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ASSEMBLEE ANNUELLE de la Fédération Wallonne de l’Agriculture
à Gembloux, Espace Senghor (accès par l’avenue de la faculté d’agronomie)
Le mercredi
17 mars 2010 9h30
Programme:
Leçons d’une crise et perspectives d’avenir
Z 09h30 Accueil café
Z 10h00 Accueil, par René Ladouce, Président de la FWA
Z 10h10 Echange de questions-réponses avec la participation de:
- M. J-L.Demarty, Directeur de la DG Agriculture et Développement rural de la Commission européenne
- Mme Sabine Laruelle, Ministre fédérale de l’Agriculture
- M. Benoît Lutgen, Ministre régional de l’Agriculture
- Mme Anne-Marie Tasiaux-Biatour,Présidente de l’UAW
- M. Gary Vanvinckenroye,Président de la FJA
- M. René Ladouce, Président de la FWA
Cet échange sera illustré par un film réalisé par la FWA et Canal Zoom
Z 12h30 Conclusions, par Yvan Hayez, Secrétaire Général de la FWA
Au terme de la séance, une réception amicale sera organisée pour les participants
dans le hall d’accueil de l’Espace Senghor
UNION DES
AGRICULTRICES
WALLONNES
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Assemblee annuelle du 17 mars:
moment important pour notre secteur
Les Assemblées Annuelles de nos trois
organisations se suivent à pas cadencés. La
semaine dernière les jeunes, ce vendredi les
agricultrices et mercredi prochain la FWA, qui,
exceptionnellement cette année en raison des
festivités du cent cinquantenaire de la Faculté,
achèvera cette série de rendez-vous importants
pour le monde agricole de notre région.
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Ils étaient nombreux jeudi soir dernier à rejoindre
l’espace Senghor pour assister à l’Assemblée Annuelle
de la Fédération des Jeunes
Agriculteurs. Dans le contexte
actuel, cette très large participation est réconfortante et nous
indique que «Les attentes des
jeunes agriculteurs européens
vis-à-vis de la politique Agricole
Commune», thème retenu pour
ce congrès, restent importantes
et mobilisatrices. Après les excellents exposés de Messieurs
Pierre Bascou (Commission
Européenne – DG Agri) et JeanFrançois Sneessens (UCL), nos
jeunes ont organisé une tableronde internationale réunissant
des représentants espagnols,
français et néerlandais membres du CEJA. Assistaient également à cette assemblée avec
prise de parole, nos ministres de
l’agriculture, Sabine Laruelle et
Benoît Lutgen.
Ce vendredi, ce sont les agricultrices qui prennent le relais
avec «L’agriculture: entre libéralisation et régulation». Par ce
thème, elles seront au cœur des
préoccupations du monde agricole européen et prolongeront
parfaitement les réflexions et
attentes formulées par les jeunes
agriculteurs. Fidèles à leur esprit
d’ouverture, les agricultrices
élargiront leur débat à sa dimension mondiale avec notamment
une intervention de Luc Guyau,
ancien Président de la FNSEA et
actuel Président de la FAO, dont
les propos seront très certainement riches d’enseignements.
Gageons que pour cette assemblée également, les participants
seront très nombreux.
Mercredi prochain, une fois
n’est pas coutume, c’est la FWA
qui organisera la troisième et
dernière assemblée annuelle
Une Assemblée Annuelle constitue un moment important dans la vie d’une organisation professionnelle: c’est un moment de rassemblement de ses membres, et c’est l’occasion d’adresser des messages à la société et au monde politique
de nos organisations en 2010.
Depuis deux ans, le secteur agricole européen est plongé dans
une crise longue, profonde et
sévère. La Politique Agricole
Commune se trouve une nouvelle
fois à la croisée des chemins avec
une phase de programmation
qui s’achèvera en 2013 et une
nouvelle phase à l’horizon 2020
qui entre dès à présent dans sa
phase d’élaboration. L’année
2010, durant laquelle la Belgique
assurera la présidence européenne lors du second semestre,
sera particulièrement chargée
et déterminante pour le secteur
agricole. Nous retiendrons trois
dossiers particulièrement importants:
- L’ouverture des négociations
sur le budget européen et sur le
budget agricole en particulier
pour la période 2013 – 2020.
- Les négociations dans les prochaines semaines sur l’abandon
du modèle historique et le passage progressif à un modèle
d’octroi forfaitaire des DPU
- La formulation en juin prochain des conclusions du Groupe
d’Experts Haut Niveau mis en
place par la Commission en no-
vembre dernier, pour apporter
des solutions alternatives au démantèlement des outils de gestion de marché.
Une Assemblée Annuelle est
traditionnellement mise à profit
pour faire le bilan de l’année
écoulée, d’en tirer les enseignements et surtout de dégager des
perspectives d’avenir. Pourquoi
en sommes-nous arrivés là,
qu’est ce qui a été fait durant les
mois écoulés et surtout quelles
sont les perspectives pour demain?
Mercredi prochain, le Président
Ladouce accueillera Jean-Luc
Demarty, Directeur Général pour
l’Agriculture et le Développement
rural à la Commission européenne et Président du Groupe
d’Experts Haut Niveau, ainsi
que nos deux Ministres Sabine
Laruelle et Benoît Lutgen.
Rejoints par la Présidente des
agricultrices et le Président des
jeunes agriculteurs, nos trois
représentants interpelleront au
travers de nos trois invités les différents niveaux de décision qui
influent sur le devenir de notre
profession.
Une Assemblée Annuelle
constitue un moment important
dans la vie d’une organisation
professionnelle. Ceci à deux
titres. C’est un moment de rassemblement de ses membres,
et c’est l’occasion d’adresser
des messages à la société et au
monde politique en particulier. Il
est important qu’à cette occasion
la profession soit la plus largement représentée. En dépit des
difficultés auxquelles nous sommes confrontés, plus que jamais
nous devons resserrer les rangs,
exprimer notre cohésion et manifester notre volonté de forger un
avenir à notre agriculture.
•
Les 500000 tonnes de sucre
supplémentaires déjà exportées
Il n’y a pas fallu un mois pour que la Commission
européenne accord les licences d’exportation
de 500000 tonnes de sucre supplémentaires par
rapport au quota OMC autorisé de 1,379 million
de tonnes.
Les dernières demandes de
licence d’exportation déposées
par les opérateurs du 15 au 19
février ayant été trop importantes
(246 000 tonnes), la Commission
européenne a dû appliquer un
coefficient de réfaction de 38,6 %
(99 871 tonnes acceptées) pour
rester dans la limite des 500 000
tonnes.
Selon l’Organisation internationale du sucre (ISO), le marché
du sucre devrait présenter un déficit de 9,42 millions de tonnes
en 2009/2010. Dans son rapport
trimestriel, l’ISO prévoit une haus)
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se de 3,07 % à 4,68 millions de
tonnes de la production mondiale
sur la saison 2009/2010 (octobreseptembre) par rapport à l’année
précédente, pour atteindre 157,16
millions de tonnes.
«L’économie sucrière fait face
pour la deuxième année consécutive à un écart significatif entre
la consommation et la production
dans le monde», note l’ISO, après
des années de surplus importants.
«De façon générale, les récoltes
dans les principaux pays producteurs de sucre, à l’exception de
l’Union européenne, de la Russie,
et éventuellement de l’Inde, devraient être inférieures aux prévisions du début de saison», détaille
l’ISO. «A court terme, on ne peut
exclure une poursuite de la hausse
des prix et la situation devrait être
particulièrement alarmante pour
les pays importateurs au deuxième semestre 2010, avant l’arrivée
sur le marché de la nouvelle récolte brésilienne », prévient l’ISO.
Pour le cycle de production suivant
(2010/2011), l’ISO anticipe une
disparition du fossé entre production et consommation, «et même
un retour à des surplus, même
faibles, aux alentours d’un million
de tonnes, peut être envisagé».
Cependant, «un surplus aussi faible ne permettra pas de combler
l’affaiblissement des stocks», a
encore indiqué l’organisation sucrière mondiale.
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La FWA rencontre des représentants du PS et du MR
Dans le cadre de la série d’échanges que notre
Fédération a engagés avec les partis politiques, la
FWA a rencontré la semaine dernière, après ceux
du PS, des représentants du MR. Rappelons que
ces réunions succèdent à une rencontre analogue
qui a eu lieu avec le parti Ecolo en décembre
dernier et précèdent une prochaine rencontre
avec les représentants du cdH à la fin de ce mois
de mars.
Aux deux partis, la Fwa a tenu
à faire part des préoccupations
des agriculteurs dans divers domaines, de l’avenir de la Pac aux
soucis d’aménagement du territoire en passant par l’évolution
des contraintes liées au bien-être
animal, à l’environnement, etc.
Notre Fédération a aussi voulu
communiquer sur son travail dans
ces différents secteurs, une tâche
dont se sont acquittés avec brio
les experts de notre Service d’études.
De la sorte, les responsables
politiques conviés ont pu disposer du maximum d’informations
pertinentes. A eux et à leur parti
désormais de se positionner sur les
dossiers soulevés. Il s’est agi pour
chaque type de problématique des
dossiers dominants de l’actualité.
Parmi ceux-ci, les prochaines
évolutions liées à la politique agricole commune occupent bien sûr
une place de choix. En effet, dans
le cadre des décisions du Conseil
de novembre 2008, dites «Bilan
de Santé», il était loisible pour
les Etats membres de s’engager
ou non dès le 1er août dans une
modification de leur système de
distribution des aides directes.
En l’occurrence, et selon ce que
laissait à entendre en son temps
la Commissaire Fischer Boel, de
s’orienter vers l’amorce d’un système «forfaitairisé».
La donne a quelque peu changé
avec les premières déclarations
du nouveau Commissaire à l’agriculture, Dacian Ciolos. Si celui-ci
estime que le système des références historiques est de plus en plus
injustifié et est donc condamné à
terme, il donne cependant à penser qu’il convient de s’en éloigner
de manière graduelle. De sorte que
pour la Fwa, il n’est plus indiqué
de se précipiter vers un système
plus forfaitaire, d’autant que la
communication de la Commission
sur la Pac post-2013 n’est annoncée désormais que pour la fin de
l’année. La Fwa en profite pour
rappeler que si, pour d’aucuns,
les références historiques «20002002» peuvent s’apparenter à
un archaïsme, les producteurs de
betteraves et de chicorées, eux,
n’ont pour références que les années 2005-2006, qui ne sont pas
si lointaines. Il conviendrait donc,
par simple respect, de leur laisser
un peu de répit avant de leur imposer un autre régime.
Les partis à l’écoute
Le MR a répondu à notre invitation par la présence de plusieurs
représentants:la Ministre Sabine
Laruelle, les députés wallons Willy
Borsus, Michel Mouyard, Caroline
Cassart-Mailleux, une attachée
au Cabinet du député européen
Louis Michel, Jean Devillers, président de la commission agricole du
parti, Luc Hennuy, Conseiller de la
Ministre Laruelle, ainsi que divers
techniciens du parti. L’ensemble de
ces représentants s’est montré sa-
Au sein de la délégation du MR on reconnaît au premier plan Willy Borsus,
Jean Devillers et Caroline Cassart
tisfait du type d’échanges ainsi mis
sur pied. Chacun ayant cependant
demandé davantage d’informations sur des sujets les concernant
plus spécifiquement, tantôt les
mesures agri-environnementales,
tantôt les règles urbanistiques. Un
débat assez animé a eu lieu sur les
OGM, à l’issue duquel un consensus a paru se dégager avec la
Ministre Laruelle sur le fait qu’une
prééminence doit être donnée à
une Recherche publique impartiale
sur ce dossier sensible.
Un pilier agricole unique ?
Marc Tarabella est notre seul représentant belge au sein de la commission agriculture du Parlement européen. Au cours de la séance d’information et de discussion avec les représentants du PS à la FWA à
Gembloux, il a rappelé la complexité de trouver un consensus entre les
divers pays membres et les familles politiques. En matière d’avenir de la
PAC, dit-il, certains sont très favorables à des modifications significatives, tandis que d’autres prônent le statu quo: la solution qui sera appliquée se trouvera quelque part entre les deux... Il précise également que
cette commission agricole du Parlement européen s’est dotée de divers
groupes de travail qui analysent des problématiques ou des pistes plus
précises. Parmi celles-ci, on évoque la disparition de la notion des pilier
un et pilier deux, en faveur d’un pilier agricole qui rassemble l’ensemble des moyens et des politiques liées à l’activité agricole. Une piste
parmi d’autres, que le député européen semble envisager d’un bon oeil,
même s’il faut encore la creuser et la préciser. Cette piste aurait en effet
l’avantage, dit-il, de rendre plus visible le travail capital que réalisent les
agriculteurs en faveur de la gestion de l’environnement, et de valoriser
ce travail en terme financiers et de communication...
Pour le PS Marc Tarabella était accompagné de Julien Mestrez, député provincial liégeois à l’agriculture
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Lutgen veut développer
la filière équine wallonne
Paiement unique: accès à la réserve
Le Ministre wallon de l’Agriculture, Benoît Lutgen,
a décidé de confier une mission supplémentaire
au Centre européen du cheval de Mont-le-Soie
afin de contribuer au développement du secteur
équin en Région wallonne.
En cas d’héritage, d’achat de terre ou de
restructuration, il est possible de solliciter un accès
à la réserve dans le cadre du régime de paiement
unique tandis que les jeunes agriculteurs peuvent
prétendre à une augmentation de la valeur unitaire
de leurs droits. Si vous pensez pouvoir répondre aux
conditions d’accès, n’oubliez pas d’introduire votre
demande pour le 31 mars au plus tard.
La réglementation relative au
régime de paiement unique, prévoit
que, dans certains cas précis, les
agriculteurs peuvent avoir accès à la
réserve. Il faut pour cela correspondre à une ou plusieurs des catégories suivantes.
Achat de terre
Pour rappel, cette filière représente 7.500 emplois directs
et indirects, un chiffre d’affaires
annuel de plus de 100 millions ,
40.000 pratiquants. L’équitation
s’installe ainsi sur la troisième
marche du podium des sports
pratiqués en Wallonie.
Pour le Ministre Lutgen, les
opportunités de développement
de la filière équine wallonne sont
considérables. La Région wallonne dispose de l’espace et de
ressources naturelles propices à
son expansion. La filière représente une source de diversification pour le secteur agricole. Elle
dispose surtout d’une marge de
progression en matière d’élevage.
La Région wallonne se trouve au
carrefour de différents courants
de sang européens. Il s’agit dès
lors de soutenir les éleveurs wallons pour faire émerger des poulains d’élite dans notre Région.
Les nouvelles missions dévolues au Centre européen du
cheval de Mont-le-Soie sont
essentiellement centrées sur
les nouvelles techniques de reproduction. Elles permettent de
positionner le centre comme un
outil d’excellence et de référence
en offrant des services adaptés à
tous les éleveurs et vétérinaires
wallons.
Pour ce faire, le Centre reprendra notamment les activités de
LINALUX.
Pour rappel, notre Centre euro-
péen vise entre autres à favoriser:
- la promotion du cheval comme un des éléments moteurs du
développement rural
- la résolution des problèmes de
locomotion et l’optimalisation des
performances des chevaux de trait
et de sport;
- l’accompagnement médical et
sportif des jeunes chevaux élevés
en Wallonie;
- l’organisation d’activités de
stage et de formation en ce qui
concerne les métiers équins;
- le développement du tourisme
équestre.
Cette nouvelle mission permet,
selon le communiqué du Ministre,
au Centre européen du cheval de
Mont-le-Soie d’assurer le développement de la filière équine de
manière encore plus cohérente,
de l’amont à l’aval. Une subvention complémentaire de 190.000
sera accordée au Centre de
Mont-le-Soie pour que la Wallonie
devienne une terre de champions. Au total, la subvention de
la Région wallonne au centre de
Mont-le-Soie s’élève à 650.000E
chaque année.
Le Ministre Lutgen explique
qu’il entend faire de la Wallonie
une terre d’excellence en matière
d’élevage des chevaux, un «secteur à haute valeur ajoutée pour
notre Région à l’échelle nationale
et internationale».
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La situation est différente selon
que l’on bénéficie ou pas du découplage concernant le régime du sucre
(betterave ou chicorée).
- Pour les agriculteurs qui ne
bénéficient pas de ce découplage,
cela concerne les achats de terres
réalisés au plus tard le 15 mai 2004
et pour autant que les terres concernées n’aient pas déjà avoir fait l’objet d’une allocation de droits issus
de la réserve et qu’elles n’aient été
déclarées par le demandeur avant
2010.
- Pour les agriculteurs qui au
contraire bénéficient de ce découplage, cela concerne alors les achats
de terres réalisés au plus tard le 3
mars 2006. Les terres concernées ne
peuvent avoir été déclarées pendant
la période de référence (2005 pour
la betterave et 2003-2004 pour la
chicorée) ni avoir été déclarées par
le demandeur avant 2010. Elles ne
peuvent pas non plus avoir déjà fait
l’objet d’une allocation de droits issus de la réserve.
Héritage
Comme pour les achats de terres,
il faut pour les héritages et les héritages anticipé de terres, faire une
distinction entre les agriculteurs
ayant bénéficié ou pas du découplage concernant le régime du sucre
(betterave ou chicorée).
- Pour les agriculteurs ne bénéficiant pas de ce découplage, cela
concerne les héritage ou héritage
anticipé de terres entre le 15 mai
2004 et le 31 mars 2005 de tout
ou partie d’une exploitation qui a
été louée à tiers pendant la période
de référence 2001-2002. Les terres
ne peuvent déjà avoir fait l’objet
d’une allocation de droits issus de la
réserve ni avoir été déclarées par le
demandeur avant 2010.
- Pour les agriculteurs qui au
contraire bénéficient de ce découplage, cela concerne alors les
héritages ou héritages anticipés de
terres ayant eu lei au plus tard le 31
mars 2006 de tout ou partie d’une
exploitation qui a été louée à tiers
pendant la période de référence
(2005 pour la betterave ou 20032004 pour la chicorée). Dans ce cas
également, les terres concernées
ne peuvent déjà avoir fait l’objet
d’une allocation de droits issus de la
réserve ni avoir été déclarées par le
demandeur avant 2010.
Restructuration
L’agriculteur qui suite à une restructuration (expropriation, remembrement…) n’a pu déclarer suffisamment d’hectares en 2010 en
regard des droits qu’il détient peut
demander à accéder à la réserve..
Jeunes Agriculteurs
Pour pouvoir accéder à la réserve,
les jeunes agriculteurs doivent répondre aux conditions suivantes :
- Ne pas avoir atteint l’âge de
trente ans le 1er janvier 2010. Dans
le cas de groupement de personnes
physiques, au moins un des membres répond à cette condition. Dans
le cas de personnes morales, au
moins un des administrateurs, administrateurs délégués ou gérants
ayant la qualité d’agriculteur remplit
cette condition.
- Disposer au 31 mars 2010
d’une valeur moyenne de ses droits
ordinaires wallons au paiement
unique inférieure à la valeur unitaire
moyenne du droit ordinaire au paiement unique wallon. Au titre de la
campagne 2010, la valeur unitaire
moyenne de ce droit est de 387,78
euros.
Introduire sa demande
Les agriculteurs qui pensent
pouvoir répondre aux conditions
d’accès à la réserve doivent introduire une demande de droits à la
réserve uniquement par le biais du
formulaire qui est disponible auprès
des Services extérieurs ou sur le site
Internet de l’Administration (http://
agriculture.wallonie.be
Pour être prises en considération,
les demandes doivent impérativement être introduites par recommandé au plus tard le 31 mars 2010
à l’adresse du Département des
Aides, Direction des Droits et des
Quotas, Ilot Saint Luc, Chaussée de
Louvain, 14 à 5000 Namur.
Le montant de la réserve octroyé
à l’agriculteur correspond à l’augmentation de la différence entre
la valeur unitaire de chacun de ses
droits et la valeur unitaire moyenne
du droit wallon. Toutefois, l’augmentation de ses droits à la prime
unique est limitée par agriculteur à
1000 euros ou moins selon les disponibilités de la réserve.
Les disponibilités de la réserve
sont, en priorité, utilisées pour toutes les catégories avant celle de l’octroi aux jeunes agriculteurs.
Estimer les dégâts de gibier
Un logiciel a été mis au point pour aider les
experts à estimer le montant des dégâts de gibier.
Pour coller à l’évolution économique, la valeur des
productions agricoles est régulièrement réévaluée.
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Dans le cadre d’une subvention
avec le Service Public de Wallonie,
l’asbl Fourrages-Mieux a mis
au point un logiciel « dégâts de
gibier » aidant les experts agronomes à estimer le montant des
dégâts de la faune sauvage (espèces gibier et espèces protégées)
en zone agricole de la Région wallonne.
Les prix des différentes productions et travaux agricoles y sont
mis à jour deux fois par an pour
suivre l’évolution des marchés: au
1er mars (dégâts en prairies) et au
1er septembre (dégâts en champs
de maïs).
Afin que les prix intégrés au
logiciel soient le fruit d’un consensus, Fourrages-Mieux a mis sur
pied une plate-forme composée
d’un représentant de la Fédération
Wallonne de l’Agriculture et d’un
représentant de la Fédération des
Chasseurs au Grand Gibier de
Belgique, au sein de laquelle est
avalisée la méthodologie fixant
ces prix.
Les prix TVAC ci-après ont été
acceptés par toutes les parties,
en présence d’un membre du
Département de la Nature et des
Forêts (qui a participé aux réunions de travail), et ce pour la période allant du 1er mars 2010 au
31 août 2010.
On peut se réjouir de cette
avancée qui évitera, sans nul doute, bon nombre de discussions lors
des expertises.
Enfin, une liste d’experts dégâts
de gibier est désormais disponible
sur le site Internet de FourragesMieux (www.fourragesmieux.be),
rubrique « Gagnages et dégâts
de gibier », « Dégâts de gibiers en
agriculture », « Documents téléchargeables ».
Cette liste a pour but d’aider la
coordination du travail des experts
par provinces.
(*) Fourrages-Mieux asbl,
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Le bien-être animal, question de société, question sensible
C’est à l’initiative de la Sénatrice Christine
Defraigne qu’un colloque a récemment été
organisé au Sénat entre diverses parties prenantes
de ce qui est devenu un véritable débat sociétal.
Alain De Bruyn, Conseiller à la FWA, a mis les
choses au point en ce qui concerne l’agriculture,
parfois et à tort mise en cause sur ce sujet.
I`Z_Xi[ :p[q`b
Le bien-être animal a toujours
constitué une préoccupation de
premier plan pour la Sénatrice
(MR) Christine Defraigne. A ses
yeux, nos sociétés devraient
d’ailleurs clairement se poser la
question du «statut» de l’animal en leur sein, un statut qui
devrait mettre en évidence le fait
que celui-ci est un «être vivant et
sensible». A cette fin la sénatrice
préconise la mise en place d’états
généraux «Animal et Société»,
cet objectif figurant dans une
proposition de résolution qu’elle
a déposée au Sénat en juillet de
l’an passé.
Un débat général
Les éleveurs pourraient être
portés à croire qu’ils sont particulièrement ciblés dans l’esprit de la
Sénatrice Defraigne. Rassuronsles: l’animal doit être pris dans
son acception la plus vaste. Sont
concernés ainsi, aussi bien: les
animaux de compagnie, victimes
de maltraitances et d’abandons,
mais aussi les accidents frappant
des enfants du fait d’animaux
dangereux, les abattages rituels,
ou encore l’importante problématique des animaux utilisés dans
la recherche biomédicale. Bien
sûr, l’élevage ou «l’importance
des animaux impliqués dans un
processus de production dans
le but de contribuer à la couverture de nos besoins alimentaires»
n’échappe pas non plus aux préoccupations de Mme Defraigne.
Nous reproduirons d’ailleurs la
partie de sa proposition de résolution relative à notre secteur
dans une prochaine édition. Ceci
afin de concentrer notre attention
sur le récent colloque organisé à
son initiative dans les locaux du
Sénat.
Elevages:
pas d’amalgames!
Différents exposés, centrés chaque fois sur une thématique bien
précise, ont ainsi été prononcés.
Qu’il s’agisse du traitement réservé aux animaux (notamment
errants) en ville ou du dossier très
sensible des expériences scientifiques effectuées sur des animaux.
Les élevages bovin, porcin, caprin,
etc. ont quant à eux fait l’objet de
mises au point très argumentées
de la part de Alain De Bruyn,
Conseiller au Service d’études de
la FWA .
Relevons que M. De Bruyn a
également remis, sans ménagement les «horloges à l’heure» à
propos de certaines attaques (de
bonne ou de mauvaise foi?) visant les éleveurs. Il s’agissait essentiellement d’amalgames entre
le comportement indigne de certains détenteurs d’animaux d’élevage (car il convient en effet de
s’abstenir de les désigner comme
éleveurs) et l’attitude professionnelle, responsable et humaine qui
est le fait de la quasi-totalité de
nos agriculteurs.
«Il est nécessaire de lever
toute ambigüité à cet égard, et
d’opérer une distinction radicale
entre quelques «brebis galeuses» et l’ensemble de la profession», a déclaré Alain De Bruyn.
Autrement dit, il faut séparer
l’ivraie du bon grain, celui-ci représentant l’immense majorité.
Une composante
majeure de l’agriculture
Le secteur animal représente
60% de la valeur de la production agricole wallonne: c’est dire
son importance économique.
Une autre réalité est la diminu-
Les arguments scientifiques doivent prévaloir en matière de bien-être animal, et non les perceptions émotionnelles
tion continue du nombre d’agriculteurs, avec parallèlement un
nombre croissant d’animaux détenus par exploitation.
Le contexte général est donc
évolutif, et il est sûr, souligne A. De
Bruyn, que la notion de bien-être
animal est elle-même évolutive.
Toutefois, deux évidences ne doivent jamais être perdues de vue: il
existe un lien affectif certain entre
l’éleveur et ses animaux, tandis
que, d’autre part pour lui, ceux-ci
constituent un capital essentiel.
Un secteur davantage
contrôlé que les autres
L’opinion publique a tendance
à se focaliser sur les élevages
intensifs, les batteries, etc. Les
règlements ont été revus au fur
et à mesure, et chaque fois bien
sûr dans le sens de confort supplémentaire pour l’animal en
même temps que de normes de
plus en plus rigoureuses pour les
éleveurs.
La FWA ne conteste pas toute
évolution, indique M.De Bruyn,
dans la mesure toutefois où celleci s’opère sur des bases scientifiques avérées et non à partir
de perceptions personnelles ou
émotionnelles.
Quant au respect des règlements par les exploitants,
il convient de rappeler que le
secteur agricole est davantage
contrôlé que tout autre. Le nouveau principe de la politique agricole commune qu’est l’écoconditionnalité prévoit des pénalités
considérables pour les cas où un
éleveur est pris en défaut.
Alain De Bruyn dénonce par
ailleurs certaines incohérences
réglementaires, par exemple avec
certaines règles urbanistiques
ou environnementales. Dans les
zones Natura 2000 ainsi, l’usage
d’anti-parasitaires sur bovins est
interdit, et ceci ne va pas nécessairement dans l’intérêt de l’animal…
En général, pragmatisme et raison doivent l’emporter dès qu’il y
va de réglementer en matière de
bien-être animal comme ailleurs.
Hypocrisies…
Une hypocrisie régulièrement
mise en cause par la FWA tient
au fait que les mêmes normes ne
sont pas appliquées aux productions «indigènes» et aux produits
importés. «Est-il par ailleurs cohérent d’interdire la production
de chapon et d’en autoriser la
consommation et l’importation?», se demande A. De Bruyn
avec perplexité.
Celui-ci adjure la population
et les autorités d’éviter les surenchères dans les normes de pro-
duction animale. Notre agriculture doit demeurer compétitive et
toute norme supplémentaire se
traduit par des surcoûts de production considérables (cf le cas
des cages pour poules pondeuses). Or, ni la grande distribution,
ni les consommateurs ne sont
disposés débourser davantage
pour les produits soumis à ces
règles…
En général, à cet égard, A.
De Bruyn met le doigt sur une
contradiction flagrante «entre le
souci du citoyen pour le bien-être
animal et celui du consommateur-acheteur». En cas de conflit
«intérieur», celui-ci porte dans la
grande majorité des cas son choix
sur le produit le moins cher.
Des logos pour produits
«bien-être animal garanti»?
Scepticisme du représentant de
vanche se montrent plus rigoureux.
Enfin, un problème très pratique qui se pose à nos éleveurs, et
qui est cependant important au
point de vue du bien-être animal
est celui de la raréfaction des vétérinaires ruraux, la quasi-totalité
des vétérinaires sortant de l’université étant davantage attirés
par le «confort» ou la qualité de
vie inhérents au traitement des
animaux de compagnie dans les
villes, ou dans les campagnes du
reste. A.De Bruyn se demande s’il
ne conviendrait pas d’envisager
des solutions alternatives; prévoir par exemple des études d’un
autre niveau, de type plus court.
Il pourrait s’agir de techniciens ou
d’infirmiers vétérinaires. Il semble
que cela existe en certains endroits, mais sans reconnaissance
Christine Defraigne
Alain De Bruyn
la fwa: «pourquoi un logo si les
bases légales sont respectées?
Par ailleurs, il convient de prendre
garde au risque de prolifération
des logos et à la confusion que
ce phénomène ne manquera pas
d’engendrer chez le consommateur.
officielle.
En conclusion de cette partie
du vaste débat, M. De Bruyn soulignait une fois encore la nécessité pour le citoyen soucieux du
bien-être des animaux dans les
élevages d’avoir à l’esprit l’autre
impératif lié à ce souci, à savoir: le
maintien dans notre pays d’une
agriculture viable.
C’est dire aussi, une fois de
plus, qu’en cette matière comme
en tant d’autres, il faut éviter de
céder aux pulsions émotionnelles
et autres réactions irréfléchies:
raison et pragmatisme doivent
décidément l’emporter.
Raréfaction
des vétérinaires ruraux
Les études européennes, ainsi
que le suivi des réglementations
et de leur respect révèlent la difficulté de déterminer un niveau
minimal commun entre les Etats
membres. Les pays du Sud ayant
tendance à un comportement
plus laxiste, ceux du Nord en re-
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Un Salon agricole parisien très «politique»
Le grand salon agricole annuel de Paris a attiré
la foule habituelle. Il a été marqué cette année
par diverses déclarations politiques, certaines
«franco-françaises», mais d’autres qui concernent
l’ensemble des agriculteurs de l’UE.
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Le Salon agricole de Paris n’a
donc pas été inauguré par le
Président Sarkozy, alors que son
prédécesseur Jacques Chirac n’en
manquait pas une… Il faut rappeler tout de même que l’an passé
un accueil plutôt chahuté lui avait
été réservé.
C’est donc le Ministre français
de l’agriculture, Bruno Le Maire,
qui a procédé à l’inauguration.
Il y a répété à cette occasion que
la Pac post-2015 doit prévoir une
«régulation des marchés forte
et moderne pour lutter contre la
volatilité insupportable des prix».
Il a plaidé pour une clause
de sauvegarde en cas de crise
économique (ou autre) grave,
de manière à faire remonter les
cours.
L’intervention devrait être plus
efficace, «flexible et rapide»,
le stockage privé maintenu. Le
Maire a aussi réitéré son souhait
que soit créé un «observatoire
européen de la production, de
la demande et des prix», car des
éléments ne sont pas clairs dans
le fonctionnement des diverses filières agricoles au sein desquelles
il conviendrait par ailleurs de renforcer l’offre agricole.
Le Ministre français n’a pas éludé la responsabilité individuelle
des producteurs «à qui il incombe
de prévoir une épargne de précaution» pour parer aux inévitables
coups durs imprévisibles. Mais une
aide européenne devrait être des-
tinée à un système d’assurance.
Plus de cirque!
En tout cas, a dit M. Le Maire,
je ne suis plus prêt à refaire le
même cirque que l’an passé,
quand il a couru la campagne
européenne pour faire pression
sur la Commission. Dans le but
d’obtenir une aide de 300 millions
au secteur laitier en crise.
Pour le Ministre français, la crise
a fait apparaître un lamentable
manque de réactivité de la Pac
(et de la Commission, prisonnière
d’une rigidité de principe). Ce
n’est pas un bon fonctionnement
politique, a poursuivi M. Le Maire,
qui a rappelé que le problème de
l’UE est essentiellement de se doter de moyens pour lutter contre la
volatilité des prix, qui rend aléatoire tout revenu agricole décent,
subventions (donc DPU) incluses.
Il constate aussi qu’aujourd’hui
encore, une majorité d’Etats
membres partage son point de
vue, estimant que l’agriculture est
Pas de trace d’agriculture dans
la stratégie UE-2020
Les objectifs de la Commission européenne pour
2020 figurent dans un document que le président
Barroso a présenté le 11 mars à l’occasion du
Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement
à Bruxelles. On y parle de croissance, de
réindustrialisation, de recherche, d’éducation, de
lutte contre la pauvreté, etc. mais pas un mot de
l’agriculture. Réactions légitimes de colère dans les
milieux concernés par l’agriculture.
On lira par ailleurs les grandes
lignes de ce plan «UE-2020» (prononcer «vingt-vingt»), qui succède à la «stratégie de Lisbonne»
qui portait sur les objectifs 20002010. Un fiasco complet, de l’avis
même du président Barroso.
Le problème du nouveau document «2020» dans l’état actuel
est qu’il n’évoque guère l’agriculture…
Il est absurde que la stratégie
de l’Union européenne pour les
dix prochaines années, telle que
la propose la Commission européenne, n’inclue pas le défi essentiel de la sécurité alimentaire et de
la croissance et de l’emploi dans
les zones rurales», s’est offusqué
Paolo de Castro, le président de
la commission de l’agriculture du
Parlement européen, lors d’un
débat au sein du PE avec le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et
le président du Conseil de l’UE,
Herman Van Rompuy. «Comment
est-ce possible de réfléchir à une
Europe verte et durable sans réaliser que 45% du territoire euro-
péen est géré par les agriculteurs
? Comment pouvons-nous ne pas
prendre en compte près de 30 millions de personnes qui travaillent
dans ces zones?», a critiqué Paolo
de Castro, rappelant que «l’agriculture fournit toute une gamme
de services essentiels : la nourriture, la biodiversité, les paysages,
l’environnement, les fonctions
sociales et économiques des territoires ruraux».
Souligner l’importance
de l’agriculture
Même son de cloche du côté du
Copa (organisations professionnelles agricoles de l’UE dont fait
partie la FWA). Des dirigeants agricoles de l’UE ont mis en avant la
contribution essentielle du secteur
agricole européen à la construction de l’Europe et au maintien de
la croissance et de l’emploi dans
les zones rurales.
Le Président du Copa a ainsi
souligné: «Le secteur agricole de
l’UE représente une source considérable d’emploi puisqu’il compte
quelque 30 millions de personnes,
lesquelles travaillent soit à temps
plein soit à temps partiel dans les
exploitations agricoles de l’UE.
Compte tenu des secteurs connexes de la chaîne alimentaire, nous
estimons qu’un emploi sur six
dans l’UE dépend de la production
agricole. Face à une augmentation
de la demande alimentaire mondiale et des risques que représentent le changement climatique et
la volatilité accrue des marchés
pour la production alimentaire,
il est plus important que jamais
pour l’UE de maintenir son activité agricole. L’agriculture a donc
un rôle primordial à jouer dans le
contexte de la stratégie « UE 2020
» de la Commission pour les 10
prochaines années».
Pour le Copa, grâce à une PAC
forte après 2013, l’agriculture
pourra contribuer encore davantage à la réalisation des défis
constitués par la sécurité alimentaire, la lutte contre le changement climatique et le maintien
de l’emploi. La future PAC devrait
se concentrer sur l’amélioration
du fonctionnement du marché.
Le pouvoir de négociation des
agriculteurs au sein de la chaîne
alimentaire doit également être
consolidé et les mesures destinées
à aider les agriculteurs à devenir
plus compétitifs doivent être renforcées. Cette politique doit faire
l’objet d’un débat avant le lancement des pourparlers concernant
le budget communautaire.
Si la foule était bien présente au salon agricole de Paris, les décideurs politiques n’ont pas non plus raté ce grand
rendez-vous. Avec à la clef quelques déclarations «intéressantes»
désormais suffisamment orientée
vers le marché.
Visite de M. Ciolos
Le nouveau Commissaire à
l’agriculture, qui a des liens très
forts avec la France, était lui aussi
présent au Salon parisien. Il a
pour sa part indiqué qu’il convient de conserver des mesures
d’intervention et de mettre en
place des mécanismes de gestion des situations de crise. Pour
lui aussi, la valeur ajoutée devrait
être mieux répartie au sein des différentes filières agricoles.
Pour l’avenir, M. Ciolos a assuré qu’il était à la recherche
d’instruments complémentaires,
le cas échéant, nouveaux, pour
stabiliser les marchés.
Défilé politique
Nombre de Ministres et de
représentants de partis politiques
ont tenu à faire acte de présence
au Salon. Pour l’anecdote, on
relèvera que Jacques Chirac, coutumier jadis de visites très prolongées, n’est resté que trois heures
au cours desquelles il a été très
frugal… C’est M. de Villepin qui
semble lui avoir succédé, «trinquant et mangeant de tout»
pendant neuf heures. La Ministre
Pécresse a demandé grâce après
trois bières au stand des brasseurs
de France tandis que l’eurodéputé
vert José Bové a été accueilli aux
cris de «Bové en prison» (pour
cause notamment de fauchage
sauvage de champs OGM).
Chacun admet qu’entre Ecolo et
les agriculteurs français, cela n’a
jamais été une histoire d’amour,
notamment en raison de leurs positions respectives – antagonistes
– sur les OGM, qui ont par ailleurs
fait beaucoup l’actualité cette semaine, avec l’autorisation de la
pomme de terre OGM Amflora par
le président de la Commission UE
Barroso.
La crise économico-financière de 2008-2009
n’invite pas les parties contractantes de
l’organisation mondiale du commerce à ouvrir
leurs frontières…. De sorte qu’il est difficile
d’obtenir de chacun les conversions nécessaires à
la finalisation d’un accord.
La perspective d’une conclusion
du cycle de Doha en 2010 s’éloigne, compte tenu de l’absence de
progrès significatifs. La hausse du
chômage dans un grand nombre
de pays a remis en cause l’objectif d’ouverture des frontières.
Le Brésil est en année électorale
et le président Barack Obama
affronte lui aussi le verdict des
urnes aux élections de mi-mandat en novembre, expliquent des
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Le dernier jour du Salon, alors
que l’ambiance surchauffée du
départ était largement émoussée,
le président Sarkozy s’est à son
tour déplacé au Salon.
S’adressant aux agriculteurs (et
oubliant parfois les normes européennes?), il a promis d’alléger les
contraintes environnementales.
Car il y avait des sources de distorsion de commerce dans l’UE: on
empoisonne la vie des paysans
français tandis que l’on ne demande rien aux autres. Comptons
que M. Sarkozy n’inclut pas les
agriculteurs belges dans cette
dernière catégorie…
Le Président s’est engagé à
défendre la Pac comme il l’a fait
pour la Grèce dans l’euro. Je veux
bien concéder une baisse du budget agricole de l’Union, mais à la
condition expresse de rétablir la
préférence communautaire. Et M.
Sarkozy de citer explicitement le
cas de la viande…
OMC: peu de chances de conclure
un accord en 2010
A l’OMC, des divergences persistent entre pays industrialisés et pays en
développement sur la libéralisation du secteur agricole ainsi que sur l’accès
au marché des produits industriels
-
«Le défenseur de la Pac»
diplomates à Genève. De plus, le
Congrès américain n’a toujours
pas confirmé la nomination du
nouvel ambassadeur des EtatsUnis à l’OMC.
Sur le fond, les divergences persistent entre pays industrialisés
et pays en développement sur la
libéralisation du secteur agricole
ainsi que sur l’accès au marché
des produits industriels.
Où en est la négociation
agricole ?
Selon le Directeur Général,
Pascal Lamy, pour l’agriculture,
les discussions « se poursuivent
sur deux pistes les modèles (censés être utilisés pour calculer les
engagements des membres) et
les points entre crochets ou autrement annotés dans le projet de
modalités (grandes lignes d’un
accord ».
S’agissant des modèles, « il y
a eu des progrès sur les données
de base et leur vérification. En
particulier, une définition a été
convenue pour la valeur de la production, ce qui est fondamental
pour les engagements sur le soutien interne global qui fausse les
échanges ».
Pascal Lamy a aussi noté que
l’ambassadeur néo-zélandais
David Walker, qui préside les négociations agricoles, « a poursuivi
ses consultations, notamment
sur le mécanisme de sauvegarde
spéciale (pour les pays en développement) qui fait l’objet de discussions techniques, y compris sur
la base de contribution de certains
membres ». « Des consultations
se poursuivent aussi sur la simplification tarifaire, la création de
quotas d’importation tarifaires, les
produits tropicaux et l’érosion des
préférences (commerciales) ».
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Durabilité de la biomasse
La Commission européenne a adopté la semaine
passée un rapport sur les exigences de viabilité
environnementale relatives à l’utilisation de
biomasse solide et gazeuse pour l’électricité,
le chauffage et le refroidissement.
Le rapport comporte des recommandations
concernant les critères de viabilité
environnementale à l’usage des États membres
désireux d’introduire un régime national,
en vue d’éviter les entraves au fonctionnement
du marché intérieur de la biomasse.
La biomasse est une des ressources les plus importantes pour
atteindre les objectifs en matière
d’énergie de sources renouvelables. Cette source d’énergie
propre, sûre et compétitive représente déjà plus de la moitié de la
part des sources d’énergie renouvelables dans la consommation
d’énergie dans l’UE. Dans ce
rapport, la Commission formule
des recommandations aux États
membres concernant des critères
de viabilité environnementale de
la biomasse solide et gazeuse. Un
réexamen est prévu dans 18mois
afin de déterminer si le régime
doit être modifié, notamment par
l’introduction de normes obligatoires.
Au rapport est joint une analyse d’impact, qui montre que
des critères contraignants généreraient des coûts importants
pour les acteurs économiques
en Europe, en gardant présent à
l’esprit qu’au moins 90% de la
biomasse consommée dans l’UE
provient de résidus forestiers
et de produits dérivés d’autres
industries en Europe. Le rapport
conclut ainsi qu’à ce stade, une
législation plus détaillée n’est pas
nécessaire.
Pas de règles
harmoniséess
En l’absence de règles harmonisées au niveau de l’UE, les États
membres sont libres de mettre
en place leur propre système national en faveur de la biomasse
solide et gazeuse utilisée pour la
production d’électricité et dans
les systèmes de chauffage et de
refroidissement.
Selon les recommandations
contenues dans le rapport, les
États membres devraient suivre des méthodes similaires et,
surtout, appliquer les critères de
viabilité environnementale exposés dans le rapport. Ainsi, il sera
possible de réduire le risque que
des critères différents et potentiellement incompatibles ne se
multiplient au niveau national,
ce qui entraverait les échanges
et briderait le développement du
secteur bioénergétique.
Recommandations
Les critères recommandés
concernent:
a) une interdiction générale
d’utiliser la biomasse issue de
terres prises sur la forêt, de zones
renfermant un important stock
de carbone et de zones riches en
biodiversité;
b) une méthode commune
de calcul des émissions de gaz
à effet de serre qui pourrait être
utilisée afin que la biomasse permette d’éviter au minimum 35%
d’émissions de gaz à effet de
serre (ce chiffre devant atteindre
50% en 2017 et 60% en 2018
pour les installations nouvelles),
par comparaison avec la répartition des énergies produites à partir de sources fossiles dans l’UE;
c) la différenciation des régimes de soutien nationaux en faveur des installations qui ont des
rendements élevés de conversion
énergétique; et
d) le contrôle de l’origine de la
biomasse.
Il est en outre conseillé de
ne pas appliquer les critères de
viabilité environnementale aux
déchets, étant donné que ceux-ci
doivent déjà respecter les règles
environnementales édictées en
vertu de la législation relative aux
déchets nationale et européenne,
et d’appliquer les exigences en
matière de viabilité environnementale aux grands producteurs
d’énergie d’une puissance thermique ou électrique de 1 MW au
moins.
Conformément à la directive
sur les énergies renouvelables, les
États membres doivent communiquer leur plan d’action national
en matière d’énergies renouvelables pour juin 2010. Ces plans
seront un outil indispensable
pour définir les ambitions de
l’UE en matière d’exploitation
de son potentiel de biomasse,
que ce soit dans le secteur de
l’électricité, du chauffage ou des
transports. Après avoir reçu ces
plans et analysé les régimes nationaux en cours d’élaboration, la
Commission réfléchira, en 2011,
à l’opportunité de mesures supplémentaires telles que des critères de viabilité environnementale
communs à toute l’UE.
Transparence
La directive sur les sources
d’énergie renouvelables adoptée
en 2009 définit des critères de
viabilité environnementale pour
les biocarburants et les bioliquides. La directive prévoit que la
Commission établit un rapport
sur les exigences applicables à un
régime en matière d’utilisation
durable de la biomasse en dehors
des biocarburants et bioliquides.
Le rapport remplit cette obligation.
Le rapport, ainsi que d’autres
informations à ce sujet, sont disponibles sur la plate-forme de
la Commission consacrée à la
transparence en matière d’énergie produite à partir de sources
renouvelables, à l’adresse ci-dessous:
http://ec.europa.eu/energy/renewables/transparency_platform/transparency_platform_en.htm
Lutte contre le réchauffement:
priorité pour la future Pac?
Des experts de la Commission affirment que la
problématique du réchauffement climatique est
intimement liée à l’agriculture . La France et le
Royaume-Uni veulent prendre les devants et
boucler un programme de travail dans ce domaine.
S’exprimant devant le Congrès
du Ceja (jeunes agriculteurs européens) à Séville,Andreas Gunbert,
expert à la fameuse «DG Agri» de
la Commission, a expliqué que la
Pac après 2013, ne fera pas l’économie d’une prise en compte de
la problématique du climat dans
sa réforme.
«Après 2013, il faudra plus
d’intégration des sujets ‘‘climat’’
dans les instruments de la Pac
», a-t-il dit. Dans cette négociation qui s’engage, le « climat
sera une priorité » de la nouvelle Commission a-t-il assuré.
D’ailleurs, le président Barroso a
prévenu : « Toute politique devra
s’intégrer et si possible s’adapter
au changement climatique ».
Évidemment, - et «encore heureux» pourrait-on dire – il faudra trouver une bonne balance
entre les résultats économiques
des exploitations agricoles et
ces nouvelles exigences, a conclu
Andreas Gumbert…
Accord franco-anglais
Les Ministres britannique et
français de l’agriculture se sont
réunis à Londres pour discuter de
la Pac post-2013. Peu de résultats concrets, les désaccords de
fond étant trop forts.
Néanmoins, ils sont tout de
même parvenus à un pré-accord
pour qu’en matière de réchauffement climatique, l’agriculture
joue aussi son rôle.
On se souvient que la conférence de Copenhague de décembre 2009, bien qu’elle se soit
soldée par un fiasco eu égard aux
ambitions initiales, avait tout de
même décidé de prolonger le
mandat d’un groupe de travail
consacré à l’ «Action concertée
à long terme». Celui-ci devrait
présenter ses résultats lors de la
prochaine conférence, en novembre 2010 à Mexico.
L’action concertée a fait, à
Copenhague, l’objet d’un «projet
de texte de négociation» qui reconnaît l’importance d’assurer la
sécurité alimentaire dans la lutte
contre le changement climatique,
la relation entre agriculture et sécurité alimentaire ainsi que le lien
entre adaptation au réchauffement et atténuation de celui-ci.
Le document demande que les
avis scientifiques et techniques
nécessaires à l’élaboration d’un
programme de travail en matière
d’agriculture soient disponibles
d’ici juin 2010, date à laquelle
auront lieu à Bonn de nouvelles négociations sous l’égide de
l’Onu. Les parties sont ainsi invitées à soumettre le 22 mars au
plus tard leur avis sur le contenu
et la portée du programme de
travail.
C’est à « lafinalisation de l’accord » sur ce programme que les
ministres de l’agriculture français
et britannique, Bruno Le Maire et
Hilary Benn, ont convenu de «travailler ensemble, avec leurs partenaires de l’Union européenne»,
lors d’un entretien le 27 janvier à
Londres.
Voilà un dossier qui avance…
Agriculteurs et qualité de l’eau
A la recherche de solutions «gagnant-gagnant»
permettant aux agriculteurs de respecter
les contraintes qui leur sont imposées
en matière de qualité de l’eau.
Un atelier a été organisé sous
les auspices de la Plateforme
technologique européenne sur
l’eau afin de trouver des solutions
qui permettraient aux agriculteurs
européens de réaliser les objectifs élevés en matière de qualité
de l’eau requis par la législation
communautaire. Cet atelier s’est
tenu récemment sous l’égide du
Copa, qui représente les agriculteurs européens, et Eureau,
représentant des distributeurs
d’eau de boisson et des services
d’eaux usées en Europe.
Cet événement avait pour objectif de lancer un dialogue entre
le secteur agricole et le secteur
de l’eau de l’UE concernant la
meilleure manière d’améliorer la
qualité de l’eau tout en préservant la compétitivité du secteur
agricole européen.
Une bande ou une zone tampon est une parcelle de terrain
concernant laquelle sont imposées des restrictions agricoles. Les
nouvelles exigences communautaires établissent des obligations
supplémentaires relatives à la
création de zones et de bandes
tampon sur les terres agricoles.
A partir de 2012, les règles de la
conditionnalité dans le cadre de
la Politique agricole commune
rendront obligatoire l’instaura-
tion de bandes tampon le long
des cours d’eau. L’établissement
de zones tampon constitue également un élément des Plans
d’action nationaux requis dans
le cadre de la nouvelle Directive
2009/128/CE relative à l’utilisation durable des produits phytosanitaires.
Pour le Copa: «Ces exigences
imposent encore davantage de
coûts et de charges aux agriculteurs européens, mettant en péril
la compétitivité même du secteur
agricole de l’UE. Nous sommes
partisans d’une approche volontaire et nous faisons tout notre
possible pour trouver les solutions les plus appropriées afin de
répondre aux besoins environnementaux, tout en imposant la
charge la moins importante possible aux agriculteurs ».
s DUNE PROTECTION EFlCACE CONTRE LES MALADIES
s DUNE GRANDE SOUPLESSE DUTILISATION MÐME Ì BASSE TEMPÏRATURE
s DUN RENDEMENT ÏLEVÏ
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LES INFORMATIONS CONCERNANT LE PRODUIT IS A REGISTERED TRADEMARK OF A 3YNGENTA 'ROUP #OMPANY
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Gerpinnes, capitale du compostage
Avec le maintien du prix des engrais minéraux,
le compostage est de plus en plus évoqué pour
améliorer l’efficacité des engrais de ferme.
Mais pourquoi composter? Qu’est-ce qu’un bon
compost? Comment le réussir? N’y a-t-il que
des avantages à composter ses fumiers? Quelles
sont les techniques mises à la disposition des
agriculteurs? Quel en est le surcoût éventuel ?
Pour répondre à ces questions, en collaboration
avec la Direction du Développement et de la
Vulgarisation de la Région wallonne et le Comice
de Châtelet Gerpinnes, Nitrawal organisait, à
Gerpinnes, une après-midi d’étude consacrée au
compostage du fumier.
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A l’heure où l’agriculture est
confrontée à de nouveaux défis
(réduction des coûts de production, amélioration de la qualité des
produits, prise en compte des problèmes environnementaux…), la
valorisation adéquate des engrais
de ferme est devenue une opportunité à ne pas négliger.
Le compostage est l’une des
techniques qui permet de répondre à ces nouveaux défis… Le
matériel étant désormais plus
approprié aux exigences actuelles (rapidité et besoin en main
d’œuvre limité), cette technique
de valorisation des matières organiques est mise à profit par de plus
en plus d’agriculteurs.
Qu’est-ce que
le compostage?
Le compostage consiste à aérer,
par retournement, des matières
organiques (fumiers mais aussi
déchets verts…) pour déclencher
un processus de décomposition
aérobie (en présence d’air) et non
aérobie et d’humification. Ce processus se déroule en deux phases:
- une phase de dégradation de
la matière organique via la prolifération des micro-organismes avec
une élévation importante de la
température (jusque 65-70°C)
- une phase de maturation
consécutive à une diminution de
la température
Le compostage du fumier permet donc, via les micro-organis-
mes, de décomposer la matière
organique en un produit stabilisé
et homogène.
Le procédé demandant un
apport important d’air, le retournement du fumier s’avère
indispensable afin d’optimiser le
mécanisme. Le temps de compostage est d’environ 3 semaines
entre chaque retournement et
demande habituellement deux retournements.Trois semaines après
le dernier retournement, l’illustre
fumier, devenu compost peut-être
épandu dans les meilleures conditions.
Pourquoi composter?
Les avantages du compostage
sont nombreux et divers. Chaque
utilisateur peut y trouver son
compte.
Pour l’amélioration des qualités de l’engrais de ferme et de son
épandage :
- L’assainissement : l’augmentation de température entraîne la
destruction des germes pathogènes, la destruction des graines…
;
- La réduction des odeurs permettant un épandage plus aisé
sur prairie (diminution des problèmes d’appétence consécutifs
à un épandage) et l’épandage à
proximité des habitations;
- La réduction des volumes qui
permet une réduction des coûts
d’épandage.
- L’homogénéisation du produit
permet l’épandage de doses uniformes et une augmentation des
largeurs d’épandage.
- La diminution des pertes
d’azote : les pertes gazeuses au
retournement sont compensées
par une réorganisation de l’azote
uréique et ammoniacal qui n’entraîne quasiment aucune perte à
l’épandage.
Pour l’amélioration des qualités
intrinsèques du sol :
- Stimulation de l’activité biologique ;
- Augmentation du coefficient
isohumique (proportion d’humus
stable formé dans le sol, après humification, à partir d’un apport de
matière organique fraîche) ;
- Amélioration de la dynamique des sols (stabilité structurale,
capacité de rétention en eau, aération et propriétés drainantes,
nutrition minérale en azote, phosphore, potasse et certains oligoéléments).
Les limites
du compostage
Le compostage n’a pas réponse à tout. Cette technique présente en effet certaines limites :
- L’engrais de ferme composté
doit posséder certaines qualités :
un rapport C/N d’environ 20-30
(c’est-à-dire, 20 à 30 fois plus de
carbone que d’azote), une structure (préférable avec un fumier
pailleux) et une humidité suffisantes. Le fumier des stabulations
paillées des bovins convient tout
particulièrement à ces conditions.
Mais comme le signale Pierre
Luxen (Directeur d’Agra-Ost) ,
l’humidité et la teneur en N du
compost peuvent être augmentées via l’apport de lisier, lors du
retournement ;
- La technique nécessite une
main d’œuvre plus importante,
du matériel spécifique (retourneur
d’andain), un espace pour stocker
le fumier sous forme d’andain ;
- Lors de l’épandage, afin de
limiter les risques d’assèchement
du compost, un temps sec et venteux est à proscrire.
- Légalement parlant, le compost répond aux mêmes règles
d’épandage que le fumier.
Nitrawal a récemment organisé à Gerpinnes une après midi consacrée au compostage. Une centaine d’agriculteurs
y ont participé
Coût de la technique
Le compostage du fumier ainsi
que son épandage demande un
matériel adapté. Au premier plan,
le retourneur d’andain, matériel
spécifique dont l’achat ne doit
s’envisager que dans une utilisation commune ou par un entrepreneur. L’épandeur, qu’il soit à moulins verticaux ou à plateaux, est
également un investissement non
négligeable. Paradoxalement, les
tarifs des entrepreneurs sont assez
intéressants pour l’agriculteur.
Au delà de ces coûts supplémentaires, la réduction des volumes entraîne une diminution tant
du coût que du temps consacré à
l’épandage.
La pratique du compostage se
justifie-t-elle économiquement
? Selon Olivier Miserque, du
Département Génie Rural du CRAw, la pratique du compostage se
justifie même si le recours à l’entreprise est à privilégier. Une analyse des coûts d’utilisation des machines peut d’ailleurs être faite via
un outil mis en place par le CRA-w
et consultable sur internet (www.
mecacost.cra.wallonie.be).
Libre à chacun donc d’estimer
son intérêt dans le compostage.
Retourneur d’andain?
Le retourneur va déchiqueter et aérer le fumier pailleux
Le retourneur d’andain
enjambe l’andain de fumier
déposé par benne. Un rotor
horizontal passe au travers du
tas pour déchiqueter et aérer le
fumier pailleux. De plus, au lieu
d’être tracté comme avant, ce
retourneur d’andains est propulsé par un moteur hydraulique.
L’avancement du chantier peut
donc être régulé finement pour
éviter les bourrages. Les performances de la machine sont de
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400 à 500 m3 par heure pour
un premier retournement et de
500 à 600 m3 par heure pour
les autres passages. Ces performances sont très intéressantes
en comparaison d’un épandeur
classique qui ne permet de traiter plus de 50 m3 à l’heure. Le
retourneur d’andain est donc
tout indiqué pour composter les
fumiers de stabulations qui ne
sont vidées que quelques fois
par an.
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Clavier, Expertise de taureaux BBB
Les éleveurs des régionales de Loncin, Hannut, et
Condroz liégeois, Clavier, étaient réunis à nouveau
à Clavier pour leur expertise officielle de taureaux.
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Quelques fans Blanc-Bleu
purent visionner seulement
24 taureaux répartis en sept
séries. Parmi les éleveurs, quatre Hesbignons présentèrent 10
sujets dont trois 1er prix, et sept
Condruziens avec 14 sujets dont
quatre 1er prix auréolés des deux
championnats.
Quant aux catégories, la taille
de deuxième s’affiche pour 13
taureaux dont 4 sujets bien de
première sont recalés pour les
aplombs et/ou la conformation.
Avec si peu de présences, un
seul éleveur, Manu Laruelle, parvient à réaliser un trio, il est vrai que
les cinq sujets de la série des 10 à
11 mois étaient tous des Waleffes.
Championnat des jeunes taureaux à George J-M. et J-PH.
Aucune difficulté en série et encore moins
au rappel pour Quotidien du Pouhon, toujours aussi éclaté de partout, aux quartiers
de viande si prononcés, des plus massif par
une taille juste de 1ère mais avec 513 kg.
Taureaux de 12 à 13 mois
William du Fond de Bois (Sjaka-Zoeloe) à Monfort J-P., Les Avoins
Macro de Tohogne (Hésitant) à Destexhe CH. et B., Rolland
Rabat du Pouhon (Fascinant) à George J-M. et J-Ph., Bois-et-Borsu
Taureaux de 15 mois, série du champion
Quotidien du Pouhon (Eternel) à George J-M. et J-Ph., Bois-Borsu
Conquis des quatre Vents (Valli) à Thirion N. et Gr., Bois-et-Borsu
Galopeur du Corroy (Occupant) à Mathieu Luc, Huy
Taureaux de 16 mois
Messager du Bouchelet (Fétiche) à Demarcin A. et B., Warzée
Wi-Fi de Monplaisir (Harley) à Lamontagne L-J., Ben-Ahin , Varlet du
Fond de Bois (Occupant) à Lamontagne Léon et Manu, Ben –Ahin
Taureaux de 17 à 20 mois
Thème des Prés Al Basses (Empire) à Lamontagne L. & Jouant P., BenAhin , Océan du Pré Rosine (Héritier Org.) à Marot J-M. et J., Bois-Borsu
Ecrin de Petit Brin (Dartagnan) à Laval R. et J-Fr., Clavier
Taureaux de 28 mois
Débit du Chemin de Morogne (Harpon x Osborne)
à Lamontagne Louis-Joseph, Ben-Ahin
Champion des taureaux âgés
Terminus du Fond de Bois, 35 mois (Magnolia x Osborne) à
Lamontagne Léon et Louis- Joseph
Championnat des taureaux
âgés à Léon et Louis-Joseph
Lamontagne
Les 3 rappelés permettent aux 2 frères de
pavoiser seuls. Point de fin pour le routinier
Terminus du Fond de Bois qui passe par le
petit trou face à Thème des Prés Al Basses
encore à Léon mais cette fois associé à
Pierre Jouant. Pour être complet, le troisième
rappelé est Débit du Chemin de Morogne à
Louis-Joseph.
Taureaux de 10 à 11 mois
Impayable de Waleffes (Ebony) à Laruelle Manu, Faimes
Immortel de Waleffes (Important de Hasse) à idem
Immunisé de Waleffes (Gamin) à idem
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La production bio pour
parer à la crise du lait ?
En Belgique, la production agricole bio est
essentiellement localisée en Wallonie. Toutefois, si
elle peut permettre une meilleure valorisation des
productions ; elle comporte également des coûts
de production sensiblement plus élevés que dans
la production traditionnelle.
Quel avenir pour les fermes traditionnelles ?
Une enquête pour mieux conseiller les citoyens Les fermes traditionnelles, ce sont les anciennes
fermes de nos villages, principalement construites
aux 18 et 19èmes siècles ou au début du 20ème
siècle. Elles se composent le plus souvent d’un
logement et de locaux agricoles. Ces bâtiments
sont parfois encore en activité ou ont été
réaffectés. La fondation rurale de Wallonie mène
une enquête pour mieux les protéger.
Depuis de nombreuses années, l’Assistance architecturale
et urbanistique de la Fondation
rurale de Wallonie mène des
actions de sensibilisation en
faveur de cet habitat rural traditionnel. Afin d’améliorer sans
cesse la qualité de ces actions,
une enquête est lancée auprès
des citoyens: quelle est l’importance accordée à l’habitat rural
traditionnel? Quelles sont les
Le député Jean-Jacques Flahaux
a interrogé la Ministre Sabine
Laruelle sur l’alternative que pourrait représenter la production bio
à la production concurrentielle notamment du fait que cette filière
bio permettait d’économiser pesticides et autres produits phyto.
Relevant que le développement de l’agriculture bio s’articule
essentiellement autour de deux
disparités ; la Ministre indique
que ceux-ci sont du ressort des
Régions. Il s’agit de :
- un règlement européen sur
l’agriculture biologique définissant un ensemble d’objectifs, de
principes et de règles fondamentales pour le mode de production
biologique, avec des modes de
contrôle associés;
- des soutiens financiers alloués
dans le cadre des programmes de
développement rural.
Quelques données
La Ministre a toutefois indiqué
les chiffres suivants :
La part de marché de l’alimentation bio par rapport à la
consommation totale d’aliment
représentait 1,6% en 2006.
Selon certains chiffres avancés
par GFK, le chiffre d’affaires de
l’alimentation bio en Belgique et
de la vente aux ménages en 2008
s’élevait à 304,6 millions d’euros,
contre 283 millions un an plus tôt,
soit une hausse de plus de 7%.
Au niveau de la production,
selon les derniers chiffres publiés
au niveau du SPF Economie, la
Belgique recensait 803 exploita-
tions biologiques qui occupaient
une superficie de 28.634 ha, données qui se répartissaient entre
régions de la manière suivante:
- la Flandre: 232 exploitations
pour 3.153 ha
- la Wallonie: 571 exploitations
pour 25.367 ha
En Belgique, la production bio
est essentiellement localisée dans
le sud du pays: plus de 70% des
exploitations et plus de 80% des
surfaces. La présence de la production biologique y progresse
sensiblement puisqu’en 2008, le
nombre d’agriculteurs était porté
à 671 et la superficie atteignait
32.330 ha, soit 4,3% de la surface
agricole utile wallonne.
Une possibilité de diversification, mais…
Les productions concernées
sont les productions animales
(bovins, porcs, volailles) et leurs
sous-produits, ainsi que les grandes cultures (céréales, pommes
de terres) et les fruits et légumes.
La conclusion de la Ministre est
la suivante : par rapport à la crise
dans le secteur du lait, la production biologique est certainement
une voie à prendre en considération dans le cadre d’une diversification. Cependant, si cette voie
peut effectivement permettre une
meilleure valorisation des productions et donc un meilleur prix de
vente, elle comporte également
des coûts de production sensiblement plus élevés que dans le
cadre d’un système de production
traditionnel.
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Des chèques livres à
gagner
Quelques minutes suffisent
pour répondre au questionnaire.
Celui-ci est anonyme et stricte-
ment confidentiel. Néanmoins,
inscrire ses coordonnées permet
de participer à un tirage au sort
pour gagner des chèques livres.
L’enquête est disponible sur les
sites www.frw.be et www.murla.
be.
Le questionnaire peut y être téléchargé.
Pour recevoir la version imprimée de l’enquête : Fondation rurale de Wallonie Rue des Potiers,
304 B-6717 Attert 063/23 04 09
[email protected]
La Mouette enrichit son offre
Nouvelle ficelle pour les presses à très haute
densité, filet indéchirable et film d’enrubannage
renforcé, telles sont les nouveautés annoncées par
La Mouette.
vant « La Mouette » concentre
ses activités sur la fabrication et la
distribution de ficelles, filets, films
et bâches pour l’agriculture.
Soucieuse de suivre de près
l’évolution des techniques et les
attentes du marché, elle vient de
lancer 3 nouveaux produits.
La Blanche
Les fabricants de ficelles doivent s’adapter aux exigences nouvelles qu’impose un matériel toujours plus performant
Créée en 1921, la société
«Ostend Stores s.a. » produit alors
dans ses ateliers à Ostende des ficelles en sisal pour le pressage des
balles qu’elle commercialise sous
la marque La Mouette.
Près de nonante ans plus tard
l’entreprise qui s’appelle doréna-
La gamme des ficelles agricoles en polypropylène de « La
Mouette » comprenait déjà pas
moins de 8 types différents, depuis la 1000 (1.000 m/kg, 45
kg de résistance linéaire) jusqu’à
la « Jaune » (120m/kg, 420 kg
de résistance linéaire et 280 kg
de résistance au noeud). Cette
gamme se voit à présent complétée par la « Blanche », une ficelle
spécialement développée pour
les presses très haute densité,
du type Claas Quadrant 3400.
C’est une ficelle à 101m au kilo,
soit une longueur utile de 1160m
pour une bobine de 11,5 kg. Sa
résistance linéaire est de 480 kg
et sa résistance au noeud atteint
300 kg.
Indéchirable
La gamme de filets de pressage
Ostex est maintenant complétée
par l’arrivée de l’Ostex Extrem.
Pour éviter les déchirures verticales
du filet dues à sa mise en extension vers les épaules de la balle, la
trame centrale est doublée grâce à
un procédé exclusif breveté. Cette
façon de procéder garantit une
résistance élevée du filet qui sera
appréciée des utilisateurs, surtout
avec les presses balles rondes les
plus récentes.
Films étirables
La gamme Silawrap, historiquement le premier film conçu pour
l’enrubannage du préfané, s’enrichit d’un nouveau film en 5 couches commercialisé sous le nom
Wrapfilm Renforcé. Le but est de
garantir une excellente conservation des balles enrubannées.
Fait pour vous par le service d’études
1/3
2/3
Ciney: assemblée générale des
marchands-Méritus
Liège: commission consultative de l’eau
Bruxelles: ONG- sécurité alimentaire
Libramont: DGA- présentation et débat mesures agrienvironnementales
Gembloux: Naturawal- conseil
d’administration
Gembloux: FWA: rencontre
mandataires politiques PS
Gembloux: Valbiom- bureau
Jambes: commission des carrières- GT simplification
Namur: RTBF- enregistrement
tribune agricole radio
Jambes: DGATLP- commission
régionale d’aménagement du territoire
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3/3
Gembloux: s y s t è m e d e
conseils agricoles
Gembloux: Nitrawal- GT communication
99986488/1010 PLC JHT
la production biologique est certainement une voie à prendre en considération dans le cadre d’une diversification. Cependant, elle comporte des coûts
de production sensiblement plus élevés
difficultés rencontrées lors de
travaux de rénovation? Quels
sont les besoins et les soutiens
souhaités par la population en la
matière?
Thisnes: CIPF- fertilisation
maïs
Gesves: réseau rural- debriefing séminaire sur le
cheval
Gembloux: FWA- commission
productions végétales
Bruxelles: Comité économique et social européen- Catégorie
agriculteurs
Momalle: FWA- conférence
PAC
Bruxelles: SPF Santé publique-GT pommes
de terre
Bruxelles: Conseil du FondsGT volailles
Bruxelles: Conseil fédéral de
développement
durable- alimentation durable
Bruxelles: Cese - relations extérieures
Bruxelles: Copa- Pocc
Hannut: section locale FWAbilan de santé
4/3
5/3
Gembloux: CWEDD- section
planification
Gembloux: FJA- assemblée
générale
Libramont: cours B- PGDA
Ciney: Arsia- conseil d’administration
Bruxelles: Phytofar Recover
Gembloux: CNIL- qualité du
lait
• CHAUSSÉE DE NAMUR, 47 B-5030 GEMBLOUX
• TÉL. : 081/60.00.60 • FAX: 081/60.04.46
• E-MAIL: [email protected]
Organe de presse
hebdomadaire de la
Fédération Wallonne
de l’Agriculture
Rédaction : Richard Cydzik, Esteban Jaime, Bernard Kersten,
Abonnement : Martine Dewez
Editeur responsable:Yvan Hayez,
secrétaire général
Tirage : 22.500 exemplaires distribués dans
toutes les fermes de Wallonie
Imprimerie: Centre d’impression de Rhisnes
Prépress: Passe-Partout
Pages mensuelles de l’UAW - Distribué toutes fermes - Chaussée de Namur 47 - 5030 Gembloux
Tél. 081/60.00.60 - Fax. 081/60.04.46 - E-mail. [email protected]
Mars 2009
N°108
Ed it o
par Françoise Bodson , coordinatrice UAW
Le devenir de l’agriculture est aussi l’affaire des femmes…
Le 8 mars, c’était la journée internationale des
droits de la femme. Celle-ci trouve son origine
dans les manifestations de femmes au début du
XXe siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant
l’égalité, de meilleures conditions de travail et le
droit de vote. En 1977, elle a été officialisée par les
Nations unies invitant chaque pays de la planète à
célébrer une journée pour les droits des femmes.
Traditionnellement, le 8 mars (ou les jours qui
l’entourent) est l’occasion pour les groupes ou
associations de femmes à travers le monde de
faire un bilan sur la situation des femmes dans la
société, de faire des revendications.
Pour l’Union des Agricultrices cette
période est aussi celle du congrès : le
temps de faire le point sur la situation
des agricultrices, d’émettre des revendications pour améliorer la condition
des agricultrices…
« Mais que vous reste-t-il à re-
vendiquer ?» diront certains…
« N’avez-vous pas déjà obtenu ce que
vous demandiez ? » Il est vrai que ces
10 dernières années les agricultrices
ont enfin obtenus de belles avancées
du point de vue de leur statut et de la
cotitularité des droits de production ,
une première en Europe ! N’y aurait
– il dès lors plus rien à revendiquer
pour améliorer la condition des agricultrices en Wallonie ?
L’UAW est convaincue du contraire. La condition des agricultrices dans
les exploitations agricoles wallonnes,
mais aussi partout dans le reste du
monde, est inextricablement liée
à la situation de ces exploitations
agricoles. En effet, quand une exploitation est menacée, c’est directement
l’emploi d’une agricultrice qui est en
danger.
La situation dans laquelle est
plongée l’agriculture aujourd’hui et
les incertitudes qui planent sur son
avenir ne peuvent laisser l’UAW indifférente. Combien d’exploitations
agricoles seront encore en activité
dans 1 an, 5 ans, 10 ans ou à plus
long terme ? Combien de femmes
seront-elles obligées d’abandonner
Congrès
L’AGRICULTURE:
leur métier pour continuer à nourrir
leur famille ?
Aujourd’hui, l’agriculture est
prise en étau entre deux manières
de penser l’économie en général, et
la production et la commercialisation
des matières premières agricoles en
particulier. D’un côté, il y a une vision
ultra-libérale qui prône le tout au
marché, la dérégulation, ... De l’autre,
une vision qui soutient l’idée de mettre ou de remettre en place des outils
de gestion des marchés, partant du
postulat que l’alimentation, besoin
fondamental s’il en est, ne peut en
aucun cas être envisagée comme
n’importe quel bien de consommation.
Pour les uns, le marché se régule
de lui-même, sans qu’il soit nécessaire de l’encadrer, en laissant faire
les forces de l’offre et de la demande
qui détermineront le « juste » prix
des matières. Pour les autres, laisser le
marché des produits agricoles évoluer
selon les seules lois de l’offre et de la
demande amène immanquablement
à de graves déséquilibres, mettant
en péril non seulement la survie du
secteur agricole mais aussi la sécurité
alimentaire des populations.
Libéralisation ou régulation...
Du choix de modèle qui sera posé
dépend l’avenir de notre agriculture
mais aussi de nos agricultrices, de
leur emploi, de leur revenu. C’est dire
si ce choix est crucial... C’est pourquoi
l’UAW ne pouvait passer à côté d’un
thème comme celui qu’elle a choisi
cette année !
« L’agriculture : entre libéralisation et régulation »
entre libéralisation
et régulation
LE VENDREDI 12 MARS 2010 DÈS 9H45
à l’Espace Senghor de la Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux
(Ulg-GxABT)
- Accueil
tes provincia- Introduction, par les présiden
les de l’UAW
ticulièrement
- « Agriculture : une activité par
de Frahan, prorisquée », par M. Bruno Henry
de Louvain-lafesseur à l’Université Catholique
Neuve
usage de la ré- « De la nécessité et du bon
essens, proSne
is
gulation », par M. Jean-Franço
Louvain-lade
que
holi
fesseur à l’Université Cat
Neuve
, du ROPPA
- Intervention de M. Najirou Sall
nes et des
san
Pay
ns
(Réseau des Organisatio
Cette page a pu être publiée grâce au soutien
du Ministère de la Communauté Française de Belgique.
Producteurs de l’Afrique de l’Ouest)
- Intervention de M. Luc Guyau, président
de la FAO
- Le point de vue de l’UAW, par Mme
Anne-Marie Tasiaux, présidente nationale de
l’UAW
- Intervention de la Ministre fédérale de
l’Agriculture , Mme Sabine Laruelle
- Intervention du Ministre régional de
l’Agriculture, M. Benoît Lutgen
- Débat avec la salle
- Conclusions par M. Yves Somville, directeur du service d’études de la FWA.
Inv i t a t i o n
L’assemblée sera suivie d’un buffet
du terroir auquel vous êtes chaleureusement convié(e)s.
PAF : 5 euros
Cette assemblée a pu être organisée
grâce au soutien :
de la Communauté Française
de Belgique
du Ministère de l’Agriculture et
de la Ruralité de la Région Wallonne
de l’APAQ-W
((dXij)'(' (
Echo des Provinces: Journée provinciale du Brabant
Aider à la transmission d’une exploitation...
Une réflexion approfondie s’est imposée à la journée provinciale du Brabant Wallon
par Brigitte Huet
Le 23 février dernier, les dames de
l’Union des Agricultrices Wallonnes se
sont retrouvées à la ferme du Mont à
Thorembais les Béguines pour entendre,
juristes, notaires, fiscalistes, banquiers,
ainsi que Monsieur Antoine, Ministre
régional des Finances.
Place de l’agriculture
dans le Brabant Wallon :
Mylène Wyseur-Dujardin,
Présidente de la locale UAW
Wavre, Perwez, Mont-SaintGuibert a présenté Thorembais
les Béguines à partir de la Ferme
du Mont, l’une des six fermes en
carré de la commune. Elle nous a
tracé dans les grandes lignes une
photographie de l’agriculture
brabançonne souvent qualifiée
« d’agriculture péri-urbaine » en
précisant que si la province est la
plus petite du point de vue « superficie agricole utilisée », elle
occupe une place importante
puisqu’elle met en valeur 59%
des terres. Elle n’a pas hésité
à nous rappeler que si la taille
moyenne des exploitations a
augmenté ces dernières années,
les crises et l’urbanisation ont
provoqué la perte d’exploitations et la perte pour le secteur
de 2000 ha. Pour environ 1095
exploitants, 204 sont des femmes, 891 des hommes, 52% de
ces femmes et 71% des hommes travaillent à temps plein.
Quant aux 369 Conjoints-aidant
recensés 85% sont des femmes
dont plus de 50% d’entre elles
travaillent au dessous d’un mitemps. Notre présidente locale
d’ajouter : « Nous ne nous étonnerons pas que la problématique
de la transmission des exploitations soit présentée ici ».
Madame Decoster, Présidente
provinciale UAW interpelle
les mandataires
Une profession à capitalisation qu’il faut sauvegarder :
Après avoir remercié les
organisatrices, et les conférenciers : Mesdames Christine Le
Borne et Anne-Sophie Janssens
du service Juridique attaché à
la FWA, Maître Etienne Beguin,
Notaire à Beauraing, Monsieur
Michel Hoyos du Crédit Agricole
et Monsieur André Antoine,
Ministre régional des Finances,
Marie-Ghislaine Decoster-Paris,
Présidente provinciale de l’UAW
est directement entrée dans le vif
du sujet.
Partant des aspects émotionnels et matériels pouvant mettre
en péril la pérennité des exploitations, elle a précisé : « que
le métier d’agriculteur est une
profession à capitalisation importante où être propriétaire de
ses surfaces cultivées a toute son
importance. » D’ailleurs a-t’elle
dit « les exploitants agricoles
sont propriétaires d’au moins
30% de la superficie de leur
ferme et la tendance va croissant. Lors d’héritage, les droits
de successions représentent des
sommes importantes difficiles
à assumer sans vendre. La crise
)
((dXij)'('
économique que l’agriculture et
toute la société traversent actuellement, la chute des prix de vente
de nos productions rendent les investissements difficiles à assumer,
ce qui met un secteur essentiel de
notre société en péril. » MarieGhislaine n’a pas hésité à rappeler
que : « la mission principale de
nos agriculteurs est bien de nourrir
la population, mais que cette noble activité est engluée dans une
masse de contraintes économiques, environnementales, sociales,
financières qui conditionnent son
devenir. ».
En prenant l’exemple des
jeunes agriculteurs souhaitant
reprendre la ferme familiale ou
acquérir le patrimoine d’exploitation, notre présidente a fait
remarquer que c’est impossible
si l’on s’en tient aux moyens
traditionnels. En posant cette
question: « Comment la jeunesse
peut elle assumer de tels investissements? ». Notre présidente
provinciale a posé le problème en
ces termes : « la problématique ne
concerne pas que les agriculteurs
en fin de carrière. C’est de l’avenir
de tous nos jeunes et de l’avenir
de l’agriculture Wallonne dont il
s’agit ici... Nous l’avions déjà souligné, insisté en 2004. Force est de
constater que le dialogue a porté
ses fruits. La concertation n’est pas
toujours médiatique mais c’est à
l’UAW notre ligne de conduite ;
nous continuerons ainsi dans tous
les domaines que nous sommes
amenées à défendre. Quand il y
a une nouveauté, le travail d’une
organisation syndicale comme
la notre, comme les nôtres, doit
se décliner en plusieurs axes : la
compréhension du contenu de la
proposition, de la règle, de la loi
– l’explication et la vulgarisation
pour nos adhérants – la confrontation aux réalités pratiques du
vécu des agriculteurs – la critique
(positive ou négative) et l’évaluation attendues et enfin les revendications et propositions de nouvelles mesures ou adaptations ».
Voilà en quelques mots le credo
de notre présidente provinciale, il
est le credo de beaucoup.
Réponse de Monsieur André
Antoine, Ministre régional des
Finances
Portée du décret du 10 décembre 2009 :
Honoré d’être invité dans son
fief et convaincu du rôle sociétal
de l’Agriculture, Monsieur Antoine
a examiné avec nous, l’aspect
humain de ce secteur à l’aide de
quelques chiffres : « En référence
à 2006, il y a en Région Wallonne
16.557 exploitations agricoles,
parmi celles-ci, 15.404 sont exploitées par des personnes physiques et groupements, seulement
1.073 le sont par des sociétés. En
2007 on comptabilisait 26.470
personnes occupées dans les secteurs agricoles et horticoles dont
les exploitants eux-mêmes représentent 69% de la main d’oeuvre.
Prouvant en cela le caractère
essentiellement familial des exploitations wallonnes. Quant à
l’aspect physique de l’agriculture
toujours en Région Wallonne, la
superficie agricole utilisée était
de 747.840 ha au 1er mai 2007,
soit 49% de la superficie totale de
la région avec une moyenne de
46,7 ha par exploitation. ». André
Antoine a ajouté ceci : « Si la main
d’oeuvre a reculé de près de 43%
entre 1990 et 2007, la superficie
agricole utilisée a pratiquement
doublé, faisant passer le nombre
d’ha moyen en 1990 de 25,8
ha à 46,7ha en 2007 soulignant
ainsi l’importance des capitaux
engagés dans une exploitation,
soit environ 1 million d’euros
par exploitation. ». Par là, André
Antoine a voulu démontrer que
l’agriculture est non seulement un
secteur important de l’économie
et de l’environnement wallon et
qu’en termes de terres cultivables
notre région recèle une grande valeur patrimoniale et sociétale.
Un taux à 0% pour les terres agricoles :
On comprend l’intérêt que
le Ministre a mis dans le décret
fiscal du 10 décembre 2009 sur
la transmission d’exploitation
familiale. En effet a-t’il précisé :
« Les articles 140bis à 140octies
du Code des droits d’enregistrement, hypothèque et de greffe,
ainsi que l’article 60bis du Code
des droits de succession prévoient
un taux réduit de 0% des droits de
donation et de succession en cas
de transmission d’entreprise, personne physique ou morale soumis
à la condition de l’exercice d’une
activité économique, dont les activités agricoles. ».
Il a précisé que : « dans les cas
où les terres agricoles restent dans
le patrimoine des parents, la mesure prise dans le cadre du décret
du 10/12/2009 a remédié à ce
problème par une assimilation des
terres agricoles à une entreprise
agricole pouvant être transmise
au taux réduit.
Si :
· les terres sont transmises par
leur ancien ou actuel exploitant ou
co-exploitant ou par son conjoint
ou cohabitant légal
· les terres sont transmises à
leur exploitant effectif ainsi qu’en
ligne directe entre époux et cohabitants légaux
· les terres étaient antérieurement mises à la disposition de
l’exploitant effectif en vertu d’un
bail à ferme
· les autres conditions de poursuite d’une activité agricole admise aux taux réduit et maintien
de l’emploi, pendant 5 ans, seront
appréciées dans le chef de l’entreprise de l’exploitant »
Et le Ministre de conclure :
« Vous agricultrices et agriculteurs, vous restez au coeur et dans
le coeur de son action politique ».
Anne-Sophie Janssens, Juriste
à la FWA
Les questions juridiques
essentielles qu’il faut se poser :
Anne-Sophie Janssens,
conseillère juridique à la FWA, a
développé quelques aspects juridiques qui s’appliquent lors de
la transmission de l’exploitation.
S’agissant d’un contrat, les parties
doivent préciser au mieux leur volonté réelle dans une convention
de reprise et se soumettre aux règles du droit civil. Au delà du droit,
elle a également voulu insister sur
différentes questions qu’il faut
se poser avant d’envisager une
transmission d’exploitation avec
un foncier souvent important.
La transmission de cette exploitation doit être scrupuleusement
préparée pour éviter des conflits
familiaux et/ou des conséquences
fiscales néfastes qui mettraient à
mal le capital lui-même.
La transmission requiert donc
du TEMPS et de la REFLEXION. Elle
a insisté sur le fait que l’exploitant
doit être attentif à la façon dont la
succession sera dévolue, qui sont
les héritiers ? Quels biens va-t-il
transmettre, des immeubles, des
meubles; l’exploitant veut-il gratifier un de ses héritiers ou un tiers ?
Veut-il transférer de son vivant ?
En créant des lots ou une indivision ? Ces questions doivent être
posées et guideront l’exploitant,
aidé de son notaire, vers l’une
ou l’autre solution juridique telle
qu’une donation, un testament, la
création d’une société, la modification du régime matrimonial.
Christine Le Borne, Conseillère
fiscale à la FWA
Transmission d’une entreprise agricole, aspects fiscaux
à ne pas négliger :
Christine Le Borne, conseillère
fiscale à la FWA, a attiré l’attention
des participants sur différents éléments fiscaux auxquels il faut être
très attentif lors de la transmission
d’une exploitation à titre onéreux. C’est ainsi que la rédaction
de la convention de cession, tant
l’inventaire que sa valorisation,
doivent être effectuée avec soin. Il
ne faut pas non plus ignorer que
le cessionnaire est solidairement
responsable des dettes fiscales du
cédant jusqu’à l’expiration du délai d’un mois qui suit la notification
de la convention de cession au receveur des contributions du ressort
duquel dépend le cédant. Cette
responsabilité peut être annulée
par la présentation par le cédant
d’une attestation ad hoc établie
par son receveur et attestant de
l’absence de telles dettes.
La problématique de la taxation des plus-values éventuellement dégagées lors de la cession
de certains éléments de l’actif de
l’exploitation ne peut être passée
sous silence a-t’elle ajouté. Celleci doit également être analysée
au cas par cas ( régimes fiscaux et
TVA du cédant et du cessionnaire,
transmission familiale en continuité ou transmission entre tiers,
nature des éléments transmis
etc...).
Maître Beguin, Notaire à
Beauraing
La programmation successorale :
Quant à Maître Etienne Beguin,
notaire à Beauraing, il nous a présenté la programmation successorale, une opération complexe aux
implications variées, en mettant
en avant le contexte et les objectifs
de celle-ci : le contexte professionnel, familial, fiscal, personnel. Il
nous a rappelé avec un humour
certain une phrase de Benjamin
FRANKLIN « Rien en ce monde
n’est certain, sauf la mort et les
impôts » et encore les impôts...
Maître Beguin a développé divers
instruments juridiques pouvant
être utilisés lors d’une programmation successorale en soulignant
au préalable que le sur mesure
doit prévaloir et que le prêt à porter n’existe pas ! Et d’ajouter : « Il
n’y a pas de solution type car différents aspects subjectifs entrent
en ligne de compte comme les
éléments humains et les difficultés
psychologiques à transmettre son
patrimoine et son exploitation ». Il
insistera toutefois sur la nécessité
de protéger le donateur, ne pas
tout donner et mettre des gardes-fous mais il faut oublier l’idée
reçue qu’on ne doit rien transmettre de son vivant. Parmi les instruments juridiques, il a développé les
instruments classiques comme les
donations, le testament. L’achat
d’un bien en démembrant le droit
de propriété; l’usufruit est acquis
dans le chef d’une société ou des
parents et la nue-propriété acquis
respectivement par l’agriculteur
en personne physique et au nom
des enfants dans le deuxième cas.
L’acquisition au nom des enfants
ou en indivision représentent également un intérêt. Enfin, la donation d’entreprise développée par
le Ministre Antoine est un instrument relativement nouveau ayant
un grand intérêt.
Monsieur Hoyos du Crédit
Agricole
La mobilité des charges
financières :
A l’invitation de l’Union des
Agricultrices Wallonnes du
Brabant Wallon, Michel Hoyos,
Chargé de relations du Crédit
Agricole, a donné son point de
vue sur « la mobilité des charges
financières lors de la transmission
d’une exploitation ». Il nous a
précisé que c’était bien malaisé
de donner une réponse standard à
la question du devenir des crédits
professionnels des parents lors de
la cession totale ou partielle de
leur exploitation à leur enfant, car
le montage du dossier de reprise
est généralement fait « sur mesure » et doit s’intégrer dans le cadre
de la planification successorale.
Monsieur Hoyos a insisté
sur l’importance de rappeler les
sources de financement saines
à rembourser de celles qu’il vaut
mieux apurer avant de parler de
la transmission d’exploitation à la
génération suivante. (Comme par
exemple les arriérés fournisseurs
et autres dettes).
Il a également souligné qu’il est
important de connaître aussi les
composantes de l’acte de crédit,
comme la certitude de remboursement à temps des échéances
de crédit, comme la certitude de
récupérer la somme investie en
cas de problème. Car il est vrai
que l’argent avancé via crédit est
l’argent des épargnants et que la
banque a l’obligation de garantir
un résultat sans risque.
On comprend mieux a-t-il
ajouté « que lors de la passation
totale ou partielle de l’exploitation, des calculs approfondis de
rentabilité actuelle et future soient
faits et que sur base de ces calculs,
votre implication en tant que parents sera redéfinie à partir des
charges de crédits, de codébition,
de caution, tout affectant hypothécaire ».
Dans l’assemblée, Mme
Tasiaux, Présidente nationale,
Mr Sépuclchre Représentant du
Ministre et Mr Moniquet, de la
FWA, Mr Ladouce, Président de
la FWA...
Conclusions :
Monsieur Hoyos, comme
tous les intervenants ont rappelé
les règles de base d’une bonne
transmission d’exploitation à ses
enfants, en rappelant l’importance de vivre cela dans un climat
familial le plus serein possible, en
insistant sur l’absolue nécessité de
transmettre une exploitation saine
ou sinon s’atteler à l’assainir avant
la transmission.
Il a été suggéré de se mettre
autour de la table avec la famille,
le comptable, le fiscaliste, l’ingénieur agronome et le banquier.
Sans oublier le rôle des mères
quant à la gestion et la préparation administrative face aux diverses contraintes...
Par Brigitte Huet, coordinatrice Groupe de Soutien
La commune d’Héron en province de Liège,
sensible à la situation des agriculteurs
pendant cette crise a souhaité marquer
sa solidarité par une action concrète.
En décembre dernier, lors du Conseil
communal, ses membres ont voté à
l’unanimité une motion de soutien aux
agriculteurs en difficulté.
Voici en bref ce que cette motion dénonce : « La situation dramatique actuelle des exploitants
laitiers wallons, obligés de vendre le lait en-dessous du coût de
production et considérant que la
politique de dérégulation menée
par l’Union Européenne a abouti
à la situation actuelle... Le Conseil
communal attire l’attention de la
Commission européenne et du
Conseil sur le risque de démantèlement complet d’un secteur économique de base capable d’offrir
qualité et quantité d’aliments
tout en maintenant une activité
économique familiale dans nos
campagnes.... »
Très concerné par le travail
des agricultrices bénévoles du
« Groupe de Soutien de l’UAW »,
Monsieur Lambert nous a fait part
des initiatives prises dans sa commune.
Nous venons de parler de
la difficulté des prodcteurs
dans ce cadre, vous ne pensez
pas uniquement aux producteurs de lait ?
Non à travers cette motion, le
Conseil communal attire l’attention des autorités concernées sur
le soutien nécessaire aux producteurs de céréales, de betteraves
sucrières et de la viande porcine
et bovine, afin d’assurer un juste
revenu au monde agricole en
général. Quand les agriculteurs
vendent les betteraves à 25E la
tonne et les céréales à moins de
100E la tonne, quand on connaît
les coûts de production, on comprend vite que les agriculteurs ne
peuvent pas assumer la gestion
de leur exploitation, les marges
sont insuffisantes pour assurer. Je
pense particulièrement aux jeunes
agriculteurs, en tant qu’aînés nous
devons lutter contre ce marasme
et trouver des solutions.
Monsieur l’Echevin, vous
insistez vivement pour que
les grossistes entre les producteurs et les consommateurs changent de comportement ?
Certes oui, nous voulons
qu’une attention particulière soit
portée aux rôles que peuvent
jouer les intermédiaires comme la
grande distribution, notamment
que ce secteur soit mieux encadré
afin d’éviter que toute nouvelle
mesure en faveur des producteurs
qui viendrait réduire les marges de
ces intermédiaires ne soit finalement répercutée par ces derniers
sur les consommateurs.
Cette motion de soutien insiste
fortement sur la nécessité d’être
solidaires...
L’UAW en bref...
Festival
« A travers champs»
La seconde édition du festival
du film sur la ruralité « A travers
champs » organisé par le Centre
Culturel des Roches de Rochefort
et l’émission « La Clé des
Champs » de la RTBF aura lieu du
10 au 14 mars 2010. Venez nombreux goûter le bon lait et la soupe
confectionnée par les agricultrices
des sections UAW de Ciney et
Dinant-Beauraing le samedi 13
de 10h à 18h.
Monsieur Louis Lambert, Echevin de l’Agriculture
dans la commune d’Héron
L’Union des Agricultrices
Wallonnes organise justement son Assemblée
Générale, le 12 mars à
Gembloux avec pour thème
« entre libéralisation et régulation ». Serez-vous des
nôtres ?
J’ai remarqué votre invitation
dans le « plein champ » et je ferai
l’impossible pour être des vôtres
car il faut savoir que sans régulation, les exploitations à taille
humaine telles qu’on les connaît
chez nous ne peuvent plus lutter
avec les grandes structures de
productions industrielles incompatibles avec le développement
d’une agriculture familiale durable.
C’est aussi l’avenir de nombreuses
familles et de travailleurs qui est
en jeu aujourd’hui. Nos fermes
de proximité telles que nous les
apprécions risquent d’être emportées pour ne laisser la place
qu’à des structures gigantesques,
ce n’est pas ce modèle que nous
souhaitons. Comme vous, dans
notre commune, nous défendons
une agriculture familiale.
Entretien fait dans le cadre
d’une rencontre avec le Groupe de
Soutien de l’Union desAgricultrices
Wallonnes et l’Echevin de l’Agriculture de la commune d’Héron.
Année 2010, année européenne de lutte
contre la pauvreté et l’exclusion sociale
Héron soutient les agriculteurs
Envie de parler ?
Besoin d’aide ?
Nous sommes à vos côtés
«Cera» : le «Groupe
de Soutien contre la
précarité de l’UAW»
à l’honneur
« Cera » met en valeur les associations liées à ses projets sociétaux. Dans le cadre de la Journée
Internationale de la Femme, du 8
mars, une interview de deux agricultrices bénévoles du « Groupe
de Soutien précarité de l’UAW ».
vous est proposé sur le site : http://
www.cera.be voir article« Ces
femmes qui marchent d’un pas
ferme ».
La présidente de l’UAW
reçue au Palais
Ce mardi 9 mars, notre présidente
Anne-Marie Tasiaux était invitée au
Palais Royal pour un déjeuner rassemblant différents acteurs du monde associatif, scientifique et culturel de
notre pays. A travers cette invitation, c’est toute l’UAW qui est mise à
l’honneur pour son travail de défense des intérêts et d’éducation permanente des agricultrices.
Formation
«classement de papier»
La formation « Classement de
papier » remporte un beau succès.
Mêlant à la fois échanges d’expériences et conseils avisés, celle-ci
est ouverte à tous ! De nouvelles
séances sont déjà programmées
dans différentes régions, n’hésitez
pas à vous inscrire !
UAW PROVINCE DE LIEGE
Le lundi 22 mars 2010, de
10h à 16h, au « Charlemagne »,
Chemin du Moulin à Vent 2
à
Henri-Chapelle.
Renseignements et inscriptions
auprès de M-J. Geron au 087 67
44 66 ou Françoise Bodson 081
60 00 60 – francoise.bodson@
fwa.be. PAF : 10,5 euros (repas et
boissons)
UAW BEAUMONT
MERBES CHIMAY
Le jeudi 25 mars 2010 de
10H00 à 16H00 à la maison du
village, rue Prestemont à Vergnies
UAW CINEY NAMUR
SUD DINANT BEAURAING
Le jeudi 06 mai 2010 dans les
locaux de l’AWE rue des Champs
Elysées à Ciney
et vous proposons
gratuitement :
une écoute bienveillante pour
rompre l’isolement
฀฀des avis et accompagnements
de la profession
฀des visites de soutien
contact :
Avec le soutien du
Union des Agricultrices Wallonnes
Brigitte Huet : 081/ 62 74 95
Jacqueline Diet : 087/67 40 20
U.A.W. Chaussée de Namur 47
5030 GEMBLOUX Tél. : 081 60 00 60 Fax : 081 60 04 46
www.fwa.be
((dXij)'(' *
L’UAW vous a représenté
Février
03/02
Gembloux
Colloque
«(R)évolutions dans nos assiettes»
Ulg – Gembloux Agro Bio Tech
04/02
Bruxelles
Rencontre Avenir PAC
et environnement
avec le CDS FWA
Commission Européenne
DG Agriculture
Bruxelles
CFDD – groupe de travail
Alimentation Durable
5/02
Gembloux
Réunion suivi projet UAW
au Vietnam
Ulg – Gembloux Agro Bio Tech
18/02
Gembloux
Bureau FWA
19/02
Gembloux
Bureau UAW
22/02
Bruxelles
CFDD – groupe de travail
Alimentation Durable
24/02
Gembloux
Livre Blanc Céréales
Ulg – Gembloux Agro Bio Tech
SOUPER PROVINCIAL DU HAINAUT
L’UAW et la FWA du Hainaut ont le plaisir
de vous inviter AU SOUPER PROVINCIAL
qui aura lieu
Le
samedi 20 mars 2010 dès 19H30
à Tertre, Cense de l’Alouette route de Tournai, 188 - 7333 Tertre
Menu 6 services
pour la modique somme de 46 euros
Animation, boissons (bières, eaux, vins) compris pendant le repas
Renseignement et réservation chez
Albert Leclercq 071/55 52 85
Bernadette Guiot 071/58 90 17
Peiment sur le compte UAW du Hainaut 103-0162893-01
Date limite d’inscription: le lundi 15 mars 2010
Agenda mars 2010
Les amis de vos amis sont les bienvenus.
JEUDI 11 MARS 2010
UAW BOUSSU DOUR
19H30 THULIN – salle Roi Baudouin. ‘Utilisation
rationnelle de l’énergie, possibilité d’énergies renouvelables dans les exploitations d’élevage’ par Brice
Duchêne, facilitateur d’économie d’énergie pour le
secteur élevages de la RW.
UAW MALMEDY
14H00 MONTENAU ‘Visite d’un artisan bijoutier’
rendez-vous à l’église d’Ondenval à 13H45
VENDREDI 12 MARS 2010
UAW NATIONAL - CONGRES NATIONAL
9H45 GEMBLOUX Espace senghor. ‘L’agriculture:
entre libéralisation et régulation’. Invités: Mrs Bruno
Henry de Frahan, Jean-François Snessens, Luc Guyau,
Najirou Sall, Sabine Laruelle, Benoît Lutgen. Débat
animé par Yves Somville. PAF 5 euros pour le dîner
(buffet campagnard) Inscription obligatoire pour le
repas auprès de votre présidente de section locale
ou au bureau UAW 081/60 00 60 pour le 5 mars
au plus tard.
SAMEDI 13 MARS 2010
UAW PROVINCE DU NAMUROIS
ROCHEFORT - Festival du Film ‘A travers champs’
du mercredi 10 mars au dimanche 14 mars 2010.
Les sections UAW de Ciney Dinant Beauraing seront
présentes le samedi et feront la promotion de nos
produits de la ferme avec dégustation.
LUNDI 15 MARS 2010
UAW GEMBLOUX NAMUR NORD FOSSES
19H00 SART ST LAURENT à la salle paroissiale.
Bricolage 1° partie: ‘Les poules’. 2° partie le 17 mars.
Prévoir PAF. Inscriptions chez Agnès Vandenbroucke.
071/78 50 34.
MARDI 16 MARS 2010
UAW FLORENVILLE
13H30 VILLERS SUR SEMOIS – route de l’Eglise.
+
((dXij)'('
‘Préserver son environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de
nos grands-mères’ par Myriam Lambillon.
MERCREDI 17 MARS 2010
UAW GEMBLOUX NAMUR NORD FOSSES
19H00 SART ST LAURENT à la salle paroissiale.
‘Bricolage suite: Les poules’. Renseignements chez
Agnès Vandenbroucke 071/78 50 34.
UAW BASTOGNE
20H00 Ste ODE chez Monique Pierlot, 8
Renuamont. ‘Produits de notre terroir: valorisation
pour les fêtes de Pâques.’
UAW LIBRAMONT
13H30 ET 19H30 !! 2 groupes. MASSUL – route St Monon – salle les Sorbiers. Déco de Pâques.
Inscriptions chez Marguerite BOSSICART 061/27
84 03 avant le 12 mars. Spécifiez groupe de l’aprèsmidi ou du soir.
JEUDI 18 MARS 2010
UAW MONT ST GUIBERT WAVRE PERWEZ
13H30 MONT ST GUIBERT – Maison des Loisirs.
‘Cours de déco de table’ par Nathalie Scots de l’Air
de Rien.
UAW FERRIERES LOUVEIGNEE
13H30 SPRIMONT au Café du Parc – rue du centre. ‘Gérer notre environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et astuces
de nos grands-mères’ par Myriam Lambillon.
Conférence prévue le 11 février mais reportée
pour cause climatique.
VENDREDI 19 MARS 2010
UAW LENS SILLY ENGHIEN
19H00 LOMBISR rue Darras à la salle communale. ‘Magie des tables joliment décorées en harmonie
avec la saison.’ Apportez vos appareils photos.
SAMEDI 20 MARS 2010
UAW -FWA PROVINCE DU HAINAUT
19H30 TERTRE Cense de l’Alouette. - Souper
Provincial: menu 6 services. PAF 46 euros .Ambiance
musicale assurée. Inscriptions pour le 01 mars chez
Albert Leclercq 071/55 52 85 – 0478/81 29 31
– Bernadette Guiot 071/58 90 17.
DIMANCHE 21 MARS 2010
UAW MOUSCRON CELLES ESTAIMPUIS
PECQ
11H00 HERSEAUX à la salle ‘Le Provencal’.
Apéritif de printemps. Possibilité de petite restauration.
LUNDI 22 MARS 2010
UAW HERVE AUBEL
10H00 à 16H00 HENRI CHAPELLE au
Charlemagne. Cours de classement de papiers.
Inscriptions et renseignements chez Françoise
Bodson 081/60 00 60.
MARDI 23 MARS 2010
UAW LA ROCHE
19H30 LA ROCHE à la piscine communale. ‘Art
Floral’ avec Jany Kaiser. Apporter petit couteau, pince coupante, 3 coquilles d’oeufs, un essuie, un curver,
un pistolet à colle si vous en avez un. Prévoir PAF.
Inscriptions pour le 19 mars chez Christiane Collard
084/43 30 44 – 0497/92 43 83.
UAW FLEURUS
19H30 LIBERCHIES à la maison du village. Art
Floral sur le thème de Pâques. Par Christel Buyse.
Prévoir sécateur, PAF. Inscriptions obligatoires chez
Ch. Francotte 0473/29 81 31.
MERCREDI 24 MARS 2010
UAW SOIGNIES
19H30 SOIGNIES salle de la paix, Place du
Millénaire. ‘A la découverte des fromages’ par
Guillaume Deroy, affineur. Suivi d’une dégustation
fromages – vins. PAF 5 euros. Inscriptions obligatoires avant le 21 mars chez G. Meurée 01477/660
295 – 067/33 51 29.
JEUDI 25 MARS 2010
UAW NIVELLES GENAPPE
13H00 VIEUX GENAPPE à la salle communale. ‘Atelier chocolat: thème de Pâques’ PAF 15
euros/personne. Inscriptions obligatoires chez G.
Dumonceau 0497/62 87 95 – 067/77 22 65.
UAW BEAUMONT MERBES CHIMAY
10H00 à 16H00VERGNIES à la maison du village, rue Prestemont. Cours Classement de papiers.
Prévoir pique-nique!! Inscriptions et renseignements
chez Myriam Lambillon 081/627 493.
UAW ANDENNE
13H30 JALLET – salle les Houlottes. Valorisaiton
des produits de notre terroir avec Mme Vanhoof.
VENDREDI 26 MARS 2010
UAW EGHEZEE
Exposition Magritte à BRUXELLES.
Renseignements et inscriptions chez Ch. Bouvier
081/85 52 97.
MARDI 30 MARS 2010
UAW BASTOGNE
20H00 BASTOGNE chez Jany. Atelier d’Art Floral
pour Pâques. Prévoir 3 coquilles d’oeufs + matériel
habituel. Inscription chez Monique Pierlot 061/68
83 62 pour le 24 mars.
JEUDI 1er AVRIL 2010
UAW MOUSCRON CELLES ESTAIMPUIS
PECQ MONT DE L’ENCLUS
20h à LEERS NORD chez Francine Nutin – atelier
culinaire.
Prochaine date de
parution le 1 avril 2010
Vos articles et dates
agenda pour le 25
mars au plus tard
CF:8C
8 D @ : 8 C < ; < J I < K I 8 @ K y J ; < C 8 = N8
Brabant Wallon
Dimanche 14 mars
A 12h30, dîner annuel à la Commanderie de Vaillampont à Nivelles.
Prix 45 euros par personne. Inscription auprès de Norbert Mullier.
Tél 067/554.305 (entre 18 et 19h) ou auprès d’Etienne Plasman au
0474/544.336 (après 19h). Paiement par virement au compte Amicale des
Aînés du Brabant wallon à 1400 Nivelles au 103-1149895-28. Clôture des
inscriptions le 1er mars.
Jeudi 1er juillet au mercredi 7 juillet 2010
Croisière dites des «4 Fleuves» sur le bateau «Princesse Sissi». Inscription
et renseignements auprès de Norbert Mullier entre 18 et 19h au numéro
067/554.305.
Vendredi 26 mars 2010
A 13h30, jeux de cartes et goûter aux tartes au hall Manifagri.
Tournai Mouscron
Lundi 19 avril
A 14h, à la salle Roc St-Pierre à Antoing. Conférence sur l’alimentation et
le cholestérol par Marie Mahieu, diététicienne. Inscription au 069/225.851
ou au 069/647.943. Paf 6 euros.
Mardi 18 mai
Voyage à Avioth, petite commune française le long de la frontière belgoluxembourgeoise. Nous participerons et chanterons la messe de 11h dans
cette magnifique cathédrale des champs. Dîner à Orval et visite de l’abbaye. Départ à 7h du Hall des Sports de Tournai. Inscription à la réunion
du 19 avril.
Namur
Jeudi 11 mars
A 14h, goûter aux tartes et jeux de cartes au centre de Zootechnie de
Ciney.
Jeudi 18 mars
A 12h, dîner annuel à Anthée au Mazamet. S’inscrire pour le 10 mars
au plus tard au n° tél 071/713.642
Du samedi 12 au vendredi 18 juin
Voyage annuel en Hollande. Renseignements et inscriptions: Floymont
Nestor au 082/223.391, Kinis Victor 082/61 31 21
Ath Soignies Mons
Jeudi 18 mars
A 12h, dîner annuel à la salle le Gravier, route d’Ath – Lessines 222
à 7822 Isières. Prix : 45 euros/personne boissons comprises. Inscription
pour le 10 mars chez Marcelle Laitem 068/552.338, Oda Vandenbroucke
068/551.263 ou 0479/419.932 et versez la somme due sur le compte
732-0031437-60 des Seniors de la FWA rue Dendrelette 13 à 7830
Gondregnies (la paiement faisant foi de votre inscription).
Mons
Samedi 26 juin au samedi 3 juillet
Voyage annuel en Ecosse. 7 nuits. Inscription 15 avril au plus tard.
Souhaite réservation rapide chez Firmin Glineur 064/334.381, René
Roisin 065/728.394 ou Thérèse Pecher 02/305.30.17
<:?F?<I98><I
Que mangeons-nous?
Dimanche 7 mars, nous guettons toujours l’arrivée
du printemps qui tarde vraiment à arriver. Pour
l’instant, les températures nocturnes sont encore
largement négatives et la journée le soleil n’arrive
pas à nous préserver du froid que nous amène un
vent du nord piquant.
ClZ`\e Ifp\e
Fin février, dans le magnifique
domaine de Jehay, la Chambre
d’agriculture de Liège avait programmé son assemblée générale.
Notre président, Fernand Tasiaux,
a rappelé la situation inconfortable actuelle. En effet, les juristes
n’arrivent pas à se mettre d’accord
sur la tutelle de nos Chambres.
Celle-ci relève-t-elle du fédéral ou
du régional? Cela nous met dans
une situation difficile notamment
pour la nomination des membres
appelés à remplacer les sortants
atteints par la limite d’âge.
Au cours de cette assemblée,
les intervenants ont rappelé les
difficultés qui touchent les différents secteurs: viande, porc, lait,
céréales…
Un point de la situation sera fait
prochainement au Palais provincial sur le dossier du fond des calamités pour voir si certains peuvent encore être éligibles et aussi
réfléchir aux solutions à envisager
pour une meilleure gestion des
dossiers au niveau communal.
La seconde partie fut consacrée
à une conférence débat organisée par les services agricoles de
la province et le centre provincial liégeois de promotion et de
gestion en agriculture. L’orateur
était Périco Lagasse, rédacteur en
chef de la rubrique Art et Vivre de
l’hebdomadaire français Mariane
mais aussi chroniqueur sur France
3. Ce critique gastronomique
engagé dans la cause du «juste
goût» est également spécialiste
des problèmes de consommation et défenseur des A.O.C. Il est
également un des experts auprès
du conseil économique et social
de la République Française qui a
été auditionné pour l’élaboration
du rapport 2009, intitulé «de l’assiette aux champs».
Cette conférence fut suivie par
un large public parmi lequel on
retrouvait des responsables agricoles, économiques et politiques.
Ainsi, le Député permanent Julien
Mestrez, en charge de l’agriculture, a présenté l’orateur.
Nous avons entendu un discours parfois provocateur, réaliste
et parfois alarmant sur le contenu
de nos assiettes.
Quelques chiffres: en France, le
chiffre d’affaires de l’agroalimentaire est de 145 millions d’euros.
80% des aides de la PAC vont à
20% des agriculteurs qui possèdent 45% des surfaces.
L’objectif de la PAC était de
produire des aliments de qualité
en quantité suffisante à un prix
raisonnable, tout en assurant un
revenu correct aux agriculteurs.
Le pari est loin d’être tenu pour ce
qui concerne le revenu décent du
monde paysan. Aujourd’hui, c’est
l’industrie agroalimentaire qui tire
les ficelles. Elle dirige tout et impose ses conditions. Nos matières
premières sont parfois transformées en des plats préparés qui
n’ont quasi plus rien à voir avec
les produits d’origine.
Une émission diffusée sur
France 3 était également interpellante sur ce sujet. On retrouve
de plus en plus de sel et de sucre
dans nos plats. La publicité environnante cache le contenu réel
des produits. Par exemple, sur des
produits pour enfants on annonce
en grand que le produit est à base
de lait, et en petit on peut lire que
le produit contient 20% de lipide
ou de mauvaise graisse.
On peut multiplier les constats
et les exemples. Le résultat est que
les matières premières que nous
produisons avec toutes contraintes inhérentes à notre travail sont
de plus en plus mal rémunérées
mais que d’autres font de plantureux bénéfices.
Les techniques mises en place
par les scientifiques qui travaillent
pour ces grosses industries cherchent à remplacer certains produits de base par des substituts
artificiels bon marché au goût
sucré et prisé par les jeunes.
On se doit d’être inquiet car
l’appât du gain ne connaît aucune
limite. Comment pourrait-on arrêter un rouleau compresseur?
Les conséquences au niveau
de la santé commencent à se voir.
Ainsi, en France, un enfant sur six
est en surpoids.
Syndicalement, il est nécessaire
que la FWA pose ce problème
en commission et y réfléchisse.
Même si cela n’est pas facile face
aux multinationales.
Péricola Lagasse propose de
créer des circuits courts avec les
consommateurs qui accepteraient de payer un prix permettant
au paysan de vivre en contrepartie
de produits sains. Je n’ose y croire
mais cela vaut la peine d’y réfléchir.
Après un débat très instructif et
constructif nous avons eu droit à
un buffet composé des produits
de notre terroir. De l’apéro au dessert, c’était un véritable délice. Le
jambon entier coupé au couteau
était un régal. 24 produits différents composaient le menu. Bravo
à tous les producteurs et aux services de la province pour l’accueil.
Je termine en félicitant les responsables de la FWA pour leur
action envers Makro. Ce dernier
affichait ni plus ni moins que la
mention «produit laitier» au dessus de la margarine.
Avant de prendre congé, je
vous rappelle l’assemblée de nos
dames ce vendredi 12 mars et
celle de la FWA le 17 mars. Toutes
les deux se tiendront à l’Espace
Senghor de Gembloux.
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Pays de Herve
Mardi 20 avril
Excursion : visite à Bruxelles (RTBF et Coudenberg) Départ SCAR à
Herve à 7h15. Prix par personne 48 euros en autocar de luxe, repas de
midi, entrée et visite guidée du Coudenberg.
Inscription : Victor Taeter au 087/301.326, paiement faisant foi au
n°103-0158695-11 avant le 20 mars 2010.
Mardi 22 et mercredi 23 juin
Voyage de 2 jours en Sarre: villa romaine à Borg, point de vue sur la
boucle de la Sarre, visite guidée de Sarrelouis, le jardin des sens à Merzig.
Visite guidée de Saarbrücken. Prix par personne: 169 euros comprenant
le transport en autocar séjour en pension complète du jour 1 midi au
jour 2 midi et visites guidées au programme. Supplément chambre individuelle : 20 euros. Acompte de 50 euros/personne pour le 29 mars
2010. Solde pour le 17 mai 2010. N° de compte 103-0158635-11.
Rens et inscription chez Victor Taeter, Messitert 56 à 4880 Aubel. Tél.
087/301.326 ou 0496/742.306
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Mardi 24 au mardi 31 août
Voyage en Italie (Ligurie et Lac Majeur).
Prix par personne pour minimum 44 personnes : 773 euros
Supplément chambre individuelle : 126 euros.
Réservation rapide : 15 euros/personne assorti d’un acompte de
230 euros par personne pour le 15 mars 2010. Solde pour le 19 juillet
2010. N° de compte 103-0158635-11.
Rens et inscription chez Victor Taeter, Messitert 56 à 4880 Aubel. Tél.
087/301.326 ou 0496/742.306
Fleurus
Mardi 8 juin
Voyage d’un jour en France. Visite de la coupole à Saint-Omer, base
de lancement des fusées V2 durant la guerre et de la Cristallerie d’Arques. Des informations complémentaires suivront.
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'(' ' $(# $ ($ '#(*#, $ (# $(# Amis du voyage en Andalousie
Du vendredi 10 au vendredi 17 septembre 2010
Voyage annuel des «Amis du Voyage»en Andalousie.
Inscription et programme complet sur demande à la FWA auprès de
Mme Tréfois 081/627.460.
((dXij)'('
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Beweidung in Naturschutzgebieten
Zur Beweidung in Naturschutzgebieten eignen
sich zwei der ältesten Rinderrassen der Welt
besonders. Es werden hierbei bevorzugt
das schottische Hochlandrind, auch unter
Westhighlands bekannt, und das Gallowayrind
eingesetzt. Die Urform der Galloways kam
bereits auf den vorgeschichtlichen Britischen
Inseln als hornlose Art neben den Vorfahren der
Westhighlands mit kurzen Hörnern vor.
Seit über 200 Jahren werden die schottischen
Hochlandrinder in ihrer jetzigen Form gezüchtet.
Die Galloways und die Westhighlands gelten
als sehr genügsam und sind mit kargem Futter
leicht zufriedenzustellen. Dadurch eignen sie sich
besonders für extensive Weidebewirtschaftung.
Durch ihr langes Fell trotzen sie jedem Wetter,
selbst harte Winter können ihnen nichts anhaben.
Regen, Wind und Kälte können den dicken
Naturpelz nicht durchdringen. Selbst Schnee bleibt
auf dem isolierten Haarkleid liegen.
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Mit Natura 2000 im Einklang
zu leben ist durch Vorgaben, die
in der Landwirtschaft direkt spürbar werden, sicher nicht immer
leicht. Auf der anderen Seite bietet die Nutzung ausgewiesener
Flächen durch Beweidung auch
Nutzungsmöglichkeiten für unsere
Landwirte. Sicher gehen hierbei die
Meinungen manchmal weit auseinander. Wir hatten uns zu einem
Gespräch in Medell mit Vertretern
der Naturschutzvereinigung
Natagora BNVS getroffen, um
Näheres zu erfahren.
Natura 2000 ist ein europäisches Biotopverbundnetzwerk
mit staatlichen Verpflichtungen
und wird aus der FFH-Richtline
(Flora, Fauna, Habitat) und
der Volgelschutzrichtline gebildet. In den ausgewiesenen
Natura-2000 Gebieten werden
Richtlinien Anwendung finden,
die dem Erhalt der Biodiversität
dienen. Diese Gebiete werden
beispielsweise durch den Staat,
die Forstbehörde, von Privat und
anderen Gesellschaftsformen verwaltet. Die EU investiert Gelder in
Form von Finanzierungsprojekten,
die sich - nur ein Beispiel zu nennen - auch um den Erhalt des
äußerst selten vorkommenden
blauschillernden Feuerfalters
(LIFE-Projekt „Schmetterlinge“)
kümmern. Um diese Projekte
zu bewerten müssen verschiedene Kriterien betrachtet werden. Sie variieren zwischen der
Pflege von Naturschutzgebieten,
dem flächenadäquaten
Schutzziel, der vorkommenden
Tier- und Pflanzenarten, der
Wasservorkommen und den geologischen Gegebenheiten. Diese
Bewertungen stehen immer im
Verhältnis zu den zur Verfügung
stehenden Flächen. Je nach
Pflegeziel wird ein spezifischer
Bewirtschaftungsplan erstellt.
Dort wo Beweidung der
Fläche im Einklang mit dem
Pflegeziel steht, wird ein schwacher Besatz von 0,25 GVE seitens
der Naturschützer als optimal
angesehen. Dies ist ein idealer
Besatz auf einer Wiese, welche
unter naturschutzfachlicher Sicht
als extensiv bewertet wird und
gleichzeitig mit dem Ziel der
Landschaftspflege vereinbar ist.
Bei so geringem Weidedruck sind
kaum Uferbeschädigungen zu befürchten.
Wegen ihres geringeren
Gewichtes gegenüber neuzeitlichen Rinderrassen und
wegen ihrer Genügsamkeit
gibt man, wie bereits oben er-
wähnt, den Galloways und den
Westhighlands in diesen Gebieten
den Vorzug. Durch ihren kleineren
Habitus ist es ihnen möglich sich
in Sumpfgebieten mit verhältnismäßig geringen Trittschäden
fortzubewegen. Im Charakter
unterscheiden sich die Highlands
von den Galloways durch ihren
stärker ausgeprägten Herdentrieb.
Die Galloways andererseits haben vermutlich auf Grund der
fehlenden Hörner ein stärkeres
Fluchtverhalten. Allgemein gelten
die Highlands als die umgänglichere Rasse.
Alle, ob es sich hier beispielsweise um die Vertreter des BNVS
oder die Landwirte handelt, sind
an Richtlinien gebunden, die diese Form der Bewirtschaftung in
klein, aber fein!
Der besondere Antik- und Trödelmarkt auf der
Eyneburg am 13. und 14. März 2010.
Wer Ausgefallenes,
Einzigartiges, Individuelles und
Kurioses sucht, der ist am 2. März
– Wochenende auf der Eyneburg
bei Hergenrath in Belgien genau
richtig.
In den Innenräumen der alten
Burg aus dem 12. Jahrhundert
präsentieren verschiedenste
Aussteller eine feine Auswahl
an antiken Möbeln, Porzellan,
Glas und Silber, faszinierenden
(-
alten Büchern, Puppen und
Spielwaren sowie Schmuck und
Dekorationsartikeln – wertvolle
Antiquitäten für diejenigen, die
das Besondere und Erlesene lieben.
Im Burghof, der nun endlich nach einem doch langen
Winterschlaf zu neuem Leben
erwacht, werden die Trödler wieder ihre bunt gemischten Waren
anbieten. Teilnehmen und aus-
((dXij)'('
Naturschutzgebieten regeln. Auch
spricht man hierbei von einem
parzellenabhängigen Schutzziel.
Beweidungszeiträume sind
immer in Abhängigkeit mit der
Mahd und den der Artenvielfalt
notwendigen Ruhephasen der
ausgewiesenen Flächen zu sehen.
Oft sind dies Feuchtgebiete oder
ehemalige Kahlschläge, welche
nicht selten schwer zugänglich
sind. Auf Arnikawiesen wird erst
ab dem 15. August beweidet. Auf
Wiesen mit Orchideenvorkommen
dürfen die Rinder ab dem 15. Juli
auf die Flächen. Andere Gebiete
mit erweiterten Zeiten sind
Gebiete auf denen sich verstärkt
Buschwuchs durchsetzt, der z.B.
Orchideenvorkommen durch
überwuchern bedroht. In diesen
Fällen wird dem durch den Einsatz
von Workcamps oder zeitigerer
Beweidung entgegen gewirkt.
Eines der Ziele der Naturschützer
ist es, diese Gebiete als halboffene
bis offene Landschaftsräume zu
erhalten bzw. zu entwickeln, um
der Artenvielfalt Spielräume zu
geben.
Landwirte, die an der
Bewirtschaftung solcher Flächen
interessiert sind, wenden sich bitte an AGRA-Ost, um detaillierte
Informationen zu erhalten. Auch
gibt es zusätzlich die Möglichkeit
Agrarumweltprämien zu beantragen. In jedem Fall unterliegen diese agrarökonomischen
Maßnahmen verschiedensten
Kriterien und sind letztendlich von
der Gesetzgebung abhängig.
Schwein gehabt !!!
stellen kann jede/r, auch ohne
Voranmeldung. Zur Jahreszeit
passend, werden hier auch vielerlei Deko-Artikel für die Terrasse
und den Frühjahrsgarten zu finden sein.
Wen nach der Entdeckungsreise
über den Markt die Müdigkeit
übermannt, der kann in gemütlicher Atmosphäre bei einem
warmen Kakao den Besuch ausklingen lassen oder die ersten
wärmenden Sonnenstrahlen auf
den Terrassen des Burgcafés und
der Burgküche genießen.
Man darf auf einen ausgefallenen Markt vor der außergewöhnli-
chen Kulisse der beeindruckenden
historischen Burganlage gespannt
sein.
Öffnungszeiten: Samstag und
Sonntag 10 – 18 Uhr
Der Eintritt ist frei, die Eyneburg
ist über einen 15-minütigen
Fußweg von den in der Nähe gelegenen Parkplätzen aus gut zu
erreichen.
Nähere Infos unter: Tel.: 0032
(0)87 88 17 89 (Burgbüro), 0032
(0)87 85 12 35 und 0049 (0)178
51 43 895 (Georges Kistemann),
Infos zur Anfahrt unter www.eyneburg.com
Neben den privat buchbaren Führungen bietet die Eyneburg wieder freie Führungen an, die für Kinder und Erwachsene geeignet
sind und u. a. die Besichtigung des Rittersaals und der Kapelle, das
Besteigen des Bergfrieds und den Besuch des kleinen Folterkellers
beinhalten. Dauer: ca. 1 Stunde
Für die freien Führungen ist keine vorherige Anmeldung nötig.
Treffpunkt ist das Eingangstor der Eyneburg. Die Kosten betragen
E5,00 für Erwachsene und E 2,50 für Kinder.
Sonntagsführungen „Schwein gehabt“ am 21. März
2010
1. Führung 14.00 Uhr, 2. Führung 15.30 Uhr
„Schwein gehabt!“ ?? - Jeder kennt diesen Ausdruck, aber
kaum jemand weiß, woher er stammt.
Viele Redensarten, die heute gebräuchlich sind, kommen aus
dem Mittelalter. Die meisten von ihnen entstanden in der Zeit der
Burgen, Ritter und Turniere. So „verdienen wir uns heute noch die
Sporen“ und sind „sattelfest“, manche dagegen „machen sich aus
dem Staub“ und andere „lassen einen im Stich“. Damals hatten
diese Ausdrücke eine ganz praktische Bedeutung, heute benutzt
man sie im übertragenen Sinn. So wissen viele Leute wohl, was mit
einer Redensart gemeint ist, doch nur wenige können erklären, wie
es zu diesem oder jenem Ausspruch gekommen ist.
Lassen Sie sich „nicht länger auf die Folter spannen“, sondern folgen Sie uns zu einer ungewöhnlichen Führung durch die Eyneburg
in Hergenrath!!!
Mittwoch
17 märz 2010 9u30
Lektionen, die aus der Krise
gezogen werden können und
Zukunftsaussichten
Z 09u30 Empfang - Kaffee
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Z 10u00 Einleitende Worte, René LADOUCE, Präsident des
FWA
Z 10u10 Austausch mit Fragen und Antworten, mit nachstehenden Diskussionsteilnehmern:
- Herr J-L. Demarty, Direktor der GD Landwirtschaft
und Ländliche Entwicklung der EU-Kommission
- Frau Sabine Laruelle, Landwirtschaftsministerin
der Föderalregierung
- Herr Benoit Lutgen, Landwirtschaftsminister der
Regionalregierung
- Frau Anne-Marie Tasiaux-Biatour, Präsidentin
der UAW
- Herr Gary Vanvinckenroye, Präsident des
Verbands der Junglandwirte - FJA
- Herr René Ladouce, Präsident des FWA
Programm:
Dieser Meinungsaustausch wird durch
einen vom FWA und Canal Zoom realisierten Film veranschaulicht.
Z 12u30 Schlussfolgerungen, Yvan
Hayez, Generalsekretär des FWA
Am Ende der Sitzung wird für die
Teilnehmer in der Empfangshalle
des Espace Senghor ein Umtrunk
organisiert.
((dXij)'('
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La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique, entre
parenthèses, les cotations du marché précédent. Sauf indication contraire, les prix s’entendent hors TVA.
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9FM@
98KK@:<
06/03/2010
03/03/2010
Nombre: 402
Taureaux ordinaires:
Taureaux cul de poulain âgés:
1,00-1,50
1,90-2,30
Vaches ordinaires:
250-450
Vaches bonne conformation:
500-650
Vaches cul de poulain:
1150-1550
Vaches cdp âgées:
750-900
Génisses ordinaires:
300-500
Génisses cul de poulain:
600-850
Taureaux cul de poulain :
850-1100
Taureaux 6 à 10 mois:
300-500
Jeune veaux:
60-300
Ferme. Prochain marché le 10/03/10.
Prix au kg
(1,00-1,50)
(1,80-2,20)
Prix à la pièce
(250-450)
(475-650)
(1050-1500)
(700-850)
(300-500)
(600-800)
(800-1050)
(275-475)
(60-300)
J8@EK$KIFE;
04/03/2010
Bovins: 83; veaux: 10.
Gros bovins
prix au kg vif
génisses 56%:
1,20-1,41 (1,20-1,41)
58-60%:
1,46-2,11 (1,46-2,11)
63-65%:
2,14-2,59 (2,14-2,59)
cdp 70%:
2,96
(2,96)
taureaux 55%:
0,98-1,23 (0,98-1,23)
60%:
1,23-1,58 (1,23-1,58)
62%:
1,77-2,03 (1,77-2,03)
assimilés :
2,23-2,43 (2,23-2,43)
cdp 67%:
2,33-2,83 (2,33-2,83)
cdp extra hors marché :
3,00
(3,00)
Vaches 50%:
0,81-0,96 (0,81-0,96)
55%
1,31-1,41 (1,31-1,41)
60%:
1,61-1,86 (1,61-1,86)
bonne conformation: 2,08-2,68 (2,08-2,68)
fabrication:
0,45-0,60 (0,45-0,60)
9IL><J
23-24/02/2010
Nombre: 1.401
Taureaux
Prix au kg sur pied
c. d. poulain <24 m & 650 kg:
3,04-3,17
(2,99-3,12)
c. d. poulain >24 m & 650 kg:
2,60-2,85
(2,55-2,80)
assimilés:
2,32-2,57
(2,30-2,55)
bonne conformation:
1,62-1,87
(1,60-1,85)
60%:
1,45-1,54
(1,45-1,54)
55%:
1,32-1,37
(1,32-1,37)
Holstein:
1,15-1,30
(1,15-1,30)
Vaches
cul de poulain:
2,47-2,67
(2,42-2,62)
assimilées:
2,22-2,32
(2,22-2,32)
bonne conformation:
1,79-2,04
(1,79-2,04)
55%:
1,14-1,39
(1,14-1,39)
50%:
0,69-0,89
(0,69-0,89)
fabrication:
0,37-0,52
(0,37-0,52)
Génisses
cul de poulain:
2,70-3,00
(2,70-3,00)
assimilées:
2,40-2,55
(2,40-2,55)
bonne conformation:
1,57-1,97
(1,57-1,97)
ordinaires:
1,12-1,27
(1,12-1,27)
Tendance: hausse pour les tareaux et les vaches cul de poulain.
:8I:8JJ<J;<>IFJ9FM@EJ
Sem. du 22 au 28 février 10
Taureaux A - S2
467,55
A - S3
434,48
A - E2
411,04
A - E3
380,21
A - U2
336,02
A - U3
313,39
A - R2
288,00
A - R3
266,66
A - O2
248,69
A - O3
238,52
Vaches
D - R2
271,26
D - R3
257,87
D - O2
234,14
D - O3
226,14
D - O4
220,64
D - P2
190,16
D - P3
180,55
Génisses E - U2
361,00
E - U3
340,50
E - R2
286,50
E - R3
276,00
GIF;L@KJ C8@K@<IJ
03/03/2010
Cotations de la Confédération Belge de l’Industrie Laitière
Prix par 100 kg
beurre
284,60
(284,60)
poudre de lait écrémé
193,00
(193,00)
poudre lait écrémé pr alim animale
195,10
(195,10)
poudre de lait entier
243,60
(243,60)
cheddar
276,30
(276,30)
!)% & )! + $!
GFI:
J
(468,24)
(435,54)
(410,64)
(380,21)
(337,09)
(314,37)
(289,13)
(266,76)
(248,55)
(238,52)
(271,60)
(257,22)
(234,87)
(226,94)
(220,72)
(190,52)
(179,73)
(360,50)
(340,00)
(286,00)
(275,50)
9@I9
(42,50)
(128,00)
J8@EK$KIFE;
(32-35)
(0,78-1,10)
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KLI<
8M @ : L C
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03/03/2010
• Poules à bouillir:
extra lourdes (+ 3,5 kg):
0,46-0,48
brunes (1,8 à 2,0 kg):
0,25-0,27
blanches (1,6 à 1,8 kg):
0,21-0,23
• Poulets à rôtir (1,8 kg):
0,80-0,82
• Lapins:
2,15
BIL@J?FLK<D$F<L=J
(/
((dXij)'('
Prix par 100 pièces
Oeufs de poules élevées en batterie
Prix producteurs
Cat.0: 77,50 g
Cat. 1: 72,50 g
Cat. 2: 67,50 g
Cat. 3: 62,50 g
blancs
9,45 (9,32)
8,21 (8,08)
7,66 (7,52)
7,09(6,97)
6,68 (6,54)
6,08 (5,95)
5,41 (5,31)
4,81 (4,72)
9,95 (9,82)
8,16 (8,02)
7,04 (6,92)
5,72 (5,64)
10,05 (9,92)
8,28 (8,14)
7,18 (7,04)
5,71 (5,61)
Oeufs de poules élevées au sol
Prix producteurs
Cat. 0: +77,50 g
Cat. 1: 72,50 g
Cat. 2: 67,50 g
Cat. 3: 62,50 g
Cat. 4: 57,50 g
Cat.5: 52,50 g
Cat. 6: 47,50 g
Cat. 7: 42,50 g
Prix négoce
XL + 73 g
L + 63-73 g
M + 53-63 g
S - 53 g
blancs
13,69 (13,79)
12,45 (12,55)
11,88 (11,98)
11,24 (11,34)
10,24 (10,33)
6,33 (6,23)
5,57 (5,49)
4,96 (4,89)
bruns
13,94 (14,02)
12,70 (12,78)
12,07 (12,18)
11,38 (11,51)
10,34 (10,47)
6,43 (6,30)
5,56 (5,46)
4,96 (4,87)
14,19 (14,29)
12,38 (12,48)
10,74 (10,83)
5,87 (5,79)
14,54 (14,62)
12,67 (12,78)
10,94 (11,07)
5,86 (5,76)
M<><
9ILO<CC<J
Sem. du 25 février au 3 mars 2010
Prix livré usine E/tonne
Blé panifiable
122,00
(122,50)
Blé fourrager
120,00
(120,50)
Escourgeon fourr
105,00
(105,00)
JPE8>I8
09/03/10
Prix indicatifs des céréales payés aux producteurs, communiqués par l’association des négociants en céréales. Ces prix sont
adaptés plusieurs fois par semaine.
Prix culture en E/tonne
blé fourrager
93,50
(94,50)
blé meunier (1)
95,50
(96,50)
escourgeon fourrager
79,00
(80,00)
maïs indigène
109,00
(110,00)
maïs humide
65,50
(66,00)
(+/- `/T/30% humidité)
3,00
(3,00)
(1) proteïnes: 12 - Zeleny: 35 - Hagberg: 220
D8K@<I<JGI<D@<I<J
8C@D<EK8K@FE9<K8@C
03/03/2010
Prix par 1000 kg en vrac hors TVA, départ négoce
Pulpes sèches bett. 8mm France
118
Luzerne 18% pellets 6mm France
145
Tourteau Tournesol 28% Argentine
197
Tourteau colza 34% Belgique
209
ourteau soja 43% Argentine
320
Tourteau soja 44% Hollande
319
Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés 401
Tourteau colza 49lin 40% Belgique
334
Tourteau lin 40% Belgique
315
Glutenfeed maïs 22% EU
137
Manioc Thaïlande
145
Mélasse cannes
180
(118)
(146)
(202)
(211)
(330)
(325)
(395)
(349)
(318)
(145)
(145)
(180)
:?@:8>F
02/03/2010
1ère col.: en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau = 27,2
kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907 kg pour le tourteau
de soja; 2ème col.: prix en euros/tonne.
Froment
492,00
133,27
(132,92)
Maïs
370,50
107,75
(106,71)
Tourteau Soja
270,50
220,13
(227,60)
18/02/2010
Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les marchés
mondiaux, en $/tonne.
Soja
Graines U.S. Cif Rotterdam:
414
(407)
Graines Arg. Cif Rotterdam:
402
(397)
Pellets 44,46% Arg. Cif Rotterdam:
390
(373)
Pellets 48% Brésil Cif Rotterdam:
397
(378)
Colza
Graines Europe “00” Cif Hambourg: 402
(400)
Tourteaux 34% Fob Hambourg:
227
(226)
Lin
Graines Canada Cif. Europe:
560
(550)
Tourteaux 36% Allemagne:
410
(410)
GFDD<J;<K<II<
(0,45-0,47)
(0,25-0,27)
(0,21-0,23)
(0,78-0,80)
(2,15)
09/03/2010
!+% !) % & #%,&! & #+& )& )+&& ) #)& ,!)% %! !#!&- 6,54 (6,42)
5,98 (5,88)
5,42 (4,34)
4,81 (4,74)
@EK<IE8K@FE8C$FCy8>@E<LO
Semaine du 22 au 28 février 10
Porcelets 23kg + supp
42,50
porcs carcasses 100kg
127,50
04/03/2010
porcelets 20-23kg (E/pièce)
31-34
truies carcasses (E/kg)
0,74-1,06
Cat. 4: 57,50 g
Cat. 5: 52,50 g
Cat. 6: 47,50 g
Cat. 7: 42,50 g
Prix négoce
XL + 73 g
L + 63-73 g
M + 53-63 g
S - 53 g
LO
:@E<P
05/03/2010
Nombre d’animaux exposés: 3.135 dont bétail maigre et de
boucherie: 3.097; veau: 1 ; chevaux: 37.
Prix du bétail bovin hors TVA et frais de marché inclus.
a) Bétail maigre
Veaux
prix à la pièce
Pie noir:
0-120
(0-120)
Pie rouge:
25-130
(25-130)
BBB ordinaire:
100-350
(100-350)
Cul de poulain mâle:
500-750
(500-750)
Cul de poulain femelle:
500-650
(500-650)
Génisses:
180-250kg: PN/PR:
225-325
(225-325)
BBB culard:
565-765
(565-765)
250-400kg: PN/PR:
375-475
(375-475)
BBB culard:
875-1125
(875-1125)
400-500kg: PN/PR:
415-615
(415-615)
BBB culard:
1115-1400
(1115-1400)
pleines:
1225-1825
(1225-1825)
Vaches:
moyennes, PN/PR:
350-750
(350-750)
mixtes cat.II:
800-950
(800-950)
98JKF>E<
Veaux
prix à la pièce
cul de poulain extra:
690-740
(700-750)
cul de poulain 2e cat.:
490-590
(600-650)
BBB extra:
340-440
(325-375)
BBB 2e cat.:
240-315
(200-300)
rouges extra:
140-150
(125-130)
rouges 2e cat.:
90-120
(80-90)
noirs extra:
130-140
(100-110)
noirs 2e cat.:
80-110
(50-80)
BBb génisses:
140-315
(100-300)
veaux génisses:
25-90
(35-50)
Bovins: marché normal. Veaux: marché très calme. Prochain
marché: 11/03/2010.
K8
Nombre de bovidés: 518
Catégorie boucherie:
Taureaux
prix au kg
cul de poulain.:
2,70-3,20
(2,70-3,20)
assimilés:
2,50-2,80
(2,50-2,80)
bonne conformation
1,60-2,10
(1,60-2,10)
60%:
1,50-1,70
(1,50-1,70)
poids lourds:
1,25-1,45
(1,25-1,45)
Vaches
prix à la pièce
bonne conformation:
775-925
(775-925)
1ère catégorie 45%:
550-700
(550-700)
2ème catégorie 40%:
225-375
(225-375)
de fabrication:
125-225
(125-225)
Génisses
prix au kg
cul de poulain.:
2,60-3,10
(2,60-3,10)
assimilées.:
2,40-2,70
(2,40-2,70)
bonne conformation:
700-850
(700-850)
ordinaires:
325-525
(325-525)
Stationnaire.
Catégorie commerce
prix à la pièce
vaches cul de poulain -5 ans:
1325-1925
(1325-1925)
vaches cul de poulain +5 ans: 1325-1700
(1325-1700)
bonnes vaches ordinaires:
800-900
(800-900)
vaches ordinaires:
275-475
(275-475)
veaux cul de poulain:
425-700
(450-725)
veaux Blanc Bleu:
290-390
(300-400)
veaux Bleus Holstein:
130-190
(140-200)
veaux rouges:
60-115
(70-125)
veaux noirs bonne qualité:
50-90
(60-100)
veaux noirs moyenne qualité:
0-50
(0-60)
Ventes plus faciles. Veaux: en baisse
mixtes cat. I:
950-1150
(950-1150)
cul de poulain 2 à 4 ans:
1025-2150
(1025-2150)
âgées:
900-2100
(900-2100)
Taureaux:
ordinaires: 180-250kg:
275-530
(275-530)
250-320kg:
505-600
(505-600)
320-370kg:
540-660
(540-660)
370kg et +:
625-765
(625-765)
assimilés: 180-250kg:
700-850
(700-850)
250-320kg:
825-975
(825-975)
320-370kg:
1025-1125
(1025-1125)
370kg et +:
1075-1275
(1075-1275)
C.d.p.: 180-250kg:
900-1050
(900-1050)
250-320kg:
1050-1200
(1050-1200)
320-370kg:
1200-1300
(1200-1300)
370kg et +:
1325-1450
(1325-1450)
b) Bétail de boucherie
Vaches
prix au kg
fabrication:
0,95-1,15
(0,95-1,15)
50%:
1,20-1,40
(1,20-1,40)
55%:
1,40-1,60
(1,40-1,60)
assimilés:
2,15-2,40
(2,15-2,40)
cul de poulain
2,60-2,80
(2,60-2,80)
Taureaux
55%:
1,65-1,85
(1,65-1,85)
60%:
1,90-2,10
(1,90-2,10)
assimilés
2,60-2,80
(2,60-2,80)
cul de poulain
2,80-3,25
(2,80-3,25)
Stationnaire. Prochain marché: vendredi 12/03/10.
bruns
9,55 (9,42)
8,31 (8,18)
7,78 (7,64)
7,21 (7,06)
09/03/2010
Bintje: Marché toujours stable, avec peu de changements de
prix. L’offre reste limitée. Les industriels belges restent clairement intéressés par les lots offerts, avec des prix inchangés pour
la qualité fritable. L’export dégage des lots de qualité non fritable ou de variétés non industrielles, principalement
vers les pays de l’Est, mais toujours à petits prix.
Les prix observés se situent entre 6,60 et 7,00 E/100 kg (tout
venant, vrac, fritable, départ, hors TVA). La qualité supérieure
reçoit des prix plus élevés pouvant atteindre 7,50 E/100
kg.périeure reçoit des prix plus élevés pouvant atteindre
8,00E/100 kg.
Plant de Bintje: Bintje, classe A, rendu mars 2010, par 5
tonnes, en sacs, hTVA: prix en nette baisse :
- calibre 28-35 mm: entre 50,00 et 52,00 E/100 kg;
- calibre 35-45 mm: entre 31,00 et 33,00 E/100 kg
8><E;8
Skytacer.PAF: Garçons : Membre -15 eur et Non-membre : 18 eur Filles :
Membre : 13 eur et Non-membre : 15 eur Possibilité de se faire membre sur
place.
Nous rappelons que les réunions sont réservées aux membres FWA en
ordre de cotisation.
LUNDI 15 MARS
SL CHIMAY: à 20h, à la Salle du Château à Macon. «Séance d’information «L’avenir de la PAC, se dirige-t-on vers un lissage des aides?» Par Yves
Somville, Directeur du Service d’Etudes de la FWA.
SAMEDI 20 MARS
SP HAINAUT – UAW: à 19h30, souper provincial Cense de l’Alouette à
Tertre. Menu 6 services. Paf 46 euros. Inscription pour le 01/03 chez Albert
Leclercq 071/555.285 0478/812.931 ou B Guiot 071/589.017
MARDI 23 MARS
SL ANDENNE/HUY: à 20h, conférence-débat à la Ferme de Ferrière, rue
Close à Lavoir (Héron) en présence du Ministre de l’Environnement et de
l’Aménagement du Territoire Philippe Henry
FÉDÉRATION DES JEUNES
AGRICULTEURS (FJA)
VENDREDI 12 MARS
FJA NATIONALE: Elections du Bureau National à la Maison de l’Agriculture et de la Ruralité, Chaussée de Namur 47 à Gembloux.
SAMEDI 13 MARS
FJA GEMBLOUX: Soirée Black and White à la Salle Le Ranil, rue de Ranil
à Mazy. (voir encart)
MARDI 16 MARS
FJA NATIONALE: Commission Environnement et Grandes Cultures
«Environnement et agriculture: Tour d’horizon» par Séverine Van
Waeyenberge, Conseillère au Service d’Etudes de la FWA à 20h à la Maison
de l’Agriculture et de la Ruralité de Gembloux.
VENDREDI 19 MARS
FJA HENRI-CHAPELLE : L’importance de la tenue d’une comptabilité
d’exploitation. Comment augmenter la rentabilité en cas de prix bas du lait?
Analyse des frais fixes et des frais variables. Par Benoit Wyzen, Conseiller de
gestion au Service technico-économique de l’AWE. De 20h à 23h à l’APEDB
de Herve, rue de la Clé 41 à Herve (sur le rond-point). Dans le cadre du cours
de gestion :infos 081 627 423 (Céline Lemaire).
SAMEDI 20 MARS
MARDI 23 MARS
FJA NATIONALE: Commission Productions végétales «les marchés des
céréales: perspectives d’avenir» par Pierre Ammeux d’ODA à 20h à la maison
de l’Agriculture et de la Ruralité de Gembloux.
SAMEDI 27 MARS
FJA MALMEDY: Souper FJA buffet pasta, suivi d’une soirée animée par
Nicolas Martin. A la salle de Thirimont dès 20h. Réservations pour le souper
au 0478/709.134 (Jean-Pierre Schmitz).
UNION DES AGRICULTRICES
WALLONNES (UAW)
DIVERS
JEUDI 11 MARS
SART-CUSTINE: dès 13h au manège du Moulin, expertise officielle de
taureaux BBB de la régionale de l’Ardenne
THIN-LE-MOUTIER (F): à 13h30 (à 20 km de Charleville Mezière), journée de démonstration sur les Herses de prairies, aération et régénération des
pâtures organisée par la FDCUMA. Inos: 0033.3.2433.7104
ATH: à 19h30, salle Delmée, HEPH, rue Paul Pastur, 11, découverte des
activités internationales de la Haute école provinciale du Hainaut et spectacle de Dieudonné Kabongo. Entrée gratuite mais réservation souhaitée au
0479/947.385 ou [email protected]
NISMES: à 20h au cinéma Chaplin, rue Vieille Eglise, projection du film
«Herbe» suivie d’un débat sur le thème «Exploitation hors sol ou liée à la
terre?». Organisé par la par naturel Viroin-Hermeton
CINEY: à 20h au centre zootechnique, rue des Champs Elysées, 4, assemblée de l’AREDB du Condroz. «La paratuberculose, une maladie à ne pas sous
estimer» par le Dr Marc Lomba (Arsia)
NEUNDORF/RECHT: Betriebsbesichtigungen ab 10.30Uhb bei Maraite
Roland sowie anschliessend bei Goffin David
ROCHEFORT: au Centre culturel des Roches, «A travers champs», festival
du film sur la ruralité. Plus d’infos sur www.festival-atraverschamps.be
VENDREDI 12 MARS
ATH: à 20h15, salle de conférence du Centre Progeny-Test de l’AWE, rue
des Tuileries, 115, assemblée générale de l’AREDB de Ath. «Les différentes
maladies dans l’élevage des veaux: diarrhées, problèmes respiratoires...» par
le Dr Geert Hoflack, Université de Gand
SAMEDI 13 MARS
La FJA Vous
deinvite
Gembloux
à sa
SOIRÉE BLACK AND WHITE
SAMEDIÀ la13
MARS 2010
salle de Ranil
COURS
DE GESTION
En soirée à Herve
COMMISSION
ENVIRONNEMENT
Thèmes liant l’Agriculture et l’environnement : tour
d’horizon
Par Séverine Van Waeyenberge
La Fédération des Jeunes
Agriculteurs
Organise une
COMMISSION
PRODUCTIONS VÉGÉTALES
Les marchés des céréales : perspectives d’avenir
Par Pierre Ammeux d’ODA
ANTOING: à 20h au Foyer socioculturel et sportif, rue du Burg, 23, réunion
organisée par le Parc naturel des Plaines de l’Escaut: «La fertilité des génisses d’élevage» par Christophe Uystepruyst, vétérinaire. Accès gratuit. Infos:
069/77.98.70
HEROCK: dès 13h à l’Hostelllerie, expertise de taureaux BBB organisée
par l’AREDB de Famenne
CHARNEUX: à 14h , prés du verger de M. Liégeois (suivre flèchage AgraOst à partir de l’église), démonstration de taille de formation de fruitiers haute
tige organisée par Agra-Ost. Infos et inscriptions (obligatoire): 080/22.78.96
ou 0496/282.399
DONNERSTAG 18 MÄRZ
CROMBACH: Schnittkurs über Erziehungsschnitt von hochstämmigen
Obstbäumen in Zusammenarbeit mit der Fondation Hellef fir d’Natur. Die
Teilnahme ist kostenlos. Informationen und Anmeldungen (erforderlich) bei
Agra-Ost 080/227.896 oder 0496/282.399
SAMEDI 20 MARS
HUY: à partir de 12h, «Cochonnailles» à l’Agri rue St-Victor 5. Réservations
au 085/216.770 ou par fax au 085/250.754 pour le 12/03
LUNDI 22 MARS
DU MERCREDI 10 AU DIMANCHE 14 MARS
La Fédération des Jeunes
Agriculteurs
Organise une
MARDI 16 MARS
MERCREDI 17 MARS
MERTENNE (WALCOURT): de 8h30 à 12h, Gestiondu saule têtard.
Matinéededémonstration. Info: 071/323660 - info@entre-sambre-et-meuse.
be
La Fédération des Jeunes
Agriculteurs
TOURPES: à 19h30, salle de la Forge, réunion d’information du Comice de
Peruwelz-Leuze en Hainaut. Aides ISA 2010 par les services extérieurs de la
DGARNE et communication de Nitrawal
MEYERODE: Ab 20 Uhr 30, Studienabend zum Thema «Richtig Kosten
einsparen» (JM Lentz) im Café Brühl-Michels). Es ergehen persönliche
Einladungen. Studienkreisaktivitäten Eifeler Milchring.
ETALLE: à 13h, Expertise de taureaux au Complexe sportif. Organisée par
l’Association Régionale des Eleveurs du Sud-Lux
Voir pages de l’UAW
FJA PROVINCE DE NAMUR: Mini-foot et soirée à la salle du foot de
Marchin.
FJA MONS-QUIEVRAIN: La toute nouvelle FJA de Mons Quievrain vous
invite à leur première soirée.Soif party. Salle Seven Eight sur la Place de Genly.
Rue de Ranil 45 à 5032 Mazy
LUNDI 15 MARS
Organise un
Comptabilité de gestion, PAC, aides ISA,
Système bancaire, prix des aliments, fiscalité
Infos et inscriptions au 081/627.443 (Céline Lemaire)
La Fédération des Jeunes
Agriculteurs
organise un
COURS DEAFROMAGERIE
Herve
Les mercredi OU jeudi de 10h à 13h
Infos et inscriptions au 081/627.423
ou [email protected]
La Fédération des Jeunes
Agriculteurs
organise un
COURS DE
SOUDAGE
ainsi qu’un
Cours de Mécanique Agricole
A Waremme
Infos et inscriptions au 081/627.423 (Céline Lemaire)
TOERNICH: à 20h, assemblée générale du comice d’Arlon + «le guide
sectoriel animal»à la salle du Cercle Saint Louis Rue Haute, 19. Organisée par
le Service Développement et Vulgarisation (DGARNE) de Libramont + comice
d’Arlon
MARDI 30 MARS
GEMBLOUX: à 13h15 à l’espace Senghor, dans le cadre du 150ème anniversaire de ULg-GxABT et du 120ème anniversaire de l’AIGx, après midi
d’études sur le thème «Femme Bio-ingénieure: défis et réalités». Infos et inscriptions (obligatoire): 081/622.572 ou [email protected]
I<D<I:@<D<EKJ
Réconfortés par votre présence, votre prière et votre mot
d’encouragement, nous vous disons tout simplement merci.
Lors du décès de GRYSPEERT Noël.
Son épouse et la famille.
E8@JJ8E:<
Aurélie et Daniel DE VRIESE-LEBRUN ainsi qu’Achille et
Oscar sont heureux d’annoncer la naissance d’
EMILIEN, né le 22 février 2010
Rue des Essarts 6 à 6230 Pont-à-Celles
le vendredi 19 mars 2010
Agro Ciney Night
soirée du graduat de Ciney
salle st Georges de Sinsin
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Soif pa
99986495/1010 plc jht
FEDERATION WALLONNE
DE L’AGRICULTURE (FWA)
paf: fille 13` • garçon 15`
AGRO P.E.S.
ENTRE VOUS ET VOTRE BETAIL
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J <: I < K8 I @ 8K J
Brabant
BUREAU COMPTABLE
ET FISCAL ETIENNE
DARDENNE scrl
Dardenne Etienne
rue de la Station, 68A,
1360 Perwez
Tél: 081/65.62.68
Fax: 081/65.51.56.
Email:
[email protected]
[email protected]
Place A Bosch 19,
1300 Wavre
Tél: 010/22.55.53
Fax: 010/24.39.52.
FÉDÉRATION WALLONNE
DE SERVICES
BRABANT NAMUR scrl
Moniquet Philippe
chaussée de Wavre, 220,
1360 Thorembais-St-Trond
Tél: 081/22.77.31
Fax: 081/65.51.36.
Email:
[email protected]
Permanences:
tous les jeudis de 9h à 12h.
TEGIAS sa
Gillard Jacques,
Mont-St-Roch, 19 B45,
1400 Nivelles
Tél: 067/21.61.01
Fax: 067/220.963
Email:
[email protected]
Hainaut
AGL ASSURANCES sc
Glineur François
Route de Mons 26,
7130 Binche
Tél: 064/239.191
Fax: 064/239.190
Email:
[email protected]
AGRICOSERVICE D’ATH asbl
Vandenbroucke Philippe
place des Capucins, 16,
7800 Ath
Tél: 068/28.34.00
Fax:068/842.268
Email:
[email protected]
Permanences à Soignies,
Grand-Place,
sur rendez-vous.
AGRICO-SERVICE
DE BEAUMONT asbl
Molet Marc,
rue G.. Michiels, 56,
6500 Beaumont
Tél: 071/53.34.32
Fax: 071/58.98.55.
Email:
agriservicesdebeaumont@
skynet.be ; [email protected]
Permanences:
Charleroi: prendre contact avec le
bureau de Beaumont
(tél. 071/58.85.64) pour visite
éventuelle à domicile,
permanences spéciales à
Familleureux et Pont-à-Celles
Chimay : M. J-P Ponselet,
les mardis et vendredis
de 9h à 12h.
rue des Ormeaux, 20,
6460 Chimay
Tél: 060/21.24.08.
Fax : 071/589.855
CAMA CONSEILS sc
Weverberg Guy, Pagnieau
Françoise, Gaube Marielle,
place Verte, 17,
7060 Soignies
Tél: 067/34.78.78
Fax: 067/347.879
rue de Mons, 9,
7090 Braine-le-Comte
Tél. 067/55.47.12
Email:
[email protected] ;
[email protected]
)'
CAMBIER PHILIPPE
rue Dr. André, 129,
7890 Ellezelles
Tél: 068/54.32.46.
Fax: 068/543.446
Chée Gabrielle Richet 158,
7860 Lessines
Tél : 068/337.170
Rue Gérard Dubois 5
7800 Ath
Tél : 068/284.044
Email:
[email protected]
[email protected]
CHATAS sc,
Dupont Guy,
rue des Haies, 62,
6120 Nalinnes
Tél: 071/22.90.00
Fax: 071/21.83.68
Place de l’Hôtel de Ville,
5620 Florennes
Tél: 071/68.96.14
Fax: 071/68.65.06
Email:
[email protected]
[email protected]
DENDRE CONSULT scrl
P. Depry & Y. Fagniart,
Place du Marché 3,
7870 Lens
Tél: 065/22.19.66
Fax: 065/22.83.23.
Email:
[email protected]
FLEURUS CONSULT sc
Wautier Edmond & Delbruyère J.,
place Albert 1er, 8,
6220 Fleurus
Tél.: 071/81.11.67.
Fax: 071/81.50.05
Email:
[email protected]
rue St-Georges, 21,
1400 Nivelles
Tél: 067/21.80.24.
Permanences le lundi à Nivelles
JONCKHEERE CHIMAY
FINANCES Sprl
Jonckheere Paul,
place Froissart, 24 B4,
6460 Chimay
Tél: 060/21.24.15
Fax: 060/21.30.84
Email:
[email protected]
MAISON DES AGRICULTEURS
scrl
Foulon Luc,
rue André Moulin, 6,
7530 Gaurain-Ramecroix
Tél: 069/22.50.21
Fax: 069/226.524
Email:
[email protected]
PC GESTION scris
Castrique Jean,
rue d’Armentières, 21,
7782 Ploegsteert
Tél: 056/58.88.58
Fax: 056/58.74.67.
ROBERT ASSUR sprl,
Robert Alain,
Rue Grande 56,
7330 St-Ghislain
Tél: 065/65.19.91
Email:
[email protected]
SERVISTAS sc
Dutron Xavier,
Route de Mons, 67,
6560 Solre-Sur-Sambre
Tél: 071/55.67.79.
Fax : 071/558.077
Email:
[email protected]
[email protected]
Du lundi au vendredi de 8h à 12h.
SOL sprl
Sol Christian,
rue de Néchin, 26,
7520 Templeuve
((dXij)'('
Tél: 069/35.22.19
Fax: 069/35.27.69
Route Provinciale, 33,
7760 Celles
Tél/Fax: 069/45.55.
Email:
[email protected]; [email protected]
FINANCIÈRE DE HESBAYE sa
Hannosset Florent,
avenue Reine Astrid, 27,
4300 Waremme
Tél: 019/32.27.26 ou
019/32.70.02
Fax: 019/32.85.16.
Email:
[email protected]
TOURNAISIS SERVICES scrl
Destailleurs Albert,
rue Perdue, 5,
7500 Tournai
Tél: 069/66.51.38
Fax: 069/21.45.31.
Cayoit, 41,
7903 Chapelle-à-Wattines
Tél: 069/66.51.38.
Email :
[email protected]
GUY CHARLIER sprl
Charlier Guy,
Place Reine Astrid 12,
4000 Rocourt
Tél: 04/226.30.30
Fax: 04/226.33.32
Email:
[email protected];
agence.rocourt@creditagricole.
be
Liège
BUREAU BEAUPAIN scrl
Beaupain Alain,
Voie de l’Air Pur, 275,
4052 Beaufays
Tél: 04/368.71.31.
Fax: 04/368.78.83.
Email:
[email protected]
BUREAU COLLARD scrl
Collard Yvon,
au Pairon, 35,
4831 Bilstain
Tél: 087/76.03.00
Fax: 087/76.03.10
Email:
[email protected]
BUREAU DETIFFE scrl
Broers Christian et Beauve Michel
rue Neuve, 107b,
4860 Pepinster
Tél: 087/46.09.45
Fax: 087/46.13.31
Email:
[email protected]
BUREAU DEVAUX
Devaux Micheline
route du Condroz, 105,
4550 Nandrin
Tél: 085/51.15.53
Fax: 085/51.26.38.
Email:
[email protected]
BUREAU MELON sc
Melon Léon
rue Albert 1er, 76,
4280 Hannut
Tél: 019/51.22.22.
Fax: 019/51.05.72.
E-mail:
[email protected] et franz.
[email protected]
CHARLIER CONSULT scrl,
Charlier Benoît,
rue de Verviers, 68,
4651 Battice
Tél: 087/69.34.00
Fax: 087/69.34.01
Email:
[email protected];
benoit.charlier@bureaucharlier.
be
COSERVICE FIDUCIAIRE asbl
Pauly Jean-Pierre,
rue du Parc Industriel, 1A,
4540 Amay
Tél: 085/23.00.32
Fax: 085/25.54.26.
Email:
[email protected]
FÉDÉRATION WALLONNE DE
SERVICES DE LIÈGE scrl
Renglet Jean-Pierre,
rue de la Clef, 41,
4650 Herve
Tél: 087/67.91.67
Fax: 087/67.90.37.
Email:
[email protected]
HUPPERETZ & DUSSELDORF
sa.
Dusseldorf Norbert,
rue des Anciennes Granges, 1,
4960 Malmédy
Tél: 080/79.99.05
Fax: 080/79.99.01
Email:
norbert.dusseldorf@hupperetz.
be
LIEVENS sprl
Lievens Robert et Xavier,
place Saint-Remacle, 7,
4970 Stavelot
Tél: 080/86.24.94 ou
080/86.29.06
Fax: 080/86.32.52
Email:
[email protected]
RENSON CONSEILS sa
Renson Noël,
rue Hamente, 16,
4537 Verlaine
Tél: 04/259.50.94
Fax: 04/259.66.77.
Email:
[email protected]
ASSURANCES LADURON sprl
Wéra Céleste,
rue Brun, 46,
5300 Andenne
Tél: 085/84.30.00
Fax: 085/84.21.53.
Email : laduronassurances@
hotmail.com
[email protected]
Luxembourg
ARDENNES ET GAUME sprl
Kaiser Roger,
rue du Moulin, 70 B,
6740 Etalle
Tél: 063/45.50.91
Fax: 063/45.66.07
E-mail:
[email protected]
[email protected]
ARDENNES SERVICES sc
Chauviaux Michel,
Grand Place, 18,
6850 Paliseul
Tél: 061/53.36.14
Fax: 061/534.986
Email :
[email protected]
BUREAU BODSON MICHEL
sprl
Bodson Michel
rue du Vieux Marché, 23,
6690 Vielsalm
Tél: 080/21.64.47
Fax: 080/21.46.56
Email:
[email protected]
BUREAU DEGIVE sprl
Degive Venance,
rue du Luxembourg, 2,
6900 Marche-en-Famenne
Tél: 084/31.32.10
Fax: 084/32.13.42.
Email:
[email protected]
COLLIGNON JOSEPH
rue Grandmont, 17,
6997 Soy
Tél: 086/47.73.81.
CONTAFISCAS SC
Grandjean Hector,
rue des Brasseurs, 14,
6600 BASTOGNE
Tél: 061/24.09.80
Fax: 061/240.999
Email :
[email protected]
DANSCONSEILS SC
Tonglet Marc,
En Charotte, 15,
6940 BARVAUX
Tél: 086/21.26.96
Fax: 086/21.40.96
Email:
[email protected]
FÉDÉRATION WALLONNE DE
SERVICES DE BASTOGNE scrl
Petitjean Georges,
rue de la Roche 18R,
6600 Bastogne
Tél: 061/21.25.88
Fax: 061/21.70.23
Email:
[email protected]
FÉDÉRATION WALLONNE
DE SERVICES SUD
LUXEMBOURG scrl
Dinon Jean-François, Simon José,
rue du Moulin, 26,
6740 Etalle
Tél: 063/45.71.22.
Fax: 063/45.71.23
Email:
[email protected]
Permanences:
Tous les jours de 9 h à 12 h.
FIDUCIAIRE NORDLUXEMBOURG asbl
Mathieu Maurice,
avenue de la Toison d’Or, 18,
6900 Marche-en-Famenne
Tél: 084/31.23.76
Fax: 084/31.23.67.
Email:
[email protected]
Permanences:
Banque CBC, Barvaux
Tél: 086/21.91.91.
les 1ers lundis du mois de 13h30
à 14h30 (ou sur rendez-vous)
Place Chantraine, 25,
6980 La Roche-en-Ardenne
Tél: 084/41.21.07.
Permanences:
les mardis et jeudis matin
LIBRASERVICE scrl
Guillaume Yvan, Oger Michel,
rue Dessous la Ville, 43,
6800 Libramont
Tél: 061/23.02.20
Fax: 061/22.25.77
Email:
[email protected];
[email protected]
Namur
AGRA-SERVICES sc,
Marchant Benoît,
Chaussée de Louvain 16A,
5310 Eghezée
Tél: 081/510.573
Fax: 081/512.417
Email:
[email protected]
ASSURANCES LADURON sprl
Wéra Céleste,
Rue Brun, 46,
5300 Andenne
Tél: 085/84.30.00
Fax: 085/84.21.53
BASSER sprl
D’Hooghe Pierre
Avenue de Namur 27,
5590 Ciney
Tél. : 083/213.491
Email :
[email protected]
[email protected]
BEAURAING-DINANT
SERVICES sc
Grégoire G.. et Huysmans R.,
rue Grande, 30,
5500 Dinant
Tél.: 082/71.28.98
Fax: 082/22.50.78
Email:
[email protected] - [email protected]
BUREAU DE SERVICES DU
SUD NAMUR scrl
Rondeux Philippe,
rue de Dinant, 16,
5570 Beauraing
Tél: 082/71.19.05
Fax: 082/71.37.93.
Email:
[email protected]
Permanences:
mardi, mercredi et jeudi de 9h
à 11h30.
Centre Culturel (ancien Marché
Couvert),
5590 Ciney
tous les vendredis de 11h à 12h.
A la Mutualité Chrétienne,
rue Gridlet, 8,
5575 Gedinne
Mercredis de 14h à 15h.
BUREAU DELCHAMBRE scrl,
Delchambre Fernand,
rue de Bambois, 1,
5070 Fosses-La-Ville
Tél: 071/71.14.78
Fax: 071/71.47.39.
Chaussée de Namur, 47,
5030 Gembloux
Tél: 081/62.73.05
Fax: 081/62.73.06.
Email:
[email protected]
[email protected]
FEDERATION WALLONNE DE
SERVICES - NAMUR
De Moriame Robert,
rue du Grand Feu, 117,
5004 Bouge
Tél: 081/208.760
Fax: 081/21.26.37.
Email:
[email protected]
HESBOIS THIERRY
rue de l’Arsenal, 3 A,
5600 Philippeville
Tél: 071/66.62.89.
Fax: 071/66.89.09.
Email:
[email protected]
JENNEKENS sa
Collard Philippe,
Av Gouverneur Bovesse 32,
5100 Jambes
Tél: 081/304.769
Fax: 081/300.444
Email:
[email protected],
[email protected]
LETECHEUR X. sa
Letecheur Renaud,
Lauwers Didier,
Square Crépin 1,
5580 Rochefort
Tél: 084/21.39.01
Fax: 084/21.19.72
Email:
[email protected]
MIGEOTTE CONSEILS sprl
Migeotte Daniel,
rue de Thy-le-Château, 7,
5650 Pry-Walcourt
Tél+Fax: 071/61.14.60
Email :
[email protected]
PIERARD MICHEL
rue de la Reine, 6,
5600 Philippeville
Tél: 071/66.62.47
Fax : 071/668.434
Email: [email protected]
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750 Eur; épandeur Vigneron 8T
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semoir 3m Nodet; épandeur Cavero
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A v. semoir engrais Lely 2200L 18
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4 vaches bon état; rotative; semoir; croskillette 2,5m; 4 chalettes pr remorque; moulin à grains
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Ravena 8m; extirpateur 3m. Tél.
081/612.097
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A v. maïs ensilage région Huy. Tél.
085/512.891
(445)
A v. 15 tonnes betteraves; foin 2e
coup 1e qualité région Ardenne. Tél.
0476/331.357
(469)
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plein et vous avez une bonne
expérience en tracteurs et machines agricoles, téléphonezmoi au numéro 02/687.78.31,
entreprise à Overijse.
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prairies fauchées en 2010; tonneau
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très anciennes; miroir doré. Tél.
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épaiss 15cm + 200m2 de bande
caoutchouc pr couverture silo. Tél
.0475/374.232
(470)
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Il arrive dans certaines petites annonces qu'au lieu d'un
numéro de téléphone, vous
trouviez la mention "Réponse
au bureau du journal" ou
"écrire au bureau du journal" ou encore les abréviations "RBJ" ou "EBJ". Si
vous souhaitez répondre à
une telle annonce, adressez
votre courrier à PleinChamp
en faisant clairement figurer
sur l'enveloppe la mention
"réponse à l'annonce n° ....".
Nous la transmettrons alors
-sans l'ouvrir- à l'auteur de
l'annonce
JH 39 ans désire rencontre JF pour
vie à deux pas sérieux s’abstenir
province de Liège. A bientôt. RBJ
(308)
JH 37 ans entrepreneur agricole
désire rencontre JF entre 25-35 ans
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Tournai et qui aime le monde agricole, 1 enfant bienvenu. Gsm ou
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(393)
JH 26 ans agriculteur dans la région de Gouvy désire rencontrer
JF +/- même âge et même situation, pas sérieuse s’abstenir. Tél.
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Liq p haie: thuya 2m = 17 Eur, 1m70
= 11, 1m25 = 5; cyp bleu 1m25 =
5, 1m50 = 8, 1m75 = 12; laurier
1m70 = 8; if 60cm = 3, 1m = 12;
buis 70cm = 3; 1m (touffe)=16;
houx = 3; hêtre àpd 0,45 (1m25=
1!); hêtre rouge àpd 0,90 (1m25 =
2,50!); charme = 0,70; ligust 1m20
= 0,60; aubépine = 0,60; photinia
= 6; arb à fleurs = 4; prunel, genév
= 4 (talus)+ autres variétés (jusque
15/03: laurier 1m20= 3! thuya 1m
= 1, 1m50=4!). Tél. 0495/871.190
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A louer à l’année prairie de 3ha pour
pâturer à Filot. Tél. 061/266.622 ou
0473/645.325
(432)
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• 10h : Au gîte « Cool Days » chez M. et Mme Christian WIERTZ, Beusdael, 81 à
4851 Sippenaeken (Plombières): accueil, réunion, dîner.
• 10h30 : Tourisme et ferme en activité : La communication, de l’écoute au
parlé. Comment mettre en évidence la ferme, son métier ? Quel positionnement
pour quel public ? Quelles actions pour quels résultats ? Que proposer sans être
envahi ? Par Geoffroy Simonart, de l’Apaq-W.
• 12h : Dîner (à réserver) : 15`.
• 13h30 : visite du gîte à la ferme de grande capacité (22p) de M. et Mme Wiertz.
• 14h30 : chez M. et Mme Freddy SCHYNS, Ferme du Château de Beusdeal, rue de
Beusdeal, 158 à 4851 Sippenhaeken : visites des 5 gîtes à la ferme (4, 4, 5, 6, 9p) et
des 2 meublés de vacances en construction.
• 15h30 : chez M. et Mme Francis BIEMAR, ferme de Gérard Sart, route de Mortier,
11 à 4606 Saint André (Blegny): élevage de poulets, visite de l’atelier de fabrication
(glaces, confitures), visite du point de vente.
• 16h15 : goûter (à réserver) : 5`.
ITINERAIRE : Voir site: www.cooldays.be
RESERVATION indispensable à l’aide du talon ci-joint par Fax (081/627 450)
ou par E.mail ([email protected]) et avec paiement uniquement sur le
compte bancaire d’ACW 103-0118804-47 pour le vendredi 19 mars.
Attention : inscription limitée à 50 personnes.
Nom……………...................................Prénom…………………………………
Localité…………………………Province………………………………………
Réserve(nt)…………Dîner(s) à 15` - Réserve(nt) ……………Goûter (s)à 5`
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Réunion décentralisée de la Province de Liège
Région de PLOMBIERES – AUBEL
Le jeudi 25 mars 2010.
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Réponse
bureau
du journal
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de 2ha80ca bail à ferme 7è année, accès facile voie carrossable.
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belgacom.net
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Tél. 0033 684967337
(473)
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Glané pour vous
Les premières fraises
vendues 500 euros les
200 grammes
Au premier semestre 2009,
une maison d’habitation coûtait
en moyenne 168.852 euro. Une
villa revenait quasiment au double
(298.059 euro). Les appartements
se vendaient à 174.564 euro. Le
prix des terrains à bâtir s’élevait en
moyenne à 91,4 euro/m². Depuis
1975, le prix de vente moyen
d’une maison d’habitation a été
multiplié par neuf, alors que le niveau général des prix ne s’est accru que d’un facteur trois pendant
la même période. Au cours des 34
dernières années, la valeur des
maisons a augmenté quasi trois
fois plus vite que celle des autres
(SPF économie)
produits.
Stocks plus importants
de pommes de terre en
Belgique
Les agriculteurs belges ont
encore 1,6 million de tonnes de
pommes de terre en stock, soit
200.000 tonnes de plus qu’au
1er février de l’année dernière,
d’après une enquête du Belgische
Interprovinciaal Proefcentrum
voor de Aardappelteelt (PCA).
Le PCA a mené une enquête
auprès de 126 agriculteurs en
Flandre. La filière wallonne de la
pomme de terre (Fiwap) a, elle,
questionné une centaine d’agriculteurs en Wallonie concernant
leur stock. Les données montrent
que 100.000 tonnes de pommes
de terre de plus qu’en février 2007
sont stockées. Le stock est même
plus élevé de 200.000 tonnes par
rapport à la moyenne des cinq dernières années. L’enquête démontre que 700.000 tonnes de pommes de terre sont déjà vendues
par contrat, soit 42 pc du stock.
C’est 140.000 tonnes de plus que
la moyenne des cinq dernières années. D’après le Boerenbond, reste
à savoir quelle sera la quantité de
pommes de terre qui subsistera de
l’excédent de 200.000 tonnes, et
quelle sera leur qualité, après le
froid de ces derniers mois. (Belga)
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A la criée de Hoogstraten, les
premières fraises de la nouvelle
saison ont été vendues le 26 février
500 euros pour 200 grammes.
Un cagot de 2 kilos de la variété
Clery a été proposé à la vente par
un cultivateur néerlandais, Cees
Buijnsters, de la localité de EttenLeur. Ces premières fraises ont été
achetées par l’exportateur Special
Fruit de Meer. «Par l’achat de ces
fraises ‘primeur’, nous comptons
annoncer à nos clients internationaux le lancement de la nouvelle
saison», a indiqué le responsable
de Special Fruit, François Maes.
Traditionnellement, le produit de
la vente de primeurs est versé à
une bonne oeuvre et la criée double toujours la somme. C’est ainsi
que 10.000 euros ont été versés à
l’opération Haïti Lavi 1212.
(Belga)
L’immobilier ... quelques
chiffres
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Les superficies
consacrées au bio
ont augmenté de 57%
entre 2005 et 2008
en Belgique
Les superficies consacrées
à l’agriculture biologique en
Belgique ont augmenté de 57%
entre 2005 et 2008. A l’échelle de
l’Union, cette augmentation fut
de 21%, révèlent récemment des
chiffres livrés par l’Office européen
de statistiques, Eurostat. L’Union
européenne comptait en 2008
quelque 7,8 millions d’hectares
consacrés à l’agriculture biologique, une méthode agricole qui
vise à éviter ou limiter fortement
le recours aux engrais, pesticides,
additifs et médicaments. Ces 7,8
millions d’hectares représentaient
toutefois à peine 4,1% de la superficie agricole totale du Vieux
continent.
La Belgique comptait, elle, en
2008 quelque 36.000 hectares
consacrés à ce mode de production, soit 2,4% de la superficie
totale agricole du pays. L’Autriche
est de loin le pays où le bio est le
mieux implanté, ce pays y consacrant pas moins de 15,7% de ses
terres agricoles, devant la Suède
(10%), et l’Italie (8,9%). (Belga)
La Roumanie taxe les
produits trop caloriques
L’empreinte carbone
du porc
Le gouvernement roumain vient
d’annoncer qu’il comptait taxer
les produits considérés comme «
junk-food ». Ces produits se caractérisent par un haut niveau de
lipides, sucres, sels et/ou additifs
alimentaires. Le ministre roumain
de la Santé a précisé que la taxe
sera effective à partir du 1er mars
sur tous ces produits, fabriqués ou
importés en Roumanie. Ce serait le
premier pays à mettre en place une
telle politique. Les recettes, de l’ordre du milliard d’euros, devraient
alimenter les dépenses de l’Etat
en matière de santé. La Roumanie
connaît en effet des difficultés de
financement de son système de
santé, et les problèmes d’obésité
dans la population vont croissant.
Dans le pays, une personne sur
quatre serait aujourd’hui en
surpoids. La question est d’autant
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Lexus XPE: 8994/B, 33.3% flupyrsulfuron-methyle et 16.7% metsulfuron-methyle WG; Lexus Millenium: 9284/B, 10%
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et 40% thifensulfuron-methyle WG; LexusH
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Le groupe allemand Westfleisch
a décidé de calculer une empreinte carbone des entreprises et dans
un second temps des produits
pour l’ensemble de la chaîne de
production de viande porcine. Des
projets similaires sont prévus pour
2011 pour la viande de boeuf et
en 2010 pour le veau.
( La France agricole)
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plus cruciale qu’elle touche les populations à faible revenu. En 2009,
une étude de l’Inra menée dans le
cadre du programme Polnutrition
établissait que la catégorie des «
junk food » est la source d’énergie la moins chère. Pour 100 kcal,
elle coûte 0,15 , contre 0,20
pour 100 kcal de produits laitiers,
0,34 pour les fruits et légumes,
0,40 pour la viande et 0,68 pour
les poissons. Reste maintenant
à convaincre l’industrie agro-alimentaire et la grande distribution.
La négociation qui s’engage doit
porter sur le montant de la taxe
et la liste des produits concernés.
(Lettre des agriculteurs de France)