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TEST DE SECURITE ET PUISSANCE DES VACCINS S T A G E F A O S U R L A P R O D U C T I O N D E VACCi N D A K A R , D U 17 O C T O B R E A U 5 N O V E M B R E 1 9 8 3 P a r VIGIER M , , F I K R E Y . e t LEFORBAN Y. R E F . N081/VIR0 OCTOBRE 1983. TES? DE SECURITE ET PUISSANCE DES VACCINS Par VIGI ER M.“, FIKRE Y.% et LEFORRAN Y.- :. I NTRODUCT I’ON Dans les différekits exposés, sur les différentes productions de vac- cins, les contrôles speci f iques vous seront exposés. Notre but est de rappeler I es pri ncipes génkaux de contrôle des vacci ns et de montrer leur évolution avec les progrès scientifiques. Nous allons insister aussi sur certai nos règles à observer durant la fabrication même des vaccins, règles dont le respect i nf 1 uera sur la quai i té future des vaccins puis nous envisagerons successivement les tests d7innocuité et les tests dqimmunité. I - Regles de fabrication à respecter I I - T e s t d9innocuité I I I - Test de puissance. P ,L A N I NTRODUCT LON I - REGLES DE FABRICAT l ON _h... ..I . . _<_.. . 1 - Contrôle des cellules a) Gel lules de premiére expiantai-ion b) Les lignées tel lulaires. : 2- Le contrô I e des oeufs ,,‘. (schéma I FFA - CREDO). 3- Le contrôle des mi I ieux et des adjuvants a) Milieux b) Adjuvants. :i 5: National Veterinaty lnstitute Debré-Zeit ti MAISONS-ALFORT (France) Mlssion v6térinai 1;.‘;.f;& ‘: (Ethiopie). ;. re française en *Ethiopie. * Laboratoi re national de I ‘Elevage et de Recherches vetéri B,P, 2057 - DAKAR-HANN. nai res - 2 4- Le contrfjl e des souches vacci na l es .-< a) ContrClle des nassacjes : souche dgori gi ne, lot de semence, production industriel le b) Contr5le . des souches avant fabrlcatlon lot de . c) Contr3 I e de I a souche en cours de fabrication.. 1 I - TEST DP i NNOCUI TE l- Vaccin i nacti vé a) Contrôle d’inactivation b) Contrôle de stéri I il-6 CI Contr&le d’absence de r6actim cl) D i s p o s i t i o n s partlcul locale ères. 2- Vacci ns vivants a) Pathogénicit6 résidue le b) C o n t r ô l e d e l ’ i d e n t i t é et de la purét6 . . CI I nnocuité proprement d ii-e. I I I - TEST DE PUISSANCE DES VACCI NS du vaccin .,. A- Test d’immunité sur 1 ‘espèce cible a) Candi tions d’épreuve b) Dose d’épreuve CI qua I i té de la souche d’épreuve d) Date de l’épreuve apr&s vaccination e) Candi tion de lecture. B -Test d’immunité sur espèce autre que Ivespèce cible C- Titrage de I ‘antigène 1 - Vac.ci ns vi vants . . . ..- 2. - VaGcLns -1 ~c$jy&. :,*; D- Ti -l-rage des ant i corps .: E- Contrôles di vers. CONC LiJS’I ON ._ __. . . -- - 3 l - REGLES DE FABRI CAT I ON Dans la prodgction premi èresF’ des vaccins, nous-aurons à uti I iser des “matières qui peut-mn-t influer sur la qualtté particulier Toxicité sur leur primaire future des vaccins, en -toxicii%.,, (transmission de maladies telles l a maladie d e s muqueuses,‘oncog6nicit&P que être rapidement di agnostiquhes, de vi.rus adventices tek que la maladie des if?SkCSeS, S i CerfaineS v i r u s lents.,.). “taxi ci tés” p euvent les par exempl e I a présence muqu@kX?Sj te!3 COtd’rÔ~eS.~~U~ rants ne permettent pas de détecter I e pouvoi r oncogène de certai nes lules, la prkence de virus .CE?( - lents dans le cerveau ,d’un mouton utilisé pour la production d’un vacci n contre la rage. Toxi ci te seconda1 o u retardee, r e : création d’état d’hypersensibi Iii-é immédiate p a r l ’ u t i l i s a t i o n d e m i l i e u x , d’inactivant, e t c . . . n o n adaptes. Ces états d’hypersensibi Ii-t-6 apparaissent souvent tardivement, ‘. . aprQs Ila répétition des vaccinations et c’est au moment de la fabrication des vaccins que les con-t-rôles peuvent être les plus efficaces. Nous al Ions donc rappeler quelques règles en ce qui concerne : l- le contrijle des tel lules 2- le contrôle des oeufs 3- le contrôle des mil ieux - adjuvants 4- la manipulation des souches vaccinales. Le contrôle de leur antigénicité avant et durant la fabrication des vaccins. 1 - Le contrôle des tel lules Nous pensons qu’un servi ce %ultures tel lulaires” est nécessaire dans les laboratoires de production pour le contrôle. a) Les cellules de première ““““““I”“““““““” “““““““““”exelantation ““““““““” Les Gel jules de première explantation que nous uti I isons sont le plus souvent d’origi ne ovi ne ou bovi ne ; el les présentent moins de danger pour ,I ; ‘. : CI ; .; .-i l’homme que les cellules d’o,rigJne simienne (voir e,xposé sur ~a s+curi@ .’ au laboratoire), mais on peut toujours craindre la présence de virus advent i ces ; les virus cytopathogènes sont rapidement mis en . . / . ..a évidence - 4 (épreuve dc séroneutral isation totale du vaccin), Ies.v-i.rus bien connus non cytopathogEws (tel les que certaines souches de In maladie des muqueuses) peuvent &t-e mis en 6vidence au glemsa, à I ‘acridi palhogenes assez faci ne orange , des cet I ul’es tkoi’ns lement (coloration non i noculEes -‘avec I a souche vacci na I e . ,. 1, mais i I n’est pas ..!.nterdi t de penser .que certaines souches de vi rus peuvent ne pas &-tre dCcelEes par de tels tests. Au loboratoi re de Debré-Zeit, nous avons ajouté aux tests d’ innocuité normaux, Ivinjection I/C à des souris de’O,03 ml de la suspension virale récoltée, pour les vaccins Peste bovine et Clavelée. Dans le même esprit, nous nvuti renales lisons pour la production des ce! lules que des veaux et ‘des agneaux nouveau-nés provenant d’élevays cent t-6 i és . De pl’us, dans le cas des tests dvinnocuité Peste bovi ne, nous uti 1 isons des vr3aux pour les vaccins contre la sans anticorps contre la Nucosa disease. Toute apparition d’anticorps contre cette ma tadie 9montrerait I une contamination du vaccin. b) Les I ignées cet lulaires ..---.s~~I..------c1~~~- . Le problème principal qui sFest <osé c’est te,,pouvoi r oncogBne de ces tel lules. Pour la production de certains vaccins ?I usage - les lign6es cei lulaires diplol’des dvorioine humain9 on uti 1 ise : humaine : exemple : vaccin contre ta rane. Pour les vaccins à usage vétérinaire, on utilise en dehors d e s c c l lules d e p r e m i è r e explantation - les liy-kes cellulaires’dl,ploTdes dvori@ne~animaIe~; dvoriqine ‘-. animale : exemple : vaccin contre la ra2e - I nsti tut Pasteur ; 1 . . . - l e s l i g n é e s tel ulaires n6n diplordes d’origine animate. On peut se pro- curer ces cet lui es après que les contrôles aient Até faits dans des organismes spéc al Isés de réfkence (exemple : tel lule Vero pour la Peste bovine). Le nombre des passaces dol t être I imité. . . ./ .a. . - 5 Le service “cultures tel lulaires U devra donc constituer un stock de . _ ,. .cellules en azote liquide pour riviterles nassages trop nombreux, Lës tests ‘principaux qui permettent de suivre ’ l tévolution des I ignées tel lulai res ,sont : : 2. - l’étude de la morphologie des cellules,’ ,: ‘=, J’étude des antigènes’cel luIaires, isme (ex : besoins ‘en &rum ‘pour I a croi Ssance), . i - l’étude du profil protéinique de ces cellules, - i’éi-ude du métabol - l’étude d e l e u r s e n s i b i l i t é v i s - à - v i s d e s diff6rentsv i r u s , ,. . ,. A ces 6tudes s’ajoutent : - I.a recherche des copfaminants viraux .. I. ._._-.: . _ . _ . . . Aucun effet cy*-k@‘fhogè.ne en 10 jours de cul ture l Aucun agent hémadsorban-t . Aucunes i ndusions’ (h6maties de pou1 et, humai ns O’, et”cobayes) (ilemsa, acri di ne orange). Sur : - cellules primaires. rein de veau . -._ ., - cqe I I u I es V&33 -, tel I ules .BHK. . - .’ * R é s u l t a t : - aucun effet cytopathogène - aucun pouvoir hémadsorbant - aucune Inclusion. _.-. *’ -.. ._ _._ . - - - . _ l I arrive cependant que des I ignées tel lulai res soient ; 1,. contaminées .,. : : l a l i g n é e lEkVS2 est porteuse d’un vir,us atténué de la peste porcine ; .... : .I. ,. ,‘:,: :, ’ ce virus sè retrouve à la fois dans les tel I’ules et dans les milieux de i ,. , ., culture. ” ,. ’ Recherche d’autres contami . . . - ‘” bactériens, :,,_ Par ,’ nants ‘ -’ fongiques j.. .‘, - mycoplasmlques. ; <’ c u l t u r e s sur~milieux .: :,i i<, ! 7. appropriés. : .“. .’ : ~ k -: . . ,‘: I l . ../*.C . . ‘, .’ I . . .i ~ ,. .:’ “’ l * - 6 Recherche d p un pouvo i r oncogène Inoculation dvoxtraits de tel lules ou de tel lutes ii dns souris ou jeunes hamsters déprimes par la cortisone. Observation 60 ,jours. On ne doit pas observer de tumeurs. I nocu I at i on en m8me temps de ce I I u I es tumora les 2 des terroi ns déprimés à la cortisone. Observation 60 jours. 50 $ des témoins présentent une tumeur. 2 - Le contrôle des oeufs (Schéma I F FA-CREDO, Animaux surpression, arands parentaux élevés SOUS voi r annexe). isol,ateurs,,, !,e bâtiment est en les isolateurs sont en surpresslon d’un fi Itre, ces précau- tions sont co.mplétées par une douche et un sas pour I ’ introduction du matériel, LPaliment et l’eau de boisson sont autoclavés. Ani maux parentaux : comme I es précédents, sont éleves ment dl-t de skurité d’a!r fi Itré, dans un bdti- et de développement. Le bdtiment est en surpression i I y a douche et sas de décontamination, l’ai iment a été préalablement candi ttonné sous doubl e enveloppe, I ‘eau est décontami née par un préchauf fage à 80°C. Ani maux producteurs d’oeufs SPF Fi Is et fi I les de la colonie précedente sont élevés dans des unit.és ~JUS grandes de 500 sujets., Le bâtiment est en surpression dvai r fi I tré. I 1 y a aussi douche et sas. Les sacs dPaliments sont sous double enveloppe, l’eau est décontaminée comme précédemment. Les ani maux parentaux et grands-parentaux subissent I es contrôles A, les animaux de production les contrôles E3;~Le~rythme, nombre d’animaux contrôlés different recherchés par contre sont les marnes. des contrÔIe~;“‘lë selon le type A ou R. Ces di fféronces Les agents existent uniquement pour des raisons économiques. Dans un petit ‘laboratoire, on peut elever la première génération sous Isolateur dans une unité en surpression et effectuer I es contrôles de type A sur cette seule génération et passer à la production’des oeufs SPF à la deuxième génération en effectuant seulement les contrôles de type B (projet de Debré-Zeit). ..a / .*. c DAT@ OIC CONTROLE ----_._ .; MALADIE : TECNNIQUI ADEN5VIR5SEi INFLUENZA nm AI M. DE GUhmOR5 M. DE MAREK REOVIROSES NI. DE NEWCASTLE EDS 76 BRONCHITE INFECT. LARYNGOTRACHEITE LEUCOSES A LEUCOSES 8 MYCOPLASMO$E G. MYCOPLASM5SE s. SALMONELLOSES P. ----Y! ?MG : ... PmQ L<’ . : w ?MQ . ! : 1 , Ill* OI* EN SN SU 8N SAL siu SAL LEUCOSES ENCEPHALOMYELITE COUL an. - Mkrobcopk VARIOLE HAEMOPHILUS G. .: ~PhlI1 - PARASIT5SES SALMONELLOSES ‘. TABLEhJ X cww-9 clbdqw x -... - - AD~NOVIRUSES M. DE GUMBORQ M. DE MAREK ‘. ...--. PMG PMG ?MG t REOVIROSES PMG .: il+* IHA 81s MYCOPidiSMUSE ‘G. ,. SA1 SA1 âhL TABLEAU N“ 2 CONTROLE DE L’ÉLEVAGE DE POULES.SPF. . TYPE s HAEMOPHKUS G. --.---- i CONTROLE DE L’ÉLEVAGE DE P6UtES SPF TYPE A -l EEHNIQUI M#.iA0IE / N* 1 DATE DEI CONTROLIS 1 - 7 3- Contrôle des mi I ieux et des adjuvants :’ a) ---mm-m Milieux Dans les mi 1 ieux, sont uti I isées des mati&res premières pcwant être responsab I es de phénomènes dv hyperse,ns i b i I i -6. i l semble que les antibiotiques, les sérums hétéroloques, les s6rums homologues di3naturés par le formol, les anti-mousses, le carboxymkthyltel 1 ulose, uti l isés dans les cultures en suspension soient responsables des réactions al lerglques du type immédiat qui apparaissent entre 1 e-t 8 h. après I ‘inoculation vaccinale et qui se traduisent par : . des chocs anaphylactiques mortels le plus souvent par oedème aigue du poumon, . des chocs anaphylactiques généraux: t o i r e s , d i g e s t i ves, dlverses (oed8me graves avec mani festations respira- au ni veau des nasaux, vulve, I3rmoiement). . des manifestati ons locales oedème, urticaire. I i semble d’autre part que les réactlons à type retardé p I us sévère soient induites par la protéine virale et d’autres protéines hétêrologues, dont les cellules BHK et les sérums, La sensibilisation à la pro-i-iine virale apparait graduel lement. En premier I ieu, les proSi nos hét&ologues non virales induisent un état d’hypersensibilité spécifique qui, aprk des sensi bi 1i sations répétees, augmente I qcffet inducteur d’autres protéines telles que la proSIne virale et autres medicaments. L’hypcrsensibilit6 retardée, r6véIateur d9un &t-at antérieur de sensibi- lisation, s’exprime entre le 1 et 2lè jour. Les réactions apparaissent graduel l ement et peuvent se I imiter à un eczéma loca I ou général i sé ou bien devenir une réaction fAbrile générale avec un eczhma, oedhme ou bien être une encéphal ite al lergique dans le cas de vaccin préparé 3 partir de tissu nerveux riche en myél i ne. Contrairement aux mani festations non mortel les d’hypersensibi I ité immédiate qui rétrocèdent rapidement, I ‘évolution de l’eczéma est lente : persistance de plusieurs semaines. . . ./ . . . En Ethiopie, nous avons observé des cas très graves d’hypersens . . .___ ..“. immédiate : i bi I i -6 - réaction. 2 I q inoculation d- vaccin lapi né, ch&: ies vaches iai tières de .’ race européenne vacci n6es tous 1~s ans contre la peste bovi ne (reaction probab I ement due . . . ,’aux:: protéi 1’ nes du lapin) p .--. ,. < __ ._.. .._-:- .-____ .-_I--. . . . . _._. . . .,.. .‘... ..-.--.--A^ ._.__” .,,.,” - réaction avec le ,vaccin contre la peste.ur,~l.lose (type B) de rriême vaches laitières de .race européenne,, .réacti.‘ns chez les si graves que nous avons a r r ê t é c e t t e ua.cci na*tl.on, rAactions que .nous a t t r i b u o n s B i “antigène .-. . _ _ ..-_-_.. _,.,_,., _ pasteur-et i i,que I ui-même. Cette hypersensi bi I i té des vaches européennes est-elle due à une prédispositlon génétique, OU à une augmentation non spécifique du pouvoir inducteur de I qantigène pasteurel I ique par des *. .-.-,‘. vaccinations trop fréquentes contre la fièvre aphteuse (3 par an) avec ,‘ : . un vaccin prEparé sur EWK (ceci a été signalé pour d9a.utres:hypersensibi: i i t6s) ou enf i n à une parenté antigéniiue ‘entre les lyoprotéi nos des . .<, tel lules EY-IK et de I ‘antigène pasteurel’iique. :, En pratique : . - dnns t o u t e prcjduc+ion, .-.-a. ..I .- -....... _ . . . . . . “-,__._ __ __ éviter les Protéi nes homologues ‘et hétéro I ogues qui. peuvent &re. des’ ‘i nducteurs spéci f i,ques ou ,Iion spécif iqties d p hypersensibilité ; - changer si n&essai re de I ignées .ce 1 I u la i res en cas de. ~?CC i nptions r6pé. .,<. t6es, C e n t r i f u g e r e t é l i m i n e r l e s d6bt-i;’ tel lulaires. 11 Semble d ’ a u t r e part qu’il y ait des différences entre les différent& iign6es de cel- lules EHK dans leur possibi Ii’té d’induire u~é~a~crl,!hypsesensibi I ité ; d’où l’intérêt du contrôle de tés lignées du point de vue hypersensibilit6; - f ai re dos tests d ’ hypersens i b i I 1 té Y exemp+e--t-- f e-..vae&+an.t i rab i que recherche du pouvoi r encépha I 1 togène (Svef - Mol davski j et Col I - l nocuiation d’un culot de vaccin centrifugé avec de l’adjuvant de Freund ( i a rage, techniques de I aboratoi re, OMS 1. b) Contrôle - - - - - - - - - des - - - - -adJuvants - -----Exemple : - contrôl e de la Sapon’i ne - pouvo i r i tif I’ammai-6 i re I oca I ( exemp I e charbon bactér i d i en 1 - pouvol r toxique général recherché sur cobayes. MALKOVCI col laborateurs - Pr6paration du vaccin anti-aphteux. E et , * - 9 4 - Contrôl e des souches vaccina I es a) Contrôle des passages e--m..-..,,.“..-“e-“---Les souches vaccina les risquent de perdre de leurs qua I ii-& par des passages trop nombreux, Le nombre dos passacles doit donc être ccnt&l6. A partir de la souche d’origine venue d’un autre laboratoire, on peut préparer apres un ou pi usi eut-s passages, une r&ol te importante, cette récolte après mélange set-b répartie dans des flacons scel 15s ; on pcurra consid&or ce lot comme le futur lot de semence. (Certains I aboratoi res considèrent ce lot comme souche initiale et *font ensuite des lots de semence). A parti r des lots de semence, on fait des lots’ de oroduction industrielle. Ceux-ci sont la récolte mé9angce obtenue aprFs inocul~ation d’un matériel biologique par un ou plusieurs flacons de lot de semence. Cette récol te de production 1 ndustri el I e rQparti e en f I acons permettra de produire une skie de lots’ de vaccins f:voir production des vaccins contre la peste bovine et la clavelée, le lot de vaccins 6-tant le contenu du ou des flacons de récolte de la production industrielle mélang6 nécessa i re, avec le tampon lyophilis6 le même jour dans le même l y o p h i l i s a t e u r . b) Contrôle de la souche vaccinal a avant la fabrication dti vaccin -----I”---_------_-L__________I_________-------------“---~---Exemples : ’ - Vaccin contre la rage : carte des d&term i nants ant igéni quos &tab lie par l’6tude des anticorps monoclonaux. - Vaccin contre la fièvre anhteuso : htude sérologique crois& des soustypes de virus aphteux. Ces études entrent en cause dans la formulation des vscci ns. L’étude des anticorps monoclonaux a.justif iéi à postkiori I ‘addition de souches indigènes à la souche fixe dans certains vaccins sud-amkicains. LP6tudo des sous types A de virus aphteux isolés.en Ethiopie, diffé- rents de ceux employés dans I es vaccins européens, nous a conduit 5 produire localement un vaccin utilisant une souche A isolée en Ethiopie. . . ./ ..* . - 10 c) Contrôle de la souche vaccinale au cours de la fabrication -“------------“r---------I---------------------------Exemple : - Fièvre aphteuse 1 - Titrage des ant igènes par la fixati on du complement au cours de la culture z- Uti I isation de l’ultracentrifugation zonale - rappelons que les antigènes aphteux peuvent contenir, essentiellement d’une part, des v i rus ou “grandes parti CU tes” ayant un diametre de 22 mu et une cons- tante de sédimentation de 140 S et d’autre part, des capsomères (ou “petites particules”) de 7 ,rnp de dIamètre et ayant une constante de sédimentation de 14 S. Ces particules ont, le. pouvoir de f i xer le camp IQment, mais seules les premières les 140 S, qu’elles soient infectieuses ou non, possèdent le , , pouvoir immunogène. Cette ultracentrifugationséparant les particules 14OS, suivie dsun titrage par la .fixation du complément a permis une mei I teure connaissance de la qualité immunogène des antigènes aphteux. II”- TEST D’INNOCUITE Lp i nnocui te et I ‘activité sont I es deux quai i tés Sondamenta les que tout vaccin doit posséder. Nous ai Ions étudier : 1°) les caractères d’innocuité se rapportant inactivés _ . aux_. vaccins’ ,._ 2’) les caractères ds innocuité des vaccins. vivants. l*) Les caractères d* innocuité se rapportant aux vaccins i nactivés a) Contrôle de l’inactivation : . . - Les vaccins bactériens ---_--_----------“---Le contr6le de cette inactivation est relativement facile en utilisant des mi I ieux de cultures aérobie ou anaérobie appropriés. Remarquons au passage que la,quantité d’lnactivantà utiliser varie avec les germes en ..* / ..* - Il cause 3 $0 de formol est une quant i’t@ s u f f i s a n t e pour i n a c t i v e r l e s pasteure I I es, IF:S salrronel les. Pour les pasteuret les, cette quantit6 de formi ne peu-t être augmentée au db 12 d e 4 $0 s a n s n u i r e 2 1*sntig~nicit~ du vaccin, 5 ?o de formol est nkessaire pour I v inactivation dè la, culture de Cl. chauvei , Dans I e cas du vacci n contre le charbon symptomatique, OD a signa 16 des accidents de vacci nat! cn par i nactivation i ncompI&> L’i nactivation des cultures ZI 37OC de spores. et avec 5 $0 de formol doit durer au moi ns 5 jours. Le test dv innocui t6 sur ccbayes devra durer au moins 15 jours. - -.s-Iw-----m---m-m.Les vaccins vi raux Lvinactivation du virus doit &tre vErifiEe avec des techniques fiables. Exempl e la rage : on admettait chez les anciens vaccins ph6nolés une virulence résiduel le que l’on la titrait sur souris. hvec propriciactone, o n Alimlne tout& virulenka I es vaccins i nactivés par rkiduel l e . ActwI lement l a sensibi lit6 du test d’inactivation est accrue par l’emploi de la concentration du virus ou I ‘emploi de syst&m:z Fièvre sensible (cellules + DEAE pai kxemple). aphteuse cJcz.5 cas rie fièvre aphteuse post-vacci nale ont conduit (21 IX mise en oeuvre dluno technique de conMIe basée sur I ‘6lution et IYJ concentration _ . . _ du virus, suivies de son ensemencement sur cultures tel lulaiws sensibles, .:i l’inoculation intradermolinguale des vaccins S des bovins sensibIes,ne permettent pas de garantir b coup sik une inkti vation totale. a) Contrâle’de ‘la stéri lit6 ----_-----_------------- sur milie; aérobie, - sur mi 11 eu anaerobi e - sur mi I ieu. Sabouraud. . _ b) Contrôle de I ‘absence de r6ac-fion I’ocafë anprrna.Ik ------------------------I-,,I,,,,,,,,,,,---~----Ceci est important nour les vaccins ‘à’ adjuvant ‘hui leux e-t saponinés. : CI .v.-.. Dispositions “BM-w-w-- particulières w..--a-m-e--:Exemple vaccin antibrucel qual it&. _. Vérifier cette lique : non agglutinog&ne. . . . / . . . <f . - 12 2’) Les caractères d’ innocuité des vaccins vivants -< . . a) -Pathoq&nicit6 - - - - - - - - - - - - - -r é- -s-i d- -u-e-l-l eLe contrcîle de la pathogénicité et_ .^ ne . satisfait pas entièrement I 9espri t ; on ne peut pas oublier la possibilité de l’acquisition dPune nouvelle pathogenicit5 est toujours par sélection d’un mutant pI.us pathoc@ne, Cette acquisition a peut-être démontr6e cibles”; difficile par passages sur “espèces non une souche ERA par passage sur le rat musqué est devenue-Lpathogène pour un renard. On a pu montrer aussi que la souche att&uée Flury HEP apres, passages sur une ligrke de WK21 a regagne une pathogénicité pour les souris adultes de laboratoi t-c. Cela implique comme pour l’immunogénicitft, passages, un respect des conditions de cul’tures, un contrôle très strict des un respect du mode d’emploi (uni quement espèces ou races “ci b îes”). :Exemples Charbon bact&i di en - Souche C5 contrôle de la vi rul ence sur cobayes et I ap i ns - vaccination unique des bovins, ovins et’ capri ns - Souche sterne - culture en sérum et sous CO2. Péri pneumoni e’ bovine . ._ _. - Souche Tl 44ème passage : utiliser cette souche uniquement chez te zébu. Inoculation à la queue. - Souche Tl SR 47ème passage : peut ‘être uti Iisée chez..le zébu en S/C pas chez les taurins et les métis dans certa.i.,nes ‘ régions., , - Souche KH3J 92ème passage peut être ut-i I isée pour toutes les races bovi nes. Signalons que la pathogénici té rbsiduel .; .-<le peut n’apparaitre qu9après un très grand nombre de vaccinations : exemple : les souches avianisées, uti I isbes dans I ‘Est africain qui ont occasionné des formes pulmonaires de péripneumonie ,.,. bovine, formes transmissibles d9animal à animal. . . ./ . . . - 13 _. . ,. “, r -. * Rage ,. . \ - Souche Flury LEP réservée à la vaccination du chien. Newcast I c Oi sti ticti on entre I es souches rnEsog&nes et l entogènes, Pour certa i nes souches dont la souche LASOTA, la d’iffusion c?st admise. Peste bovine e Souche semble-t-ii fi xée, apnthog&ne pour tous les bovi des, ne diffuse pas (test de non dl ffusion rkessai Pourtant, certai re dans le contrôle du vacc i n ) . ns pays ont émis des objections à ! ’ importation des bovi ns vacci nés avec la souche atténuée de PLOWRI CtiT et FERRI S. b) Contr6le de l’identité et de la euret6 du vaccin -----------“---~----11---1-------~--““---m--e---IIe Comp leter l les tests precéd,ents par : seroneutra I i sation compl e-te (absence de contaminants) ; ” . . . . . . c u l t u r e s - identification de la souche vaccinale. Recherche de <_.., contami nants eventue Is . 6tude des marqueurs : exemple : streptomycine - rkistance de la souche Tl. CI -“-e---m..” Innocuité proprement - - - - e - - - - - edite --- ,. . . -,-.:. . - 1 nnocui i-6 pour les “especes cib I es” - Innocuitb l secondaire : stir espèces non sensibles F)attoxiques, viraux, baci-br i ens la recherche des centarinants . recherche des effets secondaires : formation dqagglutinines (exemple : vaccin 9 R contre la typhose). Pour,, les vacci ns vivants ou i nactivds, contre lesquels nous nvavons i l est des effets %Xi ques” guère de.possibilitB de lutter mais que nous signalons. : . . ./ ..*. - 14 - Hypersensibi Iii-6 de type immediat - provoqui? .par I ‘antigène“_ lui-même : . snt i gènes bactori ens : Bruce1 la, Bordetel le, Pasteurel la . . . .< _.< . antigènes vi raux. Les accidents de gestation chez les truies vacc!~~~s,l,~contamin~es l e v i r u s d’Aujesky par sont une manifestation imm6dia-te. . dvhypersensibilit6 __ .I- - Phhnomène dvArthus : ia KBratite post-vaccinale chez le chien contamit- immunisi à l’aide du vaccin de 13 mnladie de Rubarth (Adênovirus canin t y p e II. - Hypersens i b i I i -6 retardée, Caus&a pqt- des prot&i nes virales. Singalons enfin des accidents comme clui-ci qui mettent en cause I’uti lisation des vaccins vivants. COestainsi qu’i I a été dit qu’un veau contaminé in utero par le vi rus de la maladie des muqueuses es+ctevenu immunotol6rant à ce vi rus ; vacciné ensuite lorsqu’il ‘a éliminé Ivimmunité _’ maternel le i I ne pourra éviter de présenter une maladie des muqueuses ‘provoqu6e par la souche vaccinale à pouvoir pathogene résiduel très faible. I I I - TEST DE PUI SSANCE DES VACC I NS .. Les contrôles dvactivi-t& seront : A - Test dvitimunit6 * sur l’espèce cible : exemple : vaccin Flury LEP : sur le chien. B - Test dv imrituni té sur les especes . . non cibles : dans” ie cas où i l aura 6tit possible de montrer une bonne corrG.lation entre les deux tests. C- Par titrage des antigènes. D’- Par contF0le des anticorps sur les animaux vaccinés. E - Divers cohtrôles Toüs d’abord signalons que lorsque l’on fait tests dvsctivité,il . .-. les .,. faut que le mode d’emploi soit bien respecté. _ ..-- -.. .’ l *. /l . . - 15 1°i Voie dPinoculation du vaccin - Scarification : varioic aviilire bz&bridicn - l ntradermi que : certa i ns vacci ns contre le chat-b29 - Scw+cGîanée . : la pluwrt des vaccins - l n-i-w-muscu lai re : Souche FI ury LEP - i-Jssale : Newcastle - Orale : Newcast I e - Oculaire : Souche B 19. Le respect de la voie dv iw,cuI;~ticn s’é-tahl sur les isso la voie d’inoculation peut avoir une influence ; d’autre part, nui sances secondai res n90ccasiontw pour que I 9 immunité est rkessaire C?X<%l[~ l (i :‘par voie oculaire la souche B 19 pas la formation d!agglutinines. 2’) Le mode de conservation - 2o”c + 4OC. :Exemple un vaccin gel alumine ne peut être congel&. 3’) Les vresp?Xes transmettrt? ci b I es” : chien pour la souche FI ury LEP. Sinon danger de, I a ma I ad i e. . 4O) ., .<... ._ . Le moment de la vaccination - Problème des anticorps - San-i6 ma-i-erreIs de I ‘animal, e t c . , . I.. - A - Test d9it%munit6 sur les espkes cibles La chose est simple quand, par’ i9inoculation de l’acent I 9affection est automatiquement.provoquée causal. Ce n’est pas toujours le cas : Salm Salmonelloses aviaires - Péripneumonie bovine. Ainsi : a) Les conditions d’épreuve devront être bien definies. <.. _ . -. , -_.. Exemples : - Inoculation Intradermique : ClavelCk Sous-cutanke I ntramusculaj : Charbon bactéridien - Peste bovine re : Qage - Charbon symptomatique I ntradermo I i ngua I e : Fi èvre aphteuse, . . . ./ . . . * - 10 . - Contact . . . On infectera des animaux : - oralement avec des artifices : Salmonellose - p a r in-tuba-t ion endobronchiale (broyats pst-i pneumon ique, bouillon) de poumons, lymphe : Péri pneumon i e bov i ne. Ces animaux seront mis en contact avec des anisnaux vaccinés. b) La dose d’épreuve doit être aussi définie Pour tous les vaccins, nies. Exemples : les normes internationales nvont pas été défi.. - Charbon bacteridien : ‘norme définie) : 1 000 DLM pour les ovins - Charbon symptomatique (norme non definie). . Pour certains pays, envi ron 10 DLM, souche entretenue en h&mocul ture (Debré-Zei t) . - Peste bovine : 10 000 doses infectieuses bovines. c> La qualité de la souche d’Épreuve peut être précisée - Rage - Vi rus d9épreuve standard CVS - Newcastle - avant d9être utilisée, une souche d’ép,reuve doit être titrée sur poulets pour déterminer la dose Iéthale 50. Toute souche d’6nreuve doit avoir une dose <..t éthai,e dont le titre sur oeuf est inférieur à 103. .50 poulets d) Date dé l’épreuve après la vaccinai-ion Ceci permettra de déterminer la durée et la précocité de 19immunlt6. e) Les conditions de lecture doivent &tre prbcisees Survie Comparaison 100 avec $. Pourcentage de survie. Pourcentage les - de contamination. témoins. . . / . l *. - 77 6- Test d’immunitQ sur les espkes autres que l’espke cible Les tests d’immunit6 peuvent Ê!tre effectu6s sur d’autres espéces que les es~ecss cibles quand il a ca-t% entre possible de CI%;3 I et- une bonne corrélation I es deux tests. Cvest I e c a s : - de la rage : test dvimmunit6 effectué sur sauris cobayes Les conditions, la date de Vac:cination, de I 9epreuve, prkisk les vo~esdvinocuIation, la date de 1’6preuve, la dose les conditions de lecture, sont (voir la rage : technique de- laboratoire OMS) - du charbon bectéridien : test sur cobaye, dose rIrepreuve 200 DLri. Souche P a s t e u r I I (17 3 B). _ C- Titrage des antigènes ._ 1) Vaccins vivants : pour les vaccins vivants, i I est possible d’avoir une bonne idée de leur valeur par titrage. . Sur cet lulcs : exemple : peste bovine au moins 1@295 DCT~O par dose vaccinale. . SUT coüfs exemple : Newcastle chaque dose vacci na le dei t avoi r, . .“. sur oeuf, un titre de 107 Dl/50. . Sur’souris : : exemple : titrage du vaccin FI ury LEP par voie i ntrac6r@bra 1e. . Sur’mi I ieux de culture Charbon bacteridien vaccinale au mcins 107 spores (souche sterno) par dose bovinc. Wri pneumonie bovi . *- ne. Souche Tl au ”moins - 107 qermes vaccinale. par dose 2) VacCi ns i nacti vés Titrage de fvantigkne de la : vaccin contre le fi Awrc aphteuse (au ccurs fabrication). . Vaccin contre les pnsteurel ioçés : au moi ns 20 mc) de bactéries seches par dose vaccina le. l Titrage des anatoxines par f loculation - Vaccin contre le -@tanos. . . ./ .*. - 18 D- T i t r a g e d e s a n t i c o r p s , ,,_. _ I I y ;t parfois corrélation entre _, . la prkence de cet-i-ai ns anticorps et le degr6 dP immunité. Exemp I e : Peste bovine : test de s6roneutra.l isation de Plowright et Ferris Newcast I e : t e s t d ’ i n h i b i t i o n d e ’ IVhemagglutination : séroneutra I isation sur souris - reduction de plages. Rage du nombre Actuellement, on espke que le test ELISA pourra rendre de grands services dans I 9estimation du taux dq immuniti3 des troupeaux en ce qui concerne la fièvre aphteuse et peut-être la peste bovine. E- Contr6ies~divers *t-mi les contrôle divers pouvant être faits concernant i9activité des vaccins, on peut citer : - le pH, le pour les vaccins iyoph i I isés, - l’humidité rkiduel - le vide pour ces mêmes vaccins, si I ‘ a z o t e n 9a pas é-t6 uti lis& pour le remp i i ssage, - la stabilité des adjuvants. Exemple : vaccin huileux contre le Newcastle, la fièvre aphteuse, CONC,LUS ION Nous avons, nous I q espérons9 montré la nkessi -te de vacci ns de mi eux en mieux définis. Nous limiterons ainsi les effets secondaires. Nous pouvons esperet- pouvoir créer des vaccins ade plus en plus spécifiques avec les sousuni tés antiganiques pr6parées peut-être au moyen du cjénie géndtique. les pro-l-bines 6trangères assocjations antig6niques él iminbes, Ainsi on peut espérer pouvoir i nst.ituer des plus nombreuses. La seule difficulté résidera peut-être au niveau de I ‘adjuvant qui sera necessai re pour 1 ndui t-e une bonne immunité, ces sous-uni-tes antigéniques étant plus spécifiques mais peut être moi ns i mmunogén i ques . - 19 - PLOMMET (F1.1 aux - Les infections vaccins, contr&le brincipe, d'activit?, spylications abortives. GTV 1% - 3 - t? - (8). - HOWARD (L.1, RACHRACH (Ph D) - Recombinant DNA tschnology for l'he prepa- ration of subunit vaccines (1982) JAVMA 2, (10) : 992-998. - MOREAIJ (Y.), BOUQUET (J.F.), ?ERRE (J.1 - Oeufs SPF et contrôlais sviaires. Bull. Soc. SC . V@t. et Méd. Comp., 1979, $l- (3) : 183-137. - STONE (H.D.1, emulsion BURQ-i (M.1 et Col 1. - Pr6paration vacc ns with avian, viral and mycoplasma Avian diseases, efficacy - Vaccination of an oit emulsron pathology, - TERRE (J.1 216 Conc)ràs - Vfllèmo antigons 1973, 22, 4. - CESSI (D.1, NARDELLI (L.1 Avion of Inactivat@I?~o iI ngaint Newcastle cfisease : vaccine. 1974, 3, 4 : 247~,258. - Essai de classification Mondial Véterinaire Conf<rence des - MCSCOU incidents 1 - 7 juillet 13-K. de la commission r$ionale HAMBOURG 4 - 7 jui I let 1978. de I'OIE pour I?Europe . . _. - Animal Rabies - National Centre of studies ou R&ies 3 - 5 juin 1982 - P&ANCY post-vaccinaux. Mnlzeville - et Who. (France). - O.I.E. - Fievre aphteuse : 14 - 17 juillet 1 982. - Rapport FAO - Commission 26 - 28 septembre européenne pour'le 1969 22 - 2 4 octobre 1971 - Tubingen 23 - 2 6 septembre RFA 1975 - Brescia - ltaly. contrble de la fi8vrc aphteuse.