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BOURSE DE LILLE DU 7 AOUT 1936 MARCHÉ LINIER DU MinCHKDI 7 AOUT 1*M Lin» taillé*. — « n Un» «ovlttlqu»». 1 M alfa»»» restant nulle*. Le» vendeur* «ont pru empresse» e t la demande très réservée. Les p r u purement nominaux sont san» •.hangemeni. Kn lins de Belgique, très petit courant daf**lr«» 1 mit* à de simple» réassort l\întnt» « des-prtz identlgu^s à e s u s de la •eisaUne dernière. En Un» français, la demande, quoique pru Importante, semble orienté* à une progression. Au cours de la B o u n e de 0* jour, il a été constaté que la Filature a intéressait beaucoup plus au marché. Lee prix -ont stables mais plutôt orienté* à une léger* progr* -sslon. On cote, rouis à terre moyens marchandise rendue : Bergue* (moulin llamand). ->60 nominal : Bretagne (Cotes-du-Nord). ,i75 nominal ; BKKO IV* groupe bas* lr*. fiôô nominal ; Courtral (moulin flamand), 560 nominal. Etsuaes. — Quelque* rare* petite* af!a:rw sont notées en étoupes de telllag* à des prix variant entre 290 A 3*0 fr. le* 100 kilo* rendu tllature pour étonne* rouis terre retravaillée» bonn* qualité moyenne. FM* a)é Lin et é'II*u»e». — On constate peu de changement* s u r le marché des fia» et les vente* sont toujours aussi peu importantes.' Néanmoins la fermeté de» prix persiste. L exportation est a peu près au lie. On cote Chaîne, n. 30 : 260: n. 35 : 240: n 40 220 : n. 60 : 210 : n. 60 : 300 le paquet de 100 écheveaux Trame n 30 : 230 : n. 35 : 230 : n. 40 : M ; n 50 : 190 : n. 60 : 166 le paquet <lc 100 écheveaux. Telles. — Le marché reste calme. Le* quelques achats portent sur des articles d'emploi courant et pour 1 vralsons : pides. Les cour» sont san» changement. Chanvres. — Les stock» ancienne récolte t o u t pour ainsi dire épuisés notamment dans les articVs d'emploi courant et pour livraisons rapides. Lts cours sont -.-1:1* changement. On cote : Naples Bpsgo Kxtrlselmo 1/2 1 2 supérieur ,565 nominal ; Bologne S. B ri., 550 nominal. •l'île. — I * brut est plus ferme cette semaine et tes cours se sont quelque peu améliorés. ru* île chanvre. — Tl s'est traité cette semaine quelques petites affaires a des p:ix lnchnagés. On cote : Chanvre long brin filé au sec : N. 10 : 11.60 n. 12 : 12 fr. le kilo : n 16 : 385 fr. : i 20 300 fr. le paquet de 100 écheveaux Filé a u mouillé N. 10 : 11.50 n. 12 12 fr le kilo 16 : 396 fr. 370 fr. le paquet d s 100 écheveaux. Coton. — Le coton s* maintient tou joura sur des base* a peu prés stables sur I lc> différents marchés d'origine, mais sans | Toutefois donner lieu a des transactions importantes. On cote : Clôture Le Havre. 4 fr. 88 le kilo. Cajtas* filés. — L'absence d'affaires nouvelles e«t encore générale et l'activité des usines n est entretenue que par ta livraison d'ordres anciens. On cote : la bobine n. 20 Amérique pur chaîne et trame. 7 50 A 8 fr. le kilo : la bobine n. 6 Indes. 5.50 a 6 fr. ls kilo, suivant qualités. MARCHÉ RÉGLEMENTÉ OU MERCREDI 7 AOUT 1935 VALEURS j ç prêt |C. du J CHAHiOMMADES • Part Anlrtie Minus» 10».. Blanzy Bruay eat d'origine végétale donc parfaitement inoffensive et mime pour votre linge le plu» délicat voua pouvez Vutiliter aune crainte. (Mode d'emploi sur toua lea paquet») 10».. Carvin Clarance com Fourch Cotlrriérev.. Crespln Dourge» E «carpelle .. Franksnholz Oouv-servlns Liévin • C.Mac. Ligny-isr-Alr Psrt M s r l e » 70» . MARCHÉ LIBRE DU MERCREDI 7 AOUT 1935 'lours uu d.sponible constatés par les courtiers assermentés de la Bourse de Blé indigène. 76 kilos. 84.60 rendu Lille ou parité : Avoines blancnes- (aunes. 45. rendu Lille ou parité i Mais Plata. Incoté délivré Dunkerque . Indocni.ie. 52 fr délivré Dunkerque : Maroc. 47 délivré Dunxerque ; Orge» Algérie-Tuivsie. 38 délivré Dunkerque ; Nitrate ds Soude. Incoté : Huile de lin, 200 départ Nord. Pas-de-Calais : Tourteaux de Un. grands formats 51 départ Normandie : Orames de Un indigène conditions du contrat d u Syndicat Général (bas* 96% d* pureté) in cote. FRUITS ET LÉGUMES Pommes de terre Esterllng. 38-40. logées départ : Oignons Auxonne. 27 logé* départ : Echslottes de Roscoff. 46 : Chasselas de pays. 340-350 : Raisin Portugais noir. 290 : Pèches Vallée Rhône. 230 a 800 fr. : Prunes reine-claude Correae. 180 : Prune» Bleues Montauban. 175 : Poires Williams Vassée Rhône. 300-450 ; Melons du Vaucluse. 13 a 23 la douz. : Artichauts de 3tPol. 95 fr. les 100 kilos. Avoine blanche et ou jaune 47 kilos poids naturel Lille ou parité. Les 100 kilos nets comptant sans escompte. Première et dernière cotes. — Août. 43 N : septembre. 43.50 N. ; 3 de septembre, 44 N Clôture. — Août. 42 ; septembre, 43.80: 3 de septembre. 44. • l é 76 kilos poids naturel. Lille ou pari'c. Les 100 kilo* nets comptant sans escompte. Première, dernière cotes «t clôture. — I:.cotées. t u p s r p h e s p h s t s minérsl d* chsux. — Msit jaune Pista, magasin Dunkerque, n 'quitte. Le» 100 kilos bruts logés, comp- Base 14% d'acide phosphoriqu» solubl* eau et citrate d'ammoniaque, livraison tant sans escompte. Première, dernière cotes et clôture. — d'ici fin novembre prochain. NORD. — Arrts Dunkerque, 33.80 : Halucotées. ,-ebrouck. 22 50 : Lille, 22.75 ; Douai. 93 : Mal* jaune et ou roux Indochine, ma- Valencl*nn*s. 23 ; Avtenes. 33.38 ; CamLtasta Dunkerque. acquitté. Le» 100 kilo» brai, 33.35. bruts logés, comptant sans escompte. PAS-DE-CALAIS. — St-Omer. 23 28 : 8 t . Première cote. — Août. 47 A . 50 V Pol. 23 : Béthune. 23.78 : Boulogne, 23.26: 3 d août. 41 80 A. : 4 derniers, 39.26 A. Montreull. 23.50 : Arras. 23.26. Dernière cote — Août. 37 A . 50 V Nos prix s'entendent franco tout*» gares 5 d'août. 41 50 A : 4 derniers. 39.60 A grands réseaux d* ces arrondissement», Clôture — Août. 48 50 : septembre. 43: par 10 tonnes m i n i m u m , logés en sacs per5 d'août. 42 : 4 derniers. 40 dus de 100 kilos brut pour net. Mais iHune Maroc, magasin Dunkerque. Sulfata d* fer ntig«. — 32 fr, lea 100 k. ,i. quitte. Les 100 kilos bruts logés, compSulfat* d* fer orlttaux. — 30 fr. le* 100 tant sans escompte. kilos. Première, dernière cotes et clôture. — Sulfat* d» cuivre neige. — 182.60 le» 100 incotées. kilos. Sulfst» d» suivra cristaux. — 147.60 les Orge Algérie-Tunisie, magasin Ounkero ie. Les 100 kilos nets, comptant sans es- 100 kilos, départ usine, sacs perdus, réglés a 100 kilos brut pour net. compte Sulfst* d* Souda aiguilll* industriel. — Première et dernière cotes. — Août. 38 41 50 les 100 kilos. N : septembre. 39 N : 4 derniers. 39 N. Sulfsts d» Souda aiguilla raffiné Clôture. — Août. 38 ; septembre. 39 : 4 dernier». 39. 4ord. logement en saca perdus, rémagasin Oun- ' glés a 100 kilos brut pour net. Nitrate d» Soude, us" ENGRAIS ET PRODUITS CHIMIQUES MARCHÉ DES COTONS DU MERCREDI 7 AOUT 1938 LE HAVRE. — Août. 344.80 ; sept.. 242.60 oct., 241 ; nov„ 239 ; déc„ 237.30 ; janv 237 : fév . 236.60 : mari. 236 : avril, 236 mal, 236.60 : juin. 286 : Juillet. 236.60. — •aie**, 2.86. LIVERP00L. — isiss», 3 panoa. NEW-YORK. — Sans changement. BOURSE D'AFFRETEMENT DE LILLE Journé» du Mercredi 7 Août 1918 Aire-Houll*. 7. — BeuvryComlnes, 7.23: lsuergues, 5 ; Vlllers-St-Paul, 23.75 : Argenteull, 27.60 : Parla environs, 30 : Beautor, 18.80 ; Masnléres, 13 : Chalons-surMarne. 27 : Bras-sur-Selne. 38 76 : La Madeleine. 6 — Bruay-Comlnea. 7.25 ; Corbehem. 7.50 : Paris environs. 30 : Oargenville. 28. — Btache-Dunkèrque ou Calais. 13.26. — Croix- Wasquehal-Rls Orangls. 9.300. — Don-Gand, 2.000 : Anvers Bassins ou Rade, 3.000. — Denain-Pans environs, 27 50 ou Melun, 31.60 ; Contiens Base. 22.50 : Jarvllle, 17.50 o u Contiens, 22.60. — Escarpelle-Dunkerque Ville, 13.75 ou Bassins ou Bassins. 14 : Bar-le-Duc. 28.75 — Plers-Marles. 6 28. — Fresnes-Parls environs. 28.50. — Gayant-Tourcoing BlancSeau. 6.50 : Paris environs. 28.80 : Beautor. 17 ; St-Quentln, 16 : Vlllers-St-Paul. 21.25 ; Lamotte Breuil, 21. — Harnee-Lomme. 4 : Denain. 6.80 ; Roubaix quai d'Anvers. 6 : St-Amand. 6.25 ; Coudekerque. 10.80 : Montereau. 38 : Ongnv-Ste-Benolte, 20.60 : Ouervllle, 27 : Aise'rey, 43 ; Isle Adam, 23.23 : Cormeilies-en-Parlsts. 24.80. — Haubourdtn-égivers Bassins ou Rade. 2.600 ; Dunkerque Bassins. 3.000 : Paris environs, 30 20 ; Armentières, 7.10 ; Anvers Bassins ou Rade. 2.000. — LlévlnComines. 7.25 : Anzln. 7.25 ; Leffrlnckouke. 11.60 : Roanne, 82.80 : OargsnviUe. 27.60. — La Lacque-Calais Villa, 10. — Llgny-Cominas, 7. — Marqustte-Oxyghem Zwantjesbry. 2.100 : Moulle. 15. — MarlesMarcq. 6.26 ; Hautmont. 21.50. — Noyelles-Comines. 6.85 : Beaons Base. 26. — Ostricourt-Houpllnes, 6 : Comines. 6.75. — Pont-à-Vendin-Oand. 8.50 ; Charenton Carrière*. 3 0 3 0 : Tourcoing, S : id., 6 : Vlllers-St-Paul. 31.75 : Pont St-Mard. 18.80; Montataire. 22 ; SoUsons, 22.50 : Haubourdin, 4.26. — Pont-de-la-Deûle-Oand. 8 ; Roubaix quai d* Gand. 6.60 : St-Quentln. 15.50. — Thiers-Parls environs, 28.40 ou Melun, 32.60, — Vteux-Condé-Oomins*. 9.75. — Violaines-Tourcoing Blanc-Seau. 6 : Auxerre. 41 : Lomme. 4 : Reims, 23.60. — Watten-Lille Vauban. 6.25. — Wasquehal-Isberguee. 9.50. — Beuvry-Couvrot, 28.56. — Btache-Pans environs. 29. — Denain-Persant. 21.60 : Lamotte BreuU. 20. — Harnes-Blllsncourt, 38. — LourchesBray-sur-flelne, 40.60. — Oatrlcourt-Paris environs. 28.78. — Pont-à-Vendln-OrignySte-Benolte. 20.50 : Noyelles. 20.80 : Paris environs. 33.26 : Maries. 4.50 : Lomme, 4; Wasquehal. 6 ; Haubourdln. 4.80. ÉCOLE D'ARTS-ET-MÉTIERS DE LILLE Vocl la liste des candidats admis à l'Ecole Nationale d'Arts-et-Métlers de Lille S la s u i t e d u concours de 1936 : 1. MM. Maaaard Jacques ; 2. Darraa Michel : 3. Vergne Jean ; 4. Llot André; 5 Soulier Raoul : 6. Libert Albert ; 7. Rlvolre Antoine : 8. Gasnier Berge : 9. Porcheron Berge : 10. Brocart René : 11 Drouln Oeorgee : 12. Rigolet Albert : 13 Ballleux Pierre : 14. Pertase Raymond; 15 Sarrasin Roger : 16. Vilar» Pierre: 17 Roger Pierre ; 18. Basquln Humbert : 19 Delllaux Emile : 20. Richard François : 21. Richard Armel ; 22. Delmer Jacques : 23. Egot Pierre : 24. Blomme André : 25. Châtelain Maurice : 26. Ferrand Roger : 27. Leleu Eugène : 28. Adde Jean : 29. Lava André ; 30. Clément Robert : 31. Presne Raymond : 32. Demallly Serge : 33. Landragln Gustave : 34 Anne André ; 36. Hamel Albert ; 36. .. .. .. .. 139 2110 M 15 312 154 4600 38 .. .. .. .. .. 50 .. .. 399 170 1010 110 «71 .. .. .. .. .. .i* *.;; •507 FCTNOLIt Part Lille- Bonniér • prior.. PecheihroBB. Raf. Pét !4d. a Plana. Part. VALEURS BOURSE DE PARIS DU 7 AOUT 193S C. préc C. tai VALEURS D I V E M I S st HOBI Nord et Est. Mat. Fr.-Bel Jeumont • Part. Louv.el Rec. Peugeot Ryo-Catiesu. st-Am. : F - L . ) Sen. Maub.. 155 .. 133Ï 270 23» 216 c. prec. c. du J Conitr Mec. Delat-Frouar Den. Anztn Escaut (api Plves-Lll!»... Mar ii» :: Nord d'Alan Ostriconrt... Thivencslie». vicolfne kerque. Le» 100 kilo* brut» logé» comptant sans escompta. Première, derniers cota* et clôture. — Incotées. Hulls ds Lin départ usine ou magagasm. Les 100 kilos nets, fûts prêtés, comptant sans escompte, sans taxe a la production. Première cote. — Août, 192.50 F. : septembre. 191.26 A , 195 V. : 4 derniers. 191.25 A.. 193.75 V. ; 4 de novembre, 192.50 N. : 4 premiers. 190 A.. 192.60 V. Dernière cote. — Août. 191.26 A., 193 75 V. : septembre. 190 A.. 193.75 V. : 4 derniers, 190 A.. 193 75 V : 4 de novembre. 193 V. : 4 premiers. 190 A., 192.60 V. Clôture. — Août. 192.50 : septembre, 192.80 : 4 derniers. 19250 : 4 de novembre. 192.50 . 4 premiers, 191 25. Tsurtsaux de Lin départ usine ou magasin En vrac, comptant sans escompte. Première cote. — Août. 49226 A . 50.28 V. ; septembre. 50 75 V. : 4 derniers, 51 F. : 4 de novembre. 52.25 A.. 53 V. : 4 premier». 52 50 V. Dernière cote. — Août, 49.80 A.. 8 0 8 0 V.; septembre. 49.60 A., 51 V. : 4 derniers, 50.50 A., 61.50 V. ; 4 de novembre, 53.25 A . 83.25 V. : 4 premiers. 51 A.. 52.50 V. Clôture — Août. 60 : septembre. 60.80: 4 derniers. 61 ; 4 de novembre, 52 75 ; 4 premiers, 51.75. 963 . 1373 . . 76» .. «530 417 . VALEURS '»: Cred.No.***» Sotiaest Un. d. aflne< $léc. L.-R-T set. F et L.. netiiaaeise . Kl. et O. Nd El Nd-OaeM En. El R. p . HersIB-Coup •lily-ilon. s Bill,-Mon p <Xm. Bon Ion n f». C H.d. N.. Ç Franc, (n Mat. C. Lots. Hoiiei-Chaus Tull. Beauv. Bflgr. Auby. OLVerr sp.. t é l . Ste-Th tittlmann la. (omine« •Iflt-Gobaln V. Llbercourt 01, An. a ne. ASturlenne... La Lucetle.. Mnkt el Had Î INDUSTRIES TEXTILES — »% m M. Parenty. c o m m i s s a i r e spécial d e police hors-classe, 1er é c h e l o n , chef d e service à Calai* ( P a s - d e - C a l a i s ) , est n o m m é e n la m ê m e qualité a Bellegarde ( A i n ) , intérêt de service: M. Peudepiéce, c o m m i s s a i r e d e police mobile, hors-classe. 1er é c h e l o n , chef d e t e c t i o n au c o n trôle général d e s services de police crim i n e l l e a, Paris, est n o m m é c o m m i s saire spécial de police, hors-classe. 1er échelon, chef de service à Calais ( P a s de-Calais i. en r e m p l a c e m e n t d e M. P a renty. Intérêt de service, SAPEURS-POMPIERS COMMUNAUX Par décret en date du 23 juillet 1938. o n t été n o m m é s aux grades ci-après, dans les corps de aapaure-pompiera cojnmuAISHB. — MM Cmxrpentler a a i t o n . sous-lieutenant à Nouvion-Vingre ; Gabelle Joseph. sous-Ueutenant. a FontaineUterte ; Perln Léon, souslleutenant 4 Qulersy. NORD. — MM. Lesaffre Etleni.e. tkasat, a tJuesnoy-sur-Deûle : Vassaux Raymond, sous-lleutenant à Caudry. PAS-DE-CALAIS. — MM. Legrand Aimé. sous-lieutenant 4 St-Lez-Marqulon : Bourdrez Ernest, lieutenant à Neuvllle-SalntWaast : Soudain Oabriel. sous-lieutenant a Vavans ; Vanacker Paul, sous-lleutenant A Violaine : Sevrette Jean, sous-lleuten a n t A Quéant. SOMME. — MM. Lefort Joseph, lleut. à Nlbas : Buizard Paul, sous-Ueutenant * Lamotte-Duleux ; Bonftls Louis, lieutenant à Conty : Petlgny Emile, sous-lleutenant à Conty : Vasséur Georges, souslleutenant 4 Prouzel : Leclerc Jules, sous- VALEURS C. **•*. 717S SB 83 il 89 46 • g F . T . T . 6 % 28 — 4 1/2 % 29 B o n s d u Tl 1 % 1*96 4 1/2 % 1933. 87 3 M» 951 , » l .. 388 . . *»» .. 43» . . M* 958 69 •93 .. 81 63 163* 1217 430 .. la M I NItî I» .. C30 •*• M* .. H .. 72 tt Ï05 . . 108 •• *» ... . t . .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. 1SOMPT ANT .. Bruay 1840 . . 1590 ,. 2f* Ï79 . . . tiare*** 4S25 .. 4524 L i é v i n < 9 •*>. 130 125 60 . La Lucetle.. «1 82 .. l u b u e 1 . .. ..' .. .. .. .. PARQUET TENME ao2 :: 278 3M !•• 630 189 810 375 751 785 900 600 4608 440 j Carée.l C. « n J . BANQUE Crédit F o n c . . Crédit L y o n . 84» *3> M» •28 1*9 830 348 756 711 910 582 4579 442 .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . l'eoharoya... si-Oobaia.... Citroen Say 9895 883 «32 *73 3W0 1M4 .. .. .. .. .. .. 9K90 . . «2* •72 3220 1476 .. ., .. .. 478 .. 1*29 .. 83 90 Cals aut.4 t/* 2360 . . crédit Nat. Fonc. Egypt 640 . . s % 141* W a g . L i i s . . . 834 . , 5 % 1«* centrai-Mins 1706 . . 171» . . 51« . . * % 1*21 610 . Montecatim.. 510 . . Juillet 1922.. Ilio-Tinio — SlO ,. M3 . Janvier 1923. Norv. A z o t . . . 51» . . 51» . . Juin'!»» 631.. 53* . . 53* . . 62» . BANQUE T E R M E Janvier 1924. 94* . . 94] ,. 468 % % 19*2 Albl * 5 1 IL 94* . . Astra Rom.. Ml .. 70 50 4 1,2 % 1982.. 492 . . Bruay l/i*.. 1330 . *805 . i % 1934 8» . . 620 . . C a o u t c h o u c s , Mé,. Dép.N\*% SI.85 90 M 75 (hartered — 009 . Llgny-LAlr* Banq d* Fr Concordia... • 33 50 • M . . Marisa, .v.... 863 . . Sot Oénér... De Béer» o r d 1000 Ml 740 . . T2J .. Cb. T. Est... ( l o l d f i e l i l s .• . . 1140 . Ostrl court... — Lyoe. 1150 H u i l . d s P é t 210 835 . . S» .. Lille-Bonn p 10 29 600 . jagerslont.— Midi. •04 . . 1149 . . 1150 . . Liévin A c t . . . (40 694 717 . . 732 . . — Nord. 110 90 190».. 11*0 . . 413 40* . . — Orlé.. Kali Ste-T 10 477 SI . . 47*.. Métropolitain 135 . . 18* . . Varr Anlrb» 36*0 . . a***:: ( l r L a c s A i r . sio :: «15 . . tl*ct. F a n s . 326 . . M .. 33*.. El. O. du No Franc. • 22»:: Shell Transp. En.El. N. F.. 1574 . . 1684 . . Clan. Boulon 75 75 'i 641 . . 632 . . il Thom. Houst 3» M 39 79 Tanganylia.. O. Sle-B.. N.. 217 . . ilâ .. M;: Nord-Est M .. 1 1 4 . . Boksnowakl.. 317 . . 43 . . Schneider.... ViaUl. M o n t . 48x . . «76 . . Pnliet Chaiis Tréfil. Havre M .. Courrlèrea... Mars dscréd Leos O M a u n a l M I 1879. 510: t880. 591: 18*1. VIII» * • P a r i *Siléél». l 1*71, OBLIGATIONS. . . 1876. 478; t8*9. 251; Mlnss l s * 4 4 * . 9*5; 1*94, 336: U<99. 316: 1904. 332: 1911. 19»! Vlcolgne Aatur. 740; 952.60! I * » . 30*: 1899. 9*0: 1904. 8*»: 1910 1*9*. 416; 1*27. W0: 1929. 900: 19.» 4 V Boléo 1931 4 %. WIO; 1931-32. 780; 1932, *11: 1933 5 %, ÎR" •r f:: • «*:: 1" — *. £;: •» .. S 3 / 4 , 279; 1910 3 %. 25*1 l»12. 250; 199* 6 %. mil; 1929 '. 1/2. 856: 1990 4 °„. 7*9: E m p r u n t s S l o t s 1930 4 %. 802: 1931 4 %. 7*9; F o r t l f . 4 %, 74»; 19.12 4 1/9. 809. ' ' > 5 1/9 %, lOMl HTM. 525: t a * ) , 2*0: 18*6. M: 1/5, 74: 1895. 336: 1909. 343: 1909. 170; 1913 S 1/2 %. 346; 1913 4 V 440: 193* 4 1/9 %, 7*6. *77; 1*34, 998; P a n a m a oblig.. 12*. CHANCES — L o n d r e s 74.»S ; N e w - T o e R 15.1075; B e l g i q u e 2.V5.125; E s p a g n e 207.26: • « * . lande 1022.00: Italie 124.00; Suisse 494.96. BOURSE DE BRUXELLES DU 7 AOUT 1935 TALEURS 0. préc. C. d o J . eomptant R U beig 3 % 4 % d. guerre Lots Congo 88 144 60 Baaq. Nation 2015 . Soc- oén. P. 3500 , Ch. fer Cong C.G. Lac* c . . Cocker 111 VALEURS comptant Const. El. Cl ougre* providenc*. sim-Moa... Beenruren.. Kessales Leur* Asturienne. lieutenant à la Chaussée-TIroncourt ; Caron Marcel, sous-Ueutenant a Thteulloy147 66 la-Ville Carpentier Léon, sous-lleute2006 . n a n t 8 Yvrench ; Leconte Oyrus, sous-lleu3475 . tenant a Domwast : T h u e u x Paul, sousUeutenant a Quand ; Vue Gaston, sousUeutenant a Botsmont : Crognier Bernard, sous-lleutenant à Bovelles ; Rançon Edmond, sous-lleutenant a Condé-Folls ; Chaballle Henri, sous-lleutenant a Sauvlller-Monglval : a u l b o n Aimé, sous-lleute- quête à lsquelle mon département pronant ' Guerbtgny ; Demalson René, sous- cède au sujet de la protection douanière des cordelettes e n fibres de coco, j'ai soulleutenant a Morcourt. mis 4 l'agrément de m e t collègues des départements ministériels compétents u n projet de décret suspendant provisoirem e n t le* effet* d u décret d u 8 m a l 1938 susvlsé. » En outre, e t pour éviter que l'effet de cette mesure ne soit retardé pendant La, c o m p a g n i e du Nord a bien voulu la durée de l'examen par les administrainformer le s y n d i c a t d e s p ê c h e u r s d u t i o n s Intéressées du projet de décret a Nord que, sur s a d e m a n d e , les p ê c h e u r s Intervenir, J'ai, tenant compte des desip a r t a n t de D o u a i pourront d o r é n a v a n t derata de la Chambre Syndicale de la bénéficier d u tarif réduit à d e s t i n a t i o n Spartene. fait préparer e t contresigné u n des gares s i t u é e s le long d e la Bcarpe, projet d'arrêts exonérant d* la surtaxe aller par le t r a i n N» 300 rétour p a r les compensatrice des changea, les cordelettes t r a i n s 303 e t 333. Pour l e s gares s i t u é e s de végétaux filamenteux repris s o u s le* le long d e la S e n s é e , aller par le t r a i n numéros 006 et 607 d u tableau des droits. a Veuillez agréer, etc. ». 34-04, r e t o u r p a r le t r a i n 34-33. Les p é c h e u r s de Sin-le-Noble s o n t a u torisés à p r e n d r e a demi-tarif, à l'aller les t r a i n s 34-04 et 34-10 s u retour, l e s trains 34-24 ou 34-33 desservant les gares s i t u é e s le l o n g d e la S e n s é e Jusque Fressies. LES TRAINS DE PÊCHEURS DU D0UAISIS POUR LA DÉFENSE DE L'INDUSTRIE FRANÇAISE DE LA SPARTERIE *. Î75 67* «M .. «M . m lois ;; 53» <34 169* 1229 19 IMM «90 179 •:: iota* 90» * » VALEURS C. d u i . COMPTANT 7**0 • 0 90 « 7 *75 Il t 1 , 2 % 1*32 t 4 1/9 % I 9 W P O. T r . 4 W9 33 C h . F . Et. 4 % Etsbl. Agachi Tékkah Coi. St-vuent Zinc Silésle. Cientochovi.. Béth. d'Alim Fil.'Fllt* Fr. Bras. C.N.F.. Industr. Text Ac. Nord.... 271 . Motte-Cord.. • jouis.. Sam. et Ml. 271 . Fafc. St-Am. 203 Le Blan Etaoï. Arbel. 300 . Peyrlasac.... Lyon solear. Chant tt... I« . Saint Krerss. 170 213 206 . Tiberghlen... 8. St-Va»»t. At. C. N. Fr. Ml . O S L I O A T I O N S . — Département du Nord l'Est 1930 450 %. 7*6. — Pont * Vendin (Solttl 6 %. 49»; 19» 7 % (Janvier-Jullletl. 504; ciété Méiallurgiqu* dt) 5 %, 380. — SenelleIW4 1 \ i Mars-Septembre!. 516; Wtl 7 %. Maubsuge I9:n 4.50 %. 700. 1931 4.50 %. 1415. '17- 1931 4 % Irimb. t 1000). T»; 19.11 4 % — Agsche fils e %. 402. — Chlgot et Cle "bon Î.OOOI, 171»; 1931 » * (bon :,00), 432; 1*34 6 ° 347. — Cotonniere de Saini-Quentxa S 50 % 99S. — Département du Pas-de-Calalt ( %, 641. — Frémaux (Filature») 6 %. 499. — l!B« 7 '% MO; 19277 %. 51-2; 1929 i %. 940. — Le Blan et Cle 7 «t,, 380 — Société d» FilaRoubiux 1931 4 50 %. 7i6. — Crédit National tures (Ane. Eis Desurmont et fils). 445. — 1919 5 %. 545; 1990 » %• 504: 19»l t %. btt: Chicorée» supérieures (Société lodustr.) 5 % I9W t %. 515; 1923 « *%, (Kévrier-soùt). 616: 9*0. — Courrlères-Kuhlmann 1990 » %, 835. — l**S • •». (avrll-ocWbre). 513; 1924 6 %. 549g Finalen» 5 %. 79*. — i.ia. e* et VeTTes spé1934 5 % 1.000 — Denain et Anxln 1927 « %. ciaux an Nord d* la Frênes 4.M %. 7*0. — 975 — Eglise» dévastée» (Oroup de ReconstJ immobilier* d* l'Artol» 4.60 %, 734. — InIW8 6 %. 482; 19i» 5 X, W, 1931 •* %. ••*. ilu<trielie et Agricole de l s somme 4.60 v drosse Métallurgie 1931 4 "„. SX. - Houil- MO — Marles-Kuhlmann 1999 5 %, 640. — lères du Nord et du Pas-<le-( alais 1917 6 "„. Tuileries de Beativall 8 %. 790. — Anich* 4*6, Janvier 1931 4 %. 815; Mars 1931 4 %. 1903 4 %. 403; 1926 4 •*,. 40». — RéeMngMl 815; Juin 1931 4 •«,. » « ; Août 1931 4 %. 805. 5 "*,. 6M. — Bruay 1932 5.50 %, 910 — Cres- Llévln 1994 7 %. 493. — Electrique Lille pin-Nerd 4.50 %, 5*5. — Droeourt 1*0» «t Roiibalx-Tourcoing S %. 825. — Artésienne de 1911 4 %. 370. — Llévln 1928 l&> %, 440. — Force et Lumière 19» 5 "„. 799. — Continen- Limbourg-Meuse 4.50 %. 673. tal» du lias 1931 5 %. 8«2. — Energie électrique du Nord de la France 450 %, 375; I98Ï 4.50 %. 7*0. - Oaz et Electricité (Cle Gle de) 5 50 %. 735 - Denain et Amin 1932 OOUPONt ANNON0ES 5 50 %. 900. — Escaut *t Meuse 1913 4 %. 711. - Espérance (Usines de I) 1912 4.50 <v 380. 5 Aoot. — Consortium Induatrtel de* vl*a. _ Fabrique de Fer de Maubeuge 19J0 • %. des (action). n« «i ; coupon brut « 1 net * 4*g. — Forge» et Aciéries du Nord et de payer nom.. 5,48 : porteur 6,66. DANS U POLICE |c. pr**.|e. du J. MROUIT C O M P T A N T MÉTALLURGIE Agez René : 37 Larose René ; 38. Adam Pierre ; 38. Lapi* Fernand ; 40. Olot Adrien : 41 e n a n a t René : 42. Daniel LOUIS : 43. Renon Jacques : 44. Tourreau Pierre : 46. Lafond Pierre ; 48. Blgpon Pierre ; 47. Sentier Albert : 48. Banboeuf Jean : 48. Oaspillard Maurice' : 50 Moreau André : 81. Le « u e l l e c Louis: 62 Lemolne Maurice : 53. Bouvier Julien : 64 Hérissé René ; 56. Lemoine Robert : 56 Oand Jean ; 67. Mcrilre Raymond : 58. Rouleau Georges : 59. De la Mette Fernand. VALEURS L'ASSEMBLEE GÉNÉRALE DE U CAISSE CENTRALE DE MALADIE DE U MUTUALITÉ DU NORD AURA LIEU LE 15 SEPTEMBRE L'assemblée g é n é r a l e a u r a lieu l e 15 septembre, à l'Hôtel de l a M u t u a l i t é . 11. boulevard Vauban, à Lille. Ordre d u jour : 1. lecture d u procèsverbal d e l a dernière assemblée ; 2. r a p port moral e t c o m p t e r e n d u d e l'exécut i o n d e s décisions antérieures ; S. situat i o n financière e t b i l a n ; 4. rapport s u r le contrôle m é d i c a l ; 5. q u e s t i o n s diverses. Comme suite aux démarches ds M. de DNMbach, député, et de quelques-uns de ses collègues, faites auprès du Ministre du Commerce, au sujet des répercussions du décret du 5 mal 1038 sur l'industrie française de la Bparterls et l'aggravation du chômage qui en résulte pour lea o u vriers de cette Industrie, la lettre suivante vient de lui être adressée par le Ministre d u Commerce : « Vous avez bien voulu appeler m o n attention aur l'intérêt qu'attache l'industrie française de la Sparterle a une prompte modification de la tarification Londres, 7. — D e p u i s quelque t e m p s , douanière établie par le décret du 8 mal 1038 sur lee cordelettes s n fibres de coco c e r t a i n s F r a n ç a i s sont v i c t i m e s d'habiles a u n ou deux bouts et a torsion lrregu- escrocs a n g l a i s qui r é u s s i s s e n t à détourllère. ner d e fortes s o m m e s . » J'ai l'honneur de vous faire connaîL'escroquerie c o u r a m m e n t pratiquée tre qu'en a t t e n d a n t les résultats de l'en- c o n s i s t e à offrir à d e s m a i s o n s f r a n ç a i s e s COMMERÇANTS FRANÇAIS GARE AUX ESCROCS ANGLAIS C. p r é c . C. u J.1. O. préc. C. ddu 467 S» 11000 9*0 470 3230 •27 127 60 .. . . 10960 . . 9*0 . . .. , 470 . . 3200 60 532 60 ., 13» . . VALEURS C. préc. C . d e J comptant vieil. Mont.. Elsctro b*lg* Dhalhuscb... Sllési» Canada pac. Tubit* ord.. Un. N. g a i . . 1*10 , 1710 , 30* mw Sportsmen lisez le» lundi, samedi Ses sports du nord I* plu* fort tirage des rtglonau» j sportif*, — Le num4re 25 cent. m o m e n t a n é m e n t e n difficulté la p o s s i bilité d e former u n e filiale e n Angleterre) e n vue d e recevoir des fond* pour alim e n t e r leur trésorerie. T o u t e f o i s , la m a i son f r a n ç a i s e est priée d e verser a u préalable 10 % d u c a p i t a l n o m i n a l d e la société à former et u n e n g a g e m e n t e n b o n n e et d u e f o r m e est s i g n é p a r les c o n t r a c t a n t s . P a r l a suite, ou la société n'est j a m a i s c o n s t i t u é e , o u , si elle l'est, l'escroc trouva une c l a u s e de c o n t r a t qui lui p e r m e t e n général d e le dénoncer. D e s poursuite» judiciaires «'avérant t r è s o n é r e u s e s , rlis» téressé f r a n ç a i s préfère, d a n s la p l u p a r t d e s c a s : n e p a s s'adresser aux autorité» judiciaires. U n e autre forme d'escroqueries e s t pratiquée a u x d é p e n s d e s export a t e u r s d e produits m a n u f a c t u r é s français. L'escroc a c h è t e e n F r a n c e des m a r c h a n d i s e s qu'il se fait livrer à Londres) et sur lesquelles il n e verse qu'un faible acompte. Il déclare e n s u i t e n e pouvoir écouler le stock et. a p r è s d e n o m b r e u x é c h a n g e s d e correspondance, l'exportateur f r a n ç a i s finit par céder s o n produit à vil prix a f i n d'éviter les frais de poursuite. ia*a. du fteoeti ski nforeJ 188. rue de Parla Lille. U aérant : 2mll* Q H T Votre teint reflète-t-fl. M a d a m e , la fraîcheur qa* corrrter*t à rotre b e a u t é ? Car la b e a u t é se " c u l t i v e " et TauxiTialre précieux contenant ous les éléments indispensables, pour embellir e t rehausser votre .norme est sans nul doute LE SAVON DE TOILETTE LUX Sous la caresse d e t a mousse légère et fine, vous serez heureuse d e constater q u e votre é p i d e r m e devient satiné, plus joli, et aussi délicieusement p a r f u m é , votre teint plus clair et plus frais. Commencez aujourd'hui même ce véritable traitement d e b e a u t é , simple et facile, a d o p t é par 9 sur 10 d e nos orincipales vedettes du cinéma ••••«•••t <••••• •pttiut SAVON deTOILETTE Meî'e .Imanr 'Cest uni •pécialilé lever, fcvei» a FEUILLETON ht: 8 AOUT l!735. — N. 8 Résumé des précédents feuilletons Un riche industriel. Cvprltn Marenval a réuni autour de >a table de jeune* boni vivants et leurs amies. La conversation roule pendant un moment sur les erreurs ludiciaires et l'on en vient à parler de la condamnation de Jacques de Fréneuse M. de Traoomer qui était l'ami intime du condamné dit que. malgré les a p parences, il ne croit pat a sa culpabilité. Resté seul avec Marenval. lui confie qu'il r la certitude Pertlli. la victime de Jacques neuee. est vivnnte, car il ta il p u peu de tempe, à t'Opéra Francisco où elle chantait sens t*. Jtnny Hawmtne. Tragomer que Lia de Frérencontrée de San le nom T o u t e s m e * c o m b i n a i s o n s se trouvaient d é r a n g é e s par c e t t e a f f i r m a t i o n que la c h a n t e u s e était c o n n u e t BanFrancisoo depuis trois a n * et «ou* le n o m qu'elle portait actuellement. C o m m e n t aurait-elle p u être I > a Pérel'.i h P a r i s et J e n n y H a w k i n s e n Amérique, au m ê m e m o m e n t T Elle avait paasé t o u t e u n * a n n é e , s o u s m e s yeux, il v a v a i t trot* a n s seulement, d a n s cet apperten *. d e la rue Marbeut où 01, l'avait tro'ivée morte un m a t i n , o -«rdaublem e n t était inadmissible L i d e n t l U ae l'Américaine était clairement établie C e p e n d a n t elle était l'image vivante d e la m a l h e u r e u s e d o n t Jacques expiait le meurtre. Bt u n * foroe plu* puissent r que le r a i s o n n e m e n t , que la vraisem» m».*»*, que la i»g»*s«», optKrixtxUt CM p e n s é e e t j e m e r é p é t a i s m a l g r é u>ut : c'est L é a Perelli. N o u s é t i o n s sortis d e l a loge e t noua t r a v e r s i o n s le couloir d u v a s t e t h é â t r e . U n e clef, que P e c t o r a v a i t d a n * s a p o che, ouvrit la porte d e c o m m u n i c a t i o n , et noua p a s s â m e s d e la lumière d e s l a m pes électriques a u x t é n è b r e s d e s coulisses. J e suivis m o n guide qui évoluait p a r m i les p o r t a n t s , les décors et lea accessoires, avec l'assurance d'un vieil a b o n n é . O n le saluait a u p a s s a g e . Il r e n c o n t r a le directeur d e l a t o u r n é e , qui se précipita a u - d e v a n t d e lui, c o m m e s'il é t a i t souverain. J'en d e m a n d a i l a raison â R a l e l g h - 8 t r i l i n g . U m e répondit flegmativement que son parent était un des quatre propriétaires d u t h é â t r e , qui m e t t a l e n t o e t t e m a g n i f i q u e salle, presque g r a t u i t e m e n t , à la d i s p o s i t i o n d e s lmpressaril. afin d'assuer à leurs concit o y e n s e t â e u x - m é m e d e s plaisirs artistiques. Le m a n a g e r n o u s c o n d u i s a i t maintenant. Nous avions escaladé a n é t a g e e t s u i v i o n s le couloir d e s loges d'artiste*. D e v a n t u n * porte n o n ; fîmes halte, n o t r e guide f r a p p a e t d i t : — P e u t - o n entrer, m a c h è r e m i s s Hawkins ? — Qui e s t a v e c v o u s r d e m a n d a , â l'intérieur, u n * voix qui n'était b a s celle de la cantatrice. — M. P e c t o r e t d e u x d e t e s a m i s . — Qu'il* e n t r e n t La porte s'ouvrit e t \ s e r v a n t e n o u s accueillit d a n s u n salon, qui précédait le cabinet d e toilette où «'habillait J e n n y H a w a i n s . P a r la porte entre-bail***, u n e Helbling i MANuti f.» vive lumière, u n odeur d'eau r>e C o l o g n e et d e poudre, u n b o u r d o n n e m e n t d e paroles, v e n a i e n t jusqu'à nous. U n e roul a d e s e fit e n t e n d r e . L a c h a n t e u s e s'exerçait, i n s o u c i e u s e d e notre présence, tout e n c h a n g e a n t d e robes. La f e m m e d e c h a m b r e é t a i t entrée a u p r è s d e s a maîtresse. Nous é t i o n s s e u l s d a n s le salon. Pector e t B a l e i g h s'étaient a s s i s près d e l a c h e m i n é e . Mol, i n v i n c i b l e m e n t attiré v e r s c e t t e porte e n t r o u v e r t e , j e m ' é t a i s avancé, â p a s léger*, le nez a u v e n t , l'oreille t e n d u e , a s p i r a n t l'air, é c o u t a n t les bruits vagues. J'avais le d o s â la muraille, et, p a r l'ouverture d e l a porte, 11 é t a i t possible d e m e voir. S o u d a i n j ' e n t e n d i s près de moi une exclamation étouffé* et ces m o t * d i t e n français, â voix b a s s e : « P r e n d s garde ! » p u i s m o n n o m . < Tra» gomer ! s Au m ê m e m o m e n t , la porte se terma, et le silence s e fit. C e p e n d a n t j e n'avala p a s rêvé. C e t t e fol*, j ' é t a i s bien sûr d'avoir e n t e n d u . Les d e u x m o t * * .rends garde » p r é c é d a n t l'indication d e m o n n o m . a v a l e n t é t é p r o n o n c é s et. J'en a u rais juré, par une bouche d ' h o m m e . T o u t e s c e t t e affaire se développait, si mystérieuse, que je fus pris d'une fièvre d'impatience. S a n s m * soucier dm e* qu'en pourraient penser m e * c o m p a g n o n s , je fis u n p a s pour tourner 1* bouton d e la porte, si s i n g u l i è r e m e n t re fermée, et pénétrer d a n s la pièce voisine, quand c e t t e porté s'ouvrit (•'ellem ê m e , et, » U Ï 1* seuil, J « n n y Hawkin parut PRODUIT FRANÇAIS Elle s'avança souriante, le regard a s - j * n e les retrouvais pas. L'attitude d e la sure. S e s y e u x t o m b è r e n t s u r moi, le f e m m e que J'avais s o u s les y e u x n'était premier, e t j e n e l e s v i s p a s s * troubler. p u i s l a m ê m e q u e celle d e l a pauvre d i s I l y avait, s u r s e s lèvres, u n * grâce i n - parue. L a n a ï v e galté, l'air rieur, l é * s o u c i a n t e e t elle m e fit d e l a t è t e u n g e s t e s d'enfant, t o u t c e qui caractérisait s i g n e amical, avec l a facilité d'accueil l'Italienne, é t a i t remplacé, chez l'Amequi caractérise les a r t i s t e s , h a b i t u é s , rtsalne, p a r la fierté froide, l'assurance c o m m e les princes qui t r a v e r s e n t l a gave, e t le f e r m e m a i n t i i e n d e l'artiste foule, â recevoir l e s n o m m a g e s d'incon- sûre d u public e t d'elle-même. nus. Pector é t a i t v e n u a u - d e v a n t d'elle — J e n e v o u s garderai p a s l o n g t e m p s e t p r é s e n t a i t s o n c o u s i n e t m o i - m ê m e . auprès d e mol, quelque plaisir q u e J'en A l'énoncé d e m o n n o m la c a n t a t r i c e aie, d i t J e n n y H a w k i n s . il f a u t que je Inclina l a tête, avec une n u a n c e d'in- d e s c e n d e e n s c è n e , pour le dernier a c t e . térêt é t o n n é , e t d i t g a i e m e n t à Pector : C o m m e n t avez-vous trouvé Rovelll ? n — Ah 1 g e n t i l h o m m e français I E n a bien c h a n t é , n'est-ce p a s ? C'sat u n Amérique, e s p è c e rare ! Parle-t-il l'an- g r a n d artiste. — S o n s u c c è s n'a é t é qu'égal a u votre, glals? dls-Je, e t j e le trouve m i e u x p a r t a g é que — Oui, m a d a m e , dis-je. s a n s ,JIUS at- vous par le compositeur. tendre. Assez m a l pour m'exprimer, m a i s — Oui, dit-elle avec u n e léger* incliassez pour v o u s deviner. naison d e tête. C e rôle n'est p a s la J'avais a p p u y é â d e s s e i n sur -e m o t meilleur d e m o n répertoire. 81 voua « deviner ». L a c h a n t e u s e n t parut p a s venez m'entendre c h a n t e r l a < T r a v i a t a », c o m p r e n d r e la p o r t é s m e n a ç a n t e q u e Ja voua y plairai d a v a n t a g e . J'avais d o n n é e â m a réponse, elle «ourit — J e n e crois pas, répondis-Je hardiet m e t e n d i t l a m a i n , d i s a n t : m e n t . H m e s e r a i t t r è s pénible d e vous — E n c h a n t é e , m o n s i e u r , d * fan** votre voir mourir e n scène. connaissance. Elle l e v a le front, p l o n g e a s o n regard Il f a u t que j'en c o n v i e n n e . A c e t t e d a n * le m i e n e t dit : m i n u t a décisive, 11 n'y a v a i t e n J e n n y — Pourquoi i H a w k i n s que bien p e u d e c h o s e d* Léa — P a n e que c e t t e m o r t m e rappellePéreUl C o m m e c e s portraits e f f a c é s par rait d e p o i g n a n t s souvenirs. le temps, qui n e laissent distinguer que Elle s e m i t à rire : les trait* affaiblis d u modèle, la ressem— Ah ! Français ! Impressionnable el blance s ' a t t é n u a i t et la morte disparais- s e n t i m e n t a l Qu'a d e c o m m u n la m u s i sait c h a s s é e par la vivante. J e c h i r c h a i s que d e Verdi, avec vos s o u v e n i r s t . . déjà, v a i n e m e n t , t a u s l e s d é t a i l s qui — J e vous l'expliquerai, ai v o u s 1* auraient p u m e rappeler L e a PèrsllL s t voulas... — J e n'ai p a s le t e m p s , e t c'est d o m mage. — E h bien ! m a c h è r e , i n t e r v i n t P e c tor. Voulez-vous venir souper avec n o u s , c* soir, a p r è s la r e p r é s e n t a t i o n ? — C'est très a i m a b l e à vous d* m'y e n g a g e r , m a i s Je serai t r o p lasse. Il f a u t m é n a g e r m a voix. — Alors, d e m a n d a i - j e , voulez-vous m * permettre de me présenter chez vous, d e m a i n , d a n s la Journée ? — B i e n volontiers. J e l o g e â l'Hôtel d e s Etrangers, place d e l'Hôtel-de-Ville : â partir d e quatre h e u r e s , si c e l a v o u s plaît. V o u s accepterez u n e tassa d e t h é e t n o u s causerons. J e m'inclinai s a n s répondre. ET l t e n d i t la m a i n â mes compagnons et â molm ê m e , n o u s conduisit Jusqu'au c o u l o i r d e s l o g e s e t r e n t r a c h e z elle, e n referm a n t s o i g n e u s e m e n t l a porte. U n e fois h o r s d e l a p r é s e n c e d e c e t t e f e m m e . Je repris l a faculté d'analyser, d* discuter e t d * comprendra. Su j e n'avais p a s e n t e n d u m o n n o m e t lea brève» parole* adressées â Jenny Hawkins, évidemment comme un d a n ger. J * m a s e n t a i s repris d e tout** m e * angoisse*, e m p o r t é p a r u n e a r d e n t e curiosité. J e n e m e Bouclai* p l u * d*) l a c a n t a t r i c e . J e voulais s a v o i r qui é t a i t s o n c o m p a g n o n , c e F r a n ç a i s qui m e c o n naissait, e t qui. s e u l e m e n t e n t r e v u , d e v a i t m'eclalrer ta situation. Arrivé d a n s la salle, P e c t o r d e m a n d a : — lUatons-nous f U