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\ / - CRUCE ET AB6TBQ Les geléis t a r d i f s , dit M. Charles Bacon, sont dues à deuv causes : EM REVUE TRIMESTRIELLE 1° Au refroidissement général de l'atmosphère, déterminé par la prédominance des vents du Enfin, nous répondons au désir si souvent Nord. exprimé par les lecteurs du Laboureur. Au refroidissement local dû au rayonnement Comment le collectionner facilement? nocturne. C'est bien simple, nous nous chargeons La première cause amène quelquefois un abaissement de température tel que bien souvent d u travail. Nous publierons le Laboureur complet, les procédés de défense sont inefficaces. La seconde, résultat du rayonnement nocturne, c'est-à-dire avec toutes ces éditions, sous le format du Pèlerin (comme au temps où il est la plus fréquente; la température ne s'abaisse qu'à 1 ou 2 degrés au-dessous de zéro. s'appelait Pèlerin laboureur). L E « L A B O U R E U R » Le Laboureur paraîtra sous cette forme lotis les trois mois. Nous allons mettre sous presse les six derniers mois du Laboureur : octobre 1894mars ib'Jîi. Ce premier volume contiendra donc six mois du Laboureur; il aura plus do 100 pages et uno couverture. 0 fr. Tô centimes le numéro de 3 mois, 3 francs l'abonnement par an. Le premior numéro est double, il contient 6 mois du Laboureur. (Fortes remises aux Comités de La Croix). POTAGER PLANTESfiSEiilER MHS LE COURANT DE L'ANHÉS Par .ni les oignons les plus rustiques, se placent l'oignon blanc hâtif do Paris, le jaune des vertus, le rouge forcé, le jaune de Dan vers, d'excellente garde, semer en terrain bien ameubli, de mars en juillet,.deux ou trois mois avant la récolte. L'oseille, quand on la sème, est semée en place au printemps. Nous en reparlerons en disant un inofdcs légames qui se multiplient do division. Le persil, d e c r o i s s a n c e a s s e z rapide, s e s c n i e , cnéralemenl e n bordure ; d'avril e n juillet, o n ment par feuilles sèches, etc. Le panais se sème au printemps, ou encore plutôt au début de l'été, en place pour récolter en automne. Le pmais de Guernesey est à recommander. Les pissenlits sont un Iégumo des plus rustiques; semés en mars, ils donneut tino rosette fournie à l'automne. Si l'hiver est très rigoureux, les feuilles disparaissent, mais r t uclques beaux jours font reparaître quelques nombreuses feuilles nouvelles et tendres qui forment une très agréable salade précoce. Snmcr la variété, améliorer à cœur plein. Le poireau demande une assez longue culture ; il se scrac en mars, avril en pépinière, se repique pour passer l'hiver et se récoite au début de l'année suivante. Le « long hiver s est encore l'un des meilleurs. Les pois so sèment dès la fin de l'hiver, en plate-bande bien exposées! l'on veut des produits liijtifs; mais surtout au printemps, pour récolter au bout de six semaines deux mois, ou un peu plus, suivant- la précocité des variétés. On peut recommander pois caractus précoce et productif, pois de Clamart, un peu plus tardif, pois ridé de ¡vingt, qui reste tendre pour la fin de la saison. iîadis. — Plante tris rapide d'évolution, qui se sème toute la belle saison, cinq ou six semaines avant la récolte. Le radis rond, rose et le demilong écarlatc, hâtif, sont de bonnes variétés de pleine terre. Le radis noir, gros. long, d'hiver, se sème au milieu de l'été, pour récolter au début de l'hiver. La scorsonère, qui vaut peut-être mieux que le salsiEs blanc, et ce dernier sont des légumes très rustiques à semer en terre profonde et bien nmetiblie, en mars, poiifr récolter à la fin de l'année. Le scorsonèra peut être laissé en place et se récolte encore au cours de l'année suivante. 3 ° P l a n t e s à m n î t i p l î e r do d i v i s i o n Artichaut. — Se multiplie d'teilletons détachés, après l'hiver des pieds-mères. On ne garde pas ses plantations plus de quatre ans et on les abrite l'hiver p'ar un paillis ou des feuilles sèches. L'asperge se plante par greffes do deux ans, commence à donner doux ans plus tard et peut rester productive cinq ou six ans si elle est bien traitée. Les fraises se plantent depuis septembre jusqu'à la fin do l'automne ou à la rigueurau printemps, do plants obtenus de la division des coulants. Comme variétés ce sont la marguerite, le Bernard, de Thivry. Les fraises des quatre-saisons à coulants se nifiltipliant de coulants, ceux sans filets de division. On peut semer avec succès ces petites fraises. L'oseille, dont la variété large de Belleville est une des meilleures, se multiplie surtout par la division des pieds mâles, fcllo forme des bordures presque indéfinies. Les par,¡mes de terre sont un des légumes fondamentaux do la culture des jardins rustiques. D'avril eu mit, ou plante en terre bien meuble. Les. bonnes variétés potagères sont la Harjolin Têtard, la Quarantaine de la Halle, la Saucisse, plus tordue. Plusieurs personnes apprécient fort pour la ferme et. pour la table l'Early rose qui se récolte pour la moisson. Toutes ces plantes sont rustiques et ne demandent pas un terrain exceptionnel. (Bulletin des Agriculteurs de France.) LES 6ELÉESDE .PRINTEMPS • C'est ordinairement entre le i o avril et le l'i mai que-les gelées du printemps sont à redouter pour nos vignobles. TRAITEMENT CONTRE LE MILDIOU Nous ne saurions trop recommander de traiter les vignes contre les parasites qui, chaque année, lés rongent. Le temps n'est plus où le vigneron pouvait attendre en paix lo fruit do ses labeurs: il doit maintenant le disputer à tous les fléaux. 40o — Farines de consommation* — Sam changement pour la marque do Corbeil qid reste cotée À francs le «ae de 159 kilog. Farines de commerce« «— Les prélèvements faits chaque jour survie stock pour alimenter les besoins do la consommaben . sont un indice assuré de hausse. Céréales. — Sur les bléit prix sans changement, maïs ave« une meilleure tendance. — Sur lo seigle peu iemandé, continuation du calme* Affaires calmes en orges »vcc ono tendance plus faible, — Sur les avoines, pris de la-temnina dernière, mais • avec plus de fermeté. — Prix bien tenus sur le» issues, particulièrement pour les gros sous. — Calme sur to mais. Huiles et graines oléagineuses. — Baisse do plus d'un franc en présence d'un stock très considérable, n'ayant jamais été aussi tlevo depuis 12 ans. Spiritueux. — Cours saut changement avec des affaires excessivement calmes. Sucres. — Baisse d'un franc, car Tes offres «ont dovcnaea importantes sur des avis défavorables de l'étranger et par suite du beau temps. Bestiaux. — Sur le gros bétail, vente meilleure avec nne hausse de 15 4 20 francs par tète. — Sur les veaux reorba très active de la demando. — Les moutons bien demandés obtiennent des pris très élevés. — Baissa de 2 francs par 100 kilog. vifs sur les porcs. c. M* Par la bouillie bordelaise. — La bouillie bordelaise est la préparation qu'on emploie de préférence. Composition : 3 kllog. de sulfate de cuivre, On peut, jusqu'à un certain point, prévoir une 1 liilog. de chaux grasse, vivo et en pierre, 100 gelée pa-rl'examea de l'atmosphère et de la direc- et 120lilres d'eau pour les deux premiers traitetion du vent; dès que ce dernier tourne au nord, ments, 200 à 230 litres d'eau pour les autres. La H y a là des conditions favorables au refroidis- proportion de trois quarts do sulfate de cuivre, sement. Les vieux vignerons se trompent rare- un quart de chaux vive, est ce qu'il y a d'imporP a r 100 k i l o s ment dans leurs prévisions. Le moment critique tant à observer; l'eau peut varier dans de larges Son ¿caille 12 11,75 f Altistes 25 » 30 Fccounot:cs Vesccs étrangères 20 limites. Sur de très jeunes pousses, on emploie 8 8,50 est celui du dégel; si ce dernier a lieu brusqueHemoulagas H* 12 . 15 » Mais cinquantini 18,50 une solution moins concentrée. ment, par suite des premiers rayons du soleil, — bâtards 10.50 11 » Lentilles 22 » bu Préparation : i ' On met l'eau dans un tonneau Orges de la Sarthe 15,50 lt>,50 Haricots nains 27 . 33 l'effet produit est désastreux, car les bourgeons — quai. bonne 1 1, 7 5 32 « * 15,25 — r o s o a sont desorganisés. 11 convient donc de retarder défoncé; on fait chauffer dans un chaudron les 14,50 — plat» midi 38,50 » — ordinaires U ce dégel, ou plutôt de faire en sorte qu'il se pro- 3 kilog. de sulfate de cuivre avec 10 litres d'eau. 30 » » — secondaires 12,50 Î3 50 Pois cassés 27 p » duise lentement, en interposant entre le ciel et la Quand le sulfate est fondu, on verse le tout dans Escourgeons 10,75 li5,50 — ronds 120 « ISO Russie 10 , ¿0 > Trèfle violut ferre, des abris destinés à diminuer l'intensité l'eau du tonneau; 2' pendant ce temps, on a fait Maks 135 » 155 21 » — . A f r i q u e 1 9 » extra — éteindre 1 kilog. de chaux vive en y projetant des rayons solaires. 100 » Î'j5 Sl> » — hybride — Ouest de l'eau peu à peu; on en fait un lait à l'aide do • 1 Fourrages et pailles en gare. — On coto «ur w.goa • .. ii ou 6 litres d'eati, en remuant et en écrasant par 520 kilog. en gare d'arrivêo à Paris : Fein 33-3-I, laseraa Les procédés employés pour se mettre à l'abr 1 les grumeaux le mieux possible. 30-35, paille blé, 1S-20. de seigle pour l'industrie 28-31, ordinaire ¿0-23, d'avoine 17-13. des gelées du printemps sont nombreux ; la plu3' On verse alors peu à peu, et en agitant avec Les offres sont ordinaires en paille de blé et les prix saut part ont l'inconvénient de coûter trop cher, sur- un bâton, le lait de chaux dans la solution de changement, mais la vento est difficile. Les fouirages, les tout lorsqu'il s'agit d'opérer sur un vignoble sulfate do cuivre contenu dans le tonneau ; on arrivages sont suivis, les affaires calmes* Pommes do torre- — La hollande do choix du Gatmaïs d'nno certaine étendue. agile encore fortement pendant deux minutes, et vendue iOO francs départ, soit 101 ou 10*) francs, ParisLes principaux écrans protecteurs, paillassons, la bouillie est préparée. Elle doit être d'une cou- aLaclé hollande do Bourgogne so cédait do 00 à 100 francs, garo tuiles creuses, planchettes, cornets en carton, etc., leur bleu clair; quand, par lo repos, on la laisse d'arrivée, La saucisso rouge du Çatinais s'est vendue 95 francs départ pour lo Nord. Mais, pour Paris, on la cédait da 00 à • sont tous d'une réelle efficacité. tomber au fond, l'eau surnageante puisée dans garofrancs. La saucisse de Scinc-ct-Uise no valait pas plus do 85 à Les paillassons sont excellents pour les vignes un verre à boire doit être limpide et sans la 05 00 francs. conduites sur fil de fer, car il suait simplement moindre coloration bleue. FëculôS.— On cota f^eulo première, grains S& Paria, fécale grain* (Oise) 21,50-25, féculo première grain» (Loiro et de la poser sur le 2 J ou 3 e fil pour avoir un Recommandation pour les traitements. Chaque premiéro Auvergne), 25 francs. Les fécules secondes sont vivement écran parfait. Il faut avoir soin de les enlever fois qu'on puise de la bouillie, il faut la remuer demaïu é?* de 16 u ¿1 francs. chaque malin après le lever du soleil pour les avec soin. Houblons- —- Les prix sans changement et la situation n'a replacer le soir.f subi aucune modification. La température est an peu meilleure On doit répandre la bouillie aussi finement et Quelques vignerons ont employé avec succès aussi régulièrement que possible et, pour cela, pour la eousommatiwn. Elle est également favorable pour les travaux des champs que l'on pousse d'autant plus vigoureusement, de la toile grossière maintenue rigide par du il faut pulvériser do loin et peu à la fois. C'est le qu'ils sont sensiblement en retard partout. treillage en fil do f e r ; l'avantage ici c'est que dessus des feuilles qui doit recevoir surtout Graines fourragères, — Bon courant d'affaires cette l'on peut laisser ces écrans à demeure pendant l'aspersion. Dans les vignes sur le fil de fer, il semaine, les trèfles ont ùtâ vivement demandés et sans l'appréhension de se trouver detcmtars de marchandises en fin de toute la duré nécessaire. faut donc asperger les deux côtés du rang et le saison, nous aurions eu certainement de la hausse sur cet article. Dans certains vignobles où la vigne est con- dessus ; le dessus encore avec plus de soin que Même situation pour la Interne qui est très demandée, aussi d'ores et diji on pt*ut être assuré qui! ne restera pas de stocks duite d'une façon spéciale, ou se met à l'abri des les côtés. de trèfle, ai do luzerne. La rmnetto est peu demandée, en comgelées en couchant presque entièrement la souche mence à s'occuper des maïs blancs et jaunes. Les autres grains Il faudra faire au moins deux traitements et daus une fosse pratiquée au préalable. sans changement. même irois eu quatre si la saison est humide; on sont Volailles. — Ou cote au kilog. : poulet 2 fr. 50 à 3 fr. 50, La (aille faite tardivement atténue l'effet des les fait à un mois de distance. dinde 2 à 2 fr. 80, oio 1 fr. 00 à 2 fr. 0a, lapin 1 fr. 30 à 1 W. ¿0. gelées en ce que la sève se portaut surtout aux On coto À la pièce gros poulets du Gâtinais do 4 francs à A chaque traitement, on doit asperger surtout bourgeons supérieurs, coux situés près de la les feuilles poussécsdepiiisle traitement précédent. 5 fr. 25. La vente est tTès mauvais« en généra!, les lapins surtout eut souche débourrent bien plus tard. Dans les Au troisième traitement, on cherche, en otitre, régions très gélives, on a pris l'habitude de con- à asperger le raisin. Si la bouillie était entraînée éprouvé une baisse considérable. duire les vignes sur une souche élevée; c'est,en par une très forte pluie, daus les deux jours qui effet, au voisinage du sol que le refroidissement suivent l'application, il faudrait recommencer. ^ U gérant : À. Vwctliw» se fait le plus sentir. Par le verdet. — Une Commission instituée par Huptlmerlfi TtlentlnoU*, place til-Jean, Y àlea«* m la Société d'agriculture de l'Hérault a présenté m * La protection obtenue à l'aide de nuages arti- un rapport favorable à l'emploi du verdet contre ficiels est d m à l'écran opaque interposé par la le mildiou. BULLETIN COMMERCIAL DO 17 AVRIL Voici le mode d'emploi : premier traitement au fumcc entre la vigne et l'atmosphère.Le moyen le U T . r£OCILU5B U T . EL01G3S& uiscnmiifE! plus économique'de produire ces nuages.cst d'uti- pulvérisateur quinze jours ou trois semaines liser des récipients de toutes sortes, remplis de après la sortie des premières feuilles, un derni« , ï î — 41,50 «.=3 — . Jl 55 _ IS rnanjua,... goudron; on augmente l'opacité do la fumée on pro- kilog. de verdet par hectolitre d'eati; 2 hecto- Bici 18,'.5 — 1H.50 t:!.5'l — 1P.73 tfi.Tj _ 13 . jetant un peu d'eau sur les foyers contenant 7 à litres de liquide suffisent à traiter un hectare. il s — il.ss — u j u . r ji— • Seigles Second traitement, trois semaines après, avec Avoines.. 15,7j —• 15,50 13,75 — » 15.75 — 1G * •10 kilog-; de matière goudronneuse et répartis 4 hcctolilres de liquide de même concentration. El. de colia... 55 » — • W » — W,50 41) . — > tous les 11) ou l o mètres. 47 » — . ¡40,75 — . 45,75 — 47,Î5 H. do lin Dernier traitement à la dose de un kilog. de Spiritueux...., L'allumage doit so faire en deux fois si l'on 30 . — . |3l'.25 — £0,50 3i . — . Î6.Î5-2G ..20,£5 — » ,¿0,50 - £0,23 vrut réduire les frais de combustible : 1° au verdet par heclolitre et à 8 hectolitres à l'hectare Surrcs. moment de l'avertissement de la gelée; 2° uno doit se faire un mois ou six semaines après, Hausse sur farines, seigles cl apiritue-jx. quand la végétation est complète. Sans ebaegetneat sor bica, avoines et hniles. demi-heure avant le lever du soleil. Baisse sur itères. Si l'invasion du mildiou sévit dans la région, On opère à l'aide d'un lampon d'étoupe imbibé Halles centrales faire quelques traitements supplémentaires à de pétrole. Petit* bmrres. — On cola au kilofç. : Uaq'-a-Loire 1,60-2,70, Plusieurs viticulteurs se sont déclarés satisfaits faible dose : 1/3 de kilo de verdet par hectolitre Clause 1,40 2,20, Poy-lo-D4m,i et Allier 1,10-2,10. Niort 1.50do l'emploi do poudres répandues sur les bour- d'eati. On fera de même eu automne après la 2,20, Veai'ée, Volluire et Vis 1.70-2,40, B reloges do m 2-2,80, 2-3, AIsace-Larraîiie 2,10-3. geons telles que le <t plâtre, soufre, noir de fumée vendange, si l'invasion arrive. Trois traitements Touraïnc Œiifs. — Oa cole au mille : fiortnandie ei'ra 75-90, Picardie au verdet à la bouillie bordelaise ne coûtent pas «ira lait de chaux a, etc. (Voir plus loin.) 75-92, Brie csira 63-72, Touraino gros 70-77, ordinaire 01GS, Bcaurn 70-74, Orne G2-72, Pieardie ordinaires 6'J-70, Chstcl. Le « sulfatn de fer », que l'on emploie en dis- plus cher. La préparation du verdet se fait comme suit : emuli 00-61. solution pour le traitement de l'antliracnose, en A u x 1 0 0 kilos Dans un vieux demi-mnid défoncé d'un côté, retardant- l'évolution des bourgeons, a permis, dans certains cas, de combattre avec succès les contenant environ îiOO litres, mettre 50 kilog. de VILLES lite j SOTLE on« irotSE verdet gris en grain et oQO litres d'eau. Agiter i gelées tardives. • i ' Enfin, nous devons mentionner un procédé qui, plusieurs fois par jour pendant trois ou quatre j V e r s a i l l e s . . . . . . . 18 50 I 11,50 IG » l:i,50 : paraît-il, a été employé avec succès, l'année der- jours. j Le ¿ i n n s . * . . . , 17,75 11.50 ir. > 18 17,.il 15-7 ii,5» 10,75 ' Quand on voudra s'en servir, on prendra deux i Rouen. nière, par un vigneron de Rourgucll; sa simpliIX,50 miens... 11,50 10 25 1-t > décalitres de cette préparation, qu'on versera j| AAbbeville cité le mcl à la portée de tous. 17 . 42 . 17 » 10,30 I»,75 lì . 1J,55 17,25 Il s'agit tout simplement de a pulvériser s de dans des fûts de 2 hcctolilres de capacité : on ; A v i g n o n . . . . . . 17, 5 13 „ r . >. 10 » Bir-le-Duc. passera à travers un tarais et on complétera l'eau ordinaire sur la vigne, alors que l'on a été îs.r.o 11.50 15.25 17 73 . chaque fût avec de l'eau. Ces barils sont ensuite ;j »¿ois averti de l'apparition d'une gelée. 9 17,30 i B o r d e a u x . . . . . . . . . . . . . . . . 18.30 I '! u 11 se produit, de cette fa< on, ua dégel lent et, emportés à ta vigne et servent pour alimenter : C o m p i è g n o . . . . . . . . . . . . . . . i ; s o U » 14 3 10 » ! ; C'iâlons— o r - M a r n e . . ( S , i 5 11,25 14.30 10,25 : les pulvérisateurs. par conséquent, non nuisible. 1 .73 11.25 Ctialon-sur-Saóuo 1I.Ì5 i / s ; A défaut de pulvérisateur, on peut se servir USO 10.50 13 50 Dourdan 1 ¡,30 ! d'un petit balai; mais l'opération est alors moins : Dijon 17, 5 10 > 13 » ; 11 25 17,75 <4 . j E p c r n a y . . . . 11 » 10,75 1 parfaite. Bien asperger lo dessous des feuilles. i ; 53 10 5 j 13,25 i 11,50 Lo mildiou des pommes do terre M.jfl 13.2'. II", »' a • Lvon. La bouillie bordelaise est également employée 1 L i l l e . . . . 13 . | 1 ',25 11.75 1J » , PUIiVTAMÈllES 17,25 10 5 0 . n 12,25 contre le peronospora ou mildiou qui .s'allaquc ! Laval IS B 10 75 10 30 ! ] Montargis : 1.1,-S 11.73 13 . L'emploi de la poussière de chaux contre les aux tiges de pommes de terre. 18.30 12 » ; Morlsix . 1C.2J 11.30 10,73 ) ! Mâcon, gelées printaulèrçs a donné d'excellents résultats. 13,23 11,.H) » 1 10,V5 ( J Nantes... Se procurer de la chaux grasse en pierres, que l'on fait fuser à l'air en poussière fine; cette B O Œ S E D E C E T T E S E M A S S E poussière est ensuite conservée àsec dans l'apparCoïts l " h . r , Ulti:) Mue d e s v o l a i l l e s . — L.. b P. — Les volailles i tement. It ¿».-¡i ltjluiiit lejia t u IIMTJ VALEURS Le soir, quand il y a lieu de craindre la gelée plaeéesùansde bonnes conditions hygiéniques traversent blanche, on répand, avec la soufreuse ou avec la crise de la mue sans trop do difficulté, mais celles 3 r.Operpdioe) . c : s . . 1 0 ; ; : 5 . . . . . . .102 70 un appareil quelconque, cette chaux réduite en qui sont ma! entretenues et insuffisamment nourries ^ 0 0 s m ô r : " " t i l s ;o . . . . . . .101 î-i la supportent avec peinect porissonten £rand nombre. .10-. t. .101 ï) 3i,2co<ivr J-c.i IsM. poussière sur les bourres et les jeunes bourgeons, • il .. so t o n W r c s tt-77 T, O U I j u . . . . .. Pendant la crise, il est bon de tenir chaudement sur la souche de la vigne, ainsi que stir les _ l £ , 9 3 O O l i i t » . . . . .303 :>> . .... .. 3 0 . 5 0 .43 . . arbres fruitiers, de manière à en blanchir et ces animaux, de leur donner une nourriture touiquo _ ) f M 3 U.Olols .407 . . et fortifiante, et aussi de mélanger quelques pincées _ 1 6 Î 5 3 I'/Ulo«-- — . t u . 50 . . . . .. . 97 couvrir toute la surface. .. . . . . . . , 3 j | 5'J .301 . . 3 0;0:ou La chaux a la propriété d'absorber l'humidité do sulfate de fer à leur boisson habituelle. Il faut C o n_n u s . ib7'J A'J J ... . . . . . i t * 0 ï 0 0 lois .10.. aussi éviter qu'ils soient mouiiiés par ia pluie on _. ISSI 3 0 0 l o i s . . . . produite et déposée la nuit sur les jennes bour_ I t t t S . i O O . O . o u . . . , i s o i y. * , " '. MJ . . geons herbacés hâtifs de la vigne et sur les bou- qu'ils piétinent dans l'humidité. L'avoine est. pendant • ir.i . . OMi-at. <-i- ¿ t f a - £ u . . . . . . ' . .47, ô J tons à Heurs des arbres fruitiers. Ces boutons, h crise, uno bonne nourriture pour la volaille. JL Nord .155 . . .4 1 . . J. et Jl., à Salaise (Isère). — La poule campine est _ Nord-Est. étant bien recouverts de cette chaux, tic sont • ••74 7 5 . . . . .. _ Midi . . . . . . .4..: . . ni atteints par la gelée, ni brûles par lo soleil petite, œai3 elle est très rustique et très bonne ponF.-L.-U. fa*jea ancicna - . , . . . .4SI . . i l s s : : .ÎSI . . qui les frappe enstiilc. La chaux, par sa blan- deuse. i'.-L.-ìl. tu-:ûu u o u v e l J j . . . . . .¡75 50 .•77 50 .474 73 — O r l e a n s . . • iJ'J . . .473 25 cheur et sa siccité, les protège contre l'action du .47 . 75 * —. O j o f l . . , , .470 .U •4;t . . froid et du rayonnement. REVUE C G i m R C I A L E J E LA SEMAINE Ville de Paris S " U . 4,7 •41'J . . Pour les arbres, on pratique le chaulage avant .i03 1/41871 .107 50 . 1 - 8 50 Etat des récoltes. — Depuis huit Jours, I* végétation de» —1 1975,».. l'épanouissement îles fleurs et après que la fécon- céréales •57S , . . . . . . . «... . . .501 . . d'hiver a laït beaucoup "de progrès, et pour Je moment m» Jj41Wti, , „ , „ , 1 , •101 . . .10J 5 J dation a eu lieu. elle ©si magnifique. Emploi k la Alanx contre les gelées CORRESPONDANCE 'Mi '.'.