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m ON DEMANDE. ttude 4e H* ÏAR kl, avoué lieeueie à SaiBt-BàetttMs» rat de U Loire, iJ, . de M* Coumo. Vente Volontaire " M RI MSL LOT DWEUBLE3 Situé à F i r m i n j Bôtel et Café RestaurantfliiParc OUVRIERES BEÏIOESSES un -i-- . - - A M o u t i e r s - S a l i n s (Savoie) A proximité de la gare et de rétablissement thermal rue des Péniteats» Hôtel pour faasiilea et voyageur» de commerce •STERT TOSTS L'MIttn m m m Vsssos tt*o* le monde entier ESSAYEZ-EST! [ L e P a q u e t : 40 C e n t i m e s . Tenac par Mme RAYMOND, saje-femme Le SAMEDI 1 MARS 1331, à midi Consultations Rue de Lyon T i e n t d e s pensionnaires Prix modérés — Blaeréiion. Po«r extrait : I. JARAT, avoué. %a? t#%sna^rS % ^^%af% ^^^^n#%s^t^^ |Moteurs 1 2 . 0 0 0 . 0 0 0 do g a r a n t i e . A«mre spécialement le» àGaz: SOOYERAIIfl if S §rèsmmlrut l i s rente : e h e s l e s B p t e l e r * , l>re>gaistes et MctreliBMids d e C o M e s t i n l e s . • tvœ*, r*WM>* m an- MOTEURS A CHEVEUX! J P é t r : o l e L« Trésor delaGhwvûlaro Parftna « q u i a Fiat., 2 , 5 0 et A fr., Pharmaciens, Par/umeurs, Coiffeurs GAZ E T A P É T R O L E S à M J . Desereux. BM 9 VI tn iffiiiaiisin : souvent dangereuses, toujours inefficaces ] F- T1I3T,teKtîEJîsMra,i?, mm fes PsaS, Lju. Dépôt spécial : Pharmacie Centrale, angle des rues j Gérentet et de la Croix. Smnlgqraa l e B07AL. WIMSSOR <p rawt ints CBkMwax g-xto hk ooalear a» 1 _ beatts* naSnTellf de l a (ouneaso. ; JkSTvâît <• ««» itllasmnsttre laa PnSliuios. u est 1 de* CTwnwniir nMaiOè. Kâaaltass mesparèa. . te. — Bxùer sur las fiaeaas ias moti RU TA i Ota*w-*mÉwaiiii«,OT saaanaetdemi-flaeea V 4 nif^i? * e«der, cause de I Miliiy«il& Dépôt : 38, me d'SscAkWa, PARI8 v» franco s u r â a m n d s d u Prospectai, contenant détails et attestations. x Se trouve chez tons tes eoiffeurs et parfumeurs FORCE DE 1 2 A 6O0 CHEVAUX JOLI CAFÉ-COMPTOIR ^ L'usajre rie la nime L I Q U E U R du I l i i l • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • 1 find 4» im im BELLE OCCASION Le S i É r È Projeta 4 m <m im A VENDRE Petit preltHairs im Dis a petit père i m Et à tous ies gens 4m i n BsèwM" temps 4m i 1* damier sjtlafaaire 4m i'teoie libertaire Situé sur quai, à Lyon <• B« ooiHe pas plus eher 4m Affaires : 1 6 . 0 0 0 . — P r i x : £0.000 Qw» le dernier ordinaire. 4m 4 • Vu : le candidat libertaire, LONÛ BAIL — PEU DE FRAIS i • :i . Etieane FAURE. Cav«ss« «H a u y 7 t « a e « a 4 d e s i t u a t i o n 4 m 4• S'adresser au bureau du journal i m R i e n d e s agonoea. 4m •<MMi,-« i tmfc«» dois o&atiiafto 4 m « • • • • • « • • • • • • • • • • • • • s k l l « x « à Tlaesare os vmmi L m m w m m ~ D I J O N UÇtftïïRS SïïPSEISt7RIS ds toutes sortes • Mais en b o a état 1 ;i ux-nions a vapeu L4X4TIF DE POUliUES vp»1|iV\ A&alVn j >»o»at)ec»f » » » » > c a > f Contra la coosMaiatio» Spécifique infalUibls contre la oonstiDation. cette noudre délicieuse au goût, prévient les maladies qui en sont conséquence, telles que : mauvaises digestions, gasiraigio. dyspepsie, inflammations d'intestins, hèmorrhouies. rou btas urinairss, maux de tete. étourdisse ma ut» cunçjsstions, maladies du foie, jaunisse, etc. Slle aide en le complétant le traitement par l'etti de Pou^uen et peut être continu» longtemns sans inconvénient après la cure hyorotninéraie. te mode d emploi est sur le flacan dent le prix eut de 2 franc» tBSLfiSiES DES OS e «JtésiE S EJ>ulSÊ*S»T RSRySBK CHLOROSE • DtSESTiOSi PÉf*53H-E Demande! ce produit médaillé dan» les principales pharmacies de France et de l'étranger, oà à Bourges : ohannacie G. 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J U T L A V v \ W v W V W V v V V V v LA C H A R M E U S E D ' E N F A N T S est une œuvre essentiellement empoignante, où les situations, dans leur acheminement vers le dénouement, se j succèdent toujours plus dramatiques et s'enchaînent sans cesse plus captivantes ou plus passionnantes. Jamais comme dans cet ouvrage Jules MARY, le plus «célèbre des romanciers» n'avait fait montre d'aussi brillantes qualités. Aussi tout le monde voudra-t-il lire HUILE DE FOIE DE 9 B1ÂC11 CEUTHÂLE Piam é» rSôtsl-âe-YUle (àngïe ém mes Oéreatet et la Crois) ojfYant tout»» les garanties O» pmeté et de fraiehewr. — EST t JPiMtUetoa da STKPHASOIS, 10 février — 126 - LA DOT FATALE PAB. GEORGES MALDAGUE — Ce«t fgsl ! }e osastate : von* donneriez votre cœur et votre main « l'amat e u r qui, pour vous pronver sa fiamme Tiendrait, avant que 1 espada lui porte le coup mortel, se mettre nez à nez avec le seigneur taureau. — Taisez-vous donc. — Safin, n'est-ce pas l e fond de votre setteée T — r S s da tswrt. Je serais désolée que q u e l s ; s ' e x p o s â t pour mot d'une pareille feçea. — Mats vous trouveriez eepeadaat que c* «'est pas banal. — B s m emleada, ce ne serait pas baD se attira coup sur coup. Puis il répéta : _— Quel domnaa^re que j'aie abfflqné Vi»-*-vis de vous mon rôle de prétendant. — Pee, sois particulièrement heureuse puisqse v e a s mariez pu vous l i v r e r a cette folie. Ils approchaient du carrefour où l'on «listingiLaiVMaui Jubactdans son eosju- me de campagne, aussi clair que celui de sa Aile, étendue -sous le grand chêne et Marie-Thérèse dans sa robe blanche se promenant d'un bout à l'autre du carrefour, pour s arrêtesy au bout de l'allée par laquelle arriveraient Frédéric et peut-être son père, s'ils rentraient assez tôt defiéziers pour les rejoindre.! Au bout d'une heure, les garçons revenus,les poches bourrées de noisettes, on retournait tranquillement vers le château. Il fallait passer auprès de l'étang, où Mlle Varagniez, avant que l'on eût des hôtes au château, aimait à rêver ou à lire. C'était Ht qu'elle avait eu,avecÀlbéric Soucaud, l'entretien la laissant sous le coup de cette impression que le jeune homme pourrait devenir un ennemi. Elle la subit d'autant plus, en atteignant la clairière où dormait l'eau verdâtre semée de nénuphaas, qu'elle aperçut sur le bord opposé deux hommes reconnus immédiatement, le chien SixSous ne fût-il pas accourus à elle, pour bondir jusqu'à son épaule et recevoir sa caresse accoutumée. Le vieux la Bique et l'ancien sabotier se reposaient la. Ils ne se levèrent point ea voyant approcher la compagnie, conservant la rusticité de mœurs, nui les laissait ignorants, de la plus élémentaire politesse. On s'arrêta pour iaur causer. Ils reprirent leur conversation, ces dames et ces messieurs passés. — Le» vendauges commencent la semaine prochaine, disait le plus jeune nous verrons bien si nous découvrirons quelque chose. Et le vieax, gui 3ttivait d e s y e u x le groupe s'en allant joyeux, k l'excepfion de Mlle Varagniez, un peu grave fermant la marche : — Kst-ce heureux.tout ce monde I... Us ont bienraiaon, pas de soucis — Ils ne nous ressemblent pas, fit Albéric tant mieux pour eux ! — 11 n'y a que Mlle Marie-Thérèse qui ne rit jamais bien franchement... Ça se comprend : chez eux.on pense toujours à la pstiote. — Si on ne pense pas aussi à autre chose père la Bique. — Que veux-tu dire, pitchou ? — Eh ! je n'en sais rien... Parfois, il me semble que je tourne la boule... Je crois, moi, que les manières de son père Tintertoquent. — Elle dit qu'il est malade, elle m'en a déjà parlé. Que veux-tu que ça ^interloque d'une autre façon ? — Est-ce que je sais ? Je vous repète que je me demande parfois si je ne deviens pas fou ! — Tu as tort de te fourrer tant d'idées mauvaises dans la tête. — Avec ça que v o u s n e les avez pas, vous I... Oserez-vous le dire ? — Non, j e ne les ai pas... La seule que i*aie, c'est que M. Claude devient réellement fou. —Il le faudrait, pour lui... — Ah çà !... ah çà !.. Le vieux bégayait, en répétant ces deux syllabes. Il donna sur le sol, le coup de bâton qui faisait gronder Six-Sous. — C'est pour toi, qu'il le faudrait, va.. Oui, à ta place, j'aimerais mieux tourner la boule, qus penser des choses pareilles de sang frais. — C'est vous, qui êtes un vieux têtu... Vous »* MKleijïaâ rdis&na<ï*v - - - X — Comment pouvez-vous parler de cette façon, lorsqu'il s'agit de celle qui, au risque des pires traitements, s'en allait vous soigner et vous porter son souper, à elle T Le pauvre homme se prit à trembler. — Qu'est ce que tu me dis ? Est-ce que je la renie, notre demoiselle... Quand je la prie chaque soir, comme je prierais la Vierge Marie... comme je prie le bon Dieu, au pied du calvaire... C'est elle,si elle t'entendait... — Est-ce que je a'ai pas juré de la réhabiliter, fût-ce contre elle-même î L'ancien vagabond étendit la main : — Fais ee que tu veux, t a es ton maître... Mais souviens-toi de ee que je te dis : si elle apprend nn jour que tu as eu seulement un soupçon centre M. Claude... — Elle me pardonnera, parce que je l'aime... et qu'elle aussi... elle me l'a ait sur la lisière de cette forêt, la veille de son arrestation... qu'elle aussi, elle m'aime 1 Le vieux ne dit plus rien. Le ton profond et douloureux d'Albéric Soucaud entrait dans l'âme. Avec son instinct d'être primitif, que ia vérité seule atteint, il sentait chez ee malheureux garçon, auquel il s'était attaché, une grande souffrance. Et peut-être le comprenait-il. Peut-être, c'était bien pire, hélas I pensait-il, de la même façon ? Lorsque seul, il se laissait al'er, comme cette nuit, suivant leur premier pèlerinage au Calvaire, au naïf désesôir qui le faisait sangloter et lever ses ras de détresse, H s'écriait dans le silsnce de la campagne, où il s'en allait le plus souvent aveesonchien, l'unique - - . •Xâaiuxe gui parût le comprendre : — Non, je ne veux pas raisonner... parce que je ne tombe pas dans ton sens... Je te dis que non, là, je te dis que non ! — Alors, ce n'est pas lui qui a empoisonné les chiens ; — Est-ce que je sais, moi ?.,. Est-ce que je l'ai vu faire, sang-diou ? — Vous le disiez bien, pourtant, que ce ne pouvait être que lui. — J'ai dit ça comme j'aurais dit autre chose... « Il me semblait sur le moment... — Et maintenant, il ne vous semble lus... Ah I ah l vous changez vite 'avis I — Ça vaut mieux que de se buter... pourtant tu me traites de vieux têtu... Va, pitchou, va, déblatère contre les anciens... tu y arriveras, et avec ton expérience, tu seras encore-plus fort que les jeunes. — Alors v o u s n e voulez plus que ce soit lui qui ait flanqué une boulette à Pif et à Pat? —Non, là, j e ne le veux plus. — Eh bien, ça n'y tait ni chaude ni froid... Vous ne me l'ôterez pas de la tête. — Si je ne peux pas ta l'ôter, gardele.., Et puis, ne parlons plus de ces histoires-là, nous deviendrions comme chien et ebat. Albéric, demeuré calme auprès da vieillard qui s'excitait, répond» en se levant comme lui : — Moi, je ne serai jamais contre v o u s . . . Seulement, j e me suis juré que j e mettrais la vérité sous les yeux des gens du Val-Rose, et je la mettrai, oa j y perdrai mon nom! — Alors, tu le perdra», men garçon... Diti. i e crois que U le perdra*. - E o — Pourquoi sommes-nous revenus aa Val-Rose 1 Pourquoi y sommes-nous revenus ! En effet, sans ce retour, qu'il pensait n|être que passager, le vieil errant n'eût pas subi le martyre que depuis plus de quinze jours il subissait. Mlle Chérie, — comme il disait, — c'était sa sainte. M. Glaude c'était son Dieu. S'il n'eût eu qu'àcombattre les doutes d'Albéric Soucaud... Tnais ces doutes, oui, il les avait... Et, tout en marchant derrière l e 'eune homme, dans le sentier menant i cette lisière du bois, où après l'assassinat, Chérie se rencontrait avec Albéric, Jean Caraboux, dit'îa Bique, fouillait de ses doigts maigres, égratignant la peau sans le sentir, sa poitrine sèche. Et il répétait, implorant pour lui, M. Claude, rantique prière que sa mère murmurait sur son berceau d'enfant, si longtemps avant sa vie de bohème involontaire : C'était le jour du bon vendredi... Mme Jubert, Marcelle et Faradet, Marie-Thérèse et ses frères,étaient r e a ir*"> n h château. tj i / y ilinait ce soir-là . S i voiture de remise ne devait venir le chercher de Béxiers qu'entre dix e t onze heures da sua'. ( i {à suivre) O H O O O I i A T D'AIGU E B E L L E ( m ) Fabriqué «ar les P . TRAPPISTE*!.