Download Le mercredi 17 mars 20109h30
Transcript
(' (' ((dXij)'(' ASSEMBLEE ANNUELLE de la Fédération Wallonne de l’Agriculture à Gembloux, Espace Senghor (accès par l’avenue de la faculté d’agronomie) Le mercredi 17 mars 2010 9h30 Programme: Leçons d’une crise et perspectives d’avenir Z 09h30 Accueil café Z 10h00 Accueil, par René Ladouce, Président de la FWA Z 10h10 Echange de questions-réponses avec la participation de: - M. J-L.Demarty, Directeur de la DG Agriculture et Développement rural de la Commission européenne - Mme Sabine Laruelle, Ministre fédérale de l’Agriculture - M. Benoît Lutgen, Ministre régional de l’Agriculture - Mme Anne-Marie Tasiaux-Biatour,Présidente de l’UAW - M. Gary Vanvinckenroye,Président de la FJA - M. René Ladouce, Président de la FWA Cet échange sera illustré par un film réalisé par la FWA et Canal Zoom Z 12h30 Conclusions, par Yvan Hayez, Secrétaire Général de la FWA Au terme de la séance, une réception amicale sera organisée pour les participants dans le hall d’accueil de l’Espace Senghor UNION DES AGRICULTRICES WALLONNES 99986432/0710 crt DEPOT : BRUXELLES X <;@KF Assemblee annuelle du 17 mars: moment important pour notre secteur Les Assemblées Annuelles de nos trois organisations se suivent à pas cadencés. La semaine dernière les jeunes, ce vendredi les agricultrices et mercredi prochain la FWA, qui, exceptionnellement cette année en raison des festivités du cent cinquantenaire de la Faculté, achèvera cette série de rendez-vous importants pour le monde agricole de notre région. PmXe ?Xp\q Ils étaient nombreux jeudi soir dernier à rejoindre l’espace Senghor pour assister à l’Assemblée Annuelle de la Fédération des Jeunes Agriculteurs. Dans le contexte actuel, cette très large participation est réconfortante et nous indique que «Les attentes des jeunes agriculteurs européens vis-à-vis de la politique Agricole Commune», thème retenu pour ce congrès, restent importantes et mobilisatrices. Après les excellents exposés de Messieurs Pierre Bascou (Commission Européenne – DG Agri) et JeanFrançois Sneessens (UCL), nos jeunes ont organisé une tableronde internationale réunissant des représentants espagnols, français et néerlandais membres du CEJA. Assistaient également à cette assemblée avec prise de parole, nos ministres de l’agriculture, Sabine Laruelle et Benoît Lutgen. Ce vendredi, ce sont les agricultrices qui prennent le relais avec «L’agriculture: entre libéralisation et régulation». Par ce thème, elles seront au cœur des préoccupations du monde agricole européen et prolongeront parfaitement les réflexions et attentes formulées par les jeunes agriculteurs. Fidèles à leur esprit d’ouverture, les agricultrices élargiront leur débat à sa dimension mondiale avec notamment une intervention de Luc Guyau, ancien Président de la FNSEA et actuel Président de la FAO, dont les propos seront très certainement riches d’enseignements. Gageons que pour cette assemblée également, les participants seront très nombreux. Mercredi prochain, une fois n’est pas coutume, c’est la FWA qui organisera la troisième et dernière assemblée annuelle Une Assemblée Annuelle constitue un moment important dans la vie d’une organisation professionnelle: c’est un moment de rassemblement de ses membres, et c’est l’occasion d’adresser des messages à la société et au monde politique de nos organisations en 2010. Depuis deux ans, le secteur agricole européen est plongé dans une crise longue, profonde et sévère. La Politique Agricole Commune se trouve une nouvelle fois à la croisée des chemins avec une phase de programmation qui s’achèvera en 2013 et une nouvelle phase à l’horizon 2020 qui entre dès à présent dans sa phase d’élaboration. L’année 2010, durant laquelle la Belgique assurera la présidence européenne lors du second semestre, sera particulièrement chargée et déterminante pour le secteur agricole. Nous retiendrons trois dossiers particulièrement importants: - L’ouverture des négociations sur le budget européen et sur le budget agricole en particulier pour la période 2013 – 2020. - Les négociations dans les prochaines semaines sur l’abandon du modèle historique et le passage progressif à un modèle d’octroi forfaitaire des DPU - La formulation en juin prochain des conclusions du Groupe d’Experts Haut Niveau mis en place par la Commission en no- vembre dernier, pour apporter des solutions alternatives au démantèlement des outils de gestion de marché. Une Assemblée Annuelle est traditionnellement mise à profit pour faire le bilan de l’année écoulée, d’en tirer les enseignements et surtout de dégager des perspectives d’avenir. Pourquoi en sommes-nous arrivés là, qu’est ce qui a été fait durant les mois écoulés et surtout quelles sont les perspectives pour demain? Mercredi prochain, le Président Ladouce accueillera Jean-Luc Demarty, Directeur Général pour l’Agriculture et le Développement rural à la Commission européenne et Président du Groupe d’Experts Haut Niveau, ainsi que nos deux Ministres Sabine Laruelle et Benoît Lutgen. Rejoints par la Présidente des agricultrices et le Président des jeunes agriculteurs, nos trois représentants interpelleront au travers de nos trois invités les différents niveaux de décision qui influent sur le devenir de notre profession. Une Assemblée Annuelle constitue un moment important dans la vie d’une organisation professionnelle. Ceci à deux titres. C’est un moment de rassemblement de ses membres, et c’est l’occasion d’adresser des messages à la société et au monde politique en particulier. Il est important qu’à cette occasion la profession soit la plus largement représentée. En dépit des difficultés auxquelles nous sommes confrontés, plus que jamais nous devons resserrer les rangs, exprimer notre cohésion et manifester notre volonté de forger un avenir à notre agriculture. • Les 500000 tonnes de sucre supplémentaires déjà exportées Il n’y a pas fallu un mois pour que la Commission européenne accord les licences d’exportation de 500000 tonnes de sucre supplémentaires par rapport au quota OMC autorisé de 1,379 million de tonnes. Les dernières demandes de licence d’exportation déposées par les opérateurs du 15 au 19 février ayant été trop importantes (246 000 tonnes), la Commission européenne a dû appliquer un coefficient de réfaction de 38,6 % (99 871 tonnes acceptées) pour rester dans la limite des 500 000 tonnes. Selon l’Organisation internationale du sucre (ISO), le marché du sucre devrait présenter un déficit de 9,42 millions de tonnes en 2009/2010. Dans son rapport trimestriel, l’ISO prévoit une haus) ((dXij)'(' se de 3,07 % à 4,68 millions de tonnes de la production mondiale sur la saison 2009/2010 (octobreseptembre) par rapport à l’année précédente, pour atteindre 157,16 millions de tonnes. «L’économie sucrière fait face pour la deuxième année consécutive à un écart significatif entre la consommation et la production dans le monde», note l’ISO, après des années de surplus importants. «De façon générale, les récoltes dans les principaux pays producteurs de sucre, à l’exception de l’Union européenne, de la Russie, et éventuellement de l’Inde, devraient être inférieures aux prévisions du début de saison», détaille l’ISO. «A court terme, on ne peut exclure une poursuite de la hausse des prix et la situation devrait être particulièrement alarmante pour les pays importateurs au deuxième semestre 2010, avant l’arrivée sur le marché de la nouvelle récolte brésilienne », prévient l’ISO. Pour le cycle de production suivant (2010/2011), l’ISO anticipe une disparition du fossé entre production et consommation, «et même un retour à des surplus, même faibles, aux alentours d’un million de tonnes, peut être envisagé». Cependant, «un surplus aussi faible ne permettra pas de combler l’affaiblissement des stocks», a encore indiqué l’organisation sucrière mondiale. JPE;@:8C La FWA rencontre des représentants du PS et du MR Dans le cadre de la série d’échanges que notre Fédération a engagés avec les partis politiques, la FWA a rencontré la semaine dernière, après ceux du PS, des représentants du MR. Rappelons que ces réunions succèdent à une rencontre analogue qui a eu lieu avec le parti Ecolo en décembre dernier et précèdent une prochaine rencontre avec les représentants du cdH à la fin de ce mois de mars. Aux deux partis, la Fwa a tenu à faire part des préoccupations des agriculteurs dans divers domaines, de l’avenir de la Pac aux soucis d’aménagement du territoire en passant par l’évolution des contraintes liées au bien-être animal, à l’environnement, etc. Notre Fédération a aussi voulu communiquer sur son travail dans ces différents secteurs, une tâche dont se sont acquittés avec brio les experts de notre Service d’études. De la sorte, les responsables politiques conviés ont pu disposer du maximum d’informations pertinentes. A eux et à leur parti désormais de se positionner sur les dossiers soulevés. Il s’est agi pour chaque type de problématique des dossiers dominants de l’actualité. Parmi ceux-ci, les prochaines évolutions liées à la politique agricole commune occupent bien sûr une place de choix. En effet, dans le cadre des décisions du Conseil de novembre 2008, dites «Bilan de Santé», il était loisible pour les Etats membres de s’engager ou non dès le 1er août dans une modification de leur système de distribution des aides directes. En l’occurrence, et selon ce que laissait à entendre en son temps la Commissaire Fischer Boel, de s’orienter vers l’amorce d’un système «forfaitairisé». La donne a quelque peu changé avec les premières déclarations du nouveau Commissaire à l’agriculture, Dacian Ciolos. Si celui-ci estime que le système des références historiques est de plus en plus injustifié et est donc condamné à terme, il donne cependant à penser qu’il convient de s’en éloigner de manière graduelle. De sorte que pour la Fwa, il n’est plus indiqué de se précipiter vers un système plus forfaitaire, d’autant que la communication de la Commission sur la Pac post-2013 n’est annoncée désormais que pour la fin de l’année. La Fwa en profite pour rappeler que si, pour d’aucuns, les références historiques «20002002» peuvent s’apparenter à un archaïsme, les producteurs de betteraves et de chicorées, eux, n’ont pour références que les années 2005-2006, qui ne sont pas si lointaines. Il conviendrait donc, par simple respect, de leur laisser un peu de répit avant de leur imposer un autre régime. Les partis à l’écoute Le MR a répondu à notre invitation par la présence de plusieurs représentants:la Ministre Sabine Laruelle, les députés wallons Willy Borsus, Michel Mouyard, Caroline Cassart-Mailleux, une attachée au Cabinet du député européen Louis Michel, Jean Devillers, président de la commission agricole du parti, Luc Hennuy, Conseiller de la Ministre Laruelle, ainsi que divers techniciens du parti. L’ensemble de ces représentants s’est montré sa- Au sein de la délégation du MR on reconnaît au premier plan Willy Borsus, Jean Devillers et Caroline Cassart tisfait du type d’échanges ainsi mis sur pied. Chacun ayant cependant demandé davantage d’informations sur des sujets les concernant plus spécifiquement, tantôt les mesures agri-environnementales, tantôt les règles urbanistiques. Un débat assez animé a eu lieu sur les OGM, à l’issue duquel un consensus a paru se dégager avec la Ministre Laruelle sur le fait qu’une prééminence doit être donnée à une Recherche publique impartiale sur ce dossier sensible. Un pilier agricole unique ? Marc Tarabella est notre seul représentant belge au sein de la commission agriculture du Parlement européen. Au cours de la séance d’information et de discussion avec les représentants du PS à la FWA à Gembloux, il a rappelé la complexité de trouver un consensus entre les divers pays membres et les familles politiques. En matière d’avenir de la PAC, dit-il, certains sont très favorables à des modifications significatives, tandis que d’autres prônent le statu quo: la solution qui sera appliquée se trouvera quelque part entre les deux... Il précise également que cette commission agricole du Parlement européen s’est dotée de divers groupes de travail qui analysent des problématiques ou des pistes plus précises. Parmi celles-ci, on évoque la disparition de la notion des pilier un et pilier deux, en faveur d’un pilier agricole qui rassemble l’ensemble des moyens et des politiques liées à l’activité agricole. Une piste parmi d’autres, que le député européen semble envisager d’un bon oeil, même s’il faut encore la creuser et la préciser. Cette piste aurait en effet l’avantage, dit-il, de rendre plus visible le travail capital que réalisent les agriculteurs en faveur de la gestion de l’environnement, et de valoriser ce travail en terme financiers et de communication... Pour le PS Marc Tarabella était accompagné de Julien Mestrez, député provincial liégeois à l’agriculture ((dXij)'(' * 8:KL8C@KyJ Lutgen veut développer la filière équine wallonne Paiement unique: accès à la réserve Le Ministre wallon de l’Agriculture, Benoît Lutgen, a décidé de confier une mission supplémentaire au Centre européen du cheval de Mont-le-Soie afin de contribuer au développement du secteur équin en Région wallonne. En cas d’héritage, d’achat de terre ou de restructuration, il est possible de solliciter un accès à la réserve dans le cadre du régime de paiement unique tandis que les jeunes agriculteurs peuvent prétendre à une augmentation de la valeur unitaire de leurs droits. Si vous pensez pouvoir répondre aux conditions d’accès, n’oubliez pas d’introduire votre demande pour le 31 mars au plus tard. La réglementation relative au régime de paiement unique, prévoit que, dans certains cas précis, les agriculteurs peuvent avoir accès à la réserve. Il faut pour cela correspondre à une ou plusieurs des catégories suivantes. Achat de terre Pour rappel, cette filière représente 7.500 emplois directs et indirects, un chiffre d’affaires annuel de plus de 100 millions , 40.000 pratiquants. L’équitation s’installe ainsi sur la troisième marche du podium des sports pratiqués en Wallonie. Pour le Ministre Lutgen, les opportunités de développement de la filière équine wallonne sont considérables. La Région wallonne dispose de l’espace et de ressources naturelles propices à son expansion. La filière représente une source de diversification pour le secteur agricole. Elle dispose surtout d’une marge de progression en matière d’élevage. La Région wallonne se trouve au carrefour de différents courants de sang européens. Il s’agit dès lors de soutenir les éleveurs wallons pour faire émerger des poulains d’élite dans notre Région. Les nouvelles missions dévolues au Centre européen du cheval de Mont-le-Soie sont essentiellement centrées sur les nouvelles techniques de reproduction. Elles permettent de positionner le centre comme un outil d’excellence et de référence en offrant des services adaptés à tous les éleveurs et vétérinaires wallons. Pour ce faire, le Centre reprendra notamment les activités de LINALUX. Pour rappel, notre Centre euro- péen vise entre autres à favoriser: - la promotion du cheval comme un des éléments moteurs du développement rural - la résolution des problèmes de locomotion et l’optimalisation des performances des chevaux de trait et de sport; - l’accompagnement médical et sportif des jeunes chevaux élevés en Wallonie; - l’organisation d’activités de stage et de formation en ce qui concerne les métiers équins; - le développement du tourisme équestre. Cette nouvelle mission permet, selon le communiqué du Ministre, au Centre européen du cheval de Mont-le-Soie d’assurer le développement de la filière équine de manière encore plus cohérente, de l’amont à l’aval. Une subvention complémentaire de 190.000 sera accordée au Centre de Mont-le-Soie pour que la Wallonie devienne une terre de champions. Au total, la subvention de la Région wallonne au centre de Mont-le-Soie s’élève à 650.000E chaque année. Le Ministre Lutgen explique qu’il entend faire de la Wallonie une terre d’excellence en matière d’élevage des chevaux, un «secteur à haute valeur ajoutée pour notre Région à l’échelle nationale et internationale». " $( ' %!( 1)+&*&/ - 0 1$+$)&$)&*1 " # 1).+/&..&$* '' 1)+*&$&*. ## (&#&! $ & !) + ((dXij)'(' La situation est différente selon que l’on bénéficie ou pas du découplage concernant le régime du sucre (betterave ou chicorée). - Pour les agriculteurs qui ne bénéficient pas de ce découplage, cela concerne les achats de terres réalisés au plus tard le 15 mai 2004 et pour autant que les terres concernées n’aient pas déjà avoir fait l’objet d’une allocation de droits issus de la réserve et qu’elles n’aient été déclarées par le demandeur avant 2010. - Pour les agriculteurs qui au contraire bénéficient de ce découplage, cela concerne alors les achats de terres réalisés au plus tard le 3 mars 2006. Les terres concernées ne peuvent avoir été déclarées pendant la période de référence (2005 pour la betterave et 2003-2004 pour la chicorée) ni avoir été déclarées par le demandeur avant 2010. Elles ne peuvent pas non plus avoir déjà fait l’objet d’une allocation de droits issus de la réserve. Héritage Comme pour les achats de terres, il faut pour les héritages et les héritages anticipé de terres, faire une distinction entre les agriculteurs ayant bénéficié ou pas du découplage concernant le régime du sucre (betterave ou chicorée). - Pour les agriculteurs ne bénéficiant pas de ce découplage, cela concerne les héritage ou héritage anticipé de terres entre le 15 mai 2004 et le 31 mars 2005 de tout ou partie d’une exploitation qui a été louée à tiers pendant la période de référence 2001-2002. Les terres ne peuvent déjà avoir fait l’objet d’une allocation de droits issus de la réserve ni avoir été déclarées par le demandeur avant 2010. - Pour les agriculteurs qui au contraire bénéficient de ce découplage, cela concerne alors les héritages ou héritages anticipés de terres ayant eu lei au plus tard le 31 mars 2006 de tout ou partie d’une exploitation qui a été louée à tiers pendant la période de référence (2005 pour la betterave ou 20032004 pour la chicorée). Dans ce cas également, les terres concernées ne peuvent déjà avoir fait l’objet d’une allocation de droits issus de la réserve ni avoir été déclarées par le demandeur avant 2010. Restructuration L’agriculteur qui suite à une restructuration (expropriation, remembrement…) n’a pu déclarer suffisamment d’hectares en 2010 en regard des droits qu’il détient peut demander à accéder à la réserve.. Jeunes Agriculteurs Pour pouvoir accéder à la réserve, les jeunes agriculteurs doivent répondre aux conditions suivantes : - Ne pas avoir atteint l’âge de trente ans le 1er janvier 2010. Dans le cas de groupement de personnes physiques, au moins un des membres répond à cette condition. Dans le cas de personnes morales, au moins un des administrateurs, administrateurs délégués ou gérants ayant la qualité d’agriculteur remplit cette condition. - Disposer au 31 mars 2010 d’une valeur moyenne de ses droits ordinaires wallons au paiement unique inférieure à la valeur unitaire moyenne du droit ordinaire au paiement unique wallon. Au titre de la campagne 2010, la valeur unitaire moyenne de ce droit est de 387,78 euros. Introduire sa demande Les agriculteurs qui pensent pouvoir répondre aux conditions d’accès à la réserve doivent introduire une demande de droits à la réserve uniquement par le biais du formulaire qui est disponible auprès des Services extérieurs ou sur le site Internet de l’Administration (http:// agriculture.wallonie.be Pour être prises en considération, les demandes doivent impérativement être introduites par recommandé au plus tard le 31 mars 2010 à l’adresse du Département des Aides, Direction des Droits et des Quotas, Ilot Saint Luc, Chaussée de Louvain, 14 à 5000 Namur. Le montant de la réserve octroyé à l’agriculteur correspond à l’augmentation de la différence entre la valeur unitaire de chacun de ses droits et la valeur unitaire moyenne du droit wallon. Toutefois, l’augmentation de ses droits à la prime unique est limitée par agriculteur à 1000 euros ou moins selon les disponibilités de la réserve. Les disponibilités de la réserve sont, en priorité, utilisées pour toutes les catégories avant celle de l’octroi aux jeunes agriculteurs. Estimer les dégâts de gibier Un logiciel a été mis au point pour aider les experts à estimer le montant des dégâts de gibier. Pour coller à l’évolution économique, la valeur des productions agricoles est régulièrement réévaluée. Aifd\ N`[Xi \k G`\ii\ Clo\e ! Dans le cadre d’une subvention avec le Service Public de Wallonie, l’asbl Fourrages-Mieux a mis au point un logiciel « dégâts de gibier » aidant les experts agronomes à estimer le montant des dégâts de la faune sauvage (espèces gibier et espèces protégées) en zone agricole de la Région wallonne. Les prix des différentes productions et travaux agricoles y sont mis à jour deux fois par an pour suivre l’évolution des marchés: au 1er mars (dégâts en prairies) et au 1er septembre (dégâts en champs de maïs). Afin que les prix intégrés au logiciel soient le fruit d’un consensus, Fourrages-Mieux a mis sur pied une plate-forme composée d’un représentant de la Fédération Wallonne de l’Agriculture et d’un représentant de la Fédération des Chasseurs au Grand Gibier de Belgique, au sein de laquelle est avalisée la méthodologie fixant ces prix. Les prix TVAC ci-après ont été acceptés par toutes les parties, en présence d’un membre du Département de la Nature et des Forêts (qui a participé aux réunions de travail), et ce pour la période allant du 1er mars 2010 au 31 août 2010. On peut se réjouir de cette avancée qui évitera, sans nul doute, bon nombre de discussions lors des expertises. Enfin, une liste d’experts dégâts de gibier est désormais disponible sur le site Internet de FourragesMieux (www.fourragesmieux.be), rubrique « Gagnages et dégâts de gibier », « Dégâts de gibiers en agriculture », « Documents téléchargeables ». Cette liste a pour but d’aider la coordination du travail des experts par provinces. (*) Fourrages-Mieux asbl, Marloie [ LU 3 V H G V Q R LW F X G UV S H OR F LU J D SQ R LWF X G U OH Q R LWY F R LE V H U X W O& D U X R I J V H U q SV H LU D WH MD V H U q K F Wʑ 6 0 Wʑ 6 0 V H LU D 3 P H W SV H U LD R Wʑ 6 0 V wD 0 D OLV Q H JH Wʑ 6 0 Wʑ 6 0 V H OD p U & pSH U WX D Wʑ Wʑ JQ R H Wʑ Wʑ U X R F V H W Wʑ Wʑ Q H P R U I WQ H P R U I SH OE D LIQ Wʑ U RJH H G SP H WQ LU V S Wʑ Wʑ H G H LU V D E Wʑ U RJH LH V JH O Wʑ Wʑ H OD F LWU Wʑ Wʑ OLH Wp P Wʑ Wʑ H Q LR Y D Wʑ Wʑ SH OLD V H WX R V H OD p U F Wʑ Wʑ LD U Wʑ Wʑ V wD P JQ V H W Q D O3 V H p OF U D V H Y D U WE V H U q LF X SOXSV H Wʑ V H Y D U WE D U X IR JH U qV Wʑ V H p U R F LK Wʑ SV H P R H G H U Wp WLU D Y WQ % L H M Wʑ SV H P R H G H U Wp WLU D Y WR OU D & K H Wʑ SV H P R H G H U Wp WLU D Y OR F 1 L D Wʑ \H D OR F 1 LH WD 3 OH G H OLY Q U R ) Wʑ 3 ' 7 W S SV WQ D OH G SV H P R H G U H W H Wʑ [ X H Q LW H D p OR J [ X H Q L D p W R U 3 J D ] OR & Wʑ V H OR U Y p I Wʑ Wʑ SV LR Wʑ Wʑ X O SQ L Wʑ [ LU 3 V H G [ X D Y U WV H OR F LU J D LV P H 6 H G wV D 0 Q R LW D ULQ D F p P 5 pS D V U H K JH V LP H U X j D OR G p 9 U V LP H U X j D OH V U K H OLU Wp V LP H U X j D OH V U K H Y LWD R U Q R LWD Y p UH OD WR Q R LWD V U p Y OX S F WH U X R E D O Q R LW D U S p 5 H OX Q D P V H G V W k J p G Q H V H LU D S V LWX R E V OH LF IU S X P F WH V WQ H F p U V LR P SV OH LF IU V LWX R E X V V LWX R E V G Q R IU S ! P F V WQ H F p U X R V Q H LF D Q H & $ 9 7 LH V Q U [ 3 LUR P \V V H F Q P 6 WH X D H OU R V LU S P R F U X R S H OV LP H U X WH D OQ R LWD Y p UH OD WR U LR P H V V H F Q P T H X V H G p G J V W k Q H S U LH D V D K ʑ D K ʑ P F H WV Q H LF D JV p Q j H U WLV ILWD F G Q D K ʑ D K ʑ D K ʑ D K ʑ ! V LR P ð P ʑ ð P ʑ ð P ʑ <C<M8>< Le bien-être animal, question de société, question sensible C’est à l’initiative de la Sénatrice Christine Defraigne qu’un colloque a récemment été organisé au Sénat entre diverses parties prenantes de ce qui est devenu un véritable débat sociétal. Alain De Bruyn, Conseiller à la FWA, a mis les choses au point en ce qui concerne l’agriculture, parfois et à tort mise en cause sur ce sujet. I`Z_Xi[ :p[q`b Le bien-être animal a toujours constitué une préoccupation de premier plan pour la Sénatrice (MR) Christine Defraigne. A ses yeux, nos sociétés devraient d’ailleurs clairement se poser la question du «statut» de l’animal en leur sein, un statut qui devrait mettre en évidence le fait que celui-ci est un «être vivant et sensible». A cette fin la sénatrice préconise la mise en place d’états généraux «Animal et Société», cet objectif figurant dans une proposition de résolution qu’elle a déposée au Sénat en juillet de l’an passé. Un débat général Les éleveurs pourraient être portés à croire qu’ils sont particulièrement ciblés dans l’esprit de la Sénatrice Defraigne. Rassuronsles: l’animal doit être pris dans son acception la plus vaste. Sont concernés ainsi, aussi bien: les animaux de compagnie, victimes de maltraitances et d’abandons, mais aussi les accidents frappant des enfants du fait d’animaux dangereux, les abattages rituels, ou encore l’importante problématique des animaux utilisés dans la recherche biomédicale. Bien sûr, l’élevage ou «l’importance des animaux impliqués dans un processus de production dans le but de contribuer à la couverture de nos besoins alimentaires» n’échappe pas non plus aux préoccupations de Mme Defraigne. Nous reproduirons d’ailleurs la partie de sa proposition de résolution relative à notre secteur dans une prochaine édition. Ceci afin de concentrer notre attention sur le récent colloque organisé à son initiative dans les locaux du Sénat. Elevages: pas d’amalgames! Différents exposés, centrés chaque fois sur une thématique bien précise, ont ainsi été prononcés. Qu’il s’agisse du traitement réservé aux animaux (notamment errants) en ville ou du dossier très sensible des expériences scientifiques effectuées sur des animaux. Les élevages bovin, porcin, caprin, etc. ont quant à eux fait l’objet de mises au point très argumentées de la part de Alain De Bruyn, Conseiller au Service d’études de la FWA . Relevons que M. De Bruyn a également remis, sans ménagement les «horloges à l’heure» à propos de certaines attaques (de bonne ou de mauvaise foi?) visant les éleveurs. Il s’agissait essentiellement d’amalgames entre le comportement indigne de certains détenteurs d’animaux d’élevage (car il convient en effet de s’abstenir de les désigner comme éleveurs) et l’attitude professionnelle, responsable et humaine qui est le fait de la quasi-totalité de nos agriculteurs. «Il est nécessaire de lever toute ambigüité à cet égard, et d’opérer une distinction radicale entre quelques «brebis galeuses» et l’ensemble de la profession», a déclaré Alain De Bruyn. Autrement dit, il faut séparer l’ivraie du bon grain, celui-ci représentant l’immense majorité. Une composante majeure de l’agriculture Le secteur animal représente 60% de la valeur de la production agricole wallonne: c’est dire son importance économique. Une autre réalité est la diminu- Les arguments scientifiques doivent prévaloir en matière de bien-être animal, et non les perceptions émotionnelles tion continue du nombre d’agriculteurs, avec parallèlement un nombre croissant d’animaux détenus par exploitation. Le contexte général est donc évolutif, et il est sûr, souligne A. De Bruyn, que la notion de bien-être animal est elle-même évolutive. Toutefois, deux évidences ne doivent jamais être perdues de vue: il existe un lien affectif certain entre l’éleveur et ses animaux, tandis que, d’autre part pour lui, ceux-ci constituent un capital essentiel. Un secteur davantage contrôlé que les autres L’opinion publique a tendance à se focaliser sur les élevages intensifs, les batteries, etc. Les règlements ont été revus au fur et à mesure, et chaque fois bien sûr dans le sens de confort supplémentaire pour l’animal en même temps que de normes de plus en plus rigoureuses pour les éleveurs. La FWA ne conteste pas toute évolution, indique M.De Bruyn, dans la mesure toutefois où celleci s’opère sur des bases scientifiques avérées et non à partir de perceptions personnelles ou émotionnelles. Quant au respect des règlements par les exploitants, il convient de rappeler que le secteur agricole est davantage contrôlé que tout autre. Le nouveau principe de la politique agricole commune qu’est l’écoconditionnalité prévoit des pénalités considérables pour les cas où un éleveur est pris en défaut. Alain De Bruyn dénonce par ailleurs certaines incohérences réglementaires, par exemple avec certaines règles urbanistiques ou environnementales. Dans les zones Natura 2000 ainsi, l’usage d’anti-parasitaires sur bovins est interdit, et ceci ne va pas nécessairement dans l’intérêt de l’animal… En général, pragmatisme et raison doivent l’emporter dès qu’il y va de réglementer en matière de bien-être animal comme ailleurs. Hypocrisies… Une hypocrisie régulièrement mise en cause par la FWA tient au fait que les mêmes normes ne sont pas appliquées aux productions «indigènes» et aux produits importés. «Est-il par ailleurs cohérent d’interdire la production de chapon et d’en autoriser la consommation et l’importation?», se demande A. De Bruyn avec perplexité. Celui-ci adjure la population et les autorités d’éviter les surenchères dans les normes de pro- duction animale. Notre agriculture doit demeurer compétitive et toute norme supplémentaire se traduit par des surcoûts de production considérables (cf le cas des cages pour poules pondeuses). Or, ni la grande distribution, ni les consommateurs ne sont disposés débourser davantage pour les produits soumis à ces règles… En général, à cet égard, A. De Bruyn met le doigt sur une contradiction flagrante «entre le souci du citoyen pour le bien-être animal et celui du consommateur-acheteur». En cas de conflit «intérieur», celui-ci porte dans la grande majorité des cas son choix sur le produit le moins cher. Des logos pour produits «bien-être animal garanti»? Scepticisme du représentant de vanche se montrent plus rigoureux. Enfin, un problème très pratique qui se pose à nos éleveurs, et qui est cependant important au point de vue du bien-être animal est celui de la raréfaction des vétérinaires ruraux, la quasi-totalité des vétérinaires sortant de l’université étant davantage attirés par le «confort» ou la qualité de vie inhérents au traitement des animaux de compagnie dans les villes, ou dans les campagnes du reste. A.De Bruyn se demande s’il ne conviendrait pas d’envisager des solutions alternatives; prévoir par exemple des études d’un autre niveau, de type plus court. Il pourrait s’agir de techniciens ou d’infirmiers vétérinaires. Il semble que cela existe en certains endroits, mais sans reconnaissance Christine Defraigne Alain De Bruyn la fwa: «pourquoi un logo si les bases légales sont respectées? Par ailleurs, il convient de prendre garde au risque de prolifération des logos et à la confusion que ce phénomène ne manquera pas d’engendrer chez le consommateur. officielle. En conclusion de cette partie du vaste débat, M. De Bruyn soulignait une fois encore la nécessité pour le citoyen soucieux du bien-être des animaux dans les élevages d’avoir à l’esprit l’autre impératif lié à ce souci, à savoir: le maintien dans notre pays d’une agriculture viable. C’est dire aussi, une fois de plus, qu’en cette matière comme en tant d’autres, il faut éviter de céder aux pulsions émotionnelles et autres réactions irréfléchies: raison et pragmatisme doivent décidément l’emporter. Raréfaction des vétérinaires ruraux Les études européennes, ainsi que le suivi des réglementations et de leur respect révèlent la difficulté de déterminer un niveau minimal commun entre les Etats membres. Les pays du Sud ayant tendance à un comportement plus laxiste, ceux du Nord en re- ."*,,*, A0@8 ,@==E =6 8 "#-.= 0.=6 , A683 .=,,*&.= A0@8 @&-.=E A0=6 6.-.= = , 4@,*= -- . 8. A683 .0.=0@6., A0@8 A*=E ,8 260, -8 = ,8 "6*8 8(& , 60,=3 $$ M $ # # " !!! D.&.= 602 60==*0. @ D6(-28 >9 )91!F .""3 ,3 F:%;$? ?% :F C F:%;$? ?% :/ *."08D.&.=3 BBB38D.&.=33 7 0.=..= ?$F &;, =6*.C2)=(D,3 &3 . /?F1;3 =*,*8E ,8 260@*=8 2(D=02(6-@=*4@8 A 26@=*0.3 A.= =0@= @=*,*8=*0. ,*8E ,5=*4@== = ,8 *."06-=*0.8 0.6..= , 260@*=3 7 *8 6&*8=6 =6-6+ 0" D.&.= 60@2 0-2.D3 ((dXij)'(' , <LIFG@E@FEJ Un Salon agricole parisien très «politique» Le grand salon agricole annuel de Paris a attiré la foule habituelle. Il a été marqué cette année par diverses déclarations politiques, certaines «franco-françaises», mais d’autres qui concernent l’ensemble des agriculteurs de l’UE. I`Z_Xi[ :p[q`b Le Salon agricole de Paris n’a donc pas été inauguré par le Président Sarkozy, alors que son prédécesseur Jacques Chirac n’en manquait pas une… Il faut rappeler tout de même que l’an passé un accueil plutôt chahuté lui avait été réservé. C’est donc le Ministre français de l’agriculture, Bruno Le Maire, qui a procédé à l’inauguration. Il y a répété à cette occasion que la Pac post-2015 doit prévoir une «régulation des marchés forte et moderne pour lutter contre la volatilité insupportable des prix». Il a plaidé pour une clause de sauvegarde en cas de crise économique (ou autre) grave, de manière à faire remonter les cours. L’intervention devrait être plus efficace, «flexible et rapide», le stockage privé maintenu. Le Maire a aussi réitéré son souhait que soit créé un «observatoire européen de la production, de la demande et des prix», car des éléments ne sont pas clairs dans le fonctionnement des diverses filières agricoles au sein desquelles il conviendrait par ailleurs de renforcer l’offre agricole. Le Ministre français n’a pas éludé la responsabilité individuelle des producteurs «à qui il incombe de prévoir une épargne de précaution» pour parer aux inévitables coups durs imprévisibles. Mais une aide européenne devrait être des- tinée à un système d’assurance. Plus de cirque! En tout cas, a dit M. Le Maire, je ne suis plus prêt à refaire le même cirque que l’an passé, quand il a couru la campagne européenne pour faire pression sur la Commission. Dans le but d’obtenir une aide de 300 millions au secteur laitier en crise. Pour le Ministre français, la crise a fait apparaître un lamentable manque de réactivité de la Pac (et de la Commission, prisonnière d’une rigidité de principe). Ce n’est pas un bon fonctionnement politique, a poursuivi M. Le Maire, qui a rappelé que le problème de l’UE est essentiellement de se doter de moyens pour lutter contre la volatilité des prix, qui rend aléatoire tout revenu agricole décent, subventions (donc DPU) incluses. Il constate aussi qu’aujourd’hui encore, une majorité d’Etats membres partage son point de vue, estimant que l’agriculture est Pas de trace d’agriculture dans la stratégie UE-2020 Les objectifs de la Commission européenne pour 2020 figurent dans un document que le président Barroso a présenté le 11 mars à l’occasion du Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement à Bruxelles. On y parle de croissance, de réindustrialisation, de recherche, d’éducation, de lutte contre la pauvreté, etc. mais pas un mot de l’agriculture. Réactions légitimes de colère dans les milieux concernés par l’agriculture. On lira par ailleurs les grandes lignes de ce plan «UE-2020» (prononcer «vingt-vingt»), qui succède à la «stratégie de Lisbonne» qui portait sur les objectifs 20002010. Un fiasco complet, de l’avis même du président Barroso. Le problème du nouveau document «2020» dans l’état actuel est qu’il n’évoque guère l’agriculture… Il est absurde que la stratégie de l’Union européenne pour les dix prochaines années, telle que la propose la Commission européenne, n’inclue pas le défi essentiel de la sécurité alimentaire et de la croissance et de l’emploi dans les zones rurales», s’est offusqué Paolo de Castro, le président de la commission de l’agriculture du Parlement européen, lors d’un débat au sein du PE avec le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le président du Conseil de l’UE, Herman Van Rompuy. «Comment est-ce possible de réfléchir à une Europe verte et durable sans réaliser que 45% du territoire euro- péen est géré par les agriculteurs ? Comment pouvons-nous ne pas prendre en compte près de 30 millions de personnes qui travaillent dans ces zones?», a critiqué Paolo de Castro, rappelant que «l’agriculture fournit toute une gamme de services essentiels : la nourriture, la biodiversité, les paysages, l’environnement, les fonctions sociales et économiques des territoires ruraux». Souligner l’importance de l’agriculture Même son de cloche du côté du Copa (organisations professionnelles agricoles de l’UE dont fait partie la FWA). Des dirigeants agricoles de l’UE ont mis en avant la contribution essentielle du secteur agricole européen à la construction de l’Europe et au maintien de la croissance et de l’emploi dans les zones rurales. Le Président du Copa a ainsi souligné: «Le secteur agricole de l’UE représente une source considérable d’emploi puisqu’il compte quelque 30 millions de personnes, lesquelles travaillent soit à temps plein soit à temps partiel dans les exploitations agricoles de l’UE. Compte tenu des secteurs connexes de la chaîne alimentaire, nous estimons qu’un emploi sur six dans l’UE dépend de la production agricole. Face à une augmentation de la demande alimentaire mondiale et des risques que représentent le changement climatique et la volatilité accrue des marchés pour la production alimentaire, il est plus important que jamais pour l’UE de maintenir son activité agricole. L’agriculture a donc un rôle primordial à jouer dans le contexte de la stratégie « UE 2020 » de la Commission pour les 10 prochaines années». Pour le Copa, grâce à une PAC forte après 2013, l’agriculture pourra contribuer encore davantage à la réalisation des défis constitués par la sécurité alimentaire, la lutte contre le changement climatique et le maintien de l’emploi. La future PAC devrait se concentrer sur l’amélioration du fonctionnement du marché. Le pouvoir de négociation des agriculteurs au sein de la chaîne alimentaire doit également être consolidé et les mesures destinées à aider les agriculteurs à devenir plus compétitifs doivent être renforcées. Cette politique doit faire l’objet d’un débat avant le lancement des pourparlers concernant le budget communautaire. Si la foule était bien présente au salon agricole de Paris, les décideurs politiques n’ont pas non plus raté ce grand rendez-vous. Avec à la clef quelques déclarations «intéressantes» désormais suffisamment orientée vers le marché. Visite de M. Ciolos Le nouveau Commissaire à l’agriculture, qui a des liens très forts avec la France, était lui aussi présent au Salon parisien. Il a pour sa part indiqué qu’il convient de conserver des mesures d’intervention et de mettre en place des mécanismes de gestion des situations de crise. Pour lui aussi, la valeur ajoutée devrait être mieux répartie au sein des différentes filières agricoles. Pour l’avenir, M. Ciolos a assuré qu’il était à la recherche d’instruments complémentaires, le cas échéant, nouveaux, pour stabiliser les marchés. Défilé politique Nombre de Ministres et de représentants de partis politiques ont tenu à faire acte de présence au Salon. Pour l’anecdote, on relèvera que Jacques Chirac, coutumier jadis de visites très prolongées, n’est resté que trois heures au cours desquelles il a été très frugal… C’est M. de Villepin qui semble lui avoir succédé, «trinquant et mangeant de tout» pendant neuf heures. La Ministre Pécresse a demandé grâce après trois bières au stand des brasseurs de France tandis que l’eurodéputé vert José Bové a été accueilli aux cris de «Bové en prison» (pour cause notamment de fauchage sauvage de champs OGM). Chacun admet qu’entre Ecolo et les agriculteurs français, cela n’a jamais été une histoire d’amour, notamment en raison de leurs positions respectives – antagonistes – sur les OGM, qui ont par ailleurs fait beaucoup l’actualité cette semaine, avec l’autorisation de la pomme de terre OGM Amflora par le président de la Commission UE Barroso. La crise économico-financière de 2008-2009 n’invite pas les parties contractantes de l’organisation mondiale du commerce à ouvrir leurs frontières…. De sorte qu’il est difficile d’obtenir de chacun les conversions nécessaires à la finalisation d’un accord. La perspective d’une conclusion du cycle de Doha en 2010 s’éloigne, compte tenu de l’absence de progrès significatifs. La hausse du chômage dans un grand nombre de pays a remis en cause l’objectif d’ouverture des frontières. Le Brésil est en année électorale et le président Barack Obama affronte lui aussi le verdict des urnes aux élections de mi-mandat en novembre, expliquent des ((dXij)'(' Le dernier jour du Salon, alors que l’ambiance surchauffée du départ était largement émoussée, le président Sarkozy s’est à son tour déplacé au Salon. S’adressant aux agriculteurs (et oubliant parfois les normes européennes?), il a promis d’alléger les contraintes environnementales. Car il y avait des sources de distorsion de commerce dans l’UE: on empoisonne la vie des paysans français tandis que l’on ne demande rien aux autres. Comptons que M. Sarkozy n’inclut pas les agriculteurs belges dans cette dernière catégorie… Le Président s’est engagé à défendre la Pac comme il l’a fait pour la Grèce dans l’euro. Je veux bien concéder une baisse du budget agricole de l’Union, mais à la condition expresse de rétablir la préférence communautaire. Et M. Sarkozy de citer explicitement le cas de la viande… OMC: peu de chances de conclure un accord en 2010 A l’OMC, des divergences persistent entre pays industrialisés et pays en développement sur la libéralisation du secteur agricole ainsi que sur l’accès au marché des produits industriels - «Le défenseur de la Pac» diplomates à Genève. De plus, le Congrès américain n’a toujours pas confirmé la nomination du nouvel ambassadeur des EtatsUnis à l’OMC. Sur le fond, les divergences persistent entre pays industrialisés et pays en développement sur la libéralisation du secteur agricole ainsi que sur l’accès au marché des produits industriels. Où en est la négociation agricole ? Selon le Directeur Général, Pascal Lamy, pour l’agriculture, les discussions « se poursuivent sur deux pistes les modèles (censés être utilisés pour calculer les engagements des membres) et les points entre crochets ou autrement annotés dans le projet de modalités (grandes lignes d’un accord ». S’agissant des modèles, « il y a eu des progrès sur les données de base et leur vérification. En particulier, une définition a été convenue pour la valeur de la production, ce qui est fondamental pour les engagements sur le soutien interne global qui fausse les échanges ». Pascal Lamy a aussi noté que l’ambassadeur néo-zélandais David Walker, qui préside les négociations agricoles, « a poursuivi ses consultations, notamment sur le mécanisme de sauvegarde spéciale (pour les pays en développement) qui fait l’objet de discussions techniques, y compris sur la base de contribution de certains membres ». « Des consultations se poursuivent aussi sur la simplification tarifaire, la création de quotas d’importation tarifaires, les produits tropicaux et l’érosion des préférences (commerciales) ». <EM@IFEE<D<EK Durabilité de la biomasse La Commission européenne a adopté la semaine passée un rapport sur les exigences de viabilité environnementale relatives à l’utilisation de biomasse solide et gazeuse pour l’électricité, le chauffage et le refroidissement. Le rapport comporte des recommandations concernant les critères de viabilité environnementale à l’usage des États membres désireux d’introduire un régime national, en vue d’éviter les entraves au fonctionnement du marché intérieur de la biomasse. La biomasse est une des ressources les plus importantes pour atteindre les objectifs en matière d’énergie de sources renouvelables. Cette source d’énergie propre, sûre et compétitive représente déjà plus de la moitié de la part des sources d’énergie renouvelables dans la consommation d’énergie dans l’UE. Dans ce rapport, la Commission formule des recommandations aux États membres concernant des critères de viabilité environnementale de la biomasse solide et gazeuse. Un réexamen est prévu dans 18mois afin de déterminer si le régime doit être modifié, notamment par l’introduction de normes obligatoires. Au rapport est joint une analyse d’impact, qui montre que des critères contraignants généreraient des coûts importants pour les acteurs économiques en Europe, en gardant présent à l’esprit qu’au moins 90% de la biomasse consommée dans l’UE provient de résidus forestiers et de produits dérivés d’autres industries en Europe. Le rapport conclut ainsi qu’à ce stade, une législation plus détaillée n’est pas nécessaire. Pas de règles harmoniséess En l’absence de règles harmonisées au niveau de l’UE, les États membres sont libres de mettre en place leur propre système national en faveur de la biomasse solide et gazeuse utilisée pour la production d’électricité et dans les systèmes de chauffage et de refroidissement. Selon les recommandations contenues dans le rapport, les États membres devraient suivre des méthodes similaires et, surtout, appliquer les critères de viabilité environnementale exposés dans le rapport. Ainsi, il sera possible de réduire le risque que des critères différents et potentiellement incompatibles ne se multiplient au niveau national, ce qui entraverait les échanges et briderait le développement du secteur bioénergétique. Recommandations Les critères recommandés concernent: a) une interdiction générale d’utiliser la biomasse issue de terres prises sur la forêt, de zones renfermant un important stock de carbone et de zones riches en biodiversité; b) une méthode commune de calcul des émissions de gaz à effet de serre qui pourrait être utilisée afin que la biomasse permette d’éviter au minimum 35% d’émissions de gaz à effet de serre (ce chiffre devant atteindre 50% en 2017 et 60% en 2018 pour les installations nouvelles), par comparaison avec la répartition des énergies produites à partir de sources fossiles dans l’UE; c) la différenciation des régimes de soutien nationaux en faveur des installations qui ont des rendements élevés de conversion énergétique; et d) le contrôle de l’origine de la biomasse. Il est en outre conseillé de ne pas appliquer les critères de viabilité environnementale aux déchets, étant donné que ceux-ci doivent déjà respecter les règles environnementales édictées en vertu de la législation relative aux déchets nationale et européenne, et d’appliquer les exigences en matière de viabilité environnementale aux grands producteurs d’énergie d’une puissance thermique ou électrique de 1 MW au moins. Conformément à la directive sur les énergies renouvelables, les États membres doivent communiquer leur plan d’action national en matière d’énergies renouvelables pour juin 2010. Ces plans seront un outil indispensable pour définir les ambitions de l’UE en matière d’exploitation de son potentiel de biomasse, que ce soit dans le secteur de l’électricité, du chauffage ou des transports. Après avoir reçu ces plans et analysé les régimes nationaux en cours d’élaboration, la Commission réfléchira, en 2011, à l’opportunité de mesures supplémentaires telles que des critères de viabilité environnementale communs à toute l’UE. Transparence La directive sur les sources d’énergie renouvelables adoptée en 2009 définit des critères de viabilité environnementale pour les biocarburants et les bioliquides. La directive prévoit que la Commission établit un rapport sur les exigences applicables à un régime en matière d’utilisation durable de la biomasse en dehors des biocarburants et bioliquides. Le rapport remplit cette obligation. Le rapport, ainsi que d’autres informations à ce sujet, sont disponibles sur la plate-forme de la Commission consacrée à la transparence en matière d’énergie produite à partir de sources renouvelables, à l’adresse ci-dessous: http://ec.europa.eu/energy/renewables/transparency_platform/transparency_platform_en.htm Lutte contre le réchauffement: priorité pour la future Pac? Des experts de la Commission affirment que la problématique du réchauffement climatique est intimement liée à l’agriculture . La France et le Royaume-Uni veulent prendre les devants et boucler un programme de travail dans ce domaine. S’exprimant devant le Congrès du Ceja (jeunes agriculteurs européens) à Séville,Andreas Gunbert, expert à la fameuse «DG Agri» de la Commission, a expliqué que la Pac après 2013, ne fera pas l’économie d’une prise en compte de la problématique du climat dans sa réforme. «Après 2013, il faudra plus d’intégration des sujets ‘‘climat’’ dans les instruments de la Pac », a-t-il dit. Dans cette négociation qui s’engage, le « climat sera une priorité » de la nouvelle Commission a-t-il assuré. D’ailleurs, le président Barroso a prévenu : « Toute politique devra s’intégrer et si possible s’adapter au changement climatique ». Évidemment, - et «encore heureux» pourrait-on dire – il faudra trouver une bonne balance entre les résultats économiques des exploitations agricoles et ces nouvelles exigences, a conclu Andreas Gumbert… Accord franco-anglais Les Ministres britannique et français de l’agriculture se sont réunis à Londres pour discuter de la Pac post-2013. Peu de résultats concrets, les désaccords de fond étant trop forts. Néanmoins, ils sont tout de même parvenus à un pré-accord pour qu’en matière de réchauffement climatique, l’agriculture joue aussi son rôle. On se souvient que la conférence de Copenhague de décembre 2009, bien qu’elle se soit soldée par un fiasco eu égard aux ambitions initiales, avait tout de même décidé de prolonger le mandat d’un groupe de travail consacré à l’ «Action concertée à long terme». Celui-ci devrait présenter ses résultats lors de la prochaine conférence, en novembre 2010 à Mexico. L’action concertée a fait, à Copenhague, l’objet d’un «projet de texte de négociation» qui reconnaît l’importance d’assurer la sécurité alimentaire dans la lutte contre le changement climatique, la relation entre agriculture et sécurité alimentaire ainsi que le lien entre adaptation au réchauffement et atténuation de celui-ci. Le document demande que les avis scientifiques et techniques nécessaires à l’élaboration d’un programme de travail en matière d’agriculture soient disponibles d’ici juin 2010, date à laquelle auront lieu à Bonn de nouvelles négociations sous l’égide de l’Onu. Les parties sont ainsi invitées à soumettre le 22 mars au plus tard leur avis sur le contenu et la portée du programme de travail. C’est à « lafinalisation de l’accord » sur ce programme que les ministres de l’agriculture français et britannique, Bruno Le Maire et Hilary Benn, ont convenu de «travailler ensemble, avec leurs partenaires de l’Union européenne», lors d’un entretien le 27 janvier à Londres. Voilà un dossier qui avance… Agriculteurs et qualité de l’eau A la recherche de solutions «gagnant-gagnant» permettant aux agriculteurs de respecter les contraintes qui leur sont imposées en matière de qualité de l’eau. Un atelier a été organisé sous les auspices de la Plateforme technologique européenne sur l’eau afin de trouver des solutions qui permettraient aux agriculteurs européens de réaliser les objectifs élevés en matière de qualité de l’eau requis par la législation communautaire. Cet atelier s’est tenu récemment sous l’égide du Copa, qui représente les agriculteurs européens, et Eureau, représentant des distributeurs d’eau de boisson et des services d’eaux usées en Europe. Cet événement avait pour objectif de lancer un dialogue entre le secteur agricole et le secteur de l’eau de l’UE concernant la meilleure manière d’améliorer la qualité de l’eau tout en préservant la compétitivité du secteur agricole européen. Une bande ou une zone tampon est une parcelle de terrain concernant laquelle sont imposées des restrictions agricoles. Les nouvelles exigences communautaires établissent des obligations supplémentaires relatives à la création de zones et de bandes tampon sur les terres agricoles. A partir de 2012, les règles de la conditionnalité dans le cadre de la Politique agricole commune rendront obligatoire l’instaura- tion de bandes tampon le long des cours d’eau. L’établissement de zones tampon constitue également un élément des Plans d’action nationaux requis dans le cadre de la nouvelle Directive 2009/128/CE relative à l’utilisation durable des produits phytosanitaires. Pour le Copa: «Ces exigences imposent encore davantage de coûts et de charges aux agriculteurs européens, mettant en péril la compétitivité même du secteur agricole de l’UE. Nous sommes partisans d’une approche volontaire et nous faisons tout notre possible pour trouver les solutions les plus appropriées afin de répondre aux besoins environnementaux, tout en imposant la charge la moins importante possible aux agriculteurs ». s DUNE PROTECTION EFlCACE CONTRE LES MALADIES s DUNE GRANDE SOUPLESSE DUTILISATION MÐME Ì BASSE TEMPÏRATURE s DUN RENDEMENT ÏLEVÏ 3YNGENTA #ROP 0ROTECTION .6 2UE DE 4YBERCHAMPS " 3ENEFFE 4ÏL &AX INFO SYNGENTABE WWWSYNGENTABE 34%2%/ %# CONTENANT GL DE CYPRODINIL ET GL DE PROPICONAZOLE !G .ª " 5TILISEZ LES PRODUITS PHYTOPHARMACEUTIQUES AVEC PRÏCAUTION !VANT TOUTE UTILISATION LISEZ LÏTIQUETTE ET LES INFORMATIONS CONCERNANT LE PRODUIT IS A REGISTERED TRADEMARK OF A 3YNGENTA 'ROUP #OMPANY ((dXij)'(' . = < IK @ C @ J8K @ F E Gerpinnes, capitale du compostage Avec le maintien du prix des engrais minéraux, le compostage est de plus en plus évoqué pour améliorer l’efficacité des engrais de ferme. Mais pourquoi composter? Qu’est-ce qu’un bon compost? Comment le réussir? N’y a-t-il que des avantages à composter ses fumiers? Quelles sont les techniques mises à la disposition des agriculteurs? Quel en est le surcoût éventuel ? Pour répondre à ces questions, en collaboration avec la Direction du Développement et de la Vulgarisation de la Région wallonne et le Comice de Châtelet Gerpinnes, Nitrawal organisait, à Gerpinnes, une après-midi d’étude consacrée au compostage du fumier. A\Xe DXifk \k :_i`jk`Xe ?`Zb A l’heure où l’agriculture est confrontée à de nouveaux défis (réduction des coûts de production, amélioration de la qualité des produits, prise en compte des problèmes environnementaux…), la valorisation adéquate des engrais de ferme est devenue une opportunité à ne pas négliger. Le compostage est l’une des techniques qui permet de répondre à ces nouveaux défis… Le matériel étant désormais plus approprié aux exigences actuelles (rapidité et besoin en main d’œuvre limité), cette technique de valorisation des matières organiques est mise à profit par de plus en plus d’agriculteurs. Qu’est-ce que le compostage? Le compostage consiste à aérer, par retournement, des matières organiques (fumiers mais aussi déchets verts…) pour déclencher un processus de décomposition aérobie (en présence d’air) et non aérobie et d’humification. Ce processus se déroule en deux phases: - une phase de dégradation de la matière organique via la prolifération des micro-organismes avec une élévation importante de la température (jusque 65-70°C) - une phase de maturation consécutive à une diminution de la température Le compostage du fumier permet donc, via les micro-organis- mes, de décomposer la matière organique en un produit stabilisé et homogène. Le procédé demandant un apport important d’air, le retournement du fumier s’avère indispensable afin d’optimiser le mécanisme. Le temps de compostage est d’environ 3 semaines entre chaque retournement et demande habituellement deux retournements.Trois semaines après le dernier retournement, l’illustre fumier, devenu compost peut-être épandu dans les meilleures conditions. Pourquoi composter? Les avantages du compostage sont nombreux et divers. Chaque utilisateur peut y trouver son compte. Pour l’amélioration des qualités de l’engrais de ferme et de son épandage : - L’assainissement : l’augmentation de température entraîne la destruction des germes pathogènes, la destruction des graines… ; - La réduction des odeurs permettant un épandage plus aisé sur prairie (diminution des problèmes d’appétence consécutifs à un épandage) et l’épandage à proximité des habitations; - La réduction des volumes qui permet une réduction des coûts d’épandage. - L’homogénéisation du produit permet l’épandage de doses uniformes et une augmentation des largeurs d’épandage. - La diminution des pertes d’azote : les pertes gazeuses au retournement sont compensées par une réorganisation de l’azote uréique et ammoniacal qui n’entraîne quasiment aucune perte à l’épandage. Pour l’amélioration des qualités intrinsèques du sol : - Stimulation de l’activité biologique ; - Augmentation du coefficient isohumique (proportion d’humus stable formé dans le sol, après humification, à partir d’un apport de matière organique fraîche) ; - Amélioration de la dynamique des sols (stabilité structurale, capacité de rétention en eau, aération et propriétés drainantes, nutrition minérale en azote, phosphore, potasse et certains oligoéléments). Les limites du compostage Le compostage n’a pas réponse à tout. Cette technique présente en effet certaines limites : - L’engrais de ferme composté doit posséder certaines qualités : un rapport C/N d’environ 20-30 (c’est-à-dire, 20 à 30 fois plus de carbone que d’azote), une structure (préférable avec un fumier pailleux) et une humidité suffisantes. Le fumier des stabulations paillées des bovins convient tout particulièrement à ces conditions. Mais comme le signale Pierre Luxen (Directeur d’Agra-Ost) , l’humidité et la teneur en N du compost peuvent être augmentées via l’apport de lisier, lors du retournement ; - La technique nécessite une main d’œuvre plus importante, du matériel spécifique (retourneur d’andain), un espace pour stocker le fumier sous forme d’andain ; - Lors de l’épandage, afin de limiter les risques d’assèchement du compost, un temps sec et venteux est à proscrire. - Légalement parlant, le compost répond aux mêmes règles d’épandage que le fumier. Nitrawal a récemment organisé à Gerpinnes une après midi consacrée au compostage. Une centaine d’agriculteurs y ont participé Coût de la technique Le compostage du fumier ainsi que son épandage demande un matériel adapté. Au premier plan, le retourneur d’andain, matériel spécifique dont l’achat ne doit s’envisager que dans une utilisation commune ou par un entrepreneur. L’épandeur, qu’il soit à moulins verticaux ou à plateaux, est également un investissement non négligeable. Paradoxalement, les tarifs des entrepreneurs sont assez intéressants pour l’agriculteur. Au delà de ces coûts supplémentaires, la réduction des volumes entraîne une diminution tant du coût que du temps consacré à l’épandage. La pratique du compostage se justifie-t-elle économiquement ? Selon Olivier Miserque, du Département Génie Rural du CRAw, la pratique du compostage se justifie même si le recours à l’entreprise est à privilégier. Une analyse des coûts d’utilisation des machines peut d’ailleurs être faite via un outil mis en place par le CRA-w et consultable sur internet (www. mecacost.cra.wallonie.be). Libre à chacun donc d’estimer son intérêt dans le compostage. Retourneur d’andain? Le retourneur va déchiqueter et aérer le fumier pailleux Le retourneur d’andain enjambe l’andain de fumier déposé par benne. Un rotor horizontal passe au travers du tas pour déchiqueter et aérer le fumier pailleux. De plus, au lieu d’être tracté comme avant, ce retourneur d’andains est propulsé par un moteur hydraulique. L’avancement du chantier peut donc être régulé finement pour éviter les bourrages. Les performances de la machine sont de H [ X D Y R Q H K LF E U V G P R S H V H G H U WS U X R V H G V W U OD X p V U X H P U X V T L X W Q H O D Y G H U R · O 0 F L U W H % J OR Q H O F P D ] J OP H W U L E X ] Q H W/ L Q J R V R Q WG H V S U R G X L W V G H % H O F K L P & U R S 3 U R W H F L Q $ 6 / % J OR Q H O F P D ] J OO L Q X U R / L U H D W H Q L Y P O ¶ p W L T X H D Y Q W X W L O V D R Q ((dXij)'(' % H O F K L P & U R S U 3 R W H F L Q Y V D Q D W 1 H U L Q J V H O / R Q G U ] P R F L K O H E Z / R U V T X H O D X T D O L W p H V WL P S R U W D Q H 400 à 500 m3 par heure pour un premier retournement et de 500 à 600 m3 par heure pour les autres passages. Ces performances sont très intéressantes en comparaison d’un épandeur classique qui ne permet de traiter plus de 50 m3 à l’heure. Le retourneur d’andain est donc tout indiqué pour composter les fumiers de stabulations qui ne sont vidées que quelques fois par an. yC<M8>< Clavier, Expertise de taureaux BBB Les éleveurs des régionales de Loncin, Hannut, et Condroz liégeois, Clavier, étaient réunis à nouveau à Clavier pour leur expertise officielle de taureaux. Cfe^$Gi Quelques fans Blanc-Bleu purent visionner seulement 24 taureaux répartis en sept séries. Parmi les éleveurs, quatre Hesbignons présentèrent 10 sujets dont trois 1er prix, et sept Condruziens avec 14 sujets dont quatre 1er prix auréolés des deux championnats. Quant aux catégories, la taille de deuxième s’affiche pour 13 taureaux dont 4 sujets bien de première sont recalés pour les aplombs et/ou la conformation. Avec si peu de présences, un seul éleveur, Manu Laruelle, parvient à réaliser un trio, il est vrai que les cinq sujets de la série des 10 à 11 mois étaient tous des Waleffes. Championnat des jeunes taureaux à George J-M. et J-PH. Aucune difficulté en série et encore moins au rappel pour Quotidien du Pouhon, toujours aussi éclaté de partout, aux quartiers de viande si prononcés, des plus massif par une taille juste de 1ère mais avec 513 kg. Taureaux de 12 à 13 mois William du Fond de Bois (Sjaka-Zoeloe) à Monfort J-P., Les Avoins Macro de Tohogne (Hésitant) à Destexhe CH. et B., Rolland Rabat du Pouhon (Fascinant) à George J-M. et J-Ph., Bois-et-Borsu Taureaux de 15 mois, série du champion Quotidien du Pouhon (Eternel) à George J-M. et J-Ph., Bois-Borsu Conquis des quatre Vents (Valli) à Thirion N. et Gr., Bois-et-Borsu Galopeur du Corroy (Occupant) à Mathieu Luc, Huy Taureaux de 16 mois Messager du Bouchelet (Fétiche) à Demarcin A. et B., Warzée Wi-Fi de Monplaisir (Harley) à Lamontagne L-J., Ben-Ahin , Varlet du Fond de Bois (Occupant) à Lamontagne Léon et Manu, Ben –Ahin Taureaux de 17 à 20 mois Thème des Prés Al Basses (Empire) à Lamontagne L. & Jouant P., BenAhin , Océan du Pré Rosine (Héritier Org.) à Marot J-M. et J., Bois-Borsu Ecrin de Petit Brin (Dartagnan) à Laval R. et J-Fr., Clavier Taureaux de 28 mois Débit du Chemin de Morogne (Harpon x Osborne) à Lamontagne Louis-Joseph, Ben-Ahin Champion des taureaux âgés Terminus du Fond de Bois, 35 mois (Magnolia x Osborne) à Lamontagne Léon et Louis- Joseph Championnat des taureaux âgés à Léon et Louis-Joseph Lamontagne Les 3 rappelés permettent aux 2 frères de pavoiser seuls. Point de fin pour le routinier Terminus du Fond de Bois qui passe par le petit trou face à Thème des Prés Al Basses encore à Léon mais cette fois associé à Pierre Jouant. Pour être complet, le troisième rappelé est Débit du Chemin de Morogne à Louis-Joseph. Taureaux de 10 à 11 mois Impayable de Waleffes (Ebony) à Laruelle Manu, Faimes Immortel de Waleffes (Important de Hasse) à idem Immunisé de Waleffes (Gamin) à idem % " % % % %" "" "" #) $ ) $ # %( & '''%( !! ((dXij)'(' 0 ;<KFLK La production bio pour parer à la crise du lait ? En Belgique, la production agricole bio est essentiellement localisée en Wallonie. Toutefois, si elle peut permettre une meilleure valorisation des productions ; elle comporte également des coûts de production sensiblement plus élevés que dans la production traditionnelle. Quel avenir pour les fermes traditionnelles ? Une enquête pour mieux conseiller les citoyens Les fermes traditionnelles, ce sont les anciennes fermes de nos villages, principalement construites aux 18 et 19èmes siècles ou au début du 20ème siècle. Elles se composent le plus souvent d’un logement et de locaux agricoles. Ces bâtiments sont parfois encore en activité ou ont été réaffectés. La fondation rurale de Wallonie mène une enquête pour mieux les protéger. Depuis de nombreuses années, l’Assistance architecturale et urbanistique de la Fondation rurale de Wallonie mène des actions de sensibilisation en faveur de cet habitat rural traditionnel. Afin d’améliorer sans cesse la qualité de ces actions, une enquête est lancée auprès des citoyens: quelle est l’importance accordée à l’habitat rural traditionnel? Quelles sont les Le député Jean-Jacques Flahaux a interrogé la Ministre Sabine Laruelle sur l’alternative que pourrait représenter la production bio à la production concurrentielle notamment du fait que cette filière bio permettait d’économiser pesticides et autres produits phyto. Relevant que le développement de l’agriculture bio s’articule essentiellement autour de deux disparités ; la Ministre indique que ceux-ci sont du ressort des Régions. Il s’agit de : - un règlement européen sur l’agriculture biologique définissant un ensemble d’objectifs, de principes et de règles fondamentales pour le mode de production biologique, avec des modes de contrôle associés; - des soutiens financiers alloués dans le cadre des programmes de développement rural. Quelques données La Ministre a toutefois indiqué les chiffres suivants : La part de marché de l’alimentation bio par rapport à la consommation totale d’aliment représentait 1,6% en 2006. Selon certains chiffres avancés par GFK, le chiffre d’affaires de l’alimentation bio en Belgique et de la vente aux ménages en 2008 s’élevait à 304,6 millions d’euros, contre 283 millions un an plus tôt, soit une hausse de plus de 7%. Au niveau de la production, selon les derniers chiffres publiés au niveau du SPF Economie, la Belgique recensait 803 exploita- tions biologiques qui occupaient une superficie de 28.634 ha, données qui se répartissaient entre régions de la manière suivante: - la Flandre: 232 exploitations pour 3.153 ha - la Wallonie: 571 exploitations pour 25.367 ha En Belgique, la production bio est essentiellement localisée dans le sud du pays: plus de 70% des exploitations et plus de 80% des surfaces. La présence de la production biologique y progresse sensiblement puisqu’en 2008, le nombre d’agriculteurs était porté à 671 et la superficie atteignait 32.330 ha, soit 4,3% de la surface agricole utile wallonne. Une possibilité de diversification, mais… Les productions concernées sont les productions animales (bovins, porcs, volailles) et leurs sous-produits, ainsi que les grandes cultures (céréales, pommes de terres) et les fruits et légumes. La conclusion de la Ministre est la suivante : par rapport à la crise dans le secteur du lait, la production biologique est certainement une voie à prendre en considération dans le cadre d’une diversification. Cependant, si cette voie peut effectivement permettre une meilleure valorisation des productions et donc un meilleur prix de vente, elle comporte également des coûts de production sensiblement plus élevés que dans le cadre d’un système de production traditionnel. 0 1 2 3 (' ((dXij)'(' Des chèques livres à gagner Quelques minutes suffisent pour répondre au questionnaire. Celui-ci est anonyme et stricte- ment confidentiel. Néanmoins, inscrire ses coordonnées permet de participer à un tirage au sort pour gagner des chèques livres. L’enquête est disponible sur les sites www.frw.be et www.murla. be. Le questionnaire peut y être téléchargé. Pour recevoir la version imprimée de l’enquête : Fondation rurale de Wallonie Rue des Potiers, 304 B-6717 Attert 063/23 04 09 [email protected] La Mouette enrichit son offre Nouvelle ficelle pour les presses à très haute densité, filet indéchirable et film d’enrubannage renforcé, telles sont les nouveautés annoncées par La Mouette. vant « La Mouette » concentre ses activités sur la fabrication et la distribution de ficelles, filets, films et bâches pour l’agriculture. Soucieuse de suivre de près l’évolution des techniques et les attentes du marché, elle vient de lancer 3 nouveaux produits. La Blanche Les fabricants de ficelles doivent s’adapter aux exigences nouvelles qu’impose un matériel toujours plus performant Créée en 1921, la société «Ostend Stores s.a. » produit alors dans ses ateliers à Ostende des ficelles en sisal pour le pressage des balles qu’elle commercialise sous la marque La Mouette. Près de nonante ans plus tard l’entreprise qui s’appelle doréna- La gamme des ficelles agricoles en polypropylène de « La Mouette » comprenait déjà pas moins de 8 types différents, depuis la 1000 (1.000 m/kg, 45 kg de résistance linéaire) jusqu’à la « Jaune » (120m/kg, 420 kg de résistance linéaire et 280 kg de résistance au noeud). Cette gamme se voit à présent complétée par la « Blanche », une ficelle spécialement développée pour les presses très haute densité, du type Claas Quadrant 3400. C’est une ficelle à 101m au kilo, soit une longueur utile de 1160m pour une bobine de 11,5 kg. Sa résistance linéaire est de 480 kg et sa résistance au noeud atteint 300 kg. Indéchirable La gamme de filets de pressage Ostex est maintenant complétée par l’arrivée de l’Ostex Extrem. Pour éviter les déchirures verticales du filet dues à sa mise en extension vers les épaules de la balle, la trame centrale est doublée grâce à un procédé exclusif breveté. Cette façon de procéder garantit une résistance élevée du filet qui sera appréciée des utilisateurs, surtout avec les presses balles rondes les plus récentes. Films étirables La gamme Silawrap, historiquement le premier film conçu pour l’enrubannage du préfané, s’enrichit d’un nouveau film en 5 couches commercialisé sous le nom Wrapfilm Renforcé. Le but est de garantir une excellente conservation des balles enrubannées. Fait pour vous par le service d’études 1/3 2/3 Ciney: assemblée générale des marchands-Méritus Liège: commission consultative de l’eau Bruxelles: ONG- sécurité alimentaire Libramont: DGA- présentation et débat mesures agrienvironnementales Gembloux: Naturawal- conseil d’administration Gembloux: FWA: rencontre mandataires politiques PS Gembloux: Valbiom- bureau Jambes: commission des carrières- GT simplification Namur: RTBF- enregistrement tribune agricole radio Jambes: DGATLP- commission régionale d’aménagement du territoire !"! #$ !" %&$'& (%)*% +"! !,+ (%-&. +"! !," (%)$&% +"! !, (%/ +"! !, 3/3 Gembloux: s y s t è m e d e conseils agricoles Gembloux: Nitrawal- GT communication 99986488/1010 PLC JHT la production biologique est certainement une voie à prendre en considération dans le cadre d’une diversification. Cependant, elle comporte des coûts de production sensiblement plus élevés difficultés rencontrées lors de travaux de rénovation? Quels sont les besoins et les soutiens souhaités par la population en la matière? Thisnes: CIPF- fertilisation maïs Gesves: réseau rural- debriefing séminaire sur le cheval Gembloux: FWA- commission productions végétales Bruxelles: Comité économique et social européen- Catégorie agriculteurs Momalle: FWA- conférence PAC Bruxelles: SPF Santé publique-GT pommes de terre Bruxelles: Conseil du FondsGT volailles Bruxelles: Conseil fédéral de développement durable- alimentation durable Bruxelles: Cese - relations extérieures Bruxelles: Copa- Pocc Hannut: section locale FWAbilan de santé 4/3 5/3 Gembloux: CWEDD- section planification Gembloux: FJA- assemblée générale Libramont: cours B- PGDA Ciney: Arsia- conseil d’administration Bruxelles: Phytofar Recover Gembloux: CNIL- qualité du lait • CHAUSSÉE DE NAMUR, 47 B-5030 GEMBLOUX • TÉL. : 081/60.00.60 • FAX: 081/60.04.46 • E-MAIL: [email protected] Organe de presse hebdomadaire de la Fédération Wallonne de l’Agriculture Rédaction : Richard Cydzik, Esteban Jaime, Bernard Kersten, Abonnement : Martine Dewez Editeur responsable:Yvan Hayez, secrétaire général Tirage : 22.500 exemplaires distribués dans toutes les fermes de Wallonie Imprimerie: Centre d’impression de Rhisnes Prépress: Passe-Partout Pages mensuelles de l’UAW - Distribué toutes fermes - Chaussée de Namur 47 - 5030 Gembloux Tél. 081/60.00.60 - Fax. 081/60.04.46 - E-mail. [email protected] Mars 2009 N°108 Ed it o par Françoise Bodson , coordinatrice UAW Le devenir de l’agriculture est aussi l’affaire des femmes… Le 8 mars, c’était la journée internationale des droits de la femme. Celle-ci trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l’égalité, de meilleures conditions de travail et le droit de vote. En 1977, elle a été officialisée par les Nations unies invitant chaque pays de la planète à célébrer une journée pour les droits des femmes. Traditionnellement, le 8 mars (ou les jours qui l’entourent) est l’occasion pour les groupes ou associations de femmes à travers le monde de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société, de faire des revendications. Pour l’Union des Agricultrices cette période est aussi celle du congrès : le temps de faire le point sur la situation des agricultrices, d’émettre des revendications pour améliorer la condition des agricultrices… « Mais que vous reste-t-il à re- vendiquer ?» diront certains… « N’avez-vous pas déjà obtenu ce que vous demandiez ? » Il est vrai que ces 10 dernières années les agricultrices ont enfin obtenus de belles avancées du point de vue de leur statut et de la cotitularité des droits de production , une première en Europe ! N’y aurait – il dès lors plus rien à revendiquer pour améliorer la condition des agricultrices en Wallonie ? L’UAW est convaincue du contraire. La condition des agricultrices dans les exploitations agricoles wallonnes, mais aussi partout dans le reste du monde, est inextricablement liée à la situation de ces exploitations agricoles. En effet, quand une exploitation est menacée, c’est directement l’emploi d’une agricultrice qui est en danger. La situation dans laquelle est plongée l’agriculture aujourd’hui et les incertitudes qui planent sur son avenir ne peuvent laisser l’UAW indifférente. Combien d’exploitations agricoles seront encore en activité dans 1 an, 5 ans, 10 ans ou à plus long terme ? Combien de femmes seront-elles obligées d’abandonner Congrès L’AGRICULTURE: leur métier pour continuer à nourrir leur famille ? Aujourd’hui, l’agriculture est prise en étau entre deux manières de penser l’économie en général, et la production et la commercialisation des matières premières agricoles en particulier. D’un côté, il y a une vision ultra-libérale qui prône le tout au marché, la dérégulation, ... De l’autre, une vision qui soutient l’idée de mettre ou de remettre en place des outils de gestion des marchés, partant du postulat que l’alimentation, besoin fondamental s’il en est, ne peut en aucun cas être envisagée comme n’importe quel bien de consommation. Pour les uns, le marché se régule de lui-même, sans qu’il soit nécessaire de l’encadrer, en laissant faire les forces de l’offre et de la demande qui détermineront le « juste » prix des matières. Pour les autres, laisser le marché des produits agricoles évoluer selon les seules lois de l’offre et de la demande amène immanquablement à de graves déséquilibres, mettant en péril non seulement la survie du secteur agricole mais aussi la sécurité alimentaire des populations. Libéralisation ou régulation... Du choix de modèle qui sera posé dépend l’avenir de notre agriculture mais aussi de nos agricultrices, de leur emploi, de leur revenu. C’est dire si ce choix est crucial... C’est pourquoi l’UAW ne pouvait passer à côté d’un thème comme celui qu’elle a choisi cette année ! « L’agriculture : entre libéralisation et régulation » entre libéralisation et régulation LE VENDREDI 12 MARS 2010 DÈS 9H45 à l’Espace Senghor de la Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux (Ulg-GxABT) - Accueil tes provincia- Introduction, par les présiden les de l’UAW ticulièrement - « Agriculture : une activité par de Frahan, prorisquée », par M. Bruno Henry de Louvain-lafesseur à l’Université Catholique Neuve usage de la ré- « De la nécessité et du bon essens, proSne is gulation », par M. Jean-Franço Louvain-lade que holi fesseur à l’Université Cat Neuve , du ROPPA - Intervention de M. Najirou Sall nes et des san Pay ns (Réseau des Organisatio Cette page a pu être publiée grâce au soutien du Ministère de la Communauté Française de Belgique. Producteurs de l’Afrique de l’Ouest) - Intervention de M. Luc Guyau, président de la FAO - Le point de vue de l’UAW, par Mme Anne-Marie Tasiaux, présidente nationale de l’UAW - Intervention de la Ministre fédérale de l’Agriculture , Mme Sabine Laruelle - Intervention du Ministre régional de l’Agriculture, M. Benoît Lutgen - Débat avec la salle - Conclusions par M. Yves Somville, directeur du service d’études de la FWA. Inv i t a t i o n L’assemblée sera suivie d’un buffet du terroir auquel vous êtes chaleureusement convié(e)s. PAF : 5 euros Cette assemblée a pu être organisée grâce au soutien : de la Communauté Française de Belgique du Ministère de l’Agriculture et de la Ruralité de la Région Wallonne de l’APAQ-W ((dXij)'(' ( Echo des Provinces: Journée provinciale du Brabant Aider à la transmission d’une exploitation... Une réflexion approfondie s’est imposée à la journée provinciale du Brabant Wallon par Brigitte Huet Le 23 février dernier, les dames de l’Union des Agricultrices Wallonnes se sont retrouvées à la ferme du Mont à Thorembais les Béguines pour entendre, juristes, notaires, fiscalistes, banquiers, ainsi que Monsieur Antoine, Ministre régional des Finances. Place de l’agriculture dans le Brabant Wallon : Mylène Wyseur-Dujardin, Présidente de la locale UAW Wavre, Perwez, Mont-SaintGuibert a présenté Thorembais les Béguines à partir de la Ferme du Mont, l’une des six fermes en carré de la commune. Elle nous a tracé dans les grandes lignes une photographie de l’agriculture brabançonne souvent qualifiée « d’agriculture péri-urbaine » en précisant que si la province est la plus petite du point de vue « superficie agricole utilisée », elle occupe une place importante puisqu’elle met en valeur 59% des terres. Elle n’a pas hésité à nous rappeler que si la taille moyenne des exploitations a augmenté ces dernières années, les crises et l’urbanisation ont provoqué la perte d’exploitations et la perte pour le secteur de 2000 ha. Pour environ 1095 exploitants, 204 sont des femmes, 891 des hommes, 52% de ces femmes et 71% des hommes travaillent à temps plein. Quant aux 369 Conjoints-aidant recensés 85% sont des femmes dont plus de 50% d’entre elles travaillent au dessous d’un mitemps. Notre présidente locale d’ajouter : « Nous ne nous étonnerons pas que la problématique de la transmission des exploitations soit présentée ici ». Madame Decoster, Présidente provinciale UAW interpelle les mandataires Une profession à capitalisation qu’il faut sauvegarder : Après avoir remercié les organisatrices, et les conférenciers : Mesdames Christine Le Borne et Anne-Sophie Janssens du service Juridique attaché à la FWA, Maître Etienne Beguin, Notaire à Beauraing, Monsieur Michel Hoyos du Crédit Agricole et Monsieur André Antoine, Ministre régional des Finances, Marie-Ghislaine Decoster-Paris, Présidente provinciale de l’UAW est directement entrée dans le vif du sujet. Partant des aspects émotionnels et matériels pouvant mettre en péril la pérennité des exploitations, elle a précisé : « que le métier d’agriculteur est une profession à capitalisation importante où être propriétaire de ses surfaces cultivées a toute son importance. » D’ailleurs a-t’elle dit « les exploitants agricoles sont propriétaires d’au moins 30% de la superficie de leur ferme et la tendance va croissant. Lors d’héritage, les droits de successions représentent des sommes importantes difficiles à assumer sans vendre. La crise ) ((dXij)'(' économique que l’agriculture et toute la société traversent actuellement, la chute des prix de vente de nos productions rendent les investissements difficiles à assumer, ce qui met un secteur essentiel de notre société en péril. » MarieGhislaine n’a pas hésité à rappeler que : « la mission principale de nos agriculteurs est bien de nourrir la population, mais que cette noble activité est engluée dans une masse de contraintes économiques, environnementales, sociales, financières qui conditionnent son devenir. ». En prenant l’exemple des jeunes agriculteurs souhaitant reprendre la ferme familiale ou acquérir le patrimoine d’exploitation, notre présidente a fait remarquer que c’est impossible si l’on s’en tient aux moyens traditionnels. En posant cette question: « Comment la jeunesse peut elle assumer de tels investissements? ». Notre présidente provinciale a posé le problème en ces termes : « la problématique ne concerne pas que les agriculteurs en fin de carrière. C’est de l’avenir de tous nos jeunes et de l’avenir de l’agriculture Wallonne dont il s’agit ici... Nous l’avions déjà souligné, insisté en 2004. Force est de constater que le dialogue a porté ses fruits. La concertation n’est pas toujours médiatique mais c’est à l’UAW notre ligne de conduite ; nous continuerons ainsi dans tous les domaines que nous sommes amenées à défendre. Quand il y a une nouveauté, le travail d’une organisation syndicale comme la notre, comme les nôtres, doit se décliner en plusieurs axes : la compréhension du contenu de la proposition, de la règle, de la loi – l’explication et la vulgarisation pour nos adhérants – la confrontation aux réalités pratiques du vécu des agriculteurs – la critique (positive ou négative) et l’évaluation attendues et enfin les revendications et propositions de nouvelles mesures ou adaptations ». Voilà en quelques mots le credo de notre présidente provinciale, il est le credo de beaucoup. Réponse de Monsieur André Antoine, Ministre régional des Finances Portée du décret du 10 décembre 2009 : Honoré d’être invité dans son fief et convaincu du rôle sociétal de l’Agriculture, Monsieur Antoine a examiné avec nous, l’aspect humain de ce secteur à l’aide de quelques chiffres : « En référence à 2006, il y a en Région Wallonne 16.557 exploitations agricoles, parmi celles-ci, 15.404 sont exploitées par des personnes physiques et groupements, seulement 1.073 le sont par des sociétés. En 2007 on comptabilisait 26.470 personnes occupées dans les secteurs agricoles et horticoles dont les exploitants eux-mêmes représentent 69% de la main d’oeuvre. Prouvant en cela le caractère essentiellement familial des exploitations wallonnes. Quant à l’aspect physique de l’agriculture toujours en Région Wallonne, la superficie agricole utilisée était de 747.840 ha au 1er mai 2007, soit 49% de la superficie totale de la région avec une moyenne de 46,7 ha par exploitation. ». André Antoine a ajouté ceci : « Si la main d’oeuvre a reculé de près de 43% entre 1990 et 2007, la superficie agricole utilisée a pratiquement doublé, faisant passer le nombre d’ha moyen en 1990 de 25,8 ha à 46,7ha en 2007 soulignant ainsi l’importance des capitaux engagés dans une exploitation, soit environ 1 million d’euros par exploitation. ». Par là, André Antoine a voulu démontrer que l’agriculture est non seulement un secteur important de l’économie et de l’environnement wallon et qu’en termes de terres cultivables notre région recèle une grande valeur patrimoniale et sociétale. Un taux à 0% pour les terres agricoles : On comprend l’intérêt que le Ministre a mis dans le décret fiscal du 10 décembre 2009 sur la transmission d’exploitation familiale. En effet a-t’il précisé : « Les articles 140bis à 140octies du Code des droits d’enregistrement, hypothèque et de greffe, ainsi que l’article 60bis du Code des droits de succession prévoient un taux réduit de 0% des droits de donation et de succession en cas de transmission d’entreprise, personne physique ou morale soumis à la condition de l’exercice d’une activité économique, dont les activités agricoles. ». Il a précisé que : « dans les cas où les terres agricoles restent dans le patrimoine des parents, la mesure prise dans le cadre du décret du 10/12/2009 a remédié à ce problème par une assimilation des terres agricoles à une entreprise agricole pouvant être transmise au taux réduit. Si : · les terres sont transmises par leur ancien ou actuel exploitant ou co-exploitant ou par son conjoint ou cohabitant légal · les terres sont transmises à leur exploitant effectif ainsi qu’en ligne directe entre époux et cohabitants légaux · les terres étaient antérieurement mises à la disposition de l’exploitant effectif en vertu d’un bail à ferme · les autres conditions de poursuite d’une activité agricole admise aux taux réduit et maintien de l’emploi, pendant 5 ans, seront appréciées dans le chef de l’entreprise de l’exploitant » Et le Ministre de conclure : « Vous agricultrices et agriculteurs, vous restez au coeur et dans le coeur de son action politique ». Anne-Sophie Janssens, Juriste à la FWA Les questions juridiques essentielles qu’il faut se poser : Anne-Sophie Janssens, conseillère juridique à la FWA, a développé quelques aspects juridiques qui s’appliquent lors de la transmission de l’exploitation. S’agissant d’un contrat, les parties doivent préciser au mieux leur volonté réelle dans une convention de reprise et se soumettre aux règles du droit civil. Au delà du droit, elle a également voulu insister sur différentes questions qu’il faut se poser avant d’envisager une transmission d’exploitation avec un foncier souvent important. La transmission de cette exploitation doit être scrupuleusement préparée pour éviter des conflits familiaux et/ou des conséquences fiscales néfastes qui mettraient à mal le capital lui-même. La transmission requiert donc du TEMPS et de la REFLEXION. Elle a insisté sur le fait que l’exploitant doit être attentif à la façon dont la succession sera dévolue, qui sont les héritiers ? Quels biens va-t-il transmettre, des immeubles, des meubles; l’exploitant veut-il gratifier un de ses héritiers ou un tiers ? Veut-il transférer de son vivant ? En créant des lots ou une indivision ? Ces questions doivent être posées et guideront l’exploitant, aidé de son notaire, vers l’une ou l’autre solution juridique telle qu’une donation, un testament, la création d’une société, la modification du régime matrimonial. Christine Le Borne, Conseillère fiscale à la FWA Transmission d’une entreprise agricole, aspects fiscaux à ne pas négliger : Christine Le Borne, conseillère fiscale à la FWA, a attiré l’attention des participants sur différents éléments fiscaux auxquels il faut être très attentif lors de la transmission d’une exploitation à titre onéreux. C’est ainsi que la rédaction de la convention de cession, tant l’inventaire que sa valorisation, doivent être effectuée avec soin. Il ne faut pas non plus ignorer que le cessionnaire est solidairement responsable des dettes fiscales du cédant jusqu’à l’expiration du délai d’un mois qui suit la notification de la convention de cession au receveur des contributions du ressort duquel dépend le cédant. Cette responsabilité peut être annulée par la présentation par le cédant d’une attestation ad hoc établie par son receveur et attestant de l’absence de telles dettes. La problématique de la taxation des plus-values éventuellement dégagées lors de la cession de certains éléments de l’actif de l’exploitation ne peut être passée sous silence a-t’elle ajouté. Celleci doit également être analysée au cas par cas ( régimes fiscaux et TVA du cédant et du cessionnaire, transmission familiale en continuité ou transmission entre tiers, nature des éléments transmis etc...). Maître Beguin, Notaire à Beauraing La programmation successorale : Quant à Maître Etienne Beguin, notaire à Beauraing, il nous a présenté la programmation successorale, une opération complexe aux implications variées, en mettant en avant le contexte et les objectifs de celle-ci : le contexte professionnel, familial, fiscal, personnel. Il nous a rappelé avec un humour certain une phrase de Benjamin FRANKLIN « Rien en ce monde n’est certain, sauf la mort et les impôts » et encore les impôts... Maître Beguin a développé divers instruments juridiques pouvant être utilisés lors d’une programmation successorale en soulignant au préalable que le sur mesure doit prévaloir et que le prêt à porter n’existe pas ! Et d’ajouter : « Il n’y a pas de solution type car différents aspects subjectifs entrent en ligne de compte comme les éléments humains et les difficultés psychologiques à transmettre son patrimoine et son exploitation ». Il insistera toutefois sur la nécessité de protéger le donateur, ne pas tout donner et mettre des gardes-fous mais il faut oublier l’idée reçue qu’on ne doit rien transmettre de son vivant. Parmi les instruments juridiques, il a développé les instruments classiques comme les donations, le testament. L’achat d’un bien en démembrant le droit de propriété; l’usufruit est acquis dans le chef d’une société ou des parents et la nue-propriété acquis respectivement par l’agriculteur en personne physique et au nom des enfants dans le deuxième cas. L’acquisition au nom des enfants ou en indivision représentent également un intérêt. Enfin, la donation d’entreprise développée par le Ministre Antoine est un instrument relativement nouveau ayant un grand intérêt. Monsieur Hoyos du Crédit Agricole La mobilité des charges financières : A l’invitation de l’Union des Agricultrices Wallonnes du Brabant Wallon, Michel Hoyos, Chargé de relations du Crédit Agricole, a donné son point de vue sur « la mobilité des charges financières lors de la transmission d’une exploitation ». Il nous a précisé que c’était bien malaisé de donner une réponse standard à la question du devenir des crédits professionnels des parents lors de la cession totale ou partielle de leur exploitation à leur enfant, car le montage du dossier de reprise est généralement fait « sur mesure » et doit s’intégrer dans le cadre de la planification successorale. Monsieur Hoyos a insisté sur l’importance de rappeler les sources de financement saines à rembourser de celles qu’il vaut mieux apurer avant de parler de la transmission d’exploitation à la génération suivante. (Comme par exemple les arriérés fournisseurs et autres dettes). Il a également souligné qu’il est important de connaître aussi les composantes de l’acte de crédit, comme la certitude de remboursement à temps des échéances de crédit, comme la certitude de récupérer la somme investie en cas de problème. Car il est vrai que l’argent avancé via crédit est l’argent des épargnants et que la banque a l’obligation de garantir un résultat sans risque. On comprend mieux a-t-il ajouté « que lors de la passation totale ou partielle de l’exploitation, des calculs approfondis de rentabilité actuelle et future soient faits et que sur base de ces calculs, votre implication en tant que parents sera redéfinie à partir des charges de crédits, de codébition, de caution, tout affectant hypothécaire ». Dans l’assemblée, Mme Tasiaux, Présidente nationale, Mr Sépuclchre Représentant du Ministre et Mr Moniquet, de la FWA, Mr Ladouce, Président de la FWA... Conclusions : Monsieur Hoyos, comme tous les intervenants ont rappelé les règles de base d’une bonne transmission d’exploitation à ses enfants, en rappelant l’importance de vivre cela dans un climat familial le plus serein possible, en insistant sur l’absolue nécessité de transmettre une exploitation saine ou sinon s’atteler à l’assainir avant la transmission. Il a été suggéré de se mettre autour de la table avec la famille, le comptable, le fiscaliste, l’ingénieur agronome et le banquier. Sans oublier le rôle des mères quant à la gestion et la préparation administrative face aux diverses contraintes... Par Brigitte Huet, coordinatrice Groupe de Soutien La commune d’Héron en province de Liège, sensible à la situation des agriculteurs pendant cette crise a souhaité marquer sa solidarité par une action concrète. En décembre dernier, lors du Conseil communal, ses membres ont voté à l’unanimité une motion de soutien aux agriculteurs en difficulté. Voici en bref ce que cette motion dénonce : « La situation dramatique actuelle des exploitants laitiers wallons, obligés de vendre le lait en-dessous du coût de production et considérant que la politique de dérégulation menée par l’Union Européenne a abouti à la situation actuelle... Le Conseil communal attire l’attention de la Commission européenne et du Conseil sur le risque de démantèlement complet d’un secteur économique de base capable d’offrir qualité et quantité d’aliments tout en maintenant une activité économique familiale dans nos campagnes.... » Très concerné par le travail des agricultrices bénévoles du « Groupe de Soutien de l’UAW », Monsieur Lambert nous a fait part des initiatives prises dans sa commune. Nous venons de parler de la difficulté des prodcteurs dans ce cadre, vous ne pensez pas uniquement aux producteurs de lait ? Non à travers cette motion, le Conseil communal attire l’attention des autorités concernées sur le soutien nécessaire aux producteurs de céréales, de betteraves sucrières et de la viande porcine et bovine, afin d’assurer un juste revenu au monde agricole en général. Quand les agriculteurs vendent les betteraves à 25E la tonne et les céréales à moins de 100E la tonne, quand on connaît les coûts de production, on comprend vite que les agriculteurs ne peuvent pas assumer la gestion de leur exploitation, les marges sont insuffisantes pour assurer. Je pense particulièrement aux jeunes agriculteurs, en tant qu’aînés nous devons lutter contre ce marasme et trouver des solutions. Monsieur l’Echevin, vous insistez vivement pour que les grossistes entre les producteurs et les consommateurs changent de comportement ? Certes oui, nous voulons qu’une attention particulière soit portée aux rôles que peuvent jouer les intermédiaires comme la grande distribution, notamment que ce secteur soit mieux encadré afin d’éviter que toute nouvelle mesure en faveur des producteurs qui viendrait réduire les marges de ces intermédiaires ne soit finalement répercutée par ces derniers sur les consommateurs. Cette motion de soutien insiste fortement sur la nécessité d’être solidaires... L’UAW en bref... Festival « A travers champs» La seconde édition du festival du film sur la ruralité « A travers champs » organisé par le Centre Culturel des Roches de Rochefort et l’émission « La Clé des Champs » de la RTBF aura lieu du 10 au 14 mars 2010. Venez nombreux goûter le bon lait et la soupe confectionnée par les agricultrices des sections UAW de Ciney et Dinant-Beauraing le samedi 13 de 10h à 18h. Monsieur Louis Lambert, Echevin de l’Agriculture dans la commune d’Héron L’Union des Agricultrices Wallonnes organise justement son Assemblée Générale, le 12 mars à Gembloux avec pour thème « entre libéralisation et régulation ». Serez-vous des nôtres ? J’ai remarqué votre invitation dans le « plein champ » et je ferai l’impossible pour être des vôtres car il faut savoir que sans régulation, les exploitations à taille humaine telles qu’on les connaît chez nous ne peuvent plus lutter avec les grandes structures de productions industrielles incompatibles avec le développement d’une agriculture familiale durable. C’est aussi l’avenir de nombreuses familles et de travailleurs qui est en jeu aujourd’hui. Nos fermes de proximité telles que nous les apprécions risquent d’être emportées pour ne laisser la place qu’à des structures gigantesques, ce n’est pas ce modèle que nous souhaitons. Comme vous, dans notre commune, nous défendons une agriculture familiale. Entretien fait dans le cadre d’une rencontre avec le Groupe de Soutien de l’Union desAgricultrices Wallonnes et l’Echevin de l’Agriculture de la commune d’Héron. Année 2010, année européenne de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale Héron soutient les agriculteurs Envie de parler ? Besoin d’aide ? Nous sommes à vos côtés «Cera» : le «Groupe de Soutien contre la précarité de l’UAW» à l’honneur « Cera » met en valeur les associations liées à ses projets sociétaux. Dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme, du 8 mars, une interview de deux agricultrices bénévoles du « Groupe de Soutien précarité de l’UAW ». vous est proposé sur le site : http:// www.cera.be voir article« Ces femmes qui marchent d’un pas ferme ». La présidente de l’UAW reçue au Palais Ce mardi 9 mars, notre présidente Anne-Marie Tasiaux était invitée au Palais Royal pour un déjeuner rassemblant différents acteurs du monde associatif, scientifique et culturel de notre pays. A travers cette invitation, c’est toute l’UAW qui est mise à l’honneur pour son travail de défense des intérêts et d’éducation permanente des agricultrices. Formation «classement de papier» La formation « Classement de papier » remporte un beau succès. Mêlant à la fois échanges d’expériences et conseils avisés, celle-ci est ouverte à tous ! De nouvelles séances sont déjà programmées dans différentes régions, n’hésitez pas à vous inscrire ! UAW PROVINCE DE LIEGE Le lundi 22 mars 2010, de 10h à 16h, au « Charlemagne », Chemin du Moulin à Vent 2 à Henri-Chapelle. Renseignements et inscriptions auprès de M-J. Geron au 087 67 44 66 ou Françoise Bodson 081 60 00 60 – francoise.bodson@ fwa.be. PAF : 10,5 euros (repas et boissons) UAW BEAUMONT MERBES CHIMAY Le jeudi 25 mars 2010 de 10H00 à 16H00 à la maison du village, rue Prestemont à Vergnies UAW CINEY NAMUR SUD DINANT BEAURAING Le jeudi 06 mai 2010 dans les locaux de l’AWE rue des Champs Elysées à Ciney et vous proposons gratuitement : une écoute bienveillante pour rompre l’isolement des avis et accompagnements de la profession des visites de soutien contact : Avec le soutien du Union des Agricultrices Wallonnes Brigitte Huet : 081/ 62 74 95 Jacqueline Diet : 087/67 40 20 U.A.W. Chaussée de Namur 47 5030 GEMBLOUX Tél. : 081 60 00 60 Fax : 081 60 04 46 www.fwa.be ((dXij)'(' * L’UAW vous a représenté Février 03/02 Gembloux Colloque «(R)évolutions dans nos assiettes» Ulg – Gembloux Agro Bio Tech 04/02 Bruxelles Rencontre Avenir PAC et environnement avec le CDS FWA Commission Européenne DG Agriculture Bruxelles CFDD – groupe de travail Alimentation Durable 5/02 Gembloux Réunion suivi projet UAW au Vietnam Ulg – Gembloux Agro Bio Tech 18/02 Gembloux Bureau FWA 19/02 Gembloux Bureau UAW 22/02 Bruxelles CFDD – groupe de travail Alimentation Durable 24/02 Gembloux Livre Blanc Céréales Ulg – Gembloux Agro Bio Tech SOUPER PROVINCIAL DU HAINAUT L’UAW et la FWA du Hainaut ont le plaisir de vous inviter AU SOUPER PROVINCIAL qui aura lieu Le samedi 20 mars 2010 dès 19H30 à Tertre, Cense de l’Alouette route de Tournai, 188 - 7333 Tertre Menu 6 services pour la modique somme de 46 euros Animation, boissons (bières, eaux, vins) compris pendant le repas Renseignement et réservation chez Albert Leclercq 071/55 52 85 Bernadette Guiot 071/58 90 17 Peiment sur le compte UAW du Hainaut 103-0162893-01 Date limite d’inscription: le lundi 15 mars 2010 Agenda mars 2010 Les amis de vos amis sont les bienvenus. JEUDI 11 MARS 2010 UAW BOUSSU DOUR 19H30 THULIN – salle Roi Baudouin. ‘Utilisation rationnelle de l’énergie, possibilité d’énergies renouvelables dans les exploitations d’élevage’ par Brice Duchêne, facilitateur d’économie d’énergie pour le secteur élevages de la RW. UAW MALMEDY 14H00 MONTENAU ‘Visite d’un artisan bijoutier’ rendez-vous à l’église d’Ondenval à 13H45 VENDREDI 12 MARS 2010 UAW NATIONAL - CONGRES NATIONAL 9H45 GEMBLOUX Espace senghor. ‘L’agriculture: entre libéralisation et régulation’. Invités: Mrs Bruno Henry de Frahan, Jean-François Snessens, Luc Guyau, Najirou Sall, Sabine Laruelle, Benoît Lutgen. Débat animé par Yves Somville. PAF 5 euros pour le dîner (buffet campagnard) Inscription obligatoire pour le repas auprès de votre présidente de section locale ou au bureau UAW 081/60 00 60 pour le 5 mars au plus tard. SAMEDI 13 MARS 2010 UAW PROVINCE DU NAMUROIS ROCHEFORT - Festival du Film ‘A travers champs’ du mercredi 10 mars au dimanche 14 mars 2010. Les sections UAW de Ciney Dinant Beauraing seront présentes le samedi et feront la promotion de nos produits de la ferme avec dégustation. LUNDI 15 MARS 2010 UAW GEMBLOUX NAMUR NORD FOSSES 19H00 SART ST LAURENT à la salle paroissiale. Bricolage 1° partie: ‘Les poules’. 2° partie le 17 mars. Prévoir PAF. Inscriptions chez Agnès Vandenbroucke. 071/78 50 34. MARDI 16 MARS 2010 UAW FLORENVILLE 13H30 VILLERS SUR SEMOIS – route de l’Eglise. + ((dXij)'(' ‘Préserver son environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands-mères’ par Myriam Lambillon. MERCREDI 17 MARS 2010 UAW GEMBLOUX NAMUR NORD FOSSES 19H00 SART ST LAURENT à la salle paroissiale. ‘Bricolage suite: Les poules’. Renseignements chez Agnès Vandenbroucke 071/78 50 34. UAW BASTOGNE 20H00 Ste ODE chez Monique Pierlot, 8 Renuamont. ‘Produits de notre terroir: valorisation pour les fêtes de Pâques.’ UAW LIBRAMONT 13H30 ET 19H30 !! 2 groupes. MASSUL – route St Monon – salle les Sorbiers. Déco de Pâques. Inscriptions chez Marguerite BOSSICART 061/27 84 03 avant le 12 mars. Spécifiez groupe de l’aprèsmidi ou du soir. JEUDI 18 MARS 2010 UAW MONT ST GUIBERT WAVRE PERWEZ 13H30 MONT ST GUIBERT – Maison des Loisirs. ‘Cours de déco de table’ par Nathalie Scots de l’Air de Rien. UAW FERRIERES LOUVEIGNEE 13H30 SPRIMONT au Café du Parc – rue du centre. ‘Gérer notre environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands-mères’ par Myriam Lambillon. Conférence prévue le 11 février mais reportée pour cause climatique. VENDREDI 19 MARS 2010 UAW LENS SILLY ENGHIEN 19H00 LOMBISR rue Darras à la salle communale. ‘Magie des tables joliment décorées en harmonie avec la saison.’ Apportez vos appareils photos. SAMEDI 20 MARS 2010 UAW -FWA PROVINCE DU HAINAUT 19H30 TERTRE Cense de l’Alouette. - Souper Provincial: menu 6 services. PAF 46 euros .Ambiance musicale assurée. Inscriptions pour le 01 mars chez Albert Leclercq 071/55 52 85 – 0478/81 29 31 – Bernadette Guiot 071/58 90 17. DIMANCHE 21 MARS 2010 UAW MOUSCRON CELLES ESTAIMPUIS PECQ 11H00 HERSEAUX à la salle ‘Le Provencal’. Apéritif de printemps. Possibilité de petite restauration. LUNDI 22 MARS 2010 UAW HERVE AUBEL 10H00 à 16H00 HENRI CHAPELLE au Charlemagne. Cours de classement de papiers. Inscriptions et renseignements chez Françoise Bodson 081/60 00 60. MARDI 23 MARS 2010 UAW LA ROCHE 19H30 LA ROCHE à la piscine communale. ‘Art Floral’ avec Jany Kaiser. Apporter petit couteau, pince coupante, 3 coquilles d’oeufs, un essuie, un curver, un pistolet à colle si vous en avez un. Prévoir PAF. Inscriptions pour le 19 mars chez Christiane Collard 084/43 30 44 – 0497/92 43 83. UAW FLEURUS 19H30 LIBERCHIES à la maison du village. Art Floral sur le thème de Pâques. Par Christel Buyse. Prévoir sécateur, PAF. Inscriptions obligatoires chez Ch. Francotte 0473/29 81 31. MERCREDI 24 MARS 2010 UAW SOIGNIES 19H30 SOIGNIES salle de la paix, Place du Millénaire. ‘A la découverte des fromages’ par Guillaume Deroy, affineur. Suivi d’une dégustation fromages – vins. PAF 5 euros. Inscriptions obligatoires avant le 21 mars chez G. Meurée 01477/660 295 – 067/33 51 29. JEUDI 25 MARS 2010 UAW NIVELLES GENAPPE 13H00 VIEUX GENAPPE à la salle communale. ‘Atelier chocolat: thème de Pâques’ PAF 15 euros/personne. Inscriptions obligatoires chez G. Dumonceau 0497/62 87 95 – 067/77 22 65. UAW BEAUMONT MERBES CHIMAY 10H00 à 16H00VERGNIES à la maison du village, rue Prestemont. Cours Classement de papiers. Prévoir pique-nique!! Inscriptions et renseignements chez Myriam Lambillon 081/627 493. UAW ANDENNE 13H30 JALLET – salle les Houlottes. Valorisaiton des produits de notre terroir avec Mme Vanhoof. VENDREDI 26 MARS 2010 UAW EGHEZEE Exposition Magritte à BRUXELLES. Renseignements et inscriptions chez Ch. Bouvier 081/85 52 97. MARDI 30 MARS 2010 UAW BASTOGNE 20H00 BASTOGNE chez Jany. Atelier d’Art Floral pour Pâques. Prévoir 3 coquilles d’oeufs + matériel habituel. Inscription chez Monique Pierlot 061/68 83 62 pour le 24 mars. JEUDI 1er AVRIL 2010 UAW MOUSCRON CELLES ESTAIMPUIS PECQ MONT DE L’ENCLUS 20h à LEERS NORD chez Francine Nutin – atelier culinaire. Prochaine date de parution le 1 avril 2010 Vos articles et dates agenda pour le 25 mars au plus tard CF:8C 8 D @ : 8 C < ; < J I < K I 8 @ K y J ; < C 8 = N8 Brabant Wallon Dimanche 14 mars A 12h30, dîner annuel à la Commanderie de Vaillampont à Nivelles. Prix 45 euros par personne. Inscription auprès de Norbert Mullier. Tél 067/554.305 (entre 18 et 19h) ou auprès d’Etienne Plasman au 0474/544.336 (après 19h). Paiement par virement au compte Amicale des Aînés du Brabant wallon à 1400 Nivelles au 103-1149895-28. Clôture des inscriptions le 1er mars. Jeudi 1er juillet au mercredi 7 juillet 2010 Croisière dites des «4 Fleuves» sur le bateau «Princesse Sissi». Inscription et renseignements auprès de Norbert Mullier entre 18 et 19h au numéro 067/554.305. Vendredi 26 mars 2010 A 13h30, jeux de cartes et goûter aux tartes au hall Manifagri. Tournai Mouscron Lundi 19 avril A 14h, à la salle Roc St-Pierre à Antoing. Conférence sur l’alimentation et le cholestérol par Marie Mahieu, diététicienne. Inscription au 069/225.851 ou au 069/647.943. Paf 6 euros. Mardi 18 mai Voyage à Avioth, petite commune française le long de la frontière belgoluxembourgeoise. Nous participerons et chanterons la messe de 11h dans cette magnifique cathédrale des champs. Dîner à Orval et visite de l’abbaye. Départ à 7h du Hall des Sports de Tournai. Inscription à la réunion du 19 avril. Namur Jeudi 11 mars A 14h, goûter aux tartes et jeux de cartes au centre de Zootechnie de Ciney. Jeudi 18 mars A 12h, dîner annuel à Anthée au Mazamet. S’inscrire pour le 10 mars au plus tard au n° tél 071/713.642 Du samedi 12 au vendredi 18 juin Voyage annuel en Hollande. Renseignements et inscriptions: Floymont Nestor au 082/223.391, Kinis Victor 082/61 31 21 Ath Soignies Mons Jeudi 18 mars A 12h, dîner annuel à la salle le Gravier, route d’Ath – Lessines 222 à 7822 Isières. Prix : 45 euros/personne boissons comprises. Inscription pour le 10 mars chez Marcelle Laitem 068/552.338, Oda Vandenbroucke 068/551.263 ou 0479/419.932 et versez la somme due sur le compte 732-0031437-60 des Seniors de la FWA rue Dendrelette 13 à 7830 Gondregnies (la paiement faisant foi de votre inscription). Mons Samedi 26 juin au samedi 3 juillet Voyage annuel en Ecosse. 7 nuits. Inscription 15 avril au plus tard. Souhaite réservation rapide chez Firmin Glineur 064/334.381, René Roisin 065/728.394 ou Thérèse Pecher 02/305.30.17 <:?F?<I98><I Que mangeons-nous? Dimanche 7 mars, nous guettons toujours l’arrivée du printemps qui tarde vraiment à arriver. Pour l’instant, les températures nocturnes sont encore largement négatives et la journée le soleil n’arrive pas à nous préserver du froid que nous amène un vent du nord piquant. ClZ`\e Ifp\e Fin février, dans le magnifique domaine de Jehay, la Chambre d’agriculture de Liège avait programmé son assemblée générale. Notre président, Fernand Tasiaux, a rappelé la situation inconfortable actuelle. En effet, les juristes n’arrivent pas à se mettre d’accord sur la tutelle de nos Chambres. Celle-ci relève-t-elle du fédéral ou du régional? Cela nous met dans une situation difficile notamment pour la nomination des membres appelés à remplacer les sortants atteints par la limite d’âge. Au cours de cette assemblée, les intervenants ont rappelé les difficultés qui touchent les différents secteurs: viande, porc, lait, céréales… Un point de la situation sera fait prochainement au Palais provincial sur le dossier du fond des calamités pour voir si certains peuvent encore être éligibles et aussi réfléchir aux solutions à envisager pour une meilleure gestion des dossiers au niveau communal. La seconde partie fut consacrée à une conférence débat organisée par les services agricoles de la province et le centre provincial liégeois de promotion et de gestion en agriculture. L’orateur était Périco Lagasse, rédacteur en chef de la rubrique Art et Vivre de l’hebdomadaire français Mariane mais aussi chroniqueur sur France 3. Ce critique gastronomique engagé dans la cause du «juste goût» est également spécialiste des problèmes de consommation et défenseur des A.O.C. Il est également un des experts auprès du conseil économique et social de la République Française qui a été auditionné pour l’élaboration du rapport 2009, intitulé «de l’assiette aux champs». Cette conférence fut suivie par un large public parmi lequel on retrouvait des responsables agricoles, économiques et politiques. Ainsi, le Député permanent Julien Mestrez, en charge de l’agriculture, a présenté l’orateur. Nous avons entendu un discours parfois provocateur, réaliste et parfois alarmant sur le contenu de nos assiettes. Quelques chiffres: en France, le chiffre d’affaires de l’agroalimentaire est de 145 millions d’euros. 80% des aides de la PAC vont à 20% des agriculteurs qui possèdent 45% des surfaces. L’objectif de la PAC était de produire des aliments de qualité en quantité suffisante à un prix raisonnable, tout en assurant un revenu correct aux agriculteurs. Le pari est loin d’être tenu pour ce qui concerne le revenu décent du monde paysan. Aujourd’hui, c’est l’industrie agroalimentaire qui tire les ficelles. Elle dirige tout et impose ses conditions. Nos matières premières sont parfois transformées en des plats préparés qui n’ont quasi plus rien à voir avec les produits d’origine. Une émission diffusée sur France 3 était également interpellante sur ce sujet. On retrouve de plus en plus de sel et de sucre dans nos plats. La publicité environnante cache le contenu réel des produits. Par exemple, sur des produits pour enfants on annonce en grand que le produit est à base de lait, et en petit on peut lire que le produit contient 20% de lipide ou de mauvaise graisse. On peut multiplier les constats et les exemples. Le résultat est que les matières premières que nous produisons avec toutes contraintes inhérentes à notre travail sont de plus en plus mal rémunérées mais que d’autres font de plantureux bénéfices. Les techniques mises en place par les scientifiques qui travaillent pour ces grosses industries cherchent à remplacer certains produits de base par des substituts artificiels bon marché au goût sucré et prisé par les jeunes. On se doit d’être inquiet car l’appât du gain ne connaît aucune limite. Comment pourrait-on arrêter un rouleau compresseur? Les conséquences au niveau de la santé commencent à se voir. Ainsi, en France, un enfant sur six est en surpoids. Syndicalement, il est nécessaire que la FWA pose ce problème en commission et y réfléchisse. Même si cela n’est pas facile face aux multinationales. Péricola Lagasse propose de créer des circuits courts avec les consommateurs qui accepteraient de payer un prix permettant au paysan de vivre en contrepartie de produits sains. Je n’ose y croire mais cela vaut la peine d’y réfléchir. Après un débat très instructif et constructif nous avons eu droit à un buffet composé des produits de notre terroir. De l’apéro au dessert, c’était un véritable délice. Le jambon entier coupé au couteau était un régal. 24 produits différents composaient le menu. Bravo à tous les producteurs et aux services de la province pour l’accueil. Je termine en félicitant les responsables de la FWA pour leur action envers Makro. Ce dernier affichait ni plus ni moins que la mention «produit laitier» au dessus de la margarine. Avant de prendre congé, je vous rappelle l’assemblée de nos dames ce vendredi 12 mars et celle de la FWA le 17 mars. Toutes les deux se tiendront à l’Espace Senghor de Gembloux. • & G p LU W/ J H R P Q W3 OX V 3 OX V ¶T X Q D X W[0 LQ X Q H H OU D WLR Q 0 D [ L Pays de Herve Mardi 20 avril Excursion : visite à Bruxelles (RTBF et Coudenberg) Départ SCAR à Herve à 7h15. Prix par personne 48 euros en autocar de luxe, repas de midi, entrée et visite guidée du Coudenberg. Inscription : Victor Taeter au 087/301.326, paiement faisant foi au n°103-0158695-11 avant le 20 mars 2010. Mardi 22 et mercredi 23 juin Voyage de 2 jours en Sarre: villa romaine à Borg, point de vue sur la boucle de la Sarre, visite guidée de Sarrelouis, le jardin des sens à Merzig. Visite guidée de Saarbrücken. Prix par personne: 169 euros comprenant le transport en autocar séjour en pension complète du jour 1 midi au jour 2 midi et visites guidées au programme. Supplément chambre individuelle : 20 euros. Acompte de 50 euros/personne pour le 29 mars 2010. Solde pour le 17 mai 2010. N° de compte 103-0158635-11. Rens et inscription chez Victor Taeter, Messitert 56 à 4880 Aubel. Tél. 087/301.326 ou 0496/742.306 R 9 H W U H Q J D WV H U WMR J LQ E D OH X V UR Q V 0 6 * X R S UH Q D S U OH Mardi 24 au mardi 31 août Voyage en Italie (Ligurie et Lac Majeur). Prix par personne pour minimum 44 personnes : 773 euros Supplément chambre individuelle : 126 euros. Réservation rapide : 15 euros/personne assorti d’un acompte de 230 euros par personne pour le 15 mars 2010. Solde pour le 19 juillet 2010. N° de compte 103-0158635-11. Rens et inscription chez Victor Taeter, Messitert 56 à 4880 Aubel. Tél. 087/301.326 ou 0496/742.306 Fleurus Mardi 8 juin Voyage d’un jour en France. Visite de la coupole à Saint-Omer, base de lancement des fusées V2 durant la guerre et de la Cristallerie d’Arques. Des informations complémentaires suivront. ($ *, '#(* $ *$ #*$ ' '' *($ ##, $)# (# #' ' #$ (' ( ($ *($ #$ '# #' ' ($ ' $ '(+ "$' *'# #' '#(*# "#' ( ' " '(+ ($ $ t VOF GPSNVMF EF DSÏEJU TPVQMF HSÉDF Ë MB i! ' $ *($ *, #'## ( $'(' % ( *($ #' $($# #(#$' t MB QPTTJCJMJUÏ EPDUSPJ EVOF ( *($ #' #*# *'# (* $'#(' ( '#$## *'# ($' ' $$ *# $$# *' '# ($ "* (## '# ($ * $ $' $# $ '#*(+ $'$ $# "# ($ "#'$ #$ '# ' $$ '$ "'# , *'# ' ($ (*, # '(' ' $(# $ ($ '#(*#, $ (# $(# Amis du voyage en Andalousie Du vendredi 10 au vendredi 17 septembre 2010 Voyage annuel des «Amis du Voyage»en Andalousie. Inscription et programme complet sur demande à la FWA auprès de Mme Tréfois 081/627.460. ((dXij)'(' (, QN@J:?<E<LG<ELE;J8EBKM@K? Beweidung in Naturschutzgebieten Zur Beweidung in Naturschutzgebieten eignen sich zwei der ältesten Rinderrassen der Welt besonders. Es werden hierbei bevorzugt das schottische Hochlandrind, auch unter Westhighlands bekannt, und das Gallowayrind eingesetzt. Die Urform der Galloways kam bereits auf den vorgeschichtlichen Britischen Inseln als hornlose Art neben den Vorfahren der Westhighlands mit kurzen Hörnern vor. Seit über 200 Jahren werden die schottischen Hochlandrinder in ihrer jetzigen Form gezüchtet. Die Galloways und die Westhighlands gelten als sehr genügsam und sind mit kargem Futter leicht zufriedenzustellen. Dadurch eignen sie sich besonders für extensive Weidebewirtschaftung. Durch ihr langes Fell trotzen sie jedem Wetter, selbst harte Winter können ihnen nichts anhaben. Regen, Wind und Kälte können den dicken Naturpelz nicht durchdringen. Selbst Schnee bleibt auf dem isolierten Haarkleid liegen. :fejkXeq\ >Y\c$Q\_i k ?Xej Dcc\ej Mit Natura 2000 im Einklang zu leben ist durch Vorgaben, die in der Landwirtschaft direkt spürbar werden, sicher nicht immer leicht. Auf der anderen Seite bietet die Nutzung ausgewiesener Flächen durch Beweidung auch Nutzungsmöglichkeiten für unsere Landwirte. Sicher gehen hierbei die Meinungen manchmal weit auseinander. Wir hatten uns zu einem Gespräch in Medell mit Vertretern der Naturschutzvereinigung Natagora BNVS getroffen, um Näheres zu erfahren. Natura 2000 ist ein europäisches Biotopverbundnetzwerk mit staatlichen Verpflichtungen und wird aus der FFH-Richtline (Flora, Fauna, Habitat) und der Volgelschutzrichtline gebildet. In den ausgewiesenen Natura-2000 Gebieten werden Richtlinien Anwendung finden, die dem Erhalt der Biodiversität dienen. Diese Gebiete werden beispielsweise durch den Staat, die Forstbehörde, von Privat und anderen Gesellschaftsformen verwaltet. Die EU investiert Gelder in Form von Finanzierungsprojekten, die sich - nur ein Beispiel zu nennen - auch um den Erhalt des äußerst selten vorkommenden blauschillernden Feuerfalters (LIFE-Projekt „Schmetterlinge“) kümmern. Um diese Projekte zu bewerten müssen verschiedene Kriterien betrachtet werden. Sie variieren zwischen der Pflege von Naturschutzgebieten, dem flächenadäquaten Schutzziel, der vorkommenden Tier- und Pflanzenarten, der Wasservorkommen und den geologischen Gegebenheiten. Diese Bewertungen stehen immer im Verhältnis zu den zur Verfügung stehenden Flächen. Je nach Pflegeziel wird ein spezifischer Bewirtschaftungsplan erstellt. Dort wo Beweidung der Fläche im Einklang mit dem Pflegeziel steht, wird ein schwacher Besatz von 0,25 GVE seitens der Naturschützer als optimal angesehen. Dies ist ein idealer Besatz auf einer Wiese, welche unter naturschutzfachlicher Sicht als extensiv bewertet wird und gleichzeitig mit dem Ziel der Landschaftspflege vereinbar ist. Bei so geringem Weidedruck sind kaum Uferbeschädigungen zu befürchten. Wegen ihres geringeren Gewichtes gegenüber neuzeitlichen Rinderrassen und wegen ihrer Genügsamkeit gibt man, wie bereits oben er- wähnt, den Galloways und den Westhighlands in diesen Gebieten den Vorzug. Durch ihren kleineren Habitus ist es ihnen möglich sich in Sumpfgebieten mit verhältnismäßig geringen Trittschäden fortzubewegen. Im Charakter unterscheiden sich die Highlands von den Galloways durch ihren stärker ausgeprägten Herdentrieb. Die Galloways andererseits haben vermutlich auf Grund der fehlenden Hörner ein stärkeres Fluchtverhalten. Allgemein gelten die Highlands als die umgänglichere Rasse. Alle, ob es sich hier beispielsweise um die Vertreter des BNVS oder die Landwirte handelt, sind an Richtlinien gebunden, die diese Form der Bewirtschaftung in klein, aber fein! Der besondere Antik- und Trödelmarkt auf der Eyneburg am 13. und 14. März 2010. Wer Ausgefallenes, Einzigartiges, Individuelles und Kurioses sucht, der ist am 2. März – Wochenende auf der Eyneburg bei Hergenrath in Belgien genau richtig. In den Innenräumen der alten Burg aus dem 12. Jahrhundert präsentieren verschiedenste Aussteller eine feine Auswahl an antiken Möbeln, Porzellan, Glas und Silber, faszinierenden (- alten Büchern, Puppen und Spielwaren sowie Schmuck und Dekorationsartikeln – wertvolle Antiquitäten für diejenigen, die das Besondere und Erlesene lieben. Im Burghof, der nun endlich nach einem doch langen Winterschlaf zu neuem Leben erwacht, werden die Trödler wieder ihre bunt gemischten Waren anbieten. Teilnehmen und aus- ((dXij)'(' Naturschutzgebieten regeln. Auch spricht man hierbei von einem parzellenabhängigen Schutzziel. Beweidungszeiträume sind immer in Abhängigkeit mit der Mahd und den der Artenvielfalt notwendigen Ruhephasen der ausgewiesenen Flächen zu sehen. Oft sind dies Feuchtgebiete oder ehemalige Kahlschläge, welche nicht selten schwer zugänglich sind. Auf Arnikawiesen wird erst ab dem 15. August beweidet. Auf Wiesen mit Orchideenvorkommen dürfen die Rinder ab dem 15. Juli auf die Flächen. Andere Gebiete mit erweiterten Zeiten sind Gebiete auf denen sich verstärkt Buschwuchs durchsetzt, der z.B. Orchideenvorkommen durch überwuchern bedroht. In diesen Fällen wird dem durch den Einsatz von Workcamps oder zeitigerer Beweidung entgegen gewirkt. Eines der Ziele der Naturschützer ist es, diese Gebiete als halboffene bis offene Landschaftsräume zu erhalten bzw. zu entwickeln, um der Artenvielfalt Spielräume zu geben. Landwirte, die an der Bewirtschaftung solcher Flächen interessiert sind, wenden sich bitte an AGRA-Ost, um detaillierte Informationen zu erhalten. Auch gibt es zusätzlich die Möglichkeit Agrarumweltprämien zu beantragen. In jedem Fall unterliegen diese agrarökonomischen Maßnahmen verschiedensten Kriterien und sind letztendlich von der Gesetzgebung abhängig. Schwein gehabt !!! stellen kann jede/r, auch ohne Voranmeldung. Zur Jahreszeit passend, werden hier auch vielerlei Deko-Artikel für die Terrasse und den Frühjahrsgarten zu finden sein. Wen nach der Entdeckungsreise über den Markt die Müdigkeit übermannt, der kann in gemütlicher Atmosphäre bei einem warmen Kakao den Besuch ausklingen lassen oder die ersten wärmenden Sonnenstrahlen auf den Terrassen des Burgcafés und der Burgküche genießen. Man darf auf einen ausgefallenen Markt vor der außergewöhnli- chen Kulisse der beeindruckenden historischen Burganlage gespannt sein. Öffnungszeiten: Samstag und Sonntag 10 – 18 Uhr Der Eintritt ist frei, die Eyneburg ist über einen 15-minütigen Fußweg von den in der Nähe gelegenen Parkplätzen aus gut zu erreichen. Nähere Infos unter: Tel.: 0032 (0)87 88 17 89 (Burgbüro), 0032 (0)87 85 12 35 und 0049 (0)178 51 43 895 (Georges Kistemann), Infos zur Anfahrt unter www.eyneburg.com Neben den privat buchbaren Führungen bietet die Eyneburg wieder freie Führungen an, die für Kinder und Erwachsene geeignet sind und u. a. die Besichtigung des Rittersaals und der Kapelle, das Besteigen des Bergfrieds und den Besuch des kleinen Folterkellers beinhalten. Dauer: ca. 1 Stunde Für die freien Führungen ist keine vorherige Anmeldung nötig. Treffpunkt ist das Eingangstor der Eyneburg. Die Kosten betragen E5,00 für Erwachsene und E 2,50 für Kinder. Sonntagsführungen „Schwein gehabt“ am 21. März 2010 1. Führung 14.00 Uhr, 2. Führung 15.30 Uhr „Schwein gehabt!“ ?? - Jeder kennt diesen Ausdruck, aber kaum jemand weiß, woher er stammt. Viele Redensarten, die heute gebräuchlich sind, kommen aus dem Mittelalter. Die meisten von ihnen entstanden in der Zeit der Burgen, Ritter und Turniere. So „verdienen wir uns heute noch die Sporen“ und sind „sattelfest“, manche dagegen „machen sich aus dem Staub“ und andere „lassen einen im Stich“. Damals hatten diese Ausdrücke eine ganz praktische Bedeutung, heute benutzt man sie im übertragenen Sinn. So wissen viele Leute wohl, was mit einer Redensart gemeint ist, doch nur wenige können erklären, wie es zu diesem oder jenem Ausspruch gekommen ist. Lassen Sie sich „nicht länger auf die Folter spannen“, sondern folgen Sie uns zu einer ungewöhnlichen Führung durch die Eyneburg in Hergenrath!!! Mittwoch 17 märz 2010 9u30 Lektionen, die aus der Krise gezogen werden können und Zukunftsaussichten Z 09u30 Empfang - Kaffee h Z 10u00 Einleitende Worte, René LADOUCE, Präsident des FWA Z 10u10 Austausch mit Fragen und Antworten, mit nachstehenden Diskussionsteilnehmern: - Herr J-L. Demarty, Direktor der GD Landwirtschaft und Ländliche Entwicklung der EU-Kommission - Frau Sabine Laruelle, Landwirtschaftsministerin der Föderalregierung - Herr Benoit Lutgen, Landwirtschaftsminister der Regionalregierung - Frau Anne-Marie Tasiaux-Biatour, Präsidentin der UAW - Herr Gary Vanvinckenroye, Präsident des Verbands der Junglandwirte - FJA - Herr René Ladouce, Präsident des FWA Programm: Dieser Meinungsaustausch wird durch einen vom FWA und Canal Zoom realisierten Film veranschaulicht. Z 12u30 Schlussfolgerungen, Yvan Hayez, Generalsekretär des FWA Am Ende der Sitzung wird für die Teilnehmer in der Empfangshalle des Espace Senghor ein Umtrunk organisiert. ((dXij)'(' (. D8I:?yJ La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique, entre parenthèses, les cotations du marché précédent. Sauf indication contraire, les prix s’entendent hors TVA. ;<J 9FM@ 98KK@:< 06/03/2010 03/03/2010 Nombre: 402 Taureaux ordinaires: Taureaux cul de poulain âgés: 1,00-1,50 1,90-2,30 Vaches ordinaires: 250-450 Vaches bonne conformation: 500-650 Vaches cul de poulain: 1150-1550 Vaches cdp âgées: 750-900 Génisses ordinaires: 300-500 Génisses cul de poulain: 600-850 Taureaux cul de poulain : 850-1100 Taureaux 6 à 10 mois: 300-500 Jeune veaux: 60-300 Ferme. Prochain marché le 10/03/10. Prix au kg (1,00-1,50) (1,80-2,20) Prix à la pièce (250-450) (475-650) (1050-1500) (700-850) (300-500) (600-800) (800-1050) (275-475) (60-300) J8@EK$KIFE; 04/03/2010 Bovins: 83; veaux: 10. Gros bovins prix au kg vif génisses 56%: 1,20-1,41 (1,20-1,41) 58-60%: 1,46-2,11 (1,46-2,11) 63-65%: 2,14-2,59 (2,14-2,59) cdp 70%: 2,96 (2,96) taureaux 55%: 0,98-1,23 (0,98-1,23) 60%: 1,23-1,58 (1,23-1,58) 62%: 1,77-2,03 (1,77-2,03) assimilés : 2,23-2,43 (2,23-2,43) cdp 67%: 2,33-2,83 (2,33-2,83) cdp extra hors marché : 3,00 (3,00) Vaches 50%: 0,81-0,96 (0,81-0,96) 55% 1,31-1,41 (1,31-1,41) 60%: 1,61-1,86 (1,61-1,86) bonne conformation: 2,08-2,68 (2,08-2,68) fabrication: 0,45-0,60 (0,45-0,60) 9IL><J 23-24/02/2010 Nombre: 1.401 Taureaux Prix au kg sur pied c. d. poulain <24 m & 650 kg: 3,04-3,17 (2,99-3,12) c. d. poulain >24 m & 650 kg: 2,60-2,85 (2,55-2,80) assimilés: 2,32-2,57 (2,30-2,55) bonne conformation: 1,62-1,87 (1,60-1,85) 60%: 1,45-1,54 (1,45-1,54) 55%: 1,32-1,37 (1,32-1,37) Holstein: 1,15-1,30 (1,15-1,30) Vaches cul de poulain: 2,47-2,67 (2,42-2,62) assimilées: 2,22-2,32 (2,22-2,32) bonne conformation: 1,79-2,04 (1,79-2,04) 55%: 1,14-1,39 (1,14-1,39) 50%: 0,69-0,89 (0,69-0,89) fabrication: 0,37-0,52 (0,37-0,52) Génisses cul de poulain: 2,70-3,00 (2,70-3,00) assimilées: 2,40-2,55 (2,40-2,55) bonne conformation: 1,57-1,97 (1,57-1,97) ordinaires: 1,12-1,27 (1,12-1,27) Tendance: hausse pour les tareaux et les vaches cul de poulain. :8I:8JJ<J;<>IFJ9FM@EJ Sem. du 22 au 28 février 10 Taureaux A - S2 467,55 A - S3 434,48 A - E2 411,04 A - E3 380,21 A - U2 336,02 A - U3 313,39 A - R2 288,00 A - R3 266,66 A - O2 248,69 A - O3 238,52 Vaches D - R2 271,26 D - R3 257,87 D - O2 234,14 D - O3 226,14 D - O4 220,64 D - P2 190,16 D - P3 180,55 Génisses E - U2 361,00 E - U3 340,50 E - R2 286,50 E - R3 276,00 GIF;L@KJ C8@K@<IJ 03/03/2010 Cotations de la Confédération Belge de l’Industrie Laitière Prix par 100 kg beurre 284,60 (284,60) poudre de lait écrémé 193,00 (193,00) poudre lait écrémé pr alim animale 195,10 (195,10) poudre de lait entier 243,60 (243,60) cheddar 276,30 (276,30) !)% & )! + $! GFI: J (468,24) (435,54) (410,64) (380,21) (337,09) (314,37) (289,13) (266,76) (248,55) (238,52) (271,60) (257,22) (234,87) (226,94) (220,72) (190,52) (179,73) (360,50) (340,00) (286,00) (275,50) 9@I9 (42,50) (128,00) J8@EK$KIFE; (32-35) (0,78-1,10) ". ' . '* KLI< 8M @ : L C ;<@EQ<$MFC8@CC<J " ' . '* " ' * '* " ' " ' " '* . '* " ' .'* " ' . '* 03/03/2010 • Poules à bouillir: extra lourdes (+ 3,5 kg): 0,46-0,48 brunes (1,8 à 2,0 kg): 0,25-0,27 blanches (1,6 à 1,8 kg): 0,21-0,23 • Poulets à rôtir (1,8 kg): 0,80-0,82 • Lapins: 2,15 BIL@J?FLK<D$F<L=J (/ ((dXij)'(' Prix par 100 pièces Oeufs de poules élevées en batterie Prix producteurs Cat.0: 77,50 g Cat. 1: 72,50 g Cat. 2: 67,50 g Cat. 3: 62,50 g blancs 9,45 (9,32) 8,21 (8,08) 7,66 (7,52) 7,09(6,97) 6,68 (6,54) 6,08 (5,95) 5,41 (5,31) 4,81 (4,72) 9,95 (9,82) 8,16 (8,02) 7,04 (6,92) 5,72 (5,64) 10,05 (9,92) 8,28 (8,14) 7,18 (7,04) 5,71 (5,61) Oeufs de poules élevées au sol Prix producteurs Cat. 0: +77,50 g Cat. 1: 72,50 g Cat. 2: 67,50 g Cat. 3: 62,50 g Cat. 4: 57,50 g Cat.5: 52,50 g Cat. 6: 47,50 g Cat. 7: 42,50 g Prix négoce XL + 73 g L + 63-73 g M + 53-63 g S - 53 g blancs 13,69 (13,79) 12,45 (12,55) 11,88 (11,98) 11,24 (11,34) 10,24 (10,33) 6,33 (6,23) 5,57 (5,49) 4,96 (4,89) bruns 13,94 (14,02) 12,70 (12,78) 12,07 (12,18) 11,38 (11,51) 10,34 (10,47) 6,43 (6,30) 5,56 (5,46) 4,96 (4,87) 14,19 (14,29) 12,38 (12,48) 10,74 (10,83) 5,87 (5,79) 14,54 (14,62) 12,67 (12,78) 10,94 (11,07) 5,86 (5,76) M<>< 9ILO<CC<J Sem. du 25 février au 3 mars 2010 Prix livré usine E/tonne Blé panifiable 122,00 (122,50) Blé fourrager 120,00 (120,50) Escourgeon fourr 105,00 (105,00) JPE8>I8 09/03/10 Prix indicatifs des céréales payés aux producteurs, communiqués par l’association des négociants en céréales. Ces prix sont adaptés plusieurs fois par semaine. Prix culture en E/tonne blé fourrager 93,50 (94,50) blé meunier (1) 95,50 (96,50) escourgeon fourrager 79,00 (80,00) maïs indigène 109,00 (110,00) maïs humide 65,50 (66,00) (+/- `/T/30% humidité) 3,00 (3,00) (1) proteïnes: 12 - Zeleny: 35 - Hagberg: 220 D8K@<I<JGI<D@<I<J 8C@D<EK8K@FE9<K8@C 03/03/2010 Prix par 1000 kg en vrac hors TVA, départ négoce Pulpes sèches bett. 8mm France 118 Luzerne 18% pellets 6mm France 145 Tourteau Tournesol 28% Argentine 197 Tourteau colza 34% Belgique 209 ourteau soja 43% Argentine 320 Tourteau soja 44% Hollande 319 Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés 401 Tourteau colza 49lin 40% Belgique 334 Tourteau lin 40% Belgique 315 Glutenfeed maïs 22% EU 137 Manioc Thaïlande 145 Mélasse cannes 180 (118) (146) (202) (211) (330) (325) (395) (349) (318) (145) (145) (180) :?@:8>F 02/03/2010 1ère col.: en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau = 27,2 kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907 kg pour le tourteau de soja; 2ème col.: prix en euros/tonne. Froment 492,00 133,27 (132,92) Maïs 370,50 107,75 (106,71) Tourteau Soja 270,50 220,13 (227,60) 18/02/2010 Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les marchés mondiaux, en $/tonne. Soja Graines U.S. Cif Rotterdam: 414 (407) Graines Arg. Cif Rotterdam: 402 (397) Pellets 44,46% Arg. Cif Rotterdam: 390 (373) Pellets 48% Brésil Cif Rotterdam: 397 (378) Colza Graines Europe “00” Cif Hambourg: 402 (400) Tourteaux 34% Fob Hambourg: 227 (226) Lin Graines Canada Cif. Europe: 560 (550) Tourteaux 36% Allemagne: 410 (410) GFDD<J;<K<II< (0,45-0,47) (0,25-0,27) (0,21-0,23) (0,78-0,80) (2,15) 09/03/2010 !+% !) % & #%,&! & #+& )& )+&& ) #)& ,!)% %! !#!&- 6,54 (6,42) 5,98 (5,88) 5,42 (4,34) 4,81 (4,74) @EK<IE8K@FE8C$FCy8>@E<LO Semaine du 22 au 28 février 10 Porcelets 23kg + supp 42,50 porcs carcasses 100kg 127,50 04/03/2010 porcelets 20-23kg (E/pièce) 31-34 truies carcasses (E/kg) 0,74-1,06 Cat. 4: 57,50 g Cat. 5: 52,50 g Cat. 6: 47,50 g Cat. 7: 42,50 g Prix négoce XL + 73 g L + 63-73 g M + 53-63 g S - 53 g LO :@E<P 05/03/2010 Nombre d’animaux exposés: 3.135 dont bétail maigre et de boucherie: 3.097; veau: 1 ; chevaux: 37. Prix du bétail bovin hors TVA et frais de marché inclus. a) Bétail maigre Veaux prix à la pièce Pie noir: 0-120 (0-120) Pie rouge: 25-130 (25-130) BBB ordinaire: 100-350 (100-350) Cul de poulain mâle: 500-750 (500-750) Cul de poulain femelle: 500-650 (500-650) Génisses: 180-250kg: PN/PR: 225-325 (225-325) BBB culard: 565-765 (565-765) 250-400kg: PN/PR: 375-475 (375-475) BBB culard: 875-1125 (875-1125) 400-500kg: PN/PR: 415-615 (415-615) BBB culard: 1115-1400 (1115-1400) pleines: 1225-1825 (1225-1825) Vaches: moyennes, PN/PR: 350-750 (350-750) mixtes cat.II: 800-950 (800-950) 98JKF>E< Veaux prix à la pièce cul de poulain extra: 690-740 (700-750) cul de poulain 2e cat.: 490-590 (600-650) BBB extra: 340-440 (325-375) BBB 2e cat.: 240-315 (200-300) rouges extra: 140-150 (125-130) rouges 2e cat.: 90-120 (80-90) noirs extra: 130-140 (100-110) noirs 2e cat.: 80-110 (50-80) BBb génisses: 140-315 (100-300) veaux génisses: 25-90 (35-50) Bovins: marché normal. Veaux: marché très calme. Prochain marché: 11/03/2010. K8 Nombre de bovidés: 518 Catégorie boucherie: Taureaux prix au kg cul de poulain.: 2,70-3,20 (2,70-3,20) assimilés: 2,50-2,80 (2,50-2,80) bonne conformation 1,60-2,10 (1,60-2,10) 60%: 1,50-1,70 (1,50-1,70) poids lourds: 1,25-1,45 (1,25-1,45) Vaches prix à la pièce bonne conformation: 775-925 (775-925) 1ère catégorie 45%: 550-700 (550-700) 2ème catégorie 40%: 225-375 (225-375) de fabrication: 125-225 (125-225) Génisses prix au kg cul de poulain.: 2,60-3,10 (2,60-3,10) assimilées.: 2,40-2,70 (2,40-2,70) bonne conformation: 700-850 (700-850) ordinaires: 325-525 (325-525) Stationnaire. Catégorie commerce prix à la pièce vaches cul de poulain -5 ans: 1325-1925 (1325-1925) vaches cul de poulain +5 ans: 1325-1700 (1325-1700) bonnes vaches ordinaires: 800-900 (800-900) vaches ordinaires: 275-475 (275-475) veaux cul de poulain: 425-700 (450-725) veaux Blanc Bleu: 290-390 (300-400) veaux Bleus Holstein: 130-190 (140-200) veaux rouges: 60-115 (70-125) veaux noirs bonne qualité: 50-90 (60-100) veaux noirs moyenne qualité: 0-50 (0-60) Ventes plus faciles. Veaux: en baisse mixtes cat. I: 950-1150 (950-1150) cul de poulain 2 à 4 ans: 1025-2150 (1025-2150) âgées: 900-2100 (900-2100) Taureaux: ordinaires: 180-250kg: 275-530 (275-530) 250-320kg: 505-600 (505-600) 320-370kg: 540-660 (540-660) 370kg et +: 625-765 (625-765) assimilés: 180-250kg: 700-850 (700-850) 250-320kg: 825-975 (825-975) 320-370kg: 1025-1125 (1025-1125) 370kg et +: 1075-1275 (1075-1275) C.d.p.: 180-250kg: 900-1050 (900-1050) 250-320kg: 1050-1200 (1050-1200) 320-370kg: 1200-1300 (1200-1300) 370kg et +: 1325-1450 (1325-1450) b) Bétail de boucherie Vaches prix au kg fabrication: 0,95-1,15 (0,95-1,15) 50%: 1,20-1,40 (1,20-1,40) 55%: 1,40-1,60 (1,40-1,60) assimilés: 2,15-2,40 (2,15-2,40) cul de poulain 2,60-2,80 (2,60-2,80) Taureaux 55%: 1,65-1,85 (1,65-1,85) 60%: 1,90-2,10 (1,90-2,10) assimilés 2,60-2,80 (2,60-2,80) cul de poulain 2,80-3,25 (2,80-3,25) Stationnaire. Prochain marché: vendredi 12/03/10. bruns 9,55 (9,42) 8,31 (8,18) 7,78 (7,64) 7,21 (7,06) 09/03/2010 Bintje: Marché toujours stable, avec peu de changements de prix. L’offre reste limitée. Les industriels belges restent clairement intéressés par les lots offerts, avec des prix inchangés pour la qualité fritable. L’export dégage des lots de qualité non fritable ou de variétés non industrielles, principalement vers les pays de l’Est, mais toujours à petits prix. Les prix observés se situent entre 6,60 et 7,00 E/100 kg (tout venant, vrac, fritable, départ, hors TVA). La qualité supérieure reçoit des prix plus élevés pouvant atteindre 7,50 E/100 kg.périeure reçoit des prix plus élevés pouvant atteindre 8,00E/100 kg. Plant de Bintje: Bintje, classe A, rendu mars 2010, par 5 tonnes, en sacs, hTVA: prix en nette baisse : - calibre 28-35 mm: entre 50,00 et 52,00 E/100 kg; - calibre 35-45 mm: entre 31,00 et 33,00 E/100 kg 8><E;8 Skytacer.PAF: Garçons : Membre -15 eur et Non-membre : 18 eur Filles : Membre : 13 eur et Non-membre : 15 eur Possibilité de se faire membre sur place. Nous rappelons que les réunions sont réservées aux membres FWA en ordre de cotisation. LUNDI 15 MARS SL CHIMAY: à 20h, à la Salle du Château à Macon. «Séance d’information «L’avenir de la PAC, se dirige-t-on vers un lissage des aides?» Par Yves Somville, Directeur du Service d’Etudes de la FWA. SAMEDI 20 MARS SP HAINAUT – UAW: à 19h30, souper provincial Cense de l’Alouette à Tertre. Menu 6 services. Paf 46 euros. Inscription pour le 01/03 chez Albert Leclercq 071/555.285 0478/812.931 ou B Guiot 071/589.017 MARDI 23 MARS SL ANDENNE/HUY: à 20h, conférence-débat à la Ferme de Ferrière, rue Close à Lavoir (Héron) en présence du Ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du Territoire Philippe Henry FÉDÉRATION DES JEUNES AGRICULTEURS (FJA) VENDREDI 12 MARS FJA NATIONALE: Elections du Bureau National à la Maison de l’Agriculture et de la Ruralité, Chaussée de Namur 47 à Gembloux. SAMEDI 13 MARS FJA GEMBLOUX: Soirée Black and White à la Salle Le Ranil, rue de Ranil à Mazy. (voir encart) MARDI 16 MARS FJA NATIONALE: Commission Environnement et Grandes Cultures «Environnement et agriculture: Tour d’horizon» par Séverine Van Waeyenberge, Conseillère au Service d’Etudes de la FWA à 20h à la Maison de l’Agriculture et de la Ruralité de Gembloux. VENDREDI 19 MARS FJA HENRI-CHAPELLE : L’importance de la tenue d’une comptabilité d’exploitation. Comment augmenter la rentabilité en cas de prix bas du lait? Analyse des frais fixes et des frais variables. Par Benoit Wyzen, Conseiller de gestion au Service technico-économique de l’AWE. De 20h à 23h à l’APEDB de Herve, rue de la Clé 41 à Herve (sur le rond-point). Dans le cadre du cours de gestion :infos 081 627 423 (Céline Lemaire). SAMEDI 20 MARS MARDI 23 MARS FJA NATIONALE: Commission Productions végétales «les marchés des céréales: perspectives d’avenir» par Pierre Ammeux d’ODA à 20h à la maison de l’Agriculture et de la Ruralité de Gembloux. SAMEDI 27 MARS FJA MALMEDY: Souper FJA buffet pasta, suivi d’une soirée animée par Nicolas Martin. A la salle de Thirimont dès 20h. Réservations pour le souper au 0478/709.134 (Jean-Pierre Schmitz). UNION DES AGRICULTRICES WALLONNES (UAW) DIVERS JEUDI 11 MARS SART-CUSTINE: dès 13h au manège du Moulin, expertise officielle de taureaux BBB de la régionale de l’Ardenne THIN-LE-MOUTIER (F): à 13h30 (à 20 km de Charleville Mezière), journée de démonstration sur les Herses de prairies, aération et régénération des pâtures organisée par la FDCUMA. Inos: 0033.3.2433.7104 ATH: à 19h30, salle Delmée, HEPH, rue Paul Pastur, 11, découverte des activités internationales de la Haute école provinciale du Hainaut et spectacle de Dieudonné Kabongo. Entrée gratuite mais réservation souhaitée au 0479/947.385 ou [email protected] NISMES: à 20h au cinéma Chaplin, rue Vieille Eglise, projection du film «Herbe» suivie d’un débat sur le thème «Exploitation hors sol ou liée à la terre?». Organisé par la par naturel Viroin-Hermeton CINEY: à 20h au centre zootechnique, rue des Champs Elysées, 4, assemblée de l’AREDB du Condroz. «La paratuberculose, une maladie à ne pas sous estimer» par le Dr Marc Lomba (Arsia) NEUNDORF/RECHT: Betriebsbesichtigungen ab 10.30Uhb bei Maraite Roland sowie anschliessend bei Goffin David ROCHEFORT: au Centre culturel des Roches, «A travers champs», festival du film sur la ruralité. Plus d’infos sur www.festival-atraverschamps.be VENDREDI 12 MARS ATH: à 20h15, salle de conférence du Centre Progeny-Test de l’AWE, rue des Tuileries, 115, assemblée générale de l’AREDB de Ath. «Les différentes maladies dans l’élevage des veaux: diarrhées, problèmes respiratoires...» par le Dr Geert Hoflack, Université de Gand SAMEDI 13 MARS La FJA Vous deinvite Gembloux à sa SOIRÉE BLACK AND WHITE SAMEDIÀ la13 MARS 2010 salle de Ranil COURS DE GESTION En soirée à Herve COMMISSION ENVIRONNEMENT Thèmes liant l’Agriculture et l’environnement : tour d’horizon Par Séverine Van Waeyenberge La Fédération des Jeunes Agriculteurs Organise une COMMISSION PRODUCTIONS VÉGÉTALES Les marchés des céréales : perspectives d’avenir Par Pierre Ammeux d’ODA ANTOING: à 20h au Foyer socioculturel et sportif, rue du Burg, 23, réunion organisée par le Parc naturel des Plaines de l’Escaut: «La fertilité des génisses d’élevage» par Christophe Uystepruyst, vétérinaire. Accès gratuit. Infos: 069/77.98.70 HEROCK: dès 13h à l’Hostelllerie, expertise de taureaux BBB organisée par l’AREDB de Famenne CHARNEUX: à 14h , prés du verger de M. Liégeois (suivre flèchage AgraOst à partir de l’église), démonstration de taille de formation de fruitiers haute tige organisée par Agra-Ost. Infos et inscriptions (obligatoire): 080/22.78.96 ou 0496/282.399 DONNERSTAG 18 MÄRZ CROMBACH: Schnittkurs über Erziehungsschnitt von hochstämmigen Obstbäumen in Zusammenarbeit mit der Fondation Hellef fir d’Natur. Die Teilnahme ist kostenlos. Informationen und Anmeldungen (erforderlich) bei Agra-Ost 080/227.896 oder 0496/282.399 SAMEDI 20 MARS HUY: à partir de 12h, «Cochonnailles» à l’Agri rue St-Victor 5. Réservations au 085/216.770 ou par fax au 085/250.754 pour le 12/03 LUNDI 22 MARS DU MERCREDI 10 AU DIMANCHE 14 MARS La Fédération des Jeunes Agriculteurs Organise une MARDI 16 MARS MERCREDI 17 MARS MERTENNE (WALCOURT): de 8h30 à 12h, Gestiondu saule têtard. Matinéededémonstration. Info: 071/323660 - info@entre-sambre-et-meuse. be La Fédération des Jeunes Agriculteurs TOURPES: à 19h30, salle de la Forge, réunion d’information du Comice de Peruwelz-Leuze en Hainaut. Aides ISA 2010 par les services extérieurs de la DGARNE et communication de Nitrawal MEYERODE: Ab 20 Uhr 30, Studienabend zum Thema «Richtig Kosten einsparen» (JM Lentz) im Café Brühl-Michels). Es ergehen persönliche Einladungen. Studienkreisaktivitäten Eifeler Milchring. ETALLE: à 13h, Expertise de taureaux au Complexe sportif. Organisée par l’Association Régionale des Eleveurs du Sud-Lux Voir pages de l’UAW FJA PROVINCE DE NAMUR: Mini-foot et soirée à la salle du foot de Marchin. FJA MONS-QUIEVRAIN: La toute nouvelle FJA de Mons Quievrain vous invite à leur première soirée.Soif party. Salle Seven Eight sur la Place de Genly. Rue de Ranil 45 à 5032 Mazy LUNDI 15 MARS Organise un Comptabilité de gestion, PAC, aides ISA, Système bancaire, prix des aliments, fiscalité Infos et inscriptions au 081/627.443 (Céline Lemaire) La Fédération des Jeunes Agriculteurs organise un COURS DEAFROMAGERIE Herve Les mercredi OU jeudi de 10h à 13h Infos et inscriptions au 081/627.423 ou [email protected] La Fédération des Jeunes Agriculteurs organise un COURS DE SOUDAGE ainsi qu’un Cours de Mécanique Agricole A Waremme Infos et inscriptions au 081/627.423 (Céline Lemaire) TOERNICH: à 20h, assemblée générale du comice d’Arlon + «le guide sectoriel animal»à la salle du Cercle Saint Louis Rue Haute, 19. Organisée par le Service Développement et Vulgarisation (DGARNE) de Libramont + comice d’Arlon MARDI 30 MARS GEMBLOUX: à 13h15 à l’espace Senghor, dans le cadre du 150ème anniversaire de ULg-GxABT et du 120ème anniversaire de l’AIGx, après midi d’études sur le thème «Femme Bio-ingénieure: défis et réalités». Infos et inscriptions (obligatoire): 081/622.572 ou [email protected] I<D<I:@<D<EKJ Réconfortés par votre présence, votre prière et votre mot d’encouragement, nous vous disons tout simplement merci. Lors du décès de GRYSPEERT Noël. Son épouse et la famille. E8@JJ8E:< Aurélie et Daniel DE VRIESE-LEBRUN ainsi qu’Achille et Oscar sont heureux d’annoncer la naissance d’ EMILIEN, né le 22 février 2010 Rue des Essarts 6 à 6230 Pont-à-Celles le vendredi 19 mars 2010 Agro Ciney Night soirée du graduat de Ciney salle st Georges de Sinsin rty Soif pa 99986495/1010 plc jht FEDERATION WALLONNE DE L’AGRICULTURE (FWA) paf: fille 13` • garçon 15` AGRO P.E.S. ENTRE VOUS ET VOTRE BETAIL ((dXij)'(' (0 J <: I < K8 I @ 8K J Brabant BUREAU COMPTABLE ET FISCAL ETIENNE DARDENNE scrl Dardenne Etienne rue de la Station, 68A, 1360 Perwez Tél: 081/65.62.68 Fax: 081/65.51.56. Email: [email protected] [email protected] Place A Bosch 19, 1300 Wavre Tél: 010/22.55.53 Fax: 010/24.39.52. FÉDÉRATION WALLONNE DE SERVICES BRABANT NAMUR scrl Moniquet Philippe chaussée de Wavre, 220, 1360 Thorembais-St-Trond Tél: 081/22.77.31 Fax: 081/65.51.36. Email: [email protected] Permanences: tous les jeudis de 9h à 12h. TEGIAS sa Gillard Jacques, Mont-St-Roch, 19 B45, 1400 Nivelles Tél: 067/21.61.01 Fax: 067/220.963 Email: [email protected] Hainaut AGL ASSURANCES sc Glineur François Route de Mons 26, 7130 Binche Tél: 064/239.191 Fax: 064/239.190 Email: [email protected] AGRICOSERVICE D’ATH asbl Vandenbroucke Philippe place des Capucins, 16, 7800 Ath Tél: 068/28.34.00 Fax:068/842.268 Email: [email protected] Permanences à Soignies, Grand-Place, sur rendez-vous. AGRICO-SERVICE DE BEAUMONT asbl Molet Marc, rue G.. Michiels, 56, 6500 Beaumont Tél: 071/53.34.32 Fax: 071/58.98.55. Email: agriservicesdebeaumont@ skynet.be ; [email protected] Permanences: Charleroi: prendre contact avec le bureau de Beaumont (tél. 071/58.85.64) pour visite éventuelle à domicile, permanences spéciales à Familleureux et Pont-à-Celles Chimay : M. J-P Ponselet, les mardis et vendredis de 9h à 12h. rue des Ormeaux, 20, 6460 Chimay Tél: 060/21.24.08. Fax : 071/589.855 CAMA CONSEILS sc Weverberg Guy, Pagnieau Françoise, Gaube Marielle, place Verte, 17, 7060 Soignies Tél: 067/34.78.78 Fax: 067/347.879 rue de Mons, 9, 7090 Braine-le-Comte Tél. 067/55.47.12 Email: [email protected] ; [email protected] )' CAMBIER PHILIPPE rue Dr. André, 129, 7890 Ellezelles Tél: 068/54.32.46. Fax: 068/543.446 Chée Gabrielle Richet 158, 7860 Lessines Tél : 068/337.170 Rue Gérard Dubois 5 7800 Ath Tél : 068/284.044 Email: [email protected] [email protected] CHATAS sc, Dupont Guy, rue des Haies, 62, 6120 Nalinnes Tél: 071/22.90.00 Fax: 071/21.83.68 Place de l’Hôtel de Ville, 5620 Florennes Tél: 071/68.96.14 Fax: 071/68.65.06 Email: [email protected] [email protected] DENDRE CONSULT scrl P. Depry & Y. Fagniart, Place du Marché 3, 7870 Lens Tél: 065/22.19.66 Fax: 065/22.83.23. Email: [email protected] FLEURUS CONSULT sc Wautier Edmond & Delbruyère J., place Albert 1er, 8, 6220 Fleurus Tél.: 071/81.11.67. Fax: 071/81.50.05 Email: [email protected] rue St-Georges, 21, 1400 Nivelles Tél: 067/21.80.24. Permanences le lundi à Nivelles JONCKHEERE CHIMAY FINANCES Sprl Jonckheere Paul, place Froissart, 24 B4, 6460 Chimay Tél: 060/21.24.15 Fax: 060/21.30.84 Email: [email protected] MAISON DES AGRICULTEURS scrl Foulon Luc, rue André Moulin, 6, 7530 Gaurain-Ramecroix Tél: 069/22.50.21 Fax: 069/226.524 Email: [email protected] PC GESTION scris Castrique Jean, rue d’Armentières, 21, 7782 Ploegsteert Tél: 056/58.88.58 Fax: 056/58.74.67. ROBERT ASSUR sprl, Robert Alain, Rue Grande 56, 7330 St-Ghislain Tél: 065/65.19.91 Email: [email protected] SERVISTAS sc Dutron Xavier, Route de Mons, 67, 6560 Solre-Sur-Sambre Tél: 071/55.67.79. Fax : 071/558.077 Email: [email protected] [email protected] Du lundi au vendredi de 8h à 12h. SOL sprl Sol Christian, rue de Néchin, 26, 7520 Templeuve ((dXij)'(' Tél: 069/35.22.19 Fax: 069/35.27.69 Route Provinciale, 33, 7760 Celles Tél/Fax: 069/45.55. Email: [email protected]; [email protected] FINANCIÈRE DE HESBAYE sa Hannosset Florent, avenue Reine Astrid, 27, 4300 Waremme Tél: 019/32.27.26 ou 019/32.70.02 Fax: 019/32.85.16. Email: [email protected] TOURNAISIS SERVICES scrl Destailleurs Albert, rue Perdue, 5, 7500 Tournai Tél: 069/66.51.38 Fax: 069/21.45.31. Cayoit, 41, 7903 Chapelle-à-Wattines Tél: 069/66.51.38. Email : [email protected] GUY CHARLIER sprl Charlier Guy, Place Reine Astrid 12, 4000 Rocourt Tél: 04/226.30.30 Fax: 04/226.33.32 Email: [email protected]; agence.rocourt@creditagricole. be Liège BUREAU BEAUPAIN scrl Beaupain Alain, Voie de l’Air Pur, 275, 4052 Beaufays Tél: 04/368.71.31. Fax: 04/368.78.83. Email: [email protected] BUREAU COLLARD scrl Collard Yvon, au Pairon, 35, 4831 Bilstain Tél: 087/76.03.00 Fax: 087/76.03.10 Email: [email protected] BUREAU DETIFFE scrl Broers Christian et Beauve Michel rue Neuve, 107b, 4860 Pepinster Tél: 087/46.09.45 Fax: 087/46.13.31 Email: [email protected] BUREAU DEVAUX Devaux Micheline route du Condroz, 105, 4550 Nandrin Tél: 085/51.15.53 Fax: 085/51.26.38. Email: [email protected] BUREAU MELON sc Melon Léon rue Albert 1er, 76, 4280 Hannut Tél: 019/51.22.22. Fax: 019/51.05.72. E-mail: [email protected] et franz. [email protected] CHARLIER CONSULT scrl, Charlier Benoît, rue de Verviers, 68, 4651 Battice Tél: 087/69.34.00 Fax: 087/69.34.01 Email: [email protected]; benoit.charlier@bureaucharlier. be COSERVICE FIDUCIAIRE asbl Pauly Jean-Pierre, rue du Parc Industriel, 1A, 4540 Amay Tél: 085/23.00.32 Fax: 085/25.54.26. Email: [email protected] FÉDÉRATION WALLONNE DE SERVICES DE LIÈGE scrl Renglet Jean-Pierre, rue de la Clef, 41, 4650 Herve Tél: 087/67.91.67 Fax: 087/67.90.37. Email: [email protected] HUPPERETZ & DUSSELDORF sa. Dusseldorf Norbert, rue des Anciennes Granges, 1, 4960 Malmédy Tél: 080/79.99.05 Fax: 080/79.99.01 Email: norbert.dusseldorf@hupperetz. be LIEVENS sprl Lievens Robert et Xavier, place Saint-Remacle, 7, 4970 Stavelot Tél: 080/86.24.94 ou 080/86.29.06 Fax: 080/86.32.52 Email: [email protected] RENSON CONSEILS sa Renson Noël, rue Hamente, 16, 4537 Verlaine Tél: 04/259.50.94 Fax: 04/259.66.77. Email: [email protected] ASSURANCES LADURON sprl Wéra Céleste, rue Brun, 46, 5300 Andenne Tél: 085/84.30.00 Fax: 085/84.21.53. Email : laduronassurances@ hotmail.com [email protected] Luxembourg ARDENNES ET GAUME sprl Kaiser Roger, rue du Moulin, 70 B, 6740 Etalle Tél: 063/45.50.91 Fax: 063/45.66.07 E-mail: [email protected] [email protected] ARDENNES SERVICES sc Chauviaux Michel, Grand Place, 18, 6850 Paliseul Tél: 061/53.36.14 Fax: 061/534.986 Email : [email protected] BUREAU BODSON MICHEL sprl Bodson Michel rue du Vieux Marché, 23, 6690 Vielsalm Tél: 080/21.64.47 Fax: 080/21.46.56 Email: [email protected] BUREAU DEGIVE sprl Degive Venance, rue du Luxembourg, 2, 6900 Marche-en-Famenne Tél: 084/31.32.10 Fax: 084/32.13.42. Email: [email protected] COLLIGNON JOSEPH rue Grandmont, 17, 6997 Soy Tél: 086/47.73.81. CONTAFISCAS SC Grandjean Hector, rue des Brasseurs, 14, 6600 BASTOGNE Tél: 061/24.09.80 Fax: 061/240.999 Email : [email protected] DANSCONSEILS SC Tonglet Marc, En Charotte, 15, 6940 BARVAUX Tél: 086/21.26.96 Fax: 086/21.40.96 Email: [email protected] FÉDÉRATION WALLONNE DE SERVICES DE BASTOGNE scrl Petitjean Georges, rue de la Roche 18R, 6600 Bastogne Tél: 061/21.25.88 Fax: 061/21.70.23 Email: [email protected] FÉDÉRATION WALLONNE DE SERVICES SUD LUXEMBOURG scrl Dinon Jean-François, Simon José, rue du Moulin, 26, 6740 Etalle Tél: 063/45.71.22. Fax: 063/45.71.23 Email: [email protected] Permanences: Tous les jours de 9 h à 12 h. FIDUCIAIRE NORDLUXEMBOURG asbl Mathieu Maurice, avenue de la Toison d’Or, 18, 6900 Marche-en-Famenne Tél: 084/31.23.76 Fax: 084/31.23.67. Email: [email protected] Permanences: Banque CBC, Barvaux Tél: 086/21.91.91. les 1ers lundis du mois de 13h30 à 14h30 (ou sur rendez-vous) Place Chantraine, 25, 6980 La Roche-en-Ardenne Tél: 084/41.21.07. Permanences: les mardis et jeudis matin LIBRASERVICE scrl Guillaume Yvan, Oger Michel, rue Dessous la Ville, 43, 6800 Libramont Tél: 061/23.02.20 Fax: 061/22.25.77 Email: [email protected]; [email protected] Namur AGRA-SERVICES sc, Marchant Benoît, Chaussée de Louvain 16A, 5310 Eghezée Tél: 081/510.573 Fax: 081/512.417 Email: [email protected] ASSURANCES LADURON sprl Wéra Céleste, Rue Brun, 46, 5300 Andenne Tél: 085/84.30.00 Fax: 085/84.21.53 BASSER sprl D’Hooghe Pierre Avenue de Namur 27, 5590 Ciney Tél. : 083/213.491 Email : [email protected] [email protected] BEAURAING-DINANT SERVICES sc Grégoire G.. et Huysmans R., rue Grande, 30, 5500 Dinant Tél.: 082/71.28.98 Fax: 082/22.50.78 Email: [email protected] - [email protected] BUREAU DE SERVICES DU SUD NAMUR scrl Rondeux Philippe, rue de Dinant, 16, 5570 Beauraing Tél: 082/71.19.05 Fax: 082/71.37.93. Email: [email protected] Permanences: mardi, mercredi et jeudi de 9h à 11h30. Centre Culturel (ancien Marché Couvert), 5590 Ciney tous les vendredis de 11h à 12h. A la Mutualité Chrétienne, rue Gridlet, 8, 5575 Gedinne Mercredis de 14h à 15h. BUREAU DELCHAMBRE scrl, Delchambre Fernand, rue de Bambois, 1, 5070 Fosses-La-Ville Tél: 071/71.14.78 Fax: 071/71.47.39. Chaussée de Namur, 47, 5030 Gembloux Tél: 081/62.73.05 Fax: 081/62.73.06. Email: [email protected] [email protected] FEDERATION WALLONNE DE SERVICES - NAMUR De Moriame Robert, rue du Grand Feu, 117, 5004 Bouge Tél: 081/208.760 Fax: 081/21.26.37. Email: [email protected] HESBOIS THIERRY rue de l’Arsenal, 3 A, 5600 Philippeville Tél: 071/66.62.89. Fax: 071/66.89.09. Email: [email protected] JENNEKENS sa Collard Philippe, Av Gouverneur Bovesse 32, 5100 Jambes Tél: 081/304.769 Fax: 081/300.444 Email: [email protected], [email protected] LETECHEUR X. sa Letecheur Renaud, Lauwers Didier, Square Crépin 1, 5580 Rochefort Tél: 084/21.39.01 Fax: 084/21.19.72 Email: [email protected] MIGEOTTE CONSEILS sprl Migeotte Daniel, rue de Thy-le-Château, 7, 5650 Pry-Walcourt Tél+Fax: 071/61.14.60 Email : [email protected] PIERARD MICHEL rue de la Reine, 6, 5600 Philippeville Tél: 071/66.62.47 Fax : 071/668.434 Email: [email protected] G<K@K<J8EEFE:<J D8K<I@<C Tractoren + onderd occasie Case IH 20-200 pk Case International dealer Jo Smeets Moelingen. Tél.0475/548.791 (167) A v. tracteur Same Vigneron 4x4 35ch bac avant; Amazone, semoir, fléau, tarière. Tél. 084/314.189 (282) A v. 5 abreuvoirs doubles Thermolac 75 à 300 Eur/pièce. Très bon état; 7 cornadis barres diag 5 m à 150 Eur/ p; 11 barrières ext 4-5m à 100 Eur/p très bon état. Tél. 0472/588.161 (290) A v. faucheuse traînée Kuhn petit prix. Tél. 0495/320.955 (325) A v. cse cess tract Claas 100cv 40000 Eur; herse Machio 2m50 + semoir 1600 Eur; bisoc Steeno 400 Eur; pulvé Delvano 16m cuve 650L 750 Eur; épandeur Vigneron 8T 1800 Eur; bic 3m 1250 Eur; tank à lait Alfa Laval 1500L 1500 Eur. Tél. 065/229.814 (317) A v. tonneaux à lisier 1x10500L, 1x11500L, 1x12500L. Tél. 080/410.150 (342) A v. silo grain 60T; cornadis 25m; semoir 3m Nodet; épandeur Cavero 6T; caméra vêl; 2 rem 4 roues 5m. Tél. 0479/802.171 (358) A v. semoir engrais Lely 2200L 18 à 27m; cuve pulvé frontale 870L; roues 12.4R46. Tél. 0476/291.063 (384) A v. remorque de traite Renard 6 places état neuf; désileuse Strautmann à bêche avec élévat et 3e pt hyd. Tél. 080/216.506 (389) A v. épand fumier JF5T5; bétaillère 5 vaches; faucheuse Krone 1m85; pirouette Strealla 2 toupies. Tél. 080/517.055 (397) A v. dalles Stelcom – precon 200x100x10 20 pièces convient pr sil. Tél. 0476/430.449 (392) A v. charrue 2 socs; pirouette PZ fane x 4 toupies; plateaux 7m50. Recherche urgent 2 jantes W13-24 pleines pour Steyr. Tél. 0479/392.437 (403) A v. planteuse pommes de terre Gruse 4 rangs très bon état. Tél. 0473/726.511 (409) A v. herse canadienne 4m; désileuse à bloc servi 1 an; bétaillère 4 vaches bon état; rotative; semoir; croskillette 2,5m; 4 chalettes pr remorque; moulin à grains DDD bon état; monte-ballots Ravena 8m; extirpateur 3m. Tél. 081/612.097 (400) A v. 4 roues étroite adapt M100 New Holland pneus 9.5R48+9.5R32+ jantes us 25% Taurus 4* prix 950 Eur. Tél.0479/237.942 (417) A v. pulvé Hardi 16m; pulvé Allaeys 18m; épandeur Vigneron 8T; 4 cornadis; 10 bacs à eau; bill de chemin de fer 20; chargeur frontal; poutrelle en fer. Tél. 0479/256.323 (426) A v. herse canadienne 6m repli hydro; épandeur Vigneron 8000; caisse ensil. Tél. 085/233.684 ou 0477/271.433 (419) A v. bétaillère Record 8 places porte hydro barrières sur rails bon état av rég 082. Tél. 0474/787.268 (420) A v. cse dble emploi pulvérisateur Delvano 800L 15m contrôle technique ok 2012 TB état. Tél. 0472/304.767 (421) A v. charrue Demblon 5 corps Tri70 nv versoirs desidistri Audureau 2050 bac déterreur Amac 6 rouleaux; épandeur 8T Legrand nv volet. Tél. 0479/368.879 (428) E FK8 @ I < <DGCF@ 0 Organisme d’inspection et de certification recherche pour engagement immédiat Vente publique UN RESPONSABLE TECHNIQUE ET ADMINISTRATIF Le lundi 29 mars 2010 à 14 h à la salle du football de Chaumont, le Notaire Michel Lonchay exposera en vente publique 48 hectares 19 ares de terres et pâtures sur Remichampagne et Clochimont dont plusieurs très beaux ensembles. Libres d’occupation - Affiche et détail des lots sur demande ! GSM: 0474/63.68.84 - Fax: 071/65.51.85 Une durée de vie de 4 à 10 fois supérieure ! Importateur du carbure en Belgique ! PROFITEZ DES REMISES D’AVANT SAISON SUR: - sabots de semoirs - dents de butteuse p.d.t. - dents de herse rotative - socs de déchaumeur + de 900 produits au carbure à vous proposer ACTIVITES: - Mise en œuvre de projets de développement dans le cadre des activités d’inspection et de certification. - Elaboration des documents techniques et procédures de travail. - Participation aux activités de gestion administrative quotidienne. Assistance au responsable qualité et au responsable certification. -Suivi technique des dossiers. PROFIL : - Min gradué(e) en agriculture ou agronomie voire biologie, biotechnologie. – 2 années d’exp souhaitée dans le secteur agricole et/ou agroalimentaire. - Connaissance des normes de type GMP, BRC, ISO9000, ISO22000, etc. - Rigoureux, organisé et méthodique. - Polyvalence, capacité d’adaptation rapide à différentes situations. - Sens du contact auprès des opérateurs. EXIGENCES COMPL. : - Bilingue fr / nl. - Connaissance de logiciels de bureautique de base. - En poss du permis B et d’un véh, déplacements fréquents dans le cadre du travail. CONTACT : envoi de lettre de candidature et CV pour le lundi 29 mars 2010 au plus tard à l’adresse ci-dessous : PROMAG SPRL à l’attention de Noël MAES -rue André Féher, 1 - 6900 AYE Tél. : 084/46.03.46 Fax. : 084/46.03.47 E-mail : [email protected] - www.promag.be ;gZbVciZ BZY^V E-mail: [email protected] Gk_ ic[ bÊWcekh hYebj[ bÊ~c[ iÄkh$ lll#giaik^#WZ$VbdjgYVchaZegZ (secteur agricole et agroalimentaire) 7(55(6(73Ç785(6 99986448/0810 crt 6 ( , 5 $ 3 7 ( ( 5 7 / 2 & , 5 * $ 26(6( 7(7 > ,(> (; $ 007; % 3 7;3 . 9! 20>6 < /13 (7 26(A 938 D ;66 "6(0, 7(7 > ,(>'(; $ 6"&?, % 3 7;3 .9/D 20>6 D !93 (7 26(A 93<DD 26(6( 7(7 > ,(>'(; $ .&0??, % 3 7;3 .7 1= 1= 1= 1= 1= 1= 20>6 1& 98 /D3 (7 26(A =13DDD 0>7 ,7 ,0;7 7 7(;>.; . C0. "6(0, ; 70.; 0>27 . ?6;> 5>. (, 6-3 >>. 26-(7 5>6.(7- .( 26-(7 ,0;(6 .5 ; ,(?6 20>6 ,7 (.7 266(;73 7 (.7 . 70.; 27 70>-(7 > 60(; 26-2;(0. 0.06--.; ,56;(, 9< > 6; ,-. 6,;( ,506".(7;(0. ,5-."-.; > 66(;0(6 ,5A2;(0. 5>. 60(; 26-2;(0. . ?>6 , ,-7 0,0"(7& ;@6+3 >>. 77(".;(0. .5 ; .0;(( 0.06--.; >A 6;(,7 1!9 0> 1!/ *>74> ; ? ,56;(, 1 1 > 6; 6,;( ,506".(7;(0. ,5-."-.; > 66(;0(63 VAUX-SUR-SURE Etude du Notaire Michel LONCHAY rue du Centre, 24 à 6640 Sibret - tél. 061/26.61.18 99986481/1010 plc jht 03+ !0* *#* %0 * # # *3 )* ##+ 1& "( 42.1$(14( !0* 0'# %0 * %#+ *3 + %3*+ * ++ , "( 4-.1-(&1(1 .; 2>,(4> ' 706;( 5(.(?(7(0. *>( = -67 =D1D 19&DD . ,5;> );6 ,B7 6> 56(..7 <1 8 D ."&(. A v. bétaill 5 b Robo Frebutte; épand Record 6,5T; turbine Alfa Laval 450L; barat Tomeca 50kg; refroidis 650L; 2 pts trayeur Alfa Laval; cruch lait 20L TBE. Tél. 064/369.492 ou 0497/771.837 (430) A v. aplatisseur Albert gd débit moteur électrique; 2 vis à grains le tout en bon état. Tél. 0476/799.319 (431) A v. pour export Ford 6700 6cyl 2 roues cabine origine 2500 Eur. Tél.0495/790.765 (434) A v. rails d’autoroute. Tél. 0497/538.888 (435) A v. JD6910 année 1999 prix 27500; presse JD 590 année 2000 filet 12000 Eur couteaux. Tél. 0474/453.470 (439) LEI xCEJ?EDI ;D =H7D:$ ((dXij)'(' )( G<K@K<J8EEFE:<J A v. refroidisseur Muller 1600L; récupérateur chaleur; pipeline pr 4 vaches en inox; semoir Vicon. Le tout en bon état. Tél. 087/785.496 (440) A v. plateau 7m50 jumelé fond tôle strié 4mm Pier Hid. Tél. 0470/606.085 (441) A v. Bic 3m + hérisson 500 Eur; herse 3m 300 Eur; rouleau traîné 2,5m 300 Eur bon état; remorque animaux L3xla1,5xH1,2m 2 essieux freinée feux ok + 2 roues rés + options 800 Eur; bac béton 50x40x25xm 30 Eur; tondeuse 2m 800 Eur. Tél. 0474/287.189 (444) A v. ébouseuse Robert 5,20m très bon état. Tél. 0477/192.584 ap 20h (450) A v. cse cess semoir céréales; sem bett; tank 6 rangs; pulvérisateur Delvano 21m; herse rotative; vibro; bic; butoir 4 rangs; désileuse Kutn; moiss-bat M133; pièce à eau 3000L; pipeline; tank à lait; cornadis; aplatisseur; charrues 4 et 3 socs. Tél. 069/546.721 (452) A v. croskillette Gourdin 3m 700 Eur; désil Trioliet Tu 170T mat élevat. Tél. 0485/292.415 (460) 6,1-/ ð«°À°° A v. Massey Ferguson 8480 315cv année 09 relevage frontal prix intéressant. Tél. 080/410.150 (453) A v. cse cess cult bett semoir 6 r Nodet Planter II pneumatique p bett chico maïs etc parfait état; Lemken Kompaktor 4m repliable; planches niveleuses hydr peu travaillé les 2 machines 100% en ordre rég 010. Tél. 0473/230.043 (454) A v. herse rotative Kuhn HR4002 D planche nivl + relevage+ rouleau Pak dent et décrot traite. Tél. 0494/497.748 (462) A v. 1 pneu tracteur 18.4R38 + chambre Michelin. Tél. 081/215.491 (463) A v. rouleau métal 2,50m att 3 points bon état 100 Eur (065). Tél. 0478/598.004 (466) A v. semoir engrais Amazone Zau 1501, 09 à 27m 2 paires disques état impeccable cse pulvé 33m. Tél. 0499/221.257 (471) A v. téléscopique Manitou 634/120cv; tracteur MF 4245 85cv rel frontal; tracteur MF 5445 100cv; faucheuse PZ 2,12m; faneuse Kuhn 6,4m. www.thommenschwall.com Tél. 080/410.150 (472) Ûi`Ài «ÕÀ V«Ìi «À«Ài Õ ViÌ /, /1,- \ Q nÎÈä , £È ³ Ài° >Û° ³ «`v Q nxÈä , £Ç ³ Ài° >Û° Q / £Èx * Óää£ ÃÕë] Ài° >Û° Q / £Èx * Óää£ ÃÕë] Ài° >Û°] «`v Q / £{ä , Óääx Ài° >Û°] «`v Q Ç{{ Ó À ÌiÕÀ D Àj«>ÀiÀ Q n£Îä {Ý{ £ Þ>à vÌ] Ài >Û° Q n£Çä {Ý{ £n , "/ \ Q näÈä {]Óä] V>Li >ÀV] LÀÞiÕÀ Q*ÀiÃÃi --/" {Çää QivviÕiÕÃi - /, Ó{ /,6 1 -" \ QV >ÀÀÕià { ÃVà Q iÀÃi ÀÌ>ÌÛi 6, Î ³ Ài° Þ`À° jÌ>Ì iÕv® Q iÀÃi ÀÌ>ÌÛi *",," Î ³ Ài jV> Q-iÀ VjÀj>ià -, Î Óx À}à Q-iÀ VjÀj>ià "- Î Ó À}à QjV«>VÌiÕÀ 1 Î { `iÌà 1/ /" \ Q/jiÃV«µÕi xä{ä `j 6,- \ QÕi>}i " " £Î°È,În QiÕ `i ÀÕià jÌÀÌià °x,{{ QiÕ `i ÀÕià jÌÀÌià ££°Ó,{n / 5 & 6 H X U % V H Q D R $ , 1 * 5 $ D8K<I@<C:?<I:?< Tract Ford tts séries, MF séries 100 et 200, Fiat 65-66 à 80-66, 115-90 à 180-90, Deutz 6806, 6807, 7206, 7207; mois-bat New Holland 1540 à 1550 S, 8070: tractopelles MF 50B + HX, Case 580; pelles Poclain et Hitachi; bull Volvo et Cat. (aussi en panne ou brûlé). Tél. 011/37.60.73.0496/38.72.22. (1490a) Cherche occasion hache-betteraves. Tél. 0494/079.100 (422) Cherche scie circulaire tournant avec prise de force tracteur. Tél. 02/633.59.41 (423) Cherche 2 pneus 16/9/38. Tél. 0473/828.639 (446) 9FM@EJ A v. taureaux non inscrit +/-2 ans 1 Bleu foncé très viandeux Nocturne x Baron, 2 Blancs Gamin x Tison, 1 Blanc dos bleu. Tél. 0495/285.290 (360) A v. taureaux Blond d’Aquitaine viandeux non inscrit 1 fils de Drop 17 mois 1 fils de Landais x Fallou 1 an haute lignée maternel. Tél. 0495/285.290 (361) A v. 4 génisses Highland pleines bio 3 ans 1100 Eur pièce. Tél. 0497/862.823 (372) A v. génisses pour saillie BBB. (060) Tél. 0477/403.114 (411) , 1 * 0 & ' 4 J T G U W 1 2 , 5 $ ' "VV>à ii ÀÌ £ä / V {]Óä Ài«>Li >Õi ÌÀiÕ® jV >ÕiÕÀ n]xä Ãi «ÀÌj jV >ÕiÕÀ }À> *>ÃÃi«>ÀÌÕÌ {xä Ài«>}i Þ`À>Õ° iÀÃi >ÀÀmÀi >>`iià x] xxä iÌ È ,Ì>ÌÛià { *i}À>À Î À>`iÌ Ó]xä >ÃV -iÀà }Ã`i Î D ÃVÃ] `iÌ Î Óx À}Ã] -iÀ Ãi È À}à LiÌÌ°ÉV V «ÀÝ ÌjÀ° ÀÃiÌÌi }À}> ëi >ÀÌVÕji ( Óä ,Ì ( Óä Î] }À> ( {xä Î ,Õi>Õ *>ViÀ ( xxä Óxä ,iiÛ>}i >ÛÌ LÀ>à Ài«>Li «À ÌÌ ÌÀ>VÌiÕÀ *«i >Ýi ÛiÀÌV> «ÕÀ «ÕÌ *ÕÌÀi `jV«>VÌiÕÀ À>`iÌ { ÃVà ÀÞiÕÀ ÌÀ>j `j«ÀÌj Ó L>à «ÀÝ® Y Q J I U G V [ P D A vendre pour compte propre ou pour compte client Contactez: Bertrand MESSIAEN - 7608 WIERS - 069/34.43.71 1 / " \ 6,1-/ ëÀ ÀÕi *Àj `Õ *Ì] £Î <} `ÕÃÌÀi® £ÎÇä "" Ìj ä£äÉn£°{°ä£ ä{ÇxÉΰӣ°n à VV>Ãià ÃÕÀ ÜÜÜ°ÛiÀ ÕÃÌëÀ°Li iÀÃià ÀÌ>ÌÛià À>`iÌ x Ài«>Li] Î ÀÕi>Õ >Õ V Ý] £]xä ÀÕi>Õ }>ÕvÀj 6LÀ È }ÀÃÃià `iÌà {xÝ£Ó] ÀÕi>Õ Õ `iÌà ÛiiÕÃià jV >ÕiÕÀà *>ÃÃi «>ÀÌÕÌ x iÌ È] ÀÕi>Õ Õ `iÌà ÛiiÕÃià ÀÃiÌÌià ÌÌià >À}iÕÀÃ] £ Õ Ó À>}jià }>à ΠÀ>«`i vÀÌ> jV >ÕiÕÀ *>ÃÃi *>ÀÌÕÌ x ³ ÀÕi>Õ /"1/ *"1, /,6 1 -" 99986484/1010 plc jht >ÌjÀi iÕv `i ÃÌV Q/À>VÌiÕÀ 7 " /ÎäÎä iÌ> {Ý{ xä V Qv>iÕÃi { ÌÕ«ià {]x *&// , Q-iÀ }À>à 6 " ,Ì>vÜ QjLÕÃiÕÃi ,/ {]nä A v. taur BBB 18 à 24 mois inscr issu de mère control conv pr croisement. Tél. 060/411.108 (390) A v. 2 tx BBB Blancs inscrits: 1 Biscuit 6 ans 3000 Eur; 1 Falco 5 ans grand 3500 Eur; bon foin balles rondes 95 Eur/T BW. Tél. 0472/880.948 (394) A v. cse pension Limousin troup sélection calme doux lié origin IA + sans corn génétique taur saillie brave inscrit garant sanitaire; bétaillère voiture 2 ton agréé travail. Tél. 061/511.300 (395) A v. tx Blond Aquitaine 22 mois grand et calme embryon né en France origine Malinois. Visé. Tél. 0494/353.592 (410) A v. génisses Limousines bio de 1 et 2 ans. Tél. 0478/261.360 (414) A v. génisse Highland 9 mois issue ins art. Tél. 0497/540.976 ou 087/882.914 le soir (416) A v. cse cess vaches et génisses pleines Limousine. Tél. 0476/658.624 (429) A v. cheptel Limousin +/22 vaches inscrites, bonne conformation, gros format; 1 tx Lim reprod. Tél. 0475/683.325 (436) A v. 2 vaches mixtes laitières + génisses taureaux Limousin de 6 à 12 mois rég Mons. Tél. 0497/601.719 (437) A v. cse consang uni taur reprod Limousin 4 ans écorn vacc verm haut origine puissant grand tro. Tél. 0495/272.209 (447) A v. génisse Cpl pleine 7 mois viandeuse beau format brave bon aplomb prix intéressant. Tél. 0473/560.486 (451) A v. taur et gén de 12 à 18 mois inscrits et bio chez Annet José. Tél. 084/433.001 ou 0476/705.176 (456) Salers. Vend reprod mâles et femelles; 2 taureaux 1 de 6 ans inscrit et 1 de 3 ans. Tél. 0033 (0)608999426 (468) Portés: DELVANO 24m - 1200L DPAE 2008 Trainés: BEYNE 27m - 3200L DPAE, timon suiv. 1996 BEYNE 27m - 2500L DPAE, timon suiv. 2001 BEYNE 30m - 3500L DPAE, timon fixe 1998 BEYNE 40m - 4200L DPAE, timon suiv. susp. 2004 DELVANO 27m - 3900L, susp., roues direct. 2001 Barre de guidage: TRACK - Guide Müller A v. taur BB 2 ans blanc; 3 de 18mois; 6 de 14 mois de couleur origine Barbier, Herisson, Doudou, Bijoutier, Genièvre. Zone 081. Élevage Nerinck Tél. 0475/660.378 (464) Bio. A v. jeunes taureaux Bl Aquit inscrits 10 mois; foin extra 1e et 2e coupe ballots 80/90 et boules région Libramont. Tél. 0495/751.463 (465) 8LKI<J8E@D8LO A v. poules pondeuses plein air 2,5 Eur; poulettes 7 Eur. Assesse. Tél. 0476/911.948 ou 0473/550.549 (408) A v. jument pur sang 15 ans AL2 apte à la reproduction, prix à disc. Cherche foin rég Namur. Tél. 0476/584.672 (413) Achète moutons, agneaux, réforme paiement comptant au chargement. Tél. 0475/659.898 (448) A v. jument Ard inscrit pucée bai 4 ans pleine va au cordon sans œillères. Tél. 0497/574.137 (455) =FLII8><J A v. paille française, ray-grass, foin 1er choix sous abri rendu. SPRL Moulin à Vent. Tél. 0472/981.167 (1924) A v. très bon foin de 1ère coupe sans pluie ballot 80x80x1,90m. Tél. 069/866.643 ou 0495/509.739 (006) 5354 JALLET (Ohey) Tél. 085/61.27.94 -' -'FKDUJHXU -' -'FKDUJHXU -' -' )LDWFKDUJHXU 0DQXIDUP :HLGHPDQQ SXOYpULVDWHXU-'P DQGDLQHXU.XKQ SLURXHWWH VHPRLUVHQJUDLV6XON\5DXFK9LFRQ pERXVHXVH5REHUW VHPRLU$PD]RQH' IDXFKHXVH EHQQH 2))5('·(03/2, &KHUFKHPpFDQLFLHQPDFKLQHV DJULFROHVFRQWUDW3),RX&',VL H[SpULPHQWpRXDSSUHQWLPRWLYp A v. pail franc org from gros bal 300 ou 400kg qual extra prix int livr +/23T double presse; foin et préfané. Tél. 0477/902.498 (033) A v. grandes quantités ensilage herbe et maïs en boules; brebis plein Suffolks/Texel français. Tél. 084/477.699 ap 18h (107) A v. pommes de terre lavées pr bétail s cailloux ni terre région Huy-Waremme départ rendu. Tél. 0494/161.678 (305) A v. maïs ensilage en vrac; boules de maïs; boules préfané; mat occas; tract occasion. Tél. 061/211.944 (320) A v. 2 Vred Wint 22555 5mm 100 Eur; 5L sav indust Transline+ 25 Eur; équipa ant parabol complet tête démod 500 Eur. Tél. 0475/498.301 (332) A v. Préfané bio balle ronde, Fumier composté bio 300t, 2 remorques de 6.5 m et 7.5m à voir, tél 0495/34.19.20 (383) A v. paille et foin en ballots 8080; maïs ensilage rég Thuin. Tél. 0475/908.638 (415) A v. céréales bio en ferme. Tél. 0494/8777.710 (418) A v. 14 boules rondes ou moins TB foin 1e cp 2009 rég Wellin poss livr rayon 15km. Tél. 0497/158.197 (424) A v. maïs épis broyé 55% ms/1100 vem en boule 1000KL; paille extra départ ou rendus. Tél. 0495/250.965 (425) A v. boules foin qualité extra 1,20m région 064. Tél. 0477/209.126(433) A v. paille de froment 90x120x2m sous abri région 071. Tél. 0495/261.687 (438) A v. très bon préf bal 80x90x180; pince à ballot carré embal très bon état. Tél. 0497/415.345 (442) A v. très bon foin sans pluie et préfané en balle ronde. Tél. 080/418.889 (443) A v. maïs ensilage région Huy. Tél. 085/512.891 (445) A v. 15 tonnes betteraves; foin 2e coup 1e qualité région Ardenne. Tél. 0476/331.357 (469) ? * ? G E I N K N Q O A D N Q O A D P " O 4 + 0 , "UUFMBHFJOTUBOUBOn'JUMPDL** -JCSFBDDoTBVY¯VWSFTWJWFT EVUSBDUFVS 5VZBVUFSJFTJOUnHSnFTEBOTMFCSBODBSE 7JTJCJMJUnUPUBMFBVUSBWBJM 1JMPUBHF'MFYQJMPU DPOGPSU FU GJBCJMJUn #;FEFMHFN XXXQBDLPCF $)"3(&634'30/5"695&$)/*$ )) ((dXij)'(' -FTNBUnSJFMT1BDLP"HSJ TPOU EJTUSJCVnTFYDMVTJWFNFOU QBSVOSnTFBVEµBHFOUTTQnDJBMJTnT $PNQnUFODFFU TFSWJDFhWPUSFQPSUF G<K@K<J8EEFE:<J $ * 5 , ( ; 3 2 7 6 D H Q / X R L V 7 $ 1 6 U S R V H /À>VÌiÕÀà - 68 £x È{ä xä Óää / Îx / ΰnÇä £{ >ÃÌÀ>V ££Îx {°ÇÓä £x ÈÓ£ä - Σää Óäää ÈÈÓä /- ÝÓ® xä É äÓÉä{ ÈÎä /- È£È Ài° >Û° Óään ÇnÎäÉ ÇÎäÉ n{Îä Óää Çn£ä /- Ài >Û° ÝÓ® ä£ÉäÓ V ", /8£xä ÎÎäx ÓääÈ / Çä{ä Èää xä Óää ÃÃiÕÃià < ÓÓx{ É < ÓÓxn £Ç xnä 7/- È£ä xÓä ÓääÈ / ÈÈä Óään - Çn É n- É n68 ÓÉäÉ - /ÕV> {{ä Óä Óään ÛiÀà xΣÇä £°Îxä ÓääÇ - +Õ>`À>Ì £Óää ÓääÓ O p W O L D P H E W Q \ N # V D W O M <DGCF@J Vous cherchez un travail à temps plein et vous avez une bonne expérience en tracteurs et machines agricoles, téléphonezmoi au numéro 02/687.78.31, entreprise à Overijse. (344) Plusieurs DPU +/-10 à prendre sur prairies fauchées en 2010; tonneau 1500L ét impec. Tél. 0494/316.928 (458) A v. enclume 175k; râteliers anciens; garde-robe; horloge chêne très anciennes; miroir doré. Tél. 0499/606.374 (459) A v. caillebottis béton bovins 100m2 dimensions 2,75x0,55m épaiss 15cm + 200m2 de bande caoutchouc pr couverture silo. Tél .0475/374.232 (470) I<E:FEKI< Il arrive dans certaines petites annonces qu'au lieu d'un numéro de téléphone, vous trouviez la mention "Réponse au bureau du journal" ou "écrire au bureau du journal" ou encore les abréviations "RBJ" ou "EBJ". Si vous souhaitez répondre à une telle annonce, adressez votre courrier à PleinChamp en faisant clairement figurer sur l'enveloppe la mention "réponse à l'annonce n° ....". Nous la transmettrons alors -sans l'ouvrir- à l'auteur de l'annonce JH 39 ans désire rencontre JF pour vie à deux pas sérieux s’abstenir province de Liège. A bientôt. RBJ (308) JH 37 ans entrepreneur agricole désire rencontre JF entre 25-35 ans pour fonder foyer de préf région Tournai et qui aime le monde agricole, 1 enfant bienvenu. Gsm ou sms 0497/690.589 (393) JH 26 ans agriculteur dans la région de Gouvy désire rencontrer JF +/- même âge et même situation, pas sérieuse s’abstenir. Tél. 0474/027.439 (404) ;@M<IJ Liq p haie: thuya 2m = 17 Eur, 1m70 = 11, 1m25 = 5; cyp bleu 1m25 = 5, 1m50 = 8, 1m75 = 12; laurier 1m70 = 8; if 60cm = 3, 1m = 12; buis 70cm = 3; 1m (touffe)=16; houx = 3; hêtre àpd 0,45 (1m25= 1!); hêtre rouge àpd 0,90 (1m25 = 2,50!); charme = 0,70; ligust 1m20 = 0,60; aubépine = 0,60; photinia = 6; arb à fleurs = 4; prunel, genév = 4 (talus)+ autres variétés (jusque 15/03: laurier 1m20= 3! thuya 1m = 1, 1m50=4!). Tél. 0495/871.190 (307) A louer à l’année prairie de 3ha pour pâturer à Filot. Tél. 061/266.622 ou 0473/645.325 (432) 8 1 . ' % V G U 7 D F H WX V • 10h : Au gîte « Cool Days » chez M. et Mme Christian WIERTZ, Beusdael, 81 à 4851 Sippenaeken (Plombières): accueil, réunion, dîner. • 10h30 : Tourisme et ferme en activité : La communication, de l’écoute au parlé. Comment mettre en évidence la ferme, son métier ? Quel positionnement pour quel public ? Quelles actions pour quels résultats ? Que proposer sans être envahi ? Par Geoffroy Simonart, de l’Apaq-W. • 12h : Dîner (à réserver) : 15`. • 13h30 : visite du gîte à la ferme de grande capacité (22p) de M. et Mme Wiertz. • 14h30 : chez M. et Mme Freddy SCHYNS, Ferme du Château de Beusdeal, rue de Beusdeal, 158 à 4851 Sippenhaeken : visites des 5 gîtes à la ferme (4, 4, 5, 6, 9p) et des 2 meublés de vacances en construction. • 15h30 : chez M. et Mme Francis BIEMAR, ferme de Gérard Sart, route de Mortier, 11 à 4606 Saint André (Blegny): élevage de poulets, visite de l’atelier de fabrication (glaces, confitures), visite du point de vente. • 16h15 : goûter (à réserver) : 5`. ITINERAIRE : Voir site: www.cooldays.be RESERVATION indispensable à l’aide du talon ci-joint par Fax (081/627 450) ou par E.mail ([email protected]) et avec paiement uniquement sur le compte bancaire d’ACW 103-0118804-47 pour le vendredi 19 mars. Attention : inscription limitée à 50 personnes. Nom……………...................................Prénom………………………………… Localité…………………………Province……………………………………… Réserve(nt)…………Dîner(s) à 15` - Réserve(nt) ……………Goûter (s)à 5` Ìà ° ¿" ð> {Ónä 1/ ä£Éx£°Îΰn ÜÜÜ° i°Li /À>VÌiÕÀÃ\ +) ) #! )$ (+ " -( . , . ) - (-( + + -+) ( )% 0 .+ ")) + ( -( /"&-+ + +(( ++% $ 00 ++, ++ ( %- !/ , ++' "%# ')+ (+-+ + )) + ...$-!&%*&$ £ È{nx £xx V ½äx £ nÓÓä 8ÌÀ> £ÈÓ V ½äÎ £ n£Îä £xx V ½n £ È{ää £ää V ½x ÃÃL>ÌÌ° £ >ÛiÀ`> Înä VÕ«i x]{ ¼nn >ÕÌiÌ £ «ii />iÕV / äÇä Ç / ¼ iÕv `i ÃÌV® ÌiÀi >âÕÌ `ÕLi «>À }Õji ÃÌÀLÕÌiÕÀ i}À>à ,>ÕV Ýà ΰ£ Ì>iÀ x Î «ÀÝ Ã«jV> >ÀÀÕià £ ÛiÀi>` £ää { VÀ«Ã £ >Õ` ,8 {ÓÓ { VÀ«Ã iÀÃi ÀÌ>ÌÛi\ £ ii Îää] ÀÕi>Õ V>}i] >ÌÌ>V i Þ`À>ÕµÕi Ó *i}À>À , Îää ÀÕi>Õ V>}i] >ÌÌ>V i jV>° £Ý® Õ Þ`À° £Ý® £ iÞ £Óää ÃÌÀL° i}À>à Π6V Èää] nää iÌ Óäää £ }L>i £xää £ ,>ÕV ää £ «ÕÛj >À` £äää Ó£ £ ii ->À>}` x ÃÌ« ÛiÀÃ\ £ ÃiÀ LiÌÌÉV V° Ãi È À}à £ LiÕÃi }Ã`i È À}à £ «ÀiÃÃi L>ià À° È{{ ³ Ì £ j«>`iÕÀ 6}iÀ Ç / £ `jV«>VÌiÕÀ Õ Î { `iÌà £ `jV«>VÌiÕÀ Õ { È `iÌà £ ÃiÀ iiÀi Çxä { £ v>iÕÃi Ài 7 È°{äÉÈ È]{ ÀÕià £Ó°{,ÎÓ °x,{n .BuT #JFOUyU MFT TFNJT 5FDIOJRVF 2VBMJUn 4FSWJDF 1SJY ' K F K ' K F K ' / 6 7 K F K ' K F K ' / 6 7 K F K ' K F K ' / 6 7 K F K ' / 6 7 K F K ' / 6 7 & 6 3 $ K F K ' / 6 7 K F K ' K F K ' K F K ' / 6 7 K F K ' K F K ' K F K 1 + 0 7 K F K X OWQ D 5 H K F K X W] ' H ' ; K F K 0 LR V Q H X E D WV H ' P K ' L 6 : 7 P K ' + 0 : 6 7 P K ' 7 0 + P K ' 7 0 + P K 0 D Wp UH LOH E WUD Y L V X H UG E OID ' p Z 7 V * LOHX V H UG E D p 5 % X V H LOI 5 7 V H X F K UD ' $ UV P R LH & H W % UG F R $ ULP R H V S OLR Q 0 J V U & R P E Lp Q V H G V H P L H UV K R ULP V H K LR V F 0 D D Q LV F R $ V LD K $ P Q H P N / Q N R UL= US K LD 6 ' 6 P H Q D ] R P $ * . R ULP V H ' 5 3 P UR D H 3 J UP R LH V WG H 1 R P H D WLUY Q O$ K Q X . UP R LH V G R UF $ P Q H P / N Q N R UL= R ULP V H H D E 5 P Q X . K UR LH P V X ON \ 6 P Y ' LH UV H UX F K D V R F R Q H W6 H UX F K D V R F Q K . X H UV W0 D H UX F K D V R F H Q P N / S D O2 H UX F K D V Q X K . H UV WP D OL0 X UP R LV H WG H 1 R * & J V UP UP R LV H WG H 1 R P V H D X Q 3 , V UJ V H X F K ID Q G D H OUY . & ) P V H X F K ID Q K X . & ) & P UH X WE LG V V UD LJ H Q R Q LF 9 6 % S X LF N E H UK ' P UX G H D Q p S G R UH F 5 7 j X [ H D WS O UX G H D Q p S R Q H UJ L9 7 X H J UD V WO$ 7 K X H J UH Wp D F UH R WP ' O ' F K UD H V R WD UF X OIH Z ' D LX WR P UF H X R Q LW0 D 0 5 7 P K 6 1 ( . & < 8 $ 6 "WBOU WPT BDIBUT DPOUBDUF[ 5SBQIZTFN ÀÕi , LiÀÌ] £> {Ónä ,-6, /j° ä£Éx£ ÎÇ În v>Ý ä£Éx£ än xn Y Q J I U G V [ P D $ Y S R UX F R P WS HF OH LQ WV US R H AU PROGRAMME ÜÜÜ°VÕÞViðV vJVÕÞViðLi +/*(66= 99 $5(** 0;, 6 /5 *995 ;, 6 <( ,95 &3; +-912 <(9= *6 5<(9(-,6 (,-+/5&,6(*612 $ $$ $$ $$ $ -+ - /-69* $ $ -,9,9 -+5 /5;9(-,061 " 5 *($, 6;//*+,9(5 5,-+ ; , 06( !9;51 # ,9((/9(<+,9 9 9 6($,9;5 !# /5 &3; )-(,9 *4,,-, 0*6 &3;6 6-,9 9-;)-;56 /9612 6 /(6 +-,,( ,6 *6 ,<-(62 /5 <(5+,9 *(** ; -+/9 .>:'>.. >>'#: 0)-(,5 * /5;< /(+,91 5 -*(9 */&-, ) AOQ HEPKOM Q AH=ANPL NÁBÀA Réunion décentralisée de la Province de Liège Région de PLOMBIERES – AUBEL Le jeudi 25 mars 2010. 99986490/1010 PLC JHT Réponse bureau du journal @DDF9@C@<I Cherche terrain env 10 ares maximum 18km ou minutes Walcourt. Club Immobilier 02/366.94.96(375) Le Club Immobilier cherche pr 1 amateur sérieux 1 propriété (villaferme ou château) de tt haut standing (400 à 600000 Eur) ds les régions de Namur ou Charleroi jusque Mons conv aussi si pas libre avant 1 an. Tél. 02/366.94.96 (376) Commerce à remettre ou à vendre vélos scoot tond feux constr métal prox autor TB réput pl activ cse dép retraite magas+aménag compl atel parking. Tél. 056/555.163 (391) Région Marche-en-Famenne: à v. ferme en carré comprenant 1 maison d’habitation 4 pièces bas, 5 pièces haut + grenier, 2 granges, étables et hangars sur 30 à 81ca. Prix 325000 Eur Terroir Hottonnais 084/467.674 fax 084/467.675 email [email protected] (398) Région La Roche en Ardenne: à v. 1 prairie de 3ha80ca, 1 prairie de 2ha80ca bail à ferme 7è année, accès facile voie carrossable. Terroir Hottonnais 084/467.674 fax 084/467.675 email terroir.immo@ belgacom.net (399) Cherche à louer prairies de 5 à 12ha; vente d’herbes toutes régions. Tél. 0495/109.033 (412) Cherche prairie à vendre ou à louer. Je donne un bon prix. A v. moulin à céréales Albert. Tél. 0497/944.518 (457) A v. terrain à bâtir dans lotissement sup 12 ares 20m de façade entouré de bétail en été Pont-à-Celles. Tél. 0474/599.670 (461) A v. petits ballots paille et boules 1,2m région 082071, possibilité réserver pour 2010. Tél. 0477/395.348 (449) A v. paille froment 2009 s/pluie ballots 70x140x2,20; fauch Deutz Fahr 2m char arr 1 verin. Cherch plastifieuse légumes. Tél. 0476/604.636 ou 085/612.936 (467) A v. foin bio racine endive bio Ecocert carotte chicon conventiel propre Chimay Couvin Mons Rance. Tél. 0033 684967337 (473) 09(96 ,,-,61 &;66 +;5 #7 ' ">:> /-,6 ; ;5; ; )-;5,* 9;5 ((dXij)'(' $$ $ )* I<ML<;<GI<JJ< Glané pour vous Les premières fraises vendues 500 euros les 200 grammes Au premier semestre 2009, une maison d’habitation coûtait en moyenne 168.852 euro. Une villa revenait quasiment au double (298.059 euro). Les appartements se vendaient à 174.564 euro. Le prix des terrains à bâtir s’élevait en moyenne à 91,4 euro/m². Depuis 1975, le prix de vente moyen d’une maison d’habitation a été multiplié par neuf, alors que le niveau général des prix ne s’est accru que d’un facteur trois pendant la même période. Au cours des 34 dernières années, la valeur des maisons a augmenté quasi trois fois plus vite que celle des autres (SPF économie) produits. Stocks plus importants de pommes de terre en Belgique Les agriculteurs belges ont encore 1,6 million de tonnes de pommes de terre en stock, soit 200.000 tonnes de plus qu’au 1er février de l’année dernière, d’après une enquête du Belgische Interprovinciaal Proefcentrum voor de Aardappelteelt (PCA). Le PCA a mené une enquête auprès de 126 agriculteurs en Flandre. La filière wallonne de la pomme de terre (Fiwap) a, elle, questionné une centaine d’agriculteurs en Wallonie concernant leur stock. Les données montrent que 100.000 tonnes de pommes de terre de plus qu’en février 2007 sont stockées. Le stock est même plus élevé de 200.000 tonnes par rapport à la moyenne des cinq dernières années. L’enquête démontre que 700.000 tonnes de pommes de terre sont déjà vendues par contrat, soit 42 pc du stock. C’est 140.000 tonnes de plus que la moyenne des cinq dernières années. D’après le Boerenbond, reste à savoir quelle sera la quantité de pommes de terre qui subsistera de l’excédent de 200.000 tonnes, et quelle sera leur qualité, après le froid de ces derniers mois. (Belga) 99986461 0810 sle A la criée de Hoogstraten, les premières fraises de la nouvelle saison ont été vendues le 26 février 500 euros pour 200 grammes. Un cagot de 2 kilos de la variété Clery a été proposé à la vente par un cultivateur néerlandais, Cees Buijnsters, de la localité de EttenLeur. Ces premières fraises ont été achetées par l’exportateur Special Fruit de Meer. «Par l’achat de ces fraises ‘primeur’, nous comptons annoncer à nos clients internationaux le lancement de la nouvelle saison», a indiqué le responsable de Special Fruit, François Maes. Traditionnellement, le produit de la vente de primeurs est versé à une bonne oeuvre et la criée double toujours la somme. C’est ainsi que 10.000 euros ont été versés à l’opération Haïti Lavi 1212. (Belga) L’immobilier ... quelques chiffres X O S L Q 9 H 0 D W U L F 6 H Q p V R W L $ J U & R T X H O L F W H 2 P E O L I q U Les superficies consacrées au bio ont augmenté de 57% entre 2005 et 2008 en Belgique Les superficies consacrées à l’agriculture biologique en Belgique ont augmenté de 57% entre 2005 et 2008. A l’échelle de l’Union, cette augmentation fut de 21%, révèlent récemment des chiffres livrés par l’Office européen de statistiques, Eurostat. L’Union européenne comptait en 2008 quelque 7,8 millions d’hectares consacrés à l’agriculture biologique, une méthode agricole qui vise à éviter ou limiter fortement le recours aux engrais, pesticides, additifs et médicaments. Ces 7,8 millions d’hectares représentaient toutefois à peine 4,1% de la superficie agricole totale du Vieux continent. La Belgique comptait, elle, en 2008 quelque 36.000 hectares consacrés à ce mode de production, soit 2,4% de la superficie totale agricole du pays. L’Autriche est de loin le pays où le bio est le mieux implanté, ce pays y consacrant pas moins de 15,7% de ses terres agricoles, devant la Suède (10%), et l’Italie (8,9%). (Belga) La Roumanie taxe les produits trop caloriques L’empreinte carbone du porc Le gouvernement roumain vient d’annoncer qu’il comptait taxer les produits considérés comme « junk-food ». Ces produits se caractérisent par un haut niveau de lipides, sucres, sels et/ou additifs alimentaires. Le ministre roumain de la Santé a précisé que la taxe sera effective à partir du 1er mars sur tous ces produits, fabriqués ou importés en Roumanie. Ce serait le premier pays à mettre en place une telle politique. Les recettes, de l’ordre du milliard d’euros, devraient alimenter les dépenses de l’Etat en matière de santé. La Roumanie connaît en effet des difficultés de financement de son système de santé, et les problèmes d’obésité dans la population vont croissant. Dans le pays, une personne sur quatre serait aujourd’hui en surpoids. La question est d’autant R Q L T X H 9 p U G H S H U V H ) X P W U U q V 7 E R Q H D F W L R Q X U V J U D P L Q p H V J U k F H j O · D F W L R Q X G H O \ K W p P Q R U X I V S U q V 7 J H O D UV S H F W UD Q W L G F R \ O p H V E V $ R U S W L Q D U F L Q H H WI R O L D U H H X 3 G p S H Q D WG H V F R Q G L W V F O L P D W T X H V D F ) L O H H WS U p F L V j O · H P S R LJ U k F H j O D P H V X U WH W j O D I R U P X O D W L Q J U D Q X O p H Lexus XPE: 8994/B, 33.3% flupyrsulfuron-methyle et 16.7% metsulfuron-methyle WG; Lexus Millenium: 9284/B, 10% 7 0 / R Y D O H ' X 3 R Q W 7 K H P L U D F O H V R IV F L H Q WSolo: / H [ X V 8992/B, V W50% Q R V H G U D P V H X T V R S p G H flupyrsulfuron-methyle WG. L’ovale DuPont, flupyrsulfuron-methyle et 40% thifensulfuron-methyle WG; LexusH The miracles R of science™ X G H V P D U T X H V F R P H U L D O V H G ' X 3 R Q WR X H G H V V R F L p WO L p H V I D sont des marques déposées ou des marques commerciales de DuPont ou de ses sociétés affiliées. W Q R 3 X ' S R U & Q R L W F H U 3 Q R W $ W D U V \ R Q L S 6 1 ( / + & 0 P R F W Q S X G J D O H E Z )+ ((dXij)'(' Le groupe allemand Westfleisch a décidé de calculer une empreinte carbone des entreprises et dans un second temps des produits pour l’ensemble de la chaîne de production de viande porcine. Des projets similaires sont prévus pour 2011 pour la viande de boeuf et en 2010 pour le veau. ( La France agricole) R Q 0 X U plus cruciale qu’elle touche les populations à faible revenu. En 2009, une étude de l’Inra menée dans le cadre du programme Polnutrition établissait que la catégorie des « junk food » est la source d’énergie la moins chère. Pour 100 kcal, elle coûte 0,15 , contre 0,20 pour 100 kcal de produits laitiers, 0,34 pour les fruits et légumes, 0,40 pour la viande et 0,68 pour les poissons. Reste maintenant à convaincre l’industrie agro-alimentaire et la grande distribution. La négociation qui s’engage doit porter sur le montant de la taxe et la liste des produits concernés. (Lettre des agriculteurs de France)