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Le billet de Said Mekbel Le PT qualifie d’abjects les propos de Bouchouareb Une affaire Des d'élèves rassemblés hier devant le siège de la DE d'Alger ouest Education. L’heure est à la prise en charge du sérieux problème de l’année blanche en train de se concrétiser à la suite de la grève impopulaire à l’œuvre depuis le 16 février à l’appel du Cnapeste. ue faire ?» se demandent responsables du secteur et parents d’élèves, subitement mis dans une situation sans précédent. Faire refaire une année entière à des élèves étrangers à l’envie insatiable d’enseignants qui font de l’augmentation salariale leur seule ligne de conduite ? Une idée sans assise sérieuse en Algérie et ailleurs dans le monde. Tout comme l’autre d’ailleurs, celle qui consiste à donner le bac à tout le monde et, plutôt que de faire dans la réforme du plus malade des secteurs en Algérie, faire du Benbouzid sans Benbouzid en érigeant sa logique du bac politique la politique de notre système d’éducation. Un terrain sur lequel Benghebrit, la seule ministre jusque-là digne de l’héritage Lacheraf, ne s’aventurera pour rien au monde. Avec ou sans la malfaisance du Cnapeste. Sauf que, d’ici le règlement définitif du précédent né de la grève impopulaire de ce syndicat, le principal souci reste ces candidats au Bac pris en sandwichs entre la nécessité de passer l’examen du prestigieux diplôme de l’enseignement secondaire et le son de cloche contraire seriné par des enseignants qui font de l’élève leur moyen de chantage. C’est ainsi que, hier matin, des dizaines de lycéens de Cheraga, Staoueli ou Ain Benian se sont rassemblés devant la direction de l'éducation d’Alger ouest (Chéraga, Alger) à l'appui de revendications pédagogiques, a constaté un journaliste de l'APS. Les représentants de ces lycéens ont été reçus par les responsables de l'académie d'Alger ouest, et ont reçu des explications, en particulier sur l'utilisation de CD proposés par le ministère pour compenser le retard dans la conduite des cours induit par la grève des enseignants adhérents au Cnapeste. ''Les lycéens ont soumis leurs préoccupations concernant l’utilisation des CD pour compenser l’absence de cours, le «Q seuil (el Ataba) des cours sur lesquels portera l’examen du baccalauréat, ainsi que les examens trimestriels'', a-t-on expliqué à la direction de l'éducation d'Alger ouest. Le secrétaire général de l’Académie a indiqué qu’il a reçu une délégation de lycéens pour ''examiner l’ensemble de ces questions'', ajoutant que ''les solutions proposées ne diffèrent pas de celles concernant les autres lycées du pays''. Il a indiqué que les CD sont conçus afin que les lycéens puissent assimiler le contenu du programme officiel et que ''la question des examens pour le deuxième trimestre a été tranchée''. Il a rappelé que la ministre de l’Education nationale, Mme. Nouria Benghebrit, a évoqué mardi l'annulation "éventuelle" des examens du 2e trimestre pour les classes de terminale en raison de la grève. Sur la question des lycéens sur le seuil des cours, le même responsable de la direction de l'éducation d'Alger ouest a expliqué que 30 contrebandiers arrêtés à Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar Sécurité. Trente (30) contrebandiers ont été arrêtés et un camion et deux véhicules tout-terrain saisis mardi à Tamanrasset et à Bordj Badji Mokhtar par des détachements de l'Armée nationale populaire (ANP), a indiqué mercredi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué. "Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la contrebande et le crime organisé, des détachements de l'ANP, relevant des secteurs opérationnels de Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar (6è région militaire), ont appréhendé, hier le 17 mars 2015, trente (30) contrebandiers", lit-on dans le communiqué. Lors de ces opérations, un camion, deux (2) véhicules tout-terrain, (7,16) tonnes de denrées alimentaires, des médicaments, des pro- duits pharmaceutiques, (1.200) paires de chaussures, (3.590) litres de carburant, (34) détecteurs de métaux, (540) grammes de pierres contenant de l'or, dix (10) téléphones portables et une somme d'argent estimée à (2.500) dinars algériens et (55.500) CFA, ont été saisis, a précisé la même source. Dans le même contexte, les éléments de la Gendarmerie nationale, relevant des secteurs opérationnels d'Oran (2è région militaire) et d'Adrar (3è région militaire) ont intercepté sept (7) immigrants clandestins, a ajouté le communiqué du MDN. Par ailleurs, les éléments des Gardes-frontières de Bechar (3è région militaire) ont saisi (24,36) kilogrammes de kif traité", a conclu la même source. ''cette question est traitée au niveau national, et non au niveau de l’Académie''. Pour autant, les lycées n’étaient pas satisfaits des réponses obtenues auprès des responsables de cette direction de l'éducation de la wilaya d'Alger, qui en compte trois (centre, est et ouest), sur cette question de cours dispensés à travers des CD, indiquant que certains élèves n’ont pas d’ordinateurs. La délégation de lycéens est issue des daïras de Chéraga, Staouéli, Ouled Fayet et Aïn Benian. Les lycéens ont annoncé qu'ils vont tenir ''d’autres mouvements de protestation''. A Alger-centre par ailleurs, aucune perturbation des cours mercredi n'a été enregistrée au niveau des lycées de Okba, Emir Abdelkader, Frantz Fanon et Omar Racim, selon des élèves interrogés par l'APS, qui font état de ''peu d'engouement'' pour les CD dispensant des cours accélérés pour les candidats au Bac. Dj Kersi et agences « Oui, Monsieur le ministre, il y avait beaucoup de monde au meeting. Si j'ai dénoncé l'action des trabendo ! Bien entendu j'ai dit que c'étaient eux les saboteurs qui sont à l'origine de toutes nos misères économiques, politiques, philosophiquès et démographiques. La réaction du public ? Plutôt favorable, à part un comique qui a crié « Fako ! », l'ensemble a bien réagi à mon discours. Ensuite ? J'ai lancé un appel à tous les coeurs : j'ai dit qu'il fallait qu'on réagisse contre les saboteurs et qu'on allait gagner parce qu'on est un peuple fier, un peuple qui a du « nif ». Si le coup du « nif » a marché ? Et comment ? Sauf pour le même comique qui a encore dit « Fako ! » Et j'ai dit qu'il fallait nous unir, qu'on resserre les rangs, qu'on se serre les coudes et s'il le fallait qu'on se serre la ceinture. Alors y a un type qui est venu devant la tribune officielle — non pas le «Fako ! », un autre — et le type il s'est tourné vers le public et il a serré la ceinture pour donner l'exemple. C'était sublime. Alors on s'est mis à offrir des ceintures à tous ceux qui n'en avaient pas pour qu'ils puissent se la serrer à leur tour. Pardon ? D'où on a eu les ceintures ? Eh bien, chez un trabendo de la ville, une affaire en or... Allô ? Allô ? Ça y est, il a raccroché. Je comprends pas ! Même avec un taux de change parallèle favo¬rable, c'était une affaire en or ces ceintures ! El Ghoul 2 février 1990 Paludisme : un cas de malaria enregistré à Blida Un patient souffrant de malaria (paludisme) a été enregistré au niveau du service des maladies infectieuses de Boufarik (Blida), a-t-on appris, mercredi, auprès de son responsable. Il s’agit d’un jeune homme de 36 ans, actuellement placé en isolement et soumis au traitement, a indiqué Mohamed Yousfi, signalant que son état est stable. Il a expliqué ce cas par le fait que cette personne n’a pas pris le traitement préconisé lors de son déplacement en Guinée équatoriale, pour soutenir l’équipe nationale de football en Coupe d’Afrique. Selon ce responsable, les principaux symptômes de cette maladie répandue dans les pays d’Afrique subsaharienne, sont la fièvre, nausées, maux de tête, et douleurs musculaires, entre autres. Passe d’armes. Pour le parti des travailleurs, les propos de Abdeslam Bouchouareb confirment, si besoin est, «les craintes exprimée par le PT sur le climat ambiant créé par les agissements de l’oligarchie qui veut faire taire toute voix discordante et empêcher les députés du PT de respecter programme comporte des prises de parole lors de la cérémonie de réinhumation, suivie d’un déjeuner. Seulement lorsque nous nous sommes rendus sur les lieux pour nous enquérir des préparatifs précédant cet acte de réhabilitation à titre posthume de nos valeureux chouhadas, nous avons constaté de visu que la cérémonie ne sera qu’un léger toilettage que subiront ces ossements. Car, a-t-on appris sur place, ils ne seront que réinstallés dans ce triste caveau qui les a hébergés durant plus de 40 années. La raison pour laquelle ils regagneront leur « domicile » antérieur est que les tombes qui se trouvent en ce cimetière de chouhada ne sont en réalité que des plots de béton avec des pierres tombales, et cette surprise n’a eu lieu qu’hier : d’où l’impossibilité d’enterrer ces restes sacrés de chouhadas. Bejaïa-Beni Mansour Le dédoublement de la voie ferrée pas encore sur rail Quotidien national d’information Directeur fondateur : Fodil Mezali Au moins 19 morts dans un attentat terroriste hier en Tunisie Tunis cible du salafisme Blocage. Le déplacement des responsables du rail au niveau national, Anesrif, Infra rail et les deux bureaux à qui a été confiée l’étude de ce tracé de «la discorde» long sur 80km, n’aura finalement servi à rien si ce n’est à provoquer encore une fois l’ire des citoyens touchés par les opérations d’expropriations et qui se comptent par centaines. En effet, avant-hier, une réunion a été tenue à la salle des conférences de la wilaya à l’effet de rapprocher les positions diamétralement opposées. Y étaient présents les élus locaux, le wali, les responsables de l’Anesrif et les citoyens menacés d’expropriation. Peine perdue : la rencontre tant attendue s’est terminée en queues de poisson. (Bbker Amrani) Suite en page 6 Voie ferrée : le réseau devrait atteindre 12.500 Km à l'horizon 2020 Lire en page 4 19 mars : 11 stèles à réaliser à la mémoire de 11 colonels de la wilaya III Selon le porte-parole du ministère tunisien de l'Intérieur, « l’attaque a été perpétrée par un groupe terroriste composé d’au moins deux éléments armés de Kalachnikov » à un moment où une centaine de touristes, de différentes nationalités, s’y trouvait à l’intérieur du musée du Bardo. Lire en page 7 Mokhtar Chebbah à LaCité : «Cette société où le vieux ne vit pas de sagesse…» Lire en pages 12 et 13 Tiɣremt : «La Cité» dans la langue chère à Da L’Mouloud Mammeri Lire en pages 2 et 3 Lire en pages 15, 16, 17 et 18 Les «je dis» de Lem L’heure est à l’heur loin des heurts L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 20 mars Journée internationale du bonheur. Et aucun pays du conseil de sécurité n’a exercé son droit de veto. Un jour normal sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d'usine, sans expulsion... est-il possible ? Mais qu’est-ce que le bonheur ? Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n’est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus. Le bonheur est un état global. L’homme heureux est comblé. Il vit une forme de plénitude. Sa situation est stable : elle présente un équilibre et seul un élément extérieur pourrait la modifier. Mais à chacune et à chacun son bonheur. Ainsi, il y ceux qui trouvent cette volupté dans le beau vin ; Le comble de toute cette supercherie de l’humain envers le martyr, c’est cette façon d’avoir menti durant tout ce temps à tout le monde, aux morts et aux vivants. Cette tromperie est innommable car chaque pierre tombale portait le nom d’un Chahid alors qu’il n’avait que du béton. Au total il y aurait 60 martyrs dont les noms sont portés sur un tableau qu’abrite un mémorial menaçant ruine. Un projet de remise en état de ce cimetière a fait l’objet d’une procédure qui ne tardera pas à voir le jour selon le premier magistrat de la commune, rencontré sur place. La question qui demeure posée : pourquoi cette impunité de jouer avec des sacralités ? Gloire à nos Martyrs. Lounis Ou Si Amer question au Premier ministre et dans laquelle il a appelé à la mise en place de la politique dite de préférence nationale dans le cas de l’entreprise publique de motocycles CICMA» qui n’est «qu’une privatisation déguisée et n’est-ce pas là du bradage ?». Lire en page 2 le compte rendu de Larbi kacel Des ossements de chouhadas ré-inhumés aujourd’hui à Boudjellil Sépulture. 53 ans après l’indépendance chèrement acquise, il y’a malheureusement encore matière à revenir sur les repos éternels de nos valeureux guerriers. C’est aujourd’hui 19 mars 2015 que seront ré-inhumés les ossements de certains chouhadas fortuitement découverts entassés dans de vulgaires sacs en plastics. Suite à quoi La Cité, soucieux d’en informer ses lecteurs sur un fait sans précédent dans la région, a consacré à l’évènement un article détaillé dans l’édition 559 du 24 février 2015. Un article qui a fait réagir le maire de Boudjellil par une mise au point publiée dans le N° 570 de la Cité en date du 9 mars courant, conformément à la loi relative à l’information. Sans commentaire. Une cérémonie est programmée à cet effet et beaucoup d’invitation ont été distribiuées à l’occasion. Le leur mandat en posant les problèmes qui leur sont soumis par les citoyens en général et les travailleurs en particulier». Sinon s’attaquer à Smain Koudria, le député du parti de Guelma, avec autant de «mépris» alors qu’il n’a fait que «respecter son mandat de député en posant une N° 579 Jeudi 19 mars 2015 Prix 15 DA ceux-ci le trouvent dans le divin ; ceux-là le découvrent quand ils consomment du bovin ; il y a des gens qui rencontrent le bonheur en devenant écrivains ; certains sont heureux quand ils touchent des pots-de-vin ; d’autres ressentent ce sentiment d’euphorie en sortant d’un ravin ; quelques-uns, sans être devins, savent qu’ils connaîtront un jour le bonheur même à la veille d’un âge dont le nombre totalise quatre-vingts ; ces fans de foot se trouvent en extase parce qu’ils sont chauvins ; le boulanger, lui, est dans un état de délectation devant la bonne qualité du levain… Oui, le bonheur c’est fou ! Et il faut être fou pour ne pas chercher cet état de plénitude absolue ! La journée du bonheur, c’est demain, vendredi 20. Alors, buvez la vie à deux mains, et que Dieu exauce tous vos vœux de bonheur de bonne heure, et jamais en vain… Lem www.lacitedz.net A la une 02 u La Cité «Le programme dʼhabitat inscrit en Algérie dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014 a été réalisé à 99%. Nous avons pu réceptionner, pour la première fois depuis lʼindépendance du pays, 328.000 logements, tous segments confondus, à la fin de 2014, contre 247.000 unités en 2013. Il sʼagit-il là dʼun rythme à maintenir, les besoins qui se chiffrent actuellement à 720.000 logements seront satisfaits lors du quinquennat 20152019 à la faveur de la pleine exploitation des capacités nationales et du fichier national de lʼhabitat». Abdessalem Bouchouareb, ministre de l'Industrie et des mines : «Il n'y aura pas de privatisation dans le cadre de la nouvelle loi sur l'investissement qui se trouve au niveau du Parlement. la démarche du Gouvernement consiste en le soutien des grands groupes industriels nationaux. Le mot privatisation a été définitivement retiré du projet de loi relatif à l'investissement déposé par le ministère au niveau de l'APN. Il n'y a pas lieu de privatiser les entreprises publiques à l'avenir, le partenariat publicprivé est l'une des priorités du secteur». Faouzi Saichi dit Rmimez, comédien-acteur : «On mʼa déjà rendu des hommages à lʼétranger, mais rien ne vaut celui quʼon me rend aujourdʼhui dans mon pays. Un hommage rendu à un artiste de son vivant et lorsquʼil est encore en bonne santé, est très encourageant. Le cinéma algérien a connu son âge dʼOr dans les années 1960, 1970 et 1980. Aujourdʼhui, il est en balbutiement après une décennie noire qui nous a complétement abattue. Je suis toutefois très optimiste et je crois que la nouvelle génération va relever le défi». Terrorisme : un fournisseur d’une caserne militaire tué hier à TiziOuzou L’accalmie qui règne dans la wilaya de Tizi-Ouzou depuis quelques mois, bien qu’elle soit toujours considérée comme l’un des derniers bastions du terrorisme avec celles de Boumerdès et Bouira, a été rompue hier en milieu de journée après que les terroristes eurent signé un attentat, encore un, au niveau de la commune d’Akkerou, 60 km au nord-est de la capitale du Djurdjura. En effet, un commerçant, fournisseur d’un cantonnement militaire implanté au niveau de tifrit N Ath El Hadja, chef-lieu de la commune d’Akerrou, a été tué à un faux barrage sur la route reliant cette commune à celle d’Azefoun. Le camion a été intercepté par les terroristes au nombre indéterminé après avoir déchargé sa marchandise au niveau du cantonnement miliaire. En refusant se s’arrêter, il a été mitraillé par les hommes armés. Le camion a été ensuite incendié sur les lieux. L’accompagnateur du chauffeur tué a été retenu en otage pendant un moment avant qu’il ne soit libéré. C’est la première fois qu’un faux barrage est signalé dans la wilaya de Tizi Ouzou depuis plusieurs mois. Dahbia B La Cité Jeudi 19 mars 2015 Verbatim Abdelmadjid Tebboune, ministre de lʼHabitat, de lʼurbanisme et de la ville : Sports L’islamisme frappe au Terrorisme. La Tunisie est sous le choc. Pas moins de 19 personnes dont 17 touristes étrangers ont été tuées et une trentaine d’autres, blessées, hier, mercredi 18 mars, en tout début d’après-midi, dans une attaque menée par des hommes armés contre le musée du Bardo à Tunis. elon le porte-parole du ministère de l'Intérieur tunisien, « l’attaque a été perpétrée par un groupe terroriste composé d’au moins deux éléments armés de Kalachnikov ». Et ce, à un moment où une centaine de touristes, de différentes nationalités, s’y trouvait à l’intérieur ; dont une bonne partie a pu être évacuée par la suite. Et ce, grâce à l’intervention des forces de sécurité tunisiennes. Une intervention qui s’est faite après un moment de flottement ; des informations contradictoires ayant fait état, dans un premier temps, que l’attaque terroriste avait visé le siège du parlement tunisien installé dans la proximité immédiate du musée du Bardo. Où, élément qui a contribué à donner un crédit certain à cette information, se discutait un projet d’une loi antiterroriste. Pour en revenir à l’attaque contre le musée du Bardo, une attaque qui est, selon des sources concordantes, la plus sanglante qu’a connue notre voisin de l’Est, il semble, à l’heure où nous mettions sous presse, que l’édifice archéologique soit toujours encerclé par les forces de sécurité. Et ce, du fait que les éléments terroristes y soient toujours retranchés avec des otages parmi les touristes qui s’y trouvaient au moment de l’attaque. Cet acte terroriste sans précédent dans l’histoire de la Tunisie a secoué tout l’establishment politique du pays. Le président Béji Caïd Essebsi devait adresser, dans la soirée d’hier, un message à ses compatriotes alors que le Premier ministre, Habib Essid, s’est empressé de se réu- S nir avec ses ministres de l’Intérieur et de la Défense. Des réactions qui dénotent et de la gravité de cette attaque : en ciblant un site touristique par excellence, les terroristes ont, à l’évidence, voulu porter un sérieux coup à l’économie tunisienne déjà chancelante : le tourisme étant, en effet, un de ses vecteurs essentiels, et, partant, de la persistance de la menace terroriste sur la Tunisie. Ce qui donne tout son sens à la coopération sécuritaire entre l’Algérie et notre voisin de l’Est et souligne la nécessité de l’approfondir. Surtout que cette attaque survient à un moment où toute la région est sous la menace d’une déstabilisation à grande échelle. Comme l’indique la détérioration continue de la situation sécuritaire dans la Libye voisine et ce, malgré tous les efforts déployés par notre pays et l’ONU pour amener les différents protagonistes de la sanglante crise qui s’y déroule, à une solution pacifique et négociée de celle-ci. Et le suggère le flou qui entoure le devenir du Mali après le surprenant refus des trois membres composant la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA), de parapher « l’accord préliminaire de paix » signé, au début du mois en cours, à Alger, par le gouvernement central de Bamako et divers groupes armés activant au Nord-Mali. Des faits qui rendent encore plus concrète la menace à nos frontières. Et imposent à notre classe politique de mettre au-dessus de toute considération partisane la stabilité et le devenir du pays ; stabilité et devenir qui ne peuvent aucunement être dissociés de ceux des pays de notre voisi- Ligue 1 Mobilis (23e journée). L'ES Sétif et le MO Bejaia, les co-leaders du championnat de Ligue 1 Mobilis de football joueront gros ce week-end, à l'occasion de la 23e journée, avec un déplacement périlleux pour les Sétifiens à Alger pour croiser le fer avec le MC Alger qui lutte pour sa survie, tandis que le Béjaouis partent a priori favoris contre le CR Belouizdad. le ministre de l’Industrie… Pour le parti des travailleurs, les propos de Abdeslam Bouchouareb confirment, si besoin est, «les craintes exprimée par le PT sur le climat ambiant créé par les agissements de l’oligarchie qui veut faire taire toute voix discordante et empêcher les députés du PT de respecter leur mandat en posant les problèmes qui leur sont soumis par les citoyens en général et les travailleurs en particulier». Sinon s’attaquer à Smain Koudria, le député du parti de Guelma, avec autant de «mépris» alors qu’il n’a fait que «respecter son mandat de député en posant une question au Premier ministre et dans laquelle il a appelé à la mise en place de la politique dite de préférence nationale dans le cas de l’entreprise publique de motocycles CICMA» qui n’est «qu’une privatisation déguisée et n’est-ce pas là du bradage ?». Et au bureau politique de se vouloir plus direct dans la réplique au ministre de l’Industrie et des Mines en estimant que «les contours de la clique oligarchique se dessinent et sa composante se précise et apparait clairement », accusant Bouchouareb u 23 Basket-ball : victoire du GS Pétroliers devant le CSMBB Ouargla (84-46) Le GS Pétroliers s'est imposé devant le CSMBB Ouargla sur le score de 84 à 46, en match comptant pour la mise à jour du calendrier du championnat d'Algérie de basket-ball, Super-Division "A", disputé mardi : Grâce à cette victoire, les Pétroliers champions d'Algérie en titre remontent à la 3e place du classement avec 33 points. Le deuxième match de cette mise à jour, mettant aux prises le CRB Dar El-Beïda au NB Staouéli n'est pas allé à son terme, en raison de la blessure d'un arbitre lors du 2e quart-temps, alors que le CRBDB menait par (16-12). Résultats: GS Pétroliers - CSMBB Ouargla 84-46 CRB Dar El-Beïda - NB Staouéli 16-12, match arrêté e champion d'Afrique sétifien qui reste sur une victoire écrasante contre l'ASM Oran (5-2) se rendra au stade Omar Hamadi pour affronter une équipe du MC Alger dos au mur et condamnée à vaincre pour sauver sa peau. La mission des hommes de Kheireddine Madoui s'annonce ardue mais pas impossible au vu du parcours réalisé jusque-là sur les trois fronts (championnat-coupe et Ligue des champions). Avec la forme affichée par l'ex-mouloudéen Younes auteur d'un coup de chapeau contre l'ASMO et l'opportunisme de son buteur Ziaya, les Sétifiens possèdent de sérieux arguments à faire valoir. Quant au MCA qui reste bloqué à l'avant dernière place, la victoire est plus qu'impérative pour espérer s'extirper de la zone rouge. Les coéquipiers de Gourmi qui demeurent sur une précieuse victoire contre l'USMBA (1-0) tenteront d'enchaîner une seconde victoire de suite. L nage immédiat et de toute la région maghrébo-sahélienne à laquelle, tous, nous appartenons. D’où l’urgente nécessité de renforcer la coopération, dans tous les domaines, entre l’Algérie et ses voisins, Le PT qualifie d’abjects les propos de Bouchouareb Passe d’armes. Réponse du berger à la bergère. Ou de la bergère au berger ? C’est selon ! Le Parti des Travailleurs n’a pas trop tardé pour répliquer tout aussi vertement au ministre de l’industrie et des mines. Un ministre qui, selon le parti de Louiza Hanoune, qui tenait, hier mercredi, une réunion du secrétariat du bureau politique, a perdu son sang-froid et son devoir de réserve, s’est évertué à tenir des «propos abjects» à l’encontre du PT, sa secrétaire générale et son député qualifiés de «menteurs», de «manipulateurs» et de «clowns politiques». Et au PT de s’interroger : «Mais qu’est-ce qui justifie ces attaques contre le PT et en de tels propos indignes d’un ministre de la République et relevant même de la baltaguia ? » Puis, fidèle à une démarche à l’œuvre depuis le règne économique du duo Khellil-Temmar, il poursuit : «Est-ce parce que le PT dénonce et se bat contre le règne de l’oligarchie qui signifie que toutes les institutions de l’Etat, y compris le Parlement, sont soumis à la seule loi du profit, à la loi du Talion ? » A une réaction…prochainement l’autre. A moins que L'ES Sétif en danger le MO Béjaia pourrait en profiter Jeudi 19 mars 2015 d’en être «un des porte-voix». Poursuivant sa diatribe, le PT se dit ne faire partie d’aucune clique, de quelque nature qu’elle soit. Aucune attaque, aucune insulte ni provocation ne nous fera dévier de notre combat indépendant en défense des intérêts de l’immense majorité du peuple algérien, combat dont nous renouvelons l’engagement en cette veille de la fête de la victoire acquise par le sang de nos martyrs». A rappeler que le ministre de l’Industrie et des Mines a usé d’un ton inhabituel, avanthier en s’attaquant en des termes peu amènes aux responsables du PT, qui l’ont accusé d’adopter une stratégie de bradage des entreprises économique du pays. «Je ne sais pas si c’est à elle que je devrais répondre ou à celui qui l’a missionnée », a notamment réagi Bouchouareb, parlant de la secrétaire générale du PT qu’il accusera de s’adonner à des «clowneries politiques». Il usera même de l’ironie en soutenant avoir été lui aussi dans sa jeunesse «troskyste» et que «nul n’a le monopole du nationalisme». Larbi Kacel De son côté, le MO Bejaia qui joue sur les deux tableaux après sa qualification pour les demi-finales de la Coupe d'Algérie, accueillera le CR Belouizdad avec la ferme intention de retrouver le chemin de la victoire après la défaite essuyée face au CS Constantine (1-0). Intraitables sur leur pelouse, les protégés d'Abdelkader Amrani miseront une nouvelle fois sur le duo Hamzaoui - Zerdab pour engranger les trois points de la victoire et espérer un faux pas des Sétifiens à Alger pour reprendre seuls la tête. Mais les Belouizdadis qui ont été contraints au match nul par le NAHD lors du derby algérois (0-0), devront se ressaisir pour rester dans le peloton de tête. L'USM Alger (3e) qui reste sur une amère élimination en huitième de finale de la Coupe d'Alger devra désormais concentrer toute son énergie sur le championnat pour espérer rester dans la course au titre. Les Usmistes qui sont à quatre longueurs Fin du stage de Sidi Moussa pour la sélection olympique La sélection olympique algérienne a clôturé mercredi son stage de préparation entamé dimanche au Centre Technique National (CTN) de la Fédération algérienne de football (FAF) à Sidi Moussa en prévision de ses prochaines échéances. Vingt Six (26) joueurs, tous des locaux, ont pris part à ce stage sous la houlette du sélectionneur national olympique, le Suisse André Pierre Schurmann. L'équipe entamera un nouveau regroupement dimanche prochain au CTN de Sidi Moussa et qui sera ponctué par un match amical face au CR Belouizdad, pensionnaire de Ligue 1 algérienne de football, indique le site officiel de la FAF. Cette rencontre remplacera celle prévue initialement contre la sé- lection olympique du Ghana. Les ''Blacks Stars'' ont décliné à la dernière minute l'invitation algérienne. Les protégés de Shurmann préparent les éliminatoires du championnat d'Afrique des moins de 23 ans, un tournoi déplacé au Sénégal après le désistement du RD Congo, et qui aura lieu fin 2015. Il sera qualificatif aux Jeux Olympiques de Rio De Janeiro (Brésil) en 2016. du duo de tête effectueront un court déplacement au stade du 20-août pour affronter le NAHD dans un derby qui promet beaucoup. Les hommes d'Otto Pfister sont dans l'obligation de remporter la victoire pour consolider leur troisième place qui est également ciblée par l'ASM Oran, qui tentera à l'occasion de la réception de la JS Kabylie à huis clos de s'imposer. Le NAHD, premier relégable et éliminé en quart de finale de la Coupe par le RC Arbaa, se doit de réagir pour ne pas compromettre ses chances de maintien. L'ASO Chlef, lanterne rouge, n'aura pas la partie facile face à l'USM El Harrach. Revigorés par leur qualification en coupe d'Algérie, les coéquipiers de Samir Zaoui devront sortir le grand jeu pour espérer s'imposer. L'USM Bel Abbes (13e) accueillera pour sa part le CS Constantine avec un seul mot d'ordre: la victoire à tout prix. Classement : Pts J 1. US Sétif 2. IRBB Arrèridj 3. GS Pétroliers 4. NA Hussein-Dey 5. CRB Dar El-Beïda --. AB Skikda 7. CS Constantine 8. O. Batna 9. NB Staouéli --. OMS Miliana --. USM Blida 12. WA Boufarik --. CSMBB Ouargla 38 35 33 31 30 30 27 26 25 25 25 22 22 20 20 17 19 18 20 20 19 18 19 20 18 19 Les 2e et 5e RM dominent la Coupe d’Algérie militaire des luttes associées Les équipes représentant les deuxième et cinquième Région militaire (RM) se sont distinguées lors de la coupe d’Algérie militaire de lutte associée, en remportant les trophées de cette compétition qui a pris fin, mardi, au niveau de la salle omnisports du complexe sportif de la Première région militaire (PRM) de Blida. Les lutteurs de la 2ème RM ont remporté le trophée dans la lutte libre, alors que ceux de la 5ème RM se sont distingués dans la lutte gréco-romaine, lors de cette manifestation sportive qui s’est étalée sur deux jours, a-t-on constaté. La deuxième place dans la lutte libre est revenue au commandement de la Gendarmerie nationale, dans la lutte libre et à la troisième région militaire dans la lutte gréco romaine. Dans la catégorie de lutte libre, la troisième place est décrochée par les athlètes de la troisième RM, alors que le commandement de la Gendarmerie nationale a occupé la même place dans la lutte gréco-romaine. Le commandant régional de la Défense aérienne la 1ère RM, le général Mustapha Chaabani, a félicité, dans son allocution de clôture de la compétition, les vainqueurs et a appelé l’ensemble des participants à « déployer davantage d’efforts à l’avenir pour développer la pratique sportive au sein des rangs de l’ANP et de représenter dignement l’Al- gérie dans les compétitions internationales». De son côté, l’entraîneur de l’équipe nationale de lutte, Ben Rahmoun Mohamed, a estimé que le niveau de la compétition a été « acceptable », ajoutant que cette manifestation lui a permis de découvrir de nouveaux talents qui seront appelés à faire partie de la sélection nationale lors des jeux olympiques militaires qu’abritera Tokyo (Japon) en octobre prochain. La coupe nationale militaire de lutte associée a vu la participation de 90 athlètes représentant les six régions militaires, le commandement de la Gendarmerie nationale ainsi que la huitième brigade blindée relevant de la 2ème RM., rappelle-t-on. Actuel 04 u La Cité Détente La Cité Jeudi 19 mars 2015 L'Union internationale du gaz finalise son rapport Pillage : 40 tonnes de sable de mer saisies à Skikda Congrès mondial. Un groupe de travail de l’Union internationale du gaz (UIG), réuni à Oran, a finalisé, mercredi, son rapport qui sera présenté lors du Congrès international du gaz prévu en juin prochain à Paris, a appris l'APS auprès de l’Association algérienne de l’industrie du gaz (AIG). e groupe de travail WOC3 a finalisé le rapport qui sera présenté au Congrès mondial du gaz à Paris. Nous avons profité de cette opportunité pour échanger nos expériences avec nos partenaires et ce que font les uns et les autres, notamment avec les intervenants nationaux qui sont, entre autres, Sonatrach et Sonelgaz", a précisé le secrétaire général de l’AIG, Badji Kalad. Le même responsable a expliqué que "ce congrès est d’une importance capitale. Ses recommandations seront des références. L’Algérie, faut-il le rappeler, a rédigé le rapport de prospective 2050 qui sera présenté lors du Congrès", qui est organisé tous les trois ans. Le rendez-vous de juin prochain à Paris accueillera près de 3.000 délégués du monde entier et un millier d'exposants de matériel gazier. Ce conclave de deux jours, tenu à Oran, a regroupé les 14 délégués membres du WOC3 issus de pays des cinq continents, notamment d’Australie, Allemagne, Corée du sud, Tunisie, Slovaquie, République Tchèque, Argentine et Pérou, ainsi que leurs homologues algériens, «L indiquent les organisateurs de cette rencontre qui s’est tenu pour la première fois en Algérie. La première journée de cette réunion a été élargie aux cadres des principaux acteurs activant dans le transport du gaz, à savoir l’activité aval, l’activité transport par canalisation de Sonatrach (TRC) et ses filiales Hyproc et Naftal, ainsi que le gestionnaire du réseau transport gaz (GRTG, filiale de Sonelgaz). Les exposés techniques présentés lors de cette réunion d'Oran ont porté sur plusieurs thématiques couvrant les domaines liés à la construction, le comptage, les stations de compression et la gestion de l’intégrité des pipelines. Les travaux de la deuxième journée ont été consacrés aux membres du comité WOC3, qui ont présenté les résultats des sous-groupes de travail et le programme de préparation du Congrès mondial du gaz de Paris ainsi que le futur programme du triennat 2015-2018. Evoquant la place de l’Algérie dans l’industrie du gaz, M. Kalad a rappelé que le pays est non seulement l’un des plus grands pays gaziers du monde, mais aussi le plus important en Afrique Le réseau ferré national devrait atteindre 12.500 Km à l'horizon 2020 consolider l'industrie ferroviaire, développer la maintenance et promouvoir la formation en vue d'accompagner cet "ambitieux programme", indique le communiqué. M. Ghoul a mis l'accent sur la dimension maghrébine et arabe des programmes ferroviaires algériens dans la mesure où il s'agit de favoriser la connexion des réseaux de transports dans l'espace arabe afin d'y assurer le développement économique, la sécurité et la stabilité. En marge des travaux de la conférence M. Ghoul s'est notamment entretenu avec le ministre des Travaux publics émirati, Abdallah Belhaif Al Nouaimi, qui est également le président du Conseil d'administration de l'Autorité fédérale émiratie des transports terrestres et maritimes. Ces entretiens, ont permis d'évaluer l'état des relations bilatérales dans le domaine des transports pour lesquelles les deux parties ont exprimé leur satisfaction des résultats enregistrés, ajoute le communiqué. u 21 Sadi Djouder Pas moins de 40 tonnes de sable de mer extrait illicitement ont été saisies à Skikda par les éléments de la Gendarmerie nationale, au cours d’une patrouille sur la route nationale (RN) 85, entre Sidi Mezghiche et Tamalous, a-t-on appris, mercredi, auprès de ce corps constitué. Deux (2) individus âgés de 39 et de 60 ans, au volant des deux camions utilisés pour le transport du sable, ont été arrêtés dans la foulée de cette opération au cours de laquelle il a été établi que les deux mis en cause ne disposaient d’aucune autorisation ou document justifiant la présence du matériau, a-t-on précisé de même source. Après extension de leur compétence territoriale, les gendarmes de la wilaya de Skikda, poursuivant leurs investigations, ont découvert près d’El Milia, dans la commune voisine de Jijel, un vaste terrain situé au cœur d’une zone forestière inhabitée où les pilleurs de sable stockent le sable extrait de manière illégale. Une "importante" quantité de ce matériau y a été découverte, a-t-on ajouté, sans toutefois préciser la quantité de sable entreposée. Les deux individus arrêtés ont été placés en détention préventive après leur présentation devant le procureur de la République près le tribunal de Skikda, tandis que les deux camions ont été mis en fourrière et leur chargement saisi. Pas de lien entre l’investissement et la privatisation des entreprises Cas Cycma. Le ministre de l'Industrie et des mines, Abdessalem Bouchouareb a affirmé mardi à Alger qu'il n'y aura pas de privatisation dans le cadre de la nouvelle loi sur l'investissement qui se trouve au niveau du Parlement assurant que la démarche du Gouvernement consistait en le soutien des grands groupes industriels nationaux. Le ministre a précisé lors d'une conférence de presse à l'issue de l'installation de la commission chargée de l'élaboration de l'organigramme des écoles supérieures de l'industrie que "le mot privatisation a été définitivement retiré du projet de loi relatif à l'investissement déposé par le ministère au niveau de l'APN", a-t-il dit. Il n'y a pas lieu de "privatiser" les entreprises publiques à l'avenir, a-t-il souligné précisant que le partenariat publicprivé est l'une des priorités du secteur. Evoquant la stratégie du gouvernement pour le soutien des grands groupes nationaux en cas de difficultés financières à l'instar du complexe d'El-Hadjar qui s'est vu doté d'un milliard d'euros pour sa modernisation outre la réhabilitation des mines de Ouenza et Boukhadra afin d'éviter leur privatisation. Les pouvoirs publics ont décidé, dans le cadre de ladite stratégie, de soutenir et financer la SNVI en vue d'asseoir une base mécanique dans la zone de Rouiba (Alger) et se tourner vers la production des moteurs et des véhicules 4x4. M. Bouchouareb a, par ailleurs, démenti toute intention de privatiser l'entreprise publique de cycles et motocycles (CYCMA) de Guelma rappelant que celle-ci avait bénéficié en 2012-2013 de crédits estimés à 2 milliards DA et d'un effacement de ses dettes d'un montant de 2 milliards DA lui permettant de doubler 8 fois son chiffre d'affaires depuis 2013. Un plan de développement qui s'étale sur 5 ans a été lancé par l'entreprise visant à renforcer ses capacités de production. Il a, en outre, affiché la disponibilité du secteur à soutenir les entreprises publiques qui comptent produire des produits industriels importées actuellement de l'étranger. Le ministre a appelé les entreprises publiques à privilégier les produits locaux et à baisser les prix de leurs produits. Solution MFG N° 567 Projection. Le réseau ferré national devrait atteindre à l'horizon 2020 un total de 12.500 Kilomètres connectés aux infrastructures portuaires, aéroportuaires et logistiques, a déclaré mardi à Dubaï le ministre des Transports, Amar Ghoul cité dans un communiqué de son ministère. Pour renforcer la position de l'Algérie au niveau régional, le gouvernement a arrêté des "programmes colossaux" dans le domaine ferroviaire portant sur le développement, la modernisation et la densification du réseau ferré national, a indiqué le ministre dans une intervention à la conférence ferroviaire pour les pays du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord qui se tient à Dubaï aux Emirats arabes unis. Long de quelque 4.000 km actuellement, le réseau ferré national devra atteindre à l'horizon 2020 un total de 12.500 Km connectés aux infrastructures portuaires, aéroportuaires et logistiques, a précisé M.Ghoul. Le programme du gouvernement vise à et dans le bassin méditerranéen, grâce à ses réserves estimées actuellement à 4.500 milliards de m3 et son potentiel qui reste à découvrir et exploiter, pouvant atteindre entre 3.000 à 6.000 milliards de m3 en gaz conventionnel et 25.000 à 168.000 milliards m3 en gaz non conventionnel. D’autre part, l’Algérie dispose d’un réseau de gazoducs de 9.689 km dont trois gazoducs d’une capacité d’exportation de 50 milliards de m3 par an. Le même responsable a souligné que les capacités nationales de liquéfaction, qui sont de 37 milliards de m3 en gaz naturel, sont soutenues actuellement par une flotte de 8 méthaniers pour le transport de GNL ainsi que par trois autres navires en activité pour le transport du GPL. Il a également rappelé que l’Algérie possède le plus grand réseau de distribution de gaz naturel à l’échelle de l’Afrique et du Moyen Orient, avec 85.000 km de canalisations et 52% de raccordement des consommateurs domestiques et industriels Mots Fléchés Géants N° 568 Jeudi 19 mars 2015 Régions 06 u La Cité Télévision La Cité Jeudi 19 mars 2015 43 % des agriculteurs âgés entre 18 et 40 ans à Boumerdes Agriculture. Un taux de plus de 43 % des agriculteurs (hommes et femmes) de Boumerdes sont des jeunes âgés entre 18 à 40 ans, a révélé, mardi, le président de la chambre d’agriculture de la wilaya. e taux représente près de 12.600 jeunes agriculteurs, sur la totalité de l’effectif des agriculteurs de la wilaya, estimé à 29.000", a ajouté Sadek Sebaoui dans son intervention à la clôture d’un colloque national des jeunes agriculteurs ayant réuni, à Boumerdes, plus de 450 participants de 32 wilayas. "Ce nombre de jeunes agriculteurs représente un potentiel énorme, requérant un encadrement, une valorisation et un accompagnement, par la formation et les différents programmes de soutien initiés, à leur profit, par l’Etat", a-t-il souligné. Il a, en outre, estimé que le nombre de jeunes agriculteurs bénéficiant d’un financement au titre du dispositif ANSEJ, dans la wilaya, est "faible" comparativement aux opportunités offertes par le secteur agricole local, signalant à titre indicatif, le soutien de 268 projets agricoles en 2014, sur un total de plus de 500 projets financé par ce dispositif, à cette période. La deuxième et dernière journée de ce séminaire national a été marquée par la lecture des rapports et recommandations des ateliers mis en place. Les principales recommandations adoptées à cette occasion portent sur l’impératif de la "formation et de l’orientation agricole pour les jeunes agriculteurs et la mise en place d’une cellule chargée de ces deux tâches au niveau de chaque wilaya, avec la création d’un guide du processus technique pour chaque filière de production agricole". La création de crédits fonciers et d’instituts agricoles spécialisés pour accompagner les nouvelles exploitations, suivant les spécificités de chaque région, la réactivation du rôle de l’Office nationale des terres agricoles, la création de périmètres agricoles propres à chaque région, et l’accélération du règlement des dossiers de mise en valeur des terres des régions du sud du pays notamment constituent les autres recommandations émises par les participants aux ateliers. "C Parallèlement, il a été souligné l’importance, pour les professionnels du secteur, de s’organiser en associations et coopératives, outre l’allégement des procédures d’obtention du permis d’exploitation des assiettes forestières, et le relèvement du soutien accordé aux jeunes. Des jeunes agriculteurs du sud du pays seront invités, à l’issue de cette rencontre, à un séjour de cinq(5) jours à Boumerdes, au cours duquel ils visiteront des fermes et des exploitations agricoles de la wilaya, au titre d’une convention de jumelage, signée entre la Mariage collectif pour 25 orphelines à Blida Solidarité. Au total 25 jeunes filles orphelines, âgées de 20 à 28 ans, ont convolé en justes noces à Blida, à la faveur d’un mariage collectif organisé, mardi soir, par l’association caritative Kafil El Yatim. Animée par une troupe de Medahates d’Alger, la cérémonie de mariage a été organisée à la salle des fêtes "Palais El Andalous" d’Ouled Yaïch, en présence d’un grand nombre d’invitées, dont les parentes des mariées, de bienfaitrices et de journalistes, venus s’associer à la joie des nouvelles mariées. Auparavant, les mariées ont bénéficié d’une virée à travers Blida, durant laquelle leur cortège nuptial, fait d’une longue file de véhicules ornés de fleurs multicolores, a sillonné les grandes artères de la ville, avant de s’arrêter au niveau de la salle des fêtes où les jeunes filles, vêtues de beaux karakou traditionnels, ont été introduites sous des youyous stridents. Selon Tirouche Nabila, chargée de la communication auprès de l’association Kafil El Yatim, outre la cé- rémonie de mariage, chaque mariée a bénéficié d’un trousseau d’une valeur de 150.000 DA. L'opération a été financée par des bienfaiteurs. "Notre but principal est d’apporter un peu de joie et de bonheur à ces jeunes orphelines", a-t-elle souligné. Pour leur part, les invitées ont loué cette initiative du reste généreuse, exprimant leur souhait de voir se multiplier ce genre d’actions charitables au sein de la société. Ces nouvelles mariées bénéficieront, samedi prochain, d’une session pour les préparer à la vie conjugale, dont l’encadrement sera assuré par des psychologues, des sociologues et des hommes de culte. Selon la même source, il s’agit là de la deuxième action du genre à être organisée par cette association caritative, après un premier mariage collectif organisé, en 2014, au profit de 50 orphelines, sachant qu’une troisième initiative similaire est programmée pour le 29 maiprochain au profit de pas moins de 115 autres jeunes filles. Chambre d’agriculture locale et ses homologues des wilayas concernées, selon la même source. Plusieurs axes ont été développés lors de ce colloque, ouvert lundi en présence du ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Abdelouahab Nouri, dont la formation des jeunes agriculteurs, l’intégration socioprofessionnelle des agriculteurs, la politique de l’Etat dans l’accompagnement et le développement et les programmes de soutien aux jeunes investisseurs dans le domaine agricole, outre la mise en place d’ateliers de travail. Le dédoublement de la voie pas encore sur rail à Bejaïa Suite de la page une Et pour cause. Après l’exposé fait par l’un des responsables de l’Anesrif, qui a axé son propos sur les bienfaits d’un tel projet pour le transport des voyageurs mais aussi de la marchandise avec une vitesse maximale d’au moins cents kilomètres par heure, et dont les délais de réalisation sont fixés à soixante mois, la réaction des citoyens a été le moins qu’on puisse dire, des plus violentes. «Vous avez effectué ce tracé par internet en consultant ‘google earth’», tonne le porte-parole des citoyens figurant sur cette liste des gens à exproprier malgré les assurances données par le représentant de l’Anesrif, qui répétait, affirmatif, que « les dossiers d’indemnisation étaient ficelés ». Sous les applaudissements des ses camarades, ce porte-parole martèle encore : « nous ne sommes pas contre le projet en lui-même mais nous sommes contre le tracé arrêté, et dont les conséquences sont le chômage assuré à des milliers de citoyens, des écoles à raser et des foyers à détruire ». Face à une telle situation rien ne plaidait en faveur d’une solution consensuelle, les responsables du rail campant sur leurs positions et des citoyens organisés en association de la défense des terrains visés par ce projet sur les leurs. Un véritable dialogue de sourds auquel le wali ne semblait avoir d’autres issues que de solliciter la direction générale des chemins de fers, invitée à réunir les contestataires dans les jours à Alger. «Il s’agit de trouver un terrain d’entente afin que ce projet indispensable au désenclavement de cette région se réalise », selon les dires de Hamou Ahmed Touhami. Avant cela, cette réunion a été émaillée de quelques incidents suite à l’intervention de l’élu APW Djerroud Saadi, qui s’est de prime à bord attaqué au président de cette Assemblée lui reprochant de ne pas avoir convié les élus à cette réunion. Imbroglio ! Dans les halls du siège de wilaya, des voix se sont élevées affirmant que parmi des citoyens à exproprier figurent des individus qui ont procédé à des travaux d’aménagements une fois le tracé arrêté malgré les appels lancés auparavant par l’Ansrif. Raison : exiger des indemnisations plus importantes que celles déjà arrêtées. Ainsi ce projet de la « discorde », avant même son lancement, est émaillé de graves accusations, l’une mettant en cause les capacités des bureaux d’études et l’autre traitant quelques citoyens de malhonnêtes. Qui dit vrai ? B. A. u 19 Programme Télé Bejaïa : les puces mobilis presque inutiles à Ait-Smail En l'absence d'un réseau de qualité, et ce depuis des années, les utilisateurs de téléphones portables à AitSmail, abonnés à mobilis, ont en ras-le-bol de constater qu'en fin de compte le plus mauvais réseau téléphonique dans leur commune est sans aucun doute celui de l'opérateur mobilis. En effet, le réseau en question demeure très fragile dans toutes les contrées de la commune au point de préférer, dans la majorité des cas, éteindre son portable pour que les choses soient claires que de le laisser allumé alors qu'en réalité il n'est couvert par aucun réseau. Si passer un appel de son téléphone s'annonce moins pénible, faire aboutir ce dernier pour que ça sonne chez le destinataire fait partie des sept miracles. Ce calvaire des clients de Mobilis d'Ait-Smail a d'ailleurs poussé plusieurs jeunes, qui s'étaient abonnés à des offres d'appels gratuits, à résilier leur contrat en raison justement des peines qu'ils rencontrent pour joindre quelqu'un ou pour qu'ils soient joints. Ce qui a provoqué jusqu'à ce jour une certaine conviction chez les habitants qui dit qu'AitSmail n'est couverte en réalité que par deux réseaux, à savoir Djezzy et Ooredoo. K. M. Jeudi 19 mars 2015 08h00 : bonjour dʼAlgérie 09h30 : achwak el madina 10h00 : El Aalam Bayna Yadayk II 10h30 : toqouse et dourouss 11h00 : senteurs dʼAlgérie 12h00 : journal en français+météo 12h25 : salma 13h40 : kaoukab el akhdar 14h20 : nour el fadjr 15h00 : entre parenthèses 16h45 : sebaq el madjarate 17h05 : alhane wa chabab 17h30 : takder tarbah 18h00 : journal en amazigh 18h25 : achwak el madina 19h00 : journal en français+météo 19h30 : afrique hebdo 20h00 : journal en arabe 20h45 : FAMILETNA 21h20 : ils ont rejoint le front pour libérer l'Algérie 22h20 : culture club 23h20 : festival de la musique andalouse 06:25 TFou 08:25 Météo 08:30 Téléshopping 09:20 Météo 09:25 Au nom de la vérité 10:25 Petits secrets entre voisins 11:55 Petits plats en équilibre 12:00 Les 12 coups de midi 12:50 L'affiche du jour 13:00 Le journal 13:40 Petits plats en équilibre 13:45 Météo 13:55 Les feux de l'amour 15:10 Lune de miel tragique 17:00 4 mariages pour 1 lune de miel 18:00 Bienvenue chez nous 19:00 Le juste prix 19:55 Météo 20:00 Le journal 20:30 Météo, météo des neiges 20:40 Nos chers voisins 20:45 C'est Canteloup 20:55 SECTION DE RECHERCHES 01:05 New York Police Judiciaire 02:45 Grands Reportages 03:55 Reportages 04:30 Musiques 04:35 Au nom de la vérité 05:25 Petits secrets entre voisins 06:25 Point route 06:30 Télématin 09:05 Dans quelle éta-gère... 09:10 Des jours et des vies 09:35 Amour, gloire et beauté 10:00 C'est au programme 11:00 Motus 11:30 Les Z'Amours 12:00 Tout le monde veut prendre sa place 13:00 Journal de 13h 13:50 Météo, Consomag 14:00 Toute une histoire 15:10 L'histoire continue 15:40 Comment ça va bien ! 17:15 Mon food truck à la clé 18:15 Joker 18:50 N'oubliez pas les paroles 19:55 Météo 20:00 Journal de 20 h 20:40 Parents mode d'emploi 20:45 Alcaline l'instant, Météo 20:50 ENVOYÉ SPÉCIAL 22:20 COMPLÉMENT D'ENQUÊTE 23:25 Alcaline, le mag 00:15 Dans quelle éta-gère... 00:20 Au clair de la lune 02:40 Tout une histoire 03:45 Des trains pas comme les autres 04:30 S.O.S. animaux 04:45 La femme de ta vie 05:55 Dans quelle éta-gère... 06:00 Euronews 06:45 Ludo 08:30 Ludo vacances 10:45 Consomag 10:50 Midi en France 12:00 Le 12/13 12:55 Météo à la carte 13:50 Un cas pour deux 14:55 Questions au gouvernement 16:10 Des chiffres et des lettres 16:50 Harry 17:25 Un livre un jour 17:30 Slam 18:10 Questions pour un champion 19:00 Le 19/20 19:58 Météo 20:00 Tout le sport 20:15 Météo régionale 20:20 Plus belle la vie 20:50 SHUTTER ISLAND 23:10 GRAND SOIR 3 00:00 Docs interdits 01:35 Docs interdits 02:35 Midi en France 03:30 Plus belle la vie 04:00 Le combattant de la paix, Benjamin Ferencz 04:30 Les Matinales 04:55 Questions pour un champion 05:35 Plus belle la vie 06:10 La séance rugby 06:50 Zapping 06:55 Le before 07:18 Météo 07:20 Le petit journal 07:50 Les Guignols de l'info 07:58 Météo 08:00 Zapsport 08:05 Anger management 08:30 Prêt à tout 10:05 Violette 12:25 La nouvelle édition 12:45 La nouvelle édition - 2e partie 14:05 Spotless 15:05 Spotless 15:55 L'effet Papillon 16:35 Brick mansions 18:15 Le before 18:45 Le JT 19:05 Le grand journal 20:05 Le grand journal, la suite 20:30 Le petit journal 21:00 HOUSE OF CARDS 21:50 House of cards 22:40 NURSE JACKIE 23:10 Nurse Jackie 23:35 96 heures 01:15 Le journal du hard 01:30 Hôtesses de l'air 02:50 Surprises 03:05 Kindia 2015 un défi durable 04:25 Les spécimens 05:20 Golf : US PGA 06:00 Paysages dʼici et dʼailleurs 06:55 Metropolis 07:40 Les grandes stations balnéaires 08:25 X:enius 08:55 Konrad Adenauer 10:25 Paysages d'ici et d'ailleurs 11:10 Escapade gourmande 11:40 LʼOrient-extrême, de Berlin à Tokyo 12:25 360°-Géo 12:50 X:enius 13:20 Arte Journal 13:35 Le premier qui l'a dit 15:40 Myanmar 16:25 Le destin de Rome 17:20 X:enius 17:45 Paysages d'ici et d'ailleurs 18:15 Les rivages de la mer du nord à vélo 19:00 Au gré des saisons - Printemps 19:45 Arte Journal 20:05 28 minutes 20:45 Tout est vrai (ou presque) 20:50 PEAKY BLINDERS 21:45 Peaky blinders 22:45 MOUSSON ROUGE 00:10 Le dahlia Bleu 01:45 Quelques heures de printemps 03:35 Femmes afghanes, la prison à visage découvert 05:00 New pop festival 2011 05:50 Escapade gourmande 06:00 M6 Music 07:05 Tony & Alberto 07:20 La maison de Mickey 07:45 Princesse Sofia 08:10 Sammy & Co 08:25 Lou 08:40 Les P'tits Diables 08:50 Météo 08:55 M6 Boutique 10:00 Raising Hope 10:50 Drop dead diva 12:45 Le 12.45 13:05 Scènes de ménages 13:38 Astuces de Chef 13:40 Météo 13:45 Une romance-photo 15:35 Rattrapée par son passé 17:25 Les Reines du shopping 19:40 Météo 19:45 Le 19.45 20:10 Scènes de ménages 20:55 SCORPION 01:00 NYC 22 02:00 M6 Music 06:38 L'emploi par le net 06:45 Zouzous 09:00 Les maternelles 10:15 Un zoo à Paris 10:50 Nature zen 11:45 La quotidienne 13:00 Manaus, une ville au coeur de la jungle 13:40 Le magazine de la santé 14:35 Allô docteurs 15:10 Vu sur terre 15:40 Révélations sur l'univers 16:35 Vente directe : du champ à l'assiette 17:30 C à dire ?! 17:45 C dans l'air 19:00 C à vous 20:00 C à vous la suite 20:15 Entrée libre 20:40 LA GRANDE LIBRAIRIE 21:40 BERNARD GRASSET / GASTON GALLIMARD - GUERRE DANS L'ÉDITION 22:35 C dans l'air 23:40 Entrée libre 00:00 Elisabeth Roudinesco - Libre et engagée 00:55 Des trains pas comme les autres 01:45 L'empereur des casinos 03:00 La nuit France 5 05:30 C dans l'air 06:20 Chaplin 06:25 Tortues Ninja 07:20 Slugterra 08:05 Ultimate Spiderman 09:20 Avengers rassemblement 10:25 Il était une fois l'homme 11:20 Shaun le mouton 11:30 Yakari 12:15 Les Zouzous 13:25 Consomag 13:35 Une saison au zoo 15:15 Un gars, une fille 15:45 Shaun le mouton 15:50 La famille de la jungle 16:40 Ninjago 17:50 Titeuf 18:30 Une saison au zoo 20:30 Monte le son, le mag 20:35 Le point quotidien 20:50 COLD CASE : AFFAIRES CLASSÉES 21:35 Cold case : Affaires classées 22:20 Cold case : Affaires classées 23:00 L'AUTRE JT 00:05 State of play, les maîtres du jeu en Corée 00:55 Monte le son, le mag 01:00 Le point quotidien 01:15 Bons plans 01:20 Monte le son, le live 05:05 Un gars, une fille 05:50 Le chat de Frankenstein 07:00 Gym direct 08:00 Télé achat 08:50 Touche pas à mon poste ! 10:45 Le grand 8 12:00 Friends 13:30 Navarro 17:00 Le maillon faible 18:45 Touche pas à mon poste ! 20:35 D8 le JT 20:50 LE MAILLON FAIBLE 06:00 Wake up 08:40 W9 hits 10:05 @ vos clips 11:30 W9 hits 12:20 Météo 12:25 Talent tout neuf 12:30 Une nounou d'enfer 16:40 Un dîner presque parfait 18:50 Les Marseillais en Thaïlande 20:05 Les Simpson 20:35 Soda 20:45 Météo 20:50 FOOTBALL : INTER MILAN / WOLFSBURG 23:00 100% FOOT 00:10 Programmes de nuit 06:55 TV Achat 08:55 Alerte Cobra 09:50 La voleuse au grand cœur 11:35 Alerte Cobra 13:20 TMC Infos 13:25 TMC Météo 13:30 New York police judiciaire 16:55 Monk 19:35 Alerte Cobra 20:45 TMC Météo 20:50 JACQUOU LE CROQUANT 23:35 90' ENQUÊTES 09:00 Le destin de Lisa 10:20 Les enquêtes impossibles 13:35 Les fantômes de lʼamour 15:10 Ghost whisperer 17:00 Grey's anatomy 19:35 Le meilleur relookeur 20:40 NT1 infos 20:50 TED 22:40 21 JUMP STREET 00:30 Anthony Kavanagh fait son coming out à l'Olympia de Paris 06:00 Bourdin direct 08:35 Mission : protection 10:10 Les mystères de l'univers 11:40 Top Gear 12:35 Enchères à tout prix 18:10 Wheeler Dealers - occasions à saisir 20:45 LES MYSTÈRES DE L'UNIVERS 21:35 Orage solaire 22:35 LES MYSTÈRES DU COSMOS 23:30 Les mystères de l'univers 06:00 Téléachat 09:00 Sans tabou la quotidienne 11:25 Sans tabou 13:45 Les Cordier, juge et flic 17:20 Real housewives : Beverly Hills 19:00 Cougar Town 20:50 ENNEMIS RAPPROCHÉS 22:55 LES LARMES DU SOLEIL 13:50 Parents un jeu d'enfant 14:00 Total wipe out made in USA 15:00 Xiaolin chronicles : les chroniques Xiaolin 15:55 G ciné 16:00 Wazup 16:15 Magic : famille féérique 17:05 Pokemon 17:30 La légende de Chima 18:00 Mes parrains sont magiques 18:30 Grojband 19:30 In ze boîte 19:45 Victorious 20:35 Wazup 20:45 PAIR ET IMPAIR 22:40 LES QUATRE DE L'AVÉ MARIA 01:00 Les Parent Monde 08 u La Cité Tiɣremt La Cité Jeudi 19 mars 2015 Un char de l'armée régulière de RDC à Munigi, dans la banlieue de Goma, le 15 juillet 2013 Libération des militants arrêtés à Goma et d’un journaliste à Kinshasa RDC. Une dizaine de militants du mouvement Lutte pour le changement (Lucha) arrêtés mardi à Goma, dans l’est de la République démocratique du Congo, ont été libérés, a-t-on appris mercredi de source officielle, ainsi qu’un journaliste congolais à Kinshasa, selon sa chaîne. es militants de Lucha avaient manifesté pour demander la libération d’activistes africains arrêtés dimanche à Kinshasa lors d’une rencontre sur la bonne gouvernance et la démocratie. «Ils sont venus assiéger le siège de l’ANR (l’Agence nationale de renseigne- L ment)» qui les a «interpellés» mais après «vérification par les services» concernés, «les neuf [militants] ont été libérés hier (mardi) vers 17h00 (15h00 GMT)», a déclaré à l’AFP Julien Paluku, gouverneur de la province du Nord-Kivu. La Lucha a confirmé sur Twitter la libération de ses militants qui ont, selon elle, «subi la torture et du chantage par les agents de l’ANR». Leur arrestation s’était déroulée de manière brutale selon des témoins. A Kinshasa, un journaliste de la chaîne congolaise privée Antenne A, Eric Izami, arrêté avec les activistes africains, a également été libéré mardi soir, a annoncé la chaîne. Les militants sénégalais et burkinabè arrêtés dimanche, avec une trentaine d’autres personnes - dont des journalistes étrangers et un diplomate américain, rapidement libérés -, appartiennent aux mouvements «Y’en a marre», acteur majeur du combat contre un troisième mandat du président sénégalais Abdoulaye Wade (2000-2012), et «Balai citoyen», en pointe dans la «révolution» qui a chassé le président burkinabè Blaise Compaoré en octobre 2014. Le gouvernement congolais les accuse de s’être livrés à la «préparation d’actes de violence». Après la libération des militants de Lucha, la situation restait tendue à Goma. «Nous allons poursuivre des actions pacifiques jusqu’à la libération de Fred Bauma (membre de la Lucha) et de tous les autres militants détenus à Kinshasa», a promis la Lucha sur Twitter. L’organisation a dans la foulée annoncé qu’un sit-in était en cours devant le gouvernorat et qu’une «grève (était) enclenchée à l’université de Goma». «La détention d’activistes pro-démocratie (...) est le tout dernier signe alarmant de la répression de manifestations pacifiques avant le scrutin présidentiel de l’année prochaine» et «le signe d’une répression inquiétante de la liberté d’expression et de réunion en RDC», a déclaré mercredi l’organisation internationale de défense des droits humains Human Rights Watch. L’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) a dénoncé pour sa part «le resserrement des libertés publiques, les arrestations et détentions arbitraires qu’opère de plus en plus l’ANR», exigeant que «le gouvernement fasse sanctionner les responsables pénalement et/ou disciplinairement». Le climat s’est fortement crispé en RDC depuis des manifestations violentes du 19 au 22 janvier qui ont fait, essentiellement dans la capitale, entre 27 et 42 morts, selon les sources. Les contestataires dénonçaient un projet de révision de la loi électorale qui aurait permis de prolonger le mandat du président Joseph Kabila après la fin 2016, date de la fin de son quinquennat, alors que la Constitution lui interdit de briguer un nouveau mandat. Un ex-avocat du médecin qui avait aidé les Etats-Unis à tuer Ben Laden assassiné Un ex-avocat du médecin pakistanais ayant joué un rôle clé dans la traque d'Oussama Ben Laden par la CIA a été assassiné par des hommes armés dans le nord-ouest du Pakistan, ont annoncé des responsables. L'avocat Samiullah Afridi avait représenté Shakeel Afridi, condamné en mai 2012 à 33 ans de prison après avoir mené une fausse campagne de vaccination contre l'hépatite B à Abbottabad, la ville où se terrait le chef d'Al-Qaïda avec ses femmes et ses enfants, et ainsi prélever leur ADN. Mardi, des hommes armés ont criblé de balles la voiture de l'avocat alors qu'il quittait le village de Mathra pour rentrer chez lui, à Peshawar, grand carrefour du nordouest pakistanais, à la porte de l'Afghanistan, a indiqué à l'AFP un haut responsable de la police locale, Mian Saeed. «Selon nos premières informations, les deux assaillants ont tiré de chaque côté du véhicule avant de prendre la fuite», a ajouté ce responsable. Les talibans pakistanais du TTP et le groupe djihadiste local Jundullah ont aussitôt revendiqué ce meurtre auprès de l'AFP. «Nous avons tué Samiullah Afridi car il défendait la cause de Shakeel Afridi. Et nous allons cibler tous les autres avocats qui le défendront», a déclaré un porte-parole du TTP, Ehsanullah Ehsan. Le médecin emprisonné L'an dernier, Samiullah Afridi avait confié à l'AFP se retirer du dossier du docteur Shakeel Afridi en raison justement de menaces de mort à son égard. Un tribunal de première instance avait condamné Shakeel Afridi non pas pour cette campagne ayant conduit au raid d'un commando américain contre le chef d'Al-Qaïda, mais pour ses «liens» avec un groupe islamiste armé, une accusation factice servant de prétexte pour écrouer ce docteur ayant aidé les EtatsUnis, estiment des élus américains. Et la cour qui devait entendre l'appel du docteur Shakeel Afridi, actuellement écroué sous haute surveillance dans une prison de Peshawar, n'est plus fonction- nelle depuis le début de l'année car les mandats des juges sont arrivés à leur terme sans que d'autres magistrats n'aient été mandatés pour les remplacer. Des Pakistanais devant le site où se cachait Oussama Ben Laden, au lendemain de l'attaque des forces spéciales américaines à Abbottabad, le 3 mai 2011 Jeudi 19 mars 2015 u 17 Publicité 10 u La Cité Jeudi 19 mars 2015 Taddart n Yiḥiṭuṣen, Tameɣra n Tḥiṭust... La Cité 19/03/2015 ANEP 314 145 NOS TARIFS PUB 8 di maɣres 2015, d ass ageraɣlan n tmeṭṭut. Si yal tama yuɣal-d ṣṣut, ṣṣut n tlawin. Sya d icwwiqen, sya d isefra akked ccnawi. Deg waṭas n temnaḍin kkrent tlawin i leqdic akken ad sfuggelent s yiman-nsent ass yecban ass-a, imi d assnsent. Sliɣ i ṣṣut aḥninan n Suɛad ƐAKU, tamedyazt n taddart n at-Wizgan, yeffeɣ-d si tiɣilt yeqqar : D nekk… D nekkini i d taqbaylit D yelli-s n udrar aḥrur Trebba-id tfenṭaẓit Allaɣ-iw s tmusni yeččur Arniɣ lḥerma d nnif Sser fell-i yettquddur Wwiɣ abrid-iw ruheɣ, aḍar-iw yarres di taddart n Yiḥiṭusen (Buzgan), anda d tella tmeɣra d-hegga tiddukla n tlawin, « Taḥiṭust ». D tiddukla i d-ilulen ussanagi yezrin, deg 20 di fuṛaṛ 2015, ɣef uqerruy-is ad naf Massa Saɛdi Tasaɛdit. D wagi id leqdic-nsent amezwaru seg wasmi d tlul tiddukla-a. Aheggi n tmeɣra-agi yella-d ddurt-agi yezrin kan. Tilawin beggsent jardent ahil ilmend n wass-a ageraɣlan n tmeṭṭut. Ahil yebda tanzayt n wass, imezdeɣ n taddart sarsen tamuqint n yijeǧǧigen di tmeqbert n ccuhada, syinna akin leqdic ikemmel deg uɣerbaz amenzu n taddart ƐELYAN Muḥend Waɛmer. Deg ubridnsen wwin tislit, tulawin n taddart ḍefrent-d tislit s yizlan n, lɣaci nniḍen ḍefren-d akk sdeffir. Tella-d daɣen temzikent n tqendurt n Leqbayel, abernus, lqut n Leqbayel akked tɣawsiwin tiqburin. Tella-d daɣen lwaɛda ssufɣent tlawin ar uɛessas i umi qqaren sidi MUSA, deg at-Mizar. Amur amuqran n lɣaci, d tulawin akked tullas, imi ass-a d tameɣra-nsent. Yal ta talsa taqendurt-is, d azamul n tmeṭṭut taqbaylit. Cebbḥent annar n uɣerbaz s tqendyar n Leqbayel id alsant. Ad naf daɣen llan-t tlawin akked telmeẓyin i dyewwin isefra. Gar-asen asefru-agi d tewwi Tlelli, yelli-s n ucennay n taddartagi Muḥand Aḥiṭus : Nekk d yelli-s Uḥiṭus Baba aḥeddad i isem-is Tafat fell-i ur tettnus Di lfern id t-uɣ teftilt-is Win tt-id-iqerben ad iḥus Ad tendeḥ deg uksum-is Taḍsa tt-in d-yettbanen ɣef udmawen n yimezdaɣ n taddart-agi, am yergazen, am tlawin, am yelmeẓyen, am yemɣaren. Uqbel ad uɣaleɣ s axxam, seqseɣ-d kra n yimezdaɣ n taddart-agi, gar-asen Murad L., Muḥand H. akked Tasaɛdit S., akken ad d-inin ayen i as-qqaren i taddart-nsen « Iḥiṭusen », yal wa amek d-iḥekku, yal wa . Taddart n Yiḥiṭusen, d taddart gar 22 tuddar n tɣiwant n Buzgan, zzint-asd 4 tuddar, deg ugafa d taddart n atYexlef akked at-Lqern, deg usammar d taddart n at-sidi Ḥend Waɛli, deg unẓul d taddart n Tewrirt, deg umalu d taddart n at-Wizgan. Iḥiṭusen d asegget n wawal Uḥiṭus. Aḥiṭus neɣ anda nniḍen ssawalen-as aḥeddad, d win ixeddmen tiḥuddeda. La Cité 19/03/2015 ANEP 314 195 Qqaren-d belli yella sidi Mḥend lḥaǧ d lwali di taddart n Baǧu (sidi ɛic), di zzman-is iwelleh-d yiwen n Uḥiṭus, yewwi-d abrid-is ar temnaḍt-agi. Ileḥḥu alarmi d asmi d-yemlal d sidi Musa, deg taddart n at-Mizar, ula d netta d lwali, ttqadarent akk yimdanen. Sidi Musa yesterḥeb s-yas-s, dɣa Aḥiṭus-nni yeqqim dinna. Yuɣal asmi t-yeẓra d aḥiṭus (aḥeddad) yefka-as ciṭuḥ n wakal deg wayla-s. Aḥiṭus-nni yessaweḍ yessuli taḥanut n tiḥuddeda deg umkan-nni, acku di lawan-nni ulac iḥeddaden di temnaḍt-nni, d netta id aḥeddad amenzu i d-yella di temnaḍt-agi. Yiwet akken n tallit, taḥanut-nni tuɣal d aɣerbaz n tiḥuddeda, iḥeddaden imezwura n taddart Iḥiṭusen syinna id ffɣen. Syinna akin, Aḥiṭus-nni d-yusan yeqqim dinna, yessefrurex dinna, tuɣal lḥerfaagi n tiḥuddeda yal tasuta tettaǧat-id i tayeḍ wwin-tt-id akken alarmi d ass-a. Ih ! Ar ass-a mazal taḥunut-nni yessuli Uḥiṭus d-yusan d amenzu tella, ass-a tuɣal d asalay n taddart. Aḥiṭus-nni, s tiɛubja-s akked tɣawsiwin xedmen ifassen-is, yuɣal yerbeḥ aṭas n yidrimen, yesɛa cci aṭas. S-yinna yebda yettaɣ akal, akken i teḍra i yal tasuta, alarmi d asmi dduklen akk xedmen taddart, uɣalen Iḥiṭusen d taddart, tuɣal tlul-d taddart n Yiḥiṭusen. Maca imezdaɣ n taddart-agi tugget degsen ttinigin ɣef tmura, ttawin lḥerfa-nni n tiḥuddeda yid-sen. Si zik akka, imi d nutni id aɣerbaz d-yessufuɣen Iḥeddaden. Imezdaɣ ttruḥun ttinigen s lḥerfa-nsen ar tmura nniḍen, aladɣa timura deg-i teqwa tfellaḥt, acku amekraz d win yetteḥwiǧin tiɣawsiwin ixeddem uḥeddad. Ad naf ass-a, azal n 60% n yimezdaɣ-is zedɣen beṛṛa n taddart, farqen akk ɣef tmurt, yal wa anda iruḥ, wa di Sṭif, Lbuṛǧ, Xenjla… Azal n 40% n yimezdaɣ i yellan akka tura zedɣen deg taddart. Ar ass-a imezdaɣ n taddart Iḥiṭusen ttṛuḥun ttzurun-d lemqam n Sidi Mḥend Lḥaǧ deg taddart n Baǧu. Si zik-nsen akka, yal aseggas, deg wass n lḥed tamenzut deg aggur n Ctember, ttṛuḥun imezdaɣ s ttufiq n taddart ttawin-as lewɛadi. Anda ma yella Uḥiṭus ass-nni ad d-yass. Arraw n Sidi Mḥend Lḥaǧ akked yimezdaɣ n taddart n Baǧu, ḥṣan s tisinnsen, yal aseggas ttqabalen-ten-id s imekli, ad ččen, ad zuren syinna akin yal Aḥiṭus ad yuɣal s axxam-is. Tansa n talsa Tugna n wass-a Mbeɛd n rray i teddem tneɣlaft n usegmi akken ad tefk talwit deg wayen yettidir tisudwin n usegmi n tmurt-nneɣ, ladɣa s rray-nni n tikci n CD i yinelmaden akken ad d-rren lixsas n tɣuri i d-tegla tagant n yiselmaden, aṭas deg yineggura-ya i as-d-yerran s usmesxer ɣef rray yecban wa. Culture 12 u La Cité La Cité Jeudi 19 mars 2015 Concert : le retour de Francis Cabrel Le premier album de Francis Cabrel avec des chansons originales depuis Des roses et des orties (2008) n’est annoncé que pour le 27 avril. Peu importe, In Extremis est déjà présenté comme l’un des événements de l’année musicale en France et un premier extrait est diffusé sur les ondes depuis lundi. Une tournée suivra à partir de septembre qui passera par le Zénith d’Amiens le 10 mars 2016. « Dans une carrière, il y a une entrée et une sortie. L’entrée, on ne décide pas forcément quand elle arrive, mais la sortie, je pense qu’il faut la préparer. C’est ce que je suis en train de faire », explique le chanteur, 61 ans et plus de 35 ans de tubes derrière lui depuis Petite Marie (1977) ou Je l’aime à mourir (1979). «Les choses deviennent urgentes» Ce 13e album studio sera-t-il le dernier ? « Pas forcément… Mais c’est la pente qui y mène, répondil. J’arrive à un stade de ma vie où les choses deviennent urgentes, on arrive dans le final, les derniers lacets. Après 60 ans, ce n’est pas le moment d’avoir des projets pour dans 30 ou 35 ans. » Francis Cabrel aborde les choses de front, à l’image de la photo, assez inhabituelle pour lui, retenue pour la pochette de l’album : habitué du clair-obscur ou des ambiances un peu nuageuses, il s’affiche cette fois en gros plan, de face, regardant le spectateur droit dans les yeux. « A l’âge que j’ai, la volonté, c’est de dire exactement ce que je ressens, assumer le temps qui a passé, sans vouloir toujours accrocher un public d’une quinzaine d’années », ajoute-t-il au sujet d’un disque toujours très blues où les chansons parlent évidemment d’amour mais aussi de thèmes moins attendus, comme le chemin de croix du Christ, la vie en prison de Mandela, la disparition « Cette société où le vieux ne vit pas de sagesse… » Parenthèse Bob Dylan Le chanteur avait confessé une panne d’inspiration il y a quelques années et s’était octroyé une petite parenthèse Bob Dylan en adaptant les titres du chanteur américain (Vise le ciel, en 2012). Puis il a fait comme d’habitude : prendre son temps, « s’asseoir à une table pour réfléchir » pour « provoquer » le retour des idées. « Il faut soigner l’écriture. Même s’il faut cinq ans pour faire une chanson, ce n’est pas grave » : voilà les conseils que le chanteur donne aux jeunes auteurs-compositeurs qui viennent chaque année depuis 20 ans en stage à Astaffort, conseils qu’il distille aussi à sa fille, Aurélie Cabrel, qui a publié l’an dernier son premier album. A l’ère du numérique et d’une industrie musicale en crise, Francis Cabrel et ses quelque 21 millions de disques vendus (selon son label) reste l’un des très rares à pouvoir toujours imposer son rythme et ses conditions. Comme Jean-Jacques Goldman et une poignée d’autres, il peut par exemple refuser que ses albums soient disponibles sur les plateformes d’écoute en streaming. « Je considère que mes chansons m’appartiennent et que je peux les mettre sur le support que je choisis. » Gros plan. Mokhtar est né le 4 Octobre 1973 à Tizi N’Berber Daïra d’Aokas, wilaya de Bejaïa. Il est issu d’une famille modeste, comme la majorité des familles en Kabylie. Leur modestie matérielle n’a pas cédé à la tentation des économies ; ces nombreuses familles montagnardes ont su garder et respecter «le Mot.» Ce même Mot qui est le fondement d’une culture plusieurs fois millénaire. Une culture qui jaillit des cœurs vieux comme le temps. Sensible à la parole et qui chatouille ces mêmes cœurs et ces montagnes de Tizi N’Berber qui l’ont vu naître et grandir, Mokhtar n’a pu échapper à sa traditionnelle culture orale que la Kabylie véhicule depuis des lustres. Il faut bien l’avouer : Mokhtar Chebbah est un poète plein d’inspiration, qui a jusque-là réussi à éditer trois recueils de poésie. Qui sont : «Itri N Ssahel», «Mémoire harcelée» et «Le chien de Pavlov». Entretien. La Cité : Comment êtes-vous venu à la poésie ? « Un jour un volcan a explosé dans ma tête après la dépression nerveuse que j’ai eue en 1989 ; cette dépression m’a permis de voir des choses plus claires et depuis je consacre la plupart de mon temps à essayer de comprendre les divers problèmes sociaux et culturels qu’endure ma région. Les cauchemars que subissent les kabyles me viennent comme des poèmes. » Et si on parlait un peu de votre première œuvre, Itri N Ssahel (l’étoile du Sahel) « Tamazight a besoin de livres et de productions dans tous les domaines pour qu’elle puisse survive. Itri N Ssahel est de ces recueils de poésies non négligeables qui viennent d’enrichir la littérature amazighe. Itri n Ssahel provoque le verbe par lequel il dépeint un quotidien morose et met à nu les souffrances d’un cœur brisé. » Et qu’en est-il de Mémoire Harcelée, votre deuxième recueil de poésie ? « Ce recueil, comprend plusieurs poèmes. Il s'agit d'un ensemble de poèmes dont la source d'inspiration reste une enfance riche en événements et qui expriment une multitude de sentiments assez vifs, surtout que ces poèmes revêtent diverses dimensions et interprétations. Mon expérience poétique, je l'ai entamée depuis mon jeune âge, maintenant est venu le temps de compiler le tout en un recueil pour pouvoir développer cette tendance et embrasser d'autres horizons. Le recueil est préfacé par Abelaziz Berkai, enseignant de langue et culture amazighes à l’université de Bejaia. Mémoire harcelée est un cri de détresse d’un lycéen avisé qui essaie par les mots de guérir les maux d’une société où le jeune ne vit pas de sa jeunesse, le vieux de sa sagesse, le savant de son savoir. Mémoire harcelée est un plaidoyer d’un lycéen circonspect en faveur du savoir, de la raison, de l’amour, de la justice, de la tolérance. Toutes valeurs auxquelles sa société semble préférer celles de l’ignorance, de la déraison, de la haine, de l’injustice, de l’intolérance. En d’autres termes, Mémoire harcelée est enfin un cri de l’indignation d’un jeune conscient que la jeunesse de son pays mérite mieux que le som- Cinéma. Un hommage a été rendu mardi par le théâtre régional Kateb Yacine de TiziOuzou au comédien-acteur Faouzi Saichi dit Rmimez, en présence de figures du cinéma algérien. Invité à prendre la parole, l’enfant d'Ain Sefra s'est déclaré "ému" par cet hommage, le "premier" qui lui soit rendu en Algérie, selon lui. "On m’a déjà rendu des hommages à l’étranger, mais rien ne vaut celui qu’on me rend aujourd’hui dans mon pays", a-t-il reconnu, ajoutant qu’un hommage rendu à un artiste de son vivant et lorsqu’il est encore en bonne santé, est "très encourageant". Les amis de Rmimez, dont Bahia Rachdi, Mohamed Adjaimi, Rachid Benallal et Chelouche Abdenour, se sont relayés sur scène pour souligner les valeurs de cette "grande figure du cinéma algerien", son application et son sens de responsabilité dans son travail ainsi que la polyvalence de son jeu. Des témoignages qui ont été émaillées d'anecdotes ayant marqué le parcours de Faouzi Saichi. Rencontré en marge de cet hommage, l'artiste a annoncé à qu’il participe actuellement au tournage d’un film intitulé La maison des lacs de Rachid Bouchareb où il campe le rôle principal et dont l’exécution se déroule dans deux pays, l’Algérie (wilaya de Tlemcen) et la Belgique. Interrogé s’il a été un jour tenté de se lancer dans la réalisation, il a répondu qu’il "pouvait le faire", arguant qu'il a eu l'insigne honneur de côtoyer une cinquantaine de réalisateurs, mais, tempère-t-il, Rmimez préfère rester comédien, expliquant que réalisateur et comédien sont deux métiers différents et "il ne faut pas courir derrière deux lièvres à la fois, le cinéma étant un métier sérieux". Quant à la situation du septième art en Algérie, Saichi a l Méridien d’Oran Vendredi 27 mars : Wellcom Advertising organise un concert de Gnawa Diffusion. 1re partie : D.J. Boulaone. Accès simple : 1500 DA. Points de vente : Duplexe Centre-Ville. Le Méridien. C’est un hommage à la fleur d’âge vécue dans la marge, un recueil de vingt-deux poèmes que les amoureux de la poésie, les lycéens en particulier, sont invités à savourer sans modération. » Hommage au comédien-acteur Rmimez à Tizi-Ouzou concédé que celui-ci a connu son âge d’Or dans les années 1960, 1970 et 1980. "Aujourd’hui, il est en balbutiement après une décennie noire qui nous a complétement abattue", a-t-il regretté, signalant toutefois qu'il est "très optimiste" et "croit que la nouvelle génération va relever le défi". Né le 9 avril 1951, Faouzi Saichi se lance dans l’aventure du cinéma en 1974 en campant son premier rôle de comédien dans Leïla et les autres, un film de Sid Ali Mazif. Son rôle dans le film Un toit, une famille, de Rabah Laradji lui a valu le prix de la meilleurs interprétation masculine en 1982 au Festival de Carthage (Tunisie). En 42 ans de carrière, il a campé des rôles dans une vingtaine de films dont le dernier, Mista, sorti en janvier dernier. l Complexe culturel AbdelouahebSalim (Chenoua, Tipasa) Jusqu’au 31 mars : Exposition collective d’arts plastique à l’ occasion de la Journée internationale de la femme. l Salle la Coupole d’Alger Vendredi 20 mars à 18h : Wellcom Advertising organise un concert de Gnawa Diffusion. 1re partie : R-One. Accès simple : 1500 DA. Points de vente : Crystal Lounge Hilton (à partir de 18h), Niel’s, Piccadilly The British Island, Galaxy Sidi Yahia, L’Empreinte Restaurant Garidi 1, Centre commercial de BabEzzouar, Magasin d’instruments de musique Birkhadem, Club 54 Audin. «attend et attend qu’il fasse beau temps, qui attend et est patiente bernée et endormie comme c’est déjà promis qui attend et est patiente assoiffée désenchantée de la galette raffinée» « C’est un recueil de poésie écrit en deux langues, le Tamazight et le Français. Le recueil est préfacé par Tahar Bessaha, auteur compositeur et, comme je trouve des difficultés à parler de moi-même et de mes œuvres, je vous propose la préface de Tahar. Qui écrit : « de l’étoile du Sahel à la mémoire harcelée, il nous fait traverser toute une vallée d’idées, en nous décrivant les reniflements du chien de Pavlov et les des arts et de la culture l Espace des activités culturelles Mentouri (Rue Bachir-Mentouri, Alger) Jusqu’au 31 mars : L’Etablissement Arts et Culture de la wilaya d’Alger, en partenariat avec Dzaïr Cast, organise une exposition collection de voitures en miniature présenté par M. Oussaïd Mohamed. bre avenir auquel est semblé promise, une jeunesse qui… Un mot sur «Le chien de Pavlov», votre troisième recueil de poésie. u 13 Les RDV Le poète Mokhtar Chebbah à La Cité de la langue occitane ou la bataille d’Azincourt. Jeudi 19 mars 2015 sentiments de son maitre, à travers ce qu’il refuse d’admettre, et les raisons de leur nature, de nature, avec les mots, il montre du doigt tout ce qui ne va pas, en donnant son avis, un poète averti». En d’autres termes, Le chien de Pavlov est enfin un cri de l’indignation d’un jeune conscient que la jeunesse de son pays mérite mieux que le sombre avenir auquel semble promise une jeunesse qui… «Tôt ou tard La parole revient à césar Les vantards s’éclipsent A la moindre secousse Attendu au dernier virage Epargne ceux qui nagent Tôt ou tard L’annonce de leur départ Fin des mandataires Dictés aux subalternes Payés très cher Au détriment de notre chaire Violée, harcelée Cadenas scellé» Un mot sur la littérature amazighe ? « Bien que lent et timide, le parcours de la littérature amazighe fait son bonhomme de chemin, sur un parcours parsemé d’embûches. D’une part, l’édition reste un écueil insurmontable, et la seule formule possible reste l’édition à compte d’auteur qui n’est pas toujours envisageable par la totalité des auteurs. D’autre part, le lectorat amazigh, en latin particulièrement, ne s’est pas vraiment manifesté pour consommer ce qui sort sur les étals des libraires. Et la situation du statu quo persiste au grand dam de ceux qui veillent des nuits entières à mettre tant bien que mal leurs peines, leurs déceptions et leurs joies sur papier. Ainsi voient le jour des livres dans la langue de Slimane Rahmani, soient-ils romans, recueils de nouvelles, recueils de poésie, essais et théâtre, pour garnir l’actualité littéraire nationale et universelle. » Entretien réalisé par Hafit Zaouche Cinq conventions pour la promotion de la production des pâtes blanche et rouge Céramique et poterie. Plusieurs conventions ont été signées, mardi à Alger, entre le Centre d'études et de services technologiques de l'industrie des matériaux de construction (CETIM) et les chambres d'artisanat de cinq wilayas, en vue d'améliorer la qualité des pâtes blanche et rouge utilisées dans la production de céramique et de poterie. Les conventions ont été signées par le sous-directeur des laboratoires CETIM, Brahim Razibaouene et les directeurs des chambres d'artisanat de Tizi Ouzou, de Biskra, de Tlemcen, de Béjaia et de Jijel, en présence de la ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Nouria Yamina Zerhouni et de la ministre déléguée chargée de l'Artisanat, Aïcha Tagabou. A cette occasion, Mme Tagabou a réaffirmé l'intérêt accordé par le secteur aux artisans, en veillant à leur assurer une meilleure prise en charge pour la préservation et le développement de l'activité artisanale. La ministre a estimé que "la poterie est l'un des plus vieux métiers de l'artisanat qu'il faut préserver", rappelant les programmes de formation élaborés "aussi bien sur le plan local que dans le cadre de la coopération internationale". Mme Tagabou a, en outre, rappelé la réalisation d'un centre d'excellence de la céramique dans la wilaya de Tipasa dans le but d'améliorer la qualité de cette activité, insistant sur l'importance de garantir la matière première de pâte blanche qui "est importée et la pâte rouge qui doit être traitée pour résister à une haute température". "La rencontre constitue un point de départ, susceptible de permettre aux artisans de mieux maîtriser la production de la matière première en ce qui a trait aux pâtes blanche et rouge résistantes à la haute température et destinées à la production de poterie et de céramique, conformément aux normes en vigueur à l'échelle internationale", a souligné la ministre. 28 mille tonnes de cette matière ont été importées avec un montant de 30 millions d'euros/an, a-t-elle indiqué, rappelant le rôle du CETIM dans la définition des composants techniques de cette pâte. Pour sa part, Mme Zerhouni a souligné la nécessité de fournir les pâtes rouge et blanche jusque là importée de l'étranger, rappelant l'importance de tirer profit de l'expérience du centre pour améliorer ce produit. La disponibilité de cette matière "permettra certainement de faire baisser les prix des matières première et de commercialiser le produit à des prix raisonnables", selon la ministre. l Palais de la culture Moufdi-Zakaria (Kouba, Alger) Jusqu’au 28 mars : Exposition collective de peinture «Portraits de femmes algériennes», à l’occasion de la Journée mondiale de la femme. l Villa Abdeltif (El-Hamma, Alger) Jusqu’au 20 mars : Exposition de photographies «Révéler l’étoffe» de Maya-Inès Touam. l Galerie Sacré-Art (126, rue Didouche-Mourad, SacréCœur, Alger) Jusqu’au 26 mars : Exposition «Dialogue avec la création» de l’artiste Linda Bougherara. l Salle El-Mouggar (Alger-Centre) Jusqu’au 21 mars: projection du film Yema de Djamila Sahraoui, à raison de 3 séances par jour : 14h, 17h, 20h. Sauf le 12 mars à raison d’une séance à 14h. l Aïda Gallery (Villa 132, Hey-El-Bina, Dely-Ibrahim, Alger) Jusqu’au 21 mars : Exposition de peinture «Au fil des portes…» de Sofiane Dey. l TNA Gallery (Rue Bouzrina, ex- rue de la Lyre, Casbah, Alger) Jusqu'à la fin du mois de mars : Exposition collective d’arts plastiques et de photographies «Hors Champ» par Mustapha Nedjai, Hellal Zoubir, Karim Sergoua, Rachi Djemai, Rachid Nacib, Malek Salah, Adlène Samet et Nasser Medjekane. l Espace de loisirs et de détente pour enfants kidzland (chéraga, Alger) Chaque jour : spectacles d’attractions pour les enfants de 3 à 12 ans. Santé 14 u La Cité Jeudi 19 mars 2015 sique – une douleur, une oppression, des nausées, des crispations, des étourdissements – on devrait demander à notre corps ce qu’il essaie de nous communiquer. Il finira par nous dire de quoi il s’agit. Étape 4 : Diagnostiquer les causes profondes de sa maladie En consultant un médecin, il peut établir un diagnostic en détectant une migraine ou un côlon irritable. Mais, dans le processus d’auto guérison, nous devons nous concentrer sur ce qui est à la base de ces symptômes et qui a déclenché cette réaction de stress de la part de notre corps et qui a désactivé les mécanismes d’auto-guérison du corps, le rendant vulnérable à la maladie. Quels sont les aspects de notre vie qui activent nos réponses au stress ? Pour répondre à cette question, il est nécessaire de trouver ce que nous avons négligé. Est-ce la méditation, l’expression créative, le rire, l’engagement dans le travail que nous aimons, le massage, le yoga, ou une autre activité de détente ? La maladie est souvent un appel de réveil. Quand nous tombons malades, nous pouvons soit réagir comme une victime ou utiliser la maladie comme une occasion de se réveiller. Si on décide d’être actif, on doit chercher l’origine de notre problème de santé. Comment s’auto guérir en 6 étapes ? Environnement. Le corps humain est une machine extraordinaire. Il est fait de telle sorte qu’il est capable de se guérir tout seul. Mais comment est-ce possible ? L’auto guérison est-elle réellement efficace ? Comment s’auto guérir ? e corps humain est magnifiquement équipé avec des mécanismes d’autoréparation naturels qui sont sous l’influence de nos pensées, nos sentiments et nos croyances. Il sait comment éliminer les toxines, tuer les cellules cancéreuses, réparer les protéines cassées, ralentir le vieillissement, combattre les infections, se débarrasser des corps étrangers, et nous maintenir en bonne santé. Mais, lorsque ces mécanismes d’autoréparation ne fonctionnent pas correctement, les choses tournent mal et la maladie fait son apparition. Face à la maladie, le système nerveux réagit de deux manières ; la lutte ou la fuite comme réponse au stress généré par la maladie. Le corps réagit pour nous protéger. Avant, ses réactions de stress nous indiquaient la présence d’un danger imminent comme la présence d’un animal féroce. Il fallait alors se mettre à l’abri. De nos jours, nous ne vivons plus dans un milieu hostile, pourtant nos réactions de stress se déclenchent, en moyenne, plus de 50 fois par jour. Comment cela est-il possible ? L’amygdale dans nos cerveaux perçoit les pensées négatives, les croyances et les sentiments comme la peur des problèmes financiers, les problèmes relationnels, le stress au travail, la solitude, ou le pessimisme, comme des menaces aussi effrayantes qu’un animal féroce. L’amygdale passe alors en alerte rouge ! Le corps ne peut pas se réparer, et nous tombons malade ! L 6 étapes simples pour activer les mécanismes d’autoréparation du corps Nous ne sommes pas obligés d’être à la merci de nos réponses au stress. Nous pouvons être actifs en déclenchant l’auto-guérison naturelle du corps. Les 6 étapes suivantes ont été scientifiquement prouvées comme une stratégie de prévention ou de traitement d’un problème de santé. porte. Étape 1 : L’effet placebo Il est important de croire qu’on peut se guérir. Cette théorie a été scientifiquement prouvée. D’ailleurs, le corps médical a démontré que l’esprit peut guérir le corps depuis plus de 50 ans C’est ce que nous appelons « l’effet placebo ». 18 à 80 % des patients ayant été suivis cliniquement et traités avec des pilules en sucre, des injections salines, ou de fausses chirurgies, ont vu leurs symptômes disparaitre et leur état de santé s’améliorer. L’effet placebo fonctionne bien. Tant que nous croyons que notre cas est » incurable » ou » chronique », il le sera. La croyance positive est indispensable dans le processus d’auto guérison. Elle affecte directement l’état de santé. Plus on est convaincu de pouvoir se guérir, mieux on se Étape 2 : Le soutien moral Il est important d’avoir une personne optimiste qui nous accompagne dans notre projet d’auto guérison, qui nous comprenne et croit en nous. Cette personne devra respecter notre intuition, nous soutenir et se soucier de notre bien-être. Étape 3 : Écouter son corps et son intuition Personne ne connaît notre corps mieux que nous, pas même un médecin. Le médecin a une connaissance scientifique de notre corps, mais nous sommes les mieux placés pour savoir ce qui convient à notre corps et ce qui ne lui convient pas. Il est donc recommandé d’écouter son intuition et de lui faire confiance. Il faut écouter son corps. Si nous avons une sensation phy- Étape 5 : Rédiger sa propre ordonnance C’est un plan d’action destiné à redonner à son corps une santé optimale et favoriser une récupération complète. Pour se faire, il faudrait savoir de quoi le corps a besoin pour guérir. Il se peut que notre ordonnance comporte un changement de régime alimentaire, des exercices physiques et un plan de traitement médical conventionnel. Elle peut également inclure le fait de sortir d’une relation toxique, quitter un emploi oppressant, ou pratiquer la méditation. Nous devons être très précis et trouver le courage pour mettre notre plan en action ! Cahier culturel Entretien avec le poète Mokhtar Chebbah Gros plan. Mokhtar est né le 4 Octobre 1973 à Tizi N’Berber Daïra d’Aokas, wilaya de Bejaïa. Il est issu d’une famille modeste, comme la majorité des familles en Kabylie. Leur modestie matérielle n’a pas cédé à la tentation des économies ; ces nombreuses familles montagnardes ont su garder et respecter «le Mot.» Ce même Mot qui est le fondement d’une culture plusieurs fois millénaire. Une culture qui jaillit des cœurs vieux comme le temps. Sensible à la parole et qui chatouille ces mêmes cœurs et ces montagnes de Tizi N’Berber qui l’ont vu naître et grandir, Mokhtar n’a pu échapper à sa traditionnelle culture orale que la Kabylie véhicule depuis des lustres. Il faut bien l’avouer : Mokhtar Chebbah est un poète plein d’inspiration, qui a jusque-là réussi à éditer trois recueils de poésie. Qui sont : «Itri N Ssahel», «Mémoire harcelée» et «Le chien de Pavlov». Lire en pages 12 et 13 Hommage au comédien-acteur Rmimez à Tizi-Ouzou Étape 6 Après avoir adopté une attitude positive, trouvé le bon soutien, puisé dans son intuition et son corps, diagnostiqué la cause de son état de santé, réalisé sa propre ordonnance, et mis son plan en action, sommesnous toujours malade ? Si oui, est-ce de notre faute si on est toujours malade ? Certainement pas, et tout discours de culpabilité, de blâme ou de honte pour une personne sur le chemin de la guérison ne fait qu’activer davantage les réactions de stress et nuit au corps. La rémission peut se produire de manière spontanée. Mais, si ce n’est pas le cas, il ne faut surtout pas désespérer et culpabiliser. La maladie est peut être un moyen d’apprendre une leçon de vie. Cette infusion vous aidera à perdre 5 kg en 10 jours facilement sainement et sans effort Brûlez vos graisses: Tout le monde croit qu’il n’y a que 2 vraie façon pour perdre du poids sainement et efficacement l’exercice physique et une alimentation saine, oui mais ça prend beaucoup du temps, de sacrifice et un grand effort et vue que la majorité des personnes souhaite perdre du poids facilement et rapidement, je vous apporte une bonne nouvelle :une infusion remède 100% naturelle detox-minceur, très puissante sur la dégradation des graisses et l’élimination des toxines, vous aideront à perdre jusqu’à 5 kg en 10 jours sans aucun effet secondaire ou de surdosage. Découvrez la nouvelle puissante infusion détox-minceur : Ingrédients : 4 cm de gingembre frais râpé. 2 cuillères à soupes de thé vert. 2 cuillères à café du cumin. 1 citron moyen coupé en rondelle. 1.5 litre d’eau. Préparation Mettez tous les ingrédients dans une casserole avec une couvercle, ajouter 1.5 litre d’eau bouillante, bien couvrir et laisser infuser pendant 20 à 30 min, après filtrer et verser la boisson dans une bouteille en verre et buvez. Comment consommer cette puissante boisson Buvez un grand verre à jeun 45 min avant chaque repas sans aucun souci de reprendre d’autres verres pendant la journée. Conseils à suivre Mangez à des heurs fixes. Buvez beaucoup d'eau pendant la journée au moins 1.5 litre Évitez les aliments gras et sucrés. Mangez beaucoup des légumes verts. Bougez le maximum possible( la marche, prenez les escalier au lieu de l’ascenseur…) Lire en page 12 l Concert : le retour de Francis Cabrel Lire en page 12 l Céramique et poterie : Cinq conventions pour la promotion de la production des pâtes blanche et rouge Lire en page 13 Monde Tiɣremt 16 u La Cité La Cité Jeudi 19 mars 2015 Tafaska tis-5 n Tefsut deg tesdawit n Bgayet Y Seg tama-s, Mass Karim ccix, amyaru, yewwi-d awal-is ɣef talliyin iɣef tebḍa tefsut, d wamek i rsent ɣef uwatay (calendrier). akken daɣ i yerra lwelha n wid i d-yerzan ad ḥeḍren leqdicat-a ar wazal n wansayen n leqbayel sumata, seksu d uderyis ladɣa. Mass Adrar ɛmar i d-yewwin awal-is ɣef wamek i d-tmeqqi teḥcict-a, anida d wamek i tettmɣur deg ugama, akken daɣ i d-yefka iḥricen i yesɛa yimɣi-ya: amur n daxel n wakal (iẓuran) d umur n berra i wakal ideg ara naf iferrawen d yijeǧǧigen. Awal yettunefk i Mass Ḥeǧǧuṭ Kamal iwakken ad d-yemmeslay ɣef wazal i yesɛa yimɣi n uderyis deg wannar n tujya, " Zik-nni, imdanen tetten aderyis mebla ma ẓran acu yesɛa, armi i tedda tussna n tujya, iban-d belli imɣiya yesɛa ayen yelhan akken daɣ i yesɛa lemḍerra ma ur yettwasexdem ara s lemqadra n tesmekta (quantité)". Deg wawal-is yefka umḍan n 80% n yimdanen deg umaḍal ttdawin iman-nsen s teḥcicin-a i d-imeqqin deg ugama. Lawan n yimekli, inelmaden d yinebgawen i d-yerzan ad ḥeḍren leqdicat n tfaska-ya, ttwaɛerḍen ad ččen seksu i d-yewwan s teḥcict n uderyis d yusufar-nniḍen. D ayen iɛejben aṭas inelmaden iselmaden d yimḍbbren n tesdawit n Bgayet. M. A. Des tanks des forces gouvernementales syriennes près d'un puit de pétrole à Palmyre le 9 mars 2015 La Syrie abat un drone américain suspecté d’espionner son armée Terrorisme. L’armée syrienne a affirmé mercredi avoir abattu un drone américain suspecté d’espionner ses forces, ce qui apparaît comme la première attaque de Damas contre des appareils de la coalition luttant contre le groupe Etat islamique (EI). e drone américain a été abattu dans la région côtière de Lattaquié (nordouest), une place forte de la communauté alaouite, la confession du clan du président Bachar al-Assad, selon l’agence de presse officielle syrienne. Il survolait «des régions où Daech (acronyme arabe de l’EI) n’a pas de position», a précisé une source militaire à l’AFP. «L’avion a pénétré dans l’espace aérien syrien pour surveiller et peut-être rassembler des informations militaires et sécuritaires», L Igjewwemmen ennee t utlaytt Eolace t utlaytt uare igjewwtemmen (règles)! Isse (est-ce que) ta maziptt ete emgjê i gjewwtemmen arree ae’ttt ei erre enne edt t utlaytt t uezmirtt? Ma en mâqel arree t meckrêe (méthode) ennee assae uare ahattee (sans doute) ae’en affe ï ugjuren ugjar en ti fâckêl (solutions). Aye aggi eye edtt illi akkee dtegge tï utlayen ei edtt enn arru enne esse t utlyt (phonétiquement). Essee t irrédtt t utlytt ur en ezmér ara ae’en egjzë uala ae’en ackez “reconntaîre” i meslayen ennepee edt acu’tten iuakene ae’en unagj syakinee affee i zamulen (sens) ennsennee dtegge i ilesoigjen. Ma en ârrû akkà: Ilaq (ad iliq, yettliqi) Edt acu’tt uagi? Edt isemmee a regjezueil (nom masculin) neppe edt aoal uesniy (verbe conjugué)? Ma en ennê edt aoal uesniy, anidtae eye ellê u zettyusemmee ioedtueil (pronom personnel)? Ma en ennê edt isemmee a regjezueil, amecke itt u yagën isee, anua a gewwtëmm ae’en ewfepr iuakene ae’tt en isin? Ma ur en esén ara azamul isee en ezmer ae’tt en affe dtegge u ilesoigj (dictionnaire)? Macae ma en ârrû’tt esse t qevlyrrae (orthographiquement), en ezmer ae’ddee en erre akkee affee i seqsiyen aggi: Eye lîqe (aedt eye liqe, eye edtt liqé) eye = a zettyusemme ioedtueil lîqe = aoal uesniy En ezmer ea’en ackez aoal uesniy essee i zettyusemmêeen ei edtt illi enne ama dtegge t azoarêe, dtegge t agarêe neppe dtegge t azoarêe edtee t agarêe ennee î aoalen: Eslé ep Ett ârrû ew Eye lîqe Ete ennê En esen Ett ezsprê em Ett ecfê emt Etccê en Etccê ent Ellê en ï ugjuren dtegge ti suqêl (conversions) segge u fepréddt arree u yagën immi eolace eckrannee u gjewwëmm ae’en ewfepr: u 09 l’aviation syrienne. Si cette annonce était confirmée, ce serait la première fois que Damas vise un appareil américain dans son espace aérien depuis le début des frappes de la coalition internationale antijihadistes dirigée par les Etats-Unis. Sans donner de localisation précise, des médias officiels syriens ont publié des photos, de mauvaise qualité, de ce qui est présenté comme des débris du drone abattu. L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), basé en Grande-Bretagne mais qui compte un vaste réseau de sources en Syrie, a affirmé que le drone était tombé sur le village d’al-Maqateh, à dix kilomètres de la ville de Lattaquié. «Il n’y a ni combattants de l’opposition ni groupes jihadistes dans cette région où les forces du régime sont largement présentes», a précisé à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. Tasdawit n Bgayet: Ilmend n umenzu n tesfut, Aqusis Ussnan i Yidles d Tussna n tmaziɣt akked Tesqamut n Tmeɣriwin n Temdint n Bgayet, heggan-d leqdic s wazal-is. ettwassen s leqdic-is ɣef yidles amaziɣ, aqusis "Tumast" isuddes-d "Tafaska n Tefsut" tis-5. D ahil i d-yessuddes akked tesqamut n tmeɣriwin n temdint n Bgayet. " S leqdic-a, nebɣa ad nefk tagnit n yinelmaden d yiselmaden ad idiren ansayen-nsen deg tesdawit ideg qqaren, ad slen i yisarayen ɣef wazal n seksu d uderyis. Ama s wudem ussnan neɣ adelsan deg tmetti-nneɣ" i yenna Smaɛil ṭaleb, aselway n uqusis "tumast". Seg tama-ynes, Mass Bucebbaḥ, aselway n tesqamut n tmeɣriwin, ur yeffir ara lferḥ-is. " Deg wahil i d-yettwaheggan ilmend n leqdic-a, inlmaden n tesdawit walan-d yiwen n usaray i d-isɛenten amek i ttnawalen leqbayel seksu d uderyis, azal-is i yesɛa deg tmetti, d uxemmem n yimdanen ɣef wansay-a i mazal yedder ar ass-a. Seg usaru ɣer usaray, dayen i d-yewwi Mass Lɛayeb Mexluf( agronome). Yemmeslay-d ɣef wassaɣ icudden amdan ɣer umdan. Amk i d-yettenkar d wamek i d-yesnulfay učči-ynes deg ugama. Seg učči i unerni ɣer udawi seg waṭṭanen i itteṭṭfen amdan deg tudertis. Dayen i yeǧǧan amdan ad d-inadi ddwa i waṭṭan-is. Ddwa i d-yufa deg ugama, deg yimɣan yemxalafen icuban aderyis, ẓeɛter, lkalitus d teḥcicinnniḍen iɣer yettaf umuḍin iman-is. Jeudi 19 mars 2015 Dtegge u sireme uidte ete erzê ta lufedtt aedt zelly’en ta muplée arree t irrigoemtt ta yennaytt ta maziptt ennee Mass Lehsene BAHBOUH iuakene aedt eye ally u aess affee u ilessee a mazip. Essee tî ackiyen ennee t gjemattt. Rabah BETTAHAR a-t-elle ajouté, en soulignant que l’avion ne faisait certainement pas «une promenade». L’armée syrienne a donc agi en considérant le drone «comme un objectif ennemi», a précisé cette source, en précisant que l’avion n’avait pas été immédiatement identifié comme américain. «L’armée syrienne est prête à riposter aux objectifs hostiles pour contrer toute agression quelle que soit son origine», a encore assuré la source militaire. Les avions de la coalition, active en Irak depuis août, ont débuté leurs frappes en Syrie fin septembre et les a depuis menées essentiellement dans les provinces d’Alep et de Raqa, où l’EI est implanté. Contact perdu A Washington, une source militaire américaine a indiqué que les Etats-Unis avaient «perdu le contact» avec un de leurs drones en vol au-dessus du nord-ouest de la Syrie, mardi vers 17H40 GMT. Mais elle n’a pas confirmé que l’appareil avait été abattu par Absence de coordination La Syrie ne participe pas aux frappes de la coalition, même si son aviation vise depuis quelques mois l’EI. Après les premiers raids le 23 septembre, Damas avait indiqué en avoir été informée à l’avance, bien que Washington a affirmé refusé de se coordonner avec Damas sur ses frappes. Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem avait indiqué l’an dernier que Washington s’était engagé à ce que les frappes ne visent pas l’armée syrienne, tout en précisant douter de la durée de cet engagement. Le conflit en Syrie, débuté en mars 2011 par la violente répression de manifestations pacifiques, s’est complexifié. Opposant au départ forces du régime et rebelles, il met aussi aux prises, depuis deux ans, des jihadistes de la branche syrienne d’AlQaïda, le Front Al-Nosra, et de l’EI, qui multiplie les atrocités -décapitations, crucifixions, etc. - dans les régions sous son contrôle. Selon un bilan de l’OSDH publié en février, les raids de la coalition ont tué plus de 1.600 personnes en Syrie, dont 1.465 membres de l’EI et 73 du Front Al-Nosra. Depuis le début du conflit syrien, plus de 215.000 personnes ont été tuées et la moitié de la population déplacée. Le désespoir des Assyriens au Liban qui ont fui les jihadistes Contrainte à faire la queue à Beyrouth pour recevoir des vivres, Francie, une réfugiée assyrienne, se souvient avec amertume de la maison pleine de provisions qu'elle a laissée derrière elle dans sa fuite de Syrie. Des centaines d'Assyriens sont arrivés au Liban ces dernières semaines après l'attaque de leurs villages dans la province de Hassaké par les combattants du groupe Etat islamique (EI). Francie Yaacoub, son fils et son mari ont fui leur village de Tal Nasri lors d'un terrible bombardement de l'EI la semaine dernière. "Nous sommes partis en pyjamas, sans nos chaussures (...) Les obus tombaient tout autour de nous", se rappelle cette femme d'une cinquantaine d'années. Quelques jours plus tard, elle se trouve dans l'est de Beyrouth, à Sid al-Bouchriyeh, à faire la queue devant le diocèse assyrien pour recevoir de l'aide. "Nous avons laissé derrière nous une maison pleine de choses. Pourquoi doit-on maintenant attendre devant la porte d'une église ?", dit-elle doucement. Nombreux sont ceux, comme elle, qui attendent de recevoir de l'aide distribuée par l'ONG In Defence Of Christians (IDC), dont des paniers de vivres et des matelas. Les membres de la communauté assyrienne du Liban, dont beaucoup sont des parents de ceux de Hassaké, font de leur mieux pour aider les nouveaux venus mais le traumatisme est bien présent. Des milliers d'Assyriens ont dû abandonné leur foyer le long de la rivière Khabour depuis que les jihadistes ont commencé à attaquer cette région en février. L'EI s'est emparé d'une dizaine de villages sur 33 dans la région, et enlevé plus de 200 Assyriens, une communauté parmi les plus anciennes converties au christianisme. Beaucoup ont fui dans la ville proche de Qamichli ou dans la capitale provinciale Hassaké, toutes deux sous le contrôle des forces kurdes et gouvernementales. La famille de Francie s'est d'abord rendue à Hassaké, puis à Damas, pour enfin arriver à Sid alBouchriyeh. Villages «vides» "Les villages de Khabour sont désormais vides à l'exception de quelques combattants", affirme le père Yatron Koliana, qui supervise la distribution de l'aide. "Notre peuple a connu une grande tragédie en Syrie", déplore-t-il. "Comment peut-on se sentir bien lorsqu'on dépend de l'aide?", s'interroge Simaan, la cinquantaine, qui a fui le village de Tal Hormuz. Il s'insurge contre ce qu'il appelle l'indifférence internationale au sort des Assyriens, attaqués en Syrie mais aussi en Irak voisin où l'EI sévit également. "Le monde entier, depuis l'ONU jusqu'aux Etats-Unis et la Russie, est responsable (...) Ils (l'EI) ont détruit toute notre civilisation et le monde se contente de regarder", dénonce-t-il. La famille Yaacoub et les cinq autres réfugiés assyriens qui vivent avec eux se démènent pour pouvoir payer leur loyer de 500 dollars. Dans leur malheur, les Assyriens ont eu cependant une certaine chance. Les autorités libanaises leur ont accordé une autorisation spéciale pour entrer dans le pays, alors qu'elles ferment les portes depuis janvier aux réfugiés syriens. Ceux-ci sont aujourd'hui plus d'un million au Liban, qui comptait 4 millions d'habitants avant le conflit en Syrie. Le père Koliana, lui, tente d'encourager les Assyriens à "conserver l'espoir d'un retour à Khabour, parce que Khabour est notre terre, celle où nos ancêtres et nos martyrs sont enterrés". Mais nombreux sont ceux dans la file d'attente qui ne conçoivent pas un retour au village où, selon eux, les jihadistes ont dynamité les églises et pillé les maisons. Rester au Liban n'est pas non plus la solution, pour certains. "Moi, j'attends d'obtenir l'asile en Australie avec ma famille", déclare d'une voix à peine audible un homme qui refuse d'être identifié. Régions Tiɣremt 18 u La Cité La Cité Jeudi 19 mars 2015 11 stèles à réaliser à la mémoire de 11 colonels de la wilaya III Adiwenni d Fares Bakuc, aselway n tdukla tadelsant Adrar n Fad «D lawan i wakken ad yili yidles d axuddim deg wannar, mačči d awal kan» Tazwert : Amussu adelsan, d ta ftilt gar teftilin ad aɣdǧǧan lej dudnneɣ, maca tura deg tmetti n Leqbayel, drus n yilmeẓyen i yel lan qedcen deg wannar adelsan, ɣas akken tuget degsen d isdawa nen. Timental n waya ulac tifrart is, neɣ ahat yella wayen i itenyiceɣben, alammi ttun neɣ ǧǧan amussu adelsan, ḍefren abridnniḍen ɣas ẓran d akken d abrid n tidet, maca rewwlen fell as d aya i yeǧǧan amussu adelsan ixus, neɣ drus deg tmetti, ma nes semgiredit ɣer zik. Ahat imi tbed del tsuta ? Neɣ d iɣeblan n tudert ?. Taddart n At Smaεel, d taddart gar tuddrin n tmurt n Leqbayel i d yeǧǧan aṭas n yirgazen n tissas, d tlawin i ḥerzen i nnif d lḥerma, ama daxel neɣ berra i uxxam. Tad dart n At Smaεel tettwassen seg zik deg tuddar n Leqbayelnniḍen, tettwassen s yirgazenis, d wan sayen i tesfuggul, maca tura tett wassen s wudemnniḍen. D acut wudema ? Taddart n At Smaεel tura tettwas sen s wudem ussnan ; ama s yis dawanenis neɣ s leqdicis addalen, asertan, adelsan. Aneg garuya yuɣal d ansay deg taddart n At Smaεel s yiwen n leqdic adel san yesεan azal d ameqqran i tut layt tayemmat, wid i qedcen deg wannar adelsan, mačči kkan d wid yeɣran tamaziɣt deg tesdawit maca llan wiyaḍ refden amussu adelsan d umennuɣ ɣef tutlayt d yidles, d yiles ; war ma ɣran tama ziɣt deg tesdawit, acku ḥemmlen tamaziɣt d umennuɣ fellas berra i tesdawit, aya iband deg yiεegga len n Tdukkla Tadelsant Adrar n Fad i dyennernan deg wayyur n meɣres deg useggas 1994 mazal tedder ar tura. Aṭas n yiselwayen i dyellan ɣef uqerru n tdukklaya, d tajmilt ta meqqrant i yal yiwen degsen. Ti dukklaya tesnulfad yiwen n usenfar d ameqqran deg wannar adelsan, leqdica ameqqran deg talitnni d Mass ABDOUNE Nacer i yellan d aselway ɣef tdukklaya, zrin yiseggasen εeddand ɣef tfa skaya sḍis « 6 » n yiselwayen tura d wis sa « 7 ». Tura timlilita ad tili akked uselwaya i yellan d ameẓẓyan deg leεmer d ameqqran deg tiktiwin d tmuɣliwin ɣer sdat. Ihi tura ad nebdu yids timlilita. S lferḥ d ameqqran imi aɣ-d-teldiḍ uli-ik, tefkiḍ-aɣ-d cwiṭ seg wakud-ik imi neẓra d akken taswiεt teḥres ; imi qrib d tafaska n tmedyezt tis mraw kraḍ « 13 ». nessaram ad aɣ-d-terreḍ ɣef kra n yisistanen. “War ugur, s lferḥ d agaεmir, imi tella teɣremt deg Udrar n Fad.” D anwa-t Fares BAKOUCHE ? “Fares, d yiwen n yilemẓi yesεa 28 n yiseggasen di leεmeris, yesεa agerdas asdawan deg tneglizit yekcem ɣer umussu adelsan deg useggas 2002, bdiɣ leqdiciw d aεeggal deg Tdukkla Tadelsant Adrar n Fad deg terkeft n uẓawan, sinɣers, uɣaleɣ d aselway ɣef ter baεt n yilmeẓyen deg terkeft n uẓawan, s leqdic i xeddmeɣ uliɣ d –is s lmendad n wugdud neɣ aɣref mačči s lmendad n tenmehla n yidles neɣ seddaw n laεnaya n tneɣlaft n yidles. Γas drus n te drimt i yellan maca ulac aseggas deg wacu ur temmug ara tfaska n tmedyezt tamaziɣt.” Tafaska n tmedyezt tamaziɣt teldi tiwwura-s, deg wayyur n yennayer, temdel-itent deg wayyur n furar. Imi tura d aswir n ufran sɣur yimawlan n tussna. Acḥal n yimekkiyen i yellan ? Anwa yeddmen neɣ yeskeflen s ujerred n yimekkiyen deg tfaska-ya ? “Assn 26 di furar 2015, leḥqen aɣd 101 n yimekkiyen, imek kiyena ttwajerden nceggaε tamedyeztnsen ɣer tesqamu n yinzurfa iwakken ad ttwaseɣtin. Ma yella d win yeskelfen s ujerred n yimekkiyena d tanarayt, llan degs yiεeggalena « Sadeq Reb baεi, Yusef Zemmuri, Meqrani Racid akked Diradji Ḥabib d Wali Fawzi », akked nekk d ta i tanarayt yeskelfen s ujerred n yimekkiyen.” amru amatu deg tdukkla, akken uɣaleɣ tura d aselway n tdukkla.” I wakken ad yuɣal yiwen d aselway ɣef tdukkla-ya, imi tesεa aswir d ameqqran ; ahat llant kra n tesfernin i tettafarem iwakken ad yuɣal yiwen d aselway. D acu-tent tesfernin i yesεa Fares alammi yuɣal d aselway ? “D tidet llant tesfernin i nettafar iwakken ad yuxal yiwen d aselway ɣef tdukklaya ; dacu kkan tisfer nina mačči d aswir unig deg le qraya, maca d aswir deg umussu adelsan. Iwakken ad tiliḍ d asel way, ilaq ad tesεuḍ aswir d ameq qran deg umussu adelsan, ilaq ad tḥemmleḍ ad txedmeḍ ɣef wiyaḍ war ma trujaḍ array n wazal, acku ilaq ad tesεuḍ tizit n tagmat deg wulik ; wama aswi n leqraya yexḍa deg usfernen, acku aṭas n yiselwayen i diεeddan ɣef tduk kla ur sεin ara aswir d ameqqran deg leqraya, maca sεan aswir d ameqqran deg umussu adelsan ; imi sεan tizit n tagmat deg wul nsen.” Dacu-t umussu adelsan s umata ɣer Fares ? “ Amussu adelsan ɣuri, neɣ deg tmuɣliw d win yettakken azal i uxuddim d agraw, ilaq ad yettnadi yiwen ɣef lfayda neɣ leqrar i wiyaḍ war ma imuqqel i leqraris. Amussu adelsan ilaq yiwen ad yesεu tizit n tagmat deg wulis, daɣen ilaq yiwen ad yesεu tismin deg wulis ama ɣef tutlaytis, ɣef yidelis, ɣef wansayenis i yellan deg tmetti. Daɣen ilaq yiwen ad yesεu tismin ɣef tmetti neɣ tad dartis, imi iswan n tdukkla d aḥader d useḥbiber ɣef tutlayt d yidles n taddart deg wacu tella.” D acu d timental i yeǧǧan fares ad yeddem taftilt n umussu adelsan, ɣas d ameẓyan deg leεmer-is ? “ D tismin ɣef tmetti neɣ, ɣef tad dartiw, imi iswan n tdukkla d aḥader d useḥbiber ɣef tutlayt d yidles amaziɣ sumata, daɣen ahat d tismin i yellan deg wulis ama ɣef tutlaytiw, ɣef yidlesiw, ɣef wansayeniw.” Dacu d iswi tesεiḍ deffir n waya ? imi tuɣaleḍ d aselway ɣef Tdukkla Tadelsant Adrar n Fad. “Dda Lmulud yerẓa asalu, nekni nessaram deg ubridis ara net teddu, d wa i d iswi nesεiɣ, ulac wayeḍ ; imi wid iyidyefkan taftilt n tdukkla rebbani ɣef umussu adelsan, d tismin fellas. Daɣen d lebni i yettkemmileɣ i wayen ad aɣdǧǧan yimezwura, d usnerni i tmuɣliwin d tiktiwin nesεiɣ. Daɣen yal aεeggal n tdukkla ur yezmir, ad yeqbel, ad truḥ teftilt n tdukkla. D awezɣi ad neǧǧ tutlayt d yidlesnneɣ ad yenger, ad iruḥ deg uḥamul n tatut, d zman.” Tura tettheggim i tfaska n tmedyezt tamaziɣt tis mraw kraḍ « 13 ». D acu d ugurem i d-tufam deg ubrid-nwen ama d kečč neɣ d yimdukkal-ik ? “Tafaska n tmedyezt tamaziɣt taɣelnawt, ayen mraw kraḍ « 13 » n yiseggasen nekni d aheggi n tfa skaya, s tidet deg yiseggasen n yimzura llan kra n wuguren ama deg tussna n wannar i ixus cwiṭ, uswir n uheggi drus maca tura imi nuɣ tannumi deg uheggi n leqdic a. Γas akken llan wallalen akked tmussni deg wannar maca uguren lland deg tedrimt acku ayen ad aɣdttakkent tenmehliwin teεna temsalt drus ma nesmagerit ɣer wazal swacu yettmagga usenfar am wa. Asnemmer i kra win ad aɣ yettakken afus n talelt iwakken ad temmag tfaskaya akken ilaq. Daɣen ugurnniḍen ameqqran d timetti; imi tuɣal tmetti teǧǧa amussu adelsan, d aya i yeǧǧa ti dukkla assa n wussan war iεeg galen, ad naf kan drus n yiεeggalen i tesεa tdukkla qedcen nnig n tezmertnsen. Imi timetti teǧǧa amussu adelsan, akken ahat ula d tinmehliwin terza temsalt ɣas akken ttakkend tadrimt maca am win yettakken : « Sirum i umuḍin ». Maca tella yiwet n tɣawsa tuffirt i yeǧǧan tafaska n tmedyezt tamaziɣt mazal tedder ar assa; d akken txeddem leqdic Tafeska n tmedyezt teddem udem ussnan; aya yella-d deg yimi n yimedyazen i d-yerzan ɣer tfaska n Udrar n Fad. Anwi d imassanen-a ? Amek ad asfkan udem-a ussnan ? “Ad snemreɣ tasqamut n yinzurfa yal yiwen degsen, wi d iselmaden deg tesga n tutlayt d yidles amaziɣ deg tesdawit n Bgayet garasen: « Rabḥi Σellawa, Meksem Zahir, Meḥruc Muḥend Lḥacen, Buεmara Kamel, Bellac Takfarinas, Ayad Salim, Waṭaḥ Lynda, Iɣid Muḥend Uremḍan, akked Saεdi Qasi». D nutni ad asyefkan udem ussnan i tfaskaya n tmedyezt tamaziɣt acku yal tamedyezt ara yilin gar yifassennsen ad ttcerwen, ad tt ɣreblen s uɣerbal ussnan mačči s tudemt; daɣen yal amedyaz ara d yerzen ɣer umsizwer yettuɣal s uswirnniḍen, d aswir unnig deg wannar n tmedyezt, mi ara d yuɣal deg tfaskanniḍen yettawid amaynut deg yal aḥric. Asnerniya deg uswir d nutni i d timental n waya. Hata amek ad asfkan udem usnan i tfaska n tmedyezt.” Amek ad asen-terrem azal i waya ? Acku aya ur yettwaktal ara s tedrimt. “Ur cukkeɣ ad tizmir Tidukkla Ta delsant Adrar n Fad ad asenterr azal; ama i nutni neɣ i leqdic xedd men, acku ayen xeddmen ur yesεi ara azal s yidrimen, maca array n wazal yettilid sɣur yimedyazen i dyettasen yal tikkelt, daɣen as nerni n uswir n yimedyazen seg useggas ɣer wayeḍ. Daɣen ur cuk keɣ nemgarad deg yiswan ɣer wacu nebɣa ad naweḍ deg leqdic yecban wa.” Deg wahil n tfaska ara yilin ass 26 ar 28 di meɣres 2015, llan yisaragen sɣur wat tussna, daɣen akken tuɣem tannumi am yal aseggas yettili unaẓu ara ixedmen tameɣra am yiseggasen yezrin yella ( Abranis ) ( Ali Ideflawen ) ( Zedek Mulud ), ma yella d aseggas-a ixulef tannumi imi tameɣra n ccna ad tili sɣur tnaẓurt Malika Dumran imi d nettat i d « marraine artistique » neɣ s talelt-is. Amek i d-textarem Malika Dumran mačči d tayeḍ ? D acu d asfernen i txeddmem i wakken ad textarem yiwen neɣ yiwet ara yecnun deg tfaska ? acku timetti taqbaylit tesεa aṭas n yinaẓuren maca tettaxtarem-d anaẓur ara yecnu, amek i d-yettili ufran-a ? “Anaẓur neɣ inebgi n lḥerma ara yecnun deg tfaska, nebdasen seg Abranis deg 2012, deg 2013 d Ali Ideflawen, ma yella deg useggas 2014 d Zedek Mulud, maca aseg gasa d tanaẓurt Malika Dumran acku nebɣa ad nerr tajmilt i tmeṭṭut taqbaylit yeddmen amen nuɣ, daɣen akken neẓra merra d akken tameṭṭut tamaziɣt s umata neɣ tameṭṭut taqbaylit d nettat i d lsas n tmetti, d nettat i ḥerzen idles d tutlayt seg tsuta ɣer tayeḍ, d nettat i tigejdit fellas i yebna uxxam aqbayli. Ad akdiniɣ d akken yella usfer nen ahat ulac ma yella usfernen ad yili deg ubrid n umennuɣ, cukkeɣ nextard Massa Malika acku ahat ulac tameṭṭu neɣ tanaẓurt deg tmetti taqbaylit i yuklalen tajmilt am nettat; imi abridis deg umen nuɣ yesfan, ifazen ɣef tutlayt d yidles aqbayli d tumast seg mi tesεa 16 n yiseggasen nettat d amennuɣ ulac tayeḍ am nettat, ahat d wa i d asfernen yellan.” Deg wahil-nwen llant tefsarin deg wayen yerzan tudert d yidlisen n Mulud At Mεemmer akked umezruy n tdukkla, d taddart n At Smaεel. Tifsarin ḥebsent da neɣ tleddim tiwwura i wid yebɣan ad tekkin s tefsarin yimgaraden deg tfaskaya ama s yidlisen neɣ s wunuɣen. Ma llan, amek tettixtirem wid ara i tekkin ? neɣ d acu d tawtilt ad asen-tettakkem ? “Tidukkla Tadelsant Adrar n Fad tleddi tiwwuras i yal yiwen yebɣan ad itekki deg tfaskaya; ama s yidlisen yettnuzun neɣ s wunuɣen yemxalafen, maca yella yiwen n ubrid ara ḥadren yimtek kiyen, abrida ilaq ad yili d win i tenjer Tdukkla; yeεni tifsarin ara yilin ilaq ad ilint tmeslayent ɣef yidles amaziɣ sumata; ama urant s tmaziɣt neɣ s tefransist, maca ilaq ad drnunt i yiswi n Tdukkla Tadelsant Adrar n Fad. Ihi tawtilt yellan d tamaziɣt ulac ugar tama ziɣt.” Awal s ara nekfu tadiwennit-a, neɣ tiɣri ara tegreḍ i yilmeẓyen i d-iteddu ɣef umussu adelsan. “Tanemmirt d tameqqran i yiεeg galen n Tdukkla yal yiwen s yisemis, asnemmer daɣen i kra win ad aɣdyefkan afus n talelt iwakken ad yemmag usenfara, ma yella d tiɣri ara greɣ i yil meẓyen ad aseniniɣ : « d lawan i wakken ad yili yidles d axuddim deg wannar, mačči d awal kan », ulac amennuɣ yesfan, ulac amen nuɣ n tidet am umennuɣ ɣef tu mast d yidles d tutlayt. Tanemmirt i teɣremt imi dterza ɣer Udrar n Fad, ihi ttiεad ass n 26 di meɣres 2015 deg uxxam n yil meẓyen n tɣiwan n At Smaεel.” Tadiwennit sɣur: N. Fête de la victoire. Onze stèles seront érigées au niveau des axes principaux de la capitale du Djurdjura à la mémoire des 11 colonels originaires de la wilaya III historique, de l’entrée Ouest, à partir de Tadmaït, jusqu'à Tamda. l s’agit de Slimane Dehilès, Ali Mellah, Abane Ramdane, Amirouche Aït Hamouda, Aissat Idir, Krim Belkacem, Mohamed Zamoum, Amar Ouamrane, Mohamed Saïd, Saïd Yazourène et Akli Mokrane dit Mohand Oulhadj. Ces stèles commémoratives seront inaugurées le 5 juillet prochain, à l’occasion de la célébration de la Fête de l’Indépendance selon les déclarations du directeur des moudjahidine, M. Youcef Boubetina, en marge d’une rencontre organisée, avant-hier, au musée du Moudjahid de Tizi-Ouzou, par la Fédération de France, à l’occasion de la Fête de la Victoire, 19 mars 1962 marquant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu après la signature des Accords d’Evian. Le premier responsable de la direction des moudjahidine affirmera d’ailleurs que des commandes ont été passées pour la réalisation de ces stèles aux dimensions humaines, qui sont d’ailleurs en cours de réalisation par des artistes algériens. Soulignons que 21 Moudjahidine ayant activé à la Fédération de France ont été honorés en leur remettant des médailles et des diplômes d’honneur lors de cette cérémonie. Par ailleurs, la direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou a concocté un programme spécial pour la célébration du 53ème anniversaire de la fête de la victoire du 19 mars 1962. Ce programme, qui a débuté depuis le 17 mars, comprendra des expositions d’articles de presses, photos, livres, etc. sur le parcours du peuple algérien durant la colonisation française jusqu’à l’indépendance du pays au niveau du hall des expositions de la maison de la culture Mouloud Mammeri, et des déclamations de poèmes par Ait Hammou Fodhil au niveau du petit théâtre. Des conférences-débats avec des enseignants universitaires et historiens sont également au menu des festivités. Citons entre autres, la communication de Mme Salhi Mezhoura, enseignante à la faculté d’histoire I d’Algérie, autours de la date du 19 mars 1962, et l’ex-ministre Boudjemaâ Hichour. Des chants révolutionnaires seront également présentés par les enfants de l’association « Thighremt » de la localité de Makouda. Un film documentaire intitulé « Regard sur la révolution » réalisé par Malika Tazekrit sera diffusé à cette occasion. Entre temps, l’annexe de la maison de la culture Mouloud Mammeri d’Azazga abritera, en plus des expositions, une conférence-débats animé par M Kourate Hocine, chercheur en histoire, autour de la journée du 19 mars 1962 et un atelier de dessins pour enfants âgés de 4 à 10 ans, intitulé « Après la révolution, la victoire». Au niveau du théâtre régional Kateb Yacine de Tizi Ouzou, cette occasion sera marquée par un spectacle qui sera donné par la coopérative culturelle de Sétif « Afkar wa fou- noun ». La cinémathèque, quant à elle, de la ville des Genêts marquera cet évènement par la diffusion du film « Les vents des Aurès » du réalisateur Mohamed Lakhdar Hamina. Les localités ne seront pas en reste de ces festivités. A Ait Yahia Moussa Moussa, Les élèves du lycée « 20 août » ont eu l’occasion de visiter le domicile familial du révolutionnaire « Krim Belkacem » sis dans son village natal, Iallalen, d’une communication autours de cet évènement et la diffusion du film historique sur « Krim Belkacem et les accords d’Evian ». La journée de samedi sera quant à elle marquée par des ateliers de dessins portant le thème : « Après la révolution, la victoire » au niveau de différentes bibliothèques communales, dont nous citerons Tizi Ouzou, Mekla, Aïn-El-Hammam et Abi-Youcef. Dahbia B Jeudi 19 mars 2015 u 07 Protestation : les travailleurs de la cimenterie d’Oued Sly en grève à Chlef Les travailleurs de l’entreprise de ciment et dérivés de la zone industrielle d’Oued Sly, à 8 km à l’ouest de Chlef, sont entrés mardi dans une grève ouverte pour revendiquer un relèvement de leur prime de performance professionnelle. Les grévistes, qui se sont rassemblés devant le portail principal de cette entreprise publique, ont exprimé plusieurs revendications professionnelles, dont la principale est la hausse de la prime de performance (Bonus), justifiant cette demande par les "gains réalisés par l’entreprise l’année dernière". Les autres revendications portent sur l’arrêt du licenciement des travailleurs contractuels pour des "raisons injustifiées", selon les grévistes, d’autant plus qu’il s’agit, pour certains, de pères de familles ayant travaillé pour une durée de 10 ans, ont-ils assuré. Contacté, le responsable des ressources humaines de cette entreprise, Mohamed Bentayeb, a indiqué que sa direction procédera, la semaine prochaine, à l’étude de la prime de performance en vue de son relèvement, suivant les objectifs économiques fixés pour l’entreprise, dont la hausse de la capacité de production. Il a, en outre, promis que l’entreprise examinera "le degrés d’objectivité" des autres revendications, en vue de leur satisfaction. Tizi Ouzou : distribution de matériel au profit de 72 handicapés L’Assemblée populaire de la wilaya (APW) de Tizi Ouzou en collaboration avec l’association « Relais et Solidarité » d’Ath Yenni, a procédé, hier, à la distribution d’un important lot de matériel au profit de 72 personnes handicapés au niveau de l’hémicycle Rabah Aissat. Il s’agit de 12 tricycles à moteur, 10 fauteuils roulants électriques, 14 fauteuils roulant pour adultes, 2 fauteuils roulant pour enfants, 1 déambulateur, 10 matelas anti escarres, 3 lits médicalisés, 10 cannes pour aveugles et 10 cannes canadiennes. Cette action vise à faire connaitre la situation que vit cette frange vulnérable de la société, selon les organisateurs. D. B. L'ADE réclame 160 milliards de créances à Tizi-Ouzou Précédent. Un tiers des abonnés ne dispose pas de compteurs, selon les déclarations du premier responsable de l’Algérienne des Eaux (ADE) Berzouk Amar, lors d’un point de presse organisé au niveau du siège de la dite direction à l’occasion de la journée mondiale de l’eau. Cet état de fait représente un véritable obstacle pour cette direction qui est dans l’impossibilité d’établir des factures de consommation de cette énergie vitale. Ce dernier ajoutera également que cette entreprise publique fait face à d’autres problèmes à l’image des créances auprès de ses abonnés qui ont atteint 160 milliards de centimes, dont 50 milliards redevables aux Assemblées populaires et 20 milliards aux autres institutions de l’Etat. La direction de l’Algérienne des eaux qui peine à recouvrir ces dettes auprès de ses créanciers a entrepris des réunions avec ses clients créanciers pour opérer les recouvrements des dettes à travers des échéanciers de paiement. Grâce au recouvrement des dettes cette dernière pourra faire face à ses propres dépenses, dont le paiement de la facture de l’électricité qui atteint parfois les 40 millions de dinars. L’énergie électrique permet en effet de faire fonctionner les différentes pompes ainsi que le pompage de l’eau dans les différents villages. En outre, M. Berzouk a relevé un autre obstacle qui se dresse face à la gestion de cette entreprise nationale, qui n’est autre que le piratage des canalisations d’eau qui lui fait perdre des sommes faramineuse en raison de la non-facturation. A ce jour pas moins de 1600 affaires de piratage sont devant les tribunaux. Cela en plus de la déperdition de milliards de mètres cubes d’eau dans la nature en raison des canalisations défectueuses au niveau des villages. Concernant la pénurie de l’eau potable à la quelle font face plusieurs régions de la wilaya de Tizi Ouzou, bien que la wilaya dispose de plusieurs barrage dont le plus important « Taksebt » alimente même les wilayas limitrophes. Ce dernier dira que le problème ne se pose pas en matière de disponibilité mais le problème se présente en matière de transfert en raison de la topographie de la wilaya caractérisée par son relief accidenté sur lequel se réparties quelques 1500 villages. L’orateur ne manquera pas de signaler aussi que la wilaya de Tizi Ouzou dispose de 20% des réserves de l’Algérie en eau, puisqu’elle dispose de 165 stations de pompage, 8 stations d’épuration, 150 stations de pompage, 7 stations de traitement, 24 bassins de décantation, une station de dessalement et une station de déminéralisation et 1345 réservoirs ; ce qui permet de pomper près de 200 litres d’eau pour chaque citoyen quotidiennement à travers 96% du territoire de la wilaya. D’ailleurs, la qualité de service de l’Algérienne des eaux, et malgré les lacunes enregistrées au niveau de certaines localités qui souffrent de pénuries, une amélioration considérable est constatée ces dernières années. La moyenne d’alimentation en eau potable qui était de 57% en 2006, avec une moyenne de 130 litres par citoyen au quotidien, s’est vue améliorée pour atteindre 88% en 2014, et atteindre du fait 253 litres d’eau pour chaque citoyen au quotidien. L’ orateur a précisé aussi que 62 commune sur les 67 que compte la wilaya dispose d’une annexe de l’Algérienne des eaux, alors que cette dernière est absente au niveau des localités d’Akbil, Illiltène, Ait Bouaddou, Ait Zikki et Idjer. Par ailleurs, le premier responsable de l’Algérienne des eaux au niveau locale, est revenu sur la problématique des glissements de terrains qui emportent des canalisations au niveau du versant nord de la wilaya du côté du Sébaou. Afin de parer à ce problème une enveloppe financière a été consacrée pour la réalisation de canalisation sous forme de ponts en des endroits plus élevés que le lit de l’Oued. Dahbia B. Détente 20 u La Cité Canard + Jeudi 19 mars 2015 La Cité Par : Rachid Adrar et Sadi Djouder C’est Apprendre Ou À Léser Mots Fléchés N° 568 Rachid Adrar (2e partie) Jeudi 19 mars 2015 u 05 L’ACTU MOTS À MAUX Boissons A la loupe Les conditions d’emballage vont être réglementées Les conditions de fabrication et d’emballage des boissons dont les jus de fruits vont être réglementées. Un règlement technique, le premier du genre, sera en effet promulgué avant la fin de mars prochain. Depuis quelque temps, les services de l’État, notamment les Impôts, s’intéressent de près à un industriel en produits pharmaceutiques qui semble connaître quelques difficultés financières. On apprend que plusieurs cadres ont préféré quitter cette entreprise pour ne pas être complices d’une gestion catastrophique. - Comme quoi, la gestion ratée de l’industriel en question est examinée à la loupe pour ne pas le louper… ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t'ennuieras d'eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie. J'ai appris la différence entre «réussir dans la vie « et «réussir sa vie». J'ai appris que la vie nous donne quelquefois une deuxième chance. J'ai appris que tu ne peux pas J' Mots croisés N° 568 Horizontalement : 1 - Aimable. 2 - Rauques. 3 – Querelle. – Titanide. 4 – Nazi. – Oiseau palmipède. 5 – Saint de Bigorre. - Obtenu. 6 – Permets. 7 – Courroux. – Durée de vie. 8 – Oublié. - Anonyme 9 – Plantes aquatiques. Mots Croisés N° 567 Verticalement : 1 – Impression. 2 – Dieu grec de l’amour. - Arbre. 3 – Rayon. – Complet. 4 – Fixée. – Connu. 5 – Hameau des Antilles. – Cours court. 6 – Aluminium. – Saison. – Interjection. 7 – Rêver. – Rivière de Bosnie. 8 – Cinéaste italien. 9 – Isolées. avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre. J'ai appris que si je poursuis le bonheur, il va m'échapper J'ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu'un. J'ai appris que lorsque je prends une décision avec mon [email protected] cœur, je prends généralement la bonne décision. J'ai appris que chaque jour, nous devrions étendre le bras et toucher quelqu'un parce que les gens aiment cette touche humaine... se tenir par la main, une accolade chaleureuse ou simplement une petite tape sur l'épaule. Leur a fait. Lem - Attention, parfois l’emballage n’entraîne pas l’emballement au déballage !… Une bande de cambrioleurs arrêtée Alors que le projet de l’autoroute Est-Ouest n’est pas totalement achevé et comporte à divers endroits des malfaçons, voilà que le gouvernement s’apprête à examiner une proposition portant sur la tarification du péage de l’autoroute Est-Ouest qui, selon certaines sources, aurait été fixée, d’ores et déjà, à 5 DA le km soit une somme de 2 850 DA pour un trajet Alger-Annaba (570 km), à titre d’exemple. Edité par la SARL Temoignage au capital social de 100 000,00 DA Cité LSP le plateau bloc B Bt 01 N° 5 Ouled Fayet Alger Compte CPA : 115 400 0001150 92 Agence Ali Boumendjel R.C : 13 B 100 6842-16/00 N.I.S : 0013165100654 50 N.I.F : 001316100684251 Directeur de la publication Nadjib Touaibia Téléphone : - 0555913265 - 0659208202 - 0550678400 Tél / Fax : + 213 (0) 21 470 015 E-mail : [email protected] w w w. l aci ted z . n et Combien va coûter le kilomètre de péage sur l’autoroute ? Suite à une enquête des services de la police du 7e arrondissement de la wilaya de Khenchela, il a été mis fin aux agissements d’une bande de malfaiteurs spécialisée dans le cambriolage de domiciles. Mots fléchés N° 567 Adresse : Le gouvernement s’apprête à examiner la fixation de son prix - Ainsi, ces voleurs qui ont l’habitude de marquer des arrêts devant les maisons, seront désormais marqués dans les maisons d’arrêt… - Ajouter au décompte les inévitables déviations pour les besoins des travaux inter… minables qui rallongent de ce fait votre trajet…et votre facture. Lem A la une Publicité 22 u La Cité La Cité Jeudi 19 mars 2015 Demandes d’emploi - JH 50 ans célibataire Cadre technique gestion bonne présentation 20 années d'expérience professionnelle gestion Approv Stocks PR moyens généraux logistique démarches prospection suivi commercial recouvrements représentation, domiciliation liaisons pré-inventaires sondage consulting préconisation cherche emploi... émail [email protected] telph.. 0540 81 95 36 Béjaia -JH comptable, CAP, CMTC, 10 ans dʼexpérience sur PC Compt et PC Paie, maîtrise outil informatique. Tél : 0553 64 15 00 -JH, Ingénieur dʼEtat en Hydraulique, de lʼENSH, cherche emploi dans le domaine. Tél : 0670 13 33 70 -JF, Gestionnaire en Ressources humaines, cehrche emploi. Tél : 0552 08 67 91 -Garde-malade, assistante personnées âgées, couchante, cherche emploi chez famille sérieuse. Tél : 0558 33 97 03 -JF, juriste, licenciée en sciences juridiques en langue française, maîtrise de lʼoutil informatique + expérience, cherche emploi dans une société publique ou privée. Tél : 0556 92 52 23 -JH, TS en rats graphiques, infographiste, 9 ans dʼexpérience, cherche emploi. Tél : 0552 47 54 74 -JH, 33 ans, TSen informatique, expérience dans administration réseau, cehrche emploi. Tél : 0661 54 03 13 comptabilité, 5 ans dʼexpérience dans le domaine, tenue comptabilité, déclarations fiscales et parfiscales, cehrche emploi. Tél : 0550 51 12 21 -JH, 30 ans, master en génie des procédés, option raffinage et pétrochimie, une année dʼexpérience et trois mois de stage dans le domaine gazier, cherche emploi. Tél : 0556 33 36 72 -JH, architecte agréé, expérience de 4 ans, maîtrise 2D et 3D, Photoshp, suivi et contrats. Cherche emploi ou travaux. Tél : 0552 57 04 30 -JF, Licence en sciences degestion, option finances, 3 ans dʼexpérience, maîtrise SCF, PC comptailité, cherche emploi. Tél : 0696 20 67 63 -JH, 33 ans, superviseur HSE, expérience professionnelle, maîtrise des langues française et anglaise, cherche emploi dans le domaine. Tél : 055 81 98 93 -JH, 22 ans, licencié en comptabilité, cherche emploi dans le domaine. Email : [email protected] -JF, TSen comptabilité option finances, maîtrise PC comptabilité et PC paie, 6 ans dʼexpérience, cherche emploi. Tél : 0665 24 69 38 -JH, expérience dans lʼadministration, avec permis de conduire, cehrche emploi. Tél : 0772 56 65 14 -JH, 30 ans, ingénieur dʼEtat en génie-civil, cherche emploi dans le domaine. Tél : 0782 51 89 29 -JF, licence en droit et diplôme en informatique, expérience de 4 ans, maîtrise logiciel Paie, comptabilité, commerciale cherche emploi comme comptable. Tél : 0795 12 38 77 -JH, Ingénieur dʼEtat en géniemécanique, 4 ans dʼexpérience, cehrche emploi dans le domaine. Tél : 0541 605 619 -JF, 27 ans, CAP en informatique, expérience comme secrétaire, standardiste, saisie et agent de bureau, cherche emploi, de préférence à Alger et environs. Tél : 0553 81 85 77 -JH, TSen bâtiment, conducteur des travaux, expérience de 12 ans, cehrche emploi à Alger ou à Tipaza de préférence. Tél : 0554 04 86 99 -JH, arcitecte agréé, expérience de 8 ans, suivi de chantier. Tél : 0777 79 29 27 -JF, ingénieur dʼEtat en biologie, 4 ans dʼexpérience, cherche emploi. Tél : 0540 35 67 72 -JH, 31 ans, marié, licence en cœur de Tunis ’e d i t o L Jeudi 19 mars 2015 u 03 de Mourad Bendris Une date, des leçons -JH, 25 ans, master en biotechnologie et pathologie moléculaire, cherche emploi dans le domaine. Tél : 0552 40 82 24 En organisant le mouvement libérateur autour du seul objectif de l’indépendance nationale, ceux-ci ont, en effet, eu la double réussite d’éviter, dans une large mesure, au premier, de se fourvoyer dans des querelles sans rapport avec le but fixé, et de hâter la concrétisation du second. -JF, licence en sciences juridiques + CAPA, une année de stage pratique, maîtrise de lʼoutil informatique, des langues française et anglaise, cherche emploi. Tél : 0779 53 09 49 -JF, licence en sciences juridiques + CAPA, une année de stage pratique, cherche emploi. Tél : 0540 35 67 72 SOS Jeune fille âgée de 24 ans, handicapée à 100%, cherche poussette IMC enfants + couches adultes. Tél : 0779 80 68 05 A nos lecteurs Pour vos demandes dʼemploi, lancement des SOS, nʼhésitez pas un instant à nous les confier pour leur publication gratuite.*il suffit juste de nous les envoyer sur notre adresse : [email protected] notamment, la Tunisie, et la non moins urgente nécessité de réussir les processus de dialogue entre les protagonistes des crises malienne et libyenne ; dans le cas contraire, ces deux pays constitueront, comme l’est déjà la Libye, des bases d’où partiront les menées déstabilisatrices de toute la région précitée. Au profit, faut-il le souligner, de ceux qui œuvrent au remodelage de sa carte politique… RN Saadani, meilleur allié de Benflis La crise qui sévit dans les rangs du Front de libération nationale profitera sans nul doute à l’Avant-garde des Libertés, le parti en cours de constitution de l’ancien chef du gouvernement, Ali Benflis. Des cadres et des militants du FLN prévoient de rallier cette nouvelle formation politique. Ali Benflis a installé, samedi dernier, l’Instance Nationale de préparation du Congrès Constitutif de Talaiou El Houriyet. Une étape cruciale dans la constitution de cette nouvelle formation politique. Le processus devrait ensuite s’accélérer avec l’organisation des congrès régionaux pour aboutir, début juin, avec la tenue des assises du parti. L’Avant-garde des Libertés profitera d’un contexte politique particulièrement favorable pour renforcer sa base et ses structures organiques. Une situation due essentiellement à la crise qui sévit au sein du Front de libération nationale, parti que Benflis a eu à diriger par le passé. Le passage en force d’Amar Saadani pour prendre possession du FLN puis la phase de préparation du 10e congrès ordinaire- marquée par la création de nouvelles mouhafadhates- a déstabilisé le parti. « Les militants du FLN sont dans le flou. Amar Saadani avait annoncé que le congrès se tiendrait durant le premier trimestre. Il a ensuite décidé de reporter le congrès en le liant à l’adoption de la nouvelle constitution. En quelques mois, Saadani a perdu toute crédibilité. Tout ce qu’il annonce est faux, à commencer par le changement de gouvernement », explique un membre du Comité central du FLN. Pour de nombreux de militants, Amar Saadani est parvenu à faire imploser le FLN. « Le parti est dans l’impasse. Toutes les structures sont paralysées et rien n’est fait pour débloquer la situation. Depuis son arrivée à la tête du FLN, Amar Saadani a bâti son aura sur sa proximité avec le clan présidentiel. Cette stratégie lui a réussi durant la phase de réélection d’Abdelaziz Bouteflika mais il semble qu’il ait été rejeté par ses parrains. D’ailleurs, il n’est plus joignable ces derniers temps. Ses proches collaborateurs disent qu’il est retourné en France pour se reposer », note ce cadre. Très discrets jusque-là, les militants « proBenflis » au sein du FLN devraient passer à l’offensive dans les prochaines semaines. Certains prévoient même des actions médiatiques pour annoncer leur passage vers Talaiou El Houriyet. C’est le cas notamment de plusieurs membres du Comité central qui préparent une démission collective. Un membre-fondateur de l’Avant-garde des Libertés précise que certaines annonces « seront percutantes ». Selon lui, la surprise viendra également des groupes parlementaires du FLN au Sénat et à l’Assemblée. Là encore, la crise qui secoue le groupe parlementaire à l’APN devrait profiter à Ali Benflis. Larbi K. L’Algérie, toute l’Algérie, célèbre aujourd’hui une des plus importantes dates du calendrier politique national. Une date dont l’importance réside dans le fait qu’elle renvoie à un évènement : la proclamation du cessez-le-feu sur toute l’étendue du territoire national, qui a constitué l’avant-dernière étape – la dernière ayant été le référendum sur l’autodétermination du peuple algérien, du 3 juillet 1962 – d’un long et meurtrier processus libérateur, déclenché le 1er novembre 1954, qui a mené le peuple algérien au recouvrement de sa souveraineté nationale usurpée 132 années plus tôt. Un processus qui s’inscrivait lui-même dans l’enchaînement des âpres luttes contre, dans un premier temps, la pénétration coloniale française et, par la suite, sa présence, que celui-ci n’a jamais cessé de mener depuis 1830. Et qui n’aurait jamais connu l’aboutissement heureux qui a été le sien n’était-ce, outre les immenses sacrifices consentis par le peuple algérien, la clairvoyance - pour ne pas dire, le coup de génie - de ceux qui l’ont déclenché. En organisant le mouvement libérateur autour du seul objectif de l’indépendance nationale, ceux-ci ont, en effet, eu la double réussite d’éviter, dans une large mesure, au premier, de se fourvoyer dans des querelles sans rapport avec le but fixé, et de hâter la concrétisation du second. Un coup de génie qui demande à être réédité en ces temps de menaces sur le pays. Non pas pour le libérer mais pour le prémunir définitivement et sûrement contre ces dernières. Comme ni l’époque, ni le contexte et, encore moins, ni l’objectif ne sont identiques, il est peut raisonnable de demander aux politiques d’aujourd’hui de plagier ce que les « pères du 1er novembre » ont fait. Ce qui leur est demandé ce n’est pas de se fondre dans un moule unique. Mais de s’élever à la hauteur de la gravité des menaces qui pèsent sur le pays. Et ce, en mettant de côté, le temps de mettre le pays à l’abri, toutes les divergences qui pourraient être utilisées comme « cheval de Troie » par ceux qui n’ont de cesse de le déstabiliser ; un temps qui sera mis à profit pour s’entendre et mener, impérativement, d’une manière consensuelle, toutes les réformes politiques à même d’assurer une transition pacifique vers une Deuxième république et toutes les actions susceptibles de bâtir une économie nationale performante. C’est tout le « sacrifice » qui leur est demandé… MB L'Algérie condamne «énergiquement» l'attaque terroriste à Tunis Réaction. L'Algérie a condamné "énergiquement" l'attaque terroriste perpétrée mercredi contre le musée du Bardo à Tunis et exprimé sa "solidarité absolue et inconditionnelle" avec ce pays voisin. L'Algérie "suit minute par minute et avec une profonde inquiétude les informations en provenance de Tunis sur l'attaque terroriste lâche qui a ciblé mercredi aprèsmidi le musée du Bardo dans la capitale tunisienne dans lequel d'innocentes personnes ont été froidement assassinées", a précisé un communiqué du ministère des Affaires étrangères. "L'Algérie qui condamne cet acte criminel odieux et la prise d'otages qui s'en est suivie, exprime sa solidarité absolue et inconditionnelle avec le président, le gouvernement et le peuple tunisiens face à cette tentative désespérée qui, en aucun cas, n'atteindra l'objectif recherché par les auteurs et commanditaires de déstabiliser la Tunisie sœur et attenter sa sécurité ni n'entamera la détermination des toutes les composantes de la société tunisienne unie et solidaire", ajoute le communiqué. "L'Algérie qui a de tout temps soutenu les frères en Tunisie et les a aidés pour sortir de la crise est aujourd'hui, plus que jamais, disposée à poursuivre son soutien aux efforts des autorités tunisiennes pour faire face à tous les défis, y compris sécuritaires et avant tout pour éradiquer le terrorisme", conclut le communiqué. Fin de la prise d'otages en Tunisie : l'Algérie exprime son "soulagement" L'Algérie a exprimé par la voix du porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali-Cherif, son "soulagement" suite à la fin de la prise d'otages mercredi à Tunis, assurant qu'aucune victime algérienne n'était à déplorer dans cette attaque terroriste. "Nous exprimons notre soulagement suite à la fin de la prise d'otages et à la neutralisation des terroristes et regrettons dans le même temps les victimes innocentes assassinées par des criminels sanguinaires dont le seul souci est de semer le chaos et la terreur parmi de paisibles citoyens", a affirmé M. Benali-Cherif dans une déclaration à l'APS. "En cette douloureuse circonstance, nous présentons nos condoléances aux familles des victimes et au gouvernement tunisien et réaffirmons notre solidarité avec le peuple tunisien frère", a-t-il ajouté, assurant qu'"aucune victime algérienne n'est à déplorer dans cette odieuse attaque terroriste". Le billet de Said Mekbel Le PT qualifie d’abjects les propos de Bouchouareb Une affaire Des d'élèves rassemblés hier devant le siège de la DE d'Alger ouest Education. L’heure est à la prise en charge du sérieux problème de l’année blanche en train de se concrétiser à la suite de la grève impopulaire à l’œuvre depuis le 16 février à l’appel du Cnapeste. ue faire ?» se demandent responsables du secteur et parents d’élèves, subitement mis dans une situation sans précédent. Faire refaire une année entière à des élèves étrangers à l’envie insatiable d’enseignants qui font de l’augmentation salariale leur seule ligne de conduite ? Une idée sans assise sérieuse en Algérie et ailleurs dans le monde. Tout comme l’autre d’ailleurs, celle qui consiste à donner le bac à tout le monde et, plutôt que de faire dans la réforme du plus malade des secteurs en Algérie, faire du Benbouzid sans Benbouzid en érigeant sa logique du bac politique la politique de notre système d’éducation. Un terrain sur lequel Benghebrit, la seule ministre jusque-là digne de l’héritage Lacheraf, ne s’aventurera pour rien au monde. Avec ou sans la malfaisance du Cnapeste. Sauf que, d’ici le règlement définitif du précédent né de la grève impopulaire de ce syndicat, le principal souci reste ces candidats au Bac pris en sandwichs entre la nécessité de passer l’examen du prestigieux diplôme de l’enseignement secondaire et le son de cloche contraire seriné par des enseignants qui font de l’élève leur moyen de chantage. C’est ainsi que, hier matin, des dizaines de lycéens de Cheraga, Staoueli ou Ain Benian se sont rassemblés devant la direction de l'éducation d’Alger ouest (Chéraga, Alger) à l'appui de revendications pédagogiques, a constaté un journaliste de l'APS. Les représentants de ces lycéens ont été reçus par les responsables de l'académie d'Alger ouest, et ont reçu des explications, en particulier sur l'utilisation de CD proposés par le ministère pour compenser le retard dans la conduite des cours induit par la grève des enseignants adhérents au Cnapeste. ''Les lycéens ont soumis leurs préoccupations concernant l’utilisation des CD pour compenser l’absence de cours, le «Q seuil (el Ataba) des cours sur lesquels portera l’examen du baccalauréat, ainsi que les examens trimestriels'', a-t-on expliqué à la direction de l'éducation d'Alger ouest. Le secrétaire général de l’Académie a indiqué qu’il a reçu une délégation de lycéens pour ''examiner l’ensemble de ces questions'', ajoutant que ''les solutions proposées ne diffèrent pas de celles concernant les autres lycées du pays''. Il a indiqué que les CD sont conçus afin que les lycéens puissent assimiler le contenu du programme officiel et que ''la question des examens pour le deuxième trimestre a été tranchée''. Il a rappelé que la ministre de l’Education nationale, Mme. Nouria Benghebrit, a évoqué mardi l'annulation "éventuelle" des examens du 2e trimestre pour les classes de terminale en raison de la grève. Sur la question des lycéens sur le seuil des cours, le même responsable de la direction de l'éducation d'Alger ouest a expliqué que 30 contrebandiers arrêtés à Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar Sécurité. Trente (30) contrebandiers ont été arrêtés et un camion et deux véhicules tout-terrain saisis mardi à Tamanrasset et à Bordj Badji Mokhtar par des détachements de l'Armée nationale populaire (ANP), a indiqué mercredi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué. "Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la contrebande et le crime organisé, des détachements de l'ANP, relevant des secteurs opérationnels de Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar (6è région militaire), ont appréhendé, hier le 17 mars 2015, trente (30) contrebandiers", lit-on dans le communiqué. Lors de ces opérations, un camion, deux (2) véhicules tout-terrain, (7,16) tonnes de denrées alimentaires, des médicaments, des pro- duits pharmaceutiques, (1.200) paires de chaussures, (3.590) litres de carburant, (34) détecteurs de métaux, (540) grammes de pierres contenant de l'or, dix (10) téléphones portables et une somme d'argent estimée à (2.500) dinars algériens et (55.500) CFA, ont été saisis, a précisé la même source. Dans le même contexte, les éléments de la Gendarmerie nationale, relevant des secteurs opérationnels d'Oran (2è région militaire) et d'Adrar (3è région militaire) ont intercepté sept (7) immigrants clandestins, a ajouté le communiqué du MDN. Par ailleurs, les éléments des Gardes-frontières de Bechar (3è région militaire) ont saisi (24,36) kilogrammes de kif traité", a conclu la même source. ''cette question est traitée au niveau national, et non au niveau de l’Académie''. Pour autant, les lycées n’étaient pas satisfaits des réponses obtenues auprès des responsables de cette direction de l'éducation de la wilaya d'Alger, qui en compte trois (centre, est et ouest), sur cette question de cours dispensés à travers des CD, indiquant que certains élèves n’ont pas d’ordinateurs. La délégation de lycéens est issue des daïras de Chéraga, Staouéli, Ouled Fayet et Aïn Benian. Les lycéens ont annoncé qu'ils vont tenir ''d’autres mouvements de protestation''. A Alger-centre par ailleurs, aucune perturbation des cours mercredi n'a été enregistrée au niveau des lycées de Okba, Emir Abdelkader, Frantz Fanon et Omar Racim, selon des élèves interrogés par l'APS, qui font état de ''peu d'engouement'' pour les CD dispensant des cours accélérés pour les candidats au Bac. Dj Kersi et agences « Oui, Monsieur le ministre, il y avait beaucoup de monde au meeting. Si j'ai dénoncé l'action des trabendo ! Bien entendu j'ai dit que c'étaient eux les saboteurs qui sont à l'origine de toutes nos misères économiques, politiques, philosophiquès et démographiques. La réaction du public ? Plutôt favorable, à part un comique qui a crié « Fako ! », l'ensemble a bien réagi à mon discours. Ensuite ? J'ai lancé un appel à tous les coeurs : j'ai dit qu'il fallait qu'on réagisse contre les saboteurs et qu'on allait gagner parce qu'on est un peuple fier, un peuple qui a du « nif ». Si le coup du « nif » a marché ? Et comment ? Sauf pour le même comique qui a encore dit « Fako ! » Et j'ai dit qu'il fallait nous unir, qu'on resserre les rangs, qu'on se serre les coudes et s'il le fallait qu'on se serre la ceinture. Alors y a un type qui est venu devant la tribune officielle — non pas le «Fako ! », un autre — et le type il s'est tourné vers le public et il a serré la ceinture pour donner l'exemple. C'était sublime. Alors on s'est mis à offrir des ceintures à tous ceux qui n'en avaient pas pour qu'ils puissent se la serrer à leur tour. Pardon ? D'où on a eu les ceintures ? Eh bien, chez un trabendo de la ville, une affaire en or... Allô ? Allô ? Ça y est, il a raccroché. Je comprends pas ! Même avec un taux de change parallèle favo¬rable, c'était une affaire en or ces ceintures ! El Ghoul 2 février 1990 Paludisme : un cas de malaria enregistré à Blida Un patient souffrant de malaria (paludisme) a été enregistré au niveau du service des maladies infectieuses de Boufarik (Blida), a-t-on appris, mercredi, auprès de son responsable. Il s’agit d’un jeune homme de 36 ans, actuellement placé en isolement et soumis au traitement, a indiqué Mohamed Yousfi, signalant que son état est stable. Il a expliqué ce cas par le fait que cette personne n’a pas pris le traitement préconisé lors de son déplacement en Guinée équatoriale, pour soutenir l’équipe nationale de football en Coupe d’Afrique. Selon ce responsable, les principaux symptômes de cette maladie répandue dans les pays d’Afrique subsaharienne, sont la fièvre, nausées, maux de tête, et douleurs musculaires, entre autres. Passe d’armes. Pour le parti des travailleurs, les propos de Abdeslam Bouchouareb confirment, si besoin est, «les craintes exprimée par le PT sur le climat ambiant créé par les agissements de l’oligarchie qui veut faire taire toute voix discordante et empêcher les députés du PT de respecter programme comporte des prises de parole lors de la cérémonie de réinhumation, suivie d’un déjeuner. Seulement lorsque nous nous sommes rendus sur les lieux pour nous enquérir des préparatifs précédant cet acte de réhabilitation à titre posthume de nos valeureux chouhadas, nous avons constaté de visu que la cérémonie ne sera qu’un léger toilettage que subiront ces ossements. Car, a-t-on appris sur place, ils ne seront que réinstallés dans ce triste caveau qui les a hébergés durant plus de 40 années. La raison pour laquelle ils regagneront leur « domicile » antérieur est que les tombes qui se trouvent en ce cimetière de chouhada ne sont en réalité que des plots de béton avec des pierres tombales, et cette surprise n’a eu lieu qu’hier : d’où l’impossibilité d’enterrer ces restes sacrés de chouhadas. Bejaïa-Beni Mansour Le dédoublement de la voie ferrée pas encore sur rail Quotidien national d’information Directeur fondateur : Fodil Mezali Au moins 19 morts dans un attentat terroriste hier en Tunisie Tunis cible du salafisme Blocage. Le déplacement des responsables du rail au niveau national, Anesrif, Infra rail et les deux bureaux à qui a été confiée l’étude de ce tracé de «la discorde» long sur 80km, n’aura finalement servi à rien si ce n’est à provoquer encore une fois l’ire des citoyens touchés par les opérations d’expropriations et qui se comptent par centaines. En effet, avant-hier, une réunion a été tenue à la salle des conférences de la wilaya à l’effet de rapprocher les positions diamétralement opposées. Y étaient présents les élus locaux, le wali, les responsables de l’Anesrif et les citoyens menacés d’expropriation. Peine perdue : la rencontre tant attendue s’est terminée en queues de poisson. (Bbker Amrani) Suite en page 6 Voie ferrée : le réseau devrait atteindre 12.500 Km à l'horizon 2020 Lire en page 4 19 mars : 11 stèles à réaliser à la mémoire de 11 colonels de la wilaya III Selon le porte-parole du ministère tunisien de l'Intérieur, « l’attaque a été perpétrée par un groupe terroriste composé d’au moins deux éléments armés de Kalachnikov » à un moment où une centaine de touristes, de différentes nationalités, s’y trouvait à l’intérieur du musée du Bardo. Lire en page 7 Mokhtar Chebbah à LaCité : «Cette société où le vieux ne vit pas de sagesse…» Lire en pages 12 et 13 Tiɣremt : «La Cité» dans la langue chère à Da L’Mouloud Mammeri Lire en pages 2 et 3 Lire en pages 15, 16, 17 et 18 Les «je dis» de Lem L’heure est à l’heur loin des heurts L’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 20 mars Journée internationale du bonheur. Et aucun pays du conseil de sécurité n’a exercé son droit de veto. Un jour normal sans guerre, sans catastrophe, sans aucun viol, sans fermeture d'usine, sans expulsion... est-il possible ? Mais qu’est-ce que le bonheur ? Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n’est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus. Le bonheur est un état global. L’homme heureux est comblé. Il vit une forme de plénitude. Sa situation est stable : elle présente un équilibre et seul un élément extérieur pourrait la modifier. Mais à chacune et à chacun son bonheur. Ainsi, il y ceux qui trouvent cette volupté dans le beau vin ; Le comble de toute cette supercherie de l’humain envers le martyr, c’est cette façon d’avoir menti durant tout ce temps à tout le monde, aux morts et aux vivants. Cette tromperie est innommable car chaque pierre tombale portait le nom d’un Chahid alors qu’il n’avait que du béton. Au total il y aurait 60 martyrs dont les noms sont portés sur un tableau qu’abrite un mémorial menaçant ruine. Un projet de remise en état de ce cimetière a fait l’objet d’une procédure qui ne tardera pas à voir le jour selon le premier magistrat de la commune, rencontré sur place. La question qui demeure posée : pourquoi cette impunité de jouer avec des sacralités ? Gloire à nos Martyrs. Lounis Ou Si Amer question au Premier ministre et dans laquelle il a appelé à la mise en place de la politique dite de préférence nationale dans le cas de l’entreprise publique de motocycles CICMA» qui n’est «qu’une privatisation déguisée et n’est-ce pas là du bradage ?». Lire en page 2 le compte rendu de Larbi kacel Des ossements de chouhadas ré-inhumés aujourd’hui à Boudjellil Sépulture. 53 ans après l’indépendance chèrement acquise, il y’a malheureusement encore matière à revenir sur les repos éternels de nos valeureux guerriers. C’est aujourd’hui 19 mars 2015 que seront ré-inhumés les ossements de certains chouhadas fortuitement découverts entassés dans de vulgaires sacs en plastics. Suite à quoi La Cité, soucieux d’en informer ses lecteurs sur un fait sans précédent dans la région, a consacré à l’évènement un article détaillé dans l’édition 559 du 24 février 2015. Un article qui a fait réagir le maire de Boudjellil par une mise au point publiée dans le N° 570 de la Cité en date du 9 mars courant, conformément à la loi relative à l’information. Sans commentaire. Une cérémonie est programmée à cet effet et beaucoup d’invitation ont été distribiuées à l’occasion. Le leur mandat en posant les problèmes qui leur sont soumis par les citoyens en général et les travailleurs en particulier». Sinon s’attaquer à Smain Koudria, le député du parti de Guelma, avec autant de «mépris» alors qu’il n’a fait que «respecter son mandat de député en posant une N° 579 Jeudi 19 mars 2015 Prix 15 DA ceux-ci le trouvent dans le divin ; ceux-là le découvrent quand ils consomment du bovin ; il y a des gens qui rencontrent le bonheur en devenant écrivains ; certains sont heureux quand ils touchent des pots-de-vin ; d’autres ressentent ce sentiment d’euphorie en sortant d’un ravin ; quelques-uns, sans être devins, savent qu’ils connaîtront un jour le bonheur même à la veille d’un âge dont le nombre totalise quatre-vingts ; ces fans de foot se trouvent en extase parce qu’ils sont chauvins ; le boulanger, lui, est dans un état de délectation devant la bonne qualité du levain… Oui, le bonheur c’est fou ! Et il faut être fou pour ne pas chercher cet état de plénitude absolue ! La journée du bonheur, c’est demain, vendredi 20. Alors, buvez la vie à deux mains, et que Dieu exauce tous vos vœux de bonheur de bonne heure, et jamais en vain… Lem www.lacitedz.net