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Contrat Emploi Avenir Numéro gratuit Sommaire P.3VœuxduPrésident P.21ActualitésLocales P.4EditorialdeMmeArletteFlaun Dossierdumois:«EMPLOIAVENIR» P.6Agenda Et si on en parlait… Confé rence dé bat « Emploi Avenir » 2012 ZOOM sur nos associations martiniquaises Panorama National de l’ESS 2012 Semaine pour l’emploi de la personne Handicapé e en Martinique P.32Nospartenaires.inanciers Semaine de la formation et des mé tiers 2012 Sé minaires Territoriaux de la Maison de l’Emploi de l’Espace Sud en 2013 P.14Financement Fondation d’Entreprise Socié té Gé né rale pour la Solidarité Appels à Projets 2013 P.18ActualitésNationales Sommet International des Coopé ratives 2012 Directeur de Publication : Louis-FélixLEDOUX Ré dacteur en Chef : Louise-HélèneLEON Ont collaboré à ce numé ro, les membres du Comité de Ré daction de la Cress Martinique Benoı̂t Hamon au Sommet Internationale des Coopé ratives 2012 2 Retrouvezvotrerevuesurnotrepage facebookcressmartinique RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 N Vœux 2013... 06 JANVIER 2013 Au seuil de cette nouvelle année marquant le 30ème anniversaire de la Cress Martinique, son Président, son Conseil d’Administration et l’ensemble de son personnel vous présentent leurs vœux les meilleurs. Qu’en 2013, nous sachions nous surpasser et trouver en nous les forces pour résister. Résister, c’est être présents quotidiennement sur le terrain de la vie collective pour aider les plus faibles et les plus démunis. Résister, c’est être partie prenante au sein d’associations laïques à caractère social pour contribuer à faire triompher nos valeurs de référence que sont la justice, la tolérance, la fraternité et la solidarité. Au moment où pèse sur notre société un risque d’exclusion et de régression, socle sans précédent sachons nous débarrasser de nos égoïsmes afin de nous rendre disponibles pour mener à bien cet exaltant combat pour la dignité humaine. Prenons donc à bras le corps la détresse de ceux qui pleurent et de ceux qui souffrent. Ayons l’ambition de construire par notre inlassable action un monde meilleur et plus éclairé. Un monde où l’homme ou la pensée libre pèseront enfin beaucoup plus que la couleur de la peau, que la race, que la secte, que la religion, que du clan, pari au combien difficile mais qu’importe. En effet, « Il n’y a guère que le sublime qui puisse nous aider dans l’ordinaire de la vue », comme le disait si bien le philosophe Alain. Bonne et heureuse Année 2013, Louis-Félix LEDOUX, Président de la Cress Martinique RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 3 Editorial... Quels sont les relations de l’association Club des service civique à la Martinique, Mr. Paul. Brunati avec qui Ainés de Fort-de-France et Cress Martinique les contacts sont réguliers. Nous remercions l’aide non Déclarée au journal officiel du 25 décembre 1980 à l'initiative de Mr Aimé Césaire, maire de la ville de fort-de-France de l’époque et sous l'impulsion de Mesdames N. Litan, C. Lefèvre et Mr H. Gervinet. L’Association des Clubs des Aînés de Fort-de-France a pour objet de mettre en oeuvre toutes les activités intéressant son public ; créer les services nécessaires à l'évolution de cette tranche d'âge ; coordonner toutes les initiatives en faveur des personnes âgées de Fort-de-France et faciliter leur intégration. Elu en 2002, Monsieur Jean-Claude Dervain (Membre fondateur de la Fédération des Associations et Clubs de troisième âge de la Martinique) a un palmarès élogieux, à en juger par ses différents rapports d'activités. Ses raisons sont d'ordre humain pour ce qui est de rompre l'isolement, d'aider à la continuité de la vie humaine, de faciliter le vieillissement, de faire se rencontrer les tranches d'âge pour un bien vivre ensemble. En 1991, en présence du préfet Michel Morin (1991-1995) l’association a participé au jardin d'Estripault au Morne Rouge. Autre événement, le message scellé le 21 octobre 1994 à l'école des Terres- Sainville dédié aux enfants de l'an deux mille et descellé comme prévu, sans compter la parution du livre blanc où sont consignées les réflexions des membres ( la personne âgée et la santé, face à la modernité, aux nouvelles technologies, à l'insécurité, aux lois). moins appréciable de Mme Marie-Véronique. Fléchel, Chargée de Mission à la Cress pour le suivi et l'accompagnement du dispositif. Les formations dispensées ont permis à ces jeunes de découvrir la vie associative, d'être confrontées aux réalités de la vie, de découvrir le troisième âge avec toutes ses composantes et de savoir que la sophrologie a toute sa place auprès des personnes âgées. Elle permet d'accompagner, de faire face aux difficultés rencontrées dans la vie quotidienne : elle est de la relaxation thérapeutique car elle agit par des exercices simples à mieux être et à mieux vivre. Lundi 23 Avril 2012 en présence du Président Louis-Félix Ledoux, de Mr Paul. Brunati, de Mme Marie-Véronique Fléchel, et des formateurs les dames du service civique ont reçu des attestations des formations dispensées. Peut-on considérer que l'année passée à l'association des Clubs a été bénéfique à ces jeunes ? Certainement car un projet émane de l'une d'elles dont le suivi a été assuré par la chargée de mission de la mesure 3.3 du Fond Social Européen et sera présentée au comité de sélection. Ce projet regroupe l'ensemble des civiques qui occuperont les postes relatifs à leurs compétences. Opération réussie avec l'aide de Mme Marie-Véronique Fléchel, chargée de mission de la Cress qui reçoit ainsi que ses collègues. Des remerciements appuyés, de la part de la direction de l'Association vont à l'endroit de Madame Marie-Véronique Fléchel, de ses collègues, Mme R. Florentiny adjointe de Mme la Directrice de l'Association, à Mr P. Brunati et de tous ceux qui de près ou de loin ont participé à cette aventure pour un lancement dans la vie professionnelle. Lancement que nous souhaitons réussir pour tous. Président Dervain et nombreux membres du Conseil d'Administration comprirent qu’ils avaient une solution Arlette Flaun, par le biais du Service Civique, en ouvrant leurs portes à Secrétaire de l’Association Club des Ainés de Fort-de des jeunes en perte de repères et à la recherche de débouFrance et de la Cress Martinique chés. Les contacts pris avec la CRESS par le biais de la Secrétaire de l’association ont permis l'obtention de cinq jeunes femmes en « Service Civique » par le référent du 4 RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 L’arbre aux secrets... M a tête remplie de pensées, dans ce jardin ensoleillé Le bruit des feuilles murmure, des secrets bien trop durs Je ne leur ai pas demandé, quels étaient leurs secrets Alors elles les ont gardé et enfoui dans un endroit bien caché, je me suis trompé, j’aurais du leur réclamé, Ce secret qui sait effacer, le conflits irréfléchis et déchaînés Dites moi feuilles magiques, aux bruissements angéliques, savez-vous estomper, les souffrances du passé ? L es graines que l’on sème, pour que vous poussiez par vous-même, ont-elles le même effet. Que les évènements éloignés ? Grandissent-ils eux aussi, avec le temps, le soleil et la vie ? De la même façon que vos branches garnies d’étincelantes fleurs blanches. N ’est-ce-pas une raison pour affirmer comme l’auteur que « la vieillesse c’est l’hiver pour beaucoup de personnes mais pour les sages et les optimistes c’est le temps heureux et fécond de la moisson ». La vieillesse c’est la fête, il faut veiller à ne pas se laisser rouiller a chanté Inna CESAIRE dans l’hymne de l’association, c’est le but eu égard à des raisons diverses. RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 5 Agenda 5èmeéditionduMoisdel’EconomieSocialeet Solidaire2012 Conférence Débat « Emploi/Avenir » du mercredi 28 novembre2012auConseilRégional Le projet de loi sur les emploisd’avenir,adopté en Conseil des Ministres, le 29 Aoû t 2012, constitue une ré ponse adapté e aux difCiculté s particuliè res rencontré es par les jeunes peu ou pas qualiCié s. Plus de 120 000 jeunes sortent du système scolaire chaque année sans diplôme. Objectifspourles«Emplois Avenir» Fin 2013, 100 000 emplois avenir Fin 2014, 150 000 emplois avenir Pour eux, l’accè s à l’emploi s’accroı̂t, m oins d’un jeune sur trois trouve un emploi durable dans les 3ans suivant la Cin de sa scolarité . Par le soutien à des activité s cré atrices d’emploi et à forte utilité sociale, l’objectif des emplois avenir est de proposer des solutions d’emploi et d’ouvrir l’accè s à une qualiCication aux jeunes peu ou pas qualiCié s qui ne parviennent pas à trouver le chemin de l’insertion professionnelle. Renseignez-vous auprès de la mission locale, de l’agence pô le emploi OU www.lesemploisdavenir.gouv.fr 6 RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 Conférencedébat«EmploiAvenir»enimage... RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 7 Agenda PANORAMADEL’ESS,UNEÉDITIONTRÈS CLAIREETSYNTHÉTIQUE 8 RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 LA16EMESEMAINEPOURL’EMPLOIDESPERSONNES HANDICAPEESENNOVEMBRE2012 La16èmesemainepourl’emploidespersonneshandicapéess’estdérouléedulundi12novembre2012auvendredi16novembre2012sur leterritoiremartiniquais. L ’AGEFIPH, le FIPHFP et les partenaires du PRITH ont coordonné cette nouvelle é dition avec l’objectif de sensibiliser le plus grand nombre au recrutement et au maintien dans l’emploi de travailleurs handicapé s dans les secteurs 5èmejour: Village des métiers, de Cette anné e, la semaine pour l’emploi l’emploi et de la formation « Quartier des personnes handicapé es a connu un privé s. Handicap » vif succè s. «Seull’effortconcertépeutêtreforce d’exempleetderéussite» Programme de la semaine 6ème Jour : Rencontre « Torbal » pourl’emploienNovembre L’heureestaupremierbilan… L’é vè nement s’est organisé autour de 9tempsfortsenMartinique: sportive Tous les acteurs partenaires, mé dias, Cinanceurs et employeurs se sont mobilisé s pleinement et fortement pour que tous ces é vè nements soient autant d’opportunité s de rencontres et d’é changes aCin d’agir, de changer les regards et les mentalité s sur le handicap. La suite au prochain PRITH TIME «Quelbilanfait-on? 1erjour: 1 métier en action associé à une é valuation en milieu de travail (35h-80h) ; Sensibilisation et information sur la notion de handicap, d’inté gration et de maintien dans les entreprises 2èmeJour: Visite des ESAT par les personnes relevant de cette orientation ; Petit dé jeuner sensibilisation handicap maintien et embauche en CUI -CAE plus le coup de cœur (FIPHFP) 3èmejour: Petit déjeuner sensibilisation maintien dans le secteur agricole et IAA ; Journé e de ré Clexion sur le thè me « Cé ré bro-lé sé » SourcePrithtime(numérodu11/12) Pour tout renseignement, contactez Sandra Cé barec au 0696. 45 02 02 OU [email protected] 4èmejour:Handi-job RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 9 Agenda Semaine de la Formation, des Métiers et de l’Emploi du 12 Novembre 2012 au 16 novembre2012 La Maison de l’Emploi de l’Espace Sud a organisé une semaine de la Formation des Métiers et de l’Emploi à travers différents ateliers thématiques V é ritable espace d’infor- Quelle opportunité, pour les mation et d’é changes, le salariés? village a é té organisé en quartiers (loisirs , Envi→ Les informer sur les dispositifs ronnement, SAP, santé- de formation continue social, Technologie de l’Internet et de la Communication → Les faciliter à l’amé lioration de (TIC), Offres d’insertion pour les leurs compé tences jeunes,Métiers,Emploi,Handicapet un,Espacetransversal). → Les favoriser à la mobilité professionnelle Les rendez-vous de la se- maine? → → 4 visites d’entreprises → 3 ateliers thé matiques → 1 village formation des mé tiers et de l’emploi 5 confé rences-dé bats Quelle opportunité, pour les demandeursd’emploi? Quelleopportunité,pourles acteursetprofessionnels? → Les sensibiliser et faire dé couvrir leur activité → EM changer sur les enjeux, les perspectives de leur secteur d’activité → Mettre en commun leurs pratiques et leurs expé riences Source(programmeséminaire2012) → → 10 Les informer sur les niches d’emploi et les modalité s d’accè s à ces emplois Les favoriser à la diversiCication de leurs choix professionnels PourtoutrenseignementcontacterLaMaisondel’Emploi: Standard0596.426965OU Surleblog:www.mdesud.over-blog.com RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 Les Séminaires Territoriaux de la Maison Del’Emploidel’EspaceSudenMars2013 L’Economie Sociale et Solidaire, accélérateur du développement des territoires. L ’Objectif du séminaire, c’est de créer un espace d’échange entre les différents acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire afin de leur permettre de mieux appréhender les enjeux et spécificités, favoriser l’information et la réflexion, poser les bases qui favoriseront l’émergence de nouveaux projets. Mars… «Mieuxvaut despetitspas solidaires qu’ungrand passolitaire», AiméCésaire Programme du séminaire de la Maison de LesAteliersdu20Mars... l’emploienMars Table ronde n°1 : Entreprendre dans l’ESS une straté gie gagnante : enjeux, pratiques, outils (le Plan Pluriannuel de Dé veloppement de l’ESS en Martinique, les Emplois d’Avenir, les diffé rents dispositifs) Table ronde n°2 : Dé velopper nos territoires solidairement (Epicerie sociale du Marigot et du François, l Association originaire du sud avec un statut ou (et) Cinancement particulier, l’association guadeloupé enne VERTE VALLEE, l’innovation sociale → → du 16h : Mot de la Cin, M.Eugè ne LARCHER, Président de la Maison de l’Emploi de l’EspaceSud Source(programmeduséminairedu20Mars) Ateliern°2:L’économiesocialeet solidaire : une alternative au développementterritorial En quoi l’ESS peut elle contribuer au dé veloppement durable d’un territoire ? Comment parvenir à la dé Cinition d’un projet collectif pour l’ensemble du territoire sud ? Restitutions Synthè se du sé minaire → Quels sont les enjeux pour les diffé rents acteurs ? Comment favoriser une coordination territoriale du dé veloppement durable dans toutes ses dimensions ? Les Restitution des ateliers et dé bat (Ateliern°1et2) Les tables rondes du 20Mars... Ateliern°1:Innoversolidairement 20 Pour tout renseignement contacter La Maison de l’Emploi: Standard0596.426965 OU Surleblog:www.mdesud.overblog.com RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 11 Financement La Fondation d’Entreprise Société Générale pourlaSolidarité Crééeenseptembre2006,intervientenfaveurdel’insertion professionnelle ainsi que les Statuts de la Socié té sont mis à la disposition des actionnaires dans le Document de ré fé rence. Sesinitiatives? E lle est en partenariat avec plusieurs associations à l’é chelle nationale et internationale comme le Secours Populaire ou la Croix Rouge.. Elle intervient autour des deux axes suivants : Doté e d’un budget annuel de 2millionsd’euros, la Fondation a noué plusieurs partenariats pé rennes avec des associations d’envergure internationale et nationale, comme CARE, ADIE, Casa do Zezinho, Kids Company, Emmaüs Dé.i, Apprentis d’Auteuil. • l’aide à l’entré e des jeunes dans la vite active, • la lutte contre l’illettrisme. Avec pour objectif de favoriser l’accè s à l’emploi des jeunes qui sont ou risquent de se retrouver é loigné s du marché du travail, la Fondation privilé gie les projets qui serviront de relais ou de tremplins efCicaces : accompagnement vers l’emploi, chantiers ou entreprises d’insertion, découverte du monde de l’entreprise sont autant de passerelles vers une insertion durable dans la vie active.. La Fondation s’attache donc à soutenir des actions de lutte contre l’illettrisme pour des publics en difCiculté . Son conseil d’administration? Le conseil d’administration dé Cinit la gouvernance de la banque dans un souci d’efCicacité et de contrô le. Depuis le dé but de l’anné e 2000, le fonctionnement du Conseil d’administration et des Comité s est ré gi par un Rè glement inté rieur. Une Charte de l’administrateur regroupe les rè gles dé ontologiques applicables aux administrateurs de Socié té Gé né rale. Le rè glement inté rieur et la Charte, 14RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 Convaincue que l’entreprise a un rô le majeur à jouer au sein de la socié té civile et que son mé tier la place au cœur du progrè s é conomique et social, Socié té Gé né rale s’engage au quotidien dans des actionsdesolidarité. A l’international, les Ciliales Socié té Gé né rale dé veloppent leur engagement citoyen par la mise en place de programmes et d’actions solidaires et/ou en soutenant des associations et leurs projets en lien avec la Fondation Socié té Gé né rale et ses axes d’intervention. Avec l’objectif de permettre à ses collaborateurs de participer activement à l’engagement citoyen du Groupe, Socié té Gé né rale met en place des actions et des é vé nements dont notamment : • la Citizen Commitment Week, organisé e tous les ans au mois de juin en France et dans les Ciliales à l’é tranger. Au cours de cette semaine, des é vé nements dé dié s sont organisé s en collaboration avec des associations partenaires aCin d’encourager l’engagement des collaborateurs (www.citizen-commitment.com) A travers ce site, les collaborateurs peuvent dé couvrir les associations partenaires et s’engager en tant que bé né voles sur les missions proposé es. LaFondationenChiffres? Sesobjectifs? Chiffresclés2011… • • 2millionsd’eurosonté té distribué s • 43 % des projets concernent l’insertionprofessionnelle • 24 % des projets concernant l’aide à des jeunes dans la vie activeet LaFondationprend en charge des projets mis en œuvre par des associations, des entreprises d’insertion ou des é tablissements publics, principalement en France mais é galementà l’é tranger. 91 ¨projets soutenus dont 67 nouveauxprojetset24renouvellements • 373projetssoutenus Les modalité s d’intervention de la Fondation sont uniquement Cinanciè res mais elle peut é galement relayerlesdemandesde bé né volatauprè s des salarié s du groupe Socié té Gé né rale. • 7945441€distribués Elle a pour objectif de favoriser l’accè s à l’emploi de ceux qui sont ou risquentdeseretrouver é loigné sdu marché dutravailnotammentauprè s des jeunes et privilligie les projets qui serviront de relais ou de tremplinsefCicaces(chantiersd’insertions, etc…). Sespriorités? • Apporterunsoutienappuyé à des projets d’insertion sociale etprofessionnelle Actionsdesolidarités? • Sensibiliseretimpliquerlescollaborateurs aux enjeux de la citoyenneté DepuislacréationdelaFondation? Dé velopper le mé cé nat de compé tences au-delà du mé cé nat Cinancier, La Fondation accompagne des actions sur une duré e d’un an, un renouvellement de subvention pouvantêtre envisagéselonlanature desprojets. • 33 % des projets concernent laluttecontrel’illé trisme • Les implantations à l’é tranger mè nent de nombreuses initiatives solidaires dans les pays où elles sont pré sentes. Les Ciliales apportent leurs soutiens Cinanciers, maté riels et humains à des associations œuvrant dans diversdomaines:petiteenfance,santé , éducation, insertion sociale, handicap, implantations à l’é tranger mè nent de nombreuses initiatives solidairesdanslespaysoù ellessont pré sentes. Unmécènesolidaire? Lutter contre les iné galité s, œuvrer pour un dé veloppement é quilibré et durableetadopteruncomportement citoyen et responsable sont autant d’enjeux de solidarité sur lesquels l’opinion publique attend des ré ponses de la part des entreprises. C’estencesensqueSocié té Gé né rale a choisi de s’investir, notamment à traversl’insertionprofessionnelle. Source , rse.societegenerale.com En2011,lemontanttotalallouéauMécénatsolidairesechiffrait à2,2millionsd’eurospourlabanquededétailàl’international. RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 15 Financement AppelsàProjets2013 FondationVEOLIA Prixdelasolidaritéétudiante Le Prix de la Solidarité Etudiante encourage la prise d'initiative et l'implication des é tudiants de l'enseignement supé rieur au service de projets d'inté rê t gé né ral. . OBJETDUCONCOURS Le prix ré compense les démarches innovantes concourant au développement durable et trois domaines d'intervention de la Fondation (aide au dé veloppement, lien social et accompagnement vers l'emploi, protection de l'environnement et nat de compé tences qui implique des salarié s du groupeVeolia 4. sa pé rennité (é volution vers l'indé pendance Cinanciè re). COMMENTREPONDRE? COMMENTREPONDRE? Janvier 2013 : ouverture de l'appel à projets Finavril2013 : clô ture de l'appel à projets Le dossier de candidature doit ê tre transmis avant le 8 mars 2013 à 10h. Le dossier de candidature est té lé chargeable sur www.creditcooperatif.coop Mi-juin 2013 : remise des prix aux lauréats VouspouvezjoindrelaFondation:sur lemurdelapageFacebook« CréditAgricoleAssurance Finance vos projets associatifs FondationCréditCoopératif OBJETDUCONCOURS Concours des Prix et Trophée de l'Initiative en économie sociale. Vous ê tes une association ou un organisme à but non lucratif. Vous avez un projet en faveur des aidants familiaux ou bé né voles et avez besoin d’un Cinancement ? L'é dition 2013 du concours de la Fondation Cré dit Coopé ratif est ouverte. . OBJETDUCONCOURS COMMENTREPONDRE? .Le concours est ouvert à tous les organismes de l'é conomie sociale (entreprises coopératives, mutuelles,associations,comitésd'entreprise, ...) qu’ils soient clients ou non du Cré dit Coopé ratif. Votre candidature du 18 fé vrier jusqu’au 29 avril 2013 inclus. Le dossier de candidature est té lé chargeable sur www.etreaidant.com CRITEREDESELECTION Toute association française portant un projet concrè t, ponctuel ou ré ccurent et ré pondant aux besoins des aidants (formation, information, soutien psycholoqique, etc…) de la biodiversité ). Le Prix de la solidarité étudiante s'adresse aux associations constitué es par des é tudiants. Mécénat-Aidants2013 Les critè res de choix reposent sur : MONTANTDESPRIX 1. l'originalité , le caractè re innovant de l'initiative Un soutien .inancier sous forme de subvention : jury répartit entre les lauré ats une dotation globale d'un montant de 15000€ 2. son inté rê t gé né ral et son utilité sociale (exemple : cré ation d'emplois, dé veloppement des territoires, action de solidarité …) Un soutien technique sous forme d'expertise,: programme de mé cé - 3. son exemplarité (capacité à ê tre reproduite) 16RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 CRITEREDESELECTION COMMENTREPONDRE? textelocal. Date limite de dé pô t des candidatures, le 18Mars2013.Le dossier de candidature est téléchargeable sur www.fondation-mederic-alzheimer.org OBJETDUCONCOURS FondationdeFrance Capauvert,desvacancespour lesenfantsmalades FondationMédéricAlzheimer Projetsinitiativeslocales2013 8è me appel à projets « Initiatives Locales»surlestroisthématiques suivantes ( maladie d’Alzheimer et viedanslacité ,communiquerautrement, pré server les liens sociaux grâ ce aux technologies de l’information et de la communication (TIC), favoriser les bonnes pratiques des intervenantsdel’aideà domicile.. OBJETDUCONCOURS LaFondationsouhaiteencourageret promouvoir des actions de communication,danslacité ,endirectionde ses habitants et des acteurs de la socié té . CRITEREDESELECTION les projets devront mobiliser plusieurs partenaires(collectivitéslocales, territoriales, associations, comités de quartier,etc.),favoriserdescollaborationsavec des acteurs de la société civile, commerçants, monde de l’éducation (école, collège, lycée,université),mondedutravail,secteur culturel,associationssportives,servicesmunicipaux,. MONTANTDESPRIX La Fondation de France propose à des enfants malade de partir en vacancesavecdesenfantsbienportant da ns des centres de vacances classiques. OBJETDUCONCOURS La fondation se tourne é galement, pour le repé rage des bé né Ciciaires vers des associations s’occupant elles-mê mes d’organiser des loisirs pourenfantsgravementmalades. Cetappeloffreauxacteurs locauxla possibilité parlamiseenplaced’une mé thodologie adapté e d’agir ensemble pourlapré servationdel’environnement CRITEREDESELECTION Cet appel s’adresse en priorité aux organismes du territoire national, d’outre mer, associations, groupementsd’habitants,professionnelset collectivité s. COMMENTREPONDRE? Ledossierdecandidatureesttéléchargeable surfondationdefrance.org Datededépôt:5Avril2013 CRITEREDESELECTION Cetappels’adresseauxserviceshospitaliersvolontaires,ouauxassociationsenlienavecunservicehospitalier pouvant prendre en charge des jeunes malades tout au long de l’anné e(accueil,soutien,loisirs,etc…) La Fondation Cinance le sé jour et le transport des enfants ainsi que de l’accompagnant et le cas é chant le maté riel spé ciCique au bon dé roulement des soins quotidiens. Les sé jourssedé roulentspendantlescongé sscolaires. COMMENTREPONDRE? Les demandes sont examiné es tout aulongdel’anné e.Pourplusd’information contacter : Sté phanie Monnier—tél : 01 44 87 72—Fax : 01 44 21 31 01—Email : [email protected] Le montant des subventions accordé espourraallerjusqu’à 14000€. FondationdeFrance Pourê treé lligibles les dossiers devront ê tre porté s par un service d’aideà domicile. Gérons ensemble notre environnement L’environnement qu’il soit naturel ouconstruitestmenacé parlesactivité s humaines qui se dé veloppent sans toujours tenir compte du con- RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 17 Actualité snationales S 'inscrivant dans le cadre de l'Anné e internationale des coopé ratives,leSommetInternationaldescoopé ratives2012aré uni àQuébec,du8au11octobre,plusde2800représentants et futurs leaders de coopératives et de mutuelles provenantde91pays. LeSommetapermisd'é tablirdespistesconcrè tespourboniCierl'apportdes coopé rativesdanslaconstructiond'unmondemeilleur.Lesdiscussionsqui onteucoursdurantles4joursdel'é vé nementontconduità laDéclaration duSommetinternationaldescoopératives. LeDossier duMois Cettedé clarationaé té pré senté eà laCind'octobre2012,lorsdel'assemblé e générale de l'ACI qui a rassemblé 10 000 personnes à Manchester, au Royaume-Uni.Puis,elleaé té transmiseà l'OrganisationdesNationsUniesà l'occasion de la clôture de l'Année internationale des coopératives, les 19et20novembre2012,à NewYork.Lesuccè sduSommettientà plusieurs facteurs,enparticulierlapré sencede163confé renciersderenommé einternationale,dontdessommité stellesqueMadeleineAlbright,JacquesAttali, Riccardo Petrella, A. Michael Spence,Nouriel Roubini et Rosabeth MossKanter. Ledé voilementde9étudesinéditesestunautrefacteurclé delaré ussite duSommet. Cesé tudesontapporté unnouvelé clairagesurlepositionnementdescoopé rativessurl'é chiquiermondialetsurlesgrandsdé Cisqu'ellesontà relever. Vingt-cinq é vé nements complé mentaires, un é vé nementpré -SommetofCiciel(Imaginons2012),une exposition et un salon du livre ont permis d'enrichirlaré Clexion. La relè ve é tait é galement à l'honneur grâ ce au programme Futurs leaders coopératifs 170 coopé rateurs de tous les continents, â gé s de 20 à 35ans,onté changé surlesmoyensdefaireavancer lemodè lecoopé ratif. EnCin, le Sommet a é té l'occasion de cé lé brer la forcedelacoopé rationavecdesactivité shautesen couleur,commelasoiré egaladu10octobre. LepremierSommetInternationaldesCoopé ratives a connu un grand succè s qui a amené les hô tes à envisagerlatenued’unautreSOMMETEN2014. Une décision pourrait être prise au début de 2013. 18RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 Benoît Hamon au Sommet International des coopérativesà Québec Benoı̂t Hamon s’est rendu à Qué bec les 7 et 8 octobre 2012 pour participer au Sommet international des coopé ratives. L’é vé nement a rassemblé plus de 3 000 responsables de coopé ratives. Cette forte mobilisation té moigne de la place originale des coopé ratives dans l’é conomie mondiale et leur capacité de ré sistance face à la crise. Au Sommet, le ministre a pré senté devant une audience trè s internationale son ambition pour une politique publique favorable à l'é conomie sociale et solidaire (ESS) et à ses entreprises. Un projet de coopération entre LesSociétésCoopérativesetParticileCanadaetlaFrance? pativesenMartinique… Durant ce dé placement, Benoı̂t Hamon a pu s’entretenir avec son homologue ElaineZakaib, ministre chargée de la politique industrielle et de la banque de dé veloppement Depuis 2011, la Chambre Ré gionale de l’Economie Sociale et Solidaire de Martinique a recensé , quatreSCOPdansle é conomique du Qué bec. département : CDAAHC, OCEA IMMOBILIER, DECO Les ministres ont constaté de fortes convergences entre les PEINT et RESIDENCE PLAGES DES SALINES (ancien hôprojets des deux gouvernements en matiè re d’ESS.Ils ont telHameaudeBeauregard). é galement pu constater les grandes similitudes de situation entre la France et le Qué bec quant à la place de l'ESSdans En Septembre 2012, deux collaboratricesdelaCressMarlePIBnational(10%)etlavariétédesactivitéscoopé- tinique ont suivi une formation à l’URSCOP Ile de ratives. Francesur le dispositif SCOP. Cette rencontre fut valorisé e par un é change d’expé rience notamment sur les spé Benoı̂t Hamon et Elaine Zakaib se sont ainsi entendus sur ciCicité s du territoire et sur les attentes des porteurs de l'intention de conduire ensemble un projet de coopé ration projets martiniquais tous secteurs d’activité s confondus. portant sur des é changes d'expé riences et de bonnes pratiques, sur l'é laboration d'outils de dé veloppement Cinanciers, et sur la promotion de l'ESS dans les organisations internationales et dans l'espace francophone. Développer des activités privilégiantlelongterme? Prenant la parole devant les congressistes, Benoı̂t Hamon a appelé à une é volution ré solue des principes qui ré gissent l'é conomie mondiale, et dont la crise Cinanciè re a dé montré l'é chec. Prochain rendez-vous avec l’URSCOP : signature de convention au mois de Mars 2013. N.B: contactez-nous par courrier mail [email protected] pour assister à nos ré unions d’informations collectives mensuelles « SCOP/SCIC » S'inspirant des principes de l'é conomie coopé rative, le ministre a souligné la né cessité de dé velopper des activité s et des services qui privilé gient le long terme, la responsabilité sociale et la participation des socié taires et usagers. Il a é galement rappelé le rô le des banques coopé ratives en particulier, dont le modè le peut contribuer à une stabilité de l'é conomie ré elle, et a plaidé pour une sé paration aussi nette que possible des activité s de banque de dé tail et de banque d'investissement. RevuedelaCressMartinique—Numéro06/janvier2013 19 Actualité s locales L e dispositif des emplois d’avenir (L.5134-110à117-1ducode dutravail) est ouvert aux associations désirant recruter un jeune pour l’accompagner dans sa premiè re expé rience professionnelle et lui permettre d’accé der à un meilleur niveau de qualiCication. Emploid’avenir,moded’emploi? Pour pouvoir embaucher, l’association doit d’abord contacter son agence pô le emploi, mission locale ou le Cap emploi (s’il s’agit d’un travailleur handicapé ). Peudiplômé? Le Dossier du Mois Le postulant doit ê tre â gé de 16 à 25 ans (jusqu’à 30 ans s’il s’agit d’une personne handicapé e) , et peu diplô mé (CAP-BEP en recherche d’emploi depuis plus de six mois ou Bac + 2 ZUS). Aprè s avoir effectué un entretien d’embauche et retenu votre candidat, vous devrez remplir le formulaire de demande d’aide Cinanciè re (cerfa n°14830*01). Vous devrez justiCier votre capacité Cinanciè re à maintenir l’emploi au moins le temps du versement de l’aide. Encadrement? Vous devez ê tre en mesure d’offrir un encadrement au jeune salarié inexpé rimenté . Un tuteur choisi parmi les salarié s ou les responsables de l’association doit suivre le jeune salarié . Vous devrez vous ré unir ré guliè rement avec le ré fé rent de Pô le emploi ou de la mission locale pour faire le point sur l’avancé e de son inté gration dans l’association. En outre , vous vous engagerez à joindre au contrat de travail des pé riodes de formation permettant au jeune salarié d’accé der à un niveau de qualiCication supé rieur (auquel cas, la duré e hebdomadaire de travail peut ê tre Cixé e à temps partiel avec l’accord du salarié ). CDIouCDD? La mesure s’applique dans le cadre d’un contrat de travail à duré e indé terminé e ou dé terminé e de 3 ans ou 1 an renouvelable deux fois. La duré e du travail n’est pas imposé e mê me si elle est prioritairement à temps plein (151,67h/mois). 75%duSMIC? L’association reçoit une aide de l’é tat de 75 % de la ré muné ration brute sur la base du Smic, soit 1070€ mensuels pendant 3 ans au maximum de la duré e du contrat (art L. 5134-113 du code travail) , accompagnée de l’exoné ration de certaines taxes ou charges sociales. Ce taux est identique pour les fondations et les associations intermé diaires de l’insertion. Il est abaissé à 47% pour les groupements d’employeurs organisateurs de parcours d’insertion et de qualiCication (GEIQ), les structures d’insertion par l’activité é conomique (IAE), telles que les entreprises d’insertion, les entreprises de travail temporaire d’inser- RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 21 Actualité s locales -tion, les ateliers et chantiers d’insertion. Un troisiè me taux est pré vu pour le secteur marchand. UnComitétechniquerégional«Emploi d’Avenir? Source(N.Quiliendelarevuemodeemploiassociationn°145) Ce comité a é té mis en place par le Pré fet de Ré gion, le Pré sident du Conseil Ré gional et la Pré sidente du conseil gé né ral ou leurs repré sentants dè s la signature de la convention aCin de rendre opé rationnel l’engagement des trois signataires. EnMartinique… La 1ère Commission du 12 Décembre a permis d’étudier et valider les 60 premières demandes d’emplois d’avenir. LaMartiniquebéné.icierade1500emplois d’avenir dans un premier temps. Un engagement conjoint de l’Etat avec Le pilotage du dispositif sera assuré par le ServicePublic lescollectivités de l’Emploi Régional (SPER). Au sein du Comité de Coordination Ré gional de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (CCREFP), une concertation est ré alisé e relaEn Martinique, la Ré gion et le Dé partement ont dé cidé tive à l’identiCication des Ciliè res et secteurs ayant un fort d’intervenir en complé ment de l’Etat pour accompagner le potentiel de cré ation d’emplois d’avenir, les modalité s de dé ploiement des emplois d’avenir dans les secteurs mar- consolidation et de pé rennisation de ces emplois, les pistes chands et non marchands. d’adaptation de l’offre de formation et la construction de parcours d’insertion et de qualiCication. L’Etat, le Conseil Régional ont signé une convention cadre Etat Cixant les modalité s d’intervention des collectivité s territoriales en complé ment de l’Etat. LE 27 novembre 2012, le 33 premiers emplois d’avenirs ont é té signé s par quatre mairies, une association et une entreprise en pré fecture de Ré gion. Le CCREFP s’appuiera notamment sur les plans d’actions inscrits dans le CPRDFP (Contrat de Plan Ré gional de Dé veloppement des Formations P ). Dans le cadre des services publics des emplois (SPEL) sous l’é gide des sous-pré fets, la DIECCTE a organisé e en dé cembre des rencontres pour expliquer le dispositif aux emL’Etat,laRégionetleDépartements’engagent à accom- ployeurs du secteur marchand et non marchand, aux cô té s pagner le recrutement d’emplois d’avenir en Martinique des missions locales et de Pô le Emploi. sur toute la duré e du dispositif sur la base de l’enveloppe nationale attribué e à la Martinique et sur toute la duré e des Source($lashdesservicesdel’Etat) contrats (contrats conclus jusqu’au 31 dé cembre 2014), hors enveloppe é ducation nationale. 22RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 LesdeuxvisagesduContratdeGénération... Ce nouvel outil anti-chômage vise à encourager l’embauche de jeunes tout en conservant les seniors dans l’emploi. Les entreprises de moins de 300 salariés béné.icierontd’allègementsdecharges. LeContratdegénération,moded’emploi? Le contrat de gé né ration n’est pas une nouvelle forme de contrat de travail. Deux formes de dispositifs cohabiteront en effet dans les entreprises (convention de gé né ration et l’accord intergé né rationnel). LaConventiondeGénération correspond au contrat de génération tel qu’il a é té annoncé lors de la campagne pré sidentielle. Cette convention lie l’administration et l’employeur lorsque ce dernier projette d’embaucher un jeune en CDI et de maintenir ou d’embaucher un salarié sé nior. L’accordintergénérationnel? C’estunaccordprévuepourlesentreprisesde50à300salariéset pour les entreprises et groupe de plus de 300 salarié s. Cette né gociation devra ê tre mené e sur la base d’un diagnostic intergé né rationnel partagé . Ce diagnostic portera sur des domaines comme la pyramide des â ges de l’entreprise, les pré visions de dé parts à la retraite, les perspectives de recrutement ou encore les compé tences clé s de l’entreprise. Deuxcatégoriesd’âgespourunseulcontratdegénération? Loin des dispositifs destiné s exclusivement à une caté gorie de salarié s, le contrat de gé né ration englobe dans une mê me dynamique l’entré e et la sortie de l’emploi. Les publics concerné s par les contrats de gé né ration sont donc des salarié s â gé s de 57 ans et plus, et des jeunes actifs de moins de 26ans. Ces bornes d’â ges peuvent é voluer dans le cadre des accords et passer à 55 ans pour les sé niors en cas d’embauche et à 30 ans pour les embauché s à l’issu d’un contrat court ou alternance dans l’entreprise, d’un doctorat ou dans le cadre d’une situation de handicap. Source (hebdo n° 3380 du 8/11/12) RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 23 Et si on en parlait mé tier du textile, arts dé coratifs, agriculture, enseignement gé né ral) Personnel:40 employés -Uneéquipeéducativepluridisciplinaire: chef de service, é ducateurs spé cialisé s, moniteurs é ducateurs, maı̂tresse de maison, é ducateur sportif ,surveillants de nuit, enseignant…. L’AMSEAenquelqueslignes - Uneéquipemédicaleetparamédicale: Médecin, psychologue, inCirmiè re - Unserviceadministratif:secrétaire , comptable , économe. 1951 : Cré ation de l’Association Martiniquaise pour la sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence. L’AMSEA gè re -Desservicesgénéraux:,cuisiniers, chauffeurs, agents le CAEFP (Centre d’Actions Educatives et de Formation Pré d’entretien -Professionnelle) et un service d’enquê tes sociales. Les publics : Enfance et jeunesse en souffrance (difCiculté s familiales, et/ou scolaires, dé scolarisation, addictions, troubles du comportement…..). Missions: · Offrir un accompagnement individualisé aux enfants , adolescents en difCiculté s sociales, familiales et relationnelles (internant, formation scolaire/professionnelle, apprentissage, insertion) · Mettre en œuvre des projets é ducatifs et d’insertion en se ré fé rant au Sché ma Dé partemental de l’Enfance et en ré ponse aux attentes des partenaires institutionnels (Aide Sociale à l’Enfance, Protection Judiciaire de la Jeunesse) · Coordonner au niveau dé partemental les initiatives et efforts pour l’enfance et l’adolescence inadapté es · Etre une force de propositions auprè s des instances de ré Clexion et de dé cision relatives à l’enfance en danger et aux problè mes de dé viance des jeunes Structures:réparties sur un site de 5 hectares · 12 Iits en internat pour les garçons sur le « groupe Baliser » · 12 lits en internat pour les Cilles sur le « groupe hibiscus » · 6 places en foyer suite garçons (é tablissement situé sur un autre site à Ducos) · Plateau scolaire ( quatre ateliers: cuisine pé dagogique, RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 25 Et si on en parlait D epuis 1974, l’Association des CMPP de Martinique spé ciCiques d’accompagnement des intervenants prenant (ACMPP) œuvre dans le domaine de l’accompagne- en charge à divers titres des personnes en difCiculté . ment et de la prise en charge d’enfants, d’adolescents et de parents confronté s à des difCiculté s de plusieurs ordres. Les professionnels du CMPP font trois constats majeurs, la demande sociale est de plus en plus pré coce. Elle Elle gè re depuis le 5 janvier 1976 le CMPP « La Rencontre ». concerne surtout de jeunes enfants qui se signalent par Cet é tablissement situé à Fort-de-France prend en charge, des troubles du comportement ou du caractè re. L’un en cure ambulatoire, des enfants, adolescents et jeunes des symptô mes les plus fré quents qu’ils pré sentent est adultes â gé s de 4 à 20 ans, confronté s à des difCiculté s gé né ralement une intolé rance à toutes formes de frusd’adaptation scolaires, sociales et familiales. trations et une difCiculté majeure à respecter la loi ou le cadre qui leur est proposé . Un accompagnement est proposé aux parents chaque fois que cela s’avè re né cessaire. Placé e sous la responsabilité Cette incapacité – pour beaucoup d’entre eux à accepd’un Directeur Mé dical (Pé dopsychiatre) et d’un Directeur ter de se soumettre à la rè gle, se traduit par des difCiculAdministratif et Pé dagogique, l’é quipe qui y travaille - 20 té s d’inté gration dans leurs milieux de vie familiale, salarié s - est surtout composé e de professionnels paramé - sociale ou scolaire. La situation dans laquelle se troudicaux : Psychologues Cliniciens, et psychopé dagogue. Ce vent ces jeunes enfants ne peut en aucun cas ne pas ê tre sont environ 475 consultants qui sont accueillis, pour un prise en compte car elle risque d’é voluer vers une martotal de 8 à 9 000 sé ances par ginalisation de cette tranche anné e. de population. L’activité est prise en charge par la Sé curité Sociale, aprè s tariCication par l’Agence Ré gionale de Santé . Les parents ne payent donc rien. Les capacité s d’accueil é tant saturé es, un projet d’ouverture d’un second CMPP a é té approuvé et Cinancé par l’Agence Ré gionale de Santé . Le CMPP de Fort-de-France Ouest a dé marré ses activité s le 3 dé cembre dernier. Nous avons procé dé à notre é valuation interne en 2009/2010, et pré parons notre é valuation externe pour 2013, aCin de perfectionner notre gestion. Nous nous sommes interrogé s quant aux fondamentaux de nos pratiques, et avons é laboré un projet novateur. Notre expé rience, notamment des relations avec les é quipes é ducatives des é tablissements scolaires, nous a fait prendre conscience d’un besoin de mise au point et d’utilisation d’outils L’institution scolaire est elle aussi interrogé e par les effets de cette problé matique sur les apprentissages et le parcours scolaire de ces é lè ves. Il y a né cessité pour l’é cole de repenser en partie son dispositif d’apprentissage et le cadre institutionnel qu’elle a jusqu’alors proposé depuis de nombreuses dé cennies. L’é volution des pratiques professionnelles des enseignants vient conCirmer les difCiculté s auxquelles ils se trouvent confronté s. Ils é voquent des comportements provocateurs, des attitudes inadmissibles, des insolences, des manifestations agressives ou parfois violentes. 26RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 Faceà detelstableaux,ilsexprimentlebesoind’ê treaidé s, de prise en charge globale, mê lant les efforts des cherde mieux comprendre, de bé né Cicier de formations ou cheursetdesacteursdeterrain,avecdesactionssurleplan physique et virtuel, que nous souhaitons dé velopper. Plud’informationscomplé mentairesthé oriquesetpratiques. sieursformesd’interventionsontencoursd’é laborationet Les parents pour un grand nombre d’entre eux semblent deré alisation, nousavonsré alisé les1è resrencontres mé de plus en plus dé munis dans leurs rapports quotidiens à dicopsychopé dagogiquesdeMartiniquele31mars2012. leursenfants.Lescontoursdelacellulefamiliale,-quijus- qu’alors avait une fonction de contenant et de ré fé rent-, Plus de 200 acteurs pluridisciplinaires de terrain ont sontdeplusenplusimpré cisouquasimentinexistants. é changé leurs expé riences, observations, pratiques, mé Lesrelationspré cocesparents-enfants,-quijouentunrô le thodes,analyses etprojets. Enplusdespsychologuescliimportant dans la construction de la personnalité des en- niciens, orthophonistes, psychomotriciens, psychopé dafants -, sont de moins en moins opé rantes. Cet affaiblisse- gogues, pé dopsychiatre de notre institution ou d’autres mentdulienparents-enfantsestsouventà l’originededifCi- é tablissements,d’autres professionnelsd’horizonsdivers culté s relationnelles majeures au sein de la cellule fami- se sont dé jà joints à nous: centre d’action mé dicosociale liale; celle-ci atteignant un pic de tension à l’adolescence. pré coce, neurologues, psychologues scolaires, socioCesontsouventlesfamilleslesplusvulné rablesquisontles logues,chefsd’é tablissements,directeursd’é coles,… plustouché es. Lesapportsdece ré seaudeparticipantsserontpré cieux pour des é changes physiques et virtuels.Nous faisons ainsi appel aux chercheurs dans diffé rentes disciplines (psychologie cognitive, psychopathologie, psychanalyse, psychopé dagogie, sciences de l’é ducation, linguistique, sociologie, anthropologie, histoire…) dont les projets pourraientrejoindre,amenderetrenforcerlenotre. Plusieurs partenariats universitaires sont en construction(UAG,Paris,Canada,Suisse…),desactionsd’aideà la parentalité sontencoursdeprogrammation,enpartenariatavecd’autresé tablissementsmé dicosociaux,etgrâ ce à uneaideduFondsSocialEuropé en,parl’intermé diaire delaCRESSquiaé té sollicité e. C’estdoncunré seaudynamique,enpleindé veloppement, dé sireux de contribuer avec force et vigueur, de façon pré cise et concrè te, à l’amé lioration morale, psychologique et intellectuelle de la population martiniquaise, et Dans ces conditions, l’ACMPP s’est ré solument engagé e plusspé cialementdesajeunesse,quiseconstruitaujourdansunevoiepermettantdemieuxcomprendrelescaracté - d’huienMartinique,avecnotremodesteparticipation. ristiques de la situation, en cherchant, notamment par des analyses comparatives, à saisir les vé ritables particularité s dé terminant l’acte d’apprentissageen Martinique, dans CharlesCELENICE cetteoptique,mettreenrelationlesacteursdeterrainetles Présidentdel’ACMPP,articledu18/01/13 chercheursd’originesdiverses,favoriseruneapprocheplu- ridisciplinaire de nature à appré hender au mieux toute la complexité de cette ré alité ,accumuler les connaissances thé oriques et opé rationnelles indispensables, é laborer et expé rimenter des dispositifs et des outils adapté s et innovants pour amé liorer les prises en charges é ducatives et thé rapeutiques, dé boucher sur des actions de formation, d’information,demé diation,deré gulation. Ilnoussembleeneffetdevenutrè simportantqu’uneaction multiforme se dé veloppe en Martinique pour apporter des amé liorationssubstantiellesà cettesituation.Nouspensons avoir un certain rô le à jouer, en partenariat avec d’autres acteurs majeurs du secteur (autres é tablissements sociaux etmé dicosociaux,enseignants,chefsd’é tablissements,psychologues cliniciens et scolaires, sociologues, é ducateurs, travailleurssociaux…).C’estunevé ritableCiliè red’é tudeet RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 27 Zoom sur nos associations LORRAIN Une belle surprise pour les aînés V. J.-G. France-Antilles Martinique 08.02.2013 La fête battait son plein à l'occasion de la rencontre intergénérationnelle organisée récemment par l'association d'aide à domicile Nord Services.L'association Nord Services gère le portage de repas pour les personnes à mobilité réduite à Marigot, Basse-Pointe, Ajoupa-Bouillon et au Lorrain. L'objectif de la manifestation organisée récemment à l'école Isidore-Pierre-Louis était de réunir des personnes, toutes générations confondues, pour un moment de partage. La petite fête s'est déroulée en collaboration avec le centre communal d'action sociale et l'association des Sirènes de Gran Tans doubout. Sur quatre-vingt personnes prises en charge, une vingtaine était présente. Une agréable surprise explique le président de l'association, Frantz Descas, « compte tenu des pathologies qui les handicapent. Les générations ont besoin de lieux pour se rencontrer et échanger. L'animation proposée par les majorettes a mis de la vie dans l'existence de ces personnes, qui bien souvent n'ont que l'agent du portage de repas comme visite journalière » . L'association des Sirènes de Gran Tans doubout existe depuis 2006. Josèphe Dubo Valey en est la présidente depuis cette année. Les enfants sont motivées et enthousiastes et elles le montrent par leur dynamisme lors des exhibitions. « C'est important de confronter les plus jeunes aux personnes agées et à leurs problèmes. Ça leur permet de prendre conscience de leur situation, confie la présidente » . 28RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 RIVIÈRE-PILOTE Les masques de lumière en calebasse de Nikol D.P. France-Antilles Martinique 08.02.2013 Un masque en calebasse! Quelle idée lumineuse pour les jours gras qui arrivent à grands pas. Particulièrement inspirée, Nicole Chansard joint l'utile à l'agréable en proposant depuis deux ans des luminaires en calebasse agrémentés d'un masque d'inspiration africaine et vénitienne. Ambiance « cosy » garantie. Bien loin de l'ambiance endiablée qui attend les carnavaliers. Quelle que soit sa taille, la calebasse, évidée, poncée et gravée, alimente l'inspiration de l'artisane, toujours en quête du précieux fruit. « Les gros spécimens sont rares, explique-t-elle. Ce sont de véritables trésors, plein de ressources et de surprises » . Nicole expérimente à chaque fois de nouvelles choses au contact de cette généreuse dame qui, une fois percée, est minutieusement fardée. Elle n'hésite pas à jouer avec la lumière pour créer des effets perlés. Touche à tout, Nicole se définit comme une artiste libre qui flâne avec la matière qui lui tombe entre les mains. Que ce soit l'ardoise en Bretagne où elle a exposé pendant des années au château de Pontivy (Morbihan) ou la calebasse, qu'elle a adoptée, elle s'adapte à tout. « J'explose la calebasse et je m'éclate » , confie cette illuminée. - Contact : 0696.29.34.84. RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 29 Zoom sur nos associations FORT-DE-FRANCE Le coup de main des élèves américains L. H. France-Antilles Martinique 23.02.2013 Six élèves américains participent à un échange avec des jeunes du lycée Schoelcher. Engagés dans le bénévolat chez eux, ils profitent de ce séjour martiniquais pour donner un coup de main à des associations caritatives. C'est bien connu, les associations se plaignent de manquer de bénévoles. Aux Etats-Unis, l'école Quaker de Long Island, près de New York, a peut-être trouvé la bonne formule pour susciter des vocations. « Nos élèves viennent de milieux très aisés, il est très important pour nous que l'aide aux autres fasse partie de l'éducation qu'ils reçoivent. Ce sont ces élèves qui deviendront nos leaders à l'avenir, il faut qu'ils arrivent toujours à donner aux autres et à faire du bénévolat. Nous voyons que cela ne fait pas partie de la culture ici, nous partageons cela avec ceux qui nous accueillent » , explique Polly Duc, chef du département de langues étrangères de l'école Quaker. C'est elle qui a initié cet échange avec la Martinique. Le premier a eu lieu en 2003, avec le lycée du Marin et une aide au foyer de l'Espérance. « J'ai choisi la Martinique, parce que c'est une culture qui est très riche, et l'histoire de l'esclavage et de la colonisation est une histoire qui nous touche aussi. C'est une découverte pour nos élèves qui ne connaissent pas du tout les petites Antilles » . Cette année, six élèves qui ont entre 13 et 16 ans ont fait le voyage pour un séjour du jeudi 14 au dimanche 24 février. La collaboration avec le foyer de l'Espérance se poursuit, mais cette année, les Américains donnent aussi un coup de main à la Banque alimentaire. Ils ont passé une matinée à préparer et entreposer des colis. UNE AIDE BIENVENUE POUR LES ASSOCIATIONS Pour Loane, 16 ans, comme pour la plupart de ses camarades, c'était une première : « Je n'avais jamais fait de bénévolat, mais pour les deux élèves américaines que je reçois, c'est habituel. Jusque-là cette idée ne m'était jamais venue à l'esprit, je me rends compte maintenant que c'est nécessaire. Je vois l'ampleur du travail qu'il y a, alors que souvent nous restons à ne rien faire. Cela m'a vraiment donné envie de m'engager » . Ce mercredi, ce sont les soeurs du Fourneau économique, situé à Fort-de-France, qui ont reçu l'aide d'une dizaine de jeunes pour la préparation et la distribution de sandwichs aux plus démunis. Chaque jour, l'institution prépare 300 repas. Une activité que connaît bien Grace, puisqu'aux Etats-Unis elle consacre une partie de son temps libre au bénévolat : « Je participe à plusieurs actions dans l'école et dans mon église. Des distributions de repas pour les sans-abri, principalement. C'est important pour moi d'avoir ce genre d'engagements. Je sais que j'ai la chance de ne manquer de rien, mais j'ai conscience que ce n'est pas le cas de tous » . Pour Huguette Nayaradou, secrétaire de la Banque alimentaire, l'aide de ces jeunes est bienvenue. Il faudrait même s'inspirer de leur démarche : « Beaucoup de personnes devraient s'inspirer de ce que font ces jeunes Américains. Notre association a vraiment besoin de bénévoles et de dons. Nous voudrions développer des partenariats avec les écoles. C'est aussi une manière d'éveiller les consciences et de secouer toutes les léthargies ». - Contacts : le Fourneau économique au 0596.50.64.56 ; la Banque alimentaire au 0596.51.10.19. 30RevuedelaCressMartinique—Numéro06/Janvier2013 Sandra MARIE-JOSEPH Louis-Fé lix LEDOUX : Alex BONVENT : Gé rard LACOM Fé lix MONTBRUN Arlette FLAUN Michè le KAAKIL Yves BERTE Constitution sous forme d’association loi 1901 sous le nom G.R.C.M.A (Groupement Ré gional des Coopé ratives, Mutuelles et Associations) ; Changement de dé nomination : le G.R.C.M.A devient C.R.E.S. Martinique (Chambre Ré gionale de l’Economie Sociale) ; Tré sorier Adjoint : Roger RENARD Tré sorier Adjoint Dé lé gué : Georges EUSTACHE -ROOLS Paul BIENCONTENT Jean Marc BUSSY Gilles DUPIN de MAJOUBERT Charles-Albert HELENON Julien GOUAIT Maryse JACQUES-GUSTAVE Tony NARCISSE Jocelyn MAGIT Victor REMY Jean-Claude DOLMEN Fred JEAN-BART 2004 Nouvelle dé nomination : C.R.E.S.S. Martinique (Chambre Ré gionale de l’Economie Sociale et Solidaire de la Martinique. Pour tout renseignement contacter : CRESS Martinique 11, Avenue Frantz Fanon 1er é tage—Bellevue 97200 Fort-de-France mail: [email protected] Té l : 0596. 60 27 63 OU 0696. 20 78 72 Site internet: www.cress-martinique.net José DINTIMILLE RevuedelaCressMartinique—Numéro04/Juin2012 31 Nospartenaires.inanciers