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L’instinct maternel : inné ou pas?
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De retour chez elles à peine 48 heures après leur
accouchement, les nouvelles mamans doivent
rapidement apprendre à composer avec leur
bébé, sans aucun mode d’emploi. Bien que ce
soit naturel pour certaines, cette nouvelle réalité
n’est pas facile pour toutes les mères.
Des études ont comparé le maternage
humain et animal, pour conclure que si chez la
plupart des animaux l’instinct maternel est inné,
il en va tout autrement pour l’être humain.
Ainsi, au moment de sa première mise bas, la
femelle de presque toutes les espèces va poser
une série de gestes déterminés et étrangement
similaires d’une femelle à l’autre, sans pour
autant avoir eu d’expériences préalables. Par la
suite, elle saura instinctivement ce qu’elle doit
faire pour nourrir, protéger et éduquer ses petits.
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Ce qui n’est pas le cas pour l’être humain.
Chez l’espèce humaine, l’instinct maternel
serait une tendance à reproduire ce qui a été
donné dans l’enfance. Mais cette affirmation
n’est pas effective dans tous les cas : certaines
femmes s’évertueront à donner à leur enfant tout
ce dont elles ont manqué, tout ce qu’elles
auraient aimé recevoir de leur mère.
L’instinct maternel peut se développer au
fil du temps, mais il pourrait aussi ne jamais se
pointer le bout du nez. D’ailleurs, certaines
femmes décideront de ne jamais enfanter, craignant de ne pas être dotées de cette caractéristique distinctive. Bref, le déclenchement de
l’instinct maternel est complexe. C’est pourquoi, même aujourd’hui, il n’est pas facile d’en
expliquer la source.
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L’instinct maternel peut se développer de différentes façons, à des degrés divers.
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Comment faire autorité avec son adolescent?
Peu importe leur âge, les jeunes ont besoin de
soutien, d’une certaine supervision pour se sentir
aimés et se réaliser. D’abord, il est important de
ne pas confondre l’autorité avec l’autoritarisme.
Certes, l’autorité parentale donne le pouvoir de
commander. Mais si l’on multiplie les interdits,
cela peut donner lieu à de l’autoritarisme, où
l’adulte décide à la place de l’adolescent en lui
imposant, en dictateur, des rythmes, des apprentissages et des silences. L’enfant peut y perdre
complètement son identité et, de ce fait, sa
confiance en lui-même.
User d’autorité, c’est savoir dire «non» à bon
escient, justifier un refus par le dialogue et
donner des sanctions qui ont du sens. En un mot,
c’est respecter l’adolescent. Cela n’est possible
que si l’adulte a suffisamment confiance en luimême, en ses convictions, en ses valeurs; s’il est
persuadé que sa vie est digne de constituer des
repères. Bref, c’est d’abord l’estime et la foi en
soi-même qui permettent au parent d’adopter des
pratiques disciplinaires adéquates.
De son côté, l’adolescent se caractérise par
son ambivalence. Il a besoin à la fois d’autorité,
d’un cadre qui lui permettra de se responsabiliser
progressivement, et aussi, de rejeter cette autorité, de provoquer. Pour répondre à cette ambivalence, le parent doit accepter de jouer parfois le
mauvais rôle en restant très ferme
sur ses positions. L’essentiel? Ne
jamais laisser son adolescent faire
quelque chose qui nous dérange
profondément, mais plutôt afficher
une saine rigidité, en conformité
avec ses propres convictions. Et
pour améliorer vos chances de succès, n’oubliez pas de parsemer votre
autorité d’une bonne dose
d’amour...
NOUVEAU
C’est d’abord l’estime et la foi en soi-même qui permettent
au parent d’adopter des pratiques disciplinaires adéquates.
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