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un n i i r u u b i U A i i N JJJi L A LUIRE ET DE LÀ HAUTE-LOIRE.
[inw«ji»Mre»iMW«iiwiiuj«UMD^^
U n e visite à bord de
l'Orénoque
le visiter, et cette permission est aussitôt accorqu'elle a sur elle, et, au moment où le voleur
s'approche, elle le saisit, le terrasse,lui flanque
dée.
une volée avec son propre l ù ' o n , qu'elle l u i
On sait quelle est la réputation de courtoisie
Sous ce t i t r e , le j o u r n a l Yltalie p u arrache des mains, et finalement le contraint
dont jouissent les officiers de marine en g é b l i e les passages suivants d u r é c i t d ' u n e
à le suivre en le traînant par le collet.
néral.
Cette
réputation
ne
se
dément
pas
v i s i t e à b o r d de l a f r é g a t e f r a n ç a i s e q u i ,
Elle l'amène de l a sorte au plus prochain
sur VOrènoque; i l est impossible d'être plus garde-champêtre.
d.e u i s t r o i s a n n é e s , est e n station d a n s
affable, plus accueillant que l'état-major de la
l e p o r t de G i v i t a - V e c c h i a :
frégate.
U n m a r i « l e t r o i s f e m m e » . — Nous
I l faut d'abord que le lecteur sache ce qu'est
VOrènoque n'a que quatre gros canons en
lisons dans la chronique judiciaire du Corriere
YOrénoque. C'est le dernier échantillon survi- batterie, encore sont-ce des canons de vieux
di Milano :
vant de six bateaux à vapeur à roues, de 450
modèle à â m e lisse. I l possède, en outre, u n
chevaux de force, que le goavernement .de
U n voyageur de commerce, le sieur Antonio
petit canon de débarquement,
Louis-Philippe lit construire, i l y.a plus de
Sartorio, de Milan, domicilié, depuis quelque
Vous voyez, me disait l'officier qui m'accom•temps à Lyon, avait été dénoncé à notre tributrente ans, pour le service postal transatlantipagnait, que nous ne sommes pas bien terrinal comme coupable de bigamie. De là, un
que. Ces bâtiments s'appelaient, s'il nous en
bles.
procès en bonne règle. Mais savez-vous ce que
souvient bien : le Cacique, Y'Amazone, le Darien,
Mon obligeant cicérone me conduit successi- l'instruction a révélé ? Elle a révélé que Sartole Panama, le Magella et enfin VOrènoque. Le
rio n'avait pas épousé deux, mais trois femvement dans le carré des passagers, dans sa
service postal en vue duquel ils avaient été
mes : une i c i , une à Florence et une autre à
cabine ; là je remarque des publications spé •
construits n'ayant pas êtô institué, ces naNaples.
ciales italiennes. I l m'apprend que les offivires passèrent a la ïlotte. Ils ont joué un rôle
Le lecteur pense sans doute qu'il a été conciers du bord traduisent ce qui se produit de
important dans la guerre de Crimée.
damné à une forte peine! Point du tout, et
remarquafile en Italie touchant la marine et
L'Orênoque est peut-être le Nestor de la ma- envoient leurs traductions à la Revue maritimevoici, pourquoi : des trois mariages, un seul
avait été célébré régulièrement devant l'officier
rine française à vapeur. Il est comme un vieilde Paris. C'est ainsi que, en ce moment, ils
de l'état c i v i l ; les deux autres n'avaient été c é lard, tout voûté et déjeté, et aurait presque la
viennent d'achever la traduction du discours
lébrés que religieusement, de sorte que le tritournure de la frégate d'eau douce amarrée au
prononcé récemment à la Chambre par M ,
bunal a d û déclarerqu'il n'y avait pas lieu à
quai d'Orsay à Paris, si la robuste fierté de sa
procéder.
.
San-Bon.
m â t u r e et la mille coquetterie de ses agrès ne
Les officiers de VOrènoque passent encore le
l u i conservaient un air de crânerie qu'il garLe village de Moutiers (Savoie), vient d'être
temps d'une autre manière, en dehors des heupresque complètement détruit par les flamdera jusqu'à ce que la hache le dépèce et que
res de service. Tous font des cours à l'équimes. Sur trente-deux maisons dont i l se
Ja mer l'engloutisse.
page : cours de navigation, cours de mathémaL'état-major de VOrènoque est composé d'un tiques, cours d'histoire. Aussi, VOrènoque est- composait, vingt-quatre ont été entièrement
détruites.
commandant, M . Briot, capitaine de vaisseau;
i l une excellente école pour les matelots qui y
Le feu, poussé par un vent violent, s'est
d'un second, M . Besson, lieutenant de vaisacquièrent les moyens d'avancer rapidement.
étendu si rapidement, qu'un quart d'heure
seau; de cinq enseignes, d'un chirurgien-maL'Orênoque est la providence des pauvres de après, le village entier était embrasé.
jor, d'un médecin en second et d'un officier,
Le chiffre des pertes est considérable; cinq
Civita-Vecchia auxquels lès matelots distrid'administration, soit dix officiers.
familles incendiées se trouvent sans asile.
buent la soupe et du pain, pris sur leurs rations.
I l n'y a eu aucun accident à déplorer. Tous
L'équipage compte 170 hommes; ce sont
. . . En croirai-je mes yeux? Libéraux, rassules pompiers des communes voisines ont fait
tous de forts et solides gaillards respirant l'érez-vous ; cléricaux, ne vous lamentez pas, la
preuve du plus grand dévouement; mais malnergie et la sanlé. L a plupart sont Bretons,
première chose que j'aperçois c'est le buste de
heureusement l'eau manquait pour alimenter
comme l'état-major, du reste; i l y a aussi parla République placé sur un socle contre la
les pompes.
m i eux quelques Provençaux et quelques
cloison, entre deux photographies représentant
Corses.
les lutteurs de Canova.
I.e V u l g a r i s a t e u r u n i v e r s e l
Depuis 1870, la frégate n'a quitté son mouilL'officier qui m'accompagne rit de ma stupélage qu'une ibis, pendant quelques heures,
Recueil bi-mensuel des faits intéressant la
faction... • Le fait est, me dit-il, que c'est assez
pour aller au secours d'un navire de la marine
science, l'industrie, l'agriculture, le corn •
léger pour un bateau qui peut recevoir le pape,
merce et les arts.
italienne qui s'était jeté à la côte. Son équipage
mais nous sommes ici chez nous. »
Prix : 5 fr. par an.
n'est cependant plus le m ê m e ; i l a été changé
On s'abonne à Paris, chez M . Legeay,
avec l'état-major i l y a quinze mois environ.
rue Ramey, 4S.
Seul, le commandant Briot est resté.
FAITS DIVERS
Le titre de ce journal indique son but : celui
Le navire est éloigné d'une vingtaine de
de mattre à la portée de tout le monde les
m è t r e s du quai. U n bateau guidé par une
faits nouveaux qui se produisent chaque jour
U n e £Iêi*e l u r o n n e . — Une jeune fille
corde fait le va-et-vient entre le quai et la frédans le domaine de la science et des arts, et
des environs deCorbeil est arrêtée ces jours-ci
gate. Tous les dimanches,, les visiteurs sont
qui sont enfouis dans d'innombrables recueils
sur le chemin conduisant à Essonnes par un
admis sur VOrènoque; pendant les autres jours individu de mauvaise mine qui l u i demande la
qu'on n'a n i le temps de lire n i les moyens
d'acheter.
de la semaine, i l suffit de demander à l'offibourse ou la Vie.
cier de service ou au second la permission de
L a jeune fille tend le peu de monnaie
Aussi, l'industriel, l'agriculteur, le commert
Etude de M» E ï o r y , avoué, sise à
Saint Etienne, rue de la Loire,
10.
VENTR JUDICIAIRE
ju»
ENSUITE DE FAILLITE
En un seul lot
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C o u r , F e n i l <& E c u r i e
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Situé à St-Chamond
32, rue des Portes, 32
1, Grande rue Saint-Roc/i, 1
Canton de Saint-Ghamond, arrondis
sèment de Saint-Etienne, départe
ment de la Loire.
Dépendant de l'actif de la faillite de R E Z - D E - C H A U S S É E
feue veuve Boyer, née Félix, quand
vivait marchande de rouennerie à
St-Chamond.
Façade sur deux rues. — Petite cour.
L'adjudication aura lieu en l'audience
Devanture à établir.
des criées du tribunal civil de StS'adresser à M .
rue de la
Etienne, séant en ladite ville, au
Comédie, 8, Saint-Etienne.
63 àc.
Palais de justice, le mercredi quatre
DE QUATRE OUVERTURES
Bélinac,
Jévrier mil huit cent soixante-qua
torse, à l'heure de m i d i .
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bourg de Saint Jean-Bonnefonds. —
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78—1-5
UNE
H
«
BULLETIN DU 21 JANVIER 1874.
SORTES
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S
o
a
9 Organsins..
13 Trames..,.
1 Grèges
Divers
Bobines , , ,
.2
Dépôts : Chez M M . Brosse, à SaintEtienne ; — Chauve, à Montbrison; —
Gerbay, à Roanne; — Tardieu et
Nicolas, au Puy, pharmaciens. 2—àc.
.2
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B A L L O T S PESÉS.
5 Organsins.. .1 •
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1 Grèges
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i . Trames.,,, * * « i • •
1 1• 1.172 82
. .29 30
...• ••
6
1 11 1.202 î ï
1
.1
.3 .1 .1
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exigeant
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&
C
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21-àc
DELPY
er
ordre, conte-
nant tous les principes assimilables du sang, des os, des muscles
R
et du cerveau, guérissant Vanèmie,
chloro anémie, etc., le lympha-
A
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P É T R O L E
tion des dents.
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ne
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I
E
S
D ' A M E R I Q U E
Ils consistent en :
Importation de» Produits s u p é r i e u r »
C'est le reconstituant spécial de la
Une maison élevée sur caves, de
A v e c E S e u r l e «& R e m i s e *
convalescence de toutes tes malarez-de chaussée, premier et deuxième
GO
dies.
étages, et grenier avec cour, fei.il et Et environ 1 hectare 30 ares de terrain.
h-1
écurie, située à Saint-Chamond, nu
GIRODET
IMmrmacie D E L P Y
Le
tout
situé
en
face
de
la
gare
do
W
m é r o 32.
38—àc.
Rue St-Louis, 23, St-Etienne (Loire)|
A B O U R G - A R G E N T A L (Loire)
Cette maison, percée à chaque étage Bonson. — S'y adresser.
o
de deux fenêtres sur la rue des P o r Dépôt
chez
les
Pharmaciens
et
les
printes, est limitée à l'est par la maison
E X P É D I T I O N S suivant directions par les gares de
cipaux Epiciers 8—à c.
au sieur Vernay, au sud par la route
A l o u e r de suite
nationale ou run des Portes, à l'ouest
Saint-Etienne (Loire) ou d ' A n n o n a y ( A r d è c h e ) .
par maison à M . Biéat et au nord
VASTE ATELIER
par jardin à Joanny Delermoy.
muni de deux machines à vapeur,
Elle est inscrite sur les registres de
propice à toute industrie
l a matrice cadastrale de la commune
G
i
r
a
n
d D é p ô t pour marchands
de Saint-Chamond, sous le n u m é r o
B o u r s e de L y o n (21 j a n v i e r
1874)
de vins. — Cour. — Ecurie et Logecomplet
42 du plan, section A , pour un revenu
ments.
(Garanti sur analyse)
de quatre-vingt-sept francs vingt
An
FONDS D'ETAT
OBLIGATIONS
Cours du jour
centimes et occupe une superficie de U n F O U R A C H A U X , un F O U R à
FRANÇAIS ET ÉTltANQ. comptant
soixante centiares environ.
B R I Q U E S E T T U I L E S , terre de
M A I S O N A. B I O T & C
Tous les immeubles sus-désignés
première qualité. Facilités pour le
0i0 français
58
Ville do Lyon 51-56.... janv.
de St-Etienne
sont situés en la commune de Sainttransport.
J. janv. 74 . . .
. id..
930
—
1859
Cet
engrais
contient,
à
de
hautes
Chamond, rue des Portes, 32, canPetites
coupures..
58
S'adresser rue du Gazomètre, chez
12
—
186.i-67.. . i d . .
proportions,
tous
les
éléments
de
l'enton dudit Saint-Chamond, arrondisse- M. Ledin, fondeur.
0)0
libéré
93
83—àc.
432 50
• —
1870
grais normal (fumier de ferme).
5
ment de Saint-Etienne, département
J.nov.73....
:20
—
1871
Il se recommande à tous les agriCoupures
de la Loire.
93 50
440
—
1872.... .. août
culteurs par sa richesse sous un petit
0^0 Ëmp. 1872....
516
E n conséquence,
i
.
.
dôc.
25
Départ, du Rhône
5
volume, sa facilité de transport, l'éco275
..janv.
L e public est prévenu que les i m Paris-Lyon-Môdit
J
nov
73
.
.
.
.
272
nomie
de
main-d'œuvre,
l?s
résultats
.
.
.
oct.
meubles dont s'agit seront adjugés au
Coupures
93 C5 Midi
'
274
,. janv,
heureux obtenus jusqu'à ce jour.
plus» offrant et dernier enchérisseur,
\fl français
... i d . .
Il est propre à toutes les cultures :
Croix-Rousse
21, rue de Lyon, à Sï-Elie nne
en l'audience des criées que tiendra
J.
sept.
73
.
.
.
Dombes et S.-E., t. p.. ,.. oct.
céréales, graines oléagineuses, vignes,
le tribunal civil de Saint Etienne,
Oblig. du Très. G 0/0.
165 ..
Chem. de fer Romains ..janv.
prairies naturelles et artificielles, etc.
Béant en ladite ville, au Palais de jus500
510 25
.. i d , .
200 5)
Saragosse
Son mode d'emploi, très simple du
( /0 italien
tice, place de ce nom, le mercredi qua...
ost.
178 50
Nord de i'Esp. pr
5
reste, et contenant l'analyse chimique,
J. janv. 74
anv.7n
tre février mil huit cent soixante-qua2.'3 50
Portugaise*
F a b r i q u e de L i q u e u r s
Coupur. de 100 j et 5 0
sera adressé franco à tous ceux qui en
.
.janv.
torze, sur la mise à prix fixée par
Rue de Lyon 56
—
100 — 50
,.. i d . .
59 50
feront la demande.
le jugement du vingt-quatre décemTerrenoire 6 ( ?0
Petites...
,.. oct.
270 < * Itl
Fonderies
du
Creusot.
fcre m i l huit cent soixante-treize, de
Prix : 35 fr. les 100 kil., franco d'emJ . DAVID & FILS FRÈRES
Etats-Unis \20
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dix mille francs, c i . . . 10.000 fr.
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Gaz de Lyon 0 OyO
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mètre, 1, à îBaint-Etienne.
16—àc.
•I •I•
, .janv.
— Guillotiôrfl
L'avoué poursuivant :
,..
* t Hl
Emprunt Ottoman 63.. i d . .
Membres de l'Académie nationale
VALEURS DIVERSES
278 75 . . .
69 t. p. oct.
(Signé) B O R Y .
ï»érigoiirclïne
.
.mars
Emprunt Honduras.,..
«« i* t««
•Nota. — Pour plus amples renseiVil. do Paris, 3 0(0 71 249
Elixir de Truffes noires
Suez 5 0/0, t. p
, .. oct.
—
quarts
gnements, s'adressera M°Bory, avoué,
Crédit foncier suisse.. . .mai.
S P É C I A L I T É S
• « » ii i i i
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ou prendre au greffa du tribunal civil
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J. juillet 73
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de Saint-Etienne communication du
Clnna-China. — Curaçao sec
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cahier des charges.
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J. juillet 73
Lyon
nov. 73
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id-,
25u
p.
J.
juill.
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déc.73
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id. 73
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oct-, 73
S'y adresser. — Location : prix moi*i
J. janv. 7»
Ac. Saint-Etienne.
nov.73
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892
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J. nov. 73
Loire
oct.73 310
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743
Mon tram bert..,
id..
510
J.
janv.
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Saint-Etiennô
itl."
315
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Rive-de-Gier
id..
119 75
J. janv. 7'i
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id..
*•I
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Roche et Firmiuy
oct..
V i c t o r
D E L A Y E
III
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J. nov. 73
Diverses
A v #5 •
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DE LA
i e
3
REPRÉSENTANT
DE LA
DE LYON
inventeurs de la
POUR TOUTES
1
v
Darne
Près la ruk de la République
7
V U E
Le gérant, J.
On
le
de 1
A
Jusqu'à
nouvel ordre,
LYONNAIS
bonifie:
en
aliment
.2 .53? 15
.940 08
..67 35
• III II'
• * * I II'
.2 1539 5»
23
à l'extrait de salsepareille composé,
A L C Û O L d e M E N T H E
a
Contre les maladies de la peau, dartres,
scrofules, gales dégénérées, abcès, etc.
SE VEND P A R T O U T
tisme, les scrofules, etc., et toutes
les maladies des os, évite les convulsions aux enfants et hâte Vévolu-
A LOUER DE SUITE
CONDITION PUBLIQUE DES SOIES DE SAINT-ETIENNE
VEGETALE
au Cachou et Kino
M A I S C
çant et m ê m e le simple parliculier trouveronïils dans le Vulgarisateur universel une foui»
d'indications précieuses en ce qui concerne les»'
découvertes scientifiques modernes, tant en
France qu'à l'étranger, les méthodes nouvelles
employées, et les moyens de se procurer à bon
m a r c h é u n certain nombre de produits, d ' u n »
incontestable utilité.
Tout le monde a besoin aujourd'hui d'avoir
une connaissance au moins superficielle du
vaste mouvement scientifique et industriel q u i
caractérise notre époque ; c'est dire assez que
le Vulgarisateur, en répondant à ces i m p é r i e u ses exigences, sera favorablement accueilli par
les hommes d'initiative et de progrès.