Strasburger Post Nous avons eu entre les mains quelques numéros de la Strasburger Post .(La poste de Strasbourg) journal pangermaniste ; ces numéros étaient du 1er au 13 novembre. On y parle notamment de la chuteimminente de Verdun que le fameux journal déclare être investi de tqus côtés et bombardé ! Or?; Verdun n'est nullement encercle par l'armée^ allemande et n'a jamais reçu _d'ob"us allemands ou autrichiens. :••. ; Ces jours-ci, là vaillante forteresse a eu la visite de M. le Président de la République et des présidents de la Chambre et du Sénat. Comme on le voit, les Allemands sont bien renseignés ! # *# Nous sommes une nation de voleurs Les Français ont des mœurs de voleurs, déclare le même journal. . ;Savez-vous pourquoi? Parce que nous mettons sous séquestre les biens que les Austro-Allemands possèdent chez nous. Dans le même numéro, il est annoncé que les minerais de Briey (Meurthe-et-Moselle), sont, par les soins de lladministration allemande, exploités et envoyés en Allemagne. La Strasburger Post devrait du moins faire attention à ce qu'elle écrit ; car, les voleurs dans l'espèce, où sont-ils? ••• f ; / • •< Chronique Locale et Régionale \ Des Blessés sont arrivés Vendredi matin, à 7 heures, un train sanitaire a débarqué dans notre ville 75 blessés, évacués des hôpitaux de la région, d'Epernay, La Bassée, etc. 60 de ces blessés étaient en bonne voie de guerison et ont pu gagner à pied l'hôpital mixte et l'hôpital temporaire. 15 seulement ont été transportés sur des civières dans les voitures qui les ont conduits à destination.; Maintenant l'hôpital mixte et l'hôpital temporaire sont de nouveau au complet. A noter la parfaite installation du train sanitaire appartenant au^PO. Il était sous les ordres d'un médecin, assisté d'un pharmacien et d'in* firmiers. Chauffé, muni d'une cuisine, composé de wagons communiquant, il offrait tout le confortable nécessaire pour un long trajet. Mort au Champ d'Honneur II y a déjà quelques temps, nous avons annoncé la mort du brigadier Chambefort, réserviste au 2e escadron, 3° chasseurs à cheval, tué, le 20 août, devant l'ennemi, à Voyer, par l'explosion d'un obus allemand qui fit plusieurs victimes. Voici la lettre qu'a reçue sa famille de la part de son capitaine M. Juillard : LA FAILLE DE NOIE GRAI A l LE TSAR A AFFERMER 1 SUIT! poèmes de Jean Aicard, François Fabié, Jacques Normand, Dominique Bonnand ; voire de spirituelles fantaisies rimées ou dialoguées - de Gabriel Montoya, Gabriel Timmory, etc., sans parler du récit alerte et docûinenlé dés événements par Léon de 3 hectares environ Plée, des « Echôi » de Sergines, de la revue en partie ensemencée, Terroir de de presse reproduisant les plus remarqua-' Saint-Georges. blés articles de journaux ou revues et des nombreuses illustratôns reflétant les plus S'adresser à Madame GÉRARD, émouvantes scènes vécues de la guerre. à Vollore- Ville (Puy-de-Dôme). On s'abonne, 51, rue Saint-Georges, à Paris. Un an, 10 francs ; six mois, 5 fr. 50 Le numéro, 25 centimes. Une Propriété On se demande quelquefois quel peut être le genre d'existence de sa Majesté l'Impératrice de Russie et de ses enfants. On sait qu'elle est l'épouse du souverain le plus riche de la terre, puisque lé revenu annuel de l'Empereur de Russie est évalué à plus de 150 millions de francs en argent liquide et qu'il augmente de plus de cinq millions chaque année; on sait également qu'elle est la LES FOSSOYEURS femme du souverain le plus puissant des " L e Bonhomme Chrysale conte aux lecl'Europe. :: teurs des Annales la dramatique histoire L'Impératrice de Russie a des goûts, de quelques Belges, victimes des Alleun peu bourgeois et d'une simplicité qui mands... Pris dans un village, à proxila font aimer de tous ceux à qui sa co- mité de Visé, ils sont astreints, après une lossale fortuné et l'autorité souveraine interminable journée de marche, à acdont son mari est le détenteur, pour- complir une sinistre corvée : , | . $' | raient inspirer de l'envie. « —- Pendant vingt-quatre heures, il Elle a été élevée par une mère parnous lallut creuser le sol, y déposer des faite qui s'occupait elle-même des moindres détails de la vie de ses enfants et amas . de chairs putréfiées, grouillantes qui sut leur donner le goût de la modes- de vers, et d'où s'envolaient des essaims tie, l'amour d'un intérieur paisible, de mouehes bleues. Notre répugnante besogne achevée, les Boches parurent se agréable et doux. Avant de porter la lourde couronne des radoucir. Ils riaient, les monstres... Mais impératrices de Russie, la princesse Alix '•'expression féroce de leurs regards eût travaillait avec assiduité à ses devoirs, dû nous indiquer que cette gaîté cachait s'occupait de couture et de cuisine. Il un piège. L'un d'eux traça quelques lilui arrive encore de confectionner eHe- gnes sur un morceau de papier ; il me le même, pour son anguste époux, des gâ- confia et prononça le nom d'une localité teaux au miel très délicats, dont le tsar des environs, ajoutant, en mauvais fransemonlre très friand et cela, non seule- çais, et d'un ton de plus en plus jovial : » — Allez là tout seuls, gentils Belqu'était et ce que sera cet admira- ment par courtoisie, mais par esprit de ble pays, foyer de travail et d'ardent justice, car ils sont vraiment délicieux. ges... Beaucoup d'argent... » Cela signifiait que nous recevrions amour de la liberté! La tsarine aime le travail manuel. Elle Il a émaillé sa conférence de poé- s'occupe avec une grande humilité et une en cet endroit le salaire de nos peines. sies dites avec un art raffiné et touchante bonne grâce, des oeuvres de L'idée d'être payés par ces brutes nous admirablement choisies. charité. En ce moment, elle visite les révoltait. Cependant, nous avions hâte de A la demande générale de ceux familles pauvres, elle entre dans les plus leur fausser compagnie.. Nous nous qui ont eu le grand plaisir de l'en- indigentes chaumières pour y porter de la sauvâmes. Au détour du chemin, un de mes camarades me dit : tendre et de l'applaudir chaleureu- consolation, du réconfort et de la joie. » — Montre-moi le papier que t'a resement, il refera cette Conférence Elle se penche sur le grabat des matoute d'actualité, dans la même lades, sur le lit des blessés dans les hôpi- mis ce misérable. Je sais un peu d'allemand. Je vais essayer de le déchiffrer. salle, dimanche prochain, à 8 h. taux. » A peine y avait-il jeté les yeux... Je du soir. Elle dirige en personne, comme elle le Nous engageons vivement nos faisait déjà pendant la guerre de Mand- le vois pâlir... Un cri s'étrangle dans sa concitoyens, à y assister en foule, chourie, un atelier où l'on fabrique des gorge. » — Ah ! la canaille ! d'autant plus qu'ils participeront à vêtements pour les soldats et elle pousse T> Voici les mots qu'il venait de lire une bonne œuvre, une partie de la elle-même l'aiguille. adressés au chet du prochain détacherecette devant être affectée au PaLes goûts de la tsarine la porteraient ment : quet du Soldat. . ". " " . ! : à élever ses enfants simplement, comme » Je vous envoie les porteurs de ce elle hit élevée elle-même, en famille, billet pour les faire fusiller. mais la chose est difficile dans un palais » — Ah ! la canaille! :: ' ' , ETAT CIVIL i où le solennel protocole règle tous les » Si nous avions eu des armes, nous DE LA VILLE D'ISSOIRE gestes des serviteurs, des étrangers et serions retournés vers les lâches bandits. même des souverains. Pendant le mois de Novembre ; Trop faibles, nous ne pouvions, quant à L'aînée des enfants de la tsarine, la présent, nous venger. Il fallait fuir, et princesse Olga, s'intéresse particulière., . . 1 : : N A I S S A N C E S ' : . . • • • . • - . • • • ' j fuir au plus vite. Un long circuit nous ment à l'histoire; elle doit suivre avec "mena hors de la zone périlleuse. Nous Fissis Henri-Jacques,filsde André-Elie, une palpitante attention les glorieuses et eûmes la chance d'échapper aux patrouilcultivateur et de Boyer Anne. immortelles pages d'histoire que l'emCabassu Léon, fils de Léon, peintre en pereur son père et les alliés sont en train les prussiennes. D'ailleurs, le papier qui nous vouait à l'assassinat était détruit. voitures et de Eugénie Thomas. d'écrire. : •.;•'• •..• • • > } - ' • • • • •<•••• Le jour, nous nous dissimulions dans Rouvet Bobert-Antoine, fils de Charles, La cadette se passionne pour la mu- l'ombre des chemins creux, derrière les cultivateur et de Malsagne Marie-Thérèse- sique et les grands compositeurs franhaies et les troncs d'arbres. Au crépusEugénie. çais : Berlioz, Félicien David et César cule, avec mille précautions, nous reLeguay Raymond-Michel, fils de Fran- Franck, lui sont familiers. prenions notre route, mâchant des raçois, journalier et de Moron Antoinette. Les deux plus jeunes ont les goûts de cines, nous abreuvant d'eau malsaine. Forestier Marie-Louise,fillede Antoine, leur mère pour la cuisine et les jeux de Nous rôdions autour du village, toujours jardinier et de Beauponcy Marie-Louise. plein air : Elles composent d'excellents occupé par l'Allemand. Enfin, il se décida Tissier André-René, fils de Jean, insti- goûters où la famille tout entière assiste. à déguerpir. En quel état retrouverais-je tuteur public et de Magnôl Léonie-GaQuant à l'héritier présomptif du trône, les êtres chers que j'y avais laissés?... brielle. le jeune Alexis, son bonheur est de se Je tremblais... Dieu me préserva de la Pelletier Théophile, fils de Pierre, cul- promener dans la ville, d'entrer dans les suprême catastrophe. Ma femme, ma tivateur et de Chambon Annette. bazars, d'y regarder les étalages et d'y petite fille, étaient vivantes... Je crus Dissay Elisabeth-Emilie, fils de Eugène, faire des achats. mourir d'émotion en les pressant dans cultivateur et de Voûte Marie-Louise. La matinée des princesses et du prince, mes bras... Nous étions réunis. Il nous à Pétrograd, est consacrée à l'étude ; cha- semblait que les épreuves ne pouvaient DÉCÈS cun ayant ses professeurs, ses gouver- plus nous atteindre. Nous quittâmes noMagnon Jean, 80 ans, sans prof., de nantes et son service d'honneur. A une tre logis dévasté, nous gagnâmes, à pied, Lezoux, époux de Marie Beauregard. heure, les enfants sont admis au déjeûVarnas Charles-Pierre, 6 ans, de Nantes. ner en famille, après quoi, quelque la frontière, ruinés, brisés de fatigues, Cladière Antoinette, 38 ans, couturière, temps qu'il fasse, a lieu une promenade mais heureux, puisque le sort nous accablait tous ensemble. » d'Issoire, épouse divorcée de Paul Gràn- dans le parc. Ensuite, les enfants retourgier. LE BONHOMME CHRYSALE. nent à leurs besognes spéciales jusqu'au Solois Antoine, 86 ans, sans prof., de dîner, auquel assistent seulement les aîYic-le-Comte, époux de Catherine Bosnet. nées; puis ils prennent part à des réuMontel Gabrielle, 72 ans, couturière, nions compatibles avec leur âge et qui d'Issoire, époux de Antoine Bounoure. ne les font pas veiller tard. Faure Elise, 67 ans, repasseuse, d'Is/ .-: Serge DAVRIL. Vente de PO US S 1ER de soire, épouse de Pierre Soleil. Collin François, 74 ans, cultivateur, COKE pour Couverture de La Lach (Basse Alsace), épouse de Le nouveau numéro du Journal de l'UniEconomique des Foyers. Marguerite Labrue. versité des Annales apporte, lui aussi, sa Lamoure Pierre, 46 ans, marchand de savante et pittoresque contribution à en publiant la belle conférence : cuir, de Saychalles (P.-de-D.), époux de l'actualité, du grand orateur belge Paul Hymans sur Magdeleine Fouilhoux. les « Fondateurs de l'Unité » en Belgique ; Mode d'Emploi Chapelle Jean, 62 ans, cultivateur, de celle de la généreuse Séverine sur les Mouiller lé poussier de. façon à former » Grandes Misères » ; celle d'Edouard HerMontpeyroux, époux de Justine Fiat. une pâtée épaisse, en disposer une couche riot sur la « Vie et l'Œuvre de Rembrandt », Bravard Antoinette, 72 ans, saris prof:, — le tout accompagné d'illustrations, de assez forte sur le Foyer qui se consume de Auzelle, célibataire. portraits et de reproductions artistiques une partie du jour où de la nuit, suivant Schwœrer Séraphin, 61 ans, bûcheron aussi instructives qu'attrayantes. l'emploi. ••' "'"\\........ de Wangenberg (Alsace) époux de Rosine Le numéro : 60 centimes; Abonnements: l'année scolaire (2b numéros), 10 francs Krimun. Pressoir Antoine, 78 ans, sans prof.; (étranger: 15 francs, 51, rue St-Georges, Paris. ; des FUTS DE VINS PIQUÉS, de Tourzel, époux de Françoise Audable. inutilisables, mais bons pour Vey Marie, 32 ans, repasseuse, de contenir du Goudron. Signalons le vif intérêt des principaux Sourdeval-la-Barre, épouse ne Noël Jean. articles contenus au sommaire du nouveau EN BON ÉTAT Loubinoux Louis", 70 ans, jardinier, numéro des Annales, qui, dans leur vivant d'Issoire, époux de Reine Randon Fûts de 2 hectol. : 4 fr. l'un; « Journal dé la Guerre », publient des éluFûts de 1 — 3 — . Marchand Antoinette, 75 ans, sans des, noies ou impressions d'Emile Faguel, Ernest Lavisse, Edouard Herriot, André prof., d'Issoire,veuve de Jean flerrier. Fûts d'huile ou de graisse Lichtemberger, F. de Jessen, Emile HinRÉCAPITULATION zelin, Jeanne, et Frédéric Régamey, Yvonne Fûts de 2 hectol. : 5 fr l'un ; Naissances 8. — Mariages 0. — Décès 15, Sarcey, le Bonhomme Chrysale; de vibrants Fûts de 1 — 4 — Société injaz i'Issoiri Les 1Q hectol. 2 Fr. ON É M E A ÂCHEÉ: AU BONHEUR DES DAMES S, Boulevard, de la. Jrlalle prévient sa Clientèle, que malgré l'augmentation de toutes les marchandises, elle maintient lès chapeaux aux prix de 4 fr. 90, 7 fr. 90, 11 fr. 90. Réduction de 5 pour 100 sur tous les deuils aux familles éprouvées par la guerre. A petite Villa, Ecurie, Remise et Jardin, autour d'Issoire. S'adresser à M. LOUIS, 2i, me Boulade, lssoire. AFFAttTElEITS- GAOIS A. LOUER S'adresser au Bureau du Journal. 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