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**COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM** CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE DE L’O.U.A. à l’U.A. ou le PANAFRICANISME EN ACTION avec le CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE et la SOCIETE SAVANTE DES ENCYCLOPEDISTES AFRICAINS pour le DEVELOPPEMENT AUTOCENTRE DURABLE § Recherche et contribution sous la direction pédagogique conceptuelle du Professeur Kapet de BANA. COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, Bd Saint – Michel – 75005 Paris tel/fax : 01.43.25.80.50. site Internet : http://africa.smol.org **COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM** CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE INTERVENTION en direct et COMMUNICATION sur les antennes de la radio internationale Africa n°1 du CONSEIL MONDIAL de la DIASPORA PANAFRICAINE et de la SOCIETE SAVANTE des ENCYCLOPEDISTES AFRICAINS le lundi 8 juillet 2002 par le Professeur Kapet de BANA De l’O.U.A à l’U.A. du Plan de LAGOS – 1988 au NEPAD – 2002. § « Pour que l’Unité Africaine triomphe par le développement autocentré durable ! » Destinataires : - Secrétaire Général de l’O.U.A. ONU UNESCO Président Khaddafi Gouvernement du Bénin Gouvernement d’Haïti Gouvernement du Sénégal - Gouvernement du Mali Gouvernement de l’Algérie Gouvernement du Nigeria Gouvernement d’Afrique du Sud Autres organisations africaines et internationales. CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, bd Saint – Michel – 75005 Paris tel/fax : 01.43.25.80.50. Site Internet : http://africa.smol.org De l’O.U.A. à l’U.A. « Pour que l’Unité Africaine triomphe ! ». La question posée, s’agissant de l’Union Africaine, concernant un sursaut du continent qui évoluerait sans assise populaire, appelle de la part de la Société Savante des Encyclopédistes africains, deux clarifications pédagogiques et cinq propositions de résolution novatrices ou innovatrices. 1) La première clarification est de vérifier que l’Union Africaine ne signifie pas la mort de l’O.UA. L’Union Africaine représente l’évolution qualitative innovante de l’O.U.A de par sa vocation et par rapport aux différentes structures ou mécanisme de fonctionnement prévu, pour réaliser la mission permanente qui demeure la construction de l’Unité Africaine. 2) La deuxième clarification nous amène à rappeler que l’O.U.A. avait une double mission historique à savoir : - Libérer le continent du joug colonial. - Favoriser son unité et assurer son développement. Aussi, l’Union Africaine constitue la première étape de la 2ème mission de l’O.U.A. C’està-dire, en clair, l’Union des Etats africains pour la réalisation de l’Unité Africaine, nous disons bien, l’Union des Etats africains et non pas l’Union des Peuples africains. Les juristes peuvent ergoter et les politologues surenchérir démagogiquement. Pour l’instant, les Peuples africains vivent en excroissance des institutions de l’Union Africaine comme de l’O.U.A qui, de notre point de vue, n’est pas morte. Cette clarification pose le problème de la ratification de la constitution de l’Union Africaine par référendum dans chaque pays africain. En effet, cette clarification appelle cinq propositions de la Société Savante des Encyclopédistes africains. - La 1ère proposition souhaite l’institutionnalisation d’un passeport et d’une carte d’identité de l’Union des peuples africains. - La 2ème proposition concerne la création d’une Commission Panafricaine pour l’évaluation de la réparation des crimes de la traite négrière, de la colonisation et du néocolonialisme génocidaires. - La 3ème proposition concerne la création des grands Prix pour la valorisation et la promotion des savants africains dans tous les domaines du savoir et de l’action. Par exemple : un Prix Kwamé N’Krumah de l’Unité Africaine qu’on accorderait au Président Khaddafi pour ses efforts exceptionnels à la création de l’Union Africaine et que pourraient bénéficier également, tous les grands penseurs innovateurs ou novateurs de l’Union Africaine tels que les Présidents Wade du Sénégal et Thabo Mbeki d’Afrique du Sud pour leurs plans OMEGA et MAP sans oublier les grands médiateurs Nyeréré, Nelson Mandela et Toumani Touré pour leurs œuvres efficaces pour la réconciliation et la paix en Afrique. Nous soulignons qu’un autre prix important serait accordé au Président Bongo pour avoir doté l’Afrique de la Première Radio Interafricaine (Africa n°1) pour la démarginalisation et le désenclavement médiatiques en vue de la valorisation de la dignité des peuples africains. - La 4ème proposition concerne la création d’un Panthéon des héros de l’Unité Africaine et anti-esclavagiste où seraient monumentalisés par exemple : Toussaint Louverture, l’Abbé Grégoire, Garvey, Padmore, N’Krumah, Luther King, Fanon, Boganda, Cheikh Anta Diop, Ben Barka, Lumumba, Moumié, Sélassié, Mohamed V, Nasser, Cabral, Dulcy December, Ravanaiona III etc, etc. - La 5ème et dernière proposition : l’Afrique étant allée exposer doctoralement sa thèse ou son plan d’initiative de développement devant le jury du G8, réuni en Conférence dite mondiale à Gênes (Italie) , soutenue par cinq chefs d’Etat doctorants, géographiquement sélectionnés dont deux anglophones (Thabo Mbeki d’Afrique du Sud et Obasanjo du Nigéria), un arabophone (Bouteflika d’Algérie) et deux francophones (Konaré du Mali et Wade du Sénégal). Pourquoi n’y a t-il pas eu de lusophone ? Le plan des Présidents Wade et Thabo Mbeki devenu le Plan « Initiative Africaine » appelle de la part de la Société Savante des Encyclopédistes africains deux observations contributives en guise de suggestions pour sa mise en œuvre : a) Première observation : cette Initiative Africaine devrait être diffusée, pour ne pas dire pédagogiquement vulgarisée, dans toutes les langues accessibles aux populations paysannes du continent pour que toutes les forces du développement s’en emparent , s’en imprègnent en vue de favoriser un développement autocentré à partir des villages dans chaque pays africain, rappelant ainsi l’exemple tanzanien Ujama du Président Nyeréré. b) Notre deuxième observation concerne l’éducation et la formation des agents économiques, développeurs, encadreurs socio-économistes, agronomes, ingénieurs, planificateurs, statisticiens et informaticiens du développement. Pour ce faire, six grandes écoles polytechniques régionales du développement pour l’application de ce plan devraient être implantées respectivement en Algérie, en Afrique du Sud, en Ethiopie, à Madagascar, en Angola, en Côte d’Ivoire, réaffirmant ainsi que cette autre stratégie de développement de construction africaine par la politique d’intégration régionale. La Société Savante des Encyclopédistes africains et le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine sont prêts à s’investir autant que possible pour le plan d’Initiative Africaine, rappelons-le encore, traduit en toutes les langues accessibles aux populations africaines. Nous réitérons ainsi que la Société Savante des Encyclopédistes africains et le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine sont disponibles, pour toute faisabilité, aux côtés de l’Union Africaine, en leur qualité de personne morale panafricaine ressource .Un dossier, dans ce sens, a été déposé à l’O.U.A. et est lisible sur notre site internet : http://africa.smol.org Ainsi, nous rappelons que la Société Savante des Encyclopédistes africains et le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine constituent les premières organisations civiles qui ont assisté jusqu’à présent l’O.U.A. C’est ici l’occasion de rappeler également que la Société Savante des Encyclopédistes africains a été au sommet de Cotonou en 1993, où l’initiative de l’écriture de l’histoire de « La Route de l’Esclavage », concernant l’histoire de la traite négrière, proposée par les gouvernements Haïtien et Béninois et dont nous nous sommes proposés pour la rédaction de ce document de l’histoire africaine, rentrant ainsi dans le cadre de l’écriture de la Première Grande Encyclopédie Politique, Economique, Sociale et Culturelle de l’Afrique Contemporaine et des Peuples noirs. Rappelons que le Projet de cette Encyclopédie qui constitue les 240 volumes en chantier, se trouve déposé au siège de l’O.U.A et des Nations Unies comme de l’UNESCO, au titre du Grand Projet de la Renaissance Africaine pour le 3ème millénaire. Ce projet a été récemment rappelé, à l’attention des chefs d’état africains réunis à Syrte et à Lomé, comme élément important que propose la Société Civile pour la réalisation de l’Union Africaine et nul doute que les plans des Présidents Wade (OMEGA) et Thabo Mbeki (MAP) s’en sont largement inspirés, ce dont nous nous félicitons. En effet, le Président Khaddafi est dépositaire, après avoir été effectivement et personnellement saisi de cette communication, à l’attention de ses pairs qui se sont réunis sous son égide à ces différentes circonstances historiques qui ont donné naissance à l’Union Africaine, tant à Tripoli, à Syrte qu’à Lomé. Aussi, il est important que les peuples soient informés et que l’histoire prenne date des efforts qu’accomplissent le Collectif de Réalisation de l’Encyclopédie et du Mémorandum (C.R.E.M.) et le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine (C.M.D.P.) pour l’œuvre de la Renaissance et de la Reconstruction pour le progrès des Peuples d’Afrique. Document lisible sur le site internet : http://africa.smol.org Pour le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine Le Professeur Kapet de BANA COLLECTIF de REALISATION de l’ENCYCLOPEDIE et du MEMORANDUM CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, bd Saint – Michel – 75005 Paris - tel/fax : 01.43.25.80.50. site Internet : http://africa.smol.org **COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM** CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE MODE D’EMPLOI DU NEPAD pour la RENAISSANCE ECONOMIQUE DE L’AFRIQUE et les RETROUVAILLES avec la DIASPORA PANAFRICAINE DES PEUPLES NOIRS d’EUROPE, d’ASIE, d’AMERIQUE et d’AUSTRALIE. § Contribution de la Société Savante des Encyclopédistes Africains et du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine pour un développement autocentré durable en Afrique sous la direction scientifique et pédagogique du Professeur Kapet de BANA. COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, Bd Saint – Michel – 75005 Paris tel/fax : 01.43.25.80.50. site Internet : http://africa.smol.org MODE D’EMPLOI du NEPAD pour la RENAISSANCE ECONOMIQUE DE L’AFRIQUE et les RETROUVAILLES avec la DIASPORA PANAFRICAINE DES PEUPLES NOIRS d’EUROPE, d’ASIE, d’AMERIQUE et d’AUSTRALIE. Le NEPAD n’est rien d’autre que l’ancien Plan de LAGOS de l’OUA (1988) qu’avait en son temps élaboré Maître Wade à titre d’expert sans la caution et la volonté politique des Etats. Pourtant, les économistes, les experts, les politologues notamment les universitaires en ont fait largement écho à l’exemple pionnier du Professeur de BANA, témoin et acteur de l’histoire. C’est ainsi que nous avions, à l’époque, axé nos travaux universitaires de recherche doctorale sur ce Plan, successivement dans les universités françaises notamment celles de Bordeaux et de Montpellier et dans d’autres universités comme celles de Moscou, l’université Lénine, l’université Patrice Lumumba de l’amitié entre les peuples ainsi que l’Institut d’Afrique et de développement de l’université de Moscou. Tous ces travaux étaient présentés sous le titre « L’économie de l’Unité africaine » et à Bordeaux comme à Montpellier sous le titre de : « Réalités socio-économiques et politiques de l’Unité africaine ». Au niveau des universités africaines, nos enseignements portaient sur l’économie africaine et les relations économiques internationales et ont été exposés par le Professeur Kapet de BANA à l’université d’Alger (1964-1965), à l’université de Conakry (1966-1970) et à quelques conférences données aux universités : à l’université de Paris X Nanterre (août 1986), à Nantes (juin 1990 – février 1994), à l’université de Lyon - Lumière (septembre 1991 - mars 1996), à l’université de Paris VIII Saint-Denis (janvier 1992), à l’université Paris I Panthéon - Sorbonne devant les six ministres de la culture et de la nouvelle université européenne de la recherche (novembre 1992), à l’université d’Addis Abeba (Ethiopie - juillet 1993), à la Conférence ministérielle de l’OUA sur la culture, l’éducation et le développement à Cotonou (août 1993), etc………… Si le NEPAD prend donc, par rapport à ses origines, le relais du Plan de LAGOS, nous n’avions pas manqué de le ressourcer en rappelant le Plan KRUMAH dès 1960 concernant l’intégration économique de l’Afrique dont s’est inspiré largement Maître Wade pour l’élaboration du Plan dit de LAGOS (1988). Il reste que dans les premières recherches doctorales présentées devant la faculté de Droit de Bordeaux (1966, 3 ans après la naissance de l’OUA) nous recensions alors les initiatives économiques locales et régionales à vocation continentale panafricaine conduisant aux grands blocs politiques notamment de Morovia et de Casablanca qui ont finalement fusionné pour donner naissance à l’OUA. Aussi convient-il de rappeler ces travaux pour situer les origines historiques du NEPAD en termes d’histoire économique pour mieux comprendre que, dès l’annonce du NEPAD, nous ayons estimé qu’il est toujours question de cette économie de l’Unité Africaine à construire par notre génération au seuil du 3ème millénaire et pour en avoir saisi les Chefs d’Etat africains dès août 2001 des observations de la Société Savante des Encyclopédistes africains en deux points concernant 1°) les obstacles à la réalisation du NEPAD et 2°) les conditions de sa réussite. I – LES OBSTACLES à la réalisation du NEPAD - Absence de l’Etat de Droit qui se traduit par: a) la corruption des élites par la mauvaise gouvernance des pouvoirs dictatoriaux et ingérence étrangère, b) la non association de la société civile ou des ONG au développement social, c) l’inapplication des droits de l’homme, d) les maladies endémiques dues au mauvais système sanitaire, e) les guerres civiles dues à la mauvaise gouvernance et aux dictatures sanglantes. - Absence de plan de développement global par rapport au continent, régional par rapport aux grands ensembles d’approche d’intégration et local par rapport aux nations et aux réalisations sectorielles intégrées ou autocentrées. Absence notoire du système éducatif et de la formation de la jeunesse garante de l’avenir. Marginalisation de la diaspora dont aucun Etat africain n’a jusqu’à présent prise en compte dans la dynamique du développement national ou continental (voir la lettre adressée aux Chefs d’Etat par le C.M.D.P. et le C.R.E.M. concernant l’apport contributif de la diaspora au développement national et continental – avril 2000). - II – LES CONDITIONS DE REUSSITE DU NEPAD intérieures et internationales. A) au plan intérieur : - - Respect de la démocratie participative citoyenne par la bonne gouvernance transparente et alternante. Création d’une monnaie africaine à l’exemple de l’euro européen. Désendettement de l’Afrique ou réversion de la dette par rapport à la réparation des crimes de la colonisation et de la traite négrière, à l’exemple du plan Marshall pour la reconstruction de l’Europe après les 2 guerres dites mondiales et les réparations dues au peuple juif victime de l’Holocauste. Saisie des biens détournés par les dictateurs corrompus au pouvoir en Afrique. Traduction en justice des dirigeants génocidaires. Création d’une véritable Cour suprême de Justice interafricaine de l’Union Africaine contre l’impunité et la corruption laissée en projet par l’OUA. (voir l’exemple de la Cour Européenne de justice). Etablissement d’un plan d’audit de l’économie nationale, secteur par secteur et le développement prioritaire du système éducatif et sanitaire national en harmonie avec le plan d’audit de l’économie régionale, zonale et continentale. Observations finales : Rappelons l’extrait de la communication du C.M.D.P. et du C.R.E.M. au Secrétaire Général de l’OUA et aux Chefs d’Etat initiateurs du NEPAD avant la rencontre du G8 à Gênes en 2001: a) Première observation : cette Initiative Africaine devrait être diffusée, pour ne pas dire pédagogiquement vulgarisée, dans toutes les langues accessibles aux populations paysannes du continent pour que toutes les forces du développement s’en emparent et s’en imprègnent en vue de favoriser un développement autocentré à partir des villages dans chaque pays africain, rappelant ainsi l’exemple tanzanien Ujama du Président Nyeréré. b) Notre deuxième observation concerne l’éducation et la formation des agents économiques, développeurs, encadreurs socio-économistes, agronomes, ingénieurs, planificateurs, statisticiens et informaticiens du développement. Pour ce faire, six grandes écoles polytechniques régionales du développement pour l’application de ce plan devraient être implantées respectivement en Algérie pour l’Afrique du Nord et du Maghreb , en Afrique du Sud et en Angola pour l’Afrique Australe, en Ethiopie pour l’Afrique de l’Est et la Corne de l’Afrique, à Madagascar pour l’Afrique des Iles de l’Océan Indien, en Côte d’Ivoire pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale, réaffirmant ainsi cette autre stratégie de développement de construction et d’intégration africaines. B) au plan international : - - exigence de la pratique du commerce équitable, suppression par les gouvernements occidentaux de la subvention agricole qui marginalise l’exportation des produits agricoles africains sans moyen de développement, coopération internationale, aide internationale, financement, implication des institutions monétaires internationales : Banque Mondiale, Fond Monétaire International, organisations financières internationales ; contrôle et suivi de l’utilisation des aides au développement pays par pays, secteur par secteur, institution d’un marché commun africain désenclavant ainsi le continent pour son insertion bénéfique au système de la mondialisation concertée. En d’autres termes, nous devons faire en sorte que le NEPAD devienne le plan Marshall de reconstruction et de développement intégré autocentré durable de l’Afrique à court, moyen et long terme au triple plan technique, scientifique et technologique, basé sur l’électrification et l’industrialisation, conditions indispensables de tout développement autocentré durable pour la satisfaction des besoins essentiels ressentis par toute communauté humaine et particulièrement en ce qui concerne l’Afrique ankylosée, confinée dans les structures coloniales de domination et de pillage des ressources et des richesses des peuples colonisés. C’est l’occasion de rappeler ici ce que nous écrivions en 1969 dans la revue « Etudes soviétiques de Moscou » affirmant que « l’Afrique doit naître à la science, à la technique et à la technologie pour être en mesure d’assumer ses responsabilités internationales par la maîtrise de sa souveraineté nationale et de sa crédibilité internationale. » En conclusion synoptique, nous résumons comme suit la signification du NEPAD : LE NEPAD { Développement- Démocratie } Par le peuple pour le peuple Pour le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine et la Société Savante des Encyclopédistes africains, le Professeur Kapet de BANA. COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE 85, Bd Saint – Michel – 75005 Paris tel/fax : 01.43.25.80.50. site Internet : http://africa.smol.org