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Le billet de Said Mekbel Gregory Levey L'Algérie à la 98e place de l’insécurité routière au monde Accidents de la route. L'Algérie occupe la 98è place dans le classement mondial des accidents de la circulation routière et la 42ème position au niveau africain, a indiqué mercredi à Alger le directeur général du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), El-Hachemi Boutalbi. A 30 ans, Gregory Levey s'est aspergé le corps d'essence, avant d'y mettre le feu. A trente ans, on a encore toute la vie devant soi. Grégory avait bien d'autres choses encore, par exemple il était Américain. De la même nationalité que les Marines de son âge qui sont partis dans les armées du Golfe. Ces Marines sont partis au feu, pas du tout le même genre de feu avec lequel Gregory s'est immolé. Lui voulait la paix. Eux c'était la guerre, cette guerre qui rappelle aux familles américaines, celle du Viêt-nam, où, les bonzes vietna miens furent les premiers justement à se suicider par le feu pour protester contre les bombardements de leur pays du Nord. Gregory est aussi fils de journalistes. Sa mère, Ellen Gopdman est même une grande dame du Métier puisqu'elle a eu le prix Pulitzer, la plus haute distinction dont puisse rêver un journaliste. En passant, c'est aussi, journalistes que sont les gens de CNN qui se sont prêtés au grand bluff mondial des premiers jours de la guer-re. Peut-être que les gens de CNN rêvent aussi du prix Pulitzer ? De son métier, lui, Gregory était exprimant lors d'une conférence sur les accidents de la route organisée par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), M. Boutalbi a expliqué que ce classement concernait 190 pays et dans lequel l'Algérie occupe la 98ème place. L'Algérie occupe, par ailleurs, la 12ème place dans le classement des pays arabes relatif aux accidents de la route. M. Boutalbi a relevé que les pays en voie de développement, dont le parc automobile reste faible (43%) par rapport à celui des pays développés, sont "les plus concernés par les accidents de la route", qui tuent et blessent des millions de personnes chaque année à travers le monde. Selon lui, 918 personnes ont perdu la vie et 11.919 autres ont été blessées en Algérie durant le premier trimestre de cette année. M. Boutalbi a, toutefois, fait savoir que les mesures dissuasives prises par les pouvoirs publics pour lutter contre la recrudescence des accidents de la route ont permis de réduire "considérablement" le phénomène. Le nombre d'accidents a ainsi baissé, durant les trois premiers S' mois de l'année, de 12% par rapport à celui de 2014. Les nombres des morts et des blessés ont eux aussi baissé de respectivement 7% et 11% en comparaison avec la même période de l'année passée, selon M. Boutalbi. Il a, par ailleurs, annoncé que de nouvelles mesures seront prochainement appliquées pour réduire les accidents causés par des poids lourds. Parmi ces mesures, M. Boutalbi a cité l'obligation de suivre une formation professionnelle par les conducteurs de camions après l'obtention de leur permis de conduire de "catégorie C". Il sera également obligatoire, a-t-il dit, de doter tous les véhicules, classés poids lourds, d'un chronotachygraphe, un instrument permettant de mesurer la distance parcourue, la vitesse effectuée et les arrêts observés. De son côté le directeur de la Communication à la DGSN le Commissaire principal, Amar Laroum, a affirmé que le nombre d'accidents causés par les véhicules poids lourds a connu une hausse "inquiétante" ces dernières années. Il a, à cette occasion, appelé l'ensemble des usagers de la route (pié- Plus de 46.000 policiers mobilisés pour les examens de fin d'année Education. Plus de 46.000 agents et officiers de police sont mobilisés pour sécuriser les centres d'examens de fin d'année des trois paliers de l'éducation nationale, à l'échelle nationale, a annoncé mercredi à Alger un cadre de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). S'exprimant lors d'une conférence sur lors d'une conférence sur les accidents de la route, le sous directeur de la voie publique à la DGSN le commissaire principal, Madjid Sadi a indiqué que plus de 46.000 agents et officiers de police veilleront à la sécurité des biens et des personnes au niveau des 5.723 centres d'examens du primaire, moyen et secondaire à l'échelle nationale. Les services de la DGSN assureront, par ailleurs, la sécurité du transport, par voies aérienne et terrestre, des sujets d'examens et les copies des candidats. tons et conducteurs de véhicules) à la sagesse et au respect de la réglementation, car, a-t-il dit, "la vie humaine n'a pas de prix". M. Laroum a indiqué que la DGSN vient de lancer une campagne nationale de sensibilisation sur les dangers des accidents de la route et leurs conséquences désastreuses, à l'occasion de la 15ème édition de la semaine arabe de prévention contre ce phénomène. Il a, dans ce sens, appelé l'ensemble des médias à contribuer davantage dans la sensibilisation sur les accidents de la route et leur gravité, pour une meilleure prise de conscience collective. Pour sa part, le sous directeur de la prévention des accidents de la route, le Commissaire principal, Ahmed Nait Elhocine, a annoncé qu'un dispositif sera mis en place prochainement pour contrôler la charge des poids lourds. Le dispositif comprend aussi une optimisation de l'utilisation des radars pour lutter contre l'excès de vitesse, qui reste l'une des causes majeurs des accidents de la route. Des brigades mobiles sillonneront les routes pour verbaliser les conducteurs imprudents dont ceux des poids lourds, a-t-il ajouté. Mondiaux arrangés. La Fifa a été frappée, hier mercredi, par un double séisme avec l'arrestation de sept responsables soupçonnés de corruption et par la perquisition de son siège à Zurich, dans une affaire distincte portant sur l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022. Pourtant, l'élection présidentielle lors de laquelle Joseph Blatter, âgé de 79 ans, briguera un cinquième mandat pellé sept responsables de la Fifa, soupçonnés d'avoir accepté des dessous de table d'un montant total de plusieurs dizaines de millions de dollars des années 1990 à nos jours. Les suspects interpellés ont été placés en détention et font l'objet d'une demande d'extradition américaine. (R S et agences) Suite en page 23 éducateur. Un métier qui cherche à apprendre aux gosses à ouvrir leur coeur, leur cerveau,leurs yeux, leurs sens, à leur apprendre le premier métier du monde, le plus dur, celui d'être un homme, d'être une femme, un métier qu'on n'est jamais sûr de posséder à fond, même après avoir longtemps, longtemps vécu. La preuve : y en a qui meurent idiots à 80 ans. Gregory lui est mort à trente ans. Il s'est peutêtre dit que la vie était trop courte pour être petite. ! El Ghoul 21 février 1991 4ème région militaire, deux détachements, relevant respectivement des secteurs opérationnels d'El Oued et de Laghouat, et en coordination avec les éléments des Douanes algériennes, "ont arrêté trois (3) contrebandiers et saisi deux (2) camions, un véhicule touristique et 7.212 unités de différents types de boissons", ajoute le communiqué. Au secteur opérationnel d'In Guezam (6ème région militaire), un autre détachement "a appréhendé douze (12) contrebandiers et saisi trois (3) détecteurs de métaux, deux (2) groupes électrogènes, un téléphone portable et quatre (4) matériaux à pression", conclut la même source. «Je suis venu au monde dans une nuit d’enfer !» Quotidien national d’information Directeur fondateur : Fodil Mezali Des clans misent les uns sur la survie du parti et les autres sur la voie du musée Le FLN au pocker Les opposants à la ligne Saâdani promettent d’être nombreux pour tenter d’arracher par la force ce qu’ils ont perdu par voie de justice : leur «droit à l’annulation du congrès sur mesure» pour le SG en poste. Lire en pages 2 et 3 Par Mʼhamed Hassani Voilà quelque temps déjà que jʼessaie de trouver un moment pour dialoguer avec mon voisin, lʼartiste Smail Ouchen. Le coincer entre deux phrases bien serrées comme un café presse pour le livrer à mes lecteurs. Ce jour là est là. Lʼartiste a bouclé son cycle et attend de loger dans vos regards éveillés, ses couleurs en transe. Et puis la couleur se déverse dans lʼencrier de notre enfance occupée à dessiner des horizons renouvelés à lʼinfini. Danse, tourbillonne pinceau ; Aspire, inspire plume, Le signe se répand dans lʼespace, comme les chiffons votifs de nos femmes, accrochés aux branches de lʼolivier séculaire quʼon «débranche» aujourdʼhui pour le plaisir de paraître dominer la nature ! (M H) Lire en pages 12 et 13 l’entretien accordé à La Cité Idées-débats : économie politique de la démocratie postcoloniale Lire en pages 4 et 5 la contribution de A. Derguini Bouira : les anesthésistes de l’EPH d’Aïn Bessem menacés au siège même de la wilaya Lire en page 8 Les «je dis» de Lem Conférences-débats 31 mai : Journée Mondiale sans tabac La mort à petit feu... Me Rachid Ali Yahia animera deux conférences-débats samedi 30 et dimanche 31 mai à Amizour la première, et à Aokas la seconde. Ces deux rencontres avec le public auront lieu à 14h et seront suivies d’une vente-dédicace de son dernier livre. Êtes-vous un fumeur ? Si oui, ceci doit vous intéresser. Si non, ceci doit quand même vous intéresser... pour que vous ne vous intéressiez plus jamais au tabac. Vous vous demandez ce quʼil y a de si intéressant à savoir ? Eh bien, suivez du regard les volutes de fumée ; lisez lʼécrit en écoutant les cris ; plutôt quʼune fois « gare ! » ils vous disent… « Six gare ! ». Une cigarette allumée dégage environ 4000 composés (oui, 4000 !) parmi lesquels on peut distinguer lʼoxyde de carbone, la nicotine et le goudron. Il est prouvé que cʼest la nicotine qui est la première responsable (après vous !) de la pression sanguine, de lʼélévation du rythme cardiaque, de la consommation dʼoxygène… Après cette secousse, préparez-vous maintenant à subir un véritable tremblement de terre. La consommation de cigarettes, surtout sans filtre, favorise le taux de mortalité par cancer du poumon, du larynx, de lʼœsophage, de la vessie, du rein, du pancréas (sans compter que lʼappétit disparaît… petit à petit). L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que d'ici 2020, le tabac sera la principale cause de décès et d'incapacité, avec plus de 10 millions de vic- Le président Bouteflika s'entretient avec le Roi du Lesotho Letsie III Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'est entretenu mercredi à Alger avec le Roi du Lesotho, Letsie III, en visite d'Etat en Algérie. L'entretien s'est déroulé en présence du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, du ministre d'Etat, directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, du ministre de la reste prévue demain vendredi. Vers six heures du matin, des policiers suisses en civil opérant à la demande des autorités américaines se sont présentés au luxueux hôtel cinq étoiles Baur Au Lac du centre de Zurich, où sont logés les principaux dirigeants de la Fifa avant le congrès prévu, aujourd’hui jeudi et l'élection de demain vendredi. Ils en sont repartis après avoir inter- Smaïl Ouchene : Contrebande : saisie d'un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de minutions à Tindouf Un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munitions ont été saisis mardi par un détachement de l'Armée nationale populaire (ANP), indique mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). "Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de lutte contre le crime organisé, un détachement relevant du secteur opérationnel de Tindouf (3ème région militaire), a saisi, hier 26 mai 2015, un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munitions, suite à une patrouille de reconnaissance près de la zone frontière de Chenachene", précise la même source. Par ailleurs et au niveau de la La Fifa ébranlée par une sale affaire de corruption Communication, Hamid Grine et du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Abdelhamid Senouci Bereksi. Le Roi du Lesotho a entamé mardi une visite d'Etat de trois jours en Algérie à l'invitation du président Bouteflika. Cette visite "sera l'occasion pour les deux pays de raffermir davantage les liens de fraternité et de solidarité qui les unissent depuis plusieurs décennies", avait indiqué un communiqué de la Présidence de la République. "Les entretiens qui réuniront les deux chefs d'Etat leur permettront notamment de procéder à un échange de vues sur des questions d'intérêts communs, en particulier en Afrique et dans le monde", avait ajouté la même source. N° 639 Jeudi 28 mai 2015 Prix 15 DA times par an. Le tabagisme entrainera alors plus de décès à travers le monde que le Sida, la tuberculose, la mortalité maternelle, les accidents de voiture, les suicides et les homicides combinés... Les fumeurs de cigarettes ont environ 70% de risques (ou de chance pour les candidats au suicide) de mourir de maladies que les non-fumeurs ! En conséquence, pour votre santé et votre longévité cherchez à savoir comment arrêter de fumer. Plusieurs moyens sʼoffrent à vous, mais le meilleur reste la volonté ferme, tenace, inflexible de rejeter, une fois pour toutes, et tout en une fois, lʼenvie de fumer. Fumeurs, ne fumez pas ! Ne fumez plus ! Ou tout au moins, ne fumez pas plus ! Et nʼenfumez pas les autres S.V.P. ! Merci. Croyez-en mon expérience personnelle : en y mettant tout le paquet, vous réussirez à vous démettre du paquet (de cigarettes) tout en économisant un paquet (dʼargent). Alors, attention aux blondes, et méfiez-vous des brunes ! Enfin, voici une autre preuve indiquant que la cigarette tue bel et bien : nʼest-ce pas cette dernière que lʼon offre au condamné à mort avant de lui donner du... « feu ! » ? Lem www.lacitedz.net A la une 02 u La Cité La Cité Jeudi 28 mai 2015 Verbatim Saâdani en roue libre Abdelmalek Sellal, Premier ministre : «Vous devez partir à la conquête de nouveaux marchés à l'international car cela va contribuer au développement de votre compétitivité et à l'amélioration de la qualité de vos produits. Il faut accélérer la cadence de production pour pouvoir, à la fois, satisfaire la demande nationale et à s'introduire dans des marchés étrangers. Les entreprises nationales doivent également multiplier leurs partenaires étrangers dans le but de produire plus, mieux et plus vite». Azzedine Mihoubi, ministre de la Culture : «Le projet de loi relatif à l'activité et au marché du livre définira la responsabilité des acteurs du marché du livre (éditeurs, auteurs, vendeurs, et parties concernées par l'industrie du livre et son édition). Le nombre des éditeurs en Algérie ne dépasse pas les 800 dont prés de 500 professionnels seulement ayant émergé après l'année de l'Algérie en France en 2003 et grâce au soutien du gouvernement. Il y a nécessité d'instituer trois salons périodiques à Alger outre le salon international du livre d'Alger (SILA).Un salon à l'occasion de la rentrée scolaire, un autre consacré au livre d'enfant et un troisième dédié au livre technique». Abdelaziz Rahabi, ancien ministre et diplomate : «Je suis par principe contre la politique de la chaise vide en matière de représentation diplomatique. L’Algérie aurait pu participer à un niveau adéquat et défendre sa position sur cette initiative. Si le Président pensait ménager une partie ou une autre, il a fait tout faux parce que s’il y a consensus au sein de la Ligue arabe, ce projet aboutira sans tenir compte de nos propositions et de nos éventuelles réserves. La ligue arabe est aujourd’hui sous l’influence directe et exclusive des pays du Golfe qui ont la capacité de faire passer les résolutions de leur choix». Congrès. Coup dur pour les adversaires du secrétaire général du FLN. Le tribunal administratif de Bir Mourad Rais a rejeté, hier mercredi, «sur la forme» la plainte déposée par les contestataires de la tenue du 10e Congrès du FLN. Ce qui prélude d’un rejet sur le fond de la plainte, toujours hier. e qui signifie que le congrès, le 10e de rang peut commencer ce jeudi à la coupole du complexe olympique Mohamed Boudiaf. Une nouvelle victoire juridique pour Amar Saâdani qui a gagné une première manche, la veille, mardi, avec le rejet par le même tribunal d’une autre plainte des contestataires opposés à la tenue du Comité central du parti. Les adversaires de Saâdani avaient publié, le même jour, une liste de 111 membres du Comité central opposés à la tenue du Congrès. Ainsi, les adversaires politiques de Amar Saâdani ont tiré leurs dernières cartouches pout tenter d’invalider le congrès d’aujourd’hui ou au moins peser sur la future direction du parti. Depuis deux années qu’ils occupent les médias et la scène politique. Quoi qu’il en soit, le FLN est appelé à négocier aujourd’hui un virage délicat qui lui permettra de sortir de la crise ou de s’enfoncer un peu plus. Belayat et ses amis ainsi que les redresseurs menés par Mustapha Abada ont, à défaut n d’affronter en «live» leur meilleur ennemi, Amar Saâdani qu’ils considèrent comme un indu occupant du poste de SG du parti depuis la réunion vaudevillesque d’août 2013, ont préféré tourner le dos à ce congrès. Les Algériens, notamment les militants du u 23 La LFP met en garde les clubs contre toute tentative d'influence sur le cours de la compétition e club contrevenant est sanctionné par les dispositions prévues par l’article 81(1) du code disciplinaire, précise la LFP. L'article en question indique dans le chapitre " Influence, arrangement, pression et intimidation" que "La tentative d'influence sur le cours du championnat prévue par l’article 123 du règlement du championnat de football professionnel est sanctionnée par un match perdu (sans attribution de points à l’équipe adverse). Une défalcation de neuf (09) points pour l'équipe du club fau- L C pos, l’élaboration d’un dictionnaire global avec le concours de linguistes et d’anthropologues, ainsi que l’encouragement de la production littéraire et scientifique en rapport avec les missions du HCA. Il a également insisté sur l’importance de la "consolidation de la langue amazighe à l’école, à la radio, à la télévision, sur le fil et le site web de l’APS et dans tous les espaces universitaires, culturels et institutionnels par "un travail pragmatique et réfléchi". "Nous avons voulu que la célébration du 20ème anniversaire du HCA soit active avec l’organisation, à Souk Ahras du 30 mai au 1er juin prochain d’un colloque international Regards croisés sur l'œuvre d’Apulée de Madaure pour tirer de l’oubli cette illustre figure algérienne", a-t-il dit. L’organisation de cette rencontre traduit, a-t-il encore ajouté, "la volonté de réhabiliter les grandes figures de notre pays, parmi lesquelles Apulée qui symbolise le génie algérien". Le colloque, a-t-il précisé, sera animé par 22 chercheurs d’univer- Jeudi 28 mai 2015 Football. La Ligue de football professionnel (LFP) a rappelé ce mardi, que toute équipe senior de Ligue 1 Mobilis, qui au cours des cinq dernières journées du championnat, n'aura pas aligné au moins huit joueurs ayant été inscrits auparavant sur les feuilles de matchs des dix (10) premières journées de la phase retour sera considérée comme responsable de tentative d’influence sur le cours de la compétition. FLN, qui suivent depuis deux ans au moins les luttes intestines au sommet de l’ex parti unique, sont maintenant édifiés sur la force des uns et des autres. Tout ce beau monde se réclame du programme et du soutien du président Bouteflika. Mais dans les faits Saâdani parait être le bon cheval du cercle présidentiel qui l’a maintenu contre vents et marées. Belayat et ses amis croient naïvement ou par calculs politiques que Saâdani est lâché d’en haut. Mais il ne faut pas sortir de Saint Cyre Le HCA salue les efforts de l’Etat pour la promotion de tamazight Reconnaissance. Le secrétaire général du Haut commissariat à l’amazighité (HCA) a mis l’accent, hier mercredi à Souk Ahras, sur les "louables efforts" de l’Etat pour la promotion de la langue et de la culture amazighes. Si El Hachemi Assad a souligné, au cours d’une conférence de presse qu’il a animée à la salle de conférences Miloud-Tahri, que tamazight "figure aujourd’hui parmi les préoccupations de plusieurs départements ministériels". Il a rappelé que la langue amazighe, "élément fondamental de l’unité nationale", est enseignée dans onze (11) wilayas du pays en attendant une généralisation progressive dans le cadre d’un programme qui vient d’être lancé en coordination avec les secteurs de l’Education, de l’Enseignement supérieur et de la Communication. Le secrétaire générale du HCA a souligné que son institution qui célèbre le 20ème anniversaire de sa création, prévoit le lancement de plusieurs projets pour "une prise de qualité et de dimension nationale de cette langue", citant, à ce pro- Sports sités d’Algérie, des Etats-Unis, de France, de Tunisie et du Maroc autour de cinq axes : "La vie d’Apulée : son cadre spatio-temporel, son éducation, sa culture", "L’inter-culturalité dans l’œuvre d’Apulée", "L’aspect amazigh dans l’œuvre d’Apulée", "L’influence de l’œuvre d’Apulée sur la pensée maghrébine et universelle" et "La réappropriation de l’œuvre d’Apulée par la traduction, l’adaptation et le multimédia". En marge de la rencontre, la ville de M’daourouch, où naquit Apulée, accueillera le 1er juin (journée mondiale de l’enfance) des ateliers pour les collégiens du CEM Mohamed-Seddik Benyahia, dans le but de développer l’imagination des enfants et éveiller leur curiosité. La clôture du colloque se déroulera sur le site archéologique de Madaure, a également fait savoir M. Assad au cours de sa conférence de presse, ajoutant qu’un "cours modèle" sera dispensé au CEM de M’daourouch pour sensibiliser à la possibilité d’enseigner, dans les deux prochaines années, la langue amazighe à Souk Ahras. pour comprendre que l’homme dispose d’un soutien sans réserve du cercle présidentiel qui lui tend son parapluie. Une erreur d’appréciation qui a fait perdre beaucoup de temps à Belayat et consort en se coinçant dans un labyrinthe de procédures administratives que lui ont imposé les autorités. Saâdani n’aurait jamais pu résister à ces coups de boutoirs s’il n’avait pas de solides attaches avec les décideurs. Il a d’ailleurs invité personnellement ses opposants à venir assister en tant que Panne d’Internet hier à Alger Perturbation. Hier, dans certains quartiers de la capitale, à l’image de Zeralda, Bab El Oued, Cheraga, El Djamila, Oued Romane, Hussein-Dey, Alger-Centre, ElMouradia, Bir Mourad Raïs et Bab Ezzouar, l’Internet fixe n’était pas disponible depuis la matinée. Par ailleurs, Algérie Télécom (AT) a peiné à assurer une connexion internet de qualité à ses clients des autres quartiers d’Alger. Selon les explications de l’Opérateur historique de téléphonie fixe (historique dans le sens obsolète), ces perturbations ont été provoquées par des opérations de maintenance et de basculement vers de nouveaux équipements qui devaient prendre fin à 5h du matin, mais pour des contraintes techniques, elles ont débordé au courant de la journée. A l’heure où nous mettions sous presse, la panne était toujours de mise. Pour rappel, devant tant de désagréments, une pétition a été lancée en ligne depuis quelques jours par l’Association de la pro- tection et orientation du consommateur (Apoce) pour dénoncer les pratiques d’Algérie Télécom. «On n’a trouvé que cette façon pour réclamer nos droits. C’est une action citoyenne qui vise à donner un nouveau sang à cette entreprise», explique son président Zebdi Mustapha. Les clients d’AT ne se plaignent pas uniquement des coupures fréquentes d’Internet mais aussi du débit, de l’accueil dans les agences Actel, de la non-disponibilité des cartes ADSL, d’un réseau filaire désuet et saturé, des coupures fréquentes du téléphone… Et la liste est encore longue de tous les désagréments causés aux usagers d’Algérie Télécom et en sus elle n’a prévu aucun remboursement de ses clients touchés par ces dysfonctionnements répétitifs et à foison dans ses contrats. Cette action citoyenne vise à casser le monopole d’AT qui pratique des tarifs prohibitifs qui ne sont pas en adéquation avec la qualité des services offerts à la clientèle. K Ben tif, et 2 ans de suspension fermes de toute fonction officielle pour la personne concernée du club. L'équipe devra en outre, s'acquitter d'une amende d'un million dollars. A la veille de la 30e et dernière journée du championnat de Ligue 1 prévue vendredi prochain, le suspense est total pour les deux clubs qui accompagneront l'USM Bel Abbes en Ligue 2. Pas moins de cinq équipes sont sous la menace de la relégation : USM Alger, RC Arbaa, NA Hussein-dey, ASO Chlef et MCE Eulma. La Fifa ébranlée par une sale affaire de corruption Suite de la page une Selon le New York Times, qui a révélé ces arrestations, les accusations visent des faits de corruption portant notamment sur des attributions de Coupes du monde, de droits de marketing et de télévision. Les accusations visent également des escroqueries par voie électronique, des faits de racket et de blanchiment d'argent. Le Département de la Justice américain a indiqué avoir au total inculpé pour corruption neuf élus de la Fifa, ainsi que cinq responsables de sociétés de marketing sportif. Parmi les dirigeants présents ou passés de la Fifa visés par les accusations figurent Jeffrey Webb (Iles Caïman), Eugenio Figueredo (Uruguay), tous deux membres du comité exécutif, et Jack Warner (Trinité-et-Tobago), ex-membre du comité exécutif. Ce dernier, déjà impliqué dans de nombreuses affaires de corruption, s'est dit «innocent», tout en soulignant que «ces actions internationales coordonnées arrivent à un moment où la Fifa se réunit pour des élections afin de choisir un président qui est universellement détesté par la communauté internationale». Par ailleurs, le siège de la Confédération d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes (Concacaf), situé à Miami, était perquisitionné par des policiers du FBI. Perquisition à la Fifa Dans une procédure distincte, le parquet suisse a annoncé avoir saisi des documents électroniques au siège de la Fifa à Zurich, dans le cadre d'une procédure pénale contre X pour soupçon «de blanchiment d'argent et gestion déloyale» entourant les attributions des Coupes du monde 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar. Cette procédure, ouverte depuis le 10 mars, n'avait pas été rendue publique jusqu'à mercredi. Selon Walter De Gregorio, le directeur de la communication de la Fifa, envoyé au front pour une conférence de presse en fin de matinée, cette perquisition est liée à la plainte déposée le 18 novembre par la Fifa pour des soupçons de «transferts internationaux de patrimoine». «Ce n'est pas un jour agréable, mais c'est aussi un bon jour, car les choses avancent et nous avons hâte d'avoir des réponses», a affirmé M. De Gregorio, qui a assuré que la Fifa coopérait «pleinement» avec les autorités suisses et américaines. «La Fifa est la victime. Nous coopérons, nous donnons toutes les informations demandées. Il est de notre intérêt que toutes les questions posées trouvent des réponses», a-t-il dit. «C'est bien pour la Fifa. Pas en terme d'image, mais en ce qui concerne le ménage que nous avons entrepris ces dernières années», a-t-il insisté. Pour vendredi, Blatter ne change rien La Fifa tremble donc, mais pas question pour l'instant de remettre en cause le scrutin présidentiel prévu demain vendredi. Walter De Gregorio l'a martelé: le président Blatter et son secrétaire général Jérôme Valcke «ne sont pas impliqués» dans cette affaire. «M. Blatter est concentré sur le congrès et il reste relativement détendu», a dit M. De Gregorio. «Ca ne veut pas dire pour autant qu'il danse dans son bureau. Mais il est très calme, il voit ce qui se passe, il coopère avec tout le monde. Il n'est pas un homme heureux aujourd'hui», a ajouté le porte-parole. Demain Vendredi, «Sepp» Blatter briguera un cinquième mandat à la tête de la richissime et surpuissante Fifa, secouée depuis le début de son règne en 1998 par une série de scandales et d'accusations de corruption, notamment liés à l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022. Michel Platini, président de l'UEFA, qui devait tenir une réunion extraordinaire de son Comité exécutif à Varsovie mercredi après-midi, a renoncé l'année dernière à se présenter face à lui. La semaine dernière, l'ancien Ballon d'Or portugais Luis Figo et le président de la Fédération néerlandaise Michael van Praag ont eux aussi abandonné. Blatter n'a plus face à lui qu'un seul rival, aux chances minimes, le Prince jordanien Ali bin Hussein. Dans un communiqué, celui-ci a évoqué «un jour triste pour le football». «La Fifa a besoin d'un leadership qui gouverne, qui guide et protège nos fédérations. Un leadership qui accepte sa responsabilité pour ses actes et ne rejette pas la faute sur autrui. La crise dure depuis longtemps, elle ne se limite pas à ce qui s'est passé aujourd'hui», a-t-il martelé. Les responsables arrêtés ont «corrompu» le football , selon Washington Les responsables arrêtés dans le raid mené contre la Fifa ont «corrompu» le football mondial, a accusé, hier mercredi, la ministre américaine de la Justice à New York. «Ils ont corrompu les affaires du football mondial pour servir leurs intérêts et pour s'enrichir personnellement», a déclaré Loretta Lynch, après l'inculpation pour corruption de neuf élus de la Fifa et de cinq partenaires de cette instance mondiale du football. «Terrible» moment pour la fédération brésilienne Le président de la fédération brésilienne de football (CBF), Marco Polo Del Nero, a admis mercredi que son instance vivait un moment «terrible» avec l'interpellation en Suisse de son prédécesseur José Maria Marin. «Il est évident que ce n'est pas bon, c'est terrible, mais avant tout, nous devons savoir ce qui s'est passé et je n'en ai pas la moindre idée», a expliqué le dirigeant actuel de la CBF dans son hôtel zurichois. Blatter doit «se retirer», estime Transparency Le président de la Fifa, Sepp Blatter, doit «se retirer» et l'élection à la présidence de la fédération internationale de football être «suspendue», a estimé mercredi l'organisation Transparency International après l'arrestation de responsables de l'institution soupçonnés de corruption. «Ces scandales ont eu lieu sous la surveillance de Sepp Blatter», qui entend briguer vendredi un cinquième mandat consécutif, dénonce dans un communiqué Cobus de Swardt, directeur de Transparency International, ONG basée à Berlin et spécialisée dans la lutte contre la corruption. «Pour le bien des supporters et la bonne gouvernance du football, il est temps qu'il se retire», poursuit-il. L'élection à la présidence de la Fifa, prévue vendredi, doit être «suspendue», poursuit le communiqué. Elle «n'est pas crédible si elle est souillée par ces allégations» de corruption, a ajouté M. de Swardt, selon lequel de nouvelles élections doivent être convoquées afin de marquer «une nouvelle ère au sein de la Fifa». Prince Ali: «nous ne pouvons pas continuer avec la crise à la FIFA » «Nous ne pouvons pas continuer avec la crise à la Fifa», a commenté, hier mercredi, le Jordanien Prince Ali, candidat opposé au dirigeant en exercice Joseph Blatter à la présidentielle d'une instance en pleins tourments judiciaires. «La Fifa a besoin d'un leadership qui gouverne, qui guide et protège nos fédérations, a poursuivi le Prince Ali dans un communiqué. Un leadership qui accepte sa responsabilité pour ses actes et ne rejette pas la faute sur autrui». «La Fifa a besoin d'un leadership qui restaure la confiance chez des millions de fans de football autour du monde», ajoute encore le candidat de 39 ans. «La crise dure depuis longtemps, elle ne se limite pas à ce qui s'est passé aujourd'hui», conclut le Jordanien. R.S Idées-débats 04 u La Cité Détente La Cité Jeudi 28 mai 2015 Economie politique de la Mots Fléchés Géants N° 628 Jeudi 28 mai 2015 u 21 Sadi Djouder Nous sommes donc loin des conditions d’émergence de la démocratie européenne, qui a été parfaitement bien illustrée par le fameux mode d’ordre du parlement anglais face à la monarchie : « no tax without representation » et qui s’appuyait sur une propriété décentralisée de la terre. A cette puissance terrienne partagée, viendra s’ajouter plus tard la puissance partagée de l’argent et le nouveau pouvoir des organisations et des concentrations ouvrières. Quand le pétrole prend la place du charbon, la capacité de nuisance de la classe ouvrière est diminuée dans les sociétés industrielles. Avec lui commence de surcroit l’illusion d’une possible croissance illimitée (1). Quel effet produit le pétrole sur les sociétés nouvellement indépendantes ? Il renforce le monopole des puissances établies (internes et externes) sur le pouvoir d’agir de la société. Par Arezki Derguini* Contribution. Sur quoi bute le projet de consensus national dont le but est d’établir un système démocratique stable ? Pourquoi les parties prenantes au pouvoir n’auraient pas intérêt à s’associer de nouvelles parties ? Notre réponse est la suivante : le projet de consensus bute sur l’asymétrie structurelle de pouvoir entre gouvernants et gouvernés, autrement dit sur l’indépendance des gouvernants par rapport aux gouvernés et la dépendance structurelle des gouvernés vis-à-vis des gouvernants. Cette asymétrie ne peut permettre un exercice démocratique du pouvoir, quelle que soit les parties prenantes au pouvoir et quelle que soit la manière par laquelle elles peuvent y prendre part. Voilà pourquoi il ne peut sortir des élections une légitimité démocratique. Voilà pourquoi elles ne peuvent régler l’alternance politique, pourquoi elles seront toujours organisées pour légitimer un choix effectué ailleurs et pourquoi leur résultat ne pourra être que contesté. Cette asymétrie du pouvoir est ce dont la société algérienne a hérité du colonialisme. La colonisation a légué à la société algérienne un Etat disposant du monopole sur le sous-sol et sur les terres agricoles les plus fertiles. L’armée des frontières a hérité des colons et a imposé un Etat au reste de la société tel quel, sorti « tout armé » des entrailles du colonialisme. Cet Etat monopoliste a disposé de pouvoirs qui l’apparentaient davantage à une monarchie qu’à une république. On croyait alors, le socialisme aidant, qu’une telle concentration de puissance pouvait être asservie pour le développement. Il s’agissait de combattre alors le féodalisme, le régionalisme disaient d’autres. La monarchie avait été, il est vrai, un progrès par rapport au féodalisme, si on en juge à travers l’histoire de la France révolutionnaire et non à travers celle de l’Angleterre. Il faut cesser donc d’aplatir le travail, de le considérer comme une fausse puissance, comme une activité mineure de capture de la rente publique. Comme un moyen d’allonger le circuit d’accès à la rente, de contenir l’accès de masse. Il faut rétablir le lien entre le travail et la valeur. Les vainqueurs de la lutte de libération nationale pouvaient considérer qu’ils pouvaient se dispenser de la médiation du travail pour accéder au revenu, les générations actuelles et futures ne pourront pas le faire. La génération révolutionnaire postindépendance a dissocié le lien entre travail et djihad, travail sur soi et sur autrui. De ce point de vue, on ne peut lui reprocher d’avoir pris sa retraite trop tôt, tellement incommensurables étaient les deux mondes qu’ils durent affronter. Les générations postrévolutionnaires devront rétablir ce lien pour construire une société cohérente et solidaire. La croissance des inégalités ne permettra pas aux héritiers des tenants du pouvoir actuel de dominer avec une telle dé-liaison. La réhabilitation du travail comme moyen par excellence de réussite rendra à chaque type de travail sa valeur. Qu’il s’agisse du travail politique, du travail d’enseignant chercheur ou d’entrepreneur. S’il est possible de réussir politiquement, des individus investiront la politique. S’il est possible de réussir académiquement, des individus et des groupes investiront dans le savoir. S’il est possible de réussir économiquement, des individus investiront dans la compétition économique. Et se formeront des capitaux qui permettront d’occuper certaines places dans la compétition et de récolter certains de ses fruits. S’accumuleront des expériences politiques, scientifiques, industrielles, commerciales, bref des capitaux de tout genre. Une certaine inégalité pourra s’établir dans l’égalité, ou inversement, qui rendra possible la mobilité sociale du bas vers le haut sans renverser le système. Les capitaux sont les armes de la compétition ou de la coopération, selon l’engagement. C’est sur cette base là, qu’un consensus peut être construit. Le consensus a besoin de cette relative égalité de condition, de citoyens qui veuillent et qui puissent investir et fructifier leur expérience, leur capital dans un travail spécifique. On peut relever l’existence de tels citoyens dans toutes les mouvances idéologiques. Les voies de la réussite étant balisées (réussir en politique, c’est réussir à construire des collectifs politiques, en industrie des collectifs industriels etc.), les croyances personnelles deviennent les moyens d’une telle réussite et non pas ce que l’on veut imposer aux autres, d’une manière ou d’une autre. Pour ce faire on pourrait suivre la démarche suivante : 1. Mettre un terme à l’asymétrie fondamentale entre propriété et travail, stopper la dissipation du capital Le travail doit permettre d’accéder à la propriété et inversement. Les richesses naturelles doivent être considérées comme un capital, le capital naturel, qui doit être préservé car ap- partenant aux générations futures autant qu’aux générations présentes, et non pas comme une simple ressource, un simple revenu. Source d’un revenu permanent, le capital naturel doit être considéré comme un prêt des générations futures aux générations présentes. Les résultats de son investissement (profits ou intérêts) peuvent par exemple, financer les retraites des fonctionnaires en attendant que la solidarité des générations puisse le faire. Les salaires des fonctionnaires ne pourront donc être prélevés sur la fiscalité pétrolière, et les revenus pétroliers ne pourront être aliénés. Le budget d’équipement ne peut être financé à fonds perdus. Il doit être financé sur la base de crédits bancaires. L’Etat empruntant comme un particulier pour l’investissement à long terme (infrastructures). La nouvelle banque asiatique est une bonne illustration. La terre doit être une copropriété entre l’Etat et les collectivités. Propriété publique et collective de la terre de par l’histoire des sociétés et de la lutte de libération nationale. Une telle propriété ne contestera pas sa légitimité, elle la renforcera. Elle retrouvera sa raison sociale qui est de préserver le capital naturel, de sorte que ni l’Etat, ni la collectivité locale ne pourraient aliéner le droit des générations futures, nationales et locales. Si la terre ne peut être une marchandise ou un capital comme d’autres facteurs, la propriété privée faillira à sa conservation. Elle se transformera en droit de Solution MFG N° 627 Or aujourd’hui, à l’heure de la démocratie, une telle asymétrie constitue une faille insurmontable entre les parties prenantes qui voudraient constituer un système démocratique. Le système de pouvoir n’étant pas un système d’interdépendance de producteurs indépendants, mais un système d’interdépendance commandé par un Etat pétrolier combattant à un certain moment l’initiative privée et à un autre l’adversité internationale, grâce à un système de prix disqualifiant toute activité autonome, il s’ensuit qu’une alternance politique ne peut signifier qu’un renversement des rapports de force. Le premier devenant le dernier et inversement. Un tel système ne peut trouver d’équilibre qu’en acceptant le mouvement à ses extrémités mais non entre elles. A partir de là on peut affirmer que la condition de base d’une démocratie est une certaine répartition plus ou moins symétrique de la puissance sociale. On ne peut concevoir un fonctionnement démocratique sans une certaine égalité entre les parties prenantes du pouvoir. Ce n’est pas un hasard si l’émergence de la valeur travail précède la démocratie (2). Ce n’est pas la Raison qui était le mieux partagé dans la société, c’était le travail, dans les pas duquel marchait la rationalisation capitaliste. Quand le travail devient le fondement légitime de la propriété, dans l’espace de la représentation tout le monde devient partie prenante du pouvoir d’agir de la société. Pour réhabiliter le travail politique, il faut donc d’abord réhabiliter une puissance commune. Après la révolution bourgeoise apparaît le vampire de Marx (3), se creuse la différence entre travail vivant et travail mort, le travail que s’accapare les machines et celui dont sont dépossédés les travailleurs. Les choses de la vie 06 u La Cité Télévision La Cité Jeudi 28 mai 2015 Une fête de la nature neuf jours Environnement. Dans le cadre de la 2ème édition de la fête de la Nature qui aura lieu du 21 au 30 mai 2015 sur les sites naturels de Bejaia, l’Association Assirem Gouraya organise une semaine d’activités au profit du grand public pour la préservation de la biodiversité et la valorisation des patrimoines naturel et culturel. haque année en mai, cette célébration fait l’objet de plusieurs manifestations offrant au public un contact direct avec la nature partout en Algérie. Pour apprendre, pour comprendre ou tout simplement s’émerveiller. Objectif ? Découvrir ou redécouvrir les exceptionnelles richesses naturelles de la région ! Nous sommes aujourd’hui de plus en plus déconnectés d’un patrimoine naturel qui nous rend pourtant des services considérables. La Fête de la Nature vous offre l’occasion de renouer ce lien ! Du 21 au 30 mai 2015, petits et grands sont ainsi conviés sur tout le territoire de la wilaya de Bejaia à venir à la découverte de la nature et notamment «la biodiversité pour le développement durable», thème mis à l’honneur pour cette 2ème édition. 9 jours pour se laisser surprendre par la nature. C Du 22 au 23 mai sur le sit naturel de Tizi N Berber Tizi N’Berber possède une cascade à Tifrnine et une grotte féerique à Ighil Ouis qui ne sont, malheureusement, pas exploitées. Il faut redoubler les efforts pour développer le tourisme dans cette localité. « Certes Tizi N’berber peut devenir une véritable attraction touristique, le tourisme de montagne est en vogue en occident », nous dit un professionnel du tourisme avant d’ajouter : « le tourisme, ça ne se limite pas à la grande bleue, la commune de Taskriout ne possède pas de plage, mais attire des milliers de touristes par sa splendide cascade de Kefrida ». Développer le tourisme va ramener des ressources financières supplémentaires à cette 29 Mai, randonnée pédestre sur le site naturel de Takoucht L’association Assirem Gouraya en collaboration avec l’association scientifique et écologique de Takoucht, APC d’Ait Smail, les directions (forêts, environnement, tourisme, sports), Parc national de Gouraya, commissariat national du littoral de Bejaia, l’unité de conservation de la faune et de la flore nous proposent une randonnée pédestre pour découvrir le plus haut mont de la wilaya de Bejaia, Takoucht en l’occurrence La forêt « Takoucht » se situe au sud de la commune d’Ait Smail, cet espace précieux a été un refuge pour la distraction, le repos et de promenades des gens de la région et ceux des régions limitrophes. Le relief de la commune d’Ait Smail est essentiellement montagneux. Cette caractéristique lui a été attribuée par le fait que le 07:00 Programme enfants 08:00 Programme musical 10:00 Télé-achat 10:30 Ebehri Tili 12:30 Journal d'information 13:00 Reportage 14:00 Points de vue 15:00 Télé-achat 15:45 Programme musical 16:30 Documentaire 17:30 Programme enfants 18:00 Journal d'information 18:15 Urar S Ussiwel 19:30 Journal d'information-berbère 20:00 Tamurt-IW 21:00 Cinéma 22:00 Ebehri Tili 23:00 Programme musical 15 brigades de gendarmerie prochainement réceptionnées Sécurité. 15 nouvelles brigades de gendarmerie seront prochainement réceptionnées au niveau de différentes localités de la wilaya de Tizi Ouzou, selon les déclarations de M. Dahou Hebib chargé de communication au niveau du groupement régional de la gendarmerie de la wilaya en marge des journées portes ouvertes portant sur les activités de la Gendarmerie nationale, entamées hier au niveau de la maison de la culture MouloudMammeri. Trois nouvelles structures dont le taux de réalisation a atteint 75% sises au niveau des localités de Tizi-Rached, Azazga et Mekla seront réceptionnées en 2016. Ces nouvelles structures s’ajouteront aux 25 existantes et qui assurent un taux de couverture sécuritaire ne dépassant pas les 38%. Ces journées portes ouvertes portant sur les activités de la Gendarmerie nationale qui se poursuivront jusqu’à demain vendredi ont pour objectif de sensibiliser la population locale sur le rôle primordiale des hommes à l’uniforme vert dans la protection du citoyen et de ses biens. A cette occasion, le Colonel Nourredine Akrouf a affirmé que l’objectif de ces journées portes ouvertes est de sensibiliser les citoyens sur le travail de proximité mené par les éléments de la gendarmerie pour édifier un état de droit et préserver l’unité territoriale du pays. «Notre objectif est de donner un aperçu sur le travail mené par nos éléments sur tous les volets pour assurer la sécurité de nos concitoyens. Ces journées ont également pour démontrer aux citoyens que ce corps constitué est toujours à leurs écoute », a-t-il précisé. Pour sa part, le wali, M. Abdelkader Bouazghi, a tenu à féliciter les éléments de la gendarmerie pour leur travail remarquable qu’ils mènent pour lutter contre toutes formes de criminalité au niveau de la wilaya. Par ailleurs notons qu’un bilan du premier trimestre de l’année en cours a été dressé par les éléments de la gendarmerie qui ont traité trois (03) affaires de drogue au cours desquelles trois (03) personnes ont été arrêté et une quantité de 202 g de kif traité a été saisie. Quatre (04) autres affaires relatives à la sécurité publique ont été traitées par les mêmes services au cours desquelles 10 personnes ont été arrêtées. Notons que pas moins de 493 affaires d’agressions contre les personnes ont été traitées par les mêmes services au cours desquelles 355 personnes ont été arrêtes. En deuxième position arrivent les affaires d’agression contre les biens avec 277 affaires u 19 Programme Télé 08:00 Bonjour d'Algérie 09:30 Boudhou 2 10:25 Manchell el mouhib 11:00 L'Emir Abdelkader 12:00 Journal en français+météo 12:25 Yaoumiyate moudarisse 13:40 Tiyarate el mouhit el hadi 14:25 Le médaillon 15:10 Entre parenthèses 16:40 Rex génération 17:00 Qaher el bihar 17:25 Takder tarbah 18:00 Journal en amazigh 18:20 Boudhou 2 18:45 Caméra café 19:00 Journal en français+météo 19:25 Afrique hebdo 20:00 Journal en arabe 20:45 Familetna 21:20 Mon Beau Pays 22:40 Culture club 23:40 L'Emir Abdelkader localité rurale, sans oublier bien sûr les postes d’emplois qui seront créés. C’est dans cette optique qu’un riche programme a été mis en œuvre les 22 et 23 du mois courant, sous l’égide de la Fédération Algérienne de Ski et Sports de Montagne, l’Association Assirem Gouraya en collaboration avec les directions « forêts, environnement, tourisme, sports), APC de Tizi N Berber, PNG, CNL de Bejaia, UCD de Bejaia, ligue de Ski, office du tourisme de Tizi N Berber, et le mouvement associatif. Les amoureux de la nature à Tizi N Berber auront ainsi eu droit à une exposition au niveau de la bibliothèque communale, conférence-débat, randonnée pédestre ouverte au grand public, championnat d’Algérie d’escalade, jeux sportifs traditionnels, simulation de feux de forêts, concours culinaires, concours de dessin pour enfants, ramassage des déchets en montagne et chant folklorique. Le concours culinaire organisé à Tizi N Berber nous rappelle la seule édition du festival des arts culinaires et de gastronomie traditionnelle organisée par l’association culturelle « Tizi N Berber » pour la sauvegarde du patrimoine et de l’authenticité, du 18 au 21 mars 2012 au chef-lieu de cette commune de la daïra d’Aokas. Jeudi 28 mai 2015 06:00 Bourdin direct 08:35 Les dossiers Karl Zero 10:40 Les mystères de l'univers 12:20 Top Gear USA 13:10 Storage wars : adjugé,vendu 15:10 Enchères à tout prix 15:40 Chasseurs de tornades 17:20 Wheeler Dealers - occasions à saisir 19:00 Car S.O.S. 20:45 FORCES DE LA NATURE 21:35 Les mystères du Cosmos 22:30 LES MYSTÈRES DE L'UNIVERS 06:25 TFou 08:30 Téléshopping 09:25 Au nom de la vérité 10:25 Petits secrets entre voisins 11:55 Petits plats en équilibre 12:00 Les 12 coups de midi 12:50 L'affiche du jour 13:00 Le journal 13:40 Petits plats en équilibre 13:55 Les feux de l'amour 15:10 Un roman d'amour 17:00 L'addition, s'il vous plaît 18:00 Bienvenue au camping 19:00 Money Drop 19:55 Météo 20:00 Le journal 20:40 Nos chers voisins 20:45 C'est Canteloup 20:55 ALICE NEVERS : LE JUGE EST UNE FEMME 00:00 Les experts 02:30 Grands Reportages 03:45 Reportages 04:20 Musiques 04:40 Au nom de la vérité 05:30 Petits secrets entre voisins 06:25 Point route 06:30 Télématin 09:05 Dans quelle éta-gère... 09:10 Des jours et des vies 09:35 Amour, gloire et beauté 10:00 C'est au programme 11:00 Motus 11:30 Les Z'Amours 12:05 Tout le monde veut prendre sa place 13:00 Journal de 13h 13:50 Météo, Consomag 14:00 Toute une histoire 15:10 L'histoire continue 15:40 Comment ça va bien ! 17:20 Mon food truck à la clé 18:15 Joker 18:50 N'oubliez pas les paroles 19:55 Météo 20:00 Journal de 20 h 20:40 Parents mode d'emploi 20:45 L'Eurovision, l'instant Météo 20:55 ENVOYÉ SPÉCIAL 22:25 COMPLÉMENT D'ENQUÊTE 23:35 Alcaline, le mag 00:30 Dans quelle éta-gère... 00:35 Au clair de la lune 02:25 Infrarouge 04:50 Badjaos ou les gitans de la mer 05:15 Interventions sous-marines 05:50 Dans quelle éta-gère... 05:55 Les Z'Amours 06:00 Euronews 06:45 Ludo 08:50 Dans votre région 10:45 Consomag 10:50 Midi en France 12:00 Le 12/13 13:50 Un cas pour deux 14:55 Questions au gouvernement 16:10 Des chiffres et des lettres 16:50 Harry 17:25 Un livre un jour 17:30 Slam 18:10 Questions pour un champion 19:00 Le 19/20 19:58 Météo 20:00 Tout le sport 20:20 Plus belle la vie 20:50 L'EXERCICE DE L'ÉTAT 22:45 GRAND SOIR 3 23:40 Impardonnables 01:25 Midi en France 02:25 Plus belle la vie 02:50 La case de l'oncle Doc 03:45 L'armée secrète arménienne 04:40 Les Matinales 04:55 Questions pour un champion 05:35 Plus belle la vie 06:40 Surprises 06:50 Zapping 06:55 Le before 07:18 Météo 07:20 Le petit journal 07:50 Les Guignols de l'info 07:58 Météo 08:00 Zapsport 08:05 Burning love 08:30 Week-ends 10:00 L'album de la semaine 10:25 Les Guignols de l'info 10:35 Caricaturistes - Fantassins de la démocratie 12:25 La nouvelle édition 12:50 La nouvelle édition - 2e partie 14:05 Les marches de Cannes 14:10 Le bureau des légendes 16:00 Rencontres de cinéma 16:20 Surprises 16:30 Grace de Monaco 18:10 Le before 18:40 Les marches de Cannes 18:45 Le JT 19:05 Le grand journal 20:05 Le grand journal, la suite 20:30 Le petit journal 20:55 VIKINGS 22:35 MAD MEN 23:20 Pas son genre 01:05 Opium 02:30 Surprises 02:50 Hockey sur glace : NHL 04:15 Les spécimens 05:15 La séance rugby 05:55 Faites tourner 2 - Faites tourner 3 06:05 Paysages d'ici et d'ailleurs 07:00 Metropolis 07:45 Jurassic fight club 08:30 X:enius 08:55 Les milliards de Moscou 09:50 Les voisins de la Russie à lʼombre dʼune politique expansionniste 10:45 Paysages dʼici et dʼailleurs 11:10 Escapade gourmande 11:40 Les Alpes vues du ciel 12:25 360°-Géo 13:20 Arte Journal 13:35 Libero 15:45 Les troubadours du Sertão brésilien 16:40 Élisabeth Ire 17:20 X:enius 17:45 La cuisine anti-gaspi 18:15 Voyages en pays nordiques 19:00 Les parcs nationaux américains 19:45 Arte Journal 20:05 Cannes - L'instant d'avant 20:10 28 minutes 20:45 Tout est vrai (ou preque) 20:50 PROFESSION NÉGOCIATEUR 23:10 UN VIOL 00:40 La soif du mal 02:25 Pacific express 04:25 Karambolage 05:00 The specials en concert au Bataclan 06:00 M6 Music 07:05 Les blagues de Toto 07:20 La maison de Mickey 07:40 Princesse Sofia 08:05 Sammy & Co 08:20 Alvinnn !!! et les Chipmunks 08:45 Météo 08:50 M6 Boutique 10:00 90210 10:50 Devious maids 12:45 Le 12.45 13:05 Scènes de ménages 13:45 L'amour en 8 leçons 15:45 Philtre d'amour 17:40 Les Reines du shopping 18:50 En famille 19:45 Le 19.45 20:10 Scènes de ménages 20:55 SCORPION 22:35 RUSH 01:50 Les aigles noirs de Santa Fe 06:38 L'emploi par le net 06:45 Zouzous 09:00 Les maternelles 10:15 Terre des mondes 10:50 24 heures sur la terre 11:45 La quotidienne 13:00 Orphelins de la nature 13:40 Le magazine de la santé 14:35 Allô docteurs 15:10 Martin autour du monde 15:40 Superstructures XXL 16:35 Des pâtes, des pâtes, oui mais à quel prix ? 17:30 C à dire ?! 17:45 C dans l'air 19:00 C à vous 20:00 C à vous la suite 20:15 Entrée libre 20:40 LA GRANDE LIBRAIRIE 21:40 GÉRARD DEPARDIEU, GRANDEUR NATURE 22:35 C dans l'air 23:40 Entrée libre 00:00 Vincent Lindon revolvers 00:50 Histoire des services secrets français 03:00 La nuit France 5 05:30 C dans l'air 07:00 Ninjago 07:50 Tortues Ninja 08:45 Ultimate Spiderman 09:30 Avengers rassemblement 10:35 Il était une fois l'homme 11:35 Shaun le mouton 11:45 Mission invisible ! 12:15 Les Zouzous 13:30 Consomag 13:35 Une saison au zoo 2 15:10 Un gars, une fille 15:45 Shaun le mouton 15:55 La famille de la jungle 16:45 Slugterra 17:25 Dr. Pantastique 17:50 Lapins crétins : l'invasion 18:30 Une saison au zoo 3 20:30 Monte le son, la quotidienne 20:35 Le point quotidien 20:50 FBI : PORTÉS DISPARUS 22:50 L'AUTRE JT 23:50 American blackout 01:20 Le point quotidien 01:35 Bons plans 01:40 Monte le son, le live - Printemps de Bourges 2013 05:00 Un gars, une fille 05:45 Chaplin 05:50 Code Lyokô 06:45 Gym direct 08:00 Télé achat 08:50 Touche pas à mon poste ! 10:45 Le grand 8 12:00 How I met your mother 13:30 Inspecteur Barnaby 17:00 Le maillon faible 18:45 Touche pas à mon poste ! 20:45 D8 le JT 20:50 LES 60 ANS D'EUROPE 1 : LE CONCERT 23:15 TOUCHE PAS À MON POSTE ! 06:00 Wake up 08:40 W9 hits 10:05 @ vos clips 11:30 W9 hits 12:25 Talent tout neuf 12:30 Ma famille d'abord 16:20 Un dîner presque parfait 18:45 Las Vegas academy 20:05 Les Simpson 20:35 Soda 20:50 LES PETITS MOUCHOIRS 23:30 GUILLAUME CANET, LE PASSIONNÉ 08:45 Alerte Cobra 09:40 Piège pour une mère 11:30 Alerte Cobra 13:20 TMC Infos 13:30 New York police judiciaire 16:55 Monk 19:40 Alerte Cobra 20:40 TMC Météo 20:50 LE CASSE DE CENTRAL PARK 22:40 90' ENQUÊTES 09:00 Le destin de Lisa 10:20 Les enquêtes impossibles 13:35 Un bébé à tout prix 15:15 Ghost whisperer 17:00 Grey's anatomy 19:40 Undercover Boss USA 20:40 NT1 infos 20:45 Météo 20:50 LA LIGNE VERTE 00:00 GREY'S ANATOMY 13:10 Zig et Sharko 13:50 Parents un jeu d'enfant 14:00 Objectif parents cool 14:54 G ciné 15:00 Team Galaxy : le collège de l'espace 15:20 Team Galaxy : le collège de l'espace 15:45 Mes tubes en signes 16:00 Wazup 16:05 Les chroniques de Matt Hatter 16:35 Grojband 17:30 Monstres contre aliens 18:25 Rekkit 19:15 In ze boîte 19:40 Ruben et les p'tites toques 19:45 Les Parent 20:35 Wazup 20:40 Arthur à New-York 20:45 UN ET UN FONT SIX 00:10 Mission Impossible 01:05 Ratz Régions 08 u La Cité Tiɣremt La Cité Jeudi 28 mai 2015 Coup d’envoi de la fête de la cerise aujourd’hui à Larbaâ Nath Irathen Manifestation. C’est aujourd’hui que sera donné le coup de starter de la 10e édition de la fête de la cerise au niveau de la commune de Larbaâ Nath Irathen sise à une quarantaine de Km au sud Est de Tizi-Ouzou. es festivités de cette fête qu’organise à la bibliothèque communale l’APC de Larbaâ Nath Irathen, laquelle travaille en étroite collaboration avec la direction de la culture, l’association culturelle Igawawen et l’APW de Tizi-Ouzou, s’étaleront sur trois jours. Comme à chaque édition, les organisateurs veillent au grain pour la réussite de cet événement qui attire des milliers de visiteurs chaque année au niveau de cette localité de haute montagne. La ville s’est parée de ses plus beaux atours pour recevoir les convives qui viennent de plusieurs localités de la wilaya, mais également des wilayas limitrophes. Depuis plusieurs jours déjà, Larbâa Nath Irathen est ornée de drapeaux, stands, tentes et posters pour L souhaiter la bienvenue aux invités. Un programme aussi riche que varié a été concocté par les organisateurs de cette dixième édition. La journée d’aujourd’hui sera marquée par la cérémonie d’ouverture officielle de la manifestation par les autorités locales, en présence du maire de Saint-Denis (France) et de représentants d’ID Méditerranée, où un bilan de la coopération entre les deux villes sera présenté conjointement par les deux maires portant la réhabilitation du cerisier et le transfert du savoir-faire dans le domaine du développement de ce fruit. Demain vendredi, des ateliers d’information et de formation seront animés par des membres d’ID Méditerranée. Alors qu’une conférence débat traitant du thème des " maladies et para- Deux faussaires de monnaie arrêtés à Tizi-Ouzou Criminalité. Les services de police ont procédé au courant de la semaine écoulée à Tizi-Ouzou, à l’arrestation de deux faussaires de monnaie et à la saisie dans le domicile de l’un d’entre eux, de 38 faux billets de banque de 500 euros, a-ton appris, mercredi, de la cellule de communication de la sûreté de wilaya. Cette affaire a été dévoilée suite à un appel reçu par la police d’un citoyen signalant un individu suspecté d’un possible trafic de billets de banque, a-t-on ajouté. Les éléments de la police ont, suite à des recherches, appréhendé l’individu en question, âgé de 59 ans, au volant de sa voiture. La fouille du véhicule s’est soldée par la découverte et la saisie d’un petit coffre-fort contenant des liasses de coupures de papier, à la forme de billets de banque et recouvertes d’une poudre verdâtre, a-t-on précisé de même source. Lors d’une perquisition du domicile du mis en cause, au centre-ville de TiziOuzou, les policiers ont découverts 38 faux billets de banque de 500 Euros, un sachet contenant "une poudre probablement destinée à la contrefaçon", un document d’une Agence de Voyage et 02 bavettes. Une autre perquisition effectuée dans son chantier de construction, s’est soldée par la découverte de trois autres coffres forts contenant des coupures de papier en forme de billets de banque, un mélange de poudre blanche et verte, un petit four transformé et destiné à un usage frauduleux, et deux billets de banque de 1000.00 DA et 01 Dollar Américain, "expertisés vrais", a-t-on ajouté. Selon la cellule de communication de la sûreté de wilaya, "devant tant d’indices, le mis en cause dans cette affaire a reconnu être en contact avec un ressortissant africain qui lui aurait remis les coffres en question et leurs contenus". Ce ressortissant, de nationalité malienne et qui se présentait sous une fausse identité, a été interpellé à son tour au niveau de la gare routière de Bouhinoune (TiziOuzou). Présentés au parquet de TiziOuzou, les deux mis en cause dans cette affaire de trafic de billets de banque ont été placés en détention préventive pour les chefs d’accusation, d’"association de malfaiteurs", "détention d’ustensiles destinés à la contrefaçon de billets de banque ayant un cours légal", "détention de faux billets en monnaie nationale et étrangère", "complicité", et "recel de preuve et entrave à enquête ». sites ravageurs des cerises’’, sera animée par la subdivision des services agricoles de la localité. La journée du samedi sera, elle, marquée par une autre conférence intitulée "La valorisation des produits du terroir, dans l’optique du développement local (cas des cerises)" qui sera présentée par des chercheurs universitaires de TiziOuzou, M. Hadjou et Chenane Arezki. Pour clôturer cette 10ème édition de la fête des cerises, un gala artistique sera animé par plusieurs artistes de renoms. Par ailleurs, notons que la localité de Larbâa Nath Irathen a bénéficié d’un programme d’envergure pour la plantation de milliers de cerisiers pour faire face au parasite du cerisier « capnode ». Dahbia B Bouira : les anesthésistes de l’EPH Aïn Bessem menacés à l’intérieur du siège de la wilaya Au moment où les anesthésistes de l’hôpital d’Aïn Bessem attendaient, en ce mardi 26 mai, d’être reçus par le wali ou un de ses représentants, une femme, fonctionnaire au niveau de l’APC d’Aïn Bessem s’est dirigée vers eux, accompagnée d’un groupe de jeunes prêts à l’affrontement, du fait qu’ils commençaient à provoquer les manifestants. La dame n’a pas hésité à brandir sa menace : « Vous n’êtes rien ! Vous êtes une poignée insignifiante et moi, je peux ramener jusqu’à 600 travailleurs pour manifester pour que le directeur reste ». Et de marteler : « Le directeur restera avec ou sans vous ! ». Selon les anesthésistes présents sur les lieux, « cette femme a déjà menacé à Aïn Bessem des protestataires. Elle travaille à la mairie d’Aïn Bessem et on dit qu’elle est un élément influent dans le secteur du logement et que si vous voulez un logement, il vous suffira de la contacter ». Dans tout ça, l’on se demande comment est-ce qu’une personne, « aussi influente soit-elle », vienne menacer des manifestants dans l’antre du premier magistrat de la wilaya sans qu’il y ait la moindre réaction de la part des éléments de la police qui étaient sur les lieux ? comment se fait-il que cette personne vienne d’Aïn Bessem, faire une trentaine de kilomètres, pour menacer des travailleurs, des anesthésistes, dont le seul tort est de défendre leurs droits et surtout soutenir deux de leurs collègues « injustement révoqués » ? B. Mechoub La zone industrielle de Souamaâ sera-elle enfin concrétisée ? Projet. D'une superficie de 376 hectares, faisant d'elle l'une des plus vastes de la wilaya, la zone industrielle de Souamaâ dans la daïra de Mekla, projet inscrit depuis 2011, qui a été décidé comme une exception pour la wilaya de Tizi Ouzou, a déjà bénéficié d'une inscription d'une nouvelle zone industrielle à créer à cheval entre Draâ El Mizan et Tizi Gheniff, sur les 36 à créer au niveau national, sera-elle enfin réalisée ? Tout porte à croire que ce projet prometteur pour cette localité pauvre de la wilaya de Tizi Ouzou, qui a connu une opposition des citoyens être délocalisés, semble connaître son épilogue. En effet, une réunion présidée par le wali, Abdelkader Bouazghi, a été consacrée à la levée des contraintes relatives à la réalisation de ce projet d’une importance capitale pour le développement économique, non seulement pour la partie sud-est mais aussi de toute laa wilaya. Cette réunion a eu lieu hier, au niveau de la cité administrative de Tizi Ouzou en présence des directeurs de l’énergie et des mines, des services agricoles de la wilaya, le chef de la daïra de Mekla, le président de l’APC de Souamaâ et les représentants de l’association des occupants des terrains situés sur le futur projet de la zone indus- trielle. Pour venir à bout des oppositions d’une quarantaine de propriétaires terriens dont les parcelles sont situées à l’intérieur du périmètre délimité pour accueillir la zone, qui avaient exigé une indemnisation et avaient refusé toute expropriation sans garantie, le wali a proposé à l’association des occupants des lieux, la délocalisation de ces derniers dans la même assiette en dehors de la zone industrielle en maintenant les superficies approximatives d’occupation en dehors de cette même zone, selon un communiqué émanant de la cellule de communication de la wilaya. Le même document ajoute qu’il a été également procédé à la reconfiguration de la zone de façon à permettre la concrétisation de la proposition. Ce faisant, des terrains privés feront l’objet d’expropriation et d’intégration dans le périmètre de la zone en vue de compenser les terrains ayant servi au recasement des occupants ». Le wali a reçu les comités de villages représentants les citoyens de la commune, lesquels ont adhéré à l’unanimité à la démarche en souhaitant l’aboutissement rapide de la réalisation du projet stratégique à plus d’un titre pour le développement de la wilaya. Dahbia B. Jeudi 28 mai 2015 u 17 Tanfust n Yiɣil Saint-Michel, d tasuqilt n tullist "La Légende du Mont St-MICHEL" n Guy De Maupassant alaɣ-tt di tazwara si Cancale teɣremt-agi n tewkilin ittwaẓẓun deg yillel. Ur tt-fṛizeɣ ara mliḥ imi tbedd deg yigenni tagut taɣiɣdant i yas-irran tili. Walaɣ-tt daɣen si tama n Avranches deg yimir n uɣelluy n yiṭij. Ṛṛmel awesɛan ifesren s teɣzi n tmuɣli, illa d azeggaɣ ; igli, d azeggaɣ ; abuɣaz1* aṭagan, akk d azeggaɣ ; timɛemmeṛt taḥecraruft, imanis, temɣi-d dihinna, tebɛed ɣef lberr am txelwit tasugnant, tessewham am ṣṣraya n tirga, d tadrugant, d tabaḥant, meḥsub ɣumment-tt tillas di leḥmuṛegga n wass iruḥen ad tefnu. Ruḥeɣ ɣer-s azekka-nni tafrara, leḥḥuɣ ɣef yijdi, cexceɣ seg-s ; reṣṣant wallen-iw deg usɣun-a ameqran am udrar, imlekken am rrxem, afrawan am lfina. Akken ttaẓeɣ ɣer-s, tettent-i tsewham ugar, acku ulac nnig-s ahat deg umaḍal ayen immden issedhacen. Ttcaliɣ daxel-is, wehmeɣ seg wayen ttwaliɣ amzun skefleɣ-d axxam n yiwen uṛebbit mi akken zerriɣ ɣef tzeɣwa-s i bubben yiɛrusen ifsasanen d yiẓayanen, mi akken zerriɣ deg yigniren-is ittfeǧǧiǧen d tafat n wass, reffdeɣ allen-iw idehcen ɣer ṣṣwameɛ-a icban iẓeḍyen iruḥen di tegnawt, ladɣa amyekcem-a amkerriw2 n tsegdalin, n tregragin, n udlag asdidan amesrar, n tballiwin n uẓru akked d usreqqet ucbiḥ n gṛanit ; ayagi akk d tawuri tasegdant tameqraḥant i tessali tẓuri taɛewwajt s lmul d wul. Mi akken zzreɣ di ttewḥid, iɛnayi-d yiwen ufellaḥ anuṛmundi, yules-iyi-d tadyant n umennuɣ ameqran iḍran gar Saint-Michel akked Cciṭan. Inna yiwen uɛewwaj ijehlen : “‘Ṛebbi, ixleq-d amdan ɣef ṣṣuras ; lameɛna amdan, irra-yas-tt akken ilaq.’’ Awal-a, ɣer-s yiwet tidet tamaɣlalt ; isḍuli ad d-nesnulfu di yal amenẓaw ama d tanfust n yillu adigan, ama d tin n lawliyya iɛerḍiyen n yal tamnaḍt. Azenǧi, isɛa ṣṣnem aweḥci ameččay n yimdanen ; tasreḍt n Muḥemmed, tessureg3 asiknew n tlawin akked taččert n lǧennet d tiḥuṛṛtin ; Iɣriqiyen, — aɣref axeddam — qeddsen akk afrayen i tegbeṛ tnefsit. Yal taddart n Fransa tella ddaw leɛnaya n lwali ines amḥaddi ittbeddilen ilmend n yimezdaɣ. Wamma Saint-Michel iɛussen ɣef Nuṛmundi-n-Wadda, SaintMichel aneglus, udem n sseɛḍ d rrbeḥ, ssif n lqedra, assaḍ n yigenni ; d netta i yugaren iqehṛen Cciṭan. Meɛna, Anuṛmundi bu tḥeṛciwin d tmezrigin, bab n nnxayel akked cctat, a-t-ah wakken W ifhem d wamek d-ittales amenɣi n lwali ameqran akked Cciṭan : ‘‘Akken ad isellek si tballaɣin n Cciṭan, ibna unarag-is Sain-Michel di tlemmast n ugaraw tanezduɣt-a i yuklal ugeldun n lmalayek ; d tidet, anagar agurram am netta i izemren ad d-isnulfu i yiman-is tanezduɣ i tt-icban. Meɛna, mi akken mazal ittkukru tixettalin n umcum, izzi i wayla-s s ṛṛmel imleɣleɣ udɣil ugar n yill. Cciṭan, izdeɣ aɛecciw menwala di ceṭṭ ; maca ikseb ilmaten igleglen d aman imerɣanen, leqwaɛi ittṣaben ideg d-tmeɣɣi lɣella iblulsen, timizar tinesbaɣurin d yiɛerquben ittarrwen bla ceḥḥa ; deg yimir igelled lwali ala ɣef yijdi. S wakka, Cciṭan d amerkanti ; ma d Saint-Michel, d aẓawali am umneṭri. Seld kra yiseggasen n lḥif d tgullelt, irfa si tɣawsiwin-a, imxemmam ad imtawa akked Cciṭan, maca taluft mačči d tin fessusen imi aɛefrit-a d win ijgugulen di lexwayer-is. Imxemman s teɣzi n setta wagguren ; sakkin, yiwet tsebḥit, irza ɣer lberr. Illa Yiblis itečč4 aḥlul sdat tewwurt-is, mi iwala imqeddes, izreb ɣer-s ad t-immager, imir-imir issuden adda n lekmam-is, iɛreḍ-it ad ikcem, rnu ifka-yas ayen ara t-id-isṭurrcen. Segmi iswa Saint-Michel akus n uyefki, irfed awal : — Usiɣ-d akken ad ak-ssumreɣ yiwet temsalt inefɛen. Cciṭan, d bu niyya kan wer nesɛi tiḥerci, irra-yas : — Iwulem-iyi. — A-t-ah ; ad i-teǧǧeḍ akk tamurt-ik. Iḥceṛ Yiblis, ibɣa ad d-immeslay : — Maca… Ikemmel din-din Saint-Michel : — Esl-d qbel ! ad i-teǧǧeḍ akk tamurt-ik ; ad ledhuɣ d uḥraz, d uxeddim, d tkerza, d uzraɛ, d uɣebbwer akked kra illan, sakkin ad nebḍu lɣella mzeggen. Neɣ d acu tenniḍ ? Cciṭan, di ssber ines d alexxax, iqbel ; acu kan issuter ad as-dirnu kra yiselman bninen i digemmer di tamiwin i d-izzin i Yiɣil aywenni. Saint-Michel iṛeggem-as s yiselman. Mxemmasen, ssusfen d idis akken ad d-seknen belli mtawan msefhamen, ikemmel yimqeddes inna : — Esl-d ! ur bɣiɣ ara ad teččḥeḍ fell-i neɣ ad i-tezzmeḍ. Fren ayen i tesmenyafeḍ : lɣella ara yilin nnig tmurt neɣ tin ara d-yagaren ddaw tmurt ? — Ad ddmeɣ tin ara yilin nnig tmurt. — Nemsefham. (i yas-inna Yimqeddes) Sakkin iruḥ. Zrin setta wagguren, ur illi deg ugni awesɛan n Cciṭan ala tixizzutin, tileftin, tibeṣlin, aṣalsifis akked yimɣan uɣur aẓar afwayan ilhan abninan, ma d ifer nsen ur iṣliḥ anagar i uɛlaf n yiɣersiwen. Cciṭan, ur t-id-iṣaḥ yiqiḥ, ibɣa ad ifsex amtawa, iḥseb Saint-Michel d ‘‘bu tmenqas’’. Maca Imqeddes yufa-yas lbenna i tfellaḥt ; izzi ɣer Yiblis innayas : — Ḍemneɣ-ak ma xemmeɣ i wacemma, ayagi yusa-d kan akka bla ttɛamud ; ur telli d tuccḍa-w. Rnu, akken ad ak-d-ɣermeɣ, ad ak-ssumreɣ ad teddmeḍ aseggasa ayen akk illan ddaw wakal. — Qebleɣ ayagi. (i inna Cciṭan) Di tefsut i d-iḍefren, tajumma n yigwnan akk n Ṛṛuḥ imceṛṛi, dlen-tt yirden iččuren, taẓekkunt tafwayant annect n tninayin, lkettan, lkuẓa5 ameqran, iffis azeggaɣ, tajilbant, lekwṛemb, tifeɣwa d wayen ifessun s umata i yiṭij d imenda neɣ d iguma. Cciṭan iwumi ur d-iṣaḥ wacemma tikkelt tis-snat, irfa ayen din ! Ijmeɛ ilmaten-is d yifelḥan-is, rnu isɛuẓẓeg s umata ɣef yisumren imaynuten n unarag-is. Immed useggas. Ibedd Saint-Michel s ufella n teɣremt-is, iskad tamurt tawesɛant taṣabant6, ittwali Cciṭan mi ittwellih lxedma, isserwat, ilewwi, issexzan lɣellat. Saint-Michel, igren icḥen, irfa yuref imi ur izmir i kra ; ur izmir ara ad ikellex i Cciṭan tikkelt tiskraḍt, iɣtes ad d-yaɣ llza, iɛna-t ad t-id-iɛreḍ ɣer yimensi i wass n letnayen i d-iteddun. — Ur tecriheḍ ara di tfellaḥt-nni i yaɣ-izdin, (i yas–inna) ḥsiɣ s waya ; maca ur bɣiɣ ara ad dtegri gar-aneɣ cceḥna, tin ɣer-s ssarameɣ ad d-taseḍ ad temmensiḍ yid-i. Ad ak-seččeɣ lerbayeḥ ilhan. Iqbel Cciṭan imir-imir imi aseqḍiḍ-is am tluxxext-is. Deg wass n usihar, ibges Cciṭan ilṭec, iwwi abrid n Yiɣil. Isɣam-it Saint-Michel ɣer tgida taxlaft. Ibda-yas s umetred iɛeččren d ijajuren n yiyuzaḍ d tqinsyiwin, s tkurin d tɛeṣbanin n uksum n uḥelluf, sakkin sin yiselman imeqranen s twaracin n teklilt, sakkin yiwet tdandunt tamellalt teččur d aqesṭel7 ilman di ccrab, sakkin yiwet tmessaḍt n ucedluḥ tafesgant am ungul, sakkin d izegza ifessin deg yimi akked uɣrum ilhan iḥman ittfuṛṛun d tafenda n wudi. Swan ssidr amsari bu ukuffit d tiẓedt, d waman n tẓurin izeggaɣen isekkṛen, rnu seld yal aḍajin n tmečča, tessen aman-ntudert n teffaḥ. Isgwergwir Cciṭan isgaḍ am ucbayli, armi itt-ikker waẓ-akkin, indeh-as uɛebbuḍ-is. Dɣa Saint-Michel, iwwet ikker s tɣara muhaben issexlaɛen, isreɣreɣfell-as : — Ṭṭixer sdat-iii ! Ṭṭixer sdat-i a lǧayeḥ ! tɛemmdeḍ … Ṭṭixersdati... Inceggal Cciṭan irwel, ma d Saint-Michel, iddem ɣer-s iqwi, isqerqer-it. Ttazzalen gar texxamin, tezzin i teɛreṣtin, ttalin tikeddanin n beṛṛa, ttṛabaɛen ɣef yicerfan d lkifan, ttneggizen si tregragt ɣer tregragt. Cciṭan ameɣbun, illa di yir tagnit ; yuḍen itfegget, irewwel kan, isxeḍ akk tanezduɣt n wuɣris. Di taggara yufa-d imanis ɣef ssḍeh aneggaru, - iwsawen akk - anda istewɛa ɣef ubuɣaz ameqraḥan s yiɣerman-is iggugin, s yijdi-is d yimerjan-is. Ur izmir ara ad irwel nnig waya ; imekken-as yimqeddes s azagur s yiwet tyita n uḍar tudɣilt i tiɛellan deg yigenni am ddabex. Izzerzef di tegnawt am umeẓrag, iɣli ibbeɛzaq sdat yiɣrem n Mortain ; ntan wacciwen n unyir-is d waccaren n yifassen-is d yiḍarren-is s telqey deg ucṛuf iḥerzen d lebda lǧerrat n uɣelluy-a n Cciṭan. Ikker-d isquḍur, - iqucceḥ ar taggara n zzman - iskad ɣer lebɛed Iɣil n lqedra iɛǧeǧǧin deg yigenni am uqincur deg yimir n uɣelluy, iḥsa dakken ittwarna d lebda deg umennuɣ-a ur nemɛadal, iruḥ izzuɣur akesluḥis, iwelleh ɣer tmura iggugin, iǧǧa i ucengu ines tiferkiwin-is, iɛerqyab-is d tzuɣar-is akked yilmaten-is. A-t-ah wamek Saint-Michel, amestan n Yinuṛmundiyen irna Cciṭan.’’ Yiwen uɣref-niḍen, issugen-d ṭṭrad-a, akken-niḍen. Tasuqilt : 16-02-2011 GM : Awalen ibubben titrit (*), d isumren (propositions). Ahmed Hamoum 1 * Abuɣaz : amur si lbeḥer ikecmen di lberr (= une baie). 2 Amkerriw < amkerra : « ayen i dtettak tezmert taṛebbanit (= le miraculeux). 3 Tessureg : tefka turagt, ttesriḥ (= autoriser). 4 > Itečč : ad t-naru akka xas neqqar [itett]. 5 Lkuẓa :d tawsit n lekremb bu ujeǧǧig awraɣ uɣur zerriɛa iseg dittwakkas zzit (= le colza). 6 Taṣabant : tin iṣaben, ideg tewwet ṣṣaba (= féconde) ; tamurt ideg igget ukasa d waman (= la savane). 7 Aqesṭel : abelluḍ n Uṛumi (= la châtaigne) Monde 10 u La Cité Jeudi 28 mai 2015 Les forces irakiennes tentent d’encercler Ramadi avant de lancer l’offensive Terrorisme. Les forces irakiennes soutenues par des milices chiites tentaient mercredi d’encercler les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) à Ramadi reprenant plusieurs secteurs autour de cette ville stratégique avant d’y donner l’assaut. opération visant à isoler l’EI dans la province occidentale d’AlAnbar dont Ramadi est le cheflieu, a été lancée mardi mais le choix du nom à forte connotation confessionnelle a déplu aux Etats-Unis, un allié du pouvoir irakien. Les autorités irakiennes ont promis de reprendre Ramadi, la capitale de la plus grande province d’Irak, conquise le 17 mai par les jihadistes après une retraite chaotique des soldats et policiers. Sa perte a constitué un important revers et poussé Bagdad et Washington à revoir leur stratégie antijihadistes. L’EI contrôle la majorité de la province d’Al-Anbar où il s’est implanté depuis janvier 2014, cinq mois avant l’offensive fulgurante qui lui a permis de s’emparer d’autres vastes régions à l’est et au nord de Bagdad. Dans le cadre de l’opération lancée mardi, quelque 4.000 hommes -soldats, policiers, miliciens chiites, et membres de tribus sunnites- se sont dirigés du sud de la province de Salaheddine vers la province frontalière d’Al-Anbar où ils ont avancé en direction de Ramadi. Des combats ont éclaté entre forces irakiennes et jihadistes dans deux secteurs de l’autre côté de la route principale entourant Ramadi, selon des responsables. L’ Couper le ravitaillement «Les combats ont forcé l’EI à fuir» et les forces irakiennes et les milices chiites «ont pris le contrôle total des quartiers d’AlTaech et d’Al-Hmeyrah», a indiqué un colonel de l’armée. Elles ont aussi réussi à entrer dans l’université mais doivent encore la libérer». Selon Raja al-Issaoui, membre du conseil provincial d’Al-Anbar, la reprise de ces deux secteurs au sud de la ville était «importante pour couper les lignes de ravitaillement» de l’EI. D’autres unités ont pris position à quelques kilomètres à l’est de la ville, et d’autres avancent à partir du nord en direction de Ramadi. L’objectif est d’encercler les jihadistes avant de donner l’assaut à la ville. Avant le lancement de l’opération, les forces irakiennes avaient réussi à reprendre une partie du territoire à l’est de Ramadi et à avancer à partir de l’ouest. L’EI entretemps renforce probablement ses défenses en disposant partout dans Ramadi des explosifs, comme il le fait dans chaque ville conquise. Pour l’aider à chasser les jihadistes de Ramadi située à une centaine de km à l’ouest de Bagdad, le Premier ministre Haider AlAbadi a fait appel aux Unités de mobilisation populaires (Hachd al-Chaabi en arabe), force paramilitaire à majorité chiite qui a déjà aidé l’armée face à l’EI. L’EI chassé de villages en Syrie Il avait choisi auparavant de ne pas les faire intervenir dans Al-Anbar pour ne pas s’aliéner la communauté sunnite majoritaire dans cette province, alors que les tensions confessionnelles minent le pays. D’ailleurs, le choix du nom donné à l’opération «A tes ordres Hussein» par la coalition chiite a déjà grandement irrité le Pentagone. Hussein est l’un des imams les plus vénérés par la communauté musulmane chiite, majoritaire en Irak. «Je pense que cela n’aide pas», a commenté le Pentagone. «La clef pour la victoire, la clef pour expulser l’EI de l’Irak est un Irak unifié, qui se débarrasse de ses divisions communautaires». La Maison Blanche avait auparavant cherché à apaiser les tensions avec Bagdad dont l’armée a été accusée d’un «manque de volonté» face à l’EI par le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter. Même si le pouvoir irakien s’est indigné des accusations américaines, il reste que des failles dans le commandement militaire et les faibles moyens expliquent en partie la retraite chaotique des soldats de rés depuis moins d’un an de régions du centre, de l’ouest et du sud du pays, et de la capitale Sanaa, forçant le président Abd Rabbo Mansour Hadi à s’exiler en Arabie saoudite et déclenchant fin mars une offensive aérienne de la coalition arabe dirigée par Ryad. D’autres avions ont frappé mercredi une base navale tenue par les rebelles dans la province de Hodeida (ouest), sur la mer Rouge, qui, selon des habitants, a été sérieusement endommagée. Des positions rebelles dans la province de Hajja, frontalière de l’Arabie saoudite, à Dhamar (centre) et à Mareb, à l’est de Sanaa, ont été également visées, ont indiqué des témoins, faisant état de victimes. Dans la province de Dhaleh (sud), la coalition a lancé des raids contre un camp militaire de la région de Qaatabeh, tenu par les rebelles, selon des témoins. Ces raids ont été menés en soutien aux combattants de la résistance populaire --un collectif hétéroclite de forces anti-rebelles, dont des tribus sunnites et le Mouvement sudiste (sécession- 20 n yiseggasen tura ɛeddan seg wasmi i yekcem uselmed n tmaziɣt deg uɣerbaz azzayri. Ass-a, aɣlif n usegmi yessexdem tlata n yigemmayen mxallafen : taɛrabt, tifinaɣ, talaṭinit, deg yidlisen i d-yessuffeɣ i yinelmaden. Deg unnar, aselmad n tmaziɣt yuḥwaj aṭas n yimekwan akken inelmaden akk n Lezzayer ad ɣren. S wuguren am wi, amek i yettwali Mass amaswaḍ aselmed-a ? udef tmaziɣt ɣer uɣerbaz s tuffra am yimekreḍ. Ur yelli kra i yettuheggan i uselmedis : ulac idlisen, ulac ihallen, ulac ikayaden, ulac-itt deg tsemras n wakud rnan fkan-tt i yiswiren yesɛan ikayaden di taggara n useggas (9èmeAF d 3ème AS) akken qqaren fkantt-id s ufus azelmaḍ, kksen-tt s ufus ayeffus. Ay-agi akk, akken ad teqqim anda tebra. Deg 95, nebda-tt-id seg umya[1]. Nekcem iɣerbazen s yifassen d ilmawen (anagar lebɣi i yellan) rnu-as uguren n uslugen[2] d wassar[3] n yifecka. Ma tamaziɣt tella ass-a, deg uɣerbaz, tajmilt ad tuɣal i yiselmaden inazbayen n tesmilt Lmulud At Mɛemmer i ibedden mgal tixidas n udabu. Tamuɣli n udabu ɣer tmaziɣt ur yelli kra i ibeddlen deg 20 n yiseggasen-a yezrin armi d ayyuren-a ineggura, i tebda tneɣlaft BENƔEBRIT tettak-d udem yelhan i tmaziɣt : tella d aɣebbar s allen kan, acuɣer ? ulac deg umaḍal merra anda tutlayt n tyemmat bdan-tt, “T Ramadi. Et les frappes menées depuis 2014 par une coalition internationale dirigée par les Etats-Unis contre ses positions en Irak et en Syrie voisine n’ont pas empêché l’EI d’avancer dans ces deux pays, notamment dans Al-Anbar frontalière de la Syrie. Fort de dizaines de milliers d’hommes et responsable d’atrocités, l’EI a profité de la guerre civile en Syrie pour prendre le contrôle en 2013 de vastes régions et il occupe désormais la moitié du territoire selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). L’EI était néanmoins sous pression également en Syrie où les forces kurdes ont chassé ses combattants de 14 villages chrétiens assyriens qu’il contrôlait dans le nord-est de la Syrie à l’issue d’une offensive de 10 jours selon l’OSDH. 36 morts dans des raids sur Sanaa, l’ONU relance ses efforts de dialogue Yémen. Des raids de la coalition arabe au Yémen ont visé mercredi à Sanaa le QG des forces spéciales, alliées aux rebelles Houthis, faisant 36 morts et une centaine de blessés, au moment où l’ONU relançait ses efforts pour réunir les belligérants. Des avions de combat sous commandement saoudien ont survolé à plusieurs reprises la capitale Sanaa, avant de bombarder le QG du commandement des forces spéciales, et un dépôt d’armes à Fajj Attane, une colline surplombant la ville dans le sud-ouest, selon des témoins. Les raids contre le QG des forces spéciales, alliées aux rebelles chiites Houthis, ont fait des dizaines de morts et de blessés, ont indiqué des sources médicales sans donner de bilan précis. L’une de ces sources, interrogée par l’AFP, a cependant fait état de 36 morts et d’une centaine de blessés parmi des militaires. A Fajj Attane, le dépôt d’armes, déjà bombardé à plusieurs reprises, a encore été visé par des frappes, selon des témoins. Venus de leur fief de Saada (nord), les rebelles, soutenus par l’Iran, se sont empa- Asteqsi i Mass Ɛli Lunis ɣef uselmed n tmaziɣt niste)--, qui tentent de reconquérir ce camp, ont ajouté ces sources. Le camp est situé à 30 km au nord de la ville de Dhaleh, que des membres de la résistance populaire avaient affirmé mardi avoir reprise aux miliciens chiites. Les combats dans la province de Dhaleh ont fait plus de 50 morts, a indiqué mercredi un responsable local. L’aviation de la coalition a intensifié ces derniers jours ses frappes contre des positions et des sites militaires tenus par les miliciens et leurs alliés, des unités de l’armée restées fidèles à l’ancien président Ali Abdallah Saleh. Des pourparlers de paix sur le Yémen, prévus jeudi à Genève à l’initiative de l’ONU, ont été reportés sine die. Le président Hadi a exigé un retrait des rebelles de Sanaa et des villes conquises avant la reprise de tout dialogue. L’ONU a fait savoir mardi qu’elle relançait ses efforts pour convenir d’une nouvelle date pour ces négociations. Le secrétaire général de l’ONU Ban Kimoon «travaille activement pour convoquer ces pourparlers au plus tôt», a déclaré son porte-parole Stephane Dujarric. «L’objectif principal est de réunir les parties (en conflit) autour de la table et d’arrêter les combats», a-t-il ajouté, prévenant que tout retard aggraverait la crise humanitaire. «Comme dans tout conflit, ce sont les civils innocents qui payent le prix fort», a dénoncé la directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan. Le conflit a fait près de 2.000 morts et 8.000 blessés, «dont des centaines de femmes et d’enfants», a-t-elle ajouté dans un communiqué, précisant que «7,5 millions de personnes ont besoin d’urgence d’une assistance médicale». «Des hôpitaux ont fermé leurs services d’urgence» car «ils manquent de personnel et de carburant», a-t-elle déploré. Le Haut comité de secours, mis en place par le gouvernement yéménite en exil, a estimé les besoins urgents du pays à 211 millions de dollars pour la remise en état du réseau électrique et à 113 millions de dollars pour celui de l’eau potable. deg useggas wis 4, deffir 2 n tutlayin tiberraniyin. Anagar di Lezzayer i yeḍra way-a. Lemmer i terbiḥ, yili adabu ad d-yessuter smaḥ, ad yernu ad d-yefk allalen issulfen i usnerni d usnefli n tmaziɣt, netta yeggar-d uguren d yilɣilten akken ad tt-yerẓ. Ɣas adabu, ur yesɛi ara lebɣi akken ad yefk adeg i tmaziɣt. Ɣas yeskerhi-tt i ugdud azzayri, Ɣas ggten wuguren am wi: asemres n 3 n yigemmayen ; - tikci n turagin i yinelmaden akken tt-qqaren ara; - amuskir d ameẓẓyan (coefficient 2, insuffisant) ; akud n 3 timar (meẓẓi i uselmed n tutlayt) Ɛmara Ɛebdreḥman ameɣnas aqbayli ur nessin ɛeyyu Dda Ɛmara Ɛebdreḥman d yiwen seg waṭas n yimeɣnasen iqbaylien i yettilin yal tikelt deg unnar, d ameɣnas n tugdut, talakt, izerfan d tlelliyin n umdan akked umeslay. Ilul deg Leɛzib (Tabelluṭ-Aweqqas), yeɣra di tmurt n Biljik imi yfuk yuɣal-d ɣer wakal n yimawlan-is asmi i as-d-tessawel tmurt n Yiqbayliyen i yuyer aṭas ihi ugar n 20 n yiseggasen aya netta d leqdic d anadi ɣef yidles d tɣerma-nneɣ tagejdant, yekkerd gar snat n tdukkliwin tidelsanin Azday Adelsan n Uweqqas akked Tidukkla n Reḥmani Sliman, yemmuɣnes deg umussu adelsan amaziɣ yelḥa deg waṭas n tikliwin mgal adabu amesbaṭli n Wejda iga aṭas n yisaragen d temliliyin ɣef tumast-nneɣ d wansayen-nneɣ yezga yettwessi ilemẓiyen yemmal-asen iberdan yelhan yettil d aɣen deg yigrawen id yettilin ilmend n yibeddi ɣer yidis n wid yenḥafen am yibeddi ɣer yidis n watmaten-nneɣ imẓabiyen,ibeddi ɣer yidis n yikurdiyen d yimasiḥen n Lɛiraq,...id yeḍran yakan deg temdint n uweqqas anda id yetta-k yal tikelt tamuɣli-s d wayen yettḥulfu,rnu ɣer waya akk Dda Ɛmara Ɛebdreḥman d amedyaz yettaru s tefransist d teqbaylit,u yettheyid tullist s wazal-is,iheya-d yiwen n udlis netta akked mass Meǧ- dub Naṣir ɣef tudert d tmeddurt n umaru aqbayli ameqran Dda Reḥmani Sliman imi niqal ad yeffeɣ deg ayyur-nni n unbir 2014 ilmen n umuli wis 50 n tmettant-is d acu kan anemhal teẓrigin n tafat yerra-yasent ur t-id yessufeɣ ara ur neẓri ara d acu yellan...Dda Ɛmara Ɛebdreḥman ɣas akken imɣur ccib yečča aqerruy-is d acu kan mazal yettnaḍaḥ ɣef wayen yellan d agla-s u yerna d win yessnen ansayen akken iwata u yessaram talalit n uwanek aqbayli,ad smektiɣ i yimeɣriyen-nneɣ d akken deg ussan id itdden ad awiɣ awal ɣef gma-s anaẓur Dda Ɛmara Ḥsen,deg taggara ihi ayen bɣuɣ uriɣ-d ɣef Dda Ɛmara Ɛebdreḥman ẓriɣ d akken d awezɣi ad segzuɣ ayen akk iɣef yeqdec,ad as iniɣ tajmilt-ik d tageɛmirt a win iḥerzen agla n yimawlan u sarameɣ-ak tudert ɣezzifen yeččuren d talwit d tumert acku taqbaylit teḥwaj-ik u nekni neḥwaj-ik. Iɣil wis assar n yiselmaden. Aselmed n tmaziɣt yedda, yennerna, a-t-an yettaẓ ɣer sdat, yal aseggas. Aselmad n tmaziɣt, abrid-is yessa d isennanen, yeččur d ilɣiten ; yuwi-d ad ixeddem iḍ d wass akken « ad d-yesnulfu » timsirin-is, acku kra ara yesselmed d amaynut. Nessaram s usbeddi n tesmilt MEN/HCA ad d-ldin tewwura, ad ibeddel waddad n tmaziɣt, ad d-tili tifrat i yal ugur : tamaziɣt, ad taf adeg i as-issulfen deg lezzayer. _________________________ [1] Ex nihilo [2] Standardisation [3] Manque Tugna n wass-a 20 n yiseggasen segmi i d-yennulfa useqqamu unnig n Timmuzɣa. Aṭas n lecɣal i ssawḍen ad selḥun ɣer sdat ɣas ulamma aṭas n yiɛewwiqen i d-ttmmagaren deg ubridnsen. Ilmend n waya, Tiɣremt d wid merra yekkin deg-s, ad yesnemmir kra n wid i iqeddcen deg-s. Amulli ameggaz. Culture Culture 12 u La Cité La Cité Jeudi 28 mai 2015 Jeudi 28 mai 2015 u 13 Ouchene Smaïl à La Cité «Je suis venu au monde dans une nuit d’enfer !» Avant propos. Voilà quelque temps déjà que j’essaie de trouver un moment pour dialoguer avec mon voisin, l’artiste Smaïl Ouchene. Le coincer entre deux phrases bien serrées comme un café-presse pour le livrer à mes lecteurs. Apparemment, son nom et sa naissance ont dépeint sur son caractère et sa manière de vivre : furtif, sauvage et sibyllin. Rencontre avec l’artiste Par M’hamed Hassani omme le temps, il se faufile entre les saisons. Ah ! Le coincer entre mes deux doigts, le transformer en roseau, le presser jusqu’à lui faire parler le langage des mots… Non, rien ne sert de le presser, me suis-je dit. Surtout pas le presser, le stresser, me disais-je entre deux gorgées. Il viendra un jour s’allonger, fatigué de fuir. Il viendra se reposer après une frénésie de couleurs. Alors, là, je le prendrais à l’envers, la tête en bas et on parlera de la terre et des cieux ! Ce jour-là, le verbe et la couleur, dans une danse jouissive, feront éclater les frontières de ce qui reste d’indicible dans notre quotidien risible. Ce quotidien, pourtant si riche en signes, certes invisibles pour l’homme pressé, accablé, tourmenté, jamais lâché par ses pairs, pour un moment de répits, de communion avec son idée, son rêve inédit, sa joie enfouie dans les tréfonds de sa vie. Cet homme, pourtant toujours lâché au moment où son regard cherche sa paire pour labourer l’espoir et semer l’amour ! Ce jour-là, nous confierons à la couleur, le sens de nos douleurs et au trait la trajectoire de nos communes certitudes. Ce jour-là est là. L’artiste a bouclé son cycle et attend de loger dans vos regards éveillés, ses couleurs en transe. Et puis la couleur se déverse dans l’encrier de notre enfance occupée à dessiner des horizons renouvelés à l’infini. Danse, tourbillonne pinceau ; Aspire, inspire plume, Le signe se répand dans l’espace, comme les chiffons votifs de nos femmes, accrochés aux branches de l’olivier séculaire qu’on « débranche » aujourd’hui pour le plaisir de paraître dominer la nature ! Que les masques authentiques se révoltent devant les visages hypocrites et envahissent les rues pour dire halte aux massacres aux noms d’idéaux qui ravivent l’ignominie humaine ! Que le verbe entre en transe devant une terre maternelle et charnelle, suspendue en l’air sur un brouillard de rires et de caresses vibratiles et que la couleur surligne notre furtive vie d’arrière-plan. Quand le verbe et la couleur dans une étreinte exponentielle, féconde l’espace sidéral, la réalité quotidienne se soigne sans difficulté : juste retour au naturel. Le voilà ce jour arrivé, je vous le cède en(tre) deux pages ! MH C Ces questions précises sont venues après plusieurs discussions à bâtons rompus avec lʼartiste Smaïl Ouchene. Entretien. La Cité : Parle-nous de ton parcours : Smaïl Ouchene : « Je ne peux pas parler de mon parcours si je ne parle pas de mon enfance. Naître avec un sixième doigt à la main droite était déjà significatif pour l’artiste que je suis devenu aujourd'hui. Un sixième doigt mitoyen du pouce, jouant le rôle d'un pouce. Un tandem de pouces dans une seule main. Un autre événement, auquel je donne encore plus d'importance, est bien celui de ma naissance. Selon le témoignage de ma vénérable mère, je suis né dans une nuit infernale. Pendant que les gens du village cherchaient un peu de clémence dans des endroits qui peuvent leur offrir une piètre fraîcheur. C’était un 18 août à 22 heures, la température avoisinait les 40 degrés. Conséquence d’un immense incendie qui dévorait les montagnes des alentours, de Jijel jusqu'à la Soummam. C’est dans cette fournaise que je suis né. Ma mère m’a mis au monde à la maison, à la manière traditionnelle. Elle venait d’avoir ses dix-huit ans et accouchait de son premier enfant, assistée par deux vieilles accoucheuses du village, des qablate comme on les appelle. Je suis venu dans ce monde dans une nuit d’enfer. Il a fallu la sagacité et l’efficacité de ma grand-mère qui commandait aux hommes de ramener de l’eau fraîche de la fontaine pour me permettre de survivre. Pour cela, grand-mère me mettait entre deux cruches d’eau fraîche. Dès que celles-ci perdaient leur fraîcheur, les hommes repartaient à la hâte les remplir à la fontaine. Pendant ce court intervalle, le temps de ramener les cruches fraîches, ma grand-mère me posait sur un tapis de prière et me faisait glisser sur le sol en terre de la chambre encore frais pour m’aérer.» Tes premiers balbutiements dans l’art ? «Alors que je n'avais pas encore cinq ans, je dessinais dans une rivière pas loin de la maison. Je dessinais seul dans une nature sauvage sur des carreaux de sol en terre cuite que je volais à mon voisin qui construisait alors sa nouvelle maison. Mes outils étaient des cailloux colorés que je trouvais dans les sédiments généreux charriés par ce cours d'eau. Dira-t-on que la difficulté de naissance et la difformité du corps prédestinent quelqu’un à l'art ? Le grand souci de la nature est-il de faire ses propres réparations ? L’art serait donc la réparation de l'être. Ma scolarité était régulière, j’ai réussi à tous mes examens avec un niveau moyen. Ce qui est intéressant aussi, c’est que j'ai dessiné tout le long de ma scolarité, usant des outils scolaires de l'époque : crayons HB, crayons de couleur, feutres et aquarelles. J’excellais aussi dans les représentations scientifiques, anatomies et histologies ainsi que les cartes géographiques. J’ai acheté ma première boîte aquarelle et un pinceau "Raphaël" chez Zizi Zoubir en vendant des noix de pécan alors que j'avais 14 ans. Au secondaire, on m'a envoyé au technicum d'Iheddaden en chimie générale. Bachelier en chimie, j’ai essayé de faire pharmacie, mais j’ai raté le concours d'entrée à la faculté de Senia à Oran. Alors, je levé tous comme un seul homme, main dans la main, filles et garçons, brandissant nos slogans ainsi que les cerveaux en carton avec des taches rouges sur des manches en bois, direction l'Observatoire national des droits de l'homme. En tête de la marche se trouvait le président de notre comité, un sculpteur de Béjaïa notre ami et camarade courageux Graïne Abdeslam (Bislam pour les intimes). Je me souviens de lui, muni d'un tube conique en carton en guise de haut-parleur, il hurlait à tue-tête des slogans en bravant les CNS et policiers qui ont investi les trottoirs avec leurs armes de guerre. La marche grossissait avec l'adhésion d'autres citoyens se trouvant sur place. À chaque coin de rue où on trouvait des CNS postés, les étudiants mettaient des marguerites jaune et orange, cueillies dans le jardin de l'école, dans les canons de leurs fusils. La marche se termine sur la place AddisAbeba avec un grand rassemblement, toujours brandissant nos accessoires. Ce jourlà, Saïd Saâdi et Hachemi Chérif, sortis d’on ne sait où, avaient pris la parole. On se dispersa en fin d'après-midi, débarrassé de nos peurs et fiers d'avoir bravé le pouvoir. C’était une marche contre l'assassinat des intellectuels, des journalistes et contre l'intégrisme.» me suis satisfait de m'inscrire en chimie industrielle à Béjaïa. Mais la relation à l'art était toujours présente. Je peignais et je dessinais au Centre culturel universitaire dès son inauguration en 1990. Diplômé en 1992, je redeviens berger avec une petite fréquentation de l'association Rahmani-Slimane où j’ai essayé d'animer un atelier d'art plastique. Absence d'adhérents réguliers, je décide alors de rejoindre l'Ecole supérieure des Beaux-arts d'Alger malgré le refus des parents. Cette année pastorale m'a permis d'ouvrir les yeux sur le monde. En gardant mon cheptel, je fréquentais les vieux retraités du village et je lisais beaucoup. Littérature, poésie et histoire. Je faisais du modelage avec de la terre argileuse que je puisais dans les prés. Une fois à l'Ecole des Beaux-arts, le monde changea tout d'un coup ! Je suis dans le rêve lui-même, je suis à Alger et fasciné par ce nouveau décor. Un scientifique et berger de naissance plongé dans son rêve dans des espaces paradoxaux. Le terrorisme, la décennie noire et l’art. Avant de rejoindre l'école, on traverse chaque matin une ville torturée avec une peur au ventre. Ce qui est bien c’est que je savais où j’allais. Cette école m'a permis d'être moi-même ; je participais dans de petites expositions. Mais mon premier baptême de feu était une exposition avec mon prof de peinture Abdelmalek Madjoubi à l'hôtel El Aurassi en décembre 1997. Quoi que j’aie déjà exposé lors de l'inauguration de la Maison de la culture de Béjaïa en 1995. Là, ce sont les buts bien avant que je termine mes études d'art. En 1998, lors de sa visite à l'Ecole supérieure des Beaux-arts d'Alger, Jacques Lang fait halte devant mon travail dans l'atelier Issiakhem où on a longuement discuté. Il a été retenu par mon travail de l'époque et m'avait fait des éloges consistants. La confirmation va se faire en France: exposition personnelle à Seine-surMer (Toulon) en mars-avril 2006, suivi d'une honorable participation à une exposition qui a réuni 30 artistes européens organisés par Serge Maillet, le directeur de l'Ecole supérieure de Toulon. » Parle-nous de l’assassinat de Assellah, directeur de l’Ecole des Beaux- arts d’Alger. «J’étais en première année, Assellah était mon directeur depuis 6 mois. Mais, à mon arrivée, j’ai trouvé déjà une contestation estudiantine à son égard. Caricatures triviales, grèves et assemblées générales organisées par le comité autonome qui portaient sur la reforme des programmes pédagogiques. Une lutte acharnée qui a abouti à l'organisation d'un congrès portant sur les réformes, en ce qui concerne la formation et le contenu des programmes au niveau du ministère de la Culture, auquel, malheureusement, Assellah n'assistera pas. Il sera assassiné bien avant cet acquis réel des étudiants. » Le jour de son assassinat, que s’est-il passé ? «21 ans déjà ! C’est comme si c'était hier, je me souviens très bien de cette matinée brumeuse et opaque du samedi 5 mars 1994, le Ramadan tirait à sa fin. L’Aïd el-Fitr approchait comme une promesse de délivrance. Hélas, ce qui ne fut pas. 9 h du matin, tout en sueur, j'avalais les nombreux escaliers qui mènent au premier étage de notre école, là où va se dérouler notre examen de dessin. Les copains se trémoussaient dans l'atelier, chacun de nous cherchait à trouver le meilleur point de vue devant le modèle qu'on devait dessiner ce jour-là. Mais à peine a-t-on installé nos cartons à dessin et dans ce grincement continu des chevalets à ajuster, nous entendîmes des coups de feu. 9 h 15 min, trois coups et un quatrième plus espacé, mais difficile à localiser, on croyait que ça se passait en dehors de l’école, du côté de la rue Bouguerra. Toutefois, les cris déchirants de Nadia annonçaient la tragédie qui se passait pourtant sous nos pieds. En toute hâte, comme un dingue, je dévalais les escaliers comme une étincelle, pour me retrouver quelques secondes après, seul devant deux corps allongés inanimés. Premier arrivé sur les lieux ! Abasourdi, je scrutais le corps de Assellah. Sa tête baignait dans une mare de sang mêlé à sa salive sur laquelle flottaient encore ses lunettes de vue.» Si on revenait sur la marche des étudiants des Beaux-arts au printemps 1994 ? «C’était un 14 avril 1994, elle coïncidait avec le 40e jour de deuil du défunt Assellah. Depuis son assassinat, on n’a pas eu cours. Ce jour-là avait pris une ampleur inespérée. Après la fin des vacances scolaires du printemps, un grand nombre d'étudiants encadrés par le comité ont investi l'atelier de sculpture de l'école. Dans cet atelier, on a écrit toutes les banderoles, les slogans, des maquettes sous forme de cerveau. Le jour de la marche, on était descendus en masse bien serrée, portant tous, sur nos têtes des guirlandes de marguerites jaunes et oranges et des feuilles de lierre. Nous avons investi la rue Krim-Belkacem devant le portail de l'école. Nous étions tous assis sur la chaussée. Le dispositif sécuritaire arriva aussitôt. Malgré l’existence de la loi promulguée contre les marches, aucune tentative de répression n'a été faite. Avec la faim et la peur d’éventuels dérapages, on s'est Tu es enseignant à l'Ecole des Beaux-arts d'Azazga, tu veux bien nous en parler un peu ? « Cette école qui a été ouverte du temps de Assellah a été fermée deux ans après son assassinat. Elle a été fermée du temps de Djahiche qui a remplacé Assellah. L’école a été fermée en 1994, pour des raisons sécuritaires disait-on ; cette école, située à la lisière d'une grande forêt, l'expose facilement aux incursions terroristes. Cependant, les étudiants scolarisés ont été réorientés dans les autres écoles nationales (Constantine-Oran-Mostaganem). Ouverte du temps de feu Belkaïd, elle sera réouverte en 1998 par Zahia Benarous, ministre de la Culture d'alors. La reprise des études a été faite l'année scolaire 1999/2000. En septembre 2000, j'ai déposé ma demande d'enseigner ; ce qui fut accepté et j'y exerce jusqu'à présent. Mon parcours dans cette école est long et pénible. 5 ans après sa fermeture, l'école d'Azazga reprend du service, mais cette fois-ci en tant qu’école régionale autonome. 23 ans après, l'école existe toujours, elle nous dit qu'elle est indestructible. Déjà un grand nombre d'artistes ont été formés dans ce lieu magique, et portent toute sa flamme en attendant d'autres. Mes hommages sincères à tous ceux qui on participés à la création de cette école et sa persistance.» Quel est le rôle socio-culturel des Ecoles des Beaux-arts en général et celle d’Azazga en particulier ? «C’est un investissement valable du fait qu'elle offre à l'individu un certain mode d'emploi en matière des compétences techniques et intellectuelles,et aussi de s'épanouir dans un univers esthétique, de vivre le rêve de la création de l'expression. Sur plan social, l'école apporte sa touche subtile dans notre cadre de vie, encore plus belle cette société qui adhère volontairement à l'esprit de ses artistes qui l'embellissent, qui chante sa bra- « Exponentiel » exposition de Smaïl Ouchene au centre culturel Mustapha-Kateb 05, rue Didouche-Mourad Alger du 16 mai au 06 juin 2015 voure, son combat pour les valeurs nobles ? Comme elle peut être un rempart efficace à l'acculturation. Comme elle peut être aussi un capital inestimable, car elle produit de la richesse, de l'activité et des idées nouvelles. C'est une école intelligente qui sauvegarde le statut de ses hommes libres. S'ils ne veulent pas l'être, l'art les fera avilir. L’art est une activité très sérieuse, car c’est la seule activité qu’on n’est pas obligé de pratiquer pour vivre. L’art est un catalyseur qui réside dans notre corps ; il accélère les processus, mais ne rentre pas dans la réaction chimique de la société. L’art ne fait pas une société, il galvanise une civilisation, érige ses images illuminées d'intelligence et d’humanisme comme œuvre ultime. L’art peut corriger le passé ; la création est du "refaire" en mettant en considération les besoins du contexte.» Un mot sur le statut de l'artiste qui fait beaucoup de bruit ces derniers temps ? «Le seul statut de l'artiste est celui de l'être humain, anatomiquement et socialement qui joue un rôle. On ne peut pas obliger quelqu’un à devenir artiste, on ne peut pas lui dessiner un rôle, car c’est lui qui le dessine pour nous. Réduire un artiste à un dossier administratif est l'une des choses les plus absurdes. Si l'art n'est pas encore défini, comment définir un artiste ? Il n'y a que l'artiste qui est libre dans notre monde actuel. Derrière le statut de l'artiste, il y a le moyen de maîtriser cet individu sans définition, imprévisible. Aucune société n'a prévu l'artiste, il naît ainsi et mourra ainsi. On n’est pas obligé de faire de l'art ni d'être artiste, celui qui éprouve de la difficulté dans l'art, il y a un océan de métiers devant lui. Il n’a qu’à choisir. L’artiste n'a pas besoin d'une institution pour l'être. Pour le statut, il reste encore du travail ; il faut définir l'art, l'artiste, son rôle et les limites de sa liberté. Désigner le champ d'action. Car j'en suis sûr qu'on veut faire de lui une statuette.» Et le mouvement Cobra ? «Par rapport au mouvement Cobra que je considère personnellement comme étant un mouvement de conscience, m'a toujours inspiré du fait qu'il opère un retour à l'état virginal de l'art selon le débat de l'époque à savoir le conflit entre la figuration et l'abstraction dans les années 40. Ce mouvement qui marque la rupture avec le surréalisme parisien va associer à l'art plastique la notion de l'écriture avec joseph Noiret et Christian Dotremont. Un regard sur les cultures considérées jusqu'alors comme primitives. Ce qui fait que le Cobra va s'internationaliser en intégrant les Caraïbes et l'Amérique du Sud au premier lieu grâce à certains artistes d'origine, comme Mata le Chilien, Lam le Cubain, Leroy Clark le Trinidadien. Par ceux-là le Cobra embrasse l'africanisme en méthode et en formes. Sans épuiser le sujet notre artiste s’est déjà éclipsé me laissant conclure seul par cet extrait de poème que son expo m’a inspiré.» Entretien réalisé par M’hamed Hassani De deux l’une Un calumet pour Sidi Rihan Un escalier pour monter au ciel Un rocher pour sʼexiler sur place Une mer en miroir Une mère en patrie Sens jubilatoire Au détour dʼun reflet Acte sublimatoire En retour dʼun dit Exigence de mémoire Ecrire aujourdʼhui Un oued comme voisin Une montagne en héritage Un écho lointain Une présence sur un rivage Un appel incertain Au fond dʼun coquillage Un coucher de soleil Un retour de voyage Rituels magiques Courses fantastiques Entrent en scène Des couples Qui tanguent Et sʼaccouplent Extrait de Ballade picturale Mars 2015 Mʼhamed Hassani Santé 14 u La Cité Jeudi 28 mai 2015 gestion en améliorant votre flore intestinale bénéfique. Echinacée Il se peut que vous connaissiez moins cette plante médicinale, mais elle est sûre et on la trouve dans de nombreuses cuisines. Il a été prouvé que la consommation de cette plante réduit le nombre de rhumes auxquels une personne peut être exposée au cours de sa vie, et raccourcit la durée des infections. C’est un excellent choix de la prendre à titre préventif. Elle renforce aussi le système immunitaire, anti-infectieuse, puissante pour traiter une infection déclarée et présente de nombreuses autres propriétés. Cahier culturel Ouchene Smaïl à La Cité «Je suis venu au monde dans une nuit d’enfer !» Chou Les antibiotiques naturels que nos ancêtres utilisaient plutôt que des pilules Astuces. Au cours des dernières décennies, la sur-utilisation des antibiotiques a atteint un niveau record. Le résultat: des bactéries résistantes aux médicaments, des « superbactéries » qui évoluent trop rapidement pour que les scientifiques parviennent à comprendre comment les combattre. On a déjà entendu parler d’un avenir où les bactéries seraient au sommet de la chaîne alimentaire. ien avant le développement des antibiotiques pharmaceutiques – développés dans les années 1940, il y avait des aliments et des herbes qui aidaient à se protéger des infections et maladies sur une base quotidienne. Beaucoup de ces protecteurs naturels sont encore en usage aujourd’hui avec les praticiens holistiques dans le monde entier. Nos ancêtres avaient également des solutions pour se guérir, l’utilisation d’antibiotiques de la nature et il serait profitable pour tous de nous rappeler ces antibiotiques-là et penser à les utiliser en cas de maladie. B Origan et huile d’origan Vous avez probablement utilisé l’origan pour aromatiser vos plats italiens préférés sans même réaliser les bienfaits de santé qu’il procure. Au-delà de ses propriétés antibactériennes, l’origan peut aider à la digestion et aider à la perte de poids. Il a été trouvé qu’une huile qui se trouve dans l’origan, le CARVACROL, lutte contre la bactérie qui peut conduire à des infections. Elle traite les infections digestives et même une infection à levures particulière. C’est donc beaucoup plus qu’une simple plante aromatique. Vinaigre de cidre Les avantages considérables de doses quotidiennes de vinaigre de cidre comprennent des propriétés antibiotiques et antiseptiques, l’alcalinisation naturelle de votre système et il peut vous aider pour tout, la gestion de votre poids, réduire le cholestérol et le risque de cancer. C’est un astringent sans produits chimiques qui peut être utilisé localement pour désinfecter et stériliser. Miel Les Romains utilisaient le miel sur le champ de bataille pour soigner les blessures et prévenir l’infection. Des civilisations du monde entier continuent à considérer le miel comme l’un des meilleurs antibiotiques naturels, antimicrobien, anti-inflammatoire, antiseptique, et connu de l’homme depuis des milliers d’années. Il a été prouvé que le miel Manuka de Nouvelle-Zélande a les plus hauts niveaux d’antioxydants et de pouvoirs curatifs. Une enzyme présente dans le miel libère du peroxyde d’hydrogène. Ce processus aide votre corps à combattre l’infection et empêche la croissance des bactéries. Apaisant pour le système digestif, le miel élimine les toxines du sang et aide votre foie à fonctionner plus efficacement. Pour un grand coup de pouce au système immunitaire, envisager de combiner le miel avec de la cannelle pour renforcer vos globules blancs. Le miel biologique cru est la meilleure option, car la plupart des méthodes de pasteurisation tuent les effets antioxydants. Curcuma Cette épice est non seulement riche en couleur et en saveur, mais elle protège également votre corps. Le curcuma peut être consommé et aussi appliqué en externe, ce qui en fait un excellent choix pour lutter contre les bactéries. Pour de plus grands bienfaits, en utilisant les propriétés de deux agents antibactériens très efficaces, vous pouvez mélanger du curcuma et du miel et faire une pâte à appliquer directement sur la peau. A noter que le curcuma sera associé au poivre, ou au gingembre pour un complet développement de ses excellentes propriétés. Vous pouvez protéger votre corps contre les infections et les maladies à bactéries en utilisant ces remèdes sûrs et naturels disponibles dans la plupart des cuisines. Protégez votre corps sans pilules de prescription en utilisant du miel, de l’origan, de l’ail, de l’échinacée et du curcuma. Ail Savoureuse et merveilleuse pour agrémenter de nombreux plats, cette plante a aussi des qualités très puissantes. L’ail peut combattre ces infections simples comme le rhume, évacuant les germes avant de leur laisser une chance de perturber votre vie. Utilisant l’allicine qu’il contient, l’ail protège contre les levures, les parasites, les bactéries et plus encore. Si vous cherchez un moyen simple de vivre en meilleure santé, ajoutez davantage d’ail à votre alimentation. Extrait de pépins de pamplemousse Le Journal of Alternative and Complementary Medicine a publié une étude universitaire, revue par les pairs, qui a révélé que l’extrait de pépins de pamplemousse est efficace contre plus de 800 formes de virus et bactéries, plus d’une centaine de souches de champignons et de nombreux parasites. Très riche en de nombreux antioxydants, l’extrait de pépins de pamplemousse alcalinise le corps naturellement, et aide à la di- On trouve des composés soufrés dans le chou – qui fait partie de l’ancienne dénomination des crucifères, incluant le brocoli et le chou kale – qui ont été prouvés efficaces pour lutter contre le cancer. Ce que beaucoup de gens ne réalisent pas, c’est la quantité de vitamine C que l’on trouve dans le chou. Une tasse procure 75 % de ce dont vous avez besoin chaque jour. Il es naturellement antibactérien. Vous pouvez en manger cru, râpé ou en « lanières » dans votre salade, comme plat d’accompagnement, en faire un « wrap » (ou un sandwich), ou boire un jus de chou frais (avec une pomme ou du miel pour adoucir le goût). C’est un excellent moyen pour améliorer la digestion, prévenir les maladies et même contrôler votre poids. Avant propos. Voilà quelque temps déjà que j’essaie de trouver un moment pour dialoguer avec mon voisin, l’artiste Smaïl Ouchene. Le coincer entre deux phrases bien serrées comme un café-presse pour le livrer à mes lecteurs. Apparemment, son nom et sa naissance ont dépeint sur son caractère et sa manière de vivre : furtif, sauvage et sibyllin. Huile de coco extra-vierge On ne peut venir à bout de tous les bienfaits de l’huile de coco. Elle a des propriétés naturelles antifongiques et antimicrobiennes, et est riche en antioxydants que vous ne pouvez trouver nulle-part ailleurs dans la nature. Utilisez-la pour stimuler votre système immunitaire, équilibrer votre thyroïde, cholestérol et niveaux de sucre sanguin, et même améliorer les fonctions cérébrales. Elle est sûre à utiliser en interne comme en externe. L’huile de coco est l’un des cadeaux les plus polyvalents et uniques de Mère Nature. Incorporez une cuillère dans votre boisson du matin pour l’énergie supplémentaire et la clarté de votre cerveau toute la journée. Aliments fermentés Le chou non pasteurisé, les marinades maison, le kéfir et yogourts probiotiques, renouvellent notre flore intestinale, nous protègent du cancer et maintiennent notre corps en forme pour combattre les infections. Argent colloïdal Antibiotique naturel, l’argent colloïdal est un mélange de particules d’argent en suspension dans un fluide. Il est utilisé depuis des siècles. Ce traitement est temporaire car trop d’argent – un métal lourd – peut être toxique. Cependant, il désactive l’enzyme dont les bactéries unicellulaires ont besoin pour se multiplier. Privées de leur alimentation en oxygène, les bactéries et les virus sont détruits sans dommage pour vous. Clou de girofle On l’appelle « l’épice aux mille vertus »! C’est un antiseptique puissant. Son principe actif, l’eugenol, lui donne cette odeur que l’on sentait chez le dentiste. Le clou de girofle est en effet extrêmement efficace. Il agit autant sur les bactéries, comme Helicobacter pylori, que sur les virus. Il a donc des pouvoirs antalgiques. Il est aussi anti-inflammatoire, capable de désamorcer l’inflammation sans risque sur l’estomac. Une alternative intéressante à l’aspirine. Vous pouvez en ajouter en petite quantité dans vos boissons chaudes et dans vos plats pour un bon effet fortifiant. Lire en pages 12 et 13 Les RDV des arts et de la culture l Ezzou’Art Galerie au Centre Commercial & de Loisirs de Bab-Ezzouar (Alger) Jusqu’au 3 juin : Exposition de peinture «Préface « de l’artiste peintre Hichem Sahli. Salle Ibn-Khaldoun (Alger-Centre) l Auditorium de la Radio Algérienne (21, boulevard des Martyrs, Alger) Jusqu’au 25 mai : Exposition de photographies «Faces of the Neighbourhood» (Regards du voisinage), dans le cadre du 16e Festival culturel européen en Algérie. Mardi 26 mai à 19h30 : l'Institut français d'Alger, en partenariat avec la Radio algérienne, organise un concert Accordéons en escale, des trois des plus brillants accordéonistes de la World Music actuelle. Entrée sur carte d'accès. Réservation à l'adresse suivante : concertaccordeonsenescale.al [email protected] l Salle Ibn Khaldoun (AlgerCentre) Dimanche 24 mai à 19h : Concert du groupe Yellow Sisters (République tchèque), dans le cadre du 16e Festival culturel européen en Algérie l L’Institut français d'Alger Mardi 26 mai à 19h30 : en partenariat avec la Radio algérienne, un concert Accordéons en escale, des trois des plus brillants accordéonistes de la World Music actuelle. Entrée sur carte d'accès. Réservation à l'adresse suivante : concertaccordeonsenescale.al [email protected] l Galerie Civ’œil (3, rue Latrèche Mohamed, Miramar, Oran) Jusqu’au 30 mai : Exposition de l’artiste Affif Cherfaoui. l Galerie des ateliers Bouffée d’Art (résidence Sahraoui, Les Deux-Bassins, Ben Aknoun, Alger) Jusqu’au 13 juin : 1re édition du Salon du jeune talent. l Galerie Baya du Palais de la culture Moufdi-Zakaria (Kouba, Alger) Jusqu’au 30 mai : Exposition «60 ans et quelques printemps « de l’artiste peintre Selka Abdelouahab. l Aïda Gallery (villa 132, Hey El-Bina, Dely Ibrahim, Alger) Jusqu’au 28 mai : Exposition des céramistes sculpteurs contemporains Mohamed Belaïd et Nathalie Andris. La galerie est ouverte tous les jours sauf les jours fériés, de 14h à 18h30. l Musée national d’art moderne et contemporain d’Alger (rue Larbi Ben M’hidi) Jusqu'au 9 juillet : Exposition «La saga de la création de la Cinémathèque algérienne» à l’occasion du cinquantenaire de sa création. Tiɣremt 16 u La Cité Canard + La Cité Jeudi 23 avril 2015 Tcennu s teqbaylit, Stina tafinlandit thewwel akk Bgayet Tecna, tnaẓur tilemẓit, tafinlandit Stina i yimeshanayen n Bgayet i d-yusan d iglafen akken ad alsen i tmesliwt n tezlatin nnumen sellen, maca tikkelt-a s taɣect yesɛan aɣdebbu n tmura n ugafa n turupt. zal n tsaɛet, tanaẓurt yettwalɣen deg ‘’umezgun yettwacnan’’ deg Helsinki, tebra-d i teɣri-s s yeḥricen n uẓawan mechuren deg Teqbaylit, tewwi-ttid ad as-tiniḍ d taqbaylit tanaṣlit rnu-as taɣect-nni yettmecbeṛṛiqen d tafat, d ayen yessewhamen. "Iẓri-w Yeɣleb Leḥmali" n El hadj ElAnka i umi yules Matub Lwennas, "Amedyaz" n Ait Menguellet, "Ad tezzi Ssaɛa" n slimane Azem, "Tella temkant deg wuli-w" n Djamel Allam, ddeqs n tuɣac i yuran amezruy n tẓuri-nneɣ, ɣas akken weɛrent, abeɛda ɣef ubeṛṛani ur nessin tutlayt d yidles-nni, maca ɣas akken, tessufuɣ-d imeslayen-nni s yiwet n tiẓedt taleggaɣt n tayri. ‘’Tessewham. Tecna-d umuɣ n tezlatin seg ugerruj aqbayli amzun akken ines’’, i dyenna Djamel Benahmed, d akatar deg tmehla n yidles n Bgayet, akken i d-yettban A yefreḥ s uswir iɣer tessaweḍ tnaẓurt-a, ɣur-s netta, ‘’agmuḍ n tnaẓurt-a yewweḍ ɣer tqacuct, maci ala aya, teldi-d abrid yeččuren d asirem akken ad yuɣal ccna n leqbayen d agraɣlan. Akken i d-iban, maci ala netta i teɛǧeb. Akk imeshanayen yellan deg tzeqqa, teččuṛ am tmellalt, rnu-d ula beṛṛa n tzeqqa, tettaqqef liḥala, akk ttalsen-d jmiɛ i yal mi ara d-tecnu aḥric seg tezlit. Stina, s tqendurt n leqbayel, ur teẓri acu ara d-tini sdat akk usebɣes d uɛǧab teɛǧeb imeshanayen.‘’Tanemmirt’’, tesnemmer imeshanayen s tmaziɣt, ala aya i umi i d-tettales, sakin tuɣal s urar n uẓawan. Ar mi qrib d taggara n tmeɣra i teddem aṣawaḍ, tecḍeḥ-d akka kra. Teɛǧeb mliḥ imeshanayen, ṛufqen-tt akk s ccna s wayen i sen-tefka tezmert-nsen ‘’Keččini ṛuḥ nekk ad qqimeɣ’’ n Ait Menguellet, tulsas-d kraḍ (3) n tikkal. Ad as-tiniḍ d lxelwa. Tacennayt Tafinlandit, Stina tesmekta-d ass n ttlata tameddit di Lezzayer agerruj n ccna n teqbaylit s ucewwiq-is d-yecnan akken iwata tizlatin n inaẓuṛen imeqṛanen n ccna n teqbaylit zdat n yemfeṛǧen yennecṛaḥen. Tameɣṛa, d-yellan di tzeqqa n Ṛadyu tazzayrit almend n tfaska turubit tis 16 d-yellan di Lezzayer, tewwi-d aṭaṣ n medden d-yusan ad slen i Stina sen-d-yecnan tuɣac mechuṛen, ayagi tesḍefr-it s ccḍaḥ n teqbaylit yettwasnen. Tkecm-d s ṛṛubba n teqbaylit, tacennayt, s taɣuct-is n Lupiṛa, tesmektay-d akken ilaq tacennayt tamyarutt Taos Amrouche, yettwasnen s icewwiqen-is n wansayen n temnaḍt n leqbayel i terra ɣer ccnawi n lupiṛa. Ḍeffṛen-tt-id yimaẓwanen-agi, Akli Remili d Chilla Hafid (amesdinen) Betbtoub Mohand (bassiste), Maouche Samir, Mermouri Ahmed (dderbuka), Stina tecna-d tizlatin n inaẓuṛen imeqṛanen n yedles amaziɣ, am Djamal Allam, Idir, Ait Menguelet neɣ ccix ameqṛan n Chaâbi El Hadj M'hamed El Anka ladɣa tizlatin yecna s teqbaylit. Ger wayen akk ay d-tecna, "Mi ara d-yuɣal, Tella" n Djamal Allam, "Amedyaz" n Lewnis Ait Menguelet, "Ay-a lxir inu" n unaẓuṛ Idir, akk d "Iẓṛi-w yeɣleb leḥmali" n El Hadj M'hamed El Anka, yules ucennay ameqṛan n Chaâbi n teqbaylit, Matoub Lounès. Am wakken ay d-tecna zdat n yemfeṛǧen tizlatin s tutlayt tafinlandit am "Valiaikainen" d "Malja". Tameṭṭut tafṛiqit, d afud n ibeddi mgal rrebrab (Madeira) Tameṭṭut tafriqit d nettat i d afud n ibeddi mgal rrebrab ttqabalent aṭaṣ n temnaḍin di tefriqt, id-tenna ass n letniyen di Lezzayer unemhal n tsudut tafriqit n wezraw d unadi ɣef rrebrab (CAERT) Francisco Caetano Jose Madeira. Yemmeslayd lawan n tmaɣṛa n wass ageraɣlan n tefriqt, deg weɣlif n tɣawsiwin n wezɣaṛ, s usentel " timanit n tmeṭṭut akk d unegmu i uleqqem n taseswasst 2063 n tefriqt", Mas Madeira yenna-d belli " iwellihen n tlallit n tuddsa n tmura n tefriqt wekkden-d ɣef usderfi n tmeṭṭut." " Tafriqt yennerni deg-s uqaɣiw yemxallafen, ayagi d-yekkan seg waṭaṣ ubeddel d tmuɣliqin timaynutin d-ikeččmen, yettarran tamsalt n laman fessuset, ladɣa zdat n temsalt n rrebrab (...) di temnaḍt tasaḥlit d wanda-nniḍen di tmura n tefriqt",id-iwekked. Yenna-d deg wayagi belli tadukkli n tefriqt "tebges u thegga-d akk tizemmar-is akken ur tɣelli zdat n twaḥwit-agi, ugar n yal tallit ilaq uḥezzeb d uḥeggi akk n ttawilat akken ad nessiweḍ ɣer yiswiten-agi", dɣa ger wayagi yenna-d " tameṭṭut teṭṭef amḍiq agejdan, d ayen d yettwaḥettmen seg tigawt-is nattat." Am wakken id-yesbeggen belli "tigawt-agi yellan d agerruj di tudert n Lezzayer akk d tmeṭṭut tazzayrit l'action inaltérable continue et fructueuse de l'Algérie et de la femme algérienne yezgan tbedd ur werǧin tekni zdat n tawaɣiyin-agi s wacu dtufrar yakan deg yibeddi yessiwḍen uqbel ɣer timmunent n yiɣerfan yettwaḥeṛṣen". Taqacuct tis 3 ger Lezzayer d Ṭalyan di Rome : timlilit uheggi n imassanen Timlilit n n imassanen, i uheggi n tqacuct tis kṛaḍ (3) ger Lezzayer d Ṭalyan n weswir ɛlayen, teḍṛa-d ass n ttlata gar-asen kan di Rome, tamanaɣt n Ṭalyan. Timlilit-agi tella-d uqbel taqacuct tis 3 ger Lezzayer d Ṭalyan n weswir ɛlayen, ara yilin azekka laṛebɛa di Rome ara sselwin aneɣlaf amezwaru , Abdelmalek Sellal akk d uselway n useqqamu ineɣlafen n Ṭalyan, Matteo Renzi. Tillin n tqacuct-agi tis 3 ger Lezzayer d Ṭalyan n weswir ɛlayen ad yili deg-s wemsefhem ɣef temrawt n yemtawiyen, ladɣa deg yeḥricen n tfellaḥt, n twennaḍt, n unegmu alebdan, n yelmeẓyen d waddal, id-wekkden seg yidis n terbaɛt tazzayrit, d-yesfahmen daɣen belli ad d-yili umeslay ɣef lemxalṭat ger snat n tmura, addad n Libya, ibeddi mgal rrebrab akk d yinig uffir. Taqacuct tis 3 ger Lezzayer d Ṭalyan n weswir ɛlayen ad dtili almend n wemtawi n tegmatt, d lemɛiwna ger snat n tmura, yettwasenyan ass n 27 yennayer 2003, i wesmekti. Amtawi-yagi ibedr-d iwellihen igejdanen n umbaddal asertan, adamsan, ussnan d udelsan ger snat n tmura. Adeg web s tutlayt n tmaziɣt : anegmu n tutlayt-nneɣ taɣelnawt sɣur tawakla tesnemr-as ddewla anegmu n tutlayt-nneɣtaɣelnawt tamaziɣt sɣur tawakla isalan n Lezzayer, s weṛẓam-agi n wadeg amaziɣs wudem unṣib d ayen yesɛan azal amuqṛan ɣef tesnemmer ddewla, id-iwekked uneɣlaf n teɣwalt Mas Ḥamid Grin. Yerna yessawel d aɣen uneɣlaf, deffir n weṛẓam unṣib n wadegagi yellan s isekkilen n tlatinit, n taɛṛabt akk d tfinaɣ, i twacult isallen s umata akken ad d-gren iman-sen deg usurrif-agi unegmu n tutlayt n tmaziɣt, yellan d yiwet ger tgejda n tnettitnneɣ. Isallen ara d-yeffɣen sɣur tawakla isallen n Lezzayer deg wadeg-ines n tmaziɣt, ad ssahlen taɛkemt ɣef wid yebɣan ad d-ssiẓeṛgen iɣmisen s tutlaytagi, id-yenna unamhal amatu n twakla isallen n Lezzayer Mas Kacha Hamid, ikemmlen yenna belli « d imawlan n yeɣmisenagi ara yeddmen ṛṛay akken ad d-ssiẓeṛgen s tmaziɣt ». Amaray amatu useqqamu unnig n timmuzɣa Mas Si El Hachemi Assad, iwekked-d s iǧiha-s, belle asiẓṛeg n weɣmis sɣur tawakla d izen yesɛan azal amuqran i tɣamsa taɣelnawt tazzayrit. A lḥif yuran dgem a tamurt n Yiqbayliyen...! Akken i d-as-yeqqar ucennay aqbayli Meɛtub Lwennas i yenɣa udabu n tikerkas deg yiwet n tezlit “lḥif ɣef lḥif yal taluft tɛerḍ-d uletma-s ...", ihi uguren d texnanasin n udabu azzayri ggten taggara-ya deg tmurt n yiqbayliyen yerna s waṭas mačči d yiwet ad tt-idnessekfel akken qqaren wat zik-nneɣ : caṭent ɛerqent, ad nezwer seg tmenɣiwin d igiman i yettwanɣan seg wasmi nɣil tefra ziɣen ur tefri ara acku suturen izerfan-nneɣ d tudert zeddigen...rnu ɣur-s tadamsa tekkaw acku at tedrimt ttaggaden ad sqedcen isurdiyen-nsen ɣur-nneɣ imi irebraben n udabu ṛeṣṣan u seɣlin-d rrehba deg uzal qayli deg tmurt taqbaylit, kkaten deg la J.S.K almi i tt-rwin qrib teɣli ɣer uswir wis sin,mazal ar tura imeɣnasen n taluft n tnekkit d yidles tidiren deg yinig ur zmiren neɣ sɛin ara azref ad kecmen ɣer wakal-nsen am : umussnaw Ɛebdelqader Reḥmani mmi-s n umaru aqbayli Reḥmani Sliman,aselwan n unabaḍ aqbayli uɛḍil mass Ferḥat Mhenni d waṭas niḍen mu yettwakkes wawal d wacḥal i yemmuten ur twameḍlen deg akal n yemma-t-sen am Dda Sliman Ɛazem d Ccix Lḥesnawi,...deg taggara ad greɣ i yiqbayliyen n tidet ad seḥbibren ɣef tutlayt,tinekkit d yidles-nsen ihi ar tufart. Aklidir Iɣil wis Asebded n tsudut taɣelnawt i uḥuddu igerdan Aneɣlaf n teɣdemt, Tayeb Louh, yenna-d ass n laṛebɛa deg Lezzayer Tamaneɣt d akken tennulfa-d yiwet n tsudut taɣelnawt i uḥuddu d usmal n yigerdan, d tin ara yesselwi imwekkel aɣelnaw yerna aya yellad « i ussmad n tsertit taɣelnawt n uḥuddu n uḥric-a n tmetti ». Mass Louh yenna-d aya mi dyerra ɣef tuttriwin n yimazanen n Ugraw aɣerfan aɣelnaw deg yiwet n tɣimit ay d-yellan i lmend n ussukku n tiṭ ɣef usenfar n lqanun yeqqnen ɣer uḥuddu n ugrud, yerna yenna-d uneɣlaf d akken lqanun-a yessefray ladɣa « assebded n tsudut taɣelnawt i uḥuddu d usmal n ugrud yerna ad tt-yesselwi imwekkel aɣelnaw ara d-yelhun s uheyyi n wahilen d yiṛabulen yal aseggas ». Nnig waya, aneɣlaf yenna-d d akken Lezzayer texdem, seg wasmi ay tewwi azarug, akken ad tḥudd agrud s leqanin deg wakk iḥricen, ladɣa aḥric n ussegmi (tteṛbeyya), tadawsa d temsetlelt taɣelnawt. I ussifses n uxeddim n yimuzzag ay d-yelhan s yigerdan, lqanuna amaynu ad skecmen deg-s ccuruḍ n uḥuddu anmetti d uḥuddu n lqanun ay yellan daɣ deg lqanun n uɛaqeb, ɣef wakken ay d-yenna uneɣlaf. Deg wayen yerzan axḍaf n yigerdan, tamsalt-a ur tt-id-yebdir ara usenfar-a n lqanun, maca Mass Louh yenna-d d akken ibeddilen ineggura ay d-yellan deg lqanun n uɛaqeb ssefrayen assejhed n uɛaqeb n wid ara yettekkin deg uxḍaf. Imazanen, deg wass wis sin n yixeddimen-nsen, ssawlen-d ladɣa ɣef wazal ay yesɛa ussebded n ttawilat ayyes ara ttwasfeɛlen yiḥezziben ay yettwaddmen. Dɣa, i lmend n waya, gren-d tamawt d akken d iḥezziben n uɛaqeb ay yeggten ugar n yiḥezziben n uḥezzeb yerna wten-d deg waya, am wakken ur tenyeɛjib ara daɣ imi lqanun-a amaynu ur d-yebdir ara tamsalt n uxḍaf n yigerdan d uɣellet n yigerdan deg timmetrit. Asenfar-a n lqanun llan deg-s 150 n yimagraden ay yebḍan ɣef 6 n yiɣfawen ay yeqqnen ɣer yiḥezziben imuta, aḥuddu n yigerdan yellan deg umihi, aḥuddu n yilemẓiyen irneggayen, ttawilat n uḥuddu n yigerdan deg wammasen yemmuzzgen (yetxeṣṣeṣen), iḥezziben n uɛaqeb d yiḥezziben uɛḍilen d yigaranen. Lqanun-a yessefray daɣ assebded n tsudut taɣelnawt i uḥuddu d usmal n yigerdan, d tasudut ara yettwaqqnen ɣer Uɣlif amenzu yerna ad tt-yesselwi yimwekkel aɣelnaw, am, wakken ara tili tebdammast ara yilin d tamlellit i ubdad i yigerdan. Amagrad wis 48 n usenfar-a n lqanun yettini-d d akken agrud n ddaw n 13 n yiseggasen deg yella ccek neɣ yeɛreḍ ad yeg tajrimt, yezmer ad yettwaḍḍef ɣer yimeẓla (ssrabes) n tɣellist. Lqanun-a llan deg-s tibuda d yimmektiyen ay yeqqnen ɣer yigerdan. L’actu vue sous un autre angle de dire N° 39 Le massacre se poursuit chaque jour sur nos routes : la folie meurtrière «Les autorités gardent un silence qui s’apparente à une non-assistance à un peuple en danger et les services de sécurité se contentent d’une comptabilité macabre.» - Quand le phare se moque du code (de conduite), les routes déroutent… Ils sont âgés de 17 et 18 ans, 25 Harragas interceptés à Oran « Les patrouilleurs des gardescôtes algériens de la façade maritime ouest ont réussi à intercepter, mercredi, une embarcation de fortune avec, à son bord, 25 candidats à l’émigration clandestine, avons-nous de sources concordantes. » - Aussitôt appréhendés, aussitôt… embarqués. Leur embarca- u 09 L’ACTU MOTS À MAUX Incompréhensib le lenteur Depuis un certain temps, le Croissant-Rouge algérien (CRA) fait preuve d’une incompréhensible lenteur dans la transmission des aides. Cette structure met un temps considéré comme trop long dans ce type d’opérations, alors que, par le passé, la rapidité était de règle. Marché des véhicules d'occasion : Une loi pour en finir avec l'anarchie - Attention, chez nous, quand le retard s’installe, il va toujours… croissant ! Elle donnera plus de pouvoirs au parlement « La nouvelle Constitution va renforcer les garanties pour l’exercice des droits de l’homme et des libertés fondamentales des citoyennes et citoyens et consolider le rôle du Parlement. » - Enfin un parlement qui va pouvoir parler juste après plus de cinquante… tons. CS Constantine : Roger Lemerre, nouvel entraîneur « Assurément, les dirigeants du CSC ont réussi un gros coup médiatique, mais surtout sportif, en s’attachant les services d’un coach champion du monde, d’Europe et d’Afrique en la personne de Roger Lemerre. » - A défaut d’avoir la mer en cette période de vacances, Constantine a Lemerre… Et au CSC, on réalisera bientôt des prodiges parce que… Lemerre veille. Jeudi 28 mai 2015 tion de fortune rappelle le… cas Noé. Insolite : convaincu d’avoir abattu sa femme, un retraité italien a tout avoué à la police. Mais son meurtre n’était en réalité qu’une illusion. Fort heureusement... - Pauvre retraité ! Quand l’esprit… vire, tue elle. Le partenariat avec les Emiratis et les allemands passe au concret le Mercedes-Benz made in Algeria en 2013 ! « Autant le partenariat avec Renault, pour la création d’une usine, a été entouré d’incertitudes (et le demeure) autant le partenariat algéro-émirati-allemand autour de la marque Daimler-Mercedes- Benz semble suivre une feuille de route toute militaire pour aboutir à sa concrétisation. » - En 2013 quoi ? Si c’est des Le ministère du Commerce envisage d'élaborer un projet de décret organisant le marché de véhicules d'occasion, a indiqué le ministre du Commerce, Amara Benyounes. mois, il faut attendre un peu plus de 5 ans pour voir la sortie de la première voiture… Bras de fer gouvernement spéculateurs à la veille du ramadan qui aura le dernier mot ? « Depuis des années déjà, toutes les promesses faites par les pouvoirs publics pour juguler la flambée des prix avant le début du mois sacré n'ont pas été tenues. » - Bizarre ! Ils font le ramadan et ils spéculent ; Ils font la prière et ils spéculent ; ils invoquent le nom d’Allah et ils spéculent … Et ils disent qu’ils sont des… mâles honnêtes ? Réunion des ministres arabes de la justice. - Rectificatif : Réunion des ministres de la justice arabe… Lem - Rectificatif : Marché de véhicules : occasion d’une anarchie pour en finir avec une loi… Logement social à Guelma Selon le ministère : Les chantiers passés au de l’Intérieur : peigne fin Le passeport biométrique bientôt délivré en 10 jours [email protected] Mettre fin à l’habitat insalubre, permettre aux citoyens, notamment aux revenus faibles, de vivre dans des appartements dignes, telles sont les dispositions du programme de logement dans la wilaya de Guelma, jugé très consistant par les spécialistes. - Des mots bien réglés pour régler les maux ? Alors que la clé du problème se trouve tout naturellement dans la clef… Lem Bonne nouvelle pour les demandeurs du passeport biométrique. En croire le ministère de l’Intérieur, le délai de livraison de ce fameux document de voyage sera réduit au plus tard à 10 jours. - On applaudit. Reste juste à savoir combien de jours s’écouleront avant les fameux dix jours… Tiɣremt 18 u La Cité Les choses de la vie La Cité Jeudi 28 mai 2015 durant à Bejaia ! territoire communal d’Ait Smail se trouve sur deux grandes montagnes. Adrar n Fad avec une altitude maximale de 1748 m et Adrar Takoucht au sud avec une altitude maximale de 1896m. D’une manière générale, la commune d’Ait Smail présente une topographie très acciden- tée, chahutée et surtout ravinée. Coincée entre 2 anticlinaux, la commune d’Ait Smail présente une géologie assez complexe au vue des transgressions successives qui ont envahi les couloirs étroits et profonds synclinaux ou anticlinaux érodés (Babor- Tababort) en remaniant les éléments locaux représentés par des dépôts détritiques disséminés dans tous les étages que l’on peut considérer comme typiques du régime évolutif de la Kabylie des babors. En conclusion, « cet événement sera ponctué par un programme riche et varié, constitué de différentes formes d’activités : expositions avec la participation de différentes directions de la wilaya, le mouvement associatif (écologique, sportif, culturel, tourisme), journée d'étude et ateliers sur la mise en valeur de la biodiversité, concours de dessin pour enfants dans des écoles primaires des zones de montagnes, comptage des oiseaux pour enfants, sports de nature avec la participation de fédérations spécialisées, randonnée écologique au profit du grand public, escalade, descente de canyon, trekking, jeux traditionnels, chants folkloriques traditionnels animés par les groupes Ahellil de Timimoune, Rahaba de Khenchela, des chants et danses touaregs, la chanson M'zab de Ghardaïa, la chanson traditionnelle de Tlemcen et la chanson kabyle ... à l’occasion de cet évènement » peuton lire sur la page facebook de l’Assiciation Assirem Gouraya. «Lors du regroupement de toutes ces organisations, troupes et associations, il sera procédé à une mise en place d’une plate-forme de recommandations pour la protection de la biodiversité et la valorisation de tous les patrimoines ( produits du terroir, culture, nature, environnement…) ainsi que la sensibilisation de la population à la solidarité pour le développement de telles activités qui favorisent le développement durable dans les zones sahariennes, montagneuses et du littoral algériens durant la période allant de cette semaine au 31 décembre 2015 », peut-on lire encore Jeudi 28 mai 2015 u 07 Le nettoyage des plages eut lieu samedi à Aokas Saison estivale. Sous l’égide de la direction de la jeunesse et des sports de Béjaia (DJS), la campagne de nettoyage des plages de la wilaya a tenu toutes ses promesses. Un grand nombre de jeunes entre 13 et 18 ans s’est rendu ce samedi 23 mai 2013 sur le sable pour débarrasser le littoral de ces détritus et autres déchets qui ont dénaturé nos beaux rivages. A Aokas, diverses associations domiciliées dans la vallée de la Soummam sont venues prêter mainforte aux jeunes de cette belle station balnéaire pour les aider à nettoyer les étendues sablonneuses toutes jonchées de tessons de bouteilles et de cannettes de bière, de bouteilles et de sachets en plastique et de toutes sortes d’objets de rebut. Les « éboueurs de la mer », arborant casquettes et teeshirts blancs offerts, ont mené l’opération de propreté dans une ambiance bon enfant. L’assainissement des lieux a nécessité plusieurs heures de travail à cause de la quantité considérable de saleté. C’est réellement à un immense dépotoir que les volontaires ont entrepris de s’attaquer. Quelqu’un a émis la réflexion suivante : « C’est bien de nettoyer, mais quand je pense à la décharge communale sise sur une partie de notre côte, j’ai l’impression de remplir d’eau un tamis.» En effet, on se demande quelle mouche a piqué les autorités locales pour avoir établi le dépôt d’ordures de la commune à même l’une des plages, défigurant ainsi l’environnement, et allant à l’encontre des modalités d’accueil d’une station balnéaire, sans compter les odeurs nauséabondes empestant l’air ou la fumée répandue à l’entour quand les ordures sont brûlées. Développer le tourisme ditesvous ? Avec des plages polluées ? Quelle rigolade ! Les volontaires de cette campagne de propreté n’ont cependant pas tari d’efforts pour mener à bien leur tâche. Quelques temps après, la plage, nette et belle, est prête à recevoir les estivants dans les prochaines semaines. Il reste maintenant à entretenir cette séduisante image en implantant par exemple à intervalles réguliers des poubelles pour amener les estivants à ne pas jeter les restes de repas sur le sable. Un responsable d’une association qui a pris part à ce volontariat souligne la nécessité de mettre les bouchées doubles pour sensibiliser la population et les visiteurs sur l’importance que revêt le civisme dans la vie sociale. D’ailleurs, ladite association vient d’initier un projet en ce domaine qui verra la participation de 300 jeunes. Zaouche H. Zaouche H. à Tizi-Ouzou Tout pour sécuriser le «couffin du ramadhan» à Bouira au cours desquelles 66 personnes ont été arrêtées. Il est utile de signaler que la salle d’exposition Zmirli a été consacrée aux accidents de la route qui ont causés la mort de 55 personnes l’année dernière classant la wilaya de Tizi Ouzou première au niveau national avec 375 accidents de la route. En outre, il est aussi important de signaler que la gendarmerie prévoit de mobiliser trois équipes pour la mise en œuvre de son habituel plan «Delphine», destiné à protéger les citoyens durant la saison estivale au niveau des plages de Tassalast, le petit Paradis et Carroubier. «Cette année, pour la première fois dans les annales du groupement de la gendarmerie de Tizi Ouzou, nous avons décidé de mettre en place des chiens (cino-technique) pour lutter contre toute éventuelle criminalité et trafic de stupéfiants au niveau des plages de la wilaya», dira encore le Colonel Akrouf. Signalons que les familles des victimes du devoir national des éléments de la Gendarmerie nationale et les familles du journaliste Saïd Tazrout et le président de l’APW Rabah Issat, ont été honorées à cette occasion, alors que plusieurs victimes des accidents de la route ont reçu des fauteuils roulant. Dahbia B. Dispositif. Le mois de Ramadhan est censé être un mois de partage et de solidarité. Chaque année, en pareil période de jeûne, ils sont des centaines de milliers de foyers à attendre ce don en nature afin qu’ils passent le carême dans des conditions alimentaires à peu près normales. Pour cette année 2015, près d’un million six cent milles familles, jugées très démunies, sont concernées sur tout le territoire national. Elles sont des dizaines de milliers au niveau de la wilaya de Bouira, près de 48 mille. En tout cas, c’est le chiffre avancé par la direction de l’action sociale en ce qui concerne le nombre de couffins est déjà inscrit au programme et qui seront répartis entre les 45 communes que compte la wilaya de Bouira. L’argent, quelques 190 millions de dinars, destiné à l’achat des denrées alimentaires pour ces familles démunies provient du fonds de wilaya, du fonds commu- nal mais aussi de la Sonatrach ainsi que des associations de bienfaisance. A ces dizaines de milliers de couffins vient s’ajouter une autre source de subsistance durant ce mois sacré, à savoir quelques 3000 repars qui seront servis gratuitement dans au moins dix « restaurants de la miséricorde » au niveau de la wilaya. Ces repas seront servis aux indigents mais aussi à tout voyageur qui aura à transiter par les villes concernées de la wilaya. Pour ce qui concerne les familles nécessiteuses, ces repas leur seront offerts à leurs domiciles. Toutefois, il faut bien le dire, tout ne se déroulera pas de la meilleure des façons. L’expérience de toutes les années passées nous a appris que le détournement des paniers est une amère réalité. Et ce n’est pas le propre de la wilaya de Bouira qui, elle aussi, a son lot de déception en matière de générosité. En effet, il ne se passe pas une année sans que l’on enregistre des détournements de ce lot de produits alimentaires. Que ce soit à Bouira, à Oran, à Béjaïa, à Mascara, pour ne citer que ces quelques wilayas où des écrits de presse ont rapporté et condamné ces actes de « malversation ». Ce sont des élus, des responsables administratifs, des membres influents au sein des associations caritatives qui en sont coupables. On nous a rapporté qu’à Bouira, des centaines de couffins disparaissent chaque année et à l’approche du premier jour de jeûne des locaux où ils sont stockés pour être distribués à leurs vrais destinataires. Ces couffins volés auraient atterri soit dans les foyers de ces « voleurs », soit dans les familles aisées. Toutefois, il est assez rare de déterminer avec exactitude les auteurs de ces détournements car, apparemment, aucune enquête n’aurait été menée dans ce sens. Des lettres accusatrices avaient été adressées au wali ainsi qu’aux responsables civils et judiciaires et via lesquelles les coupables ont été cités mais faute de preuves, c’était un coup d’épée dans l’eau. Belkacem Mechoub Idées-débats Détente 20 u La Cité Jeudi 28 mai 2015 Jeudi 28 mai 2015 u 05 démocratie postcoloniale Mots Fléchés N° 628 Rachid Adrar La Cité Par : Rachid Adrar et Sadi Djouder ghreb entre eux et les collectivités locales entre elles, c’est la propriété étatique et l’appropriation privée dans ce cadre. Etablir la propriété collective, construire l’unité du marché du crédit maghrébin, font participer l’Etat et la collectivité locale à la fructification du capital naturel et sa conservation. En disposant du revenu d’une telle propriété, en n’ayant pas le pouvoir d’aliéner une telle source, les populations locales pourront investir dans des choix de vie en respectant la pérennité d’une telle source de revenu et l’intérêt des générations futures. C’est l’asymétrie fondamentale de pouvoir entre gouvernants et gouvernés qui sape la base fiscale ordinaire de l’Etat. Avec la propriété collective et privée, les fonctionnaires se prémunissent contre la défaillance de l’Etat en se donnant une base fiscale en même qu’il concède du pouvoir aux collectivités. Mots croisés N° 628 Horizontalement : 1 - Brosse pour rincer les bouteilles. 2 – Après vous. – Ancien nom de Tokyo. 3 – Bismuth. – Poisson rouge. – Conjonction. 4 – Qui apparait clairement. 5 – Garde secret. – Prénom masculin islandais. 6 – Petits fragments de lave projetés par les volcans. 7 – Fin d’infinitif. – Plante textile. – C’està-dire. 8 – Roue à gorge. – Gaz intestinal. 9 – Fleur de l’églantier. Mots Croisés N° 627 Verticalement : dissiper (d’user et d’abuser) et non en devoir de fructifier et de transmettre. 1 – Sac que l’on porte en bandoulière. 2 – Mollusque gastéropode. – Désert de pierrailles. 3 – Coutumes. – Rivière d’Alsace. – Symbole chimique. 4 – Chimérique. 5 – Métalloïde très volatil. – Pièce de jeu d’échecs. 6 – Machine. 7 – Déterminant. – Semblable. – Entre trois et quatre. 8 – Petit poème lyrique. – Insulaire. 9 – Caractère de ce qui est notoire. Il se dégage d’une telle définition de la propriété, deux conséquences fondamentales : tout d’abord, une répartition du pouvoir suffisamment symétrique pour permettre à la démocratie d’avoir une base sociale équilibrée. Et on obtiendrait une nouvelle composition des parties prenantes au pouvoir, avec une composante populaire. Seconde conséquence d’importance : on donnerait à l’Etat et ses fonctionnaires la base fiscale qui lui fait défaut. 2. Comment ? Nationaliser pour privatiser, rétablir le continuum entre les différents types de propriété et de travail ? Mots fléchés N° 627 Edité par la SARL Temoignage au capital social de 100 000,00 DA Adresse : 07, rue Mohamed Bendris, Hussein Dey Alger Impression : SIA Compte CPA : 115 400 0001150 92 Agence Ali Boumendjel R.C : 13 B 100 6842-16/00 N.I.S : 0013165100654 50 N.I.F : 001316100684251 Directeur de la publication Nadjib Touaibia Téléphone : - 0555913265 - 0659208202 - 0550678400 Tél / Fax : + 213 (0) 23 776 876 E-mail : [email protected] w w w. l aci ted z . n et La doctrine libérale s’est construite sur la base de l’expérience industrielle de l’empire britannique. Adam Smith en a pensé les termes .(4) La recherche de l’intérêt personnel conduit à la réalisation de l’intérêt général s’il est poursuivi dans le cadre de l’industrie nationale. Ce n’est qu’alors seulement que la main invisible est efficace. En oubliant le cadre de l’industrie nationale c’est au service de l’intérêt de l’empire, puissance dominante alors, que l’on se met. Aussi les idéologues libéraux de l’empire britannique, ne retiendrons plus que trois termes, celui de l’industrie nationale passant à la trappe. Ce qui n’échappera pas à l’économiste allemand Friedrich LIST (5). L’industrie nationale établissant le continuum du travail social (6), on peut transformer la proposition de Smith de la manière suivante : si le travail indépendant développe le travail national, la réussite personnelle est aussi une réussite nationale. List qui voulait construire un système national d’économie politique en aurait convenu. On peut donc soutenir que la cohérence de l’industrie nationale, qui aujourd’hui ne peut être définie hors de la production globalisée, et ne pouvant être établie à partir des activités indépendantes, doit précéder ses divisions indépendantes afin de trouver place dans l’industrie mondiale. L’indépendance aujourd’hui ne signifie pas l’autosuffisance mais une certaine interdépendance qui ne puisse pas être retournée contre les intérêts du pays, mis au service du pillage de ses ressources. Le savoir faire national doit répondre à un intérêt national dans les chaînes de valeur mondiales, de sorte qu’en y travaillant les intérêts particuliers construisent une unité du travail social, réalisent l’intérêt général. En tenant les deux bouts, du global et du local (travail, production, intérêt), on peut veiller à la continuité du travail et de la propriété et l’on peut définir les différents types de travaux qui peuvent servir un savoir faire national, de même les différents types de propriété en fonction des coûts et des rapports. L’opposition entre les différents types de propriété n’est pas idéologique, elle est fonctionnelle et politique. Politique dans le sens où les contextes dans lesquels ils se déploient consolident une asymétrie ou une symétrie du pouvoir, permettent un fonctionnement démocratique ou pas. Et l’on passerait de l’Etat patron à l’Etat stratège. 3. Economie de crédit et construction du Maghreb Sur la base de la nouvelle propriété collective et d’une économie de crédit, il est possible d’aborder la construction du Maghreb et l’unification de ses marchés d’un tout autre point de vue que celui actuel. Les populations locales doivent devenir copropriétaires des ressources de leur territoire. Si l’on consent que le capital naturel ne doit pas être aliénable, on pourra envisager sa mobilisation par la voie du prêt et de l’emprunt, sur tous les marchés du Maghreb. Ce qui oppose les Etats du Ma- 4. Réorganiser les marchés (marché des changes, du capital et des produits). De sorte que consommer pourra signifier produire, que consommer maghrébin ait du sens. Pour que l’on puisse produire algérien, il faut qu’il soit préférable de produire plutôt que d’importer. Il faut transformer la préférence pour l’importation aujourd’hui dominante en préférence pour (la consommation de) la production locale. Une telle inversion de la préférence peut hélas être produite plus facilement sous la contrainte que de manière volontaire. Le crédit à la consommation n’est pas suffisant. Il faut que suive un crédit à la production et une politique de crédit réelle : prêter à ceux qui peuvent rembourser non aux amis. Ce qui signifie des garanties de réussite qui ne peuvent être fixées arbitrairement. Il faut qu’il y ait aussi une autre politique de change. Des politiques qui rendent possible la substitution d’importation, la concurrence entre produit local et produit importé. Il faudrait décider que soutenir, que produire et que consommer localement, de sorte que les progrès de productivité soient possibles et puissent se diffuser de sorte à aboutir à de libres conversions des monnaies, si l’on comprend des monnaies locales complémentaires. Une politique de change qui rende possible la coproduction, l’exportation. Je crois avoir suffisamment déplié le projet d’une économie politique de la démocratie postcoloniale, pour les besoins de l’heure. Les derniers points ne font que pointer une certaine direction. Je voulais ici focaliser sur l’insurmontable obstacle que constitue l’asymétrie de pouvoir entre gouvernants et gouvernés pour la démocratie. La suite ne fait qu’indiquer les développements qui pourraient succéder à la mise en cause d’une telle asymétrie : pour que la société concède à réduire son pouvoir d’achat, car la préférence pour l’importation résulte essentiellement d’une défense du pouvoir d’achat, il faut lui donner de vrais pouvoirs qui puissent lui faire croire qu’elle pourra l’accroître demain. A. D. * Député FFS de Béjaia, législature 2012-2017 Notes : [1] Voir MITCHELL, Timothy et JAQUET, Christophe. Carbon democracy: le pouvoir politique à l’ère du pétrole. La Découverte, 2013. [2] Voir le philosophe John Locke qui soumet la propriété au travail : le droit naturel et la propriété de soi et de son travail (produit). K. Marx en parlant de force de travail, achève de renverser le rapport de puissance entre le travail et la propriété. [3] « Le capital est du travail mort, qui, semblable au vampire, ne s’anime qu’en suçant le travail vivant, et sa vie est d’autant plus allègre qu’il en pompe davantage ». Karl Marx Le Capital, livre I. [4] Smith, A. (1791). Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations. Buisson. [5] LIST, Friedrich. Système national d’économie politique. Capelle, 1857. [6] Se rappeler la signification « préindustrielle » du mot industrie : habileté, savoir faire. A la une Publicité 22 u La Cité La Cité Jeudi 28 mai 2015 REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIOUE ET POPULAIRE Ministère de l'habitat, de l'urbanisme et de la ville Wilaya de Ghardaïa Direction de logement Avis d'infructuosité NIF : 0013470199634 Projet : Étude et suivi pour la réhabilitation des logements au niveau des Ksours (08 lots) Conformément aux dispositions de l'article 49 du décret présidentiel N° 10/236 du 07/10/2010, modifié et complété portant réglementation des marchés publics. La Direction de logement de la wilaya de Ghardaïa informe l'ensemble des bureaux d'études ayant participé à l'avis d'appel d'offre national restreint paru dans les quotidiens nationaux notamment EL BAHJA-NEWS en date du 17/02/2014 relatif au projet indiqué ci-dessus. Que l'appel d'offre est déclaré infructueux et ce conformément à l'évaluation des offres techniques en date du 21/04/2015 Pour motif : aucune offre n'est pré-qualifiée techniquement. La Cité 28/05/2015 ANEP 327 588 NOS TARIFS PUB REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIOUE ET POPULAIRE Coup de force : Sit-in empêchés des rappelés du service national Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique UNIVERSITE DE MEDEA N° d'Immatriculation fiscal: 000926019005644 AVIS D'APPEL D'OFFRES NATIONAL RESTREINT N°02/2015 Financement : Budget de Fonctionnement Année 2015 L'université de Médéa lance un avis d'appel d'offres national restreint N° : 02/2015 ayant pour objet: Travaux de maintenance et aménagement de l'Université de Médéa selon les lots suivants : Lot N°01: Réfection étanchéité. Lot N°02: Menuiserie bois-aluminium et métallique. Lot N°03: Revêtement salle télé-enseignement. Lot N°04: Climatisation Les sociétés et les entreprises qualifiées et intéressées par cet avis d'appel d'offres peuvent soumissionner, et peuvent retirer le cahier des charges, auprès du: sousdirection du budget et de la comptabilité, contre paiement de la somme de : 2 000,00 DA au niveau du régisseur de recette de l'université. Les offres doivent être déposées à la main au sousdirection des moyens et de la maintenance, et ils doivent être accompagnés par des documents et en cours de validité exigées par le cahier des charges : 1- L'OFFRE TECHNIQUE 1- La déclaration à souscrire renseignée, signée, visée et datée. 2- La déclaration de probité renseignée, signée, visée et daté. 3- Le cahier des charges visé par la commission des marchés, paraphé, signé et daté. 4- Statut lorsqu'il s'agit d'une société. Dans le cas de la collecte de participation offre un document officiel pour le prouver. 5- Copie du registre du commerce (légalisée par CNRC). 6- Copie de certificat de qualification et de classification (catégorie 03 et plus activité principale bâtiment valide). 7- Attestation de mise à jour CNAS, CASNOS, CACOBATPH valide. 8- Copie de l'identifiant fiscal. 9- Casier judiciaire moins de 03 mois, du soumissionnaire lorsqu'il s'agit d'une personne physique et pour le gérant ou directeur d'une entreprise lorsqu'il s'agit d'une société (Original). 10- Copie de l'extrait de rôle apuré, ou présenter le planning de paiement s'il existe. 11- Copie de dépôt légal des comptes sociaux (Année 2014), pour les sociétés commerciales dont la personnalité morale est soumise à la loi algérienne (S.N.C — EURL — SARL — SPA ). 12- La liste nominative des moyens humains visée par la société, accompagnée par des attestations de succès. 13- La liste de moyens matériels accompagnée par : (carte grise et les attestations d'assurances pour le La Cité 28/05/2015 matériel mobile, un PV de l'huissier année 2014, ou facture d'achat du matériel ou actes de location de matériel visé par un notaire agréé (pour matériel fixe)). 14- Bilans fiscaux des trois dernières années visés par les services impôt ou commissaire des comptes. 15- Références professionnelles (Attestations de bonne exécution, conformément à l'objet de l'avis d'appel d'offres, (copies signées par le maître de l'ouvrage et pour les cinq dernières années (2010,2011, 2012,2013,2014)). 16- Planning d'exécution des travaux, avec le délai de réalisation. 2- L'OFFRE FINANCIERE 1- La lettre de soumission visée par C.M.P doit être renseignée, datée et signée 2- Bordereau des prix unitaires visé par C.M.P doit être renseigné, daté et signé 3- Devis quantitatif et estimatif visé par C.M.P doit être renseigné, daté et signé Les offres techniques et financières doivent être remises dans deux enveloppes séparées : a- Enveloppe N°01 : portant l'offre technique est nommée "Offre technique" (Copie originale + copie) b- Enveloppe N°02 : portant l'offre financière est nommée "Offre financière" (Copie originale + copie) Les deux enveloppes introduites dans une enveloppe extérieure fermée et strictement anonyme et ne doit porter que la mention A ne pas ouvrir Appel d'offres National Restreint N° : 02/2015 Projet : Travaux de maintenance et aménagement des espaces de l'Université de Médéa Monsieur le Recteur de l'université - de Médéa -Pôle Universitaire - Médéa 26000 Le soumissionnaire peut soumissionner pour un lot ou plusieurs. Les lots doivent être attribués aux offres moinsdisantes, et le soumissionnaire peut avoir un ou plusieurs lots. Le jour de dépôt des offres est fixé après vingt et un (21) jours compté à partir de la première parution dans les quotidiens nationaux ou le BOMOP, de 8:00 h jusqu'a (12:00h), Les soumissionnaires sont invités à assister à l'ouverture des plis qui aura lieu à la salle des réunions de l'université à 14:00 h, le jour correspondant à la date de dépôt des offres. Si la date d'ouverture des plis coïncide avec un jour férié ou repos hebdomadaire, l'ouverture des plis sera reportée le jour ouvrable suivant. Les soumissionnaires resteront engagés par leurs offres pendant un délai de 111 jours à compter de la date de dépôt des offres. ANEP 327 587 membres à part entière du Comité central et exprimer leurs points de vue. Il sait, pour avoir nettoyé à grande eau les mouhafadhas, qu’il dispose largement des hommes de mains qui ne se feront pas prier pour l’acclamer au Congrès. En effet, le Congrès de ce jeudi à tout l’air d’être une autre kermesse à la gloire de Amar Saâdani qui sera consacré Secrétaire Général avec les compliments du congrès. Katia K Les rappelés du service national durant la décennie noire n’ont pu tenir leur sit-in, hier mercredi à Alger, comme convenu. Selon Chérif Takorabt, membre de la cellule d’information et de communication de l’instance nationale de défense des membres de la mobilisation mise sur pied le 16 mai dernier à Béjaia, nombreux ont été ces camarades venus de nombre de wilayas du pays, notamment celles du centre, a avoir été «ramassés». «Beaucoup de nos amis ont été interpellés juste à leur descente des bus et des taxis. Ce qui a fait que nous n’avons pu nous retrouver comme convenu, à la gare routière le Caroubier, à Alger», soutient-il. Il dénoncera cet «empêchement musclé en cette date symbolique, celle du 20e anniversaire du décret présidentiel 145-95 portant rappel partiel des réservistes de l’ANP pour participer à la lutte antiterroriste». Notre interlocuteur dira, par ailleurs, que cet empêchement de plus ne déteindra pas sur leur détermination à faire aboutir leurs doléances. Dont notamment, notamment un statut officiel et la reconnaissance des sacrifices consentis». Ce pourquoi, d’ailleurs, ils ont sollicité, dimanche dernier, des demandes d’audiences au Premier ministre et au Président de la république. Des demandes assorties d’un ultimatum car, avertit notre interlocuteur, pour qui faute de réponse affirmative, nous durcirons notre mouvement et des actions communes avec d’autres franges avec lesquelles nous partageons et l’idéal d’une reconnaissance du sacrifice et les revendications sociales ne sont pas à exclure». L’allusion est on ne peut plus claire aux gardes communaux et aux patriotes qui ont participé grandement à la sauvegarde du pays du péril vert et qui regrettent d’être laissés en rade. Katia K Lutte de clans dans un FLN bon pour le musée Crise. A la veille du 10ème congrès du parti du FLN, dont l’autorisation de la tenue a été validée hier, par la justice, la lutte de clans pour le contrôle de cet appareil mobilisateur de l’électorat, bat son plein, offrant un spectacle désolant et triste pour la mémoire de ce mouvement à l’origine de la libération du pays. La tenue hier, du comité central en présence des représentants des deux clans en guerre de position pour tenir ce parti distributeur de privilèges et d’importants postes dans l’exécutif (ministères, ambassades, consulats, entreprises et institutions publiques), n’était qu’une formalité pour avaliser l’ordre du jour du congrès qui s’ouvre aujourd’hui. Le véritable ordre du jour de ce congrès, restait comme toujours au sein de ce parti, le repositionnement des uns et des autres, dans la hiérarchie de l’appareil. Autrement dit, ce qui prime lors de ces assises qui seront tumultueuses, ce sont les élections au comité central, et surtout, au poste de secrétaire général du parti-appareil, qui désignera après les membres du bureau politique, en général issus de son cercle le plus fidèle. Des spéculations médiatiques évoquaient récemment, la possibilité du limogeage du secrétaire général sortant, Mohamed Saadani, et le retour de son prédécesseur, Abdelaziz Belkhadem, à l’image de ce qui s’est passé au sein du RND, autre parti-appareil. Cette fois-ci, il faut vraiment être grand clerc pour deviner le nom du prochain patron du FLN, même si les chances de Saadani restaient intactes pour succéder à lui-même, ayant le soutien du président honorifique du parti, mais véritable décideur, en l’occurrence Bouteflika. Aujourd’hui, le pouvoir a encore besoin de cet appareil pour appuyer et faire valoir ses chois, mais ce même pouvoir pourrait s’en passer à l’avenir pour sa reproduction et son maintien, tant que le mode de gouvernance dans ce pays demeure le système présidentiel tel qu’il est conçu dans la Constitution. D’autres acteurs plus utiles sont entrés sur scène, notamment, les puissances de l’argent qui disposent de moyens financiers à même de faire élire un candidat du consensus. C’est dire que la lutte pour le contrôle du FLN, risque de s’avérer vaine, entre clans, du fait de son inutilité en tant que machine électorale traditionnelle. C’est dans cette perspective inquiétante pour le devenir du FLN que l’actuel secrétaire général militait en faveur d’une Constitution révisée qui même si elle n’introduisait pas le régime parlementaire qui permet au parti majoritaire aux élections législatives, de former le gouvernement, maintient le régime présidentiel, mais offre la latitude au parti majoritaire de gouverner. Cette option figurerait dans la mouture de la constitution révisée, mais compte tenu du silence officiel sur son contenu, il est indéniable que les vrais décideurs ne sont pas encore entendus sur le texte final à adopter. Adel Meziane L’e d i t o Jeudi 28 mai 2015 u 03 de Mourad Bendris La planète FIFA dans la tourmente Ce qui n’aurait pas étonné le commun des citoyens à travers le monde, tant la plus haute instance du football mondial n’a pas la réputation d’être un hautlieu de « propreté », si l’action des justices américaine et suisse n’avait pas été enclenchée par la FIFA ellemême. La puissante et richissime FIFA est depuis la matinée d’hier, mercredi 27 mai, sous les feux de la rampe. Cette fois-ci, non pas pour un évènement sportif ou des activités organiques liées au renouvellement de ses instances de direction. Mais pour des raisons autrement plus graves. Puisqu’il s’agit d’affaires de corruption ; certaines liées à des marchés publicitaires et d’autres, à son attribution de l’organisation des éditions 2018 et 2022 de la Coupe du monde à, respectivement, la Russie et le Qatar. Sept membres de son comité exécutif, sur les neuf responsables que la justice américaine a inculpés, ont été arrêtés avant-hier par la police suisse. Et son siège, à Zurich, a fait l’objet, le même jour, d’une perquisition en règle à l’issue de laquelle un certain nombre de documents électroniques ont été saisis. Ce qui n’aurait pas étonné le commun des citoyens à travers le monde, tant la plus haute instance du football mondial n’a pas la réputation d’être un haut-lieu de « propreté », si l’action des justices américaine et suisse n’avait pas été enclenchée par la FIFA elle-même. Et ce, le 18 novembre 2014 pour, selon son directeur de la communication, des « soupçons de transferts internationaux de patrimoine ». Comme les premiers « résultats » de cette action en justice sont tombés pratiquement à la veille – elle est prévue pour se tenir demain, vendredi 29 mai – de l’élection du président de la FIFA, poste pour lequel le titulaire actuel brigue un cinquième mandat, d’aucuns ne sont pas loin de penser que la tempête qui secoue présentement celle-là a toutes les apparences d’un heureux « hasard » pour celui-là. Et ce, d’autant plus que, fait surprenant pour de nombreux observateurs, ni lui ni le secrétaire général de la FIFA en poste ne sont concernés par les enquêtes en cours. Ce qui n’est pas rien en cette période électorale… MB Rachid Nekkaz veut amnistier les corrompus Pardon. L’ancien candidat à la candidature à la présidentielle du 17 avril 2014, Rachid Nekkaz, plaide pour une amnistie générale, l’unique manière, selon lui, de traiter du phénomène de la corruption qui gangrène le pays. L’ancien binational avant qu’il ne se désiste de sa nationalité française, expliquait, hier mercredi, lors d’un forum médiatique, toute autre option mènerait le pays vers le «chaos». Et dans le meilleur des cas, il prédit la réédition du triste épisode des années 90 du siècle dernier. «Quand l’ex-FIS a exprimé son souhait de demander des comptes, il s’est vu retirer une nette victoire électorale en décembre 1991. Et l’on sait ce qui s’en est suivi avec les 200 000 morts et la mise à plat de l’économie nationale. Il y a encore le défunt président du HCE, Mohamed Boudiaf, qui a payé de sa vie sa volonté de combattre la corruption», explique Nekkaz. Pour l’enfant de Ain-Mérane, dans la wilaya de Chlef, c’est là la «meilleure manière d’accompagner le pouvoir dans son départ». «Il faut aider le pouvoir à sortir par la grande porte», affirme-t-il, lui pour qui les procès en cours actuellement et traitant des affaires de corruption et de dilapidation de deniers publics, ne sont que des pièces de théâtre». Seulement, tiendra-t-il à préciser, de cette mesure amnistiante sont exempts tous ceux qui on volé et dilapidé et se sont évaporés dans la nature. A l’image de l’ancien ministre de l’énergie, Chakib Khellil qu’il promet de ne pas lâcher. «Il n’a pas la nationalité américaine comme il est susurré ici et là et je me demande pourquoi l’Algérie n’a pas fait de demande de son extradition», regrettera Nekkaz. Celui-ci affirmera solliciter prochainement l’ambassadeur iranien à Paris au sujet de l’exil de Khelil dans le pays des Mollahs. Par ailleurs, celui qui dira être en attente d’une réponse du ministère de l’intérieur et des collectivités locales au sujet de sa demande d’agrément de son parti déposée le 29 juin 2014, fera part d’un autre projet de marche. Celle-ci, qui s’ébranlera le 18 octobre prochain de Tlemcen pour s’achever le 1er novembre à Alger aura comme leitmotiv des élections présidentielles anticipées. Un mot d’ordre qu’il emprunte à l’instance de suivi et de concertation de l’opposition pour venir du problème de l’illégitimité dont souffrent les institutions. Une problématique de légitimité qui, selon Nekkaz, sont derrière la faiblesse de notre gouvernance face aux pressions, notamment française. «La France nous colonise économiquement et s’octroie à 65% le gaz et le pétrole de Adrar», affirmerat-il, revendiquant la renégociation des contrats paraphés avec Paris qui font perdre au pays «jusqu’à 10 milliards de dollars annuellement». Larbi Kacel Le billet de Said Mekbel Gregory Levey L'Algérie à la 98e place de l’insécurité routière au monde Accidents de la route. L'Algérie occupe la 98è place dans le classement mondial des accidents de la circulation routière et la 42ème position au niveau africain, a indiqué mercredi à Alger le directeur général du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), El-Hachemi Boutalbi. A 30 ans, Gregory Levey s'est aspergé le corps d'essence, avant d'y mettre le feu. A trente ans, on a encore toute la vie devant soi. Grégory avait bien d'autres choses encore, par exemple il était Américain. De la même nationalité que les Marines de son âge qui sont partis dans les armées du Golfe. Ces Marines sont partis au feu, pas du tout le même genre de feu avec lequel Gregory s'est immolé. Lui voulait la paix. Eux c'était la guerre, cette guerre qui rappelle aux familles américaines, celle du Viêt-nam, où, les bonzes vietna miens furent les premiers justement à se suicider par le feu pour protester contre les bombardements de leur pays du Nord. Gregory est aussi fils de journalistes. Sa mère, Ellen Gopdman est même une grande dame du Métier puisqu'elle a eu le prix Pulitzer, la plus haute distinction dont puisse rêver un journaliste. En passant, c'est aussi, journalistes que sont les gens de CNN qui se sont prêtés au grand bluff mondial des premiers jours de la guer-re. Peut-être que les gens de CNN rêvent aussi du prix Pulitzer ? De son métier, lui, Gregory était exprimant lors d'une conférence sur les accidents de la route organisée par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), M. Boutalbi a expliqué que ce classement concernait 190 pays et dans lequel l'Algérie occupe la 98ème place. L'Algérie occupe, par ailleurs, la 12ème place dans le classement des pays arabes relatif aux accidents de la route. M. Boutalbi a relevé que les pays en voie de développement, dont le parc automobile reste faible (43%) par rapport à celui des pays développés, sont "les plus concernés par les accidents de la route", qui tuent et blessent des millions de personnes chaque année à travers le monde. Selon lui, 918 personnes ont perdu la vie et 11.919 autres ont été blessées en Algérie durant le premier trimestre de cette année. M. Boutalbi a, toutefois, fait savoir que les mesures dissuasives prises par les pouvoirs publics pour lutter contre la recrudescence des accidents de la route ont permis de réduire "considérablement" le phénomène. Le nombre d'accidents a ainsi baissé, durant les trois premiers S' mois de l'année, de 12% par rapport à celui de 2014. Les nombres des morts et des blessés ont eux aussi baissé de respectivement 7% et 11% en comparaison avec la même période de l'année passée, selon M. Boutalbi. Il a, par ailleurs, annoncé que de nouvelles mesures seront prochainement appliquées pour réduire les accidents causés par des poids lourds. Parmi ces mesures, M. Boutalbi a cité l'obligation de suivre une formation professionnelle par les conducteurs de camions après l'obtention de leur permis de conduire de "catégorie C". Il sera également obligatoire, a-t-il dit, de doter tous les véhicules, classés poids lourds, d'un chronotachygraphe, un instrument permettant de mesurer la distance parcourue, la vitesse effectuée et les arrêts observés. De son côté le directeur de la Communication à la DGSN le Commissaire principal, Amar Laroum, a affirmé que le nombre d'accidents causés par les véhicules poids lourds a connu une hausse "inquiétante" ces dernières années. Il a, à cette occasion, appelé l'ensemble des usagers de la route (pié- Plus de 46.000 policiers mobilisés pour les examens de fin d'année Education. Plus de 46.000 agents et officiers de police sont mobilisés pour sécuriser les centres d'examens de fin d'année des trois paliers de l'éducation nationale, à l'échelle nationale, a annoncé mercredi à Alger un cadre de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). S'exprimant lors d'une conférence sur lors d'une conférence sur les accidents de la route, le sous directeur de la voie publique à la DGSN le commissaire principal, Madjid Sadi a indiqué que plus de 46.000 agents et officiers de police veilleront à la sécurité des biens et des personnes au niveau des 5.723 centres d'examens du primaire, moyen et secondaire à l'échelle nationale. Les services de la DGSN assureront, par ailleurs, la sécurité du transport, par voies aérienne et terrestre, des sujets d'examens et les copies des candidats. tons et conducteurs de véhicules) à la sagesse et au respect de la réglementation, car, a-t-il dit, "la vie humaine n'a pas de prix". M. Laroum a indiqué que la DGSN vient de lancer une campagne nationale de sensibilisation sur les dangers des accidents de la route et leurs conséquences désastreuses, à l'occasion de la 15ème édition de la semaine arabe de prévention contre ce phénomène. Il a, dans ce sens, appelé l'ensemble des médias à contribuer davantage dans la sensibilisation sur les accidents de la route et leur gravité, pour une meilleure prise de conscience collective. Pour sa part, le sous directeur de la prévention des accidents de la route, le Commissaire principal, Ahmed Nait Elhocine, a annoncé qu'un dispositif sera mis en place prochainement pour contrôler la charge des poids lourds. Le dispositif comprend aussi une optimisation de l'utilisation des radars pour lutter contre l'excès de vitesse, qui reste l'une des causes majeurs des accidents de la route. Des brigades mobiles sillonneront les routes pour verbaliser les conducteurs imprudents dont ceux des poids lourds, a-t-il ajouté. Mondiaux arrangés. La Fifa a été frappée, hier mercredi, par un double séisme avec l'arrestation de sept responsables soupçonnés de corruption et par la perquisition de son siège à Zurich, dans une affaire distincte portant sur l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022. Pourtant, l'élection présidentielle lors de laquelle Joseph Blatter, âgé de 79 ans, briguera un cinquième mandat pellé sept responsables de la Fifa, soupçonnés d'avoir accepté des dessous de table d'un montant total de plusieurs dizaines de millions de dollars des années 1990 à nos jours. Les suspects interpellés ont été placés en détention et font l'objet d'une demande d'extradition américaine. (R S et agences) Suite en page 23 éducateur. Un métier qui cherche à apprendre aux gosses à ouvrir leur coeur, leur cerveau,leurs yeux, leurs sens, à leur apprendre le premier métier du monde, le plus dur, celui d'être un homme, d'être une femme, un métier qu'on n'est jamais sûr de posséder à fond, même après avoir longtemps, longtemps vécu. La preuve : y en a qui meurent idiots à 80 ans. Gregory lui est mort à trente ans. Il s'est peutêtre dit que la vie était trop courte pour être petite. ! El Ghoul 21 février 1991 4ème région militaire, deux détachements, relevant respectivement des secteurs opérationnels d'El Oued et de Laghouat, et en coordination avec les éléments des Douanes algériennes, "ont arrêté trois (3) contrebandiers et saisi deux (2) camions, un véhicule touristique et 7.212 unités de différents types de boissons", ajoute le communiqué. Au secteur opérationnel d'In Guezam (6ème région militaire), un autre détachement "a appréhendé douze (12) contrebandiers et saisi trois (3) détecteurs de métaux, deux (2) groupes électrogènes, un téléphone portable et quatre (4) matériaux à pression", conclut la même source. «Je suis venu au monde dans une nuit d’enfer !» Quotidien national d’information Directeur fondateur : Fodil Mezali Des clans misent les uns sur la survie du parti et les autres sur la voie du musée Le FLN au pocker Les opposants à la ligne Saâdani promettent d’être nombreux pour tenter d’arracher par la force ce qu’ils ont perdu par voie de justice : leur «droit à l’annulation du congrès sur mesure» pour le SG en poste. Lire en pages 2 et 3 Par Mʼhamed Hassani Voilà quelque temps déjà que jʼessaie de trouver un moment pour dialoguer avec mon voisin, lʼartiste Smail Ouchen. Le coincer entre deux phrases bien serrées comme un café presse pour le livrer à mes lecteurs. Ce jour là est là. Lʼartiste a bouclé son cycle et attend de loger dans vos regards éveillés, ses couleurs en transe. Et puis la couleur se déverse dans lʼencrier de notre enfance occupée à dessiner des horizons renouvelés à lʼinfini. Danse, tourbillonne pinceau ; Aspire, inspire plume, Le signe se répand dans lʼespace, comme les chiffons votifs de nos femmes, accrochés aux branches de lʼolivier séculaire quʼon «débranche» aujourdʼhui pour le plaisir de paraître dominer la nature ! (M H) Lire en pages 12 et 13 l’entretien accordé à La Cité Idées-débats : économie politique de la démocratie postcoloniale Lire en pages 4 et 5 la contribution de A. Derguini Bouira : les anesthésistes de l’EPH d’Aïn Bessem menacés au siège même de la wilaya Lire en page 8 Les «je dis» de Lem Conférences-débats 31 mai : Journée Mondiale sans tabac La mort à petit feu... Me Rachid Ali Yahia animera deux conférences-débats samedi 30 et dimanche 31 mai à Amizour la première, et à Aokas la seconde. Ces deux rencontres avec le public auront lieu à 14h et seront suivies d’une vente-dédicace de son dernier livre. Êtes-vous un fumeur ? Si oui, ceci doit vous intéresser. Si non, ceci doit quand même vous intéresser... pour que vous ne vous intéressiez plus jamais au tabac. Vous vous demandez ce quʼil y a de si intéressant à savoir ? Eh bien, suivez du regard les volutes de fumée ; lisez lʼécrit en écoutant les cris ; plutôt quʼune fois « gare ! » ils vous disent… « Six gare ! ». Une cigarette allumée dégage environ 4000 composés (oui, 4000 !) parmi lesquels on peut distinguer lʼoxyde de carbone, la nicotine et le goudron. Il est prouvé que cʼest la nicotine qui est la première responsable (après vous !) de la pression sanguine, de lʼélévation du rythme cardiaque, de la consommation dʼoxygène… Après cette secousse, préparez-vous maintenant à subir un véritable tremblement de terre. La consommation de cigarettes, surtout sans filtre, favorise le taux de mortalité par cancer du poumon, du larynx, de lʼœsophage, de la vessie, du rein, du pancréas (sans compter que lʼappétit disparaît… petit à petit). L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que d'ici 2020, le tabac sera la principale cause de décès et d'incapacité, avec plus de 10 millions de vic- Le président Bouteflika s'entretient avec le Roi du Lesotho Letsie III Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'est entretenu mercredi à Alger avec le Roi du Lesotho, Letsie III, en visite d'Etat en Algérie. L'entretien s'est déroulé en présence du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, du ministre d'Etat, directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, du ministre de la reste prévue demain vendredi. Vers six heures du matin, des policiers suisses en civil opérant à la demande des autorités américaines se sont présentés au luxueux hôtel cinq étoiles Baur Au Lac du centre de Zurich, où sont logés les principaux dirigeants de la Fifa avant le congrès prévu, aujourd’hui jeudi et l'élection de demain vendredi. Ils en sont repartis après avoir inter- Smaïl Ouchene : Contrebande : saisie d'un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de minutions à Tindouf Un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munitions ont été saisis mardi par un détachement de l'Armée nationale populaire (ANP), indique mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). "Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de lutte contre le crime organisé, un détachement relevant du secteur opérationnel de Tindouf (3ème région militaire), a saisi, hier 26 mai 2015, un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munitions, suite à une patrouille de reconnaissance près de la zone frontière de Chenachene", précise la même source. Par ailleurs et au niveau de la La Fifa ébranlée par une sale affaire de corruption Communication, Hamid Grine et du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Abdelhamid Senouci Bereksi. Le Roi du Lesotho a entamé mardi une visite d'Etat de trois jours en Algérie à l'invitation du président Bouteflika. Cette visite "sera l'occasion pour les deux pays de raffermir davantage les liens de fraternité et de solidarité qui les unissent depuis plusieurs décennies", avait indiqué un communiqué de la Présidence de la République. "Les entretiens qui réuniront les deux chefs d'Etat leur permettront notamment de procéder à un échange de vues sur des questions d'intérêts communs, en particulier en Afrique et dans le monde", avait ajouté la même source. N° 639 Jeudi 28 mai 2015 Prix 15 DA times par an. Le tabagisme entrainera alors plus de décès à travers le monde que le Sida, la tuberculose, la mortalité maternelle, les accidents de voiture, les suicides et les homicides combinés... Les fumeurs de cigarettes ont environ 70% de risques (ou de chance pour les candidats au suicide) de mourir de maladies que les non-fumeurs ! En conséquence, pour votre santé et votre longévité cherchez à savoir comment arrêter de fumer. Plusieurs moyens sʼoffrent à vous, mais le meilleur reste la volonté ferme, tenace, inflexible de rejeter, une fois pour toutes, et tout en une fois, lʼenvie de fumer. Fumeurs, ne fumez pas ! Ne fumez plus ! Ou tout au moins, ne fumez pas plus ! Et nʼenfumez pas les autres S.V.P. ! Merci. Croyez-en mon expérience personnelle : en y mettant tout le paquet, vous réussirez à vous démettre du paquet (de cigarettes) tout en économisant un paquet (dʼargent). Alors, attention aux blondes, et méfiez-vous des brunes ! Enfin, voici une autre preuve indiquant que la cigarette tue bel et bien : nʼest-ce pas cette dernière que lʼon offre au condamné à mort avant de lui donner du... « feu ! » ? Lem www.lacitedz.net