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LA « CROIX1>3LA SROME » versé de sa voiture qui gisait avec la bâte dans le fossé et une roue lui avait écrasé la tète. CLIOUSCLAT.— Les voleurs sont venus cette nuit dans notre église de Cliousciatlls ont volé un calice avec patène, qnatre candélabres dorés et d'autres objets. C'est bien triste pour un cceur chrétien Je ne m'arrêterai pas A discuter avec de pénétrer dans ntie église dévastée, et plus encore pour le cœur d'un prêtre renvous la doctrine de l'origine da votre traitement, je vous ai nettement dit ce que i trant pour la première fois dans sa nouL. M. j'en pense. j velle église. Tous prétendez, vous, que c'est una in- 1 LIVRON. — Jeudi soir, ont eu lieu les demnité qui vous est due. Nous ne sau- . obsèques de M. Sibourg, conseiller d'arrondissement, mort bien jeune encore. rions nous entendre sur ce point. Mais que viennent Taire ici les deux | MONTÉLIMAR. — M. Aubert, facteur traitements, doubles des vôtres, des ' à Barbentane (Bouchas-du-Rhôoe), est deux pasteurs protestants J Je n'ai nul- jnommé sous-chef de gara â Montélimar. lement A prendra la défense des trait«- • SOCIÎTK D ' A C M -.ULTURE. — Des personments de cas messieurs, cependant ja nes s'intéress. ni ux choses de l'agriculvous ferai observer qu'ils sont deux pour ture se sont i ua ces derniers temps tin grand nombre da communes, tandis A Montélimar. da s le but d'étudier l'opque vou*, voua êtes i h , ou é'pan près, ' portunité d'uut s .iété d'agriculture dont pour chaque commune. l'action s'exercerait sur l'ensemble de l'arrondissement. Quant é mon propre traitement sur la GRIGNAN. — M. Chandeli r, Edouard, budget municipal, il est incontestablement supérieur au vôtre, mais la seule bouclier A Grignan, s'étant signalé dans solution juste que vous proposez, con- plusieurs circonstances, notamment en siste é proportionner las traitements aux sauvant une personne aur le point da périr dans un incendie, a 6*6 récompensé de services rendus. soo dévouement par une mention honoPour revenir au point de départ de no- rable. tre discussion et répondis A votre quesR O U S S A S . — F Ê T E DU 1 9 MARS A U tion : Par qui T et par quais moyens ? ce SANCTUAIRE^DE ST-JOSEPH I père a-t-il été contraint d'envoyer sa fille 1- Me**es basses dans la matinée. à l'école des religieuses, je vous soumet2 7 heures. — Exposition du Sainttrai simplement la déclaration suivante > Sacrnment. dontjs tiens l'original A votre disposi3- 10 heures 1}2. — Mes*e solennelle, tion : diacre, sous-diacre,chantés par M. l'abbé « Je soussigné MefTra, Auguste, maré- Filial, chanoine, curé-archiprétre d« Gri* chal-farrant à la Motte-Chalancoa, gnan.— Offertoire an musique. s Certifie être ailé déclarer é Monsieur *• 2 heures 1}2. — Vêpres solannalles, a le Maire avant la rentrée des classes présidées par M. l'abbé C. Perrot, .cha« qua mon enfant irait à l'école laïque ; noine, curé-arehi prêtre de Piarrelatte. — « Déclare que j'ai bien éié contraint par Discours par M. l'abbé P. Guibaud, curéc las influences cléricales de l'envoyer A archiprétre da Dieuleflt. — Salut en musi« l'écola des religieuses ; que. — Illuminations. — Bénédiction. — c Déclara on outre donner touta mon Prières. « approbaiion A la réponse que Monsieur Les chants seront accompagnés par M. c le maire a adressêoA Monsieur le curé». l'abbé B. Blanc, aumônier des Frères Maristss de St Paul-trois-ChAteaux, et C'est complet, n'esl-cs pas ? Si je n'oublie pas que nous n'avons eu par M. Micha, organiste da la paroisse de qu'une fois an six ans, l'honneur d'un Montélimar. débat public, vous oubliez, vous, que ce NYONS. — 7 MARS 1900. — L'espoir du n'dst pas moi qui ai pris l'offensive. Je ne bien qua ferait notre mission n'a pas été faisais qua répondre A une dépèche en- trompé. Non seulement les Pères Germain voyée par vous, et absolument inexacte, et Honorât ont provoqué l'assistance aux disant qu'une manifestation anti-religiiusa cérémonies,mais souvent l'enthousiasme. était préparée sur le corps d'un défunt. Ce qui est à remarquer, c'est l'assistance Je ne prononcerai pas le mot da men- nombrause aux exerciaes du matio, qui songe. s'est maintenue pendant trois semaines. Le soir, nous avons eu des cérémonies Ceat tout au plus un défaut de mémoire, bien touchantes, de splendides illuminamais qu'importe une si mines lacune, tions et notre église a été souvent trop pepourvu que tout le reste marche bien T tite. Quant à votre conseil, si respectueuseLes hommes, à leur tour, n'ont point ment présenté, de ne parler que de ce que failli é leurs courageuses traditions. Penje connais bien, il est au moins inutile, dant trois jours, seuls, ils remplissaient Monsieur la Curé ; j'en pousse la principe la nef et chantaient avec un entrain vraijusqu'à l'exagération, non seulement je ment méridional, surtout vraiment chréne parla pas da ce que j'ignore, mais je tien. ne dis même pas tout ce que je sais. Pleins de zèle pour venir aux prédicaVotre plaisanterie aur le lapin est ai tions, ils l'ont été la dimanche i mars,A la : spirituelle que je n'ins ste pas I Vous vou- commuoion générale. Lé se trouvaient les driez nous le poser trop gros. vétérans qui ne manquant jamais at auxVous prétendez que je n'ai pas répondu quels se sont joint« un grand nombre de un mot, ni donné une seule raison d'or- retardataires. dre public at d'intérêt général. Tel n'est Aux vêpres de deux heures, pour les pas mon avis,et la répartition des primes, femmes, l'église était combla ; é celles de tells q ''elle a été fait«, est la seule qui cioq heures, les hommes remplissaient la puisse répondra au programma que noua nef et, par leur nombre et leur entrain, avons soumis anx électeurs. Nous som- ont été admirables. mes un conseil municipal républicain et Le lundi, 56 nouveaux mtmbres étaient par définition même opposé à toutes les reçus dans la Tiers-Ordre. — Honneur institutions où on enseigne le mépris da et reconnaissance û nos chers missionl'Idée Républicaine. naires,auxquels nous avons dit au revoir Vous vour défendez de vous occuper et non adieu. d'élections, mais vous proposez un plébisFélicitations à la généreuse population cite', qui, si ja ne me trompe, est défendu de Nyons toujours d:gce de Notre Dame par nos lois actuelles, mais qui nous ra- de Bon-Secours. mène sur ce terrain, j'en accepte le prinPERCEPTION. — M. Raynaud, receveur cipe : c'est aux prochaines élactions que particulier des finances a Nyons.ast nomla question sjra jugés. mé receveur particulier desfinancesda Continuez, Monsieur le curé, laissez un l'arrondissement da Bellay. libre cours ù la facondilé de votre plume. M. Masmontet, percepteur des contribuNous sommes lé pour neutraliser la venin tions directes A Bazas, est nommé recequi se cache parmi toutes vosfleursdo veur particulier A Nyons. courtoisie ; mais la mèche est éventée, la G E L É E . — On écrit de Nyons que le mine fera long feu. Veuillez agréer, Monsieur le curé, I'BS- froid a fait beaucoup de mal. Les plaintes à ce sujet sont bien générales. snrance de ma parfaite considération. MENGLON. — La création d'un établisD r EVESQUE, Maire de La Motte Chalancon. sement de facteur receveur est autorisée a Merg'nn. CLÉON D'ANDRAN. — Le cadavre de LE BUIS. - Vol chez M. Bér.,rd, pâtis M. C. Mathieu, 60 ans, cultivateur ù Marsanne, a été trouvé le long de la route,au sier ; heureusement l'argent était en liaa quartier de Gênas. L« malheureux avait ! sûr. Tout d'abord, votre charité s'égare dans son étonnement RU sujet de A mon > conseil municipal : ceux qui l'ont formâ, es sont les électeurs de la commune et ceux qui l'empêcheront de plier, ce sera vous et la variété de républicanisme que vous représentez. L E CKEMLV DE F E R . — Ainsi que le faisait prévoir une récente lettre du minisirs des travaux publ-cs é M. le comte d'Aulan, Iss travaux de la ligne ferrée reçoivent une nouvelle impulsion. Trois nouveaux employés du P . - L . - M viennent d'arriver afin d'activer les travaux du plan parcellaire de la ligne. SÉDERON. — FUNÉRAILLES. — M. E. Reynaul Lacroze, ancien notaire, viceprésident du conseil d'administration du Monl-de-Piété et de la Caisse d'épargne d'Avignon, a succombé dans la 68« année de son ûga, â la paralysie dont il était atteint depuis plusieurs années. Fixé d Avignon depuis l'époque où il s'était démis da sa charge, il s'était acquis una juste considération par la sincérité de ses convictions religieuses et l'obligeance parfaite avec laquelle il aimait à rendre service A tous II cimsacrait ses loisirs aux bonnes œuvres : les conlérencas de SaintVincent de Paul, la fabrique de la Métropole, la Propagation de la Foi, et tout particulièrement l'administrationdu Montde-Pièlé et de la Caissa d'épargne perdent en lui un collaborateur précieux par son zèle, son exactitude et son dévouement. Sas obsêquei ont eu lieu dans l'église da St-Symphorien, au milieu d'une nombreuse assistance. Le corps a été ensuite dirigé sur Séderon, où a eu lieu l'inhumation. Nous engageons «os lecteurs d lire l'avis d?s GRANDS MAGASINS DU PRIXTEMPS DE PARIS, que nous publions aux annonces. _¡ii!S<»JiQ¿t? ssrfeamias| c • tpails, *UMI «<vt**uu ^ . ^ . ' / y ^ - t ' i i «iifcíiÑiMj. <h mt « " •J _ _ SKtïlAin osa* Dépôts : Pharmacies : Bnirg de-Péage : JULLIEN.— Romans : HENRY. - Valence : ANDRÉ. L'Huihrie EtienneD Chaque Jour, de nombreux lecteurs, envahis p u un excès d'embonpoint, nous demandant quels sont les moyens i employer pour coœbaltre, u n s danger, (SUC Infirmité qui empoisonne d'abord, pals qol menace ensuite si gravement leur ris par pes Inévitables conséquences : alîmmlnerle, diabète, embolie da cœur, apoplexlo, etc. Voici notre réponse : Avant toutes choses, naos leur dirons : Abstenezvons des régimes alimentaires Fpéclanx qui. Inutilement, anémient l'organisme et perdent l'estomac. Mais surtout, gardez-vous comme de la peste de tous agents physiologicc-chimlques, do Uni remèdes Internas bien plus dangereux eniort. Ils sa donnent des résultat) loulours éphémères, d'ailleurs, qu'en ruinant * tout Jamais la santi. On maigrit quelquefois au débat, mais on se tue toujours. A cc Jour, Il n'y a qu'an moyen efficace ot rationnellement scientifique pour maigrir rapidement, sans absorber de médicaments daogereni, s'eat te traitement externe par < l'Eau déperditrice > du naturaliste Slowe. C'est le seul, d'alllenra, qil ait reçu l'approbation de la SotiiU il Midnint di Franci. Cette découverte, qui a révolutionné la thGrapeutiqne de l'obésité, est basée sur la loi physique do l'Osmose, et a pour élément principal nne algue de l'Océan Pacl!lque d'Helminthocorton. L' i Eau déperditrice Stuwe • s'emploie soit en lotions, soit en évaporatlon dans le lit, au moyen d'un petit appareil nommé Evtporateur. Aucune drogue i absorber, ni de régime spécial i suivra. La simplicité dn traitement n'a d'égale que son efficacité. Pour recevoir l'exposé sclentllque do la méthode Stowe, ainsi que son mode d'emploi, 11 safOt d'aller voir le savant spécialiste i sou laboratoire de Paris. 9. rus Montesquieu, on de lui écrire. Il l'envoie gratuitement. Docteur A. de TIOIUSWT. M O N A S T È R E D E LA Î R A P P S DE M.-D. 6 dAI GUE B E L L E Bibliographie A l ' E c o l e d e J é s u s (F. da Lamennais), nouvelle édition, par le R. P. Liberciar, 1 vol. in-24 allongé (xu 264 pages), suivi da la mess*, des vêpres at d'un choix de prières. Prix : 1 franc ; franco par la poste : 1 fr. 25. (Librairie Douniol, 29, rue de Tournon, Paris). Valence, Veraslin at Gauthier, libraires. Sons ce titre, nous publions nne nouvelle édition du « Gaide du premier Age », da Lamennais, qui, tout d'abord, obtint tant de succès, et, plus lard, n'a pas cessé d'Aire lu avec fruit, malgré la défaveur jetêa sur ses osuvres par la fin lamentable de ce génie dévoyé, « C'est un délicieux petit livre, dit 1s R. P . Liharcier dans la préfaoe, sous forme da dialogue entre le Maître et le disciple, reflétant la bonté, l'amour, la tendresse sans mesure de N.-S. Jésus Christ, at, chez l'enfant, una candeur, une humilité, un désir sincèra da la perfection, qui ne peuvent manquer de recevoir leur récompense. 11 convient A tous les Ages, surtout A la jeuI nesse pour laquelle il a été écrit s. 5 Sauf le titra modifié, et les trop nombreuses références au bas des pages supprimées, la nouvelle édition est de tout point conforme anx anciennes. Puissat elie continuer le bien déjà fait et devenir un nouveau moyen de défense aux vertus du jeune Age menacé par tant de côlés A la fois. * COMMENT MAIGRIR? AIITAÑ d'AIx-m-Provence partout Demande des agmts Fortes remises On expédiertiilre d'<">^aj i E-tngiinn postil S kil. d ' H u i t « d'Olive d A I X , contre mand.-p. de 10 fr. ou A échéance. Des fabricants peu délicats présentent journellement sous des étiquettes monas tiquea, des liquen», chocolata etc., qui ne sont point fabriqués par des Religieux. • Pour les ohocolats, à titre de garantie d'origine, le Père Procureur dAigutbtlle engage les personnes soucieuses da leur santé et de celle de leurs enfants & exiger sa signature anr l'enveloppa da toute tablette et le mot Aigutbell* gravé dans la chocolat même. N.-B. — Un jour par Mmaine les visiteurs du Monastàre d'Aiguebelle •ont admis à suivre, sous la direction d'un religieux, les différentes phases de la fabrication du chocolat d'Aiguebelle. Lo Gérant : A. v«i«nri. VKHCKLIN. lmnrfmurls Vai^ntína!»«1 PURGE D ' H Y P O T H E Q U E S LEGALES Aux termes d'an acte reçu Me Avignon, notaire A Etoile,la huit décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, Monsieur Platel, Joseph, maçon et propriétaire A Etoile, a cédé en échange ô la commune d'Etoile une parcelle en terre labourable et gravier de vingt-cinq ares soixante-quatre centiares,a prendre au nord de plus grand contenu dénommé Beauchassatit.sis A Etoile, quartier des JosseraDds,confinant : au levant, Jamonet ; au nord, Verd; au couchant, Eyoard ; au midi, partie restante ; sur laquelle la dite commune a un droit de passage de quatre métrés cinquante, moyennant une soulta de onze cent* francs. Les formalités légales pour la purge des hypothèques ont été remplies. La présenta insertion est faite afin de mettre en demeure les personnes inconnues qui auraient des droits d'hypothèque légale A faire valoir sur l'immeubla ci-dessus, da les faire inscrire dans deux mois de ce jour sous peine de lorclusion. Monsieur Platel a recueilli la parcelle ci-desrus comme unique héritier de son père Jean-Henri Plalel, propriétaire A Etoile, décédé il y a quatre ans ; Platel père l'avait acquise de Henri-FrédéricFrpud, serrurier è Tain, et de AlphonseSidome Fraud, militaire A Teniet el haad (Algérie).par ncle Avignon,notaireriEtoile, du dix-sept novembre mil huit cent Hoixanta dix-huit ; enfin lesdits Freud étaient veuls héritiers de leurs aI»ux,Margnerite-Eynard et Félix Chsrrière et de leur oncle. Auguste Chsrrière, décédé A Etoile en mil huit cent soixante-quatre. Chères Mamans, ne pleurez pas sur vos filles pâles et anémies, mais laites leur boire de la Bière d'Evian, fabriquée exclusivement avec l'eau de la S o u r c e P r e m i è r o de la Villa Cachet, les Malts Jt Hongrie et les houblont de Saùz; elle est si bonne et si digestive, que lorsqu'on l'a goûtée ou no peut en boire d'autre. E n v o l a u d e h o r s par caisses do 13, S i , 48 bouteilles à 10,i'J et SCtr. Verre e t emballago c o m p r i s . VILLA OAOO&ff Adremr IH dtmandti tu siiti iftist, 31, ru« Stnitrt, LYON.