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Supplément au N° 2347 du TéléObs Paris - Ne peut être vendu séparément - Ne pas jeter sur la voie publique.
du 2 novembre au 13 décembre 2009
Le Louvre invite
Umberto Eco
Vertige de la Liste
© Léa Crespi, 2009
63 lectures
3 concerts
1 exposition
1 Chambre des merveilles
2 accrochages
5 conférences
8 documentaires
300 courts-métrages
1 spectacle
1 colloque
51 intervenants
Le Louvre invite
Umberto Eco
A
près avoir reçu Robert Badinter en 2005,
Toni Morrison en 2006, Anselm Kiefer
en 2007 et Pierre Boulez en 2008, le
Louvre invite cette année Umberto Eco à poser un
regard nouveau sur les collections du musée.
Écrivain qui a su atteindre le grand public,
mais aussi sémiologue dont les travaux savants
sont étudiés dans toutes les universités, essayiste et éditorialiste international, traducteur
des auteurs français et anglais du XIXe siècle,
spécialiste mondial de James Joyce, grand
connaisseur de l’art contemporain, éditeur de
quelque deux cents préfaces d’ouvrages sur
les artistes les plus célèbres, ami et librettiste
de grands musiciens comme Luciano Berio,
Umberto Eco est ce qu’on appelait au XVIIe
siècle un « honnête homme ». Il est de ces savants qui délaissent parfois leur cabinet non
seulement pour comprendre les mutations de
leur époque, mais aussi pour y participer, en
être un des acteurs. Visiter sa bibliothèque c’est
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se promener dans la diversité du monde, dans
celle des langues et des disciplines, c’est aussi
rester coi devant le pan de mur consacré à ses
propres œuvres, qui propose plusieurs centaines d’ouvrages, les siens, traduits dans des
dizaines de langues.
Cet éclectisme constitutif de sa personnalité
trouve son apogée aujourd’hui avec le thème
qu’il a choisi pour ses interventions au Louvre :
« la liste ». Ou mieux encore, le « vertige de la
liste », vertige et chavirement de l’esprit, tourbillon métaphysique où vous entraînent ces longues « listes » littéraires, artistiques, musicales,
qui irriguent l’histoire de l’art et inspirent ses
acteurs. D’Homère à Georges Perec en passant
par Borges, Rabelais et Flaubert, nombreux
sont les écrivains qui ont dressé des listes ou
qui ont construit une partie de leur œuvre à
partir d’elles. Et au-delà des auteurs, ce sont
des pans entiers de la production artistique
qui trouvent leur cohérence dans le concept de
listes. Énumérations, répétitions, entassements,
accumulations : autant de notions qui existent
en peinture, en musique, au cinéma, en littérature, dans les arts vivants et, bien sûr, dans de
nombreuses œuvres du musée.
Umberto Eco dresse en quelque sorte la liste des
listes et cette double récurrence donne effectivement un vertige dont on n’est pas prêt de se
remettre. De nombreux artistes accompagnent
l’auteur du Nom de la rose (roman d’ailleurs
empli de listes) dans cette virtuose promenade
interdisciplinaire : Ludovic Lagarde, Christian
Boltanski, Claude Closky, Giovanni Anceschi,
Laurent Garnier, David Kadouch, Rodolphe
Burger, Yuksek, Geoffroy Jourdain et les Cris
de Paris, les solistes de l’Atelier lyrique et les
musiciens de l’Opéra national de Paris, les comédiens Carole Bouquet, Valérie Dashwood,
Laurent Poitrenaux, Pierre Baux, les jeunes
slameurs de Canal 93, le collectif artistique de
la Comédie de Reims. À ces personnalités du
monde du spectacle et de la musique s’ajoutent écrivains, intellectuels, poètes et savants :
Olivier Cadiot, les membres de l’OuLiPo autour de Marcel Bénabou et Jacques Roubaud,
Nanni Balestrini, Peter Weibel, Margit Rosen,
Carolyn Christov-Bakargiev, Hubert Damisch,
Patricia Falguières, Martin Kaltenecker, Jannic
Durand, Omar Calabrese, Anthony Grafton,
Françoise Barbe et Anne Bouquillon. Une liste
vertigineuse (comme il se doit) de personnalités pour des événements, lectures, spectacles,
concerts, conférences, projections, expositions
qu’Umberto Eco a bien voulu organiser pour
nous et qu’il marquera de sa présence.
© Léa Crespi, 2009
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© 2009 musée du Louvre/ A. Dequier
Ce que nous dit Umberto Eco
Portrait
conférence inaugurale par Umberto Eco - lundi 2 novembre 2009 à 18h30 - auditorium
L
orsqu’on demande à Umberto Eco
quel livre il souhaiterait emporter sur
une île déserte, il répond : le Bottin !
Quel argument vient justifier ce choix ? « Je
pense que si je devais rester de longues journées
plongé dans la solitude, je ne manquerais pas de
lire tous ces noms et que, victime d’une sorte de
torpeur hallucinatoire, j’en viendrais à inventer
des histoires. » Premier effet de la liste et de
ses vertiges ? Umberto Eco affirme, comme
tout un chacun, en avoir constitué luimême. Ainsi, celle qu’il adresse à son fils –
alors jeune enfant – et qui énumère la liste
des armes conçues et utilisées par l’homme.
La liste ici tient lieu de mise en garde : elle
s’adresse à un pacifiste et prévient de la folie
des êtres humains. Dans sa propre bibliothèque, l’écrivain a l’embarras du choix :
« Victor Hugo a constitué des listes – voyez par
exemple celle des députés de la Convention dans
Quatre-vingt-treize, James Joyce en a établi
aussi dans Ulysse et dans Finnegans Wake.
Même Thomas Mann, qui est un écrivain “sérieux” en a constitué lui aussi ! On pense toujours que l’idée de liste est liée aux décadents ou
aux avant-gardes, mais on en trouve partout ! »
À commencer par le site Internet dédié à
Umberto Eco et sur lequel on peut lire la
liste de ses romans, de ses essais, de ses distinctions universitaires, des prix littéraires
qui lui ont été décernés. Un ensemble impressionnant de noms, de citations, de titres
qui jalonnent le parcours d’un intellectuel
qui définit ainsi son activité : « Je m’ennuie
lorsque je ne fais pas plusieurs choses à la fois. »
Le grand public a découvert son nom à l’occasion de la publication du Nom de la rose,
polar médiéval fondé sur ses concepts sémiologiques et ses théories du langage. Le Pendule
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de Foucault, son second roman suscite le même
engouement, fondé cette fois sur une dénonciation de l’ésotérisme. L’idée d’être devenu
à 50 ans une star de la littérature mondiale
amuse aujourd’hui encore Umberto Eco.
Non pas qu’il rejette l’idée même d’être lu par
le plus grand nombre. Mais c’est que, dit-il,
« en devenant un écrivain contemporain, je me
suis détaché du présent. Je ne lis plus d’auteurs
contemporains, je préfère me tourner vers ceux
des XVIIIe ou du XXe siècle. Ce n’est pas une
question de mépris, c’est simplement parce que
je veux me protéger, me préserver d’éventuelles
influences littéraires. »
Citoyen d’un monde fondé sur la connaissance, Eco arpente les registres de l’histoire
au même titre qu’il explore la planète. Le
voici par exemple devant la Joconde. Non
point celle du Louvre, mais celle du Palace
of Living Arts de Buena Park, non loin de
Los Angeles. Mona Lisa est figurée ici en
trois dimensions avec, assis en face d’elle,
Léonard de Vinci. Ce qui chez d’autres aurait suscité le ricanement, provoque chez
Eco cette réflexion lucide. « Ce palais des
arts vivants, dit-il, n’est pas là pour tromper
le visiteur. Sa devise pourrait bien plutôt se
résumer ainsi : “Nous vous donnons la reproduction pour que vous n’ayez plus besoin de
l’original.” » Ainsi une vérité est-elle posée
qui donne au faux ce qu’il est aussi, à savoir
le statut du vrai. Jeu de miroirs ? Pas seulement. Car pour Umberto Eco il s’agit de dé-
busquer du sens « là où on ne serait porté à ne
voir que des faits ». On ne saurait mieux définir le rôle de l’intellectuel, cette vigie qui
sonde les profondeurs du monde mais qui
sait tout aussi bien brasser son écume. Dans
les années 60, Umberto a ainsi fréquenté les
membres du Groupe 63, pourfendeurs de la
communication de masse et partisans d’une
littérature expérimentale. Il s’est également
rapproché du Gruppo T, regroupant des artistes (notamment G. Anceschi, D. Boriani
ou G. Colombo) dont les œuvres étaient
fondées sur des recherches cinétiques. À
quoi il faut ajouter, pour parfaire ce portrait, ses propres travaux sur la scolastique
médiévale, sur l’art et l’avant-garde (dont
témoigne l’un de ses ouvrages majeurs,
l’Œuvre ouverte), sur la sémiotique, ou sur
la théorie de la réception (Les limites de
l’interprétation). À la différence de Picasso
qui affirmait « je ne cherche pas, je trouve »,
Umberto Eco, lui ne cesse de chercher pour
décrypter – et au bout du compte, il trouve,
lui aussi !
En somme, Umberto Eco est un homme
moderne qui passe sa vie dans les temps anciens. On le sait passionné par la bibliophilie.
Il affirme posséder 1 200 volumes précieux et
rares. Il en a bien entendu dressé la liste et,
mieux encore, pour chacun, établi une fiche
décrivant en détail tous les éléments se rapportant à l’ouvrage en question. Mais parlezlui d’Internet. Avec le même élan, il évoque
« cette grand-mère de toutes les listes » dont les
tentacules se répandent sans discernement.
« Internet, dit-il, ne filtre pas. Ce n’est pas un
instrument de culture. La culture est un instrument de conservation mais c’est également
un élément de filtrage. Internet ne filtre rien,
ne discerne rien. » Pessimiste, Umberto Eco ?
Là n’est pas la question. Umberto Eco est un
guetteur. Il faut l’écouter.
Bernard Géniès
De l’Antiquité
à l’art contemporain
exposition - du samedi 7 novembre 2009 au lundi 8 février 2010 - aile Denon
Alors que dans les départements antiques du musée des accrochages sont organisés sur le
thème de la liste, dans la salle des arts graphiques de l’aile Denon une exposition explore
ce même thème à travers des œuvres anciennes et contemporaines. Entretien avec MarieLaure Bernadac, commissaire de Mille e tre.
Bernard Géniès - Mille e tre, d’abord, pourquoi
ce titre ?
Marie-Laure Bernadac - Comme on le sait,
il s’agit d’une citation du Don Giovanni de
Mozart. On se souvient que Leporello apprend
à Elvire que son maître Don Juan a eu en
Espagne mille et trois maîtresses. Cette allusion
s’inscrit tout à fait dans le propos de notre exposition puisque celle-ci évoque la question de la
liste, et qu’elle a un arrière-plan politique.
B.G. - Comment avez-vous exploré ce thème ?
M.L. Bernadac - Avec passion ! Ce sujet est
idéal sous tous les rapports, tant du point de
vue de l’art que de la littérature et du musée
lui-même. Il est à l’évidence très représentatif
de la pensée d’Umberto Eco mais il se révèle
également un très beau prétexte d’investigation
pour tous les départements du musée. Le propos pourrait être infini. Aussi, avons nous choisi
de procéder en deux temps. Durant toute la durée de l’exposition, un certain nombre d’œuvres
significatives seront signalées dans le parcours
du musée. Il faut rappeler en effet que la notion de liste apparaît dès l’Antiquité, comme en
témoignent les plaquettes mésopotamiennes.
En Égypte, la liste accompagne aussi le défunt
dans sa tombe à travers les noms retranscrits
de divinités, de batailles ou de dynasties. Au
Moyen Âge, ce sont les livres d’heures qui, sous
la forme d’abécédaires – dont nous montrerons
plusieurs magnifiques exemples – véhiculent ce
principe de l’énumération.
B.G. - À partir de quel moment l’art
s’empare-t-il véritablement de ce thème ?
M.L. Bernadac - La véritable rupture se
produit au moment où la liste est associée à la
notion même d’oeuvre d’art. Nous exposerons des listes établies par des peintres comme
Eugène Delacroix, Johan Barthold Jongkind
ou Théodore Rousseau. Mais ces notations
relèvent encore de l’anecdote ; ainsi, lorsque
Jongkind par exemple dresse la liste des départements français ou lorsque Delacroix note
des noms de couleurs. C’est au XXe siècle que
les artistes vont donner à la liste un statut artistique. En France, dès le début des années 70,
la notion de mythologie personnelle va s’imposer à travers un certain nombre de travaux :
on connaît par exemple les Albums-collections
d’Annette Messager et ses abécédaires, à
l’image de celui des Enluminures qu’elle réalise en 1988. Christian Boltanski quant à lui a
travaillé à partir de listes telles celles des Suisses
morts ou des Pensionnaires de la villa Medicis.
Gérard Collin-Thiébault, Paul-Armand Gette
s’inscrivent également, parmi d’autres, dans
cette démarche. Les artistes américains comme
Richard Serra, John Baldessari, Laurence
Wiener vont quant à eux mettre en avant des
éléments plus pragmatiques, des mots d’ordre,
des « modes d’emploi » de l’œuvre d’art, etc. Il
ne faut pas oublier non plus, dans cet ensemble,
les représentants du Land Art anglais, comme
Richard Long ou Hamish Fulton. Nous exposerons aussi des œuvres de jeunes artistes
contemporains, tels Dora Garcia ou Ryan
Gander. Sans oublier d’autres grands noms
comme Louise Bourgeois, Claude Closky et
Maurizio Cattelan.
M.L. Bernadac - J’ai eu l’idée de solliciter
Christian Boltanski et Jacques Roubaud qui
avaient déjà travaillé ensemble sur un ouvrage (Ensembles). À l’occasion de l’exposition,
Boltanski a imaginé une liste mêlant la notion
de célébrité et d’anonymat : il a mélangé les
noms de l’ensemble des artistes présents dans
les collections du Louvre avec ceux des 2 000
personnes qui travaillent aujourd’hui au musée. Il a aussi créé une série de photomontages
qui assemblent des visages d’artistes et ceux des
membres du personnel du Louvre. De son côté,
Jacques Roubaud a recréé, toujours à partir des
noms, un corps de listes thématiques aux tonalités ludiques.
Mille e tre. Commissaires de l’exposition : MarieLaure Bernadac et Pascal Torres-Guardiola. Salle
33, Arts graphiques. Des œuvres des départements
des Antiquités orientales et des Antiquités
égyptiennes sont également mises en lumière dans
leurs salles.
Les Habitants du Louvre
Coédition musée du Louvre/Dilecta. 112 p., 18 €.
Parution le 28 octobre 2009. Signature par Christian
Boltanski et Jacques Roubaud, le 16 novembre à
18h30 à la librairie du Louvre.
5
Trésors
et collections
«Œuvres ouvertes»
Umberto Eco et la scène
italienne des années 1960
cycle de conférences à 18h30 - auditorium
suivies d’une discussion avec Umberto Eco
I
colloque - samedi 14 novembre 2009 - auditorium
nventaires, nomenclatures, dénombrements, « pyramides de
choses précieuses » ou collections
de curiosités ne témoignent pas seulement du goût d’une époque. Audelà, ces accumulations plus ou moins
ordonnées dénotent une orientation
de l’esprit, un mode d’appropriation
de l’univers sensible, des principes de
regroupement qui nous renvoient au
domaine de l’épistémologie. En outre,
« l’art du rangement » touche de près
aux « arts de mémoire ». Analyser les
procédés de sélection, la mise en scène
des Mirabilia, leur localisation et leur
agencement dans un espace spécifique,
site ou réceptacle, c’est confronter les
éléments d’une généalogie qui relie
le thesaurus, la « Chambre des mer-
veilles » et le musée moderne. Qu’il
s’agisse des trésors médiévaux, du livre
envisagé comme « musée virtuel » à la
Renaissance, des objets narratifs qui
saturent l’espace dans les tableaux de
Brueghel l’Ancien, ou du retentissement de la Wunderkammer de l’époque
baroque dans l’imaginaire historique
des XIXe et XXe siècles, on interrogera les métamorphoses d’un phénomène qui intéresse autant l’histoire
de la culture que la théorie du savoir,
et dont les manifestations laissent
affleurer souvent la somme d’émerveillements, mais aussi d’inquiétudes
et de perplexités que la forme et la
nature du monde ont inspirées à nos
prédécesseurs.
Monica Preti-Hamard
Lundi 9 novembre
Vertige de la Liste :
inventaires de trésors du Moyen Âge
par Jannic Durand, musée du Louvre.
Lundi 16 novembre
Pieter Brueghel l’Ancien
et ses « collections de savoirs »
par Omar Calabrese, université de Sienne.
Lundi 23 novembre
Le monde comme inventaire.
Listes et index à la Renaissance
par Anthony Grafton, Princeton University.
Lundi 30 novembre
La Wunderkammer a-t-elle existé ?
Inventaire d’un mythe
par Patricia Falguières, EHESS, Paris.
Hartmann Schedel, Les êtres monstrueux,
Liber chronicarum. Nurembergae, 1493, BNF © BNF
L’Œuvre en scène
B
mercredi 25 novembre 2009 à 12h30 - auditorium
-
6
Bernard Palissy, Plat ovale, vers 1580, terre vernissée,
musée du Louvre © RMN/Jean-Gilles Berizzi.
ernard Palissy, céramiste de
génie au service de la cour
de France, obtient en 1563 le
titre d’« inventeur des rustiques figulines du roi ». Présentés sur la scène de
l’auditorium, un plat et une aiguière
du Louvre sont commentés par des
spécialistes et filmés en direct. Leur
image dynamique, projetée en temps
réel sur grand écran, leur fait écho. Ce
dispositif permet ainsi de visualiser
les détails les plus fins, d’analyser les
techniques élaborées par Palissy, mais
aussi d’expliquer la fascination qu’ont
pu susciter ces œuvres.
Grouillant de couleuvres, lézards,
grenouilles et autres coquillages, ces
céramiques ne mettent pas seulement
en scène un monde animal, végétal
et minéral stupéfiant de naturalisme
grâce à l’utilisation de la technique
du moulage sur le vif et à la finesse
des glaçures transparentes colorées.
Une telle « fossilisation » des éléments témoigne également de la volonté d’imitation de la nature telle
qu’elle se manifeste à la Renaissance
européenne.
Les « rustiques figulines »
de Bernard Palissy
par Françoise Barbe, musée du Louvre,
et Anne Bouquillon, Centre de recherche
et de restauration des musées de France.
D
epuis les débuts de sa carrière d’intellectuel, Umberto Eco voyage avec
une aisance vertigineuse entre ses
passions de médiéviste – pour la scolastique,
pour les préoccupations esthétiques de Thomas
d’Aquin, entre autres – et une immersion de
plain-pied dans la vie artistique de son époque.
Dans la société italienne de l’après-guerre s’affirmait un nouveau désir d’avant-garde, d’inédit. C’est au contact d’artistes tels que Lucio
Fontana, Alberto Burri, Piero Manzoni, et
le jeune Gruppo T, qui expérimentait l’intégration du temps et de la participation dans
l’œuvre, qu’Eco a forgé sa théorie moderniste de
« l’œuvre ouverte », avant de publier l’ouvrage
du même titre en 1962, traduit depuis dans le
monde entier. Si Eco, par la suite, en a nuancé et
critiqué les termes, c’est au profit de la rigueur
de l’aventure sémiotique qui l’occupa dans les
années 1970. L’Œuvre ouverte, le premier opus
qu’Umberto Eco consacre en 1962 à l’art de son
temps, propose une généalogie de la modernité.
Ce célèbre essai critique se fait aussi l’écho d’une
phase de création intensive dans l’art italien de
sa génération : le matiérisme et l’informel d’un
côté, l’art « programmé » de l’autre, donnent
à penser l’œuvre comme processus temporel,
« champ d’événements » ouvert au hasard d’un
devenir accidentel. Évolutive, aléatoire, la composition n’est plus une mais multiple : elle se diffracte en un ensemble de données mobiles.
On mesure l’apport aussi raffiné que méconnu
de l’avant-garde italienne à l’histoire d’un « art
de l’information » qui, traversant toute l’Europe dans les années 1960, est perçu aujourd’hui
comme une anticipation de la culture numérique, de son esthétique et de ses modes opératoires. À Milan, le mouvement porte le nom de
Gruppo T, à Padoue de Gruppo N, les équivalents italiens du GRAV et de François Morellet
en France. Dans le domaine poétique, c’est le
Gruppo 63, dont Nanni Balestrini est l’auteur le
plus radical, confiant dès 1961 la fabrication de
ses poésies à un ordinateur. Le débat réunit des
protagonistes de ce mouvement ainsi que des
grandes personnalités de la critique d’art qui repensent aujourd’hui l’histoire de l’abstraction et
avec elle l’histoire de l’œuvre comme série, environnement, programmation.
Marcella Lista
Gianni Colombo, Strutturazione fluida (Structuration fluide), 1960
Aluminium, acier, verre et moteur électrique.
Museo di Arte Moderna e Contemporanea di Trento e Rovereto, Fondation VAF.
44,5x34x14,5 cm. © Archivio Gianni Colombo, Milan
Closky, Eco & Co
soirée d’art contemporain - Faces à faces
vendredi 13 novembre 2009 à 20h - auditorium
Récréations
Dans des œuvres textuelles telles que Marabout, Les 10 premiers chiffres en ordre alphabétique, Hydrastar, le travail de l’artiste Claude Closky s’emploie à détourner avec une subtile
ironie les procédés d’inventaire, de classification, d’énumération. Une critique sur le mode
récréatif qui perturbe les systèmes d’information et le langage simplifié du marketing.
Listes, séquences ouvertes, catalogues d’images, cette soirée ouvre le dialogue entre l’artiste
et le sémiologue, entrelace textes et projections.
Lectures par Claude Closky, Umberto Eco et Donatienne Michel-Dansac. Projections de
John Baldessari, Robert Barry, Robert Breer, Martha Rosler, Paul Sharits, …
Première de l’œuvre de Claude Closky, Les miens/Biennales, éditions Al Dante, 2009.
14h - Le temps des « œuvres ouvertes ».
Introduction par Umberto Eco.
14h30 - Informel et matiérisme : l’abstraction en
Italie dans les années 1950-1960, par Peter Weibel,
Zentrum für Kunst und Medientechnologie,
Karlsruhe.
15h - Projection. Une sélection d’œuvres et de documentaires sera présentée, parmi lesquels : Vincenzo
Agnetti et Gianni Colombo, Vobulazione e bieloquenza, 1970, vidéo NB, 10 min.
15h30 - Combinatoire et somatique : expériences du Gruppo T, par Giovanni Anceschi,
designer et théoricien, Istituto Universitario di
Architettura e Arti Visive, Venise (IUAV).
16h - Poésie Programmée, lecture et performance par Nanni Balestrini, écrivain, dessinateur
et poète, Rome.
16h30 - « Nouvelles Tendances » : l’art programmé et la théorie de l’information, par
Margit Rosen, historienne de l’art, Karlsruhe.
17h - L’espace participé : Gianni Colombo et l’art
programmé, par Carolyn Christov-Bakargiev,
commissaire de « Documenta 13 », Kassel.
17h30 - Actualité des « œuvres ouvertes » : une
poétique de l’œuvre comme liste ?
Débat avec Hubert Damisch et Patricia Falguières,
École des hautes études en sciences sociales.
Dans le cadre de cette programmation, l’Institut
culturel italien de Paris, accueillera, le 4 novembre
à 18h30 une conférence par Umberto Eco, en présence de l’artiste Gabriele de Vecchi, et, du 4 au 20
novembre, l’exposition de l’œuvre du Groupe T,
Grand Objet Pneumatique, Environnement
à volume variable, 1959-1960, réalisée avec le
soutien de Enel France.
Renseignements et réservations : 01 44 39 49 39.
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Tentative d’épuisement
de l’œuvre de Georges Perec
« Je cherche en même
temps l’éternel et l’éphémère »
Des mots, des sons,
des images
Cérémonie sous la Pyramide
lectures - lundi 16 novembre à 20h30 - auditorium
Résultat d’une contrainte volontaire ou
proposition littéraire en soi, chez Perec, la liste est
moteur du récit, parfois son essence même. Dans
la première partie de la soirée, les membres de
l’OuLiPo, amis et compagnons de Perec se prêtent
à l’exercice de la « liste », contrainte associée
à Perec et à Eco. Dans la seconde partie, Carole
Bouquet lit un montage de textes tirés de l’œuvre
de Perec, en particulier de la Vie mode d’emploi et
de Tentative d’épuisement d’un lieu parisien.
Qui était Georges Perec
S
on premier livre, les Choses (Prix Renaudot
1965), l’a immédiatement fait reconnaître
comme écrivain ; il s’inscrit dans la lignée
du réalisme classique, directement inspiré de
Flaubert (qui est d’ailleurs pastiché dans plus d’un
passage) et présente une « histoire des années 60 »
en évoquant l’emprise des objets dans la société
dite de consommation ; il raconte l’éducation
d’un jeune couple d’étudiants en sociologie,
leurs rêves de luxe et leur apprentissage de la
désillusion, avec le ton d’un constat précis apparemment neutre mais plein d’une ironie sans méchanceté où toute une génération s’est reconnue.
Avec une intuition très sûre, Perec décida de « ne
jamais écrire deux fois le même livre », et se lança
dans l’exploration de contraintes formelles qui
lui paraissaient susceptibles de stimuler sa « racontouze », préférant une avancée en zigzag (ce
qu’il appelle la « polygraphie du cavalier » dans
le jeu d’échecs). Auteur prolifique, il publie en
quinze ans une vingtaine d’ouvrages en effet tous
différents, qui lui donnent une place à part dans
l’espace littéraire, et une réputation d’artisan virtuose des mots. La Disparition (1969), roman de
320 pages qui se prive de la lettre « e », constitue
un « chef-d’œuvre » au sens artisanal. Membre
de l’OuLiPo, Perec a composé un grand nombre
de textes à contraintes, ainsi « What a man ! »
dont la seule voyelle est le « a » (« Passant par
là, pas par hasard, marchant à grands pas, bras ballants, Armand d’Artagnan, crack pas bancal, as à
la San A, l’agrafa… »). Ces exploits techniques
8
spectacle - mardi 1er décembre à 20h - sous la Pyramide
Yuksek
En quelques mois, ce jeune DJ, remixer
et producteur rémois, est devenu l’un des
chefs de file de l’électro internationale. Le
sampling est en soi une apologie de la liste ;
la démarche musicale de Yuksek en est la
démonstration la plus réjouissante.
Accompagné sur scène d’une dizaine de
musiciens, il conclura cette soirée
exceptionnelle avec un concert encore inédit.
© 2009 musée du Louvre/ A. Dequier
n’entraînent pas l’adhésion de tout le monde, et
paraissent parfois puérils. Pourtant, en dehors du
pur plaisir du jeu, ils peuvent surprendre le somnambulisme ordinaire, et, par un « pas de côté »,
aider à voir ce que l’habitude nous masque, voir
« l’infra-ordinaire » que nous avons pourtant
sous les yeux tous les jours.
Ils peuvent aussi contribuer à élaborer un « roman » total, la Vie mode d’emploi (Prix Médicis
1978), présentant un immeuble parisien dont
on aurait ôté la façade et dont les chapitres
raconteraient chacune des pièces, avec ses habitants, ses décors, ses histoires, selon un processus
réglé (la « polygraphie du cavalier » étendue à
un échiquier de 10x10) avec une programmation
des éléments répertoriés dans des listes préalables contenues dans un « Cahier des charges »
dont la lecture donne le vertige. Mais ce qui est
le plus étonnant, c’est qu’on peut très bien lire
l’ensemble du texte sans soupçonner une seconde un agencement aussi réglé, et prendre
un plaisir simple à suivre les aventures prodigieusement variées de ces personnages en quête
d’impossible. Ce gros livre plein d’inventaires
de toute espèce substitue à la logique temporelle
des romans habituels une organisation spatiale
telle qu’on devrait pouvoir d’un seul coup d’œil
voir tous les personnages et toutes leurs histoires
présents dans un seul tableau.
Les contraintes formelles ont encore un autre
effet : en 1975, Perec a publié W ou le souvenir
d’enfance, tentative pour composer une autobi-
ographie improbable, la sienne, celle d’un enfant
orphelin privé de souvenirs et de transmission.
L’étrange agencement du livre, en des ensembles
distincts, d’une typographie différente, bribes de
souvenirs, pseudo-roman à la Jules Verne, récit
d’enfance à Villard-de-Lans, description de l’île
W, brise la continuité factice d’une recomposition biographique, et rend sensible le scandale
du silence des parents, de l’absence de mémoire
et l’indicible horreur des camps. Ici encore, il
était impossible de dire directement ce que seul
le recours à des contraintes permet d’évoquer,
de biais, en rendant manifestes les cassures, les
blancs. Il est difficile d’évoquer avec plus d’acuité
l’impossibilité d’un deuil.
Cela a sans doute à voir, aussi, avec quelque chose
que j’appellerais la pudeur, au sens d’une décence
essentielle face aux choses de la vie et de la parole,
et qui caractérise la voix de Georges Perec.
Jean-Yves Pouilloux
Sous le même titre, Vertige de la Liste, un livre
composé d’une anthologie de listes réunies et
largement commentées par Umberto Eco et illustré
par des œuvres du Louvre et d’ailleurs, paraît le
28 octobre. Il accompagne et complète la réflexion
que mène Umberto Eco au Louvre sur ce concept
étonnamment riche de « liste ».
Coédition musée du Louvre / Skira Flammarion,
408 pages, 39 €. Traduction Myriem Bouzaher.
Signatures le 13 novembre à 18h et le 25 novembre
à 18h à la librairie du Louvre.
Rodolphe Burger
Ancien leader du groupe Kat Onoma,
Rodolphe Burger émancipe le rock de ses
frontières primitives en allant à la rencontre
d’autres formes musicales, théâtrales,
cinématographiques. Avec sa guitare et ses
samplers, il mettra en musique ce grand
spectacle littéraire sous la pyramide.
Felix J., Abd El Haq et Franco Mannara
Compositeur-arrangeur, Franco Mannara
se plait à triturer avec virtuosité les sons et
les mots de ses partenaires de jeu. En trio
avec Félix J. et Abd El Haq, deux représentants emblématiques de la scène slam
parisienne, il aborde l’exercice de la liste avec la
créativité et l’énergie des cultures urbaines.
Vendredi 27 novembre 2009 de 19h à 21h
Lectures sonores
Parcours de performances littéraires dans les
salles du musée conçu par Ludovic Lagarde
et Émilie Rousset avec des textes réunis par
Umberto Eco.
Équilibristes de la parole, une douzaine
de comédiens et slameurs font entendre des
listes extraites du panthéon de la littérature
mondiale. Le parcours fera la part belle aux
salles flamandes et aux œuvres qu’Umberto
Eco a choisies.
Dans le cadre des nocturnes du vendredi.
R
encontre au sommet sous la
Pyramide : pour marquer en
beauté le terme de l’invitation
faite à Umberto Eco, musique et sons, voix
et images sont convoqués le temps d’une
soirée festive. C’est à Ludovic Lagarde qu’a
été confiée la mise en scène de cette cérémonie d’un soir. Directeur de la Comédie de
Reims, Lagarde est un explorateur. Metteur
en scène de Bertold Brecht, Gertrude Stein,
Edward Bond, il a collaboré, entre autres,
avec la chorégraphe Odile Duboc, le compositeur Pascal Dusapin et des musiciens
comme Rodolphe Burger. En 1997, sa mise
en scène du Colonel des zouaves, d’après un
texte de l’écrivain Olivier Cadiot, marque
une étape déterminante dans son parcours.
Explorateur donc, mais aussi « mélangeur », Lagarde élabore des combinaisons
entre voix, rythmes, mouvements, sons et
lumières.
Pour la « Cérémonie de la liste », il a conçu
un dispositif à cette image. Une installation
vidéo de Cédric Scandella, la présence de
deux scènes pour les comédiens (parmi
lesquels bon nombre viennent du collectif artistique de la comédie de Reims, tels
Laurent Poitrenaux, Valérie Dashwood)
et des musiciens, à quoi viendra s’ajouter,
en seconde partie de la soirée, un concert
de Yuksek, jeune star électro de la scène
rémoise : le dispositif prévu n’entend pas
créer de contrainte pour le spectateur.
Celui-ci pourra se déplacer à son gré sous
la Pyramide, des espaces bars ayant même
été prévus. Sur l’une des scènes encadrant
l’installation vidéo de Scandella – installation où l’on pourra notamment prendre
connaissance d’informations les plus diverses, transmises via Internet en temps réel
–, des comédiens liront des textes choisis par
Lu dovic Lagarde et Umberto Eco. Parmi
les auteurs retenus : Homère, Victor Hugo,
James Joyce, Roland Barthes, Olivier
Cadiot, Georges Perec et, bien entendu,
Listing cérémonie. © Cédric Scandella, Comédie de Reims, 2009.
Eco lui-même. Installations musicales, polyphonies vocales, samplings se mêleront
aux textes, manière de donner aux mots un
autre sens, une autre direction.
Au-delà, cette « Cérémonie » se veut une
rencontre entre Umberto Eco et une personnalité de la scène. Synthèse de tous les
événements et manifestations qui, au sein
du musée, auront marqué l’invitation faite
à l’écrivain italien, la soirée se veut également la concrétisation d’une évidence :
celle de la force du texte, de ses énumérations dont il entend faire « un objet »
préhensible. Ludovic Lagarde affirme
encore s’appuyer sur « les pouvoirs de la
littérature » pour donner forme au thème
de la liste (ici : les listes de textes, mais aussi,
pour certains : les listes dans le texte). Le
lieu, « impressionnant, émouvant », selon ses
propres mots, ne lui est pas indifférent. La
Pyramide est « l’emblème du musée », ditil, et en même temps, sous son espace, se
déploie une véritable agora dans laquelle
il entend faire résonner une autre histoire.
Une histoire d’aujourd’hui.
B.G.
« Listing cérémonie »
Spectacle mis en scène sous la pyramide par
Ludovic Lagarde
Collaboration artistique Umberto Eco
Musique live Rodolphe Burger et Yuksek
Création vidéo Cédric Scandella
Avec Valérie Dashwood, Pierre Baux, Laurent
Poitrenaux, Chrystel Tual, Camille Panonacle,
Samuel Réhault, les jeunes comédiens du
Collectif artistique de la Comédie de Reims, les
slameurs Félix J. et Abd El Haq, le musicien
Franco Mannara, et des étudiants de l’Ecole
d’Art et de Design de Reims.
Coproduction musée du Louvre,
Comédie de Reims.
Avec la participation de Canal 93, Bobigny
9
Sonate
Une Chambre des merveilles
et des Lumière
Cinéma
concerts - auditorium
vendredi 6 novembre à 20 h - jeudi 19 novembre à 12h30
vendredi 25 novembre à 20h
ou liste ?
du mercredi 4 novembre au lundi 14 décembre - salle audiovisuelle
B.G. - Qu’entendez-vous par « Chambre des
merveilles » ?
Pascale Raynaud - Précédant les cabinets de
curiosités, les chambres des merveilles sont à
l’origine des musées. Élaborées par les princes
maniéristes du XVIe siècle, ces chambres écrins
traduisent le plaisir de posséder des objets et la
nécessité de mémoriser des lieux, des événements pour transmettre, éduquer. Pour Patricia
Falguières ces « lieux des lieux », renvoient à
une « logique du mémorable ».
B.G. - Que propose, pendant six semaines,
la « Chambre des merveilles » du Louvre ?
P. R. - Du Cinématographe ! Dans lequel
les chambres des merveilles trouvent un
curieux prolongement. Le dispositif cinématographique semble en effet un étonnant écho aux présentations élaborées des
Wunderkammern qui, par les cadres et les montages, tendaient au récit ou à l’illusion. En projetant vues documentaires et fictions des années 1895 à 1908, la Chambre des merveilles
souligne ainsi le lien qui relie inventaire et com-
position, mémoire et invention, énumération
et narration.
B.G. - Le « Vertige de la Liste » saisit donc aussi
le Cinématographe.
P. R. - Oui, et ce dès 1895, car son premier geste
est d’opérer un inventaire fabuleux, effréné et
conquérant du monde, comme en témoignent
les catalogues Lumière : vues orientales ou de
France, métropoles, vues maritimes, chemins
de fer, rois et reines, danses, etc. Ces centaines de
vues de moins d’une minute, réalisées par Louis
Lumière et ses opérateurs, constituent un patrimoine documentaire précieux en même temps
qu’elles sont le témoignage de la naissance du
langage cinématographique. Elles proposent
parfois un véritable récit en un seul plan, l’arrivée
d’un train en gare par exemple. Peu à peu elles
vont s’agréger et leur durée va s’allonger. Des
visionnaires, comme Georges Méliès, vont
s’emparer du dispositif pour s’aventurer au-delà
du récit, vers l’illusion.
Avec le concours de l’association Frères Lumière
et de Lobster Films
Trois questions à
Laurent Garnier
Électrons libres
Entretien avec Pascale Raynaud,
commissaire de la « Chambre
des merveilles ».
Les Cris de Paris © Julie Gallet.
À
Cornelis de Baellieur (1607-1671) : intérieur d’une galerie de tableaux et
d’objets d’art, huile sur bois, 1637, musée du Louvre, MI699
© RMN / Hervé Lewandowski
Le compositeur et DJ star investit l’auditorium le
temps de deux soirées mêlant cinéma et musique
pour « Inventaire avant disparition ».
projection-concert - samedi 12 décembre à 20h30 et dimanche 13 décembre à 16h
auditorium
B.G. - Vous êtes un habitué du Louvre ?
Laurent Garnier - Je suis en train de le devenir en effet
puisque j’ai déjà eu l’occasion de présenter, en collaboration avec les équipes du musée, un travail sur les
archives filmées Albert Kahn. C’est ce programme que
je reprends dans « Électrons libres ».
© Nick Ivins
10
B.G.- Comment avez-vous procédé ?
L. Garnier - Je fais comme au cinéma ! C’est-à-dire
que je choisis des musiques destinées à accompagner
des images. Ma play-list pour ce travail est composée
d’environ 280 extraits : parmi d’autres, il y a John Lee
Hooker, Charles Trenet, de la musique concrète, de la
musique électronique, des morceaux que j’ai composés
ou de la new wave.
B.G. - Comment articulez-vous ces choix ?
L. Garnier- Les images sont celles d’univers dont la
plupart ont disparu. Pour le spectateur, le film est
donc une sorte de voyage dans l’espace et dans le
temps. Ma play-list est par conséquent une invitation
à l’aventure. Il ne s’agit pas pour moi de me substituer au propos du film. Bien au contraire, je dirais
que ma sélection musicale est là pour en souligner les
différentes séquences, telles ces images sublimes de
mer ou de danses filmées en Extrême-Orient. Parfois
c’est une scène précise qui peut m’inspirer, parfois
c’est une lumière ou un dégradé de tons. Tout se décide pour moi dans l’instant.
Avec le concours du musée départemental Albert-Kahn
Les jeunes voix de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris, le pianiste David Kadouch et les Cris
de Paris, sous la direction de Geoffroy Jourdain, sont invités à l’auditorium pour illustrer, à
leur façon, le thème du « Vertige de la Liste »
l’époque où, en Occident, parvint à
maturité le système tonal, les compositeurs usaient de trois structures
antagoniques dont pas une ne brise le cadre :
la fugue, la sonate, la variation. La fugue,
exercice savant qui consiste à finir sans sueur
une tresse compliquée. La sonate, qui incarne
dans le développement d’un thème générateur
la forme par excellence. Et les variations, qui
pourraient tenir de la liste, mais en fait, craignent l’et cetera illimité dont parle Umberto Eco
et rentrent presque toujours dans le giron de la
structure. Même l’exemple le plus nu de la variation, le Boléro de Ravel, dont varient les timbres
mais non les notes, a la forme dans le sang. La
forme orgasmique du crescendo.
Umberto Eco fonde la démonstration du
« Vertige de la liste » sur l’Iliade, dont il distingue deux moments : la description du bouclier
d’Achille qui termine le XVIIIe chant, et le catalogue exhaustif des vaisseaux, peuples et chefs
qui occupe une bonne partie du IIe. Le bouclier
où Héphaïstos a gravé le cosmos et dont le disque
parfait assure l’intégrité. Le catalogue, dépourvu
de sens dramatique et de tout dessein. Dès ses
premières heures, la musique occidentale a connu pareil antagonisme. Ici la messe, forme close
de source divine ; là les litanies, ruban oral, forme
ouverte à visage humain (celui de la Vierge en
l’occurrence). Selon Umberto Eco, ces types
universels opposeraient deux idéaux. L’un appartiendrait aux sociétés de la forme, bâtisseuses
et rigides, l’autre aux sociétés de la liste, béantes et
libres. On pourrait dire que, par essence, la musique triomphe dans les sociétés de la forme, que
l’énumération lui est étrangère. Voyez les œuvres
dont le vertige de la liste est le sujet même. Au
hasard, l’air du Catalogue de Don Giovanni (640
en Italie, 230 en Allemagne, 100 en France, 91
en Turquie, 1003 en Espagne) et la Complainte
du progrès de Boris Vian (un frigidaire, un joli
scooter, un atomixer, du Dunlopillo, une cuisinière avec un four en verre, des tas de couverts
et des pell’à gâteaux…). Aria bipartite, chanson à
refrain : quoi de plus formel ? Le texte dit liste, la
musique dit forme.
Conclurons-nous que notre art résiste tout entier à l’hypothèse d’Eco ? Eh ! pas si vite. Ce
ne sont pas seulement des systèmes et des idées
qu’oppose le théoricien, mais des sociétés. Alors
suivons-le. Confrontons une société de la musique formelle et une société de la musique ouverte. Vous devinez ? Un petit effort…
L’Allemagne et la France, bien sûr. L’Allemagne
disciplinée, patrie de la sonate. La France insouciante, berceau de la suite. Hâtif, direz-vous :
la sonate ne vient-elle pas d’Italie ? Sans doute,
mais jusqu’au XXe siècle les esthètes se sont battus pour et contre les sœurs ennemies : à l’est
la sonate et sa noble famille (la symphonie, le
quatuor…), à l’ouest la suite et son joyeux cortège (les « livres », le ballet…). De Marin Marais
à Darius Milhaud, nous avons fait des suites, des
galeries de portraits, des recueils de sensations.
La flânerie plutôt que la marche, les fenêtres
plutôt que le mur.
Du coup, tandis que l’Allemagne traquait
l’humain, nous collectionnions les animaux.
Quel meilleur candidat au catalogue que
l’animal ? Du Rossignol vainqueur ou en amour
de Couperin (extrait d’une suite) au Bestiaire de
Poulenc et d’Apollinaire, du Carnaval de SaintSaëns au Catalogue d’oiseaux de Messiaen, la musique française a répertorié les bêtes. L’animal
n’étant pas ici l’autre mais soi fugitif. Un être
libre d’humanité. Le couple francophile BerioBerberian interpréta dans son style le jardin zoologique à la française en demandant à Umberto
Eco de lui fournir une liste d’onomatopées venues de la BD. Ce qu’Eco fit – les jeunes voix de
l’Atelier lyrique nous le rappellent.
Ivan A. Alexandre
Les Cris de Paris, Geoffroy Jourdain, direction.
Avec deux créations mondiales : HSESTTL
(commande du Louvre) et Asmarâ de Jean-Louis
Florentz. Le 6 novembre à 20h.
David Kadouch, piano (Haydn, Wagner/Liszt,
Moussorgski). Le 19 novembre à 12h30
Solistes de l’Atelier lyrique et musiciens de
l’Opéra national de Paris
Berio, Berberian, Weill/Berio, Mc Cartney/Berio.
Le 25 novembre à 20h.
11
Exploration musicale de la littérature :
Berio et Eco à l’œuvre
Lundi 23 novembre à 20h30
auditorium
Eugenio Carmi © D.R.
Vertige en images
Vertige en musique
Deux séances de musique filmée en hommage à deux créateurs, Zbigniew
Rybczynski et Luciano Berio, qui sont, dans des domaines différents, des références
pour Umberto Eco.
Zbigniew Rybczynski :
Vertige dans l’image
Jeudi 19 novembre à 20h
auditorium
présentée par Élise Domenach,
maître de conférences en Études
cinématographiques ENS-LSH
En présence de Zbigniew Rybczynski
et d’Umberto Eco
En collaboration avec
l’Institut polonais
De ses premiers films à l’école de
Lodz en Pologne à ses derniers
clips réalisés à Los Angeles, toute
l’œuvre du réalisateur expérimental polonais Zbigniew Rybczynski
est une exploration, thématique et
technique, du collage, de la liste et
de la répétition, thèmes de prédilection d’Umberto Eco… Un cinéma héraclitéen où l’on ne se baigne
jamais dans la même image. Son
travail s’appuie sur une exploration
systématique des nouvelles technologies alliant cinéma, vidéo, haute
définition et images numériques,
qui selon les films et quelquefois
conjointement, mettent au jour la
systématicité du mouvement cinématographique et sa puissance comique ou sont mis au service d’une
vision poétique du réel.
On retrouve dans de nombreux
films une relation forte de l’image
12
et de la musique, originale ou préexistante, comme dans l’Orchestre,
une réalisation dans laquelle
Umberto Eco salue (in Presque la
même chose) la réussite à livrer une
interprétation visuelle de la musique. Un des trois extraits de l’Orchestre que nous présentons, la
Marche funèbre de Chopin, donne
lieu à une véritable fantasmagorie que Paul Virilio compare à ce
que pourrait être la dernière vision
rétrospective d’un mourant sur sa
vie. Le Boléro de Ravel se présente
comme la montée d’un escalier infini par une variété de personnages
représentant un résumé de tous
les types humains. L’ouverture de
la Pie voleuse de Rossini, filmée
dans la salle Mollien du musée du
Louvre joue, elle, sur la décomposition des personnages à partir du
rythme trépidant de la partition.
Autre exemple de cette revisitation
du patrimoine musical, la mise en
image humoristique des variations du fameux Caprice n° 24 de
Niccolò Paganini.
En complément de ces documents,
cette séance donne l’occasion de
voir ou revoir le classique du courtmétrage qu’est Tango (Oscar du
court-métrage en 1983), construit
sur une accumulation hypnotique
de personnages dans une pièce
– certains y ont vu une métaphore
de la crise du logement qui sévissait alors dans la Pologne des années 80. Un autre court-métrage
accompagne cette séance : Nouveau
livre, split screen de différents points
de vue mettant en scène un livre
qui passe de mains en mains.
Christian Labrande
Nowa Ksiazka / Nouveau livre,
prod. : Se-Ma-For Lodz, Pologne,
1975, 10 min, couleurs, 35mm.
Tango, prod. : Se-Ma-For Lodz,
Pologne, 1975, 8 min, couleurs, 35mm.
Capriccio n° 24, prod. : TVE, Espagne,
1989, 6 min, couleurs, HDTV.
L’Orchestre-extraits, prod. : Zbig
Vision/Ex Nihilo, France, 1990, 57
min, couleur, HDTV.
- Chopin : la Marche funèbre
(extrait de la Sonate n° 2), 12 min.
- Ravel : le Boléro, 17 min.
- Rossini : ouverture de
la Pie voleuse, 10 min.
Séance présentée par Umberto Eco et Martin
Kaltenecker
Quand la télévision allemande a rendu hommage à Luciano Berio il y a quelques années,
Umberto Eco était venu assister à la répétition
d’une des célèbres Sequenze dans le somptueux
auditorium de l’université de Bologne. « Nous
nous connaissons tout de même depuis 1955. C’était
à la RAI de Milan où je travaillais au second étage,
alors qu’au cinquième, il y avait le “Laboratoire de
Phonologie musicale”, voilà comment cela s’appelait. Et là j’ai rencontré des gens comme Stockhausen,
Boulez, c’était un vrai foyer où beaucoup de choses se
passaient. » Une complicité intellectuelle naît aussitôt : si Eco découvre le Cours de linguistique générale
de Saussure dans la bibliothèque de Berio, il lui
communique sa passion pour Joyce, auquel sera
consacré le grand chapitre final de l’Œuvre ouverte
(1961). On se retrouve dans la maison que Berio et la
chanteuse Cathy Berberian habitent Via Moscati, et,
tout en goûtant une « cuisine arménienne fabuleuse »
(Eco dixit), le sémioticien suggère au compositeur
de travailler sur le chapitre des sirènes d’Ulysse, inspiré précisément de la forme musicale de la fugue.
Berio élabore ainsi en 1958 dans son studio Thema
(Omaggio a Joyce), à partir de la lecture en plusieurs
langues (en français par Eco lui-même) d’un texte
ensuite découpé, recombiné, rythmé, produisant
une sorte d’empilement babélien de fugues verbales.
La question qui travaille les deux esprits est donc
celle de la forme – fascination commune pour des
parcours imprévisibles et labyrinthiques, pour l’informel, les allers-retours et les surprises ; rien, chez
Berio, qui se réclamerait du « grand développement » dans la tradition allemande. Mais une autre
problématique surgit : celle de l’ouverture vers
d’autres langages et l’intégration de la culture populaire. Au décodage de la culture de masse chez Eco
à son intérêt pour la narration de la bande dessinée
répond, chez Cathy Berberain, la Stripsody, collection d’onomatopées, et l’utilisation de la voix des
Swingle Singers dans Sinfonia (1986). Il s’agira dorénavant de mélanger les langages. « Berio, dit encore
Eco, était un compositeur particulièrement stimulé par
tous les problèmes culturels de notre temps. Il a toujours
essayé d’établir un lien entre les problèmes proprement
musicaux et tous les courants de notre monde contemporain. Il est important de dessiner de cette manière la
figure du compositeur. »
C’est ainsi qu’a surgi en même temps la question de postmodernité : faire entrer les affects et les clichés de la culture populaire(laSequenzapourtromboneestleportraitd’unclown…),
mélanger les citations de Mahler, le jazz, déconstruire les
formes traditionnelles pouvait apparaître comme une manière de dépasser l’expérimentation moderniste. Plus tard,
dans son Apostille au Nom de la rose (1983), Eco récupérera
Joyce à son profit : « Finnegans Wake est déjà postmoderne, il
requiert, pour être compris, non point la négation du déjà dit, mais
une nouvelle réflexion ironique. » Berio est souvent allé dans ce
sens. Qu’aurait-il pensé de la thématique de la liste, proposée
par son vieux complice au Louvre ? Peut-être aurait-il resongé à son A-Ronne (1975) sorte de madrigal polyglotte où le
poème, répété vingt fois, s’appuie sur trois thèmes : le début, le
milieu, la fin… On va de A à Z, on recommence, une forme
naît de l’épellation.
Martin Kaltenecker
Sinfonia (extrait)
Réal. : Jaap Drupsteen, prod. : NOS, 1999, 15 min.
L’œuvre la plus célèbre de Berio pour son détournement de la musique de Mahler qui éveille une
« multiplicité de références » aboutissant à une sorte
d’histoire musicale miniature où sont convoquées
des références à Bach, Brahms, Boulez, Schoenberg,
Stravinski, Strauss, Stockhausen…
Luciano Berio
Documentaire de Reuven Hecker, prod. : Belshir
International/GA&A/Arte France/ZDF/OFR, 2000,
10 min.
Stripsody et Sequenza III pour voix
Cathy Berberian
Répertoire d’onomatopées de la BD Linus sur un
texte d’Umberto Eco mis en images par le réalisateur
italien Carlo Ippolito.
Krazy Kathy (extrait)
prod. : RTSI, 1993, 10 min.
… Et d’autres archives de la RAI sur Luciano Berio.
RÉTROSPECTIVE RYBCZYNSKI
au cinéma Le Denfert
samedi 21 novembre à 19h.
Organisée par l’Institut polonais et
l’Association française du cinéma
d’animation. Tarif unique: 5 €.
The Orchestra. © Zbigvision
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La
Chambre
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du
7
novembre
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7
novembre
2007
Tarif
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Nord
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40
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Décor
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Escalier
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février
2008
Aile
Sully.
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novembre
2007
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Sully.
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17
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Renseignements
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: 2007 », 17
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17
novembre
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Exposition
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Aile
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: 2008
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2008
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2009.
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A
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Conférence
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dessins/frontière/dessins
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75058
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75058 Paris
Paris
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Tarif
ATarif A
Musique/voyage/musique
-Téléphone
Tarif
ASuivie
Adresse
Adresse
Musique/voyage/musique
Musique/voyage/musique
- Téléphone
30
novembre
à
20h30
Courriel
Téléphone
7
novembre
à
12h30
«Duos
éphémères»
Musique/voyage/musique
AThomas
Courriel Courriel
Thomas
Macho.
Macho.
Closky,Tarif
Eco
&
Co
:
Récréations.
25
novembre
à
20h
7
novembre
à
12h30
«Duos
éphémères»
Courriel
Téléphone
7 novembre
7 novembre
à 12h30
à 12h30
«Duos
«Duos
éphémères»
éphémères»
Musique/voyage/musique
30
novembre
30
novembre
à
20h30
à
20h30
Courriel
L’Œuvre
en
scène
avec Vincent
Vincent
Ségal.
7 novembre
à 12h30
«Duos
éphémères»
Tarif
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Si
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26
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naissance
19
avec
Ségal.
Courriel
Si vous
vous
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26 ans,
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année
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19
L’Œuvre
en scène
en
scène
avec
avec
Vincent
Ségal. Ségal. Téléphone
Téléphone
7
à
«Duos
éphémères»
deVincent
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à novembre
faces
»L’Œuvre
: lectures
et12h30
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Musique/voyage/musique
Si
Si vous
moins
de
26
ans,
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26 ans, indiquez
votre
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19
Le
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Si vous
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Le
calendrier
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du
Tarif
Si
vous
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moins
de 26
ans, indiquez votre année de naissance
19
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Le
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Le
calendrier
zodiacal
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cycle
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cycle
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Courriel
Courriel
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7
novembre
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novembre
à
12h30
à
12h30
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N°
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de
la Vierge.
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vous
avez
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19
calendrier
Tarif C
Si
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N°
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ici
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ici son N°joignez une attestation.
et sa date
et d’expiration
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de
la
Vierge.
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la Vierge.
3
à
18h
30
Le
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demandeur
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vous
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en
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3 décembre
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18h
3018h 30
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N°
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Tarif
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demandeur
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la
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Si
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ans,
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3
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Si
vous
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Conférence
merci
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3
décembre
18h 30
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Si
vous
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Le
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zodiacal
du cycle
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Tarif
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Tarif C
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Si
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une
carte
d’adhérent,
d’adhérent,
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Microcosme,
Microcosme,
Conférence
Conférence
3
décembre
à
18h
30
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demandeur
d’emploi,
8
à
macrocosme
Conférence
- Microcosme,
Tarif
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merci
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et sa d’expiration
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de
la
Vierge.
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8 novembre
novembre
à 20h30
20h30
macrocosme
Concert
14 novembre
ànovembre
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novembre
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à
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à 20h30
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l’unité”
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macrocosme
macrocosme
Conférence
-àMicrocosme,
3
décembre
3 décembre
18h
à 18h
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Achats
de
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l’unité”
(moins
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Si
vous
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une
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Lecture
par
Edgar
Morin.
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novembre
à 20h30de
macrocosme
Achats
de
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places
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“A
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(moins
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5
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de
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de l’être
l’être
Lecture
par
Edgar
Morin.
Frontières
Frontières
de
l’être
de
l’être
Lecture
Lecture
par
Edgar
par
Morin.
Edgar
Morin.
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de
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“A
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(moins
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8
novembre
à
20h30
macrocosme
Conférence
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- Microcosme,
- Microcosme,
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par
Morin.
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de
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Lecture
-langue
par
Edgar
Morin.
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novembre
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20h30
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Le Achats
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lit
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1960
Achats
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places
de
places
“A
l’unité”
“A
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(moins
(moins
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de
5
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h
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Bernard
Bernard
Giraudeau
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lit
Fernando
lit
Fernando
7
décembre
à
18h30
et
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Tarif
A
Frontières
de
l’être
de
l’être
Lecture
Lecture
-langue
- Frontières
par
Edgar
par
Edgar
Morin.
Morin.
7
décembre
à
18h30
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Le
à
h
pl.x
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Bernard
lit
Fernando
7
décembre
7 décembre
à 18h30
à 18h30
Pessoa.
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Pessoa.
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avec
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Kiefer
7
décembre
à 18h30
Bernard
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Anselm
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Tarif
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avec
Anselm
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Dialogue
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avec
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2
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Concert
Le
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9
novembre
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9
novembre
à
20h
ou
mythe
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2
La
frontière,
La
frontière,
mythe
mythe
biblique
biblique
Si vous
vous désirez souscrire
souscrire un
un abonnement
abonnement (à
(à partir
partir de 5
5 manifestations),
manifestations),
contactez-nous
L’Instant (œuvre)
Donné –– 2Pattar,
Pattar,
avec
Anselm
Kiefer, Kiefer
Concert
Le regard
d’Anselm
général
Si
Totalcontactez-nous
2Total
= 2 contactez-nous
= €
€
L’Instant
Donné
avec
Anselm
Kiefer,
Si vous désirez
désirez
Si voussouscrire
désirez souscrire
un abonnement
un abonnement
(à partir de
de
(à partir
5 manifestations),
deTotal
5 manifestations),
contactez-nous
L’Instant
L’Instant
Donné
Donné
–
Pattar,
–
Pattar,
avec
Anselm
avec
Anselm
Kiefer,
Kiefer,
Accès
libre
avec
le
billet
du
musée
16 novembre
à
18h30
(œuvre)
Concert
Le
regard
d’Anselm
Kiefer
9
novembre
9
novembre
à
20h
à
20h
ou
mythe
ou
mythe
graphique
graphique
?
?
Si vous désirez souscrire un abonnement (à partir de 5 manifestations),
contactez-nous
Schönberg,
Andre,
Webern.
Dominique
Cordellier
L’Instant Donné
– 2Pattar,
avec
Anselm
Kiefer,
Schönberg,
Andre,
Webern.
Total Total
général
général
=
= €
€
Dominique
Cordellier
par
télephone
ou
écrivez sur
papier libre. (à partir de 5 manifestations),
2
Schönberg,
Schönberg,
Andre,
Andre,
Webern.
Webern.
Si
vous
désirez
souscrire
un
abonnement
contactez-nous
Dominique
Dominique
Cordellier
Cordellier
L’Instant
Donné
–
Pattar,
avec
Anselm
Kiefer,
(œuvre)
(œuvre)
Concert
Concert
Le Brigitte
regard
Le regard
d’Anselm
d’Anselm
Kiefer
Kiefer
Paiement par chèque (à libeller à l’ordre du « musée du Louvre»)
Tarif D
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Gratuit
et
Brigitte
Donon.
Schönberg,
Andre, Webern.
Dominique
Cordellier
Pieter Brueghel
l’Ancien
Paiement
par
chèque
(à
libeller
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l’ordre
«
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Tarif
et
Donon.
Paiement
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Tarif
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et
Brigitte
et Brigitte
Donon.
Donon.
Schönberg,
Webern.
Dominique
Cordellier
Si
vous
Si désirez
vous
désirez
souscrire
souscrire
abonnement
un(àabonnement
partir
partir
dedu
5 manifestations),
manifestations),
contactez-nous
contactez-nous
L’Instant
Donné
– Pattar,
– Pattar,
avec
avec
Anselm
Anselm
Kiefer,
Kiefer,
Paiement
par
chèque
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à l’ordre(àdu
« musée
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Entrée
libre
Tarif
D / Gratuit
et
Brigitte
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Entrée
libre
Paiement
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carte
bancaire
30
novembre
à
18h30
et ses «Schönberg,
collections
de
savoirs
»
12
novembre
à
18h30
Entrée
libre
Entrée
libre
Paiement
chèque
(à
libeller
à
l’ordre
du
«
musée
du
Louvre»)
Tarif
D
/
Gratuit
et
Brigitte
Donon.
Paiement
par
carte
bancaire
Schönberg,
Andre,
Webern.
Webern. Entrée
Dominique
Dominique
Cordellier
Cordellier
12 novembre
novembre
à Andre,
18h30
Paiement
Paiement
par
carte
par
bancaire
carte
bancaire
libre
12
12
novembre
à
18h30
à
18h30
Visa
Eurocard-Mastercard
American Express
Nationale
Paiement
parpar
carte
bancaire
fissures
du
Conférence
-- Les
7
à
20h00
chèque
American
12
novembre
à 18h30
Paiement
Entrée
Nationale
Eurocard-Mastercard
Express
Paiement
chèque
par
(à libeller
libeller
à
l’ordre
à l’ordre
du
musée
du « musée
du Louvre»)
du Louvre»)
Tarif
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Tarif
/ Gratuit
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et
Brigitte
etlibre
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Les
fissures
du La Wunderkammer
Conférence
7dudécembre
décembre
à Donon.
20h00
par
Visa
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«
American
American
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Conférence
Omar
Calabrese
Nationale
Nationale
Visa
Visa
Eurocard-Mastercard
Eurocard-Mastercard
Express Express
Paiement
carte bancaire
fissures
fissures
du
Conférence
Conférence
- Les
- Les être
décembre
7Brigitte
décembre
à
20h00
à 20h00
12
novembre
à 18h30
Nationale
Eurocard-Mastercard
American Express
Carte
n°
Date
monde
:: peuvent-elles
Dialogue
avec
Anselm
Kiefer
fissures
du 7
Conférence
- Les
7
décembre
à 20h00
Carte
n° Carte n° Visa
Date d’expiration
d’expiration
Entrée
Entrée
libre libre
monde
peuvent-elles
être
Dialogue
avec
Anselm
Kiefer
Carte
n°
Date
d’expiration
Date
d’expiration
Nationale
Visa
Eurocard-Mastercard
American
Express
monde
:
peuvent-elles
être
Dialogue
avec
Anselm
Kiefer
:à?peuvent-elles
être
Dialogue
avec
Anselm
Kiefer Carte
Paiement
Paiement
par carte
bancaire
bancaire
fissures
du Inventaire
- Les
7 Die
décembre
à 20h00
12
novembre
12monde
novembre
18h30
à 18h30
d’un
mythe
Tarif GConférence
(lespar
troiscarte
derniers
chiffres
figurant au dos de la carte dans le
pavéd’expiration
signature)
Crypto
n°
Date
transcendées
Kunst
geht
knapp
nicht
monde
:
peuvent-elles
être
Dialogue
avec
Anselm
Kiefer
Crypto (les
(les trois derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le pavé signature)
transcendées
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--Dialogue
Die
Kunst
geht
knapp
nicht
Crypto
trois derniers
(les trois
derniers
figurant
chiffres
figurant
dosde
au
la carte
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dans
la carte
le
pavé
dans
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transcendées
Carte
n°Nationale
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Nationale
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Visa
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American
transcendées
? fissures
Die
Kunst
- Die
Kunst
geht
knapp
geht
knapp
nicht
nicht Crypto
Visa
Eurocard-Mastercard
American
Express
Express
monde
: peuvent-elles
être
avec
Anselm
Kiefer
fissures
du
du
Conférence
Conférence
- Les
- Les
7
décembre
7
décembre
à
20h00
à
20h00
Crypto
(les
trois
derniers
chiffres
figurant
au
dos
de
la
carte
dans
le
pavé
signature)
par
Johan
Galtung.
unter
/
L’art
ne
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pas
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-unter
Die Kunst
geht
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par
Johan
Galtung.
Conférence
par
Patricia
Falguières
//unter
L’art
disparaît
pas
Signature
trois
pavéd’expiration
signature)
par
Johan
par
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Galtung.
unter
L’art
/ne
ne
L’art
disparaît
ne
disparaît
pas
pas Crypto
Carte
Carte
n°(lesindispensable
n° derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le
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Date
d’expiration
transcendées
? Galtung.êtreêtre
-Dialogue
DieDialogue
Kunst
geht
knapp
nicht
Signature
indispensable
monde
monde
: peuvent-elles
: peuvent-elles
avec
avec
Anselm
Anselm
Kiefer
Kiefer
Tarif
A
tout
à
par
Johan
Galtung.
unter
/fait
L’art
ne
disparaît
pas
SignatureSignature
indispensable
indispensable
Tarif
A
tout
à
fait
Signature
Tarif
A
Tarif
AGaltung.
tout
fait
àgeht
fait
par
Johan
Crypto
(lesindispensable
trois
(lesderniers
trois derniers
chiffreschiffres
figurantfigurant
au dos au
dedos
la carte
de ladans
carteledans
pavélesignature)
pavé signature)
unter
/tout
L’art
ne
disparaît
pasnicht Crypto
Tarif
G - ààAnselm
16 novembre
à 20h30
transcendées
? ?
-tout
Die
Kunst
Die
Kunst
geht
knapp
nicht
avec
Kiefer
et knapp
Simon
Tarif
Atranscendées
fait
Signature
indispensable
La loi n°78-17 du
6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés s’applique aux informations transmises. Elle
avec
Anselm
Kiefer
et
Simon
La
loi n°78-17
dud’accès
6 janvier
1978
relative à pour
l’informatique,
aux fichiers
et aux libertés
s’applique
aux
informations
transmises.
Elle
16 novembre
novembre
à
20h
avec
Anselm
Kiefer
et
Simon
et
Simon
Tarif
A
tout
à
fait
garantit
un droit
et 1978
de
les données
concernant
à exercer
auprès
du
service
Relations
avec le public.
par
Johan
par16Johan
Galtung.
Galtung.
unter
unter
/avec
L’art
/Anselm
L’art
ne
disparaît
neKiefer
disparaît
pas
pas La
loi n°78-17
Ladu
loi
6n°78-17
janvier
du rectification
6 janvier
relative1978
à pour
l’informatique,
relative
à l’informatique,
auxvous
fichiers
et
aux
aux
fichiers
libertés
et s’applique
aux
libertés
aux
s’applique
informations
aux informations
transmises.
Elle
transmises. Elle
16
à
20h
Schama.
garantit
un droit
d’accès
et
de
rectification
les données
vous
concernant
à exercer
auprès
du
service
Relations
avec
le public.
avec
Anselm
Kiefer
et
Simon
16
novembre
novembre
à
20h
à
20h
Tentative
d’épuisement
de
Sauf
opposition
écrite
deindispensable
votre
part,
ces
informations
pourront
être
communiquées
à des
tiers
dans
leauprès
strictRelations
cadre
des
missions
du
2
Signature
Signature
indispensable
Schama.
La
loi
n°78-17
du
6
janvier
1978
relative
à
l’informatique,
aux
fichiers
et
aux
libertés
s’applique
aux
transmises.
Elle
garantit
un
droit
garantit
d’accès
un
droit
et
de
d’accès
rectification
et
de
pour
rectification
les
données
pour
vous
les
données
concernant
vous
à
concernant
exercer
auprès
à
exercer
du
service
du service
avec
Relations
le public.
avec le public.
Sauf
opposition
écrite de votre part, ces informations pourront être communiquées à des tiers dans
leinformations
strict cadre
des
missions
du
2
Concert
(œuvre)
Schama.
Schama.
16
novembre
à 20h
avec
Anselm
Kiefer et Simon
musée
du
garantit
un Louvre.
droit
d’accès
deécrite
rectification
données
à exercer
auprès
du
service
avec
le public.
Tarif
ATarif A(œuvre)
tout
tout
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fait
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Sauf
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strict
tiersRelations
dans
cadreledes
strict
missions
cadre
des
du missions du
2
2
Concert
La
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n°78-17
duécrite
6
janvier
1978
relative
à pour
l’informatique,
auxvous
fichiers
et auxêtre
libertés
s’applique
transmises.
Elle
Entrée
libre
musée
du
Louvre.
Schama.
Concert
Concert
(œuvre)
(œuvre)
Sauf
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écrite
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votre
part,
ces
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pourront
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à
des
tiers
dans
le
strict
cadre
des
missions
du
Entrée
libre
16
novembre
à
20h
musée
du
Louvre.
musée
du
Louvre.
2
er
garantit un droit d’accès et de rectification pour les données vous concernant à exercer auprès du service Relations avec le public.
J.deet
etGeorges
C. Widmann,
Widmann,
S. Kammer,
Kammer,1 décembre
Entrée
libre
Entrée
libre
(œuvre)
à
20h
l’œuvreConcert
Perec 2 S.
Schama.
musée
du
Louvre.
*1
Réduit
:
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du
musée,
achat
groupé,
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26
ans,
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Fnac,
personnel
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avec
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Anselm
Anselm
Kiefer
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Simon
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J.
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missions
du
Entrée libre
La loiopposition
n°78-17
La loi n°78-17
duécrite
6 janvier
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janvier
relative
1978
àrelative
l’informatique,
à l’informatique,
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et
fichiers
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s’applique
libertés
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Elle
Elle
J.
et
C.J.novembre
Widmann,
et C. Widmann,
S.
Kammer,
S. Kammer,
Concert
(œuvre)
musée
du
Louvre.
16
novembre
16
à– 20h
à 20h
ministère
de lad’accès
et rectification
de
Communication,
guides
et vous
conférenciers,
achat
en
abonnement.
garantit
un
garantit
droit
un
droit et
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de
etlade
rectification
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vous
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service
Relations
avec le public.
avec
le public.
*1
- Réduit
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musée,
achat
groupé,
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de
ans,
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Fnac,
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J.-E.
Bavouzet
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et
C. Widmann,
S.
Kammer, Entrée
libre
Schama.
Schama.
*1
Réduit
Adhérents
du
musée,
achat
groupé,
étudiants
deconcernant
plus
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26auprès
ans,
adhérents
Fnac,
personnel
du
J.-E.
Bavouzet
Widmann,
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Sauf*1
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2 S. 2–
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cérémonie
lecturesJ.
par
*1
Réduit
:Culture
- Adhérents
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de
26
plus
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personnel
Fnac,
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Bavouzet
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–– Widmann,
Widmann,
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Jeunes
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J.
etL’OuLiPo
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Widmann,
Kammer,
ministère
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et
de
la
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guides
et
conférenciers,
achat
en
abonnement.
Concert
Concert
(œuvre)
(œuvre)
musée
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musée
Louvre.
du
Louvre.
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ministère
de
la
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et
de
la
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guides
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conférenciers,
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*1
Réduit
:
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achat
groupé,
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26
ans,
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Fnac,
personnel
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J.-E.
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–
Widmann,
Entrée
Entrée
libre
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Pintscher...
ministère d’une
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guides
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achat
en
abonnement.
achat
en abonnement.
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Pintscher...
Pintscher...
*2
--- Jeunes
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ans,
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*1
Réduit
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Fnac,
du
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– Widmann,
ministère
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et dedu
la Communication,
guides
et conférenciers,
achat
en
abonnement.
J.
etDJ.Bavouzet
C.
etWidmann,
C. Widmann,
S. Kammer,
S. Kammer,
*2
Jeunes
et
solidarité
Moins
de
26
ans,
chômeurs,
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du
RMI
et
de
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sociale,
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Spectacle
mis
en
scène
sous
la
et Carole
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Gratuit
Pintscher...
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Gratuit
pour
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Jeunes
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solidarité
solidarité
: d’invalidité,
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ans,
chômeurs,
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26
bénéficiaires
chômeurs,
bénéficiaires
du
RMI
et de
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sociale,
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handicapés,
sociale, handicapés,
Tarif D
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Gratuit
titulaires
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Pintscher...
titulaires
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ouCommunication,
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pour
les
bénéficiaires
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tarif
réduit.
*2
Jeunes
etAdhérents
solidarité
:musée,
Moins
de
ans,
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bénéficiaires
et
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*1
Réduit
*1d’une
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:carte
: adhérents
Adhérents
duou
du musée,
achat
groupé,
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étudiants
de
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plus
26RMI
ans,
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26
adhérents
ans,
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Fnac,
Fnac,
personnel
du
du
J.-E.DJ.-E.
Bavouzet
– Widmann,
– Widmann,
*4
--- Gratuit
pour
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Louvre
jeunes
et pour
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titulaires
titulaires
d’une
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Cotorep
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ou26
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abonnement
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pour
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bénéficiaires
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les
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tarif
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dupersonnel
tarif réduit.
/ Gratuit
*3
Gratuit
pour
les
de
26
ans.
*2
- Jeunes
etdesolidarité
: d’invalidité,
Moins
de 26achat
ans,
chômeurs,
bénéficiaires
du
RMI
et de
sociale,
pyramide par Ludovic Lagarde
Tarif FTarif
titulaires
d’une
carte
en abonnement
pour les
bénéficiaires
du
tarif
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ministère
ministère
de la pour
Culture
laCotorep
Culture
et-- de
de 26
laouetCommunication,
de la Communication,
guides
et
guides
conférenciers,
et conférenciers,
achat
enachat
abonnement.
enl’aide
abonnement.
*3
les
Tarif
DPintscher...
/ Gratuit
Pintscher...
*3 -- Gratuit
Gratuit
*3 -pour
Gratuit
les
- depour
26ouans.
ans.
les
- de 26 ans.
titulaires
d’une
carte
Cotorep
d’invalidité,
achat en abonnement pour les bénéficiaires du tarif réduit.
et informations pratiques
A
l’auditorium
A
l’auditorium
A l’auditorium
A
du
Louvre
A l’auditorium
l’auditorium
du
Louvre
du Louvre
du
A l’auditorium
ALouvre
l’auditorium
du
Louvre
dudu
Louvre
Louvre
*3
*3
*3
*3
*3
Formulaire
de
réservation
Formulaire
Formulaire
de de
réservation
réservation
Formulaire
Formulaire de
de réservation
réservation
Formulaire
réservation
Formulaire
dederéservation
*3
*3
*3
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*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
*3
Tarif DTarif
/ Gratuit
D / Gratuit
19 novembre à 12h30
14
En partenariat média avec
12
12
12
12
12
12
✄
✄
✄
✄
✄
✄
*3 - Jeunes
Gratuit
pour
leset
- de
26 ans.
*2
*2 - Jeunes
et solidarité
solidarité
: Moins: de
Moins
26 ans,
de 26
chômeurs,
ans, chômeurs,
bénéficiaires
bénéficiaires
du RMI du
et de
RMIl’aide
et desociale,
l’aide sociale,
handicapés,
handicapés,
*3 - Gratuit
les
- de 26
titulaires
titulaires
d’une pour
carte
d’une
Cotorep
carte
Cotorep
ouans.
d’invalidité,
ou d’invalidité,
achat enachat
abonnement
en abonnement
pour lespour
bénéficiaires
les bénéficiaires
du tarif du
réduit.
tarif réduit.
*3 - Gratuit
*3 - Gratuit
pour lespour
- de les
26 -ans.
de 26 ans.
Tarif unique : 10 €
L’œuvre pérenne est réalisée Président-directeur
grâce audu musée
soutien
du Louvre d’
L’œuvre
pérenne
est
réalisée
grâce
au
soutien
d’
L’œuvre
L’œuvre
pérenne
pérenne
est
est réalisée
grâce
grâce
au
soutien
au soutien
d’
d’ Malfettes
David Kadouch, piano
12 décembre
à 20h30
Henri
Loyrette
Laure Péan
pérenne
est réalisée
réalisée
grâce
au de
soutien
d’ Stéphane
Camille Maurel
et Laurence Martin-Brenneur
La L’œuvre
programmation
bénéficie
du mécénat
mécénat
L’œuvre
pérenne
est
réalisée
grâce
au
soutien
d’ avec
La
programmation
bénéficie
du
de
La
programmation
La
programmation
bénéficie
bénéficie
du
mécénat
du
de
de
Directeur
demécénat
l’auditorium
Histoire de l’art
13
décembre
à
16h
Concert
LaBillL’œuvre
programmation
bénéficie
du etmécénat
de
des
manifestations
Monica
L’œuvre
pérenne
pérenne
esten
est
réalisée
réalisée
grâce
grâce
au culturelles
soutien
aud’Automne
soutien
d’àà Paris.
d’ Preti-Hamard
Création chorégraphique
chorégraphique de
de
T.Jones
et concerts
concerts
(œuvre)
en
collaboration
avec
le Festival
Festival
d’Automne
Paris.
Œuvre et
et Duos
Duos éphémères
éphémères avec
avec
La
programmation
bénéficie
du
mécénat
de
Création
Bill
T.Jones
et
(œuvre)
collaboration
avec
le
Œuvre
avec Charlotte
Chastel-Rousseau
Jean-Marc
Terrasse
Photogravure
- Impression
Création
Création
chorégraphique
chorégraphique
de partenariat
BillInventaire
T.Jones
de Bill T.Jones
etavant
concerts
et
concerts
(œuvre)
(œuvre)
enParis-Première
collaboration
en collaboration
avec
le avec
Festival
le Festival
d’Automne
d’Automne
àparticipation
Paris.
àŒuvre
Paris.
Œuvre
et Duos
etéphémères
Duos
éphémères
avec
avec
disparition
Tarif E le
soutien
de
En
média
avec
Le
Monde,
et
auFéminin.com.
Avec
de
Fouquet’s
Barrière,
Création
de
Billprogrammation
T.Jones
et concerts
(œuvre)
en
collaboration
avec
le Festival
d’Automne
àparticipation
Paris.
Œuvre
et Duos
éphémères
le
soutien
de la
la SACEM.
SACEM.
En
partenariat
média
avec
Le
Monde,
Paris-Première
etmécénat
auFéminin.com.
Avec la
la Avec
participation
de l’Hôtel
l’Hôtel
Fouquet’s
Barrière,
Concerts
BBI
- 01
41 avec
54 18 20
le
soutien
de
la
SACEM.
En
partenariat
média
avec
Le
Monde,
Paris-Première
et
auFéminin.com.
Avec
la
de
l’Hôtel
Barrière,
La
programmation
bénéficie
du
du
mécénat
de
de
le chorégraphique
soutien
de la SACEM.
En partenariat
média
avec
Lebénéficie
Monde,
Paris-Première
et
auFéminin.com.
la participation
de Fouquet’s
l’Hôtel
Fouquet’s
l’Hilton
Arc
de
Triomphe
Paris,
et
le
Saint
James
&
Albany
Hôtel
SPA
.
Création
chorégraphique
de
BillLa
T.Jones
et
concerts
(œuvre)
en
collaboration
avec
le
Festival
d’Automne
à
Paris.
Œuvre
et
Duos
éphémères
avecBarrière,
le
soutien
de
la
SACEM.
En
partenariat
média
avec
Le
Monde,
Paris-Première
et
auFéminin.com.
Avec
la
participation
de
l’Hôtel
Fouquet’s
Barrière,
l’Hilton l’Hilton
Arc de
de Triomphe
Triomphe
Paris, et
etParis,
le Saint
Saint
James
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Albany
Hôtel -- Hôtel
SPA Monique
.SPADevaux.
Programmation
Projection-concert
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Arc
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de
Triomphe
Paris,
le
et
le
James
Saint
&
James
Albany
&
Albany
Hôtel
SPA
.
12
le
soutien
de lachorégraphique
SACEM. En
partenariat
média
Monde,
Paris-Première
et
auFéminin.com.
Avec
la :àparticipation
de
Barrière,
Cycle
« Le
Louvre
Umberto
Eco
»- Tel.
avec44
Muraro
Conception
graphique
Arc
de- Le
Triomphe
Paris,
le Saint
James
&
Albany
Hôtel
- SPA
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Création
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chorégraphique
de
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T.Jones
et concerts
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concerts
(œuvre)
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en
collaboration
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avec
avec
le Festival
le
Festival
d’Automne
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Paris.
Paris.
Œuvre
Œuvre
et Duos
etFouquet’s
Duos
éphémères
éphémères
avec
avec
MediaObs
publications
44,
rue
Notre-Dame-des-Victoires
-- invite
75002
Paris
88
97
70l’Hôtel
MediaObs
publications
44,
rue
Notre-Dame-des-Victoires
-- Tel.
: 01
01
44
97
l’Hilton
Arc
de--Laurent
Triomphe
Paris,
et
le Saint
James
&
Albany
Hôtel
- Avec
SPA
.participation
Alexandre
et littérature
Nicolas Niro pour MediaObs
MediaObs
MediaObs
publications
publications
44,Monde,
rue
Notre-Dame-des-Victoires
rue Notre-Dame-des-Victoires
- 75002
75002
- Paris
Paris
75002
Tel.
Paris
01
-etla
Tel.
44
:88
88
01Hemardinquer
97
4470
70
88 de
97 l’Hôtel
70Fouquet’s
Électrons
libres
avec
Garnier
19 novembre
à 20h
le soutien
le
soutien
de lade
SACEM.
la SACEM.
En
partenariat
En
partenariat
média
média
avec
Le
Le- 44,
Monde,
Paris-Première
Paris-Première
et
auFéminin.com.
et auFéminin.com.
Avec
la ::participation
Fouquet’s
Barrière,
Barrière,
MediaObs
publications
-avec
44, rue
Notre-Dame-des-Victoires
- 75002 Paris
- Tel.
01
44
88
97de
70l’Hôtel
Jean-Marc Terrasse
Musique
filmée
www.mediaobs.com
l’Hilton
Arc de
Arc
derue
Triomphe
Paris,Paris,
et le et
Saint
le Saint
James
James
&
Albany
Hôtel
- SPA
SPA
. 88
. 97 70
12
MediaObs l’Hilton
publications
- Triomphe
44,
Notre-Dame-des-Victoires
- 75002
Paris
-Hôtel
Tel.
: -01
44
avec
Gabrielle
Rouault
de&la Albany
Vigne
Christian
Labrande
Tarif D
Zbigniew Rybczynski
Chambre des merveilles et Électrons libres
avec Elsa Bouguen
Secrétariat d’édition
MediaObs
MediaObs
publications
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- 44, -rue
44,Notre-Dame-des-Victoires
rue Notre-Dame-des-Victoires
- 75002
- 75002
ParisParis
- Tel. -: Tel.
01
44
: 01884497887097 70
Exposition Mille e tre
Pascale Raynaud
Didier Bras pour MediaObs
Musique filmée
«Faces à faces» et colloque
Marie-Laure Bernadac et
Pascal Torres-Guardiola
Marcella Lista
Tarif F
avec Camille Palopoli
avec Pauline Guélaud
2
2
2
2
© Léa Crespi, 2009
Le cycle Umberto Eco bénéficie du soutien de
*3
2
2
2
2
2
2
2
Listing Cérémonie et lectures sonores
2
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Iconographie
2
2
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2
2
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15
Listing
Cérémonie
//
Listing
Cérémonie
Listing Cérémonie /
Soirée exceptionnelle sous la pyramide
Listing
Listing
Cérémonie
Listing
Cérémonie
Cérémonie
© Cédric
© Cédric
© Scandella
Cédric
Scandella
Scandella
/ Comédie
/ Comédie
/ Comédie
de Reims,
de Reims,
de Reims,
2009
20092009
Soirée
exceptionnelle
sous la pyramide
Soirée
exceptionnelle
er sous la pyramide
du
Louvre
// Mardi
1
er décembre 2009 /
du
Louvre
Mardi
1
er décembre 2009 /
décembre
2009
/
du
Louvre
/
Mardi
1
/
Musique
/
Vidéos
/
20
h
/
// Musique
// Vidéos
//
20
h
//
Musique
Vidéos
20
h
Performances
// Espace
bar…
// Spectacle
Performances
Espace
bar…
Spectacle
Performances
/
Espace
bar…
/
Spectacle
mis
en
scène
par
Ludovic
Lagarde
//
mis
en
scène
par
Ludovic
Lagarde
mis en scène par
Ludovic
Lagarde Eco
/
Collaboration
artistique
:
Umberto
//
Collaboration
artistique
:
Umberto
Eco
Collaboration
artistique
: Burger
Umberto
Eco /
Musique
live
:
Rodolphe
et
Yuksek
Musique
live
:: Rodolphe
Burger
et
Yuksek
Musique
live
Rodolphe
Burger
et
Yuksek
// Textes
:
Homère,
Victor
Hugo,
James
Textes
:: Homère,
Victor
Hugo,
James
/Joyce,
TextesGeorges
Homère,
Victor
Hugo,
James
Perec,
Olivier
Cadiot,
Joyce,
Georges
Perec,
Olivier
Cadiot,
Joyce,
Georges
Perec,
Olivier
Cadiot,
Umberto
Eco…
/
Tarif
unique
:
10
Umberto
Eco…
/
Tarif
unique
:
Umberto Eco… / Tarif unique : 10
10
Coproduction
Coproduction
musée
du Louvre,
Coproduction
musée dude
Louvre,
Comédie
Reims.
musée
dude
Louvre,
Comédie
Reims.
Comédie de Reims.
Louvre_NouvelObs_BAT.indd 1
Information : 01 40 20 55 55
Information : 01
Réservations
: 014040202055555500
Information
Réservations: 01
: 014040202055555500
www.louvre.fr
Réservations
www.louvre.fr: 01 40 20 55 00
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22/09/09 12:23:46