Transcript
:' Ub député IIcuisc, socialiste égâlcmenfc, - a, déclaré que {a guerre actuel-ie n'avait été voulue par aucun •des peuples en lutte. : > : Hanse se trompo ou altère, sciemment la vérité ; iu pou pie allemand, le parti socialiste allemand surtout, noa seulement a accepté dagoùé de cœur,.cette guerre, mais encore en prend erpartagë toutes les responsabilités. Preuve, ce qui est arrivé au journal socialiste, le Vorwarts. Ce journal, ayant' déclaré quo les prétendues atrocités commises sûr des blessés allemands, sur lesquelles: il- avait lait une enquête personnelle, n'existaient pas, a.'été l'objet d'un b'àme du syndicat /les travailleurs allemands, syndicat comprenant. 2 millions d'adhérents, et a été obligé d'insérer ce blâme ! Voilà où en est l'Allemagne socialiste, celle que l'on croyait opposée à toute guerre, entre pfolétaîres! rnier cambrioleur d'Aile magne, était; il y a quelques mois, "fort populaire A. Berlin'et que la foulé voyait en lui le futur vainqueur de la -Franco et de l'Europe La- mort qui guette son bandit de père, pauni au s PI le saisir ; car, ceux qui veillent à la barrière du Palais no l'empêcheront pas d'entrer, au jour marqué par la Destin. Ils ont beau Vécrier : Gott .mit uns ! La mort est et restera sourde' à cet appel ; eiloJera son œuvre cl.c palubrité mondiale. ses supérieur.', ainsi quo ses -caôutrades, guideront ïklêiornent son souvenir.Nous présentons nos symp;tU)i<;uas con.ïloléancci à iViqio Durin, à sa famille, S. ses fils, dont• i'ainê n'a pu recevoir le dernier, soupir i|-c son per<j car il est loir., bien loin (Vicj.-faiFRnt partie do nos ;Klmi,-;>bles !mupos qui flél'cndeiiL !e sel sawj.de !a Pairie. Les Allemands ont, évidemment, un fouillé, à la recherche des éclats d'obus matériel d'artillerie légère et rapide anacl des balles et qui seront restes.- fies inlogue au nôtre, mais nos projectiles ont firmés:? > , une supériorité techniqua sur les leurs Lorsque le père cl. les jeunes frères.do et,-ce qu'ils n'ont- pas. c'est noire perl'un ile ces héros, ï-évcïlfcToni le malin sonnel d'artilleurs actif, alerte* entendu, dans la joie des lionnes dispositions phy Nous adressons à Miri? Durin, siqui.'S rjt qu'ils quitteront ta 'cour de la exercé, ingénieur; et expert dans l'art de tirer tout le parti.possible de la .-merveilsa veuve et à ses -Vus; l'expression ferme en interpellant d'une voix sonore de nos-sincères condoléances. leuse- petite machine de guerre qui est les grands chevaux attelés à la charrue, comme il sera trL-te. lui,.-la victime du 'entre leurs mains. La Révision d e s E x e m p t é s devoir, de demeurer assis au coin du feu, Notre 75 répand la terreur dans les et Bëformés do ne. pas quitter la maison, de se croire rangs allemands et un prisonnier enLa révision des exemples et ré- une gène à l'aclivilé des autres, de cou- nemi, qui fut-' interrogé à Poitiers, raformés, pour, la 13° région portait ler une vie ingrate qui lui paraîtra inuconta, au début de la campagne, que les sur 29.'2ï5 personnes, 'presque-un tile et lougue comme une lande morne et soldats du kaiser avaient, en certaines: corps d'armée sur pied de guerre, désolée ! circonstances, maltraité les blessés franSur ce nombre, 13,51-7 ont été Comme il faudra lui parler doucement çais pour se venger des ravages que notre ; reconnus bons pour le service armée et 8:747 versés dans l é s e r - ' pour ne pas meurtrir en lui quelque canon avait, semés dans leurs rangs eif erra vice auxiliaire ; 8.458ont été réfor- chose de très délicat qui s'alarmerait et des blessures atroces qu'il leur avait caui| més définitivement; - ,.:•;.--.....-;.- •--.- souffrirait facilement ! s é e s . - . ' • ' • ' • - ••• •' •"- - - J Les Bureaux de • ta Caisse Comme, alors, il faudra saisir toutes ; d'Epargne d'issoire seront fermés Notariat ;: y - : - * les occasions de 1 honorer,-de lui répéler du 20 Décembre i q i ,f. inclus au M. Magne est nommé notaire à que nous lui devons l'ivresse de culliver i" janvier igi $ indus, pour faci- Lato.ur-d'Auvergne, .en remplace- coite (erre qui était convoitée, menacée, Nous mentons liter le règlement des Comptes de ment d& M. Desfar^eas. • ' ..- • et qu'il a su garder. Comme il faudra le quand nous affirmons que les fin d'année. . " • Les Bons de la Défense Nationale vont mollre à la place la. plus enviable dans les Allemands commettent ;? ;i : i:v atteindre un milliard et nul ne s'en étonne. Les déposants sont en outre . ' "-- Classe 1916 -' - " 'i des Atrocités en France réunions, dans les fêtes publiques ! Les avantages accordés dès le début sub-..' Les jeunes gens de la classe 1916, Vojlà le refrain qu'on peut enten- prévenus qu'en raison des circons11 a assez fait pour son. pays, pour sa s'istent en ce qui concerne le choix des;tances actuelles et en exécution du sont priés d'assister à la réunion dre dans toute l'Allemagne. coupures, des déchéances, des guichets patrie; qu'il accomplisse seulement les décret rendu le jo juillet JQij, qui aura lien à l'Hôtel de Ville menu? travaux que son étal lui permettra de souscription, de la nature des bons, Nous ne sommes pas seuls menteurs alors ! *£} par application de ia loi du 20 (Salle des Elections), le vendredi d'effectuer' et cela-sans scrupule de déli- qui sont au porteur ou à ordre, et de l'admission aux futurs emprunts. Pour les Ment également cot" américain Juillet / 0 9 5 , le paiement des 18 courant, à 8 heures du soif. catesse car, même s'il vivait jusqu'à bons, à-six mois ou à un an, le taux d'inPrésence indispensable. . • , o qui dénonce la mise à sac de son INTÉRÊTS ÉCHUS ne;pourra être fait cenfc ans, nous ne parviendrons pas à térêt apparent reste fixé à 5 % , soit un château par les hordes allemandes, que sur demande. préalable et taux eiïectif de^5.26 ; enfin, depuis le 24 nous acquitter envers lui-de la dette de bien qu'il fût couvert par le dranovembre, la Banque les escompte une fois • quinze,jours après. reconnaissance que nous avons contractée.: poau des Etats-Unis. parvenus à trois mois de leur échéance, w Quoi que nous fassions pour les vicLîMent auBsi, ce propriétaire d'un Deux modification^ sont prochaines. :' Au 16 e d'Artillerie mes de la grande guerre, nous n'aurons pays neutre qui rapporte, avec La Banque va admettre à L'escompte de la Ville d'issoire ; même les bons à trois mois. D'autre part, preuves à l'appui, que le bien qu'il Nous apprenons avec beaucoup pas assez fait et les générations qui nous H '"••••• (PUY-DE-DÔME) •-••'le taux de 5 % sera réduit à 4 % pour les possédait en France, a été incendié, de plaisir que M. Billondeau, lieusuccéderont devront prolonger noire misbons demandés après le 20 décembre couque sa-maison aété rasée jusqu'au tenant au '16° d'artillerie, ..a été l'obsion d'égards, de soins, de gratitude. rant par de nouveaux souscripteurs : l'avan- ' sol. jet d'une citation à l'ordre du jour Société Anonyme au Cepiîalfie85.000 francs Elles se transmettront comme une traditage nouveau qui leur est fait ne justifie Ment encore le prince de Monaco, de l'armée pour les motifs suivants : plus le taux de 0 % pour des titres à tion, le respect dû aux héros. qui s'est adressé au Kaiser, lui« A fait preuve, en plusieurs ciraussi courte échéance, toutefois les titres Et, dans de nombreuses années, il '. ' SIÈGE SOCIAL : même, pour se plaindre de la façon «.constances, cle brillantes qualités remis en renouvellement des bons remis-ou ' faudra apprendre encore aux petits endont le fameux von -Bitlow, géné« de sang froid et do courage. A, 108 et 108, rue de Lourmel, Paris demandés avant cette date seront encore • fan ls à faire le salut militaire en passant des bons 5 % : il y a là une prime donnée : ral d'année du Kaiser, voulait le « notamment du 3 au 8 septembre, par l'Etat à ses premiers souscripteurs ; '• auprès de ces glorieux mulilés; le .saïut l'aire chanter, à propos de son châ« rendu comme observateur des Obi igaïions do 500 francs à 4 1/2 °/0. tous solliciteront ce renouvellement. militaire qui évoquera pour tous la granteau situé dans le département de « services exceptionnels, les 7 et Numéros sortis au tirage du 12 deur cle leur sacrifice et qui mettra, sur la Marne. « 8 septembre, a, de sa propre « initiative, avec audace et habileté, décembre 1914, remboursables à leur vieux visage, une larme el un souTout lu monde ment; il n'y a quo « porté un canon en avant de qucl- partir du 17 mars 1915 : ,.,'..-, l'Allemagne qui dit la vérité. rire, en leur laisant faire celle réflexion : « ques centaines de mètres des Mais pourquoi l'Allemagne n'a4 3 — 1 9 — 1 7 "' : '"'"•• ; ''"' «. Tiens, ceux qui enseignent l'histoire à « tranchées ennemies. » t-ôlle pas accepté la propôsilion ces tout petits ne m'oublient donc pas? qui lui a été faite, d'ouvrir une enC'est la deuxième citation à l'orOh; les braves gens, que n'ai-je pu faire quête sur tous les actes incriminés, Comprenant 2 Pièces; -^y' dre du jour.obtenue par M. le lieudavantage encore pour eux ! » enquête dont seraient chargés des ntenant Billondeau. CHAMBRE & 'CUISINÉ Charles POISSON. représentants des pays neutres? Chronique Locale et .Régionalale ; : ; Un coup d'oeil sur les Bons de la Défense Nationale - SOCIÉTÉ paur l'ËCLAIRA&E n E : : ; 1E.A Appartements [félines S'il ex-iste des villages qui ont été détruits par suite,de bombardement,, au cours des combats, soit 4 par nous, soit, par les Allemands, il en est d'autres — et ils ne sont • pas quantité négligeable — qui ont été sytématiquement brûlés par les pastilles du fameux chimiste allemand Ostwald de Leipzig. Et ces vingt mille français, femmes, enfants, • vieillards, que. les Allemands ont arrachés de leurs villages et internés comme prisonniers de guerre en Allemagne, ont-ils agi en francs-tireurs? Do quels crimes contre la Kultur allemande, se sont-ils rendus coupables? .• Allons donc ! Le pays de la crainte de Dieu et des bonnes mœurs, le pays des Gott mit uns, s'est mis au'ban de l'humanité. Jamais dans aucune guerre, depuis que le monde existe, on n'a vu pareille férocité, pareils pillages, pareils assassinats. - 'Le brigadier Mourdon Louis Bonnet, du 15° d'artillerie, a été cité à l'ordre du jour pour sa vaillance et pour le calme et le sang-froid dont il a fait preuve sous le i'eu. ,, 11 est permis de se demander, avec une grande anxiété, ce cjue deviendront, plus lard, les blessés que l'on rencontre dans la rue avec des béquilles, avec le bras on écharpe ou la tête enveloppée Médaille Militaire de bandages. Que deviendront ils, ceuxLe sergent-major Planche An- là que la guerre implacable aura mutilés ; toine, de (Jhidrac, vient de recevoir ceux devant qui la vie ouvrait naguère du général Jol'fro la médaille mili- ses portiques fleuris, de longues perspectaire qui lui a été remise en pré- tives heureuses ; ceux qu'elle comblait sence de toute la garnison de Bons de rêves et' d'espoirs et qui, à présent, (Yonne). " • • Voici l'ordre cle sa décoration : sont devenus des infirmes? En ce moment, dans le vertige d'hé« S'est conduit d'une, façon particulièrement remarquable et coura- roïsme qui soulève toutes les âmes, ils geuse aux combats des 5 et 6 sep- ont la fierté de leurs blessures ; le monde tembre en entraînant sa section à les admire. Ils lisent clairement, quand l'assaut. Blessé, est revenu cher- ils traînent leur convalescence dans la cher les pièces de comptabilité et rue, un muet et chaleureux hommage les fonds de la compagnie restés dans les yeux de ceux qu'ils rencontrent ; sur les lieux de sa chute et a réussi on chuchote sur. leur passage et on les à les remettre à un blessé moins s^lue. gravement atteint quo lui. » Leur bras en écharpe, leur jambe ballante el repliée leur vaut spontanément Obsèques de l'estime; ils entendent, dans la clairLundi soir, ont eu lieu les ob- voyance des généreux sentiments • que sèques du maréchal des logis Durin leur état inspire, que l'on pense d'eux : cle la 72" batterie du J6° d'artillerie. « Celui-là est un brave, il porte la marLes olïîciers du régiment et quc'des héros; il a fait glorieusement Selon certaines informations, le les sous-officiers, un piquet de son devoir. » Kaiser serait, malade cle la gorge; soldats • et aussi une assez grande les médecins attendraient pour affluenec civile ont conduit jusIls voient que les jeunes gens leur l'opérer qu'il, fut un peu remis cle qu'à la gare, le corps du vaillant adressent des regards d'envie; que les sa bronchite. femmes s'altendrissent en les regardant; sous-officier, qui a été transporté dans son pays natal. que tous les cœurs gonflés par l'exaltation Nous ne savons pas jusqu'à quel Bien qu'il no soit pas tombé sur de la reconnaissance voudraient leur tépoint, ce renseignement est exact moigner de la gratitude. et quelle créance il faut; lui ac- .un champ do bataille, le sous-olïîcier Durin est mort victime du decorder. On s'approche d'eux, on les quesMais si c'était vrai ! Cruelle ter- voir tionne d'une voix émue, on les entoure, A la gare, M. le chef d'escadron rible et juste revanche ! quelle on participe à leurs souffrances, on vouVernet, commandant le -dépôt du preuve que la justice immanente régiment, r, prononcé le discours drait se dépouiller de quelque chose à vient à son heure ! suivant qui rend un excellent hom- leur profit, les alléger d'une faible partie .Mal à la gorge!' Son pè.re, l'em- .ma^e au défunt, estimé cle tous ses de leurs misères; leur prêter l'appui pereur Frédéric est mort d'un mal collègues et aimé de tous ses subor- d'un bras robuste; déblayer leur avenir de tous les obstacles, de toutes les emde gorge. Et pourtant il n'avait pas donnés : à son actif, la centième partie des Le sous-officier Durin, donl nous accom- bûches qui seront pour eux des entraves. pagnons la dépouille mortelle, élnit arrivé crimes commis par son fils ! Ils ont, ces blessés, une auréole de au dépôt du 10e réeimenld'arlillerio depuis Lorsqu'il gisait sur son lit de un mois. Il faisait partie des cadres de la gloire autour de la tôle. Ils marchent douleur, et que son fils, le Kaiser réserve de l'armée territoriale, convoqués dans un murmure d'approbation ; l'unapour contribuer à l'instrucactuel, épiait sur son visage, la spécialement tion de nos an illeurs et. concourir ainsi à nime respect dont ils sont entourés leur fait oublier l'acuité de leurs maux. marche aggravante de la mahidie, l'œuvre de la défense nationale. Durin remplissait avec exactitude les quelles réflexrons, il dût faire, l'EmMais, plus tard, que deviendront-ils? fondions de son gradé ; à la suite d'une pereur qui, à.Strasbourg, a tué des alerte Que deviendront-ils, lorsque le tude nuit donnée mercredi dernier, il femmes et des enfants, et qui pou- prenait part à la manœuvre exécutée près multe qui bouleverse le monde se sera vait voir son fils, son successeur, de Chanipcix et se déclarait tout joyeux de apaisé ; lorque le dernier écho du dernier retour à la vie militaire, bien plus accompter les minutes qui le sépa- ce tive, et qui devait amender son tempéra- •choc des armes se sera éteint; lorsqu'il raient encore du trône ! ment trop puissant. ne restera cle la grande épopée que des - Mais, le- sorl en décidait autrement et le souvenirs affaiblis par le temps? Aujourd'hui, si l'information est surlendemain il était frappé par un de ces fondée, c'est le hideu'x Kronprinz, coups foudroyants qui lerrassent un homme Lorsque les arts et les travaux de la le Boche à la tète de singe, qui, plus sûrement • qu'-une balle ennemie. paix, seront redevenus florissants ; lorsque Transporte à rinfirmerie, puis à l'hôpital, l'ouvrier aura repris son marteau et l'emcertainement, doit suivre la marche Durin ne put être, sauvé, car le mai dont il du mal, auquel son père est en était atteint, ne pardonne pas. ployé sa fonction, que deviendront-ils, Bien qu'il meure loin du champ do ba- eux, les manchots, les mutilés privés proie avec des yeux avides ! taille, il a donné sa vie pour le service do d'une jambe, ceux en qui le scapel aura On sait que ce Kronprinz, Je pre la France, il emporte nos regrets émus et II est malade de la gorge ! gare ! Trois Pièces - -;.;' Chambre, Salle à Manger Cuisine S'adresser au Bureau du Journal. Ce petit canon de 75, qui envoie à dimanche'Tnal'ennemi des projectiles de sept centimètin, de la place tres et demi seulement de diamètre, a fait de la Républipue à la Gare, un autant de bruit dans le monde, depuis le petit SAC A MAIN contenante un commencement de la guerre, par sa rélivre,un porte-monnaie avec petite putation qu'avec ses détonations. somme et une clé. . ; Lé rapporter à Mme GUIMBAL, 11 est merveilleux, il est prodigieux et une grande part de nos succès lui re- à Rocpierre. — Récompense. vient. Les photographies publiées par les grands illustrés nous ont montré des files entières d'ennemis paraissant endormis derrière une haie au dans une tranchée Vente de POUSSIER de et qui, en réalité, dormaient leur dernier COKE pour Couverture sommeil grâce à l'efficacité de notre 75. Economique des Foyers. Nos artilleurs racontent avoir vu des corps de soldats allemands sauier en l'air à deux ou trois mètres lorsqu'ils se trouvaient dans le voisinage d'un obus, et les Mode d'Emploi , chevaux, ainsi que les conducteurs d'une Mouiller le poussier de façon "à former batterie « éclater » en morceaux et proune pâtée épaisse, en disposer une couche jetés en l'air, sous l'explosion d'un proassez forte sur le Foyer qui se consume jectile de notre vaillant petit canon. une partie du jour où de la nuit, suivant ' e m p l o i . '•'•--.-•.•.•' .'.• ' , :•'•-''.•.:;• ' Notre 75 est souverain et sans réplique. Il fait taire les gros obusiers allemands et les bavardes mitrailleuses. Il suffit, avec lui, qu'on ail repéré la situation des FUTS DE VINS PIQUÉS, d'une fraction ennemie pour l'anéantir. inutilisables, mais bons pour Il y a vingt ans environ que notre petit .contenir du Goudron. canon de 75 fut mis en service. Il réaliEN BON ÉTAT sait un progrès considérable à celte époFûts de 2 hectol. : 4 fr. l'un; •-, que par l'extrême rapidité de son tir, par Fûts d e1 — ••-: 3 — ,.-, -..-•'. son mécanisme en apparence délicat, en Fûts d'huile ou de graisse réalité très robuste ; par sa précision Fûts de 2 hectol. : 5 ; fr l'un; parfaite et par la facilité de le dissimuler Fûts de 1 — .- ' 4 — . à la vue de l'ennemi et de le déplacer qu'offrent son volume et son poids restreints. ,-„ Des réflexions, des études, des expériences ont permis d'améliorer depuis vingt ans, l'emploi de ce matériel d'artillerie et surtout de perfectionner ses projectiles. Le petit obus de 75 est une pilule contenant de la mort en concentration. A et toutes IPulolioations plusieurs kilomètres, il atteint le but précis qu'on lui a désigné et, docile, i! concernant la Guerre explose d'une façon régulière et mathéLe Journal, L'Eclair, matique, au point exact où on lui a dit La Libre Parole, L'Homme d'éclater. Ses fusées et ses détonateurs le Enchaîné, règlent comme un mouvement d'horlogerie. On le croyait clairvoyant et animé et toutes les publications hebdod'une intelligence propre. Tandis que les madaires. grosses «marmites» allemandes s'en Service rapide de Journaux à domicile j ' vont un peu au hasard pour y laire surtout du bruit, éclatent ou n'éclatent pas, Abonnement à ia Semaine et au Mois selon les circonstances, le petit obus de Issoire. — Imprimerie A VESSELY. 75 se rend directement là où il faut semer le désarroi et la mort. Le Gérant, A. VESSELY. ) Société du &az fl'lssoire- Les 10 hectol. • 2 ; ; ]: : ; 01 H A Ï T ACHETER • r'. A la Librairie du •«Moniteur teoire Le Moniteur ûuPuy-ûe-] L'ÉCHO.DE PARIS