Download Courrier des Alpes, Echo de la Savoie. NOUVELLES

Transcript
Courrier des Alpes, Echo de la Savoie.
de désordre sera réprimée de façon à servir .-fusez, je suis en droit de considérer l'insinuatinction les plus flatteuses, des lettres de nacôe prochainement d'une ruine plus comde leçon à ces incorrigibles perturbateurs.
tion que contient voire article, comme une
Les 27 et 28 août courant, l'épreuve noblesse, le patriciat, le titre de comte, les plète que celle de la France par l'Allemagne.
La résolution et l'énergie peuvent seules infamie- dont les honnnêtes gens sauront des compositions écrites pour l'admission litres cle grand'eroix, commandeur el offi- Celte ruine est nécessaire à la réalisation des
prévenir de nouvelles crises.
l'aire justice.
cier des ordres royaux des SS. Maurice et plans de M. de Bismark qui redoute toujours
Il importe que legouveinemcnt comprenne
Agréez, Monsieur le Rédacteur, l'assurance à l'Ecole polytechnique, aura lieu, à sept
Lazare, de la Couronne d'Italie, de San Ma- une alliance anglo-française. La brochure
heures du matin , à Grenoble.
cette vérité et que l'Internationale cesse de ma considération distinguée.
d'avoir dos représentants et des protecteurs
Les compositions se feront dans l'ordre rino, de •Siskiaa-Iftikar, etc., etc., et sur- dit que la France ne sera jamais abattue
Camille COI;SSET,
dans son sein. Cette situation équivoque ne
tout d'avoir été élu par l'Union générale des tant que l'Angleterre sera puissante. Elle
Ex-procureur de la République. suivant, savoir :
saurait amener une conciliation impossible
médecins
d'Italie président pour la fondation ajoute que M. de Bismark, allié à la Russie,
Le 28 août, première séance, de sept à
M. Cousset avoue, avec sa naïveté bien
et n'a d'autre résultat certain que celui d'acconnue, qu'en apprenant sa révocation, onze heures (composition française) ; — de l'Académie royale de médecine, etc., etc. s'emparerait de l'Egypte, de Trieste et d'Ancroître encore l'audace de la révolution.
L'arrivée du docteur de Bruc est trop im- vers, pendant que la Russie occuperait
l'idée ne lui est pas venue d'en rechercher la deuxième séance, d'une à cinq heures (laportante pour les malades de notre pays l'Hindoustan. Le traité serait déjà signé.
cause, et nous le croyons sans peine, il de- vis, trois heures; triangle, une heure).
Vnr.
D'après le Siècle, on colporte dans toute
Le 29 août, première séance, de sept à pour que nous n'en reparlions pas, d'autant
vait savoir à quoi s'en tenir. Il essaye ce•'•"ÂTëièmple deSaint-Elienne, clé Toulouse
pendant, mais en vain, .de jeter sur le onze heures (épure de géométrie descrip- plus que, l'an dernier, ce docteur fut appelé la France des pétitions à l'Assemblée natioet d'un grand nombre d'autres localités imCourrier des Alpes le poids de ses iniquités; tive); deuxième séance, d'une à cinq heures en consultation à Lyon, et qu'il y resta assez nale, qui sont déjà couvertes de milliers de
portantes, Toulon proteste en ce moment
longtemps pour que toute Ja presse put signatures, parmi lesquelles nombre de sinous sommes les vaincus de la politique et (composition de dessin).
contre M proscription exercée par son conconstater par des faits évidents la supério- gnatures de maires, d'adjoints et de memdes élections, nos amis sont les destitués
seil municipal à l'égard des Sœurs et des
rité
de sa méthode, surtout'dafts Yépilèpsie, bres de conseils municipaux, et qui^SQTit
du 4 septembre et nous n'avons pas plus
Tl circule, depuis quelque temps, dans les
Frères des Ecoles chrétiennes. L'immense
.-••.•• i , t u z . ,
d'influence sur le gouvernement actuel que villes et les campagnes, des individus qui ne les paralysies, le cancer, le squirrhe, les ainsi conçues:
majorité des habitants signe et se propose
naguère sur :: Gambetta et Crémieux. M. sont, s'il faut en juger leurs paroles, autre plaies chroniques ou variqueuses des jam« Les soussignés demandent la dissoluâ'adressër au préfet une pétition énergique:
Coussel nous suppose donc à tort un cré- chose que des « voyageurs pour la Com- bes, les rhumatismes goutteux, etc., etc., tion de l'Assemblée nationale , considérant
. , ' . ' d - ' î . " ••' ; . ' • • . . - - . J ^ . .: ,
; . . ; • •
. ' •••;
qu'il guérit d'une manière certaine et pour son mandat comme expiré. »
dit que nous n'avons pas, et si notre voix mune. »
" ' '"'"'
Gard.
ainsi
dire infaillible. L'application de la méétait écoutée, nos"amis et la magistrature
Dans les restaurants, les cabarets, dans la
La commission de prorogation a eu ,
:
4
ILafoii e la plus ancienne de l'Europe, et
auraient obtenu la réparation complète à rue môme, ils engagent la conversation avec thode galvano-chimique et galvano-causti- ce malin, une séance difficile, qui recule les
peut-être du monde entier, pendant les
laquelle ils ont droit, et qu'ils attendent tou- les passants, les interpellent sur leurs opi- que lui donne aussi de grands succès pour progrès qui avaient été faits hier. De nomtemps modernes, est à la veille de disparaîjours vainement. Nous sommes donc étran- nions et répètent avec emphase toutes les la guérison de l'amaurose, des fistules la- breux contre-projets ont été présentés.
tre. Nous voulons parler de la foire de Beaugers au cas spécial de M. Cousset, que nous théories, tous les sophismes dont nous avons crymales el la dissolution de la cataracte
M. Thiers s'est absolument tenu à l'écart
caire, qui, depuis des siècles, attirait chaque
avons combattu au même titre que MM. Fi- été à même d'apprécier les tristes résultats. sans opération.
depuis que la commission délibère. Il n'a
année, le 25 juillet, à Tarascon, des marnet, Guiter, Parent et nos autres adversaires
C'est aux citoyens de se débarrasser par un
Le talent hors ligne du docteur de Bruc voulu exercer aucune pression directe ou
chands de toutes les parties du globe. Elle
politiques, ni plus, ni moins. Et puisque haussement d'épaules de ces propagandistes lui a valu, cle la part du gouvernement, un indirecte. Les membres de la commission
durait vingt-cinq jours, pendant lesquels se
M. Cousset veutbien lever son coin du voile, de bas étage.
décret spécial l'autorisant à exercer l'art connaissent sa pensée. Il n'avait pas voulu
vendaient toutes sortes de marchandises,,
nous lui dirons que le bruit accrédité sur
d'abord de la proposition Rivet ; il s'y est
médical sur tout le territoire français.
dont la valeur se nombrait par millions.
Hier soir, entre 7 et 8 heures, un vioson compte est bien que une ou plusieurs
rallié. Il ne tient pas au pouvoir ; mais il ne
Maures, Persans, Chinois, Arabes, Russes,
lettres compromettantes écrites par lui ont lent orage a éclaté sur la ville de Chambéry Cour «l'assises de la Savoie. veut y rester qu'à condition de n'être pas
Américains, etc., y étaient représentés par
été trouvées clans les papiers de la Com- et ses environs. La foudre est tombée à
AFFAIRE MAZZONI.
toujours à la veille d'une chute.
des négociants et des banquiers.
mune. L'origine de ce bruit vient, non pas Chignin, sur une grange appartenant au
Dans la matinée du 22, ont été entendus
On nous assure que celte attitude du chef
Depuis quelques années, surtout depuis
du Courrier des Alpes, mais des régions ju- Maire de cette commune. Le bâtiment a été les derniers témoins à charge et ceux cités du gouvernement aurait causé une excella création des chemins de fer, la foire a
diciaires les plus élevées; aussi trouvons- la proie des flammes ; il était assuré.
à la requête de la défense.
lente impression à l'Assemblée et dans Ja
perdu, tous les ans, de son importance, si
nous bien extraordinaires les gros mots
Les secours empressés des habitants ont
L'audience a été renvoyée à deux heures commission.
bien que cette année elle a été presque ind'infamie, d'ignobles inventions el de som- permis do sauver les bestiaux.
de l'après-midi pour les plaidoiries. A l'ousignifiante. Le préfet du département et la
bres hypocrites, sortant de la plume de M.
verture de l'audience, M. le président anM. Thiers a décidé qu'aucune exécution
municipalité cle Tarascon se sont émus de
Cousset, le favori de la veille, le rageur du
Le dernier numéro du Patriote renferme nonce qu'il posera comme résultant des capitale n'aurait lieu pour crime exclusivecet état de choses, qui est une perte immense
lendemain.
un long article nécrologique en l'honneur de débats la question de savoir si le meurtre a ment politique.
.. x '
pour cette localité et pour la France ; ils
e
La commission des recours en grâce va
Il y a un moyen bien simple de satisfaire M. Viallet, article signé par M Parent. Nous été commis pour faciliter le vol, puis la paviennent de nommer une commission charapprouvons
cet
hommage,
étant
de
ceux
qui
role
est
donnée
à
M.
le
substitut
du
procuêtre bientôt saisie de dossiers examinés
gée d'indiquer les causes de cetle décadence M. Cousset et le public, c'est de faire conont
le
respect
des
morts
et
qui
s'inclinent
reur
général.
Dans
un
réquisitoire
admirascrupuleusement par le Chef du pouvoir
et de rechercher les moyens de faire repren- naître officiellement le motif de la justice
devant
les
tombes
qui
viennent
de
s'ouvrir
;
blement
enchaîné,
vif,
incisif
et
parfois
exécutif lui-même.
\
dre à cette foire son ancienne splendeur. . qui a été rendue à M. Cousset, alors il sera
mais il nous semble que l'éloge aurait pu d'une véritable éloquence, M. Arminjon a
L'origine de la foire de Beaucaire re- facile de voir si celte prétendue victime peut
Aujourd'hui est arrivé à Paris un convoi
être fait plus adroitement; II-est difficile de demandé an jury un verdict impitoyable,
monte au vme siècle ; elle avait une exis- appeler à son aide l'opinion des honnêtes
comprendre ce que la bonne réputation de seule répression proportionnée à l'énormilé de plusieurs déportés sur les pontons,-à la
gens.
tence de plus de mille ans.
suite de l'insurrection, et rendus à la liberté
reprochés à l'accusé.
Ne s'agirait-il point simplement d'une M. Viallet peut gagner à la divulgation de ce des crimes
après
une procédure sommaire.
c
M Raymond, ayant à ses côtés le savant et
leltre écrite par l'ex-procureur de la Répu- fait (ju'il a été depuis '1848 un des principaux
CHRONIQUE LOCALE
blique au citoyen Delescluze et prétendrait- fondateurs et un collaborateur actif dudit honorable bâtonnier du barreau de ChamM. d'Arnim, chargé d'affaires spécial
on que son envoi ou sa découverte sont dus journal : franchement, c'est là un mérite béry, a présenté sa défense; il l'a fait avec d'Allemagne, doit arriver aujourd'hui à
Nous recevons de M. Camille Gousset la
bien mince, pour ne rien dire de plus.
un talent, un soin, un dévouement auxquels
au Courrier des Alpes?
Paris, pour traiter directement avec le goulettre suivante :
l'auditoire tout entier a rendu hommage.
vernement français de la question douanière
St-Jean de Maurienne, le 21 août 1871.
La circulaire suivante vient d'être adresVendredi prochain, aura lieu à la salle des
Après do courtes répliques, l'audience a
Monsieur le Rédacteur du Courrier des Alpex, sée par M. le Préfet do la Savoie à MM. les
alsacienne.
' -1'
Concerts, au Théâtre, un spectacle des plus été renvoyée au lendemain, à huit heures.
Votre numéro du 19 courant, faisant conC'est
pour
mettre
fin
aux
obstacles
qui se
sous-préfets, maires, commissaires de po- intéressants.
M0 Bouvier se lève et présente quelques
naître ma révocation, se termine, m'a-t-on
sont élevés jusqu'ici entre les plénipotenlice et commandants de gendarmerie du
M"c Emilie Van der Meersch, surnommée savantes observations sur la question subdit, par la phrase que voici :
tiaires des deux pays, à Francfort, que cette
« Les versions qui circulent sur les causes département :
la Fée aux oiseaux, fera donner une séance sidiaire posée la veille par M. le président et
résolution a été prise.
?
Chambéry, le 16 août -1871.
« de celte disgrâce sont tellement graves,
par ses jolis élèves, M. Cardinal, M. Capu- sur la circonstance aggravante de nuit, dont
Messieurs,
Des
intérêts
considérables
sont
en''souf« que nous ne pouvons prendre sur nous de
il conteste énergiquemenl l'existence dans
Les événements malheureux qui se sont cin,me M. Pinson des Ardennes, M. Calfal et
« les divulguer. »
le vol reproché à Mazzoni. Il conclut en di- france , et chaque jour de retard dans la
J'aime à croire, pour l'honneur de celui qui produits depuis un an n'ont pas permis aux M Calfat, etc.
solution de celte question fait faire un pas
La presse a consacré de nombreux arti- sant qu'il n'y a dans toute celte affaire qu'un
a écrit cela, qu'il ne s'est pas rendu un compte administrations locales d'exercer une surde plus vers la ruina à l'industrie de l'Est.
exact de tout ce que cette petite phrase ren- veillance suffisante pour atteindre et répri- cles à l'éloge des petits magiciens ailés de meurtre, et un vol simple avoués, mais sans
Aussi les délégations d'industriels se suce
mer
le
braconnage;
et
ce
défaut
de
surveil. ferme de fiel et de perfidie. Dites à votre RéM." Van der Meersch; ils témoignent tous connexité l'un avec l'autre.
lance,
en
encourageant
les
destructeurs
de
cèdent-elles
constamment auprès du Chef (
• dacteur que je le prie de préciser la nature
de la patience persévérante et intelligente,
Après une courte réponse de M. l'avocat
gibier,
a
donné
lieu
à
de
nombreuses
attaques
pouvoir exécutif.
de ces versions. Dites-lui, afin qu'il n'édes mystérieuses aptitudes d'une puissante général, l'accusé, interpellé, se lève et avec
prouve aucune hésitation à le faire, que je contrôles propriétés rurales et forestières; la
prends publiquement l'engagement de ne le vente et le colportage du gibier seraient, en fée pour former des élèves si surprenants, une émotion qui a bien vite gagné l'audiLe ministère de l'intérieur a transm^.
point inquiéter pour la divulgation quej'a^- outre, tolérés, malgré les dispositions prohi- pratiquant l'arithmétique, écrivant l'orihe- toire, il accuse sa maîtresse d'être la cause dès samedi soir, aux préfets des départetends des choses sombres et terribles qu'il bitives de la loi du 3 mai 1814.
graphe, devinant la pensée des spectateurs. de tous ses malheurs ; il engage ceux qui ments les conclusions du rapport du général
Cet état de choses a ému des propriétaires
laisse pressentir.
Nous ne saurions trop inviter nos lecteurs l'écoutent à ne pas se laisser aller au liberJe vous avoue bien naïvement, Monsieur le et des chasseurs, qui se sont adressés à M. le à se rendre à cette soirée merveilleuse. tinage et manifeste des sentiments de re- Chanzy sur le désarmement des gardes niitionales.
.. }
Rédacteur, quand j'ai reçu la nouvelle de ma ministre de l'intérieur pour obtenir la stricte
pentir.
exécution
de
la
loi
sur
la
police
de
la
chasse.
Ajoutons
crue
M""
Emilie
Van
der
Meersch
révocation, que s'il m'était venu à la pensée
Le gouvernement a déjà reçu des renseiIl importe en effet, Messieurs, de donner le s'est assuré le concours de plusieurs des
Le résumé de M. le président a été des
, de rechercher les motifs de cette disgrâce, je
gnements
sur l'impression produite parle
me serais, en premier lieu, rendu au bureau plus promptement possible satisfaction aux artistes remarquables qui se sont fait ré- plus émouvants et, en même temps, des plus premier vote de la Chambre.
f
de rédaction de votre journal. Je suis même légitimes plaintes des chasseurs honnêtes, qui cemment entendre dans l'opéra au Théâtre impartiaux. L'honorable magistrat a mis en
ne demandent en réalité que le retour à l'exéCette impression est généralement faé)encore, à l'heure qu'il est, convaincu que
relief tous les moyens présentés par l'accucution des lois et règlements sur l'exercice de cle Chambéry.
rable.
•
'• i
vous seriez parfaitement en mesure de me
sation et par la défense, et il a eu pour cellelâchasse.
Dans les grandes villes, on souhaite généfournir des renseignements utiles. Mais, dans
Un célèbre médecin italien, le docteur ci un mot qui n'est qu'un juste hommage
Je vous prie de vouloir bien, chacun en ce
tous les cas, pour l'explication de .votre'peralement
la dissolution des bataillons. |
comte de Bruc, est arrivé depuis quelques rendu à ses éloquents efforts : « Si l'accusa. tïte phrase, je vais essayer de vous aider un qui vous concerne, donner des instructions
précises aux agents sous vos ordres, chargés jours à Chambéry, où il se propose de tion qui pèse sur Mazzoni est des plus gra: peu.
de la surveillance, et de stimuler leur zèle au passer lafinde l'été et une partie de l'au- ves, on peut dire qu'il a été largement, amLes journaux de Bordeaux nous apprejp| Le bruit court, m'a-t-on dit, à Chambéry,
besoin, afin d'arriver à la répression immé- tomne.
nent
que le conseil municipal de cette vifle
qu'on aurait trouvé de moi, dans les papiers
plement, noblement défendu. »
diate du braconnage, ainsi que de la vente et
;
vient
de voter une motion portant le m a r de la Commune, des lettres par lesquelles je du colportage du gibier. •
Ce médecin, hautement connu dans le
M. le président donne lecture des quesfaisais connaître que j'étais membre de l'inmonde scientifique, a publié en Italie un tions posées au jury, qui se retire à dix tien cle la garde nationale de cette ville. |.a
Agréez, Messieurs, etc.
têrnationale et que cette qualité, jointe à
très grand nombre d'ouvrages sur diverses heures et demie dans la salle de ses délibé- motion primitivement présentée demandjut
E. G u nuit.
celle de procureur de la République, dans
le maintien de toutes les gardes nationales
branches de l'art médical; il est venu en rations.
un pays frontière, m'avait permis de faciliter
L'arrêté du Chef du pouvoir exécutif, du
de France. Le conseil s'est borné à celle-'De
la fuite de quelques-uns des membres les plus 19 courant, sur la suspension de toutes les France pour y faire la traduction de celles
A midi, le jury apporte un verdict affir, '!
compromis delà Commune.
de ses publications qui ont eu le plus cle matif sur toutes les questions principales, et Bordeaux.
De l'aveu de tous les honnêtes gens, c'ejst
Sont-ce là les choses graves dont vous vou- opérations du recrutement de la classe de succès, et il a commencé cette série cle muet sur la question subsidiaire; le bénélez parler? Dites-le. C'est assez bien trouvé 1871, s'étend aux remplacements. Toutes traductions par son ouvrage sur la Guérison
précisément par celle de Bordeaux qbj'il
fice des circonstances atténuantes est acpour que les sombres hypocrites qui ont les opérations sont ajournées jusqu'à nouvel
faudrait commencer le désarmement. î
du Cancer sans opération et le Formulaire cordé à l'accusé.
trouvé cela aient au moins la satisfaction de ordre.
médical des families, qui obtiennent la plus
savoir que leur ignoble invention a produit
En conséquence, la Cour condamne MazOn nous communique la note suivante :
grande faveur de la part du public.
i;effct qu'ils en attendaient.
USINES AUX CHARPENNES-LÈS-LYON
]
zoni Oscar-Archimède-Alexandre à la peine
Il n'est pas nécessaire, Monsieur le RéLa loi qui élève à 40 francs le pris du perCe médecin s'est, en outre, acquis une des travaux forcés à perpétuité.
. ENGRAIS CHIMIQUES.
j
• dacteur, d'avoir la conscience extraordinai- mis de chasse, n'étant pas promulguée, ne immense réputation par la découverte de
système
G.
Ville,
•
?
' rement délicate pour comprendre que ma peut être appliquée pour les demandes qui traitements spécifiques pour la guérison de
et matières premières pour engrais, Gentst
seule qualité de vaincu, dans la lutte que, deaîné el fils et Honrosier, rue de Lyon, 8 1 ,
sont
adressées
à
la
Préfecture
avant
celte
quelques
maladies
chroniques
réputées
juspuis huit mois, votre journal a entreprise
Paris, 22 août.
Lyon.
•
•
• .1
promulgation
et
qui
sont
susceptibles
d'être
qu'ici
incurables.
Ses
succès
lui
ont
valu,
pour me.faire destituer, me donne le droit de
Envoi franco sur demande des prix-couUne brochure, intitulée: La Prusse en
en Italie, tes marques d'estime et de disvous demander ces explications. Si vous re- accueillies aux termes de la loi de 1844.
rants et notice sur le mode d'emploi.
Orient, démontre que l'Angleterje est me-
NOUVELLES