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DOSSIER DE PRESSE Avril 2015 sans titre, série un air d’accueil, 2013-2015 © Estefanía Peñafiel Loaiza. Courtesy galerie Alain Gutharc, Paris Les Précipités #1 Estefanía Peñafiel Loaiza fragments liminaires Commissariat : Marc Lenot, lauréat du Prix AICA France 2014 (Association Internationale des Critiques d’Art) 18 avril - 28 juin 2015 Vernissage le samedi 18 avril à 15h Navette gratuite depuis Paris le jour du vernissage Contact Presse Diana Madeleine - [email protected], T. 01 64 43 53 90 Centre Photographique d’Ile-de-France, 107 avenue de la République, 77 340 Pontault-Combault __Communiqué de presse Du samedi 18 avril au dimanche 28 juin 2015 Commissariat : Marc Lenot, lauréat du Prix AICA France 2014 de la critique d’art À l’occasion du Prix AICA France 2014 et dans le cadre des Précipités #1 Tout le travail d’Estefanía Peñafiel Loaiza, dans ses divers modes d’expression (symbolique, narratif, indiciel ou simplement évocateur) et ses divers médiums (photographie, vidéo, installation, texte, performance), fait montre d’une grande cohérence, comme si chacune de ses pièces était un fragment d’une œuvre globale, dont nous ne voyons encore que les débuts, le liminaire. Il y est question de visibilité et d’absence, d’histoire et de mémoire, de déplacement et de territoire, et toujours avec une grande simplicité et une économie de moyens. L’artiste franco-équatorienne Estefanía Peñafiel Loaiza a été accueillie en résidence de postproduction au CPIF entre octobre 2014 et janvier 2015, pour finaliser sa série d’images un air d’accueil. Comme le critique et blogueur Marc Lenot a obtenu le Prix AICA France (décerné par un jury international de l’Association Internationale des Critiques d’Art en mars 2014) pour sa présentation du travail d’Estefanía Peñafiel Loaiza, et que, outre la publication d’un livre financé par l’AICA France, ce Prix donne lieu à la tenue d’une exposition, fragments liminaires, sans être une rétrospective du travail de cette jeune artiste, regroupe ici un certain nombre de ses travaux plus anciens au sein desquels sa série récente un air d’accueil est mise en perspective. Marc Lenot Cette exposition inaugure Les Précipités, un nouveau programme dédié à la cristallisation, à la visibilité, de projets de recherches en cours liés aux résidences de création artistique du CPIF. Il se veut propice à la surprise, l’innovation et l’impromptu. Estefanía Peñafiel Loaiza (Quito, Équateur, 1978), après des études à l’Université d’arts plastiques de Quito, poursuit en 2002 ses études en France aux Beaux-arts de Paris, puis termine par deux post-diplômes aux Beaux-arts de Paris et Lyon. Elle vit et travaille à Paris, et est représentée par la galerie Alain Gutharc. Marc Lenot (Saint-Étienne, 1948), après des études à l’École Polytechnique et au Massachusetts Institute of Technology, a travaillé comme économiste et comme consultant en stratégie et en recrutement, avant de se réinventer en critique d’art à partir de 2005. Il est depuis dix ans l’auteur du blog de référence sur l’art contemporain Lunettes Rouges publié par Le Monde. Samedi 18 avril à 15h vernissage en présence de l’artiste et du commissaire Navette gratuite depuis Paris le jour du vernissage Départ place de la Bastille à 14h15 – Réservation indispensable au 01 70 05 49 80 ou à [email protected] Samedi 27 juin de 15h à 17h - Signature de la publication du livre sur Estefanía Peñafiel Loaiza Édité par Les Presses du Réel et produit par l’AICA (France) (textes de Marc Lenot, de la critique d’art cubaine Lupe Alvarez, de Raphaël Cuir, président de l’AICA France, et de Nathalie Giraudeau, Directrice du CPIF ; trilingue français-anglaisespagnol), en présence de l’artiste et du commissaire. Rencontre Presse : Vendredi 17 avril de 11h à 14h En présence d’Estefanía Peñafiel Loaiza et Marc Lenot Sur rendez-vous auprès de Diana Madeleine [email protected] ou au 01 64 43 53 90 (rencontre possible avec l’artiste et le commissaire) 2 __fragments liminaires Dès l’entrée dans l’exposition, nous sommes frappés par une absence, un manque, une invisibilité au sein d’une photographie, en fait, l’occultation d’un migrant, d’un clandestin, échappant ainsi à la surveillance (un air d’accueil). Ce retrait, cette protection par l’invisibilité, nous allons les retrouver avec les figures d’anonymes, de sans-grade, de sans-nom, gommées des photographies des journaux et préservées dans de petits bocaux (sans titre (figurants)). Plus loin, des textes disparaissent, occultés par une noirceur de suie qui n’en laisse plus voir que des bribes à peine lisibles (sous rature) ; un autre texte, un chapitre du livre relatant le voyage initiatique d’Henri Michaux en Équateur en 1929, disparaît lettre à lettre sous nos yeux pour mieux rester dans notre mémoire (préface à une cartographie d’un pays imaginé). Et face à ce grand mur tout blanc, apparemment vierge de tout signe, nous sommes pris dans un piège de la visibilité, où ce qui est montré est caché, où une ligne abstraite est rendue à peine visible, comme un imaginaire échappant à la perception (mirage(s) 2. ligne imaginaire (équateur)). Cette réflexion sur l’image et la visibilité sous-tend tout le travail d’Estefanía Peñafiel Loaiza depuis ses premiers objets secrets enfermés dans de la cire il y a douze ans (collection de secrets) jusqu’à ses plus récents travaux. Il ne faut pas s’y tromper : ce n’est pas là une recherche purement formelle sur le visible et l’invisible, le latent et le manifeste, que mènerait Estefanía Peñafiel Loaiza, mais, pour elle, une telle recherche ne peut s’inscrire que dans l’histoire, et, partant, dans le politique. C’est bien d’oubli et de mémoire qu’il s’agit ici, de notre refus de voir, et de la volonté de l’artiste de révéler des fragments d’histoire et leurs protagonistes : clandestins, anonymes, détenus dans des centres de rétention (les villes invisibles 3. l’étincelle (Vincennes 2008)). Quelles images restentils de l’histoire ? Une main écrit et efface inlassablement : l’histoire, les histoires, l’Histoire, les Histoires se répètent (angelus novus) ; ailleurs, l’artiste rendait invisibles des photos avec la lumière même, trop forte ou inactinique, photographies du Sonderkommando de Birkenau (fiat lux) ou images des émeutes dans les ghettos de banlieue en 2005 (cherchant une lumière, garde une fumée), traces d’histoire dont la vision devenait alors impossible. Or ce n’est pas de destruction qu’il s’agit là, mais plutôt de déconstruction, de transfert dans un nouveau territoire où le vestige de l’image puisse subsister autrement : reliquaires des figurants préservant les résidus du gommage de leur image, gravure d’un sonagramme dans des livres recouverts de cire (sismographies 3. entrenerfs), inscriptions fugitives sur des vitres ou des feuilles d’arbre témoignant de l’histoire du lieu, empreintes du palimpseste de la ‘peau’ du sol ou des établis d’une ancienne usine comme un vestige de son activité passée et une trace de sa vie présente (l’espace épisodique), ou moulage du socle d’une ancienne guillotine dans une rue de Paris (présent, imparfait). Ces déplacements, ces nouveaux lieux, leur histoire et leur culture forment une trame essentielle du travail d’Estefanía Peñafiel Loaiza. Il y est souvent question de lieux, de cartes, et du passage de l’un à l’autre, que ce soit l’équateur, la ligne d’horizon ou la vue depuis une chambre à Beyrouth (a room with a view (mode d’emploi)). Tout cela est magnifié par sa capacité à jongler, à ébahir, à chambouler les points de vue de manière surprenante. Sans grandiloquence et avec des moyens délibérément modestes, elle parvient à tisser des liens forts et à transmettre un regard étonnant. Telle exposition d’elle a tenu dans une valise, telle autre s’est accompagnée de la dissémination de prières d’insérer dans les livres d’une bibliothèque, et ses performances sont souvent la mise en scène d’idées simples mais dramatiquement complexes (ainsi la lecture à l’envers des 18 Constitutions de son pays (compte à rebours)). La sobriété des moyens renforce la dimension percutante de son propos sur l’image et la mémoire. Marc Lenot 3 __un air d’accueil Les visuels ci-dessous sont disponibles sur demande. Les vues de l’exposition seront disponibles à partir du 24 avril. Série un air d’accueil, 2013-2015 Impressions jet d’encre contrecollées sur Dibond Dimensions variables Courtesy Galerie Alain Gutharc 4 __sans titre (figurants) sans titre (figurants), 2009 - 2014 Installation - archive, fioles en verre, gomme à effacer, liste, journaux Dimensions variables Copyright Marc Domage, Courtesy Galerie Alain Gutharc 5 sans titre (figurants), 2009 - 2014 Installation - archive, fioles en verre, gomme à effacer, liste, journaux Dimensions variables Courtesy Galerie Alain Gutharc 6 __l’espace épisodique l’espace épisodique, 2014 Installation in situ, vernis Dimensions variables Copyright André Morin, Courtesy Galerie Alain Gutharc 7 __sismographies 3. entrenerfs sismographies 3. entrenerfs, 2013 Livres, cire noire 353 x 75,5 x 86,5 cm Courtesy Galerie Alain Gutharc 8 __lesvilles invisibles les villes invisibles 3, l’étincelle (Vincennes), 2008 Installation, projection diapositives, écran photosensible Dimensions variables Courtesy Galerie Alain Gutharc 9 __Biographie d’Estefanía Peñafiel Loaiza Estefanía Peñafiel Loaiza est née en 1978 à Quito en Équateur. Après des études à l’Université d’arts plastiques de Quito, elle poursuit en 2002 ses études en France aux Beaux-arts de Paris, puis termine par deux postdiplômes aux Beaux-arts de Paris et Lyon. Elle vit à Paris, et est représentée par la galerie Alain Gutarc, Paris. Outre les nombreuses expositions collectives et résidences artistiques auxquelles elle a participé, tant en France qu’en Équateur et dans d’autres pays depuis 2001, on peut noter parmi ses expositions personnelles celles au Crédac (Ivry-sur-Seine, 2014) ; à la Villa du Parc (Annemasse, 2013) ; dans des centres d’art en Équateur, à Cuenca (Sala Proceso, 2013) et Quito (Arte Actual, 2012) ; à Al Ma’mal (Jérusalem-Est, Palestine, 2012) ; à The Hangar (Beyrouth, Liban, 2011) ; au Centre d’Art Bastille (Grenoble, 2009) ; ainsi qu’à la galerie Alain Gutharc, qui la représente (Paris, 2009, 2012, 2014). Ses œuvres ont été, entre autres, acquises par le Fonds National d’Art Contemporain, les FRAC FrancheComté et Basse-Normandie, et la Collection départementale d’art contemporain de la Seine Saint-Denis. Expositions personnelles 2015 fragments liminaires, Prix AICA France, Centre Photographique d’Ile-de-France, Pontault-Combault, France. 2014 l’espace épisodique, Centre d’art contemporain d’Ivry - Le CRÉDAC, France. 2013 la dix-huitième place, (avec Thu Van Tran), Centre d’art Villa du Parc, Annemasse, France. en valija, Sala Proceso, Cuenca, Équateur. 2012 la visibilité est un piège, Nuit Blanche, Al-Ma’mal, Jérusalem-Est, Palestine. sismographies, Galerie Alain Gutharc, Paris, France. exposición, Arte Actual, Quito, Équateur. 2011 no vacancy, The Hangar, Beyrouth, Liban. 2009 parallaxes, Galerie Alain Gutharc, Paris, France. à perte de vue, CAB, Centre d’Art Bastille, Grenoble, France. 2008 la courbe de l’oubli, Galerie Paul Frèches, Paris, France. Expositions collectives (sélection) 10 2014 Passé simple, futurs composés, CENTQUATRE, Paris, France. Tiempo de progresso, Musée Barjola, Principautés des Asturies, Espagne. Summer time, Galerie Alain Gutharc, Paris, France Artothèque de la Biennale de Belleville, Paris, France. Entre les mondes, Le Parvis, Tarbes Pyrénées, France. Tout, est ce que nous avons toujours voulu, Espace Khiasma, Les Lilas, France. Marqués par une image, Abbaye de Annecy-le-Vieux, France. 2013 Nouvelles Vagues, Palais de Tokio, Paris, France. .doc, Galerie Edouard Manet, Gennevilliers, France. Souvenir de Ecuador, Institut Cervantes, Rome, Italie. Rêves d’architecture, l’Espace de l’Art Concret, Mouans-Sartoux, France. Premio Nacional de Artes Mariano Aguilera, CAC, Quito, Équateur. Le moindre geste, Grandes Galeries de l’Astre Saint Maclou, ESADHAR, Rouen, France. 2012 Le blues du chien, FRAC Basse-Normandie, Caen, France. A night screen, 6B, Saint-Denis, France. Silence !, 2angles, exposition organisée par le FRAC Basse-Normandie, Flers de l’Orne, France. The Beirut Experience II, Villa Bernasconi, Genève, Suisse. Genius Loci, Les collections photographiques de M. et Mme, Fontfreyde, 2ème épisode : tout va très bien, MadameLla Marquise, Hôtel Fontfreyde – Centre photographique, Clemont-Ferrand, France. Atlas critique, Parc Saint Léger, Centre d’Art Contemporain, Pougues-les-Eaux, France. L’étincelle qui met feu à la plaine (art et politique), Centro de Arte Contemporáneo, Quito, Équateur. Dans les profondeurs d’une forêt. De préférence auprès d’un torrent, Pavillon Blanc, Centre d’art de Colomiers, Colomiers, France. 2011 Soudain déjà, ENSBA, Paris, France. Le voyage immobile, Galerie Alain Gutharc, Paris, France. The Beirut Experience, The Beirut Art Center, Beyrouth, Liban. Minusubliminus (des collections à la fiction), Hors les murs du Parc Saint Léger, Centre d’art contemporain, Cosne-Cours-Sur- Loire, France. FIVAC, Festival Internacional Videoarte, Camaguey, Cuba. Effacement visible, Musée d’art et d’histoire, Saint-Denis, France. Le Monde Physique, La Galerie, Noisy-le-Sec, France. WASHED OUT, Konsthall C /Central Tvätt, Stockholm, Suède. PARADAS EM MOVIMIENTO : PASSADO IMPERFEITO, Centro Cultural Sao Paulo, Brésil. 2010 PHAOS, Lac & S Lavitrine, Limoges, France. AUTO/Portraits, Galerie Jeune Création, Paris, France. Pasado Imperfecto, Centro Fundación Telefónica, Lima, Perou. Biennial of the Americas, McNichols Building, Denver, EUA. Quito en Zaragoza, Ayuntamiento de Zaragoza, Espagne. Pasado Imperfecto, Sala de Exposiciones ASAB, Bogotá, Colombia. Ins Blickfeld gerückt, Institut français de Berlin, Allemagne. Les Belles Images (Second Scénario), La Box, Bourges, France. The Seven Day Week-End, Quai Malaquais École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, France. Cadavre Exquis, Project Room – Flacso, Quito, Équateur / Nuovo Cinema Aquila, Rome, Italie. Playliste, Museo de Arte Moderno, Guayaquil, Équateur. Performances – happenings tentative d’égarement 2014Programme Partitions, Fondation Ricard, Paris, France. 2011 Dans le cadre de l’exposition Topographie de la Guerre, Le Bal, Paris, France. cuenta regresiva 2013 Experienz #2 – Materializing the social, Wiels, Festival de Performances, Bruxelles, Belgique. Festival autour des nouvelles formes et pratiques de la performance, Il va se passer quelque chose, Maison de l’Amérique Latine, Paris, France. 2012 Festival + si Affinité, Anarchisations (conspire aujourd’hui / Inspire demain), Fiac (Tarn), France. 2011 Dans le cadre de l’exposition Sounds Concrete, Parc départemental de Cormailles, Ivry sur Seine, France. Résidences 2014/15 Résidence – Atelier de Postproduction, Centre Photographique d’Ile-de-France, Pontault-Combault (3 mois). 2011 Résidence de recherche artistique et exposition personnelle, The Hangar, Beyrouth, Liban (3 semaines). 2010/11 Résidence d’artiste, exposition collective. La Galerie, Noisy-le-Sec, France (9 mois). 2010 Résidence d’artiste, édition livre d’artiste, Triangle France, Le Tassili, Djanet, Algérie (1 semaine). Prix 2014 Prix AICA (Association Internationale des Critiques d’art), lauréat Marc Lenot présentant l’artiste Estefanía Peñafiel Loaiza, France. 2012 Prix National des Arts Mariano Aguilera 2012, Premio Nuevo Mariano, Bourse de Création et Investigation Artistique, Fundación Museos de la Ciudad, Équateur. 11 __Biographie de Marc Lenot Marc Lenot (Saint-Étienne, 1948), après des études à l’École Polytechnique et au Massachusetts Institute of Technology, a travaillé comme économiste et comme consultant en stratégie et en recrutement, avant de se réinventer en critique d’art à partir de 2005. Il est depuis dix ans l’auteur du blog de référence sur l’art contemporain Lunettes Rouges publié par Le Monde. Il a par ailleurs obtenu en 2009 un Master à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales avec un mémoire sur le photographe tchèque Miroslav Tichý, et il termine actuellement la rédaction d’une thèse sur la photographie expérimentale contemporaine sous la direction de Michel Poivert à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il a été le premier membre « non-papier » de l’AICA en France, et c’est avec sa présentation orale du travail d’Estefanía Peñafiel Loaiza (sur qui il a commencé à écrire en juin 2007) qu’il a remporté le Prix AICA France en mars 2014 lors d’une compétition avec neuf autres critiques d’art. Il vit entre Lisbonne et Paris. __Agenda des événements Navette gratuite le jour du vernissage Samedi 18 avril à 14h15 Paris > CPIF > Paris Départ place de la Bastille à 14h15 Retour sur Paris à 18h (départ du CPIF à 17h) Réservation indispensable : 01 70 05 49 80 ou [email protected] P’tit Atelier Pages images Les 22 et 23 avril, de 10h à 17h Stage de pratique artistique avec Leïla Brett pour les 7-15 ans Tarif : 28 euros, 20 euros pour les bénéficiaires de minimas sociaux Sam’di en famille Les samedis 16 mai et 13 juin, à 15h Un samedi par mois à 15h, des jeux et des activités pour petits et grands afin d’explorer l’exposition autrement! Gratuit et ouvert à tous à partir de 5 ans (sur réservation) Sam’di numérique No Objet Samedi 30 mai de 10h à 17h Atelier de création avec Tanguy Ferrand pour les 7-15 ans Tarif : 18 euros Renseignements et inscriptions au 01 70 05 49 82 ou à [email protected] Signature - Dans le cadre d’Hospitalité(s) 2015 – TRAM Samedi 27 juin de 15h à 17h Signature de la publication du livre sur Estefanía Peñafiel Loaiza Édité par Les Presses du réel et produit par l’AICA France (textes de Marc Lenot, de la critique d’art cubaine Lupe Alvarez, de Raphaël Cuir, président de l’AICA France, et de Nathalie Giraudeau, Directrice du CPIF ; trilingue français-anglais-espagnol), en présence de l’artiste et du commissaire. 13 __À venir au CPIF Témoigner la guerre A fendre le coeur le plus dur Regards sur une archive Exposition collective coproduite avec le Frac Alsace © Archives départementales de l’Hérault (DR) © Bibliothèque nationale de France (DR) Frac Alsace - Du 23 mai au 18 octobre 2015 Vernissage le vendredi 22 mai CPIF - Exposition du 15 novembre 2015 au 20 février 2016 Vernissage samedi 14 novembre 2015 __Missions et projet Le Centre Photographique d’Ile-de-France (CPIF) est un centre d’art contemporain conventionné dédié à l’image fixe et en mouvement. Il soutient les expérimentations des artistes français ou étrangers, émergents ou confirmés, par la production d’œuvres, l’exposition et l’accueil en résidences (atelier de postproduction et résidence internationale). Il est attentif aux relations que la photographie contemporaine entretient avec les autres champs de l’art, notamment l’image en mouvement, l’installation, le numérique... Trois à quatre expositions par an interrogent les pratiques hétérogènes de la photographie, les démarches réflexives ou conceptuelles qui s’articulent avec le modèle documentaire (valeur, forme et question du référent), et qui s’intègrent dans le champ de l’art contemporain. Terrain de rencontres sensibles, le CPIF joue également un rôle de « passeur » entre les artistes et les publics : il conçoit des actions de médiation à la carte (visites dialoguées, conférences, workshop, rencontres), propose des ateliers de pratiques amateurs, et développe à l’année des projets de résidences et d’ateliers pratiques en milieu scolaire. Créé en 1989, le CPIF est situé dans la graineterie d’une ancienne ferme briarde. Son architecture et sa vaste surface d’exposition de 380 m2 en font un lieu unique en France. 14 __Informations pratiques Cour de la Ferme Briarde 107, avenue de la République 77340 Pontault-Combault Tel : 01 70 05 49 82 – Fax : 01 70 05 49 84 [email protected] www.cpif.net Coordonnées GPS Latitude : 48.8002841 - Longitude : 2.607940699999972 Contact Presse Diana Madeleine [email protected], T. 01 64 43 53 90 Jours et horaires d’ouverture Entrée libre Du mercredi au vendredi de 13h à 18h Samedi et dimanche de 14h à 18h Fermé les lundis, mardis et jours fériés Visites commentées gratuites chaque dimanche à 15h Renseignements auprès du Service des Publics (visites, projets) au 01 70 05 49 83 Moyens d’accès depuis Paris En RER E (25mn depuis Gare du Nord – Magenta, 2 trains par heure) : Direction Tournan en Brie, descendre à Emerainville / Pontault-Combault. Le Centre est à 10mn à pied de la gare. En sortant de la gare, prendre sur la droite, puis tourner à gauche sur l’Avenue de la République et la descendre ; traverser le parc en direction de l’Hôtel de Ville. Le CPIF se trouve dans la cour de la Ferme Briarde. En voiture : autoroute A4 (porte de Bercy), dir. Metz-Nancy, sortie Emerainville / Pontault-Combault – gare (sortie 14). En ville, suivre « centre ville », puis « Centre Photographique d’Ile-de-France » ; Hôtel de Ville, puis Centre Photographique d’Ile-de-France. Se garer sur le parking de l’Hôtel de Ville. Le CPIF se trouve dans la cour de la ferme Briarde. L’exposition est réalisée avec le soutien de l’Atelier Voies Off à Arles, le concours de l’AICA France et de la galerie Alain Gutharc. Le CPIF bénéficie du soutien de Avec le concours de Le CPIF est membre des réseaux professionnels Partenaires média 16