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suicides importonts, des étqts onxieux et dépressifsef de-sinfections ocquisà et des profiguesà risques. I'émergencede séropositivitesou VIH, mqis surtout oux hépotitesC, ocquisesen prison. On ne peut, bien entendu,taire, ici, les relotions se-xuellesnonproté:gé:es et souvent Soignel mieuxquedehors ? C'est sonsdoute ici controintes, les échangæ de matériels de le porodoxedu soin en prison,de pouvoir, toilette (brossesà dents, rosoirs,etc.) et le molgnélo perversiondu terrain, poser une rôle du < coiffeur de prison>, utilisont des oction chorgéede sers,s'inscrivontdons lo ciseauxet rosoirssouilles. durée et donnontou pofient un lieu et un temps pour se plocer dons un projet Réduction desdsques ? TouTcommeil n'y ouroit controctuel et bienveillont,induisontune posde relotionssexuellesen prison,puisque remiseen respectde soi-mâme. proscrites, il n'y ouroit pas de drogues.Ce consfot, obsurde, sert, malgré tout. de [t lesumgemdedrogues ? fls représententune fondementoux octionsde prévention. proporTionimportontedes détenus,souvent Concernontles usogersde drogueset fsce consommoteurs à oroblèmesd'olcoolet de oux épidémies successives des virus produils stupéfionts qvont l'incorcéraIion. responsobles gui du SIDA et de-sHépatites, prise en Lo comptede ces dépendonces en les ont touchés, la réponseo été claire, prison, oprès une évolution loborieuse, quoiguelente,en proposontdes Troitements sembleoujourd'hui,sotisfoisonte, le nombre de substitution,des progrommesd'échange de trqitements de substitution oycnt de seringues,mettont fin à lo norme du fortement ougmenté,oinsi que les soins sevrage plus ou moins brutol, commeseul psychologigues les moyen thérapeutigue. Cette urgence a médicoux et occompognont. Lo crointe de lo bonolisotion imposéun soin plus souple, compréhersif, de cette substitutionet des mésusoges foit, proposont, sons juger des moyens, de sons doute, en sorte que les prascriptions mointenirou de sortir d'unedépendonce, en + consultotions spécialisées ou des soient porfois plusréduites que dehors.Ces tentont d'écsrler les risques vitoux et hospitofisotions, nécessitontune escortede médicomentssont souvent l'objet d'un judicioires. sécuritéporfois impossibleà obtenir. trafic en détention, ce qui foit subir oux Lo prison n'o pos suivi ce mouvement, ne professionnelleest soignontsunepressionirnplicitede lo port de mettont à disposition,pour tout outil de Enfin, l'indépendance pénitentioire. mise à une volonté l' qdministrotion prévention,guede I'eoude Jovel mérngère, mol por d'instrumentolisotion du soin,suscitéepor sons mode d'emploi.ne permettonf,si les l'qdministrotionpénitentioireou por lo ta prison,lieu de prisesde risques ? Lo prison temps d'exposition et de rinçage sont Justice, pour gu'il puisseservir de source n'esf pos pro'tégée,molgré ses moyensde porfoifement mciîtrises,quede désinlecler d'informotion < expertale> pour éclairer surveillonce,des trofics de substonces efficacementdes motériels d'injections ou I'opplicotion de lo peineousonoménogement.psycho-octivesdiverseset est même,pour d'inholotionsnosolesvis-à-visdu WH. mois Le secreT médicol, gui est pourtont le nombrede dér enus.un Iieu de découverlede pasde I'hépatite C. fondemenl mâme d'une relotion ovec un cesproduits. potient, devroit se dévoileret se partoger, L'usoge de drogues en milieu carcéral se Queconclure ? L'exercicedu soinen prisonest selon un texte scondoleux récemment heurte à la rareté de motériels,d'oiguilles, une missionconsidérobleet indispensoble, odoptéà l'Assemblée Notionole. de seringuesou de poillessIérilæ, et, ceux- gui doit bénéficier de moyenssuffisonts et professionnelleintocte. ci, sont encoresouventportoges,opras des d' une indépendonce quedeho]s?Les détenus nettoyogesplus ou moinssoigneux.De plus, fl ne peut se concevoirsereinementgue si les mêmesmaladies ont le plus souvent un étot de santé ces protiques é'lant porticulièrement les condifionsgui lui sont oppliguées sont préoccupont.Les échecs scoloires, les combottues et surveilléæ, ellæ se font le réellementcomporoblesavecce gui existe diff icultés socioles, les condilions de plussouventdonsl'urgence.ou détriment de dehorset quelernilieucorcérolcessed'èfre logementet d'olimentotiondéfoillqntes.les précoutions él émentaires. un lieu de grande exclusion,de prises de violencessubies,onf induit des exclusions Il est à noter, ici, gue les bonnes risques, de contominotionsviroles en qui ont gênéou empèchéI'occà oux soinset connoissonces des usogers de droguesen proposont de meilleures possibilités prison diminué lo dons fortement confionce lo ont, lo pluport du temps, une d'insertionet deprévenïion. 5i lo prisonest bienveillonce des insfiTutions. expérience assez longue, concernont les bien un reflet de notre société, on peut, Les molodiesmenfoles,souvenTgroves,les risguesliés oux injeclionset oux inholotions oujourd'hui,s'inguiéfer de so sonté, en obusde drogueset d'olcool,las infectionsà nosoles.Ceciest, également, voloblepour les mesuront à guel point les efforts de WH ou les hépotitas sont sepf fois plus moyensde prévention,dont I'indisponibilité pénolisotion se sont développés ou détriment fréquentesgue dcns lo populotiongénérale. en prison, foce à une consommotion du respect delo dignitéhumoine. L'enf ermementet lo surpopulotion corcérole impérieuse, entrciînedes conduitesà risgues. Dr.Philippe Gfiguùefprésident duCSIP I oggroventcas molodies,wec des toux de Cela se mesure por lo constototion de QIT€P €GO le jourqol f[' {7