Transcript
— 4 Dix-f] ment« sis en la communo de Dessines-Charpieux, au mas des Chapelièrcs ; 4° La moitié à prendre du côté do la terre verchère, sise au mas de la Chataignerade, limitée au nord et à l'est par terre de M. de Puzigoan, au midi par lo surplus de ladite terre, ladite moitié ayant environ quatre-vingt-deux ares ; 5° Le quart au matin de la terre du Moulind'Aumont, confiné A l'est par la terre de Guillaume Bruuet, et trois autres côtés par le surplus de ladite terre ; ledit quart ayant environ soixante-dix-sept ares ; 6° Un cinquième à prendre au matin et d'environ cinq ares de la vigne, borné au mntin par vigne à Claude Laline et par le surplus aux (rois autres côtés ; 7° La moitié du bois taillis sis au mas de Chatanay sur Chassieux, indivise avec Antoine Barge , confinée à l'est et au nord par terre A Benoit Guigard et au midi par lo bois de M. Pétrequin ; 8° Un quart A prendre au nord et d'environ celui compris dans le premier loi de la terre du Moulin-d'Aumont, ayant environ soixantedix-sept ares, confiné comme il est dit plus haut ; 5° Un cinquième joignant au matin celui du premier lot de la vigne, ayant environ cinq ares et confiné comme il est dit ci-dessus; 6* La terre du Petit-Sablon d'une contenance d'environ cinquante-deux ares, bornéo A l'est , par terro A Gaspard Corruel, au nord par la terre d'Antoine Sambier , A l'ouest el au nord par la terre d'Etienne Quinon ; 7* La moitié de la terre et bois du GrandSablon , sis au mas du Grand-Sablon , confiné A l'est par terre de M. Bourgarot ; au sud par terre de Martin Paillet ; A l'ouest, terro et bois de Benoit Berliét, ladite moitié d'environ soixante-dix-sept ares A prendrè au matià du surplus; 8°' Un quart joignant au nord celui attribué au premier lot de la terre au mas des Combes, confiné comme il est dit plus h a u t ; ledit quart ayant environ vingt-sept ares. vingt-sept ares de la terre au mas des Combes borné au matin par terre à Benoit Bergeret, au midi terre à Jean Bergeret, à l'ouest terre de M. de Puzignan et au nord terre A M. de Bercy. DEUXIÈME LOT. Il so compose de : 1» l'écurio et du hangar attenant A la construction dont partie se trouve composée du premier lot ; 2° Un petit jardin d'environ cinq ares , contigu au môme bâtiment et confiné au matin par l'écurie, au midi par le chemin -de Dessines , au nord par 1e chemin de Charpieux. L'adjudicataire do ce lot devra condamiu-r les portes qui so trouvant A l'est joignant la cour comprise dans lo premier loi et devra prendre ses entrées A l'ouest sur le jardin. ; 3° La moitié A prendre A l'ouest de la terre verchère sise au mas de la Chataignerade, et dont 1rs confins ont été indiqués plus h a u t , ladite moitié ayant environ quatre-vingt-deux ares ; 4* Le quart joignant au matin, el à la suite ADJUDICATION. ; La vente des immeubles ci-dessus et décrits aura lieu aux enchères et A l'exUnc' lion des feux, au profil du plus haut miseur m dernier ènchérisseur , en l'audience des criée, du tribunal civil de Lyon, du SAMEDI VINGT SEPT OCTOBRE MIL HUIT CENT CINQUANTE» CINQ, A midi précis , au par-dessus des mis^ A prix fixées par le jugement sus-rappelé , sans enchères générales, savoir : Mise A prix du premior lot, ci. 3,000 f r Mise à prix du second lot, ci. . 3,000 fr' Signé LUCOTTE avoué. C O M M I QSSOWCt â c m i c u i N o t a . Pour les renseignements, s'adresser! M" LUCOTTE et LALANDE, avoués colicj' tanls ; ou au greffe du tribunal civil de Lyon où le cahier des charges est déposé. Vienne , le quatre octobre mil huit cent citj, quante-cinq. Pour extrait : Signé CONTAMIN, avoué. ' F I Chez A. ROU Pia« VIENP K u e f f ì . - J m m Et K u e PROJET D'j d e R i v o l i , 1 o n t e l a r u e d u C o q s i - h o n o r é DEUXlé» Pr A P A R I S . Total de la numéro. lOCSCRIPTtONS n SOUS-PHÉFËCTt READ DU Mom MM. Bonnefond Badin Franc Blanc-Montl Anselme Pi Lhuillier-Jo Gönnet frè Galland Cal Marmonier, Blanc, banc David, Glej Chollier frè Brillier, av< S * é t e n d a n t p r e s q u e j u s q u ' à l a •e L L e s B Q É S M A G A S I N S A L A n o u v e a u t é s veilles d e la FOIS, u n D U o n t d û a s s o r t i m e n t f a b r i c a t i o n E L U N L O U V R E » e n c o r e d ' a u t o m n e et I H m a l g r é f a i r e s a n s rival; D â e s L e u r s d ' h i v e r U p l a c u P I a l a i s S T O l ' i m m e n s i t é G A L E R I E S d e s d t- d e C T p o u r D ' É T O F F E S c o n d i t i o n s O B R r e m p l a c e m e n t A G R A N D I S S E M E N T S , à e q u e les D E g r a n d e s O E à I E . qu'ils d o n n e r - o c c u p e n t t o u t e s S O I E m a i s o n s les S U R spécialités r e n f e r m e n t p e u v e n t T R O U l e s s e u l e s nouvelles socsi DANS LE BUR; Vienne. MM. Suat, notai Montagnat Un anonyn Eymin Àlp Tournier-B Bergeron. Grolée . Faulcon . Gros, rent ïùVix Laca Marron . Jouflray ai Veuve P01 Paul Couti Ombry . Meysson, j Châbert, t Savoye . Bouvier fi Thomas fi Poix-Coste Léon Bou Mathieu, i Bresse-Per T.-C. Del Bouvier J Pouzet . Vialletton Vallin . Guillot > de m e r Nous inviton offrir« 5? MALADIES SECRÈTES. MODEh tous DE ' MPLOI. Ce, purgatif oe biene g*: Brahle usles autres, parce qu'il JiP' „„, f»> mais au contraire, m p bten. Il opère d'autant mieux que le* «l"»»«» P h a r m a c i e d e P h i l i p p e Q u e l , * L U V i $ foet les boissonsce pris en memt temps sont plus TÎ .i"*."- . 1ul épargne aux malades le dégoût et la fatigue qui empêchent de supporter les «utrespur^atift jusqu'au rétablissement parfait Rue de l a Préfecture, n• 5, à Lyon. . PROPRIÉTÉS. Ces pilules sont purgalitm et Maison de confiance pour la bonne prépara, . dipwan'Mi (végétales). Elles purifient le sang de toutes les mauvaises humeurs (bile, glaires, pituite, tic.) qui causent tion des/remèdes employés pour laguèTison des la mauvaise santé. Par ce moyen, elles guérissent un grand nombre de maladies secrètes, dartres, «aies, syphilis, etc. maladies longues et chroniques, telles que: Dartraa. constipation, Catarrhe., gastrite, Plaie* suppurant««, lait répandu, Douleur«, engorgements internes, et cette foule d'affections Ma* uns qui consti- C a p « u l e s - Q u e t au baume de Copabu pur tuent ce qu'on appelle MAUVAISE SANTÉ. sans odeur ni s a v e u r , contre les écoulements BOITES DE S r. ET 3 P. SO C. récents ou anciens. CHEZ H. BBH1ST, Pharmacien et médecin è Paris. I n j e e t l o i t Q u e t d'un effet assuré dans les cas chroniques qui auraient résisté A tout autre » é p f t t à V i e n n e , « l i e z M . B E B G E B O i V , remède. 'Vi I t a> 03 —a)I 3—a ** en I ® ta og S ® o a ' 'S 'S, I * T® „ I t_r s » §ê _o sS *® ® ® O) OS C a > S a wr î ® ¡E S Ô-- = .«•5 ® a •® v »m St ®•a ® o* "® u. s "> o s a ^ a O — •Ss. « £ « 3 « "s'sÊ O o- a ® 9 s ' e1 S§3 S a ^ Z ® -03 A3 ** S H — e - o J2 S " I » . S ® S o H X5 —•• ca S a « s Stssie £j S£ V8". .2 - S S Ja ö -fe ® S 10 ® E.'— U S-» « « <. Sai lui a3__™® c , Î 1 nS ® «s «« S« 5 0 S " . i= S « s'-2' 1 ja ® "o * ü ^ •S ÎS r « ös oJ ^« S2Q. — m ® „ S ja « ® I« n S U a « r - OS U S -n. 5a Ss ISI i l s i i » ©a ® " Ji -S ® » 3 s .s o•r e g 0 '5-C.S.® 'o ! S a « I ^ s s a a 1*2.2 J O COc PQ S M o i s i s s g •a _m on »_ -® « ea <a e-t: E « § D M O C « O o.® O _ a s . a <?• ^ cr œ -s • L-2"«s 'C g ®F »? .j I — 5ÜJ • 2 J B « a £ « 2 2 f i s s i 1 a. o .55 (ta S * ® « u S 3 r ¡5 S ^ i « ' Î! «Ö D •s S Ya.— i 2 * ' qj . ™ ao < go. w a 8 « i " S ' ôw 3 -U « M a S P < ®.J. £ ® c a « ^ 3> ' g®^_. o B - wö ©a f l ^®ca a-N a. s S-o — us- e® a m a® a® •® .a i r , S i ®-£ a g 'S I f S S S s s ^ ® 3 .« a. B â § . £ "g J 2 ® Z | •a> S—Ü &D S.fSss M - u t® W -7 « 3 - -® 1 <o « S > j— ® Oi- .M - -j o a us aTS; 2 ?»"" ®'f S - aco Q a.g"£ 3 f * ®«J._ ca a S «.ta s i S T" « S O S oj ¡r ~•<U Si Î j a» a g S a «• s J* ® fe — 5-g « = .® =a « 3 73 TS o a — JS ® a, O- a s.— — a ï o S Î S I s-S'c i . *- Sr 5 S9*. O. ^ I I 85« ^Is'SS S s j h « .S - S S ® . s g g g =I». ® '.oa 3 3 5u «S «s _ C L : : n « « «¡o — < u g g csi 3 "®EWo «; ,' .SS - oE S® ^W O" 09 O tf ® S® 2 * >.. _ ® 3 « ~ . s •c 2-1 Q.«i " a. ea •5 Joj w w 'S o® "ba s„C.i=— u« O s orr s o f l ® &a g-ta 3 S g 0-S-B6DQ.S a sO ^ «2 ca ® ta -s è^ ^r £ u sK a - S o S . a. § ¿ - 8 M s J s ca " 'Bfi • ftBS a j s a «s « CO <9 S- _ 09 a . ® — «a _ ® ea Seul 15 f r . a u t orisé. 7 fr. 50. R O B L A F F E G T E U R . Le Rob végétal du docteur Boyveau-Laffecteur, garanti véritable par la signaturè du docteur Girciudeau de Saint Gervais, est bien supérieur à tous les sirops dépuratifs dits de Larrey, f cuisinier, de salsepareille, de saponaire, etc. Il remplace l'huile de fuie de morue, le sirop antiscorbutique, les essences de salsepareille, ainsi que toutes les préparations è base d'iode, d'or, etc. Le Rob est recommandé pour guérir les Dartres, Abcès, Goutte, Marasme, Catarrhes de vessie, Pâles couleurs, Tumeurs blanches, Asthm«' nerveux, Ulcères, Gales dégénérées, Rhumatisme, Hypocondrie, Hydropiste, Gravelle, Syphiw Gastro-entérite, Scrofules, Scorhut. . Dépôt, renseignements et prospectus gratis chez les principaux pharmaciens du département, en l'on trouve le Rob au même prix qo^à Paris. OU L'HYGIÈNE DU MOYEN AGE. C e t t e p r é p a r a t i o n est o n c t u e u e e . f o n d a n t e s elle conserve et entretient la chevelure Cette Pommade, composée de substances h y g i é n i q u e « de la plus grande p u r e t é , ne laisse sur la tête ni résidus, ni pellicules; son action vivifiante active la crue des cheveux; elle a «" outre le mérite sur les autres pommades d ' e m p ê c h e r leur d é c o l o r a t i o n , les rend soupl^' b r i l l a n t « et en retarde le blanchiment. (Voir l'emploi.) Composée par CHALMIN, chimiste à Rouen, rue de l'Hôpital, 38 et 40. — Dépôts che» NORMANDIN, passage Choiseul, 1?, à Paris; dans toutes les villes de France, et à l'étranger,' Londres, à Saint-Pétersbourg et à Berlin. A Vienne, chez MM. AUDIER f u s , quincailler, et JOURNAUD, coiffeur, Place-Neuve VEditeur-Propriétaire, An. Roukb. | Vienne, Imp. et Lith. de ROURE, place Ne**1' feuillet< LE BOUC BI _ L'individu 1 «e anglo-fran «n grand boi sa Très-Graci 23« fusiliers r Quand nous «agner la Bulj barbu fournir tigue apparen du régiment, semblait vouli sa personne, t teie couronné Embarqué le premier à ®e l'armée (.• Passibilité qu sans bronchei «barges et les à ce que journal de Le «ui la médailli * tord Panmu ®ous disons i Tandis que r