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La vente des objets trouvés
h sac à main renfermant ! LES ENCHANTEES;
13.000
b,Px
est
volé francs
dans uude magasin
)
de Grenoble
MAR0CA1NES
PAR MAURICE TUSSAU
LES FETES
rj8S Provinces françaises;' IjKl^l^lIjoIjI^
à Grenoble
CHRONIQUE
L OCAL.E
o—~
f Ce livre, tout recc-mment paru, Pierre
,,
„
„
.
.
Lcti eut été fier àe le signer. Cv&t plus
Mme Suzaœic Paa-Krd. sans uioru- : qu*un romsn exquis, vre-i en réalité dans
ELLES AURONT LIEU
— demeurant » I notel BHce, «. ru»; la vision éblouissante du Maroc, c'est
LES ». 1t, « JUILLET
Maréchal . J'offre. a-Nice, de passlge a ; la poétique et stacÊre érocation de'la
Orenobie, se trouvait, vers 18 heures,
vie
"et
des
mœurs
dès
ManediAs
.
w
p.^
J?i*' J« !?,ÏÏÏ8i, Jf? r^
tisns un grand magasin de la ville,
contact de la civilisation européenne et f^KÏ cSfhiS0?,l ^^rfa ?5!
Elle avaît déposé son sac à mairt à cô- de
lactlon colonisatrice de la France.
ptnem ^
té d"eile ; quelques minutes après, eîîe
:
e
Maurice Tussau. écrsvain de race, ob- wia
„," „rV^H«r,t^
lolltlorKruc
s'aperçut qu'il avait disparu. Il conte- servateur
précis et conseieucteux, en un i
prei-cueiu. r
.
na-it ^treize-miSe fraiicstie bijoux;
La vlotiane1 de ce vol a déposé une style qui a toute la ricliesse de couleurs } Nous avons eu ce sentiment hier soir,
de
la
palette
d'un
pemtre
cous:
initie
|
car
le
Comiié
permanent
des
^êtes de
r
plainte contre inconnu à: la :permanence
de police. M. Lemy, coînmissaire de pu- aux troublants mystère des âmes fémi-; Grenoble nou3 conviait i: une imporJiee 4de servie? a PU^HôI, ouvert une en- ntnes restées 1 £&preê0ée:rde> dogmes de i tante réunlotï.
fMn.S ^ iaik: dfî-'cOnSeilTdU/SvndiCflt
quête et avisé les services de la aflrcté- :.-i !;:i--:rv; i,, .;-' Vi'U 'U.C. é.I <'•' •..'. '.;-:X'.v.;[i*!OV:
du bonheur que' le : Propriété a révêlé à ! d'Initiative, U y avait autour de M/Mas,
sésadorriî.ricr:i cioltr«ta *B queiq'ïe sorte ).vice-président .du Comité, qui présidait,
dans la demeurer du- mari, seigneur et : MM. Audinos, Rnnie. Rouiet, cerjseilîers
maître absolu, ••,/;
•'î municipaux, et MM, Bron. diabrol. Corn-Seule: une femme pouvait, avec sa dé- I mérofc. Flasseur,- Jacquin, Pignede,• Reylicate sensibilité et le privilège de son | »U2. Sévoz, Varlet.
^
sexe, pénétrer dans les arcanes secçétes t
.*
du cœur des Marocaines, en recevoir,lès |
confidences sans réticences, c'est une
II nous fut donné-d'entendre uïi esjeune française, pourvue du titre de •'•posé lumineux de M, Gustave Chabrol,
Genève, Il juin, — On vient d'arrêter docteur en médecine et euvoyéeen mis- i et de suivre ensuite une discussion rigouà Zuriclî, un nommé Roemer Hugo, fono sion au Maroc pour le service des am- [ mise et vite conduite. Nous en dégage'"' "
tiormaire de la police secrète aîlerûande. bulartcjffl et des dispensaires, qui nous i rons l'essentiel.
révélera le
mystère des
des Enchantées
Enchantées Marévérera
ie mystère
Ma-j Nous préciserons tout vde Stûte que
la Gestapo.
le "roman
intérieur
qui les illu- : l'aboutissement_.
de. cette
réunionfut
fu,tune
une
Roemer, qui est prigmaire de Dort- rocades,
„..»»nïon
min» fif
f*nn
cnlnEl
l'Mânt ^,^^(1•
mine
de
son
soleil,
l'idéal
poétique
qui
mund, avait organisé en Suisse une ar>
décision unanime. Ont' «"accorda très
tion contre une haute personnaiité du préserve leur foi ancestraïe et les fait vite...' '
précédent régime allemand, l& police triompher des plus .séduisants appels
C'est la notion même du Comité des
police helvétique observe à ce sujet là de l'amour colonial.
Fêtes d'animer Orenoble, grande ville
Maurice Tussâu fait ainsi revivre les d'art et de tourisme.
plus grande discrétion, mais on croit saromans
dont
Gabrlelle
Orliange,
la
disvoir qu'il, s'agit de l'ex-chanceUer du
Mais ce qui s'impose, ce n'est pas seuReich, 3e doctettr Brumng, qui se trou- tinguée et toute charmante doctoresse, t-""»•*,
lement ucs-tcies
des fêtes aortured'ordre local, „^-.^-,—,
mais.
vait il y a quelque tem.ps. incognito, dans est la confidente. Magicien Incomparable : ccr.tralre, des manifestations de grande
qu'inspire; ce bfttlîac splendide. notre Ma- ; envergure.
an* clinique de Zurich.
^...
,.K.•torn-MM*
£C^„
V»—r..-^i
c'est
précisément
le
sens
d'une
Fête
'â-titeur
(:ïés.',ï;if::haiitées
Marocaines
L'agent de la Gestapo avait pour complice un nommé Henri Mulier, de Dort- nàuS'/êii décrit le fcadre de rêvé ; lé ruis- Folklorique des Provinces França'ses et
mund également, actuellement détenu en sellement des ondes solaires, la fantas- que propose M. Gustave Chabrol.
magorie des irradiations spectrales, '.qui
Hollande pour menées politiques.
Le juge d'infitntction de Zurich s'est agissent sur les sens du "voyageur-'tout
reiMlu-U..y a quelque . temps dans les comme IPS symphonie pnmjwîifes de . Partout de telles fêtes ont rencontré
Pays-Bas pour interroger Muiler. Celui- Beethoven enlèvent l'imagination,-, et 1? succès. Elles sont nouvelles, variées,
ci avoua être le pt-inçtpal coupable. Il l'âme des initiés sur leurs vagues so- l pleines d'entrain, et par des cortèges.
jouait un double jeu : d'une part comI des costumes, des chants, des dansesme agent de la Gestapo, d'autre part
Toute la vie dé notre Maroc, celle des des rondes, elles nous restituent les visacomme homme de confiance de l'Action officiers et soldats français, celle-des in- ges de nos régions et leur art populaire.
:
Catholique.
digènes 8ÔrTre en des scènes dont la
Nous aurons donc à Grenoble.^les; 10,
Muiler a été trouvé possesseur de qua- vérité n'est'pas. eexmpte d'humour..C'est il et 12 juillet, de très grandes fête*.
tre passeports à des noms différents. Il a une bonne fortune que cèll? d'évoluer Des groupes venus de Provence. d'Auavoué qu'il éuiit cltai?rê de rinlormation sur ; une - terre jMJrôîaJ* qui a conservé vergne, de Savoie, du Limousin, dés Pypolitique allemande à :l'étrar.ger et qu'il un peu de savirg^ritç. qui n'a pas été rénées, de Gascogne. d'Alsace, de Bouravait fourni à l'Allemagne des renseigne- corn primée par iu«- i^tropolc à la façon gogne, bref, plus de 3j)0 participants,
ments mUitaires. Il avait été condamné 'd'un pied de Cnpw s? dans ses bande- chanteurs, danseurs, musiciens, seront
à Metz, en 1933, à deux ans de prison lettes» Là, nous-ne tommes plus victimes les hôtes de Grenoble.
' .:
pour espionnage.
daucime contrainte Lç cerveau lui-rhêLe Coînlté va maintenant travailler
Le Jtige d'instruction de Zttrich a saisi me respire à son aise... Sachons gré à d'urgence au programme définitif qui
une dépêche très compromettante poin Maurice Tussa'u'de n'avoir pas regardé remplira trois grandes journées d'été.
Mulier, dépêche dans laquelle il était dit le Maroc à travers la vitre déformante On se prépare et on s'organise pour
que la personnalité dont nous avoria par- de natte civilisation européenne e^ recevoir 40.000 visiteurs. Bref. Grenoble.
lé, devait être mise hors d'état de nuire d'avoir'étalé sous r:a-' yeux; ayeq com- par cette manifestation, se pTacera à la
Le procureur généra* de la Côiifédéra- plaisance, un-champ dobserVatiôns-qui hauteur de sa renommée artistique et
tion a ouvert une information contre nous réserve bien dea surprises'., 'ér dés touristique. — P. P.
Roemer et Muiler. Celui-ci sera jugé pai émotions. L'auteur a ce sctïsvlîisdnctJÎ
des nuances aux reflets chauds et chacontumace.
toyants qui _ne donnent que des sensations - hçur^ïrses'.de ce beau Maroc islaniiqne - •
et vigoureusement
poussé lé Marée:'c.ttropeen et français des.
colonisateurs. .' •":•
Parmi les héroïnes du livre, H en est
une. Ourida. indomptée par l'amour, indomptée 'par l'homme, indomptée par
Audience du 11 .'uin
l'envahisseur, conquise par la bonté, la
bravoure gracieuse d'une Française et
LA MORT HORRIBLE
qui ne veut pas quitter le Maroc, afin de
D'UNE VIEILLE DAME
Disons-le tout de suite: La reeponsaChassé-sur-Bhône flsèré). Il juin. — vivre dans le calmé clés jardins de roses,
Jeudi matin, vers sept heures, des ou- musqués de tapis de laine, dans la béati- blUté du ^mécanicien de l'express 101 qui
vriers trouvaient, sur la rive,gauche du tude des heures exquis qui se suivent doit répondre aujourd'hui devant la Cour
du terrible accident qui eut lieu en gare
Rhône, au pied de la grue située près de toutes pareilles et qu'on ne regrette pas. de
Valence, devant une centaine dg voya— Et dès lors, di'.-pUe. nous ne som-'
l'usine de ben2ol de ia Compagnie des
geura horrifiés ne semble pas devoir Être
Hauu-Fouriieatrx de Chsse. une veste et mes plus femmes, mais un peu de cet retenue. Et l'accident ne mérite d'être
immense frisson de volupté ardente qui rappelé que parce qu'il provoqua dans noune casquette...
anime et mène le monde, de cette arville une légitime émotion.
Le garde-champêtre, M. Perrier, pré- deur sacré? qu.'Allah a voulu allumer. treHappelone-en
les circonstances :
'
venu aussitôt, procéda aux premières Les Désenchantées que l'on pense.trouLe 21 septembre 1933 l'express 101 enconstatations, en attendant l'arrivée de ver dans le iMoghréb. ce sont ~ et com- trait en gare. Sa vitesse était normale.
la gendarmerie qu'il avait fait aviser.
A
l'instant
ou
IL
allait-s'immobiliser,
une
bien rares! — .ceiïes qui, par erreur ou
très âgée (73 ansi voulut descenD'une-des poches de la veste, plusieurs curiosité, ont abftîidor.né. la. vi'e..musul- dame
dre du train. Elle descendit à reculons,
eriveloppï-f f-.ircn-t rci^rées :on -put ainsi mane et n'H-ipîfe:Jt q'Và y retourner.voulut poser le pied sur le mneadara de
Enclutntêes ? lés Marocaines le sont, 'la gare, roula sous le wagon et eut les
établir l'identité de celui qui, dans un
moment de désespoir, avait mis fin tra- Ce qui les enchante, "c'est de rester Ma- deux Jambes sectionnées.
Mme Pluard — c'était son nom — mougiquement à ses Jours.
i rocaines, au imilieu ' de nos traditions,
rut peu après de «es terribles blessures.
II s'agit d'un nommé Geoi-ges Rey, âgé supportant ou profitant parfois - avec Elle avait été traînée sur'17 mètres. Des
de 33 ans, né à Saint-Ambroise (Gardi,; sympathie et confiance le voisinage témoins assurent que Mme Pfpard tomba
étranger
sans
laisser
s'imprégner
ce
qui
employé à la Compagnie des Chemins de
au moment où le train, ayant marqué un
fer R-L^-M. en gare de Chasse, qui io-j doit, d'après elles, demeurer le plus pur temps d'arrêt, repartait a faible allure
la Religion et pour s'immobiliser 20 métrés plus loin.
geait dans la pension de famCs de Mme; dans l'âme d'une femme,
l'Amo^n
. ;:'..',' •>'.:.
Le-, dits témoins alléguèrent que le'méCroKier. quartier de la Gare.
Et c'est sur ce vieux dicton, auquel cette manœuvre ami de mettre son ten-^
Des papiers, placés en évidence dans sont restées fidèles les Enchantées Ma- dsr en Tace du distributeur d'eau.
M. Car, le mécanicien, prétend qu'il m
sa chambre, ne laissent aucun doute sur^ rocaines, que se ferme ce beau roman
la détermination de l'infortuné, qui sest que l'on ne se lasse pas de lire et relire : s'arrêta qu'une seule foie et n'eut pas
a redonner de la vapeur pour terminer
donné volontairement la mort. . ,
« Pour bien, battre,:le cœur ne quitte les 20 métrés qui lui restaient à parcouen face de la Pompe !
.
fpfls la poitrine; rir pour ceêtre
dernier cas, la responsabilité
« Poîir bien vivre, la femme ne "Ultte de Dans,
l'employé ne serait évidemment'pas à
• [pas sa maison.-»
Le tribunal correctionnel de Valence,
' Combien vraie apparaît cette affirma- après
des débats qui durèrent deux Iontion d'un héroïque
explorateur, le géné- gués audiences, ordonna la relaxe du méra! BïinUtier--:0'11-*0 •* •- .
canicien Car. C'est contre ce Jugement
qu'appel
a été fait.
-'— Oeïix q'.if'ôfir, goûté au philtre que
La Cour a mis cette affaire en délibéré.
versé l'Afrique en restent grisés toute
Arrêt K huitaine,
leur '.vie.
-,
Voici d'après le radio de la Tour EiîM. le bâtonnier Coeat assumait la déRené. MEUNIJER,.
fense du mécanicien Car.
fel, les pronostics pour la journée d'auM» Pey était partis civile.
jourd'hui vendredi 12 juin :
Editions Eugène Figuière. paris.
REGION EST. — Temps nuageux, brumeux, avec quelques éclaircies au cours
de la matinée, aggravation l'après-midi,
pluies intermittentes. Vent variable faible s'orientant à Sud-Ouest. Maximum
de température en faible baisse. ^
REGION SUD-EST. — Beau, nuageux,
Puis H esquive les coups do feu
ensoleillé. Vent variable faible maximum
d« l'amie de sa victime
de température stationnaire par rapport
REUNIONS DU VENDREDI 12 JUIN
à'ia veille. "' '•.'
Lyon,
il juin. — Vers 19 heures, GusUnion Chorale, '^r "20 h. 30. répétition
tave Pleurs, 35 ans. terrassier, 13, rue de
saisons réunies,' .'".'
LE TEMPS D'HIER A GRENOBLE
Svndïoat des métaux-tt' moulsurs. — Repos, pénétrait dans un café de la me*
20 h. 30: Bourse du travail.
me rue lorsque, pour une cause que
Observations faites par la CofnmlBSionHarmonie MUnloipàle..— 20 h. 30: ré- l'enquête établira, le tenancier du café
Météuiologlque de l'Isère, ait Jardin ues pétition générale.
tira trois coups de revolver sur son
Plantes, le 11 Juin 103é. ~- Observations
Syndicat de l'Ameublement. — Réunion client
qui s'écroula gravement blessé.
d'avant-hier 18 heures a hier 16 heures: à 20 h. 3L). Bourse'du travail rue BertheA ce moment, la maîtresse de Gustave
Ue-BoiSBieux.
• j**~ ...i„ • .•. t
Température minima: -f 10*3.,
Orohéon Municiuai, — A 20 b. 45; répé- Pleurs. Suzanne Ouey, 3T ans, qui était
i—
maxlma: + â3°,
tition générale.
«s VT — », • ,restée dans la rue, prit son revolver
Emploiré» de eommerc*.l-VfS»tpjtfS et le déchargea à son tour sur le meurA 7 haureg
'.•'"»
des «eux sexes. rédnion#ftS20fli.|Bourse trier de son ami sans l'atteindre.
Température: + T2»6: •:
du travail, salle 13. au «Treaief émfe.
Rapidement
maîtrisée et désarmée,
pression: 745.4. '
Syndicat da l'Alimentation. 3- La réuVariation de la pression: etationnalre.
nion qui avait été primitivement fixée h elle lut conpduite au commissariat de
Direetion du vent: Sud-Oue$t
18 h. 30 aura lieu a 20 h. 30. place Saint- police de permanence, ainsi que le patron du café tandis que le blessé était
A 13 heures
Otrcfa ÀrtlrtîqUtf; — 20 h. 30: répétition transporté à l'hôpital iMauard Herriot,
Température: H- 20A,
dans un état déstspéré.
Enfants d'Orphée. — 20 h. 30: répétiPression: 743.6, :
Interrogé sur les motifs de son acte,
tion
au siéfee, concert du !«' juillet au
Varintion de la pression: ptationnalre. "
le cafetier, nommé Alonzo a déclaré
Jardin de Ville.
Direction du vent: Nord-Est.
Jeunessa communiste. — Réunion géné- qull avait eu peur de Gustave Fleurs,
rale s 20 h. 30, ft là Maison de la Jeunes- lorsque celui-ci pénétra chez lui, Il â
se, rue JeEU3-Jacque*~Rausseau. 7.
été mis en état d'arrestetion ainsi que
Syndicat dos Peintres, — Pernianenco la femme Ouey.
ce soir de 17 h. 30 e. 19 h., ft. la Bourse
du travail, salle 12. pour les adhésions et
renseignements.
On arrête à Zurich un policier
allemand qui aurait entrepris
en Suisse une action contre
l'ex-chancelier Bruning
L» vente annuelle cU-.s: o-bje'.s trouvés
constitue- généralement' un spectacle
•asmr, pittoresque. .On sait, en effet, que
!a distraction de nos contemporains leur'
fait.-'égarer parfois im choses les" plus;
hétérodites et que le btirean des objets
. trouvés constitue un véritable musée
de la cocasserie. Voici ûiie-vue plongeante de la vente aux enchères .qui
AU
TRIBUNAL
CORRECTIONNEL
DE GRENOBLE
AUDIENCE DU 11 JUIN
LE LEGIONNAIRE REPENTI...
eut lieu hier, ru* tfAgier, à Grenoble.
Les bicyclettes y lurent particulièrement à. l'honneur — une cinquantaine
environ, >— ainsi qu'on peut en jugerL'une d'elle *ut adjugée à 1 te 10; les
autres à la. moyenne'de 30 francs. Au
total, cette vente produisit un peu plus
de 3.000 francs.
Contre la hausse
injustifiée
des prix
Le Préfet de liséré croit devoir faire
savoir à ses administrés crue. <iês le 9
cotiranfc, il a donné aux services compétents toutes instructions utiles pour que
des procès-ver baux soient dressés dans
le cas où une hausse injustifiée serait
conKtfttée sur les cours des denrées alimentslres ou produits tie première né-
Nous avons relaté les circonstances «Sans
II dernande à ses administrés de voulesquelles mi arrêté le 10"avril dernier Al- bert 'Bled éx-l&stonniihe, qui avait tae- loir bien lui signaler les battéeea injusti- nacé À-'.mort, SOUK conditions, son éx amie fées dont ils auraient connaissaiice afin
Mm» Vlard parce que celle-ci, employée de lui permettre de saisir, le cas échéant,
dans une mairie de in banlieue,n'avait
, pas voulu suivre les couse)]» néfastes que l'autorité judiciaire conformément aux
' lui -donnait ce triste individu. Ces eon- instructions de M. le Ministre de l'Intc• «eils consistaient à accepter une complicité dans ^'escroquerie de cartes iiideuDeux gardes courageux, MM. Ëauvat et
Glbes empêchèrent Bled du mettre a exécution ses sombres desseins. Nous retrouvons Bled, dans le box des accusé», très
' assagi, uiit* bonne allure d'employé de bureau rangé.
A asseoies, M" Groll, pour le défendre.;
M. le président Orosclaude, dans son Infinie borné, tend une fois encore i Bled
une perche aecour&ole. - .
Après que Mme Viaid soit venue déposer et expliquer comment Tejt-Ièffiannaire
JA' menaça de coups de revolver après
•l'avoir souvent battue, Bied- supplie le
président de l'épargner et de lui laisser
.; reiaire sa vie (..-.Concernant l'escroquerie au
cartes
; d'identité, il précise t oué ses combinaisons ont'-toujours- raté,-sauf dans un
•• »eiU cas ou il toucha uns petite somme
AU PALAIS ILES
VOLEURS D'AUTOS
SUR tA SELLETTE
Hoïîert et Bravard, les deux voleurt -d'autos dont nous avons relaté
il y a quelques Jours les'exploits ont
été extraits hier de la prison SaintJoseph et conduits au cabinet 4e M.
Rey, juge d'instt-uction. Les deux
mauvais
garnements ont été confrontés avec leurs victimes. Ils ont
reconnu les différents forfaits qui
leur étaient reprochés.
Le président- — Bied, vous -êtes sur la
On sait que, ces vols ne concernent
limite de l'indulgence. Je veux bien croire pas uniquement des automQbUes,
' en-votre repentir. »
h% trilKinni condauuie -.Albert Bied pour mats différents objets tels des.monCRC roquer U» & trois 'inoî." de prison et" à tres, etc.
\
"
1Q0 francs d'aïuende; pour port d'arme
prohibée. ft, 2 mois de.pri.son et'IOO francs
avec contusion des deux peines. Bled
échappe ainsi à la «légation.
UN.PISTOLET DE L'AN II
C'est un habitant de pomène qtd a
-eu de gros revers, beaucoup d'erabéte•îiu-Tjts et dont les alTairca ont mal tourué. Cela lui valut une-.liquidation Judi*
cintre, déclencha la vente de sa propriété.
«t l'obligea, à entrer dans un appartement
sur lequel il avait encore redevance &..
'"payer. I>e la, vente de sa propriété.-M. M.
- retira, i peu prés. 50 000francs. Sea dettes payées, il lut restait à toucher 3,000
Or. au montent ou il voulut, étant• gé• né, toucher ce petit pécule, l'acquéreur de
.sa propriété fit opposition.
.. . Et M. M. de décider, incontinent, de
Jouer à- M. B.. l'acquéreur, le grand Jeu,
" « ~— Si vous franchissez le seuil de cette
propriété que Ja vous -Al vendue, pour la
' première fols c'est deux balle» dans la
peau: pour la deuxième; quatre 1 »
La progression arithmétique semblait
dune logique irréfutable.
M* Guérln, avocat de l'irascible pro• prié taire, produit l'arme dont se servit
M, M., un pistolet de l'An II qui eut
amené immanquablement U mort de son.
. propriétaire!
M .M. est finalement condamne à. 15
s Jours de prison avec sursis et a 30 Crânes
UN ACCIDENT MORTEL
Mortel fut cet accident qui eut lieu le
3 mars 1936 sur la route de Corenc, au
, hameau des Aiguinàrds.
TJn charbonnier, M. Bersy venait de
- charger sur ses épaule* Un a«c Juché Sur
une camionnette. Il allait traverser la
? route, avait même fait un pas en avant
lorsqu'une auto arriva en trombe: cello
de M; Pèsent). • L'automobiliste fut-il 'dis-trais- Le malheureux charbonnier fit-il
,'. uu pas de trop en avant. Personne ne le
Ce qu'il y a de stir, c'est que M. Pierre
Busy y perdit la vie,
"-->
M. le bStotmier TiS3oï défend M. Pcaeaii. M» Perrarê us,; partie civile pour la
famille de la victime,
Le tribunal fixe les responsabilité» à
•trois-quarts pour Pèsent: et un quart pour
le piéton. Ce qui entraîne le Jugement
suivant : E0 francs -.d'amende; 5726 fr. 70
de frais divers. 1000 francs de pension par
an pour la mère de M. Pierre Busy et 600
fTattos de frais de deuil pour la demisceur de ce dernier,
Le concours
de la Gaule Sportive
à Tétang
de la Buîsserate
La Saule Sportive' est une. vaillante .•société dn pèche qui ne ménage ni ses etforts, ni... le tenipe de ses dirigeants. Et
ceci explique la marche toujours ascendante ae son effectif do pêcheurs et le
succès deg manifestations ou des fêtes
qu'elle organise.
Dimanciie dernier, la daule. avait donné
rendez-vous h ses adhérents à l'étang de la
Buiaaerate, dans lequel a Heu, annuellement son concours.
Et on a encore en mémoire la personnalité regrettée de M. le docteur Roux,
QUI fwt certes, le plus désintéressé anIrnsteurde société, qu'aie connu notre région
et qut ae manquait jamais de .présider
cette Joyeuse manifestation sportive.
. C'est précisément la mémoire du regretté disparu qui fut évoquée par les nombreux pécheur» (180 concurrent»l. à l'heure où le coup de pistolet réglementaire fut
donné, pour annoncer l'ouverture des hostilité* ."-.:--.,•
Leis lignes fquettèrent l'air-et les bouchoa^ s'agitèrent Sur la surface placide du
hététartï. . " '
;> tn4lquoj-H&',s-to,ufc.r.de. suite.,, qu'en dépit
d'un réerapo-issounement intensif, les résuîlets furent maigres, : sinon décevants.
I! y aveit cependant une cause certaine
h pareille anomalieOn la trouvera dans le fait que le poisson etn.it précisément au moment du
frai, ce qui a te don de le distraire et de
le laisser insensible i l'attirait... des as-
Or donc, à huit heures, le concoura
commença. Voici les noms des dix premiers pécheurs qui s'Inscrivirent — par
leur succès —• on lettres d'or au livre
blanc de là Oauîe Sportive.
1T MM. Routins. avec 950 points: 2»
Paul Glraud. 900 pts: 3^ Mathlas, 770 pts:
4" RumiUat père, 7B0 pts: 5* Guilleret,
380 pts; 9« Jaymootl. 320 pts: 7» Grousson,
140 pts; 8° Dettonna, 120 pts; 9» Mme Perler, 11B pts; 10û ex-*quo : MM. GobbJ,
NOYE-SOUS UNE CAPOTE
Garavel, Bouzon, liO" points.:
La plus grande Joie ne cessa d'animer
D'AUTO...
Cette.fête. Deux buffets copieux ne cesM. Eugène Coutet est mêcantcien-satagieto. Un déplorable- accident où la fats, sèrent de fonctionner Jusqu'à l'heure de
îHé-Joua apurement în plus grand rûle, la clôture.
L'sbotidance des matières nous a empêle fait asseoir aujourd'hui Sur les bancs
ché de donner plus tôt le compta rendu
de la correctionnelle.,
Voici les circoîi^'uni-es tragiques et. peut «e ce concours qut obtint le succès le
être un loues de cet accident :
Plu» entier. "['
•:•
Le 22 février, vers 18 heures. M.-Coutet
emmenait i;:ui* une petite auto an client
éventuel. M. Fntucols Epis, afin défaire
avec ce .véhicule des essais de consotnuia" La route était bombée et le .sol-glissant:
L'allure de l'automobiliste n'était- " point. exagérée oo à 40 km, à l'heùrel; Soudain
". lin dêrapSKc se produisit; - .l'auto versa
niaîencoiitreusï!;i\r:i!; Lians un -.'-fossé, " su
ïond duquel il y avait de l'eau
L'accusaiian affirme que M. Epis s'y
noya be! et bien.
Le prévenu soutient que M, Epis n'était
déjà pas * très bien » en montant; dans
l'automobile et qu'il put très bien mourir
de, toute autre, chose.
-•
. Ce n'est cépenciaut- pas la -thèse adoptée
par le Tribunal qui condamne M. Co-ùtet
a 50 fràocB d'amende. & 5.000 francs de
dommages-intérêts eiivers la mère de la
victime, à 2C0 franc» envers ses frères .et
«ceurs, fixant - les frais de funérailles a
rembourser à 534 francs,
M« Ferrère détendait M. Coutet. M" Chevaiier était partie civile pour la famille
de M. Epia.
UN TOUT PETIT COUTEAU
DéSESPéRéS
C'est avec un .tout-petit couteau que
l'Italien Lobasclo, +0 ans. blessa griève- mois de prison sec, 50 SariCS d'amende et
ment au visage Louis Arnoliin. qui certes BOB francs de dommages-intérêts. Arnoliin
avait tout fait pour être ainsi maltraité est condamné à 50 francs d'amende.
dans son « esthétique ».'
-.Défenseur d'Arnollin: Me Groll.
Les deux hommes sortaient du café de
Défenseur d'Arnollin: M« Grolte.
- la rue Gércnts: ils eur^ntmie tiiRcuislon
- -pour un briquet, et cette discussion dégéEN TROIS UGNES
Au cours cie celle-ci. Arnolïln reçut les
Pour isiîracUon îi' arrêté d'expulsion. le
îjlpfi^ures que l'on sait.
nommé Hayroond est condamné & 16 U.
Le Tribunal condamna Lobasclo à un d'amende avec sursis.
COUR D'APPEL
DE GRENOBLE
UN CHEMINOT SE JETTE
DANS LE RHONE
— le Temps
d'aujourd'hui
ON NOUS COMMUNIQUE
eèjjardins
La recette du jour
ROUGETS «SAUCE MARINIERE»
— wetloyes et luv^z les rougets, séchezles. puis : passes-lés ié(jérein<?«( dans de
l'huile, avant de les mettre à griller SUT
feu de bois, si cela .tous est possible, la
cuisson demandera de 15 à 18 minufes
Aye* là précaution de prendre des roupets de la, mêinc grosseur, pour que le
temps de cuissort soit le même. Une:
jois cuits, placez les poissons sur un
pltt chaud et servez-les avec la saiice
suivante.
Dans une casserole mettez un bon
morceau de beurre, trois échalotes fiackêes, de l'estragon haché, trois cuillerées de vinaigre, autant d'eau, sel et
pûiore. Faites cuire quelques minutes
et versez dans ta saucière.-^ CENDRILLON.
. . - JP
EXPOSITION
INTERNATIONALE
013 AlC 1 3J ET DES'
TECHNIQUES
dans la vie moderne
PARIS-1937
NOMBREUSES MANIFESTATIONS
ARTISTIQUES. SCIENTIFIQUES,
UTTEltAIRES ET SPORTIVES
MA1-NOVEMSF* - 1907
| £^ «/WJ 1%T £\ T% f f^
RUE DU REPOS, A LYON
UN CAFETIER ABAT UN CLIENT
î
i
i
I
I
s
Slar étudiants de différents villages
de ia proeïnce de Jtfttrcie, qui étaient
arrivés ces fours dersferj dons cette
ville afin d'y passez-leur *. hachai *, ont
été'arrêtés pour avoir crié: tVive le
fasciat*. devant l'édijîce de l'Université.
Les six étudiants devaient ss présenter
te lendemain devant les examinateurs
Interrogés pat un tuge, its six jeunes
gens ont déclaré qu'ils ne, s'étaient paj
suffisamment prépares1 aux examens ti
n'osaient pas Vàpoucr à leurs psretits:
Us avaient poussé deà vivats dans le but
de se faire arrêter,
Les autorités ont vu confirmer la véracité de ces affirmations, car trois des
étudiants sont\-affiliés MU parti républicain de M Marlinez Barrio, président
âes Cartes, et aucun des autres ne fait
partie de Vorgantsation fasciste/ Ils ont
été libérés dès le lendemain matin, mais
les exameUs avaient déjà eu lieu,
, La ruse des six cancres a d'ailleurs
dépassé leur but"; car les journaux ont
relaté leur exploit et les parents ont été
mis au courant.
Quelle semonce ils ont du recevoir f
Sans compter qu'il va falloir trouver
autre chose pour la sessfon d'octobre.
— LE CURIEUX.
DE GRENOBLE
REVEILLEZ LA BILE
DE VOTRE FOIE-
La tombola du Club Bouliste dit la
Capuche- — Voici les numéros gagnants
de la tombola du 7 juin :• le n- mi -gagne le gros lot. Les numéros finissant
par 1 gagne un lot. Réclamer air café
Mégy avant te 30 jum.
Le pique-nique de la classe 1,528.• H
est rappelé aux sociétaires et à. lpUr^lamllle que la sortie pique-nioue de, l'Aînicaie aura lieu dimanche 14 juin, *ux
Charmeties. Départ à 9 heures dn siège
social, par La Monta, Proveysieux^ Pommerey, col de la Channette. Repas tire
des sacs dans la prairie ou à la maison,
forestière. Retour par la Chartreuse!de'
Curriêres, Saint-Laurent-du-Pont ;et"La
Placette.
'
Cercle Ménager ûe Grenoble. — Réunion des adliérentes le mardi ; 18 ; juin,
à 15 heures, à la Ciiambre de Comnierc"
pour la mise an point de l'organisation
de l'Ecole d'Employées de Pamilic. Inscription des Maîtresses de Maison ^disposées à prendre une apprentie au inois
d'octobre.
Le 17 juin, è, 15 heures et à 20 heures,
les membres du Cercle sent spécialement
invitées à une démonstration culinaire.
Le 22 juin, conférence publiq'ùû de
propagande en faveur de l'Ecole d'EmUn attelage s'emballe, quai de France, ployées de Famille, avec projection d'un
— Hiers, vers 8 h. 45. quai de France,
une voiture militaire attelée de deux chevaux passait devant la Manutention,
quand brusquement- les chevaux s'emballèrent, entraînant à toute vitesse l'attelage qui, manquant le tournant du
pont de la Portc-de-France. heurta le
parapet de pierre avec une telle violence que deux des énormes blocs qui
le constituent furent écartés, laissant
une brèche assez large. Les chevaux
furent blessés mais, par miracle, il n'y
eut p3B/-d*accident de-personne. ..., Sacrifiés 1 3o0 Robes Bte Couture im-'
primées. Albène et antres. Tailleurs, ensemble, 4flfr\,.38 fr. Lyliane, 33 c. Berriat
La fugue de deux enfants. — Vers 17
heures, mercredi, à, la. Rare P.-L.-M.. parmi les voles, des employés de la Compagnie trouvaient deux enfants, Robert
Quard. 10 ans et sa sceur Ginette. :
Le garçon, pour expliçuer leur présence déclara :
— Nous sommes orphelins. Nous venons de Pont-de-Champ et nous désirons
nous rendre chez notre oncle, facteur à
Aigueblanche (Savoie).
Pour toute fortune, le gamin ne possédait que vingt francs, M. Michaux,
commissaire spécial, ouvrit aussitôt une
enquête. Il téléphona à M. Quard, à, Aigueblanche, qui lui répondit que son
frère, soit le père des deux enfants, était
en parfaite santé, puisque la veille 11
avait reçu de ses nouvelles.
M. Michaux avisa ensuite le maire de
Champ-sur-Drac. la , gendarmerie
Vizille et finalement fit hospitaliser les
deux gosses à l'œuvre de la protection
de l'enfance, au Sablon,
Le lendemain, le pot aux roses était
découvert. Les parents des disparus se
présentèrent à la gendarmerie de Vizille.
Ils furent aussitôt renseieiiés et purent,
dans la journée d'hier, venir chercher
leurs enfants au Sablon,
, ;
. Tout compte fait, le îeune Robert avait
imajiné un roman. lp n'y avait aucun
décès dans sa famille, mais à la suite
d'une remontrance de son instituteur, il
avait résolu de s'évader, emmenant avec
lui sa petite sœur.
29 fr. Chapeaux DâmaMod. Paiîs. feutre,
paille. Coloris mode. Arly, 70 c. Berriat,
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...et dissous
les
graisses.
Plus de fourchettes
récalcitrantes dont
les dents recèlent
d'îrtdésïrobles''' déchets ; plus d'assiettes
grattées
avec l'ongle. J'agis
seul, vite et bien.
Léger accrochage, — Vers 11 heures
hier matin, rue Lafayette, un léger accrochage s'est produit antre l'auto de
M. Eugène Giroud. demeurant k Revel
tisèrc) et l'attelage conduit par M. René Obltz. employé cheïï M. Moyroud. camionneur 7. rue Génissieux. Les dégâts
sont peu élevés.
Globe-Trotter, H, B"1 Gambetta. Grand
choix art. voyage, camping, maroquinerie
La grande fête rie bienfaisance de la
place Jean-Achard. —• Cette fête connaîtra la faveur du public pour beaucoup
de raisons. D'abord parce qu'on voudra
répondre à l'appel du Comité d'organisation qui prépare les grandes journées
des 4 et 5 juillet au profit des œuvres
de l'Enfance. Une fois de plus le Syndicat des marchands forains de la place
Jean-Achard renouvellera ainsi son bel
effort. Enfin la fête retrouvent son succès habituel en raison même du programme prévu, plein d'entrain, de musique- et de danses, pendant deux jours.
Pour aujourd'hui nous publions la composition du Comité d'organisation : Préaident, M. James ; vice-président, Jourdain : secrétaire. Cliamblas ; secrétaire-adjoint,Thoinassefc ; trésorier, Schiffer ; trésorier-adjoint. Campagne; membres : Delguist, Albano, Roux, OfTand,
Abecassis, Callet, BelDat, Zeni, André,
Tissié, Imljert, Charretier, Bolby, Irissou.
Et rappelons en terminant qu'une
grande tombola Sera tirée à l'occasion
des prochaines journées de bienfaisance.
Parmi lés lots principaux : mie motocyclette, une salle à manger, une bicyclette, etc.. Les billets sont en vente.
Fête de la Jeunesse. — Comité d'Organisation. — Toutes les personnes qui participent au service d'ordre de la Fête
de la Jeunesse, sont priées d'assister à
la réunion qui aura lieu le samedi 13
juin, à 17 heures, au Stade municipal
(côté ouest). Présence indispensable.
Frigidaire depuis 2.5Q0 fr. Concessionnaire: Garabloi, 8, cours Berriat.
Des vols au Parc des Sports. — A peu
de jours d'intervalle, deux vols ont été
commis au Parc des Sports, cours JeanJaurès, dans la partie réservée aux
courts de tennis.
REUNIONS DU SAMEDI 13 JUIN
M. Marcel Guerry. industriel. 11, plaSyndicat du Livra.— Réunion des
ce Victor-Hugo, a signalé à la police
équipes de nuit à H h. 30. A Bourse du
qu'on lut avait volé, dans son veston
accroché au vestiaire, une somme de
DO II JUIN 193$.
Modeiturs mécanlcieni. .*— Réunion' à
350 francs.
15 heures, àala Bourse du travaiLri,
De son côté, M. Gilbert Valher. étuEnfants de.l'Oîîans. — As-icnibiée générale a 20 11. 30.-café du Commerce, place
diant,
3, rue Vauban, a fait connaître
Naissance, — Jacques-Hènrl-Aime Rtgal,'
Grenette. ModillcatlOîi aux ctatuts.
qu'on lui avait dérobé son portemancours Jcan-Jauré5r a*;. ,. . . . •
Chambre syridtcalti des tslnturiera en
Publications de mariages, — M. Ëymer?, naie contenant 32 francs. La police
oe»ux, — Réunion à;30 h,, à la Bouise du représentant
de commerce, ruo Bavard. 2, procède à des recherches.
et ïï. DaïtuU!. s. p.. rue Coibert. 14: C. BfllAmicale des retraïfés ,-—,
des ch«min»
de ; clucci , garçon de calé, rue Trés-Cioitres,
•..— —.duce!
Renversée par un chauffard, —sorfer, — .Réunlpu, r érale A 17 heures,
—"" '|S7,
— et L- Boggloz, s. p.. rue Três-Cloltrcs.
bar ThCiias. cours „_..•.,.
.
,,
Triât, - •-.;27; R. Chichignotid ébéniste, rue Bergo- tant de son domicile, 104, cours BerFédération nationale du bâtiment. —
et O, Bernard, erapl. de comtnerce, riat, Mme Petinot. âgée de 67 ans, en
Réunion à 20 h. 30,: au vieux Brmnaso. gniè,
avenue
d'Eybens,
25;
M.
Illy.
emp!.
des
descendant
du trottoir, devant l'Odéon
boulevard Oanibett».•P.T.T., cours Berriat, 47, et O. Bernard, Cinéma/ a été renversée par un autoa. p., à Bourg-d'Otsans f Isère t.
Mariage. — L. Deshaves, rédacteur des mobiliste qui débouchait de la rue AbbéContributions directes, et R. Jouffrey em- Grégoire.
ployée de bureau. .
| Ce dernier stoppa quelques secondes,
Décès. — Henri Antoine Gianoll. 31 ans, j injuria la victime et, sans autres explis p,, rue Eraiie-Ciueyinard; 11; Emllie-Pau- cations, disparut. Le numéro de l'àuto
llne-Marle Bton veuve Leaaïo. 57 ans, s, p., a été relevé et des recherches sont
i rue Erncst-Calvat, 27: Louls-Hehri Tnpe,
< 02 ans, mécanicien, rue du Moucherot-- faites pour retrouver ce singulier au66: tiéou-Eiîiiie Vigne, retraité des P.\ tomobiliste.
Sanà calomel — et TOBS sauterez du Ut te,
l'.T.T., 83 ans. rue Lnvolsler; ff. ;
ïe matia "gonflé à bloc"
Un galetas cambriolé. — Un malfaiD faut que le foie verse chaque four on litre
teur s'est introduit dans le grenier loué
Vmimcalions A'poc/îte.f 4. rue Docteur-Bally. par Mme veuve
de bile d*os finieslirt. Si celle bite arrive rtuî.
vos aliments ne te digèrent pas. ils se putréfient.
Sâul. j demeurant 5. rue de Palanxa. Zl
Des 6« voui accflcat, vous êtes constipe. Votre
AliebrogB. — Au uymnase Anthoard * a dérobé un petit meuble et divers
ctnrirf *'empoisonne el vous IHs amer.abattu. 20 h. 30.
effets, le tout valant environ 1.200 francs.
Vous VOT" tou* en noir '•
Esaérance. — A 20 h 16. café Sêchler. La police procède a. une enquête.
Les UxatKs.soo.tde6 ris-aller. Une telle forcée assemblée
générale pour dteaolution.
u'allfint pas'la cause. Seules tes PETITES
F. O. C. — Entraiaomenc fémmm. é,
Fête de printemps de la classe 1910.
"PÏLULÊS CARTERS pour le FOIE ce: It
.pouvoir d'osMirei* le ii*ve allluv de lui» Qui voiht
C. 9. Italien — A 20 heures, an siège II est rappelé aux conscrits que la fett
remettra d'apiomK Vegêtaleâ, doute?, étonnantes
Amicah Bouie des Perriéres (c)Oe Per- de printemps a tlcu dimanche 14 juin.
pour t.. •• couler 1a i. - ' i.-.-'••.-'•. •••
riui. — Samedi 13. à 20 b-au alêne. Orga- Rassemblement à 9 h. 45 chez le camaniai» Carters pour le Foie, Toulcs Pbariaacîcs. ciiation de la fête.
rade Cachet.
ETAT-CIVIL
La cabri est payé. '-— On snit, uOus
l'avons relaté, qu'un chevreau avait été
dérobé à M_ Filiioi Charles, 15. avenue
de Giéres, qui l'avait oiïert aux;4iriÉeants d'une tombola de Samt-M&rUnd'Hères. Le propriétaire du cabri a. été
indemnisé de la 'valeur- du rï;Lir! et'^a
retiré la plainte qu'il avait déposée:;
Votre vie
peut changer
aujourd'hui
Vous êtes las, vos digestions sont mauvaises, vous dormez mal. parce que vous
êtes agité, préoccupé. Le • matin, vous
vous levez avec la bouche mauvaise, vous
souffrez de la constipation, tous ces malaises, c'est bien de votre faute si vous
les supportez i II vous suffirait de prendre chaque soir une tasse de Thé des
Famiiles, délicieuse tisane laxative, dépuratlve, qui, agissant à la fois sur l'estomac, lé foie et l'intestin, aseptise tout
le'tut» digestif et purifie le'Sans; :
''•-,' En effet, le Êuccès
du Thé des Familles
est dû à ce fait que
c'est un mélange de
18 plantes différentes :
4 agissent sur le foie,
3 agissent sur - l'estomac et régularisent la
digestion, 5 plantes
réveillent l'intestin, et
6 plantes aromatiques
donnent au Thé des
Familles son goût délicieux. Aussi, quelle
que soit la cause de
....
votre constipation, le
Thé des Familles est certain de vous en
délivrer, Selon le mode d'emploi inscrit
sur la grande boite, dosez vous-même
chaque soir votre tasse de Thé des Familles suivant le résultat obtenu la
veille. En quelques jours, votre constipa'
tion ne sera plus qu'un mauvais souvenir et vous aurez définitivement chassé
tous les malaises qui découlent de cette
terrible infirmité : lourdeurs, vertiges,
vices du sang, boutons, douleurs du foie,
etc.- Le The des Familles est également
le vermifuge des grandes personnes, car
il aseptisé l'intestin. La- grande boîte
coûte 6 francs chez votre pharmacien.
Buves tous les soirs votre Thé des Familles, et tous les matins, vous vous réveillerez en bonne santé.