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Commencement d'incendie I-*u.k)lioat,ioiî.s cle iiïienC'tfneLit d'incendie a eu Jieu , dinmôche dernier à St»ilemy-do-Çhargnat daus' lès circonstances suivîmes. M. Itourasset, minotier était 'occupé à faire c'iauïï]er; ;du goudron dans uns mnniiite, lorsque soudain lejioudrôlj'ftril llïimmes et mit le l'eu à la cheminée, ferfee k.0f prompts 'Secours, -fie commencement d'incendie a'été vite éteint; les d|gâts sont peu îiii- .4 du Dimanche 21 Juin AVIS,. 4%<)1 ' M. S»ulois Anioijae, cultiy. A I&bBiie, et Mlle Ue Vnne domestique i l>soire.; | ^ ï Exposition scolaire 'f'J L& ministre de l'itistiuctiou publique ',;- f ganiser à Paris, d j u s u n e (ILS, salit d u UQ jeune enfant de Tauves, Eugène Vcrdier, âijé de ans s'amusait dernièrement dans un pré avec plu?- ; i | sieurs petits camarades. Tout à coup eu voulant cueillir l illi SS t des fleurs sur le bord d'une mare vaseuse, il glissa el totn'hi: dlns Jt'eau. JVUX 'cris^poussés par. les autrosi; |j enfants, des passants accoururent et retirèrent le petit' ''"imprudent. Mais déjà il "èlaît Ifpp tard, l'asphyxie a v a i t " • fait son ; a&fà%pV"IO ic'3 "& <r]\ i'i •S *të!-: d i e pétrie fifle da 'Cliidrac, Pauline Magot, âgée de jp3;ans, s/esj• inoyôe-4djins les ;eireoustances suivantes. Elle se "rendait à'l'école de Si-Cirgues avec une autre *'fillette de son' âge, Elise Tournadro et traversait, la Couze sur une passerelle lorsqu'elle perdit l'équilibre el tomba dans la rivière qui est toujours rapide et qui "ce Worhè'nt èst plus forte "tfue""de'"totittirtte-,"p'nr suite de h fonte des neiges. Ou n'a relFanv'Sisonv cadavre; que six heures après dL i l ' o i poil i n 'o- .gique, une exposition permanente de t* îlnei & delt'\es d'une même armej do cours de Ions les aiiondi^cmiMit* |de france, tant pour les.comparer- gn-tr^teux i|j.ie, porur.^i n ls.effa!;rè uns,-idée exacte de '.la 'inbyscùne. tres éludes de Âos ! 1.1 écoles primaires. i. ,Ejle, compriiudra,; celle ï'iinnée, ;l|'s sjp^htgrs ./prp>f|ianl;; • "'du cours moyen. L'an "prochain, 'elle |Wb.r1";i S'a ("'rï'liq'iïér" •aux- cahiers du cours éiémentairei'-iîiie-"autre' 'atinée;-*"'1ce sera le tour du cours supérieur, puis des devoirs fdé dessin/ etc., de fnçbn a organiser une exposilioir. -. permanente el successive du travail des écoles primaires. L'administration supérieure seraj ainsi 'iiiisè à- inéine da se rendre compte de la marche des études, de l'ap,'pliii.atioti: des ju'.ogrammes, etc. Chu(|:ue inspecteur, d'aca-: ',! demie demandera aux inspecteurs prima ires d'adresser chacun trois cahjurs de devoirs j o j i ^ a j . i m ^ terminés, datant île 1891, provenant de tVoiT^éc^iîésiljnerentes''**'"'" de garcous de leur cii'cfiiiscripliqu jetlryjs cahiers pro-, venant de trois écoles d'ô'liilë's'déîa 'déllilchîe'année dif cours moyeu. , \W M o r t s u b i t e . it »•»! air • »! .."ILiy-rSnquniques jours, on découvrit ù ,J3rassaivl.es«fiiMinosi- le cadavre, d'un, journalier de la localité, ; $oir wi Michel, âgé de 68^-auSi daus la ffiave -. de la myison fiqu'il habttail.; (.^inqci;' .I;I)IIK!*<W.'Î .•: . ; Le docteur.,,QwiiTi!Lill.UauiMOL appelé : il constata que la mort devait éli;e; aUribuée ù une congestion occasionnée par l'ivresse. » 4\ c Certificat d'étucfes du canton d'Ardes •»'-a-f,-;- I . 4 , . v :•:• • •• G A R Ç O N S : . . . . \.— Ladèstiaiosepl), de l'école publique de la Chapolle-Marcousa ,;.$,.. Merle,,Ae l'écolo publique d'Ardes ; a. Mariou, de l'école publ. de la Chapelle ; i . Passion, ' 'de l'école publ. d'Aùgnat ~ o. Ahond, d» l'école publ. 'd'Ardes ; 6. Ladeyie François, de l'école publ. de le " C h a p e l l e ; 7.1 ;L-ïandier Antoine, de l'école publ. de '"''' Madriat ; 8. Martin, de l'école publ. d'Anzat-le-Luguet ; * 9: Juge, de l'école publ. de Madriat ; 10. Tournadre, de f l'école publ. d'Augnal; 11. Verdier, de l'école publ. de la [Chapelle ; 12. Bohaud, de l'école publ. d'Ardes; 43. Frédéric,, do l'école ppubl. d'Ardes ; H Ma. 43. Ladcvie L ue Jsan, de l'école publ. de la Chapelle 13. Varenne, de l'école publ. de Floral (Apchat). FILLES : • 0 écoles, 22 aspirantes 22 reçues. M l l e s fi! t I • • • • • • • • BeLavarenue, 1. L , de l'école pprivée de Vodable; l prirée i d Vodable; Vdbl 3 noit, du l'école de 3. Martin, de l'école pulil'. d'A'rde3 ; 4 . : Augée, d'Ardes; pulil. d g , de l'école publique p 5 Boyer B M i de d l'école publ. publ d' d'Anzat ; 6. Moral,, de 5. Marie, d'Anzat bl d' l'école d'Ardes ;; 7. Hérot, de l'école publ. lécole publ. p d'Ardes l ' l publ. bl d'Augnal d'A 8. Boyer Anna, d de l'école ; 9. Danghinl, de l'école publ. de la Chapelle; 10 Uosmet, de l'école "*publ. de Madriat ; 1 1 . Pommier, de l'écolo publ. de Mazoires ; 12. Merle, de l'école publ. de la Chapelle ; 13. Challet, de l'école publ. d'Ardes: 14. Souligoux, '. de I école publ. da,.Madriat ; 15. Vendraud de l'écolo :•• publ. de la Chapelle»; 16. Halisse, de l'éqole publ. d'Ar; - dos; U . Gollier, de l'école publ. de Tern.int ; 18.,Constant, de l'école publ. de la Chapelle ; 19. Reboisson, de l'éco.la publ, d'Apzai; 20. Auteroche, de l'écolo publ. de la :,*.'Chapelle ; 21 lîulTay. d« l'école publ. de Mazoires; 22. -.Lechein, de l'école publiquo d'Apchai. L'Inspecteur primaire, II. ,;•: ;. Voilà le vagabond de l'art installé chez son nouveau .-...; maître. Laborieux, assidu, il justifiait l'attente du craie ti< :Ferrugi qui s'amusait à venir de temps en temps passer î une heure dans l'atelier. ^ , . .'.t. Mais pourquoi la vivacité et la gaité de lacques. j ' a vaieut-elles abandonné? d'où vient que pas uns des - plaisanteries do ses compagnons n'avait la vertu de lui i. arracher même un sourire? Le bon Remigio s'en inquiétait. Plus il reconnaissait chez son élève de dispo' sitions éclatantes, plus il avait souci du repos d'esr, prit et de la santé de celui qui,lui avait été coulié. ;i Plusieurs mois se passeront ainsi, marqués par des -• progrès, rapides dans le talent du jeune Callot, mais aussi par un pénible déclin de sa constitution. Un matin, itemigio invita Jacques à mettre ses meil,i, ieures habits', puis à raccompagner hors de la ville. Le , -peintre gardait U silence et son élève tenait les yeux . b a i s s é s avec; une sorte^de crainte, ne s'expliquant pas le bul de celte prquienade à une.telle heure et en pareil î: *"- ; ïfnfin Renugi^^'arrôîa et lirant de sa poche uno ii--bourse de cuir qsséz,bien garnie': *'"' i Anai, dit-il, voilà "ce que Monseigneur le comte --i.Ferrugi m''a chargé de te remettre. J'y ai bien ajouté ; ' i auelqae chose,, inais'c'est, peu et je te défends de me ; j rismersPIfl'". c?r j e l'aimée el mé considérais comme ton ; V"8«cond père*= Hais DÏeu ne veut pas que tu achèves | jud'apprendr» noire art'sous ma direction. Tu a= besoin , .. ,.de respirer l'air Je Rome, et tu n'en seras privé d'à- ! vaulage. Vra, mon lih ; deviens illustre. Quand lu passe- i ras par Floiunce, n'oublie pab de frappet <i L poile da »•> o Cauta Gallina. (i 1 •a , (A suivre.) j i i *• Ces deux terribles fléaux qui fournissent chaque annéa un tel appoint dans la statistique de la mortalité ont fait l'objet d'une élude spéciale pgrï.Je, Dr Jules Boyer ex-interne des hôpitaux. Réunir en "une seule brochure "d'è'160 feuilleta lés' observations sur' ces' maladies, depuis leurs causes, leurs symptômesj-lefers'; diagnostiques jusqu'à. leur remède, meitre le molade h mesure de se soigner lui-même, t'.;l a élô • le but de "ce savant praticien 11 l'a l'ait .dans . un style 'qui;;- quoiqne fnédical, n'en esL pa^s moins à la; portée de tous! Des .milliers Î de ;guVrisons, même dans le cas où. le.''malade élait condamné par les-'-miftlëcins, nnt:«onfirmô le succès de a&gUeJ'rQçhure.jJ^^^ 1 fr. 50. "cliez'M. ïules 'l(aï.iuTt1"5^,'^ue"R'l)'cTi'ecliouàrd à Paris. Huiles, (UC. ^ ^ - ,-j '-.:!f ;<v • El met en veruq .un^i.nouvea^mptVèlç de ses célèbres Machines h un prix modéré.. S'y adresst-i1 : oi-., rue du Pont à ISSOIRE. > •..!!>>; L a m o r s u r e d e s V i p è r e s ••.!,•• A Celle époque do l'année où les morsures de vipères sont fort à craindre, nous croyons devoir rappeler l'emploi da l'acide chromique comme remède conire la morsure de ces reptiles. • Le mode d'emploi recommandé est le suivant : il faut que l'acide soit déposé exactement à l'endroit où se trouve le venin, c'ést-à-dire sur la plaie, et employé en solution au centième ; à cotte dose, il n'exerce pas d'effet caustique sur les tissus. ' Un journal de Franche-Comté^ le Petit Comtois, 'publiait récemment une lettre d'un vétérinaire signalant l'heureux effet de ce romèda : « On m'a rapporté, dit-il, un chien d'arrêt qui venait d'être mordu par une vipère il y avait un quart d'heure. L'animal ue pouvait plus marcher, la tête et le ventre étaient très euflé*. Un quart d'heure après l'introduction dans la plaie de deux ou trois goultes d'acide chromiquo, le chien avait repris ses f )rces, l'enllare avait diminuée, et, une heure après, le sujet était complètement . LA P H T H I S I E P U L M O N A I R E la Ï3i*oiiclaito olix-oiiiqu© ,(,a L ô n i p g u , r s i i ^ ^ ; i inûi!iie v sa cltenlèle qu'elle iienl'à sa (lisposition un .assortiment J\Q l'o.ur.tiitures, ppur,,:Ji.9,chi,Qes (à CoaUriû :,. >Fils, geait. : .' ' ' :' ' ' ,' '' ','" •' ^ ' ; • ' " ' ' M. dé Freycinét «stime avec" raison que les congés-de convalescence étant accordés à des malades qui, xle Pavis des médecin!»; ont besoin d'un temps.do repos déterminé, ceux qui eu jouissent doivent1 employer ce temps à réparer leur sanlé et non à la détériorer, davantage par les e(l'ets..de Tlnconduite. .. .'', guéri. et ; Les militaires e n congé '' 'ïrarrivQ très l'réqùeniiuent, surtout dans les grandes villes, que 'des militaires en congé 'dé convalescence sonl signalés comme ayant une incoiiiluitè caractérisée •'oil; s'étaul' rendus coupables de ' •faits-'dél'iciu'eux.-" Le' ministre de la guerre vient dé décider qu'il y : avait lieu dé-rappeler ces hommes'-sou.s les drupéaux avant •l'expiration'de leur congé "'ou do 'les niïre entrer immédiatement à l'hôpital, si: leur 'étiit de sàntS l'exi- -.>;,-. :;[j,a gendarmerie, de Çauxillanges a dresse des proà„ uii;,çpr'ain ..noinhre de pêcheurs, ,qui fti/,.çès-yer^i dimancho dernier," piofitaul des eaux basse?, pochaient à la main dans l'AjIJoux. ^ ^ 11! Il a été perdu le 15 juin dernier du Pont d'Orbeil au village do Brenat en passant p?r les'sentiers, un portefeuille rouge, contenant un billet de banque do cinq rems franc* portant le li° 0i!|9,J07. el tn porlenioniKiie en enir noir contenant 27 fiancsôO. Rapporter le tout à M. BuRDivrue des Fours, à Issoire , il y aura récompense. ^ LAèEiI7ï7¥ Compagnie;: d'Assurances à Primes fixes conire les Accidents et le bris des^|«cé,^;-élablie à Paris rue Taitbout; ' 57-: ^v—"~»-."— î S'adresser pour^.'les renseignements à MM.-TINAYRE et COURTINE, agenls généraux à IssoireL HERBIER ÛU JOURNAL DES 'DEMOISELLES DESTINÉ ii tt i i RÉCOLTE DES PLANTES ET \ L'ENLUMINURE Langage clés Fleurs — Motifs d'Aquarelle RENFERMÉS BAIX.S-UN ÉLÉGAÎSXCAKTONNAGK,! , PRIX : Pari3. 6 fr. - - ' Dê|;drleraents. 'il fr." '— Union postale, ' • fr. Cet HERBIER, d'un caractère essentiellement nouveau a pour but de développer chez: les jeunes filles le goût de la BOTANIQUE, tout en leur procurant d'intéressants M o d è l e s d ' A q u a r e l l e par un choix de dessins faciles à colorier. . ., ' Pour recevoir franco, adresser.un mandat de poste à l'adresse de M:-Fernanti- Thiéry, directeur du Journal des Demoiselles. •• • •'• • Un très grand nombre da personnes ont rétabli leur santé et la conservent par l'usage des Le Dimanche et les Expéditions en petite vitesse PILULES DEPURATIVES CssC^-iary' Depuis dimanche derniur. 21 juin, les employés de la pelito viteise daus les chemins de fer sont libres le dimanche, dès 10 h. du malin. Cette disposition résulte d'un arrêté pris par le Minisire des travaux publics, les Compagnies euleudaes.. ct,,.eA,,ç&uIormitè de l'avis du Comité consultatif des chemins,de fer. L'arrêté ministériel''décide, en substance : 1° Que, les dimanches ol jours fériés,- Us-gares,seront fermées à 10 heures du matin, tant à la réception- qu'à la livraison des -marchandises'de • petile vitesse ; -â^ que .-les''i'marchandises-à - destination des gares pourvues d'un service de factage et de camionnage,1 et pour lesquelles la remise à domicile aura été prescrite par l'expéditeur, ne seront pas pr-jserilées au destinataire les dimanches si , : ç,t,jour.|, fériés,, lorsque h}.4Jeinaude..e.ur,aura été. l'ailef ..soit par l'expéditeur, sur sa déclaration d'expédition, soit par le destinataire. ' •>• '••, ••• Pour meure eu pratique la facilité offerte par l'arrêté ministériel, il est nécessaire que la menliou de ne'-pas livrer le'dimanche ni les jours fériés soit exprimée dans la déclaration d'expédition et non pas seulement suivie colis. •' • Quant aux destinataires, ils devront avoir soin d'inviiér les; expéditeurs à ne, pas omettre Mli mention ; ne pas iicrer, etc. Ils pourront1 de plus — d e u x sûretés valant mieux qu'une — écrire à la garo d'arrivée pour aflirmer leur intention de ne pas recevoir le dimanche. DOCTEUR' Remède populaire;depuis longtemps,* ^efficace, économique,. facile à prendre. 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